Il y a dix ans, le tribunal d’Aix en Provence prononçait un divorce aux torts exclusifs d’un homme pour « absence de relations sexuelles pendant plusieurs années » avec son épouse. Le mari fut obligé de verser à celle-ci 10.000 euros de dommages et intérêts. Cette affaire resta obscure. Aucune campagne d’indignation ne s’éleva contre un quelconque « archaïsme » juridique. L’homme eut droit à quelques entrefilets légèrement interloqués, et ce fut tout.
Le mois dernier, une femme qui avait subi le même sort en 2019 (l’amende de 10.000 euros en moins, mystérieusement) a déposé un recours devant la cour européenne des droits de l’homme.
Cette fois, branle-bas de combat. Fini les entrefilets rédigés par des pigistes. On sort l’artillerie lourde et le gros rouge qui tâche. Mediapart s’empare de l’affaire. Edwy Plenel s’élève contre cette sanction « sidérante ». BFM, par la bouche de Fanny Wegscheider, se demande « ce que peut bien signifier cette notion de devoir conjugal en 2021 » , et fait immédiatement l’amalgame avec le viol conjugal.
La chaîne macroniste appelle ensuite à la rescousse Julie Matiussi « Maître de conférence » présentée en tant qu’experte technique, et qui, après avoir rappelé l’historique des condamnations du même type comme une consultante objective, se permet de s’interroger « sur la pertinence d’un devoir conjugal de façon générale, dans la mesure où notre droit reconnait par ailleurs une interdiction du viol conjugal ».
La plaignante est accompagnée par le Collectif Féministe Contre le Viol, au cas où certains n’auraient pas encore compris le message : devoir conjugal = viol conjugal.
« C’est une justice encore patriarcale et archaïque qui dit aux femmes : si tu es mariée, prière d’écarter les cuisses ! » affirme sa présidente Emmanuelle Piet à propos de l’affaire.

Cette offensive médiatique est une étape de plus vers l’abolition du mariage, vers l’abolition du couple monogame hétérosexuel comme modèle dominant, et, plus largement, vers la destruction de la société française.
Elle repose entièrement sur le mensonge et la manipulation de masse par les grands groupes de presse alliés à l’Etat, eux-mêmes émanation de l’oligarchie au pouvoir.
Ces mensonges et ses manipulations sont absolument énormes, et je me fais fort de les démonter dans les quelques lignes qui vont suivre.
D’abord, deux minutes de recherche en ligne permettent de découvrir la vérité sur les acteurs de cette opération de propagande : Julie Matiussi, par exemple, n’est ni une experte technique ni une consultante ; c’est une militante d’extrême-gauche. On peut consulter sur son CV la liste de ses publications et de ses interventions. L’une d’elle s’intitule : « Le devoir conjugal : de l’obligation de consentir » prononcée en 2017 à Sciences Po, cette fabrique de crétins et de traitres qui n’en finit de mener la France à l’abime. Pour le reste des articles et des conférences, on est à peu près à mi-chemin entre « repenser notre rapport aux mineurs isolés » et « comment assumer sa non-binarité au repas de Noël ».

Dans une interview à l’Est républicain en 2020, Madame Matuissi ne prend d’ailleurs pas autant de précautions oratoires, et affirme clairement son souhait de voir le devoir conjugal disparaître de la loi et de la jurisprudence.
D’où vient cette haine absolument hystérique des féministes contre ce qu’on appelle le devoir conjugal ?
On l’a dit, et elles le proclament et le hurlent, par tous les temps et sur tous les tons, pour elles, le devoir conjugal est un viol pur et simple.
Il y a donc trois choses à déterminer : la définition du devoir conjugal, la définition du viol, et la définition du viol par les féministes.
Le devoir conjugal est une notion juridique héritée d’un lointain passé catholique, qui oblige les deux membres du couple marié à avoir entre eux des relations sexuelles régulières. La femme et l’homme sont astreints à ce devoir exactement de la même façon. Il est donc impossible de trouver une loi plus sexuellement égalitaire que celle-ci. Ce qui n’empêche pas Madame Piet de hurler au « patriarcat ».
Autre remarque, le devoir conjugal est une obligation reconnue et officielle, incluse dans la notion de « communauté de vie » de l’article 215 du code civil. Il y a donc une solution simple, si on refuse ce qu’on considère comme les « archaïsmes » du mariage : ne pas se marier. De même pourrait-on conseiller aux hommes peu portés sur le célibat et l’abstinence de ne pas s’engager sur la voie de la prêtrise catholique.
Et si vous considérez qu’on ne peut pas prendre de sanctions contre vous suite à votre non-respect des clauses du contrat que vous avez librement signé parce que vous n’avez pas pensé à lire ce qu’il y avait dedans ou que vous ne l’avez pas compris, je m’engage à militer pour votre placement sous curatelle renforcée, et pour la suppression de vos droits civiques. Car, à priori, quelqu’un qui affirme ne pas être capable de lire ce qu’il y a dans un contrat avant de le signer ne devrait pas être autorisé à conduire une voiture, ni à choisir par l’exercice du vote qui sera notre prochain président.
Si on considère qu’une femme est un être responsable au même titre que l’homme, cela veut dire qu’elle doit assumer les conséquences de ses actes. Si vous contractez un prêt à la banque, que ce prêt stipule que vous devez verser 200 euros par mois et que vous ne le faites pas, au bout d’un moment vos biens pourront être saisis.
Si vous vous engagez devant la loi à avoir des relations sexuelles régulières avec quelqu’un et que vous ne le faites pas, un divorce peut éventuellement être prononcé à vos torts exclusifs. C’est ce qu’on appelle la responsabilité individuelle. Encore une fois, si cela est trop dur pour vous, demandez à être placé sous curatelle.
Mais ce discours est très dur à accepter pour les féministes, dont l’idéologie présuppose toujours l’irresponsabilité foncière de la femme, quel que soient les lieux, les époques et les circonstances.

Karine Le Marchand.

Maïa Mazaurette.
Des femmes qui défendent le devoir conjugal, il y en a, pourtant, et non des moindres. Au hasard, Karine Le Marchand, Elisabeth Levy, Maïa Mazaurette, ou encore Thérèse Hargot. Au moins pour les deux premières, des femmes au moins aussi libres, aussi intelligentes, aussi indépendantes qu’Emmanuelle Piet et Julie Matuissi, qui ont réussi leur vie y compris sur le plan économique, et qui affirment sans ambages que, non seulement le devoir conjugal n’est pas un viol, mais qu’il peut être tout à fait nécessaire à l’harmonie du couple.
A l’occasion de l’affaire qui nous occupe, Elisabeth Levy en a d’ailleurs remis une couche.
Mais cela n’était qu’une mise en bouche : passons au cœur du sujet ; allons tout simplement voir sur wikipedia pour avoir la réponse la plus consensuelle possible à la question suivante : qu’est-ce qu’un viol ?
« Le viol est l’acte avec lequel une personne est contrainte à un acte sexuel par la force, la surprise, la menace, la ruse ou, plus largement, par l’absence de consentement »
Qu’est-ce que le consentement ?
« Le consentement sexuel désigne l’accord que les personnes se donnent mutuellement pour qu’une activité sexuelle ait lieu entre elles. »
Les choses sont donc tout à fait claires : ce qui définit un viol est l’absence de consentement. Ce qui définit le consentement est le fait que les deux personnes se mettent d’accord pour qu’un rapport sexuel ait lieu entre elles.
Dans l’affaire qui nous occupe, il n’est donc à aucun moment question de viol : le mari a souhaité avoir des relations sexuelles avec sa femme, dans le cadre du mariage, c’est-à-dire du contrat signé par la femme de son plein gré. Devant le refus répété de celle-ci (nous parlons de plusieurs années) le mari n’a violé ni tenté de violer qui que ce soit : il a fait valoir son droit au divorce pour faute, exactement comme le prévoit la loi française.
Les féministes invoquent donc le viol dans une affaire où il n’existe pas, fut-ce sous forme de tentative.
Mais qu’est-ce que le consentement et le viol pour les féministes ?
Laissons parler de nouveau Emmanuelle Piet :
« j’ai un peu de mal avec la notion de consentement : consentir, ce n’est pas avoir envie de faire l’amour, c’est accepter tout juste, ce qui n’est pas très positif. On a des relations sexuelles parce qu’on en a envie, pas juste parce qu’on y consent. Et c’est remettre la femme dans un rôle un peu étrange quand même : « Je consens à avoir une relation sexuelle ». En gros, elle n’a pas besoin d’avoir envie, il faut juste qu’elle y consente. Mais si elle n’a pas envie, il ne faut pas qu’elle se force ! Cela sous-entend aussi que les messieurs peuvent ne pas avoir compris qu’elle n’était pas consentante : « Oups, trop tard, mais je ne suis pas un violeur ! ». ça ne marche pas comme ça. »
Il est pas beau le tour de passe-passe ? Il est pas incroyable, le numéro de prestidigitation ?
Pour correspondre à la notion que Madame Piet se fait du consentement, il ne faut pas seulement accepter une relation sexuelle; il faut en avoir envie. Un rapport sexuel consenti n’est plus alors un rapport ayant reçu l’accord des personnes y participant, mais un rapport ayant reçu l’accord de la femme parce qu’elle en a envie.

Call-girl à Lucknow (Inde).
Tout le reste : la call-girl de luxe qui couche avec un footballeur, non parce qu’elle en a envie, mais parce qu’on la paye quatre mille euros la nuit ; la star du porno, qui couche avec des hommes, non parce qu’elle en a envie, mais parce que ses émoluments atteignent un demi-million d’euros par an ; et la femme légitime qui accepte un rapport sexuel avec son mari malgré une libido en berne, parce qu’ils n’ont rien fait depuis six mois et qu’elle veut lui faire plaisir ; toutes ces femmes sont, pour Emmanuelle Piet, présidente du CFCV, des victimes de viol.
Voilà comment on laisse planer l’ombre du viol dans une affaire qui n’en comporte aucun: en substituant, à la définition officielle et jusque là couramment admise du viol, sa propre définition délirante. Car dans le monde merveilleux d’Emmanuelle Piet, un homme ne devrait donc pas seulement, pour éviter le titre de violeur, s’assurer que la femme a donné son accord pour un rapport sexuel ; il devrait aussi vérifier (par télépathie ?) que la femme accepte bien parce qu’elle en a envie.
Ce qu’Emmanuelle Piet ne nous explique pas, c’est si, dans son monde merveilleux, la déclaration de non-envie faite par une femme – puisqu’on on ne peut prouver l’absence de désir sexuel- suffirait à faire mettre en prison (sans jeu de mots) le contrevenant-mâle-porc-violeur-patriarcal.
Des vraies victimes de vrais viols, pourtant, il y en a. Il y en a même de plus en plus. De 2011 à 2019, le nombre de plaintes pour viol est passé de 1046 à 22448, soit une augmentation de 120%, qu’on peut même qualifier d’explosion. La première raison de cette explosion, il faut aller le chercher dans le laxisme judiciaire : de 2007 à 2017, le nombre de condamnations pour viol a chuté de 40% .
Mais ces chiffres ahurissants n’intéressent pas les féministes.
Car leur but, au cas où certains auraient encore des doutes, n’est pas de faire le bonheur des femmes, ou d’empêcher qu’elles se fassent violer, frapper ou tuer – rappelons que c’est depuis leur arrivée au pouvoir (avec Vallaud-Belkacem puis Schiappa) que le nombre de viols a doublé. Leurs objectifs sont tout autres : d’abord, pourrir les relations qu’entretiennent les femmes avec les hommes, à commencer par ceux qui leur sont les plus proches ; les décourager à l’avance d’envisager la fondation d’une famille avec un homme ; et ainsi imposer, aux femmes idiotes comme aux femmes intelligentes, en formatant les premières dès le plus jeune âge et en faisant peser sur les secondes la menace constante de l’exclusion sociale, leur modèle obligatoire de lesbienne sans enfants consacrant sa vie au travail et à la consommation.
Le monde rêvé des féministes, s’il finit par advenir, ressemblera à une société totalement atomisée, de plus en plus urbaine et de plus en plus laide, faite d’hommes et de femmes condamnés au célibat et à la solitude, se défiant les uns des autres, sans enfants, ou avec des enfants sans père, trouvant un exutoire dans la pornographie et les mondes virtuels, enfermés chez eux pendant qu’au dehors roderont les bêtes sauvages, et que règnera sur ce chaos l’hyper-bourgoisie mondialisée. Cela y ressemble déjà.
André Waroch.


 
 

 del.icio.us
  del.icio.us
 Digg
 Digg Facebook
 Facebook

 La Démocratie n’est que mensonge et tromperie
La Démocratie n’est que mensonge et tromperie




 Car peut-il y avoir violence dans la maîtrise de soi – alors non écrasée par l’audace – et justifiée par le courage de l’homme moral et révolté ?
Car peut-il y avoir violence dans la maîtrise de soi – alors non écrasée par l’audace – et justifiée par le courage de l’homme moral et révolté ? Opposé à elle, le socialisme doit donc constituer une éthique avant tout, c’est-à-dire – dans les mots de Freund – « une con-duite de la vie, une manière de retrouver le sens de l'honneur, de la noblesse d'âme, de l’héroïsme et du sublime ». L’opposition totale au capitalisme ne se fait pas simplement économiquement ou socialement mais aussi moralement et spirituellement. Nous pouvons, par conséquent, qualifier le socialisme de Sorel d’idé-aliste. Dans Revue de Métaphysique et de Morale en 1899, ce sociologue nous dit : « Le but final n'existe que pour notre vie in-térieure [...] il n'est pas en dehors de nous ; il est dans notre propre cœur. »
Opposé à elle, le socialisme doit donc constituer une éthique avant tout, c’est-à-dire – dans les mots de Freund – « une con-duite de la vie, une manière de retrouver le sens de l'honneur, de la noblesse d'âme, de l’héroïsme et du sublime ». L’opposition totale au capitalisme ne se fait pas simplement économiquement ou socialement mais aussi moralement et spirituellement. Nous pouvons, par conséquent, qualifier le socialisme de Sorel d’idé-aliste. Dans Revue de Métaphysique et de Morale en 1899, ce sociologue nous dit : « Le but final n'existe que pour notre vie in-térieure [...] il n'est pas en dehors de nous ; il est dans notre propre cœur. » Précisons que, dans le même ouvrage, Sorel défend le concept de mythe en tant que tel car les mythes, telles des allégories entretenant l’union et la mobilisation d’un groupe humain, sont des « moyens d’agir sur le présent ». Ensuite, « toute discussion sur la manière de les appliquer matériellement sur le cours de l'histoire est dépourvue de sens. C'est l'ensemble du mythe qui importe seul ».
Précisons que, dans le même ouvrage, Sorel défend le concept de mythe en tant que tel car les mythes, telles des allégories entretenant l’union et la mobilisation d’un groupe humain, sont des « moyens d’agir sur le présent ». Ensuite, « toute discussion sur la manière de les appliquer matériellement sur le cours de l'histoire est dépourvue de sens. C'est l'ensemble du mythe qui importe seul ». 



 Un autre élément  est un fonctionnement familial clanique,  très répandu chez les gens du voyage, les familles kosovares et maghrébines. Un clan est comme un corps dont chaque individu est un membre.  Alors que le but d’une famille devrait être que les parents cherchent à ce que leur enfant se construise une pensée personnelle et puisse s’éloigner d’eux pour se construire un projet personnel, dans une famille clanique le mode de pensée est indifférencié, le but n’est pas qu’un sujet pense par lui-même, son identité est d’abord d’appartenir au groupe. Le terme de ghettoïsation est donc inexact car on est enfermé dans un ghetto alors qu’ici au contraire, la contrainte est intérieure,  autosécrétée, car c’est l’éloignement du groupe qui est angoissant, en pensée, ou physiquement hors du territoire. Les populations concernées n’ont pas été contraintes de se regrouper, ce sont elles qui choisissent de se concentrer sur la base d’une identité groupale. Et la représentation que les membres d’un clan  ont de la relation n’est pas de personne à personne mais de groupe à groupe. Si l’un d’eux est en difficulté dans une relation, il rameute son groupe : « mes frères vont venir te tuer ». Ce mode clanique est un obstacle à l’intégration des individus, les codes du groupe peuvent primer sur les règles de la République.
Un autre élément  est un fonctionnement familial clanique,  très répandu chez les gens du voyage, les familles kosovares et maghrébines. Un clan est comme un corps dont chaque individu est un membre.  Alors que le but d’une famille devrait être que les parents cherchent à ce que leur enfant se construise une pensée personnelle et puisse s’éloigner d’eux pour se construire un projet personnel, dans une famille clanique le mode de pensée est indifférencié, le but n’est pas qu’un sujet pense par lui-même, son identité est d’abord d’appartenir au groupe. Le terme de ghettoïsation est donc inexact car on est enfermé dans un ghetto alors qu’ici au contraire, la contrainte est intérieure,  autosécrétée, car c’est l’éloignement du groupe qui est angoissant, en pensée, ou physiquement hors du territoire. Les populations concernées n’ont pas été contraintes de se regrouper, ce sont elles qui choisissent de se concentrer sur la base d’une identité groupale. Et la représentation que les membres d’un clan  ont de la relation n’est pas de personne à personne mais de groupe à groupe. Si l’un d’eux est en difficulté dans une relation, il rameute son groupe : « mes frères vont venir te tuer ». Ce mode clanique est un obstacle à l’intégration des individus, les codes du groupe peuvent primer sur les règles de la République.




 Die von den Berliner Eliten weiterhin negierte oder verspottete »
Die von den Berliner Eliten weiterhin negierte oder verspottete »
 Menschen, die die Politik der offenen Grenzen und eine unkontrollierte Einwanderung kritisieren oder auch nur öffentlich darüber debattieren möchten, werden pauschal als »Nazis« und »Rassisten« diffamiert. Selbst Wahlen, wie die demokratische Wahl des FDP-Ministerpräsidenten in Thüringen, müssen auf Zuruf der Kanzlerin rückgängig gemacht werden. Gleichzeitig werden hunderttausende Facebook- und YouTube-Konten gesperrt oder sogar ganz gelöscht, wodurch versucht wird, die Meinungsfreiheit immer weiter einzuschränken. So wird dem unzufriedenen Teil der Bevölkerung keinerlei Raum mehr zugestanden, den eigenen Unmut zu äußern. Dieses totalitäre Gebaren verursacht Wut und Hass, der sich in immer kürzeren Abständen gewaltsam entlädt. Vor genau diesen Entwicklungen haben Sicherheitsexperten, wie der verstorbene Udo Ulfkotte und der Autor dieses Artikels, bereits im Jahr 2016 in ihrem Spiegel-Bestseller
Menschen, die die Politik der offenen Grenzen und eine unkontrollierte Einwanderung kritisieren oder auch nur öffentlich darüber debattieren möchten, werden pauschal als »Nazis« und »Rassisten« diffamiert. Selbst Wahlen, wie die demokratische Wahl des FDP-Ministerpräsidenten in Thüringen, müssen auf Zuruf der Kanzlerin rückgängig gemacht werden. Gleichzeitig werden hunderttausende Facebook- und YouTube-Konten gesperrt oder sogar ganz gelöscht, wodurch versucht wird, die Meinungsfreiheit immer weiter einzuschränken. So wird dem unzufriedenen Teil der Bevölkerung keinerlei Raum mehr zugestanden, den eigenen Unmut zu äußern. Dieses totalitäre Gebaren verursacht Wut und Hass, der sich in immer kürzeren Abständen gewaltsam entlädt. Vor genau diesen Entwicklungen haben Sicherheitsexperten, wie der verstorbene Udo Ulfkotte und der Autor dieses Artikels, bereits im Jahr 2016 in ihrem Spiegel-Bestseller  Bestellinformationen:
Bestellinformationen:


 Sorels Einstehen für die Gewalt ergibt sich daraus, dass er den moralischen Zustand der bürgerlichen Gesellschaft haargenau getroffen hat: die bürgerliche Gesellschaft ist „aus den Fugen“. Der Bourgeois, ehemals ein energischer Kapitalist, ist zum schwächlichen Humanisten und Philanthropen degeneriert. Ihn zeichnen nicht mehr der Kampfgeist und der übersprühende Machtwille einer aufblühenden, sondern das Ruhebedürfnis und die Albernheit einer untergehenden Klasse aus: der Industriekapitän und der heroische Produzent von einst sind einer „gesittigten Aristokratie“ gewichen. Diese wünscht nur noch, in Frieden zu leben und sogar in Ruhe zu sterben.
Sorels Einstehen für die Gewalt ergibt sich daraus, dass er den moralischen Zustand der bürgerlichen Gesellschaft haargenau getroffen hat: die bürgerliche Gesellschaft ist „aus den Fugen“. Der Bourgeois, ehemals ein energischer Kapitalist, ist zum schwächlichen Humanisten und Philanthropen degeneriert. Ihn zeichnen nicht mehr der Kampfgeist und der übersprühende Machtwille einer aufblühenden, sondern das Ruhebedürfnis und die Albernheit einer untergehenden Klasse aus: der Industriekapitän und der heroische Produzent von einst sind einer „gesittigten Aristokratie“ gewichen. Diese wünscht nur noch, in Frieden zu leben und sogar in Ruhe zu sterben.

 En estos artículos, que muestran la obsesiva actividad proselitista del autor, no nos encontramos con el Jünger elogiado por Hermann Hesse o H. G. Gadamer, con el ensayista profundo, el novelista imaginativo o el observador preciso, sino con el agitador político que lanza sin ambages su mensaje subversivo. No obstante, en estos escritos también se puede comprobar cierta evolución temática e intelectual. En los primeros textos se ocupa principalmente de la experiencia guerrera, del valor del sacrificio y de la sangre como cemento de una nueva sociedad, a lo que se une un profundo odio a la burguesía y a la República de Weimar. Jünger consideraba que en su generación había surgido un nuevo 'tipo humano', forjado en la guerra de material y de trincheras, a quien, a su vez, correspondía forjar un nuevo mundo: 'Como somos los auténticos, verdaderos e implacables enemigos del burgués, nos divierte su descomposición. Pero nosotros no somos burgueses, somos hijos de guerras y de enfrentamientos civiles...'. Inspirándose en Nietzsche, Spengler y Sorel, y haciendo suyo el pathos del futurismo italiano, Jünger ensalza el odio y la destrucción como elementos creativos: 'La verdadera voluntad de lucha, sin embargo, el odio verdadero, se alegra de todo lo que destruye a su contrario. La destrucción es el único instrumento que parece adecuado en las actuales circunstancias'. En estos pasajes, el escritor adopta un nihilismo heroico que convierte la violencia en un fin en sí mismo, en una experiencia mística del combatiente que debe continuar su lucha en la sociedad civil. En ellos desarrolla una estética pura de la violencia que se mueve en un vacío ético y que, supuestamente, según el autor, debería generar nuevos valores.
En estos artículos, que muestran la obsesiva actividad proselitista del autor, no nos encontramos con el Jünger elogiado por Hermann Hesse o H. G. Gadamer, con el ensayista profundo, el novelista imaginativo o el observador preciso, sino con el agitador político que lanza sin ambages su mensaje subversivo. No obstante, en estos escritos también se puede comprobar cierta evolución temática e intelectual. En los primeros textos se ocupa principalmente de la experiencia guerrera, del valor del sacrificio y de la sangre como cemento de una nueva sociedad, a lo que se une un profundo odio a la burguesía y a la República de Weimar. Jünger consideraba que en su generación había surgido un nuevo 'tipo humano', forjado en la guerra de material y de trincheras, a quien, a su vez, correspondía forjar un nuevo mundo: 'Como somos los auténticos, verdaderos e implacables enemigos del burgués, nos divierte su descomposición. Pero nosotros no somos burgueses, somos hijos de guerras y de enfrentamientos civiles...'. Inspirándose en Nietzsche, Spengler y Sorel, y haciendo suyo el pathos del futurismo italiano, Jünger ensalza el odio y la destrucción como elementos creativos: 'La verdadera voluntad de lucha, sin embargo, el odio verdadero, se alegra de todo lo que destruye a su contrario. La destrucción es el único instrumento que parece adecuado en las actuales circunstancias'. En estos pasajes, el escritor adopta un nihilismo heroico que convierte la violencia en un fin en sí mismo, en una experiencia mística del combatiente que debe continuar su lucha en la sociedad civil. En ellos desarrolla una estética pura de la violencia que se mueve en un vacío ético y que, supuestamente, según el autor, debería generar nuevos valores.  En el terreno ideológico, los artículos reflejan una visión particular y nebulosa que no llega a identificarse con ninguna de las ideologías dominantes. Sus rasgos principales son, en su vertiente negativa, un profundo sentimiento antidemocrático y antipacifista, así como un fuerte rechazo de las instituciones, excluyendo al ejército como encarnación de la idea prusiana. Su odio a la República de Weimar es manifiesto; una República, si bien es cierto, que se ha definido con frecuencia como la 'democracia sin demócratas' y que era el blanco favorito del desprecio de la mayoría de los intelectuales. Aunque Jünger se confiesa nacionalista, en concreto 'nacionalista de la acción', no asocia el concepto con una forma política concreta, más bien se limita a describir vagamente modelos utópicos o retóricos que encontrarán un desarrollo más maduro en su libro El trabajador. Armin Mohler empleó el término 'revolución conservadora' para explicar esta posición política, pero Jünger también se acercó al nacionalismo de izquierdas de un Niekisch e incluso colaboró en su revista Der Widerstand, prohibida con posterioridad por los nacionalsocialistas. La impresión que recibimos es que Jünger estaba obsesionado con una revolución, viniese de donde viniese, siempre que fuese nacional. En sus escritos solía dirigirse a 'los nacionalistas, los soldados del frente y los trabajadores'. Este empeño revolucionario fue el que le acercó al nacionalsocialismo en los primeros años del movimiento: 'La verdadera revolución aún no se ha producido, pero se aproxima irresistiblemente. No es ninguna reacción, sino una revolución auténtica con todos sus rasgos y sus manifestaciones; su idea es la popular, afilada hasta un extremo desconocido; su bandera es la cruz gamada; su forma de expresión, la concentración de la voluntad en un único punto: la dictadura. Sustituirá la palabra por la acción, la tinta por la sangre, la frase por el sacrificio, la pluma por la espada'.
En el terreno ideológico, los artículos reflejan una visión particular y nebulosa que no llega a identificarse con ninguna de las ideologías dominantes. Sus rasgos principales son, en su vertiente negativa, un profundo sentimiento antidemocrático y antipacifista, así como un fuerte rechazo de las instituciones, excluyendo al ejército como encarnación de la idea prusiana. Su odio a la República de Weimar es manifiesto; una República, si bien es cierto, que se ha definido con frecuencia como la 'democracia sin demócratas' y que era el blanco favorito del desprecio de la mayoría de los intelectuales. Aunque Jünger se confiesa nacionalista, en concreto 'nacionalista de la acción', no asocia el concepto con una forma política concreta, más bien se limita a describir vagamente modelos utópicos o retóricos que encontrarán un desarrollo más maduro en su libro El trabajador. Armin Mohler empleó el término 'revolución conservadora' para explicar esta posición política, pero Jünger también se acercó al nacionalismo de izquierdas de un Niekisch e incluso colaboró en su revista Der Widerstand, prohibida con posterioridad por los nacionalsocialistas. La impresión que recibimos es que Jünger estaba obsesionado con una revolución, viniese de donde viniese, siempre que fuese nacional. En sus escritos solía dirigirse a 'los nacionalistas, los soldados del frente y los trabajadores'. Este empeño revolucionario fue el que le acercó al nacionalsocialismo en los primeros años del movimiento: 'La verdadera revolución aún no se ha producido, pero se aproxima irresistiblemente. No es ninguna reacción, sino una revolución auténtica con todos sus rasgos y sus manifestaciones; su idea es la popular, afilada hasta un extremo desconocido; su bandera es la cruz gamada; su forma de expresión, la concentración de la voluntad en un único punto: la dictadura. Sustituirá la palabra por la acción, la tinta por la sangre, la frase por el sacrificio, la pluma por la espada'.
 Sans jamais sombrer dans quelque facile solution unique réductrice, Michel Maffesoli expose la violence, tant sous ses expressions de simple opposition, d’affrontement plus ou moins évident, plus ou moins marqué, voire de débridement passionnel ou autre, individuel ou social. Il l’embrasse sous sa forme de dissidence, prise en son acceptation générale, comme sous celle de résistance dans toutes ses manifestations : politique ou tout simplement banale de la vie quotidienne.
Sans jamais sombrer dans quelque facile solution unique réductrice, Michel Maffesoli expose la violence, tant sous ses expressions de simple opposition, d’affrontement plus ou moins évident, plus ou moins marqué, voire de débridement passionnel ou autre, individuel ou social. Il l’embrasse sous sa forme de dissidence, prise en son acceptation générale, comme sous celle de résistance dans toutes ses manifestations : politique ou tout simplement banale de la vie quotidienne.




 De onlusten in Londen en andere Engelse steden zijn een dubbelzinnig eerbetoon aan de apathie, de morele lafheid, de onbekwaamheid en het carrièrezuchtige opportunisme van de Britse politieke en intellectuele klassen. Op de ene of andere manier zijn zij erin geslaagd niet te zien wat evident is voor iedereen die een wandelingetje maakt in een drukke Britse straat: dat een grote proportie van de jonge bevolking van het land, lelijk, agressief, gemeen, slecht opgevoed en onbeschoft is en misdadige neigingen heeft. Die jeugd heeft geen enkel zelfrespect, wel veel eigendunk. Ze vindt dat ze recht heeft op een hoog levenspeil en op andere dingen, zonder daar ook maar de minste inspanning voor te doen.
De onlusten in Londen en andere Engelse steden zijn een dubbelzinnig eerbetoon aan de apathie, de morele lafheid, de onbekwaamheid en het carrièrezuchtige opportunisme van de Britse politieke en intellectuele klassen. Op de ene of andere manier zijn zij erin geslaagd niet te zien wat evident is voor iedereen die een wandelingetje maakt in een drukke Britse straat: dat een grote proportie van de jonge bevolking van het land, lelijk, agressief, gemeen, slecht opgevoed en onbeschoft is en misdadige neigingen heeft. Die jeugd heeft geen enkel zelfrespect, wel veel eigendunk. Ze vindt dat ze recht heeft op een hoog levenspeil en op andere dingen, zonder daar ook maar de minste inspanning voor te doen.





 Eine Einbürgerung kann in Deutschland künftig auch wieder rückgängig gemacht werden, wenn der eingebürgerte Ausländer die Behörden getäuscht hat. Etwa über seine kriminelle Vergangenheit. Wer den Behörden bei der Einbürgerung verschweigt, dass er ein Krimineller ist, der kann selbst dann wieder ausgebürgert werden, wenn er dadurch staatenlos wird. Geklagt hatte ein Geschäftsmann, der den Behörden bei seiner Einbürgerung in Deutschland verschwiegen hatte, dass in seinem Geburtsland Ermittlungen wegen Betruges gegen ihn liefen. Der 54-Jährige sitzt in Deutschland eine sechs Jahre währende Haftstrafe wegen Anlagebetruges ab. Vor zehn Jahren war er hier eingebürgert worden. Aber er war eben auch schon in seinem Herkunftsland kriminell in Erscheinung getreten, hatte das bei den deutschen Behörden aber nicht angegeben. Die Leipziger Richter des Bundesverwaltungsgerichts, die ihn nun mit ihrer Entscheidung zum Staatenlosen machten, entschieden sogar, ihr Vorgehen sei mit dem Europarecht vereinbar. Nach dieser Entscheidung könnten nun viele Migranten, die straffällig geworden sind und das bei ihrer Einbürgerung verschwiegen haben, wieder ausgebürgert werden.
Eine Einbürgerung kann in Deutschland künftig auch wieder rückgängig gemacht werden, wenn der eingebürgerte Ausländer die Behörden getäuscht hat. Etwa über seine kriminelle Vergangenheit. Wer den Behörden bei der Einbürgerung verschweigt, dass er ein Krimineller ist, der kann selbst dann wieder ausgebürgert werden, wenn er dadurch staatenlos wird. Geklagt hatte ein Geschäftsmann, der den Behörden bei seiner Einbürgerung in Deutschland verschwiegen hatte, dass in seinem Geburtsland Ermittlungen wegen Betruges gegen ihn liefen. Der 54-Jährige sitzt in Deutschland eine sechs Jahre währende Haftstrafe wegen Anlagebetruges ab. Vor zehn Jahren war er hier eingebürgert worden. Aber er war eben auch schon in seinem Herkunftsland kriminell in Erscheinung getreten, hatte das bei den deutschen Behörden aber nicht angegeben. Die Leipziger Richter des Bundesverwaltungsgerichts, die ihn nun mit ihrer Entscheidung zum Staatenlosen machten, entschieden sogar, ihr Vorgehen sei mit dem Europarecht vereinbar. Nach dieser Entscheidung könnten nun viele Migranten, die straffällig geworden sind und das bei ihrer Einbürgerung verschwiegen haben, wieder ausgebürgert werden. Jean-Pierre Le Goff et l'ultraviolence
Jean-Pierre Le Goff et l'ultraviolence
 Archives « Guillaume Faye » - 1985
Archives « Guillaume Faye » - 1985 Mais, quoiqu’il prétende ne pas toucher à l’idéologie politique, Maffesoli donne tout de même en cette matière une importante leçon. En refusant de légitimer ou de ritualiser la violence, en s’en arrogeant aussi le monopole sous une forme « rationnelle » et « neutre », l’Etat égalitaire moderne fonde paradoxalement « la violence totalitaire, l’abstraction du pouvoir par rapport à la socialité », comme la définit Maffesoli, qui ajoute : « ce qui se dessine (…), c’est que la maîtrise de cette menace organisée, en étant déliée d’un enracinement social, devienne le lot d’un Big Brother anonyme, contrôleur et constructeur de la réalité » (p. 17). Dès lors que la violence est « décommunalisée », abstraitement et légalement détenue par une technocratie et qu’elle n’est plus légitime au sein de la société civile qui savait la ritualiser, dès lors donc que la société est sécurisée par l’Etat, on assiste paradoxalement à l’émergence de la violence irrationnelle, « terrifiante et angoissante », celle de l’insécurité d’aujourd’hui : « La mise en spectacle rituelle de la violence permettrait que celle-ci fût en quelque sorte extériorisée. Sa monopolisation, son devenir rationnel tend au contraire à l’intérioriser » (p. 18).
Mais, quoiqu’il prétende ne pas toucher à l’idéologie politique, Maffesoli donne tout de même en cette matière une importante leçon. En refusant de légitimer ou de ritualiser la violence, en s’en arrogeant aussi le monopole sous une forme « rationnelle » et « neutre », l’Etat égalitaire moderne fonde paradoxalement « la violence totalitaire, l’abstraction du pouvoir par rapport à la socialité », comme la définit Maffesoli, qui ajoute : « ce qui se dessine (…), c’est que la maîtrise de cette menace organisée, en étant déliée d’un enracinement social, devienne le lot d’un Big Brother anonyme, contrôleur et constructeur de la réalité » (p. 17). Dès lors que la violence est « décommunalisée », abstraitement et légalement détenue par une technocratie et qu’elle n’est plus légitime au sein de la société civile qui savait la ritualiser, dès lors donc que la société est sécurisée par l’Etat, on assiste paradoxalement à l’émergence de la violence irrationnelle, « terrifiante et angoissante », celle de l’insécurité d’aujourd’hui : « La mise en spectacle rituelle de la violence permettrait que celle-ci fût en quelque sorte extériorisée. Sa monopolisation, son devenir rationnel tend au contraire à l’intérioriser » (p. 18).