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samedi, 17 février 2018

Louis-Ferdinand CÉLINE et le cinéma (2018)

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Louis-Ferdinand CÉLINE et le cinéma (2018)

Émission "Libre Journal du cinéma" diffusée sur Radio Courtoisie le 15 février 2018.
Invité : Marc Laudelout pour évoquer les liens de Céline avec le cinéma.
- CELINE, LE FILM en DVD : http://amzn.to/2jilnzS
 

Ernst Jünger face aux titans et aux étoiles du Caucase

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Ernst Jünger face aux titans et aux étoiles du Caucase

par Benjamin Fayet

Ex: https://www.philitt.fr

À l’automne 1942, après deux années passées à l’état-major parisien du général Hans Speidel, Ernst Jünger part en mission dans le Caucase. L’offensive allemande contre l’URSS atteint, cette année-là, son apogée. Les divisions du Reich s’apprêtent bientôt à refluer après avoir atteint Stalingrad et les rives de la Volga. De ce voyage dans les ténèbres, l’auteur d’Orage d’acier en tirera un texte court et dense sobrement intitulé Notes du Caucase, inséré dans son Journal parisien.

EJ-Kaufz1855093.jpgPasser des écrits d’Ernst Jünger sur la Première Guerre mondiale à la lecture de son journal parisien, tenu entre 1940 et 1944, peut surprendre. Que reste-t-il alors de l’officier héroïque de 1918 ? Que reste-t-il de celui qui célébrait avec une dimension mystique sa plongée dans la fureur de la guerre des tranchées ?  Que reste-t-il encore de cette expérience combattante qui fit de lui un des officiers les plus décorés de l’armée allemande ? Au cours de ces 20 années, l’homme a incontestablement changé. De son Journal parisien, ce n’est plus l’ivresse du combat qui saisit mais, tout au contraire, l’atonie confortable de la douceur de vie parisienne. S’y exprime la sensibilité d’un homme qui ne semble avoir conservé du soldat que l’uniforme. La guerre y semble lointaine, étonnamment étrangère, alors que le monde s’embrase. L’homme enivré par le combat, le brave des troupes de choc a désormais disparu. L’écrivain semble traverser ce terrible conflit éloigné de toute ambition belliqueuse, porté par cet esprit contemplatif qu’il gardera jusqu’à la fin de sa vie. Celui du poète mais aussi de l’entomologiste, l’homme des « chasses subtiles » comme il appelle lui-même ses recherches d’insectes rares. Et c’est encore, non pas en soldat, mais en naturaliste qu’il semble percevoir, dans le ciel de la capitale occupée, les immersions subites et meurtrières de la guerre. Ainsi, quand il observe, une flûte de champagne à la main, les escadrilles de bombardiers britanniques, la description qu’il en fait prend davantage la forme de celle d’un vol de coléoptères que de l’intrusion soudaine d’engins de morts, prêts à lâcher leurs bombes sur la ville.

Ces occupations dilettantes, Jünger les complète par l’exercice fréquent de mondanités. L’officier multiplie les rencontres avec l’élite culturelle de la capitale. Aussi bien Drieu la Rochelle, Picasso, Jouhandeau, Gide que Céline deviennent les acteurs d’un théâtre parisien qu’il dépeint avec l’intérêt de l’esthète francophile. En revanche, ce que son journal n’évoque que de manière lapidaire et voilée est la place prise par la Wehrmacht en France dans le mouvement d’opposition à Hitler et à la SS. La capitale occupée devient au cours de la guerre un foyer d’opposition dans lequel de nombreux officiers sont liés au comte de Stauffenberg, futur auteur à l’été 1944 de la tentative d’assassinat contre le Führer. Opposé à toute forme d’attentat, Jünger souhaite cependant fermement le renversement du dictateur nazi. Son texte La Paix, dont la lecture marque profondément le général Rommel, devient l’écrit politique sur lequel s’appuient les conjurés. C’est donc officiellement pour un voyage d’étude militaire et, officieusement, pour sonder l’état d’esprit des officiers du front de l’Est qu’il quitte Paris en novembre 1942. Il doit rejoindre les troupes engagées sur les rives de la Volga, bientôt témoins de la destruction de la  VIe armée allemande du général Von Paulus.

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Vers les ténèbres

Après un épuisant voyage, il arrive à Kiev le 21 novembre 1942, capitale ukrainienne du départ de son expédition vers le front. Mais là encore, c’est en observateur passif qu’il aborde ce voyage au plus près pourtant de l’affrontement des deux titans totalitaires qui s’affrontent de Petrograd à la Mer Noire. Et c’est toujours avec ce regard naturaliste qu’il observe cette guerre. Contraint de traverser la rivière Pchich, il se voit confronté à une apocalypse wagnérienne, une vision effroyable  que le génie de Jünger retranscrit avec une saisissante beauté dans un panorama digne des infernales représentations du peintre Jérôme Bosch : « Comme des fourmis, des centaines et des milliers de porteurs, en longues files, charrient vers le front des madriers et des barbelés. En même temps, clamés par une voix surhumaine, des chants de Noël emplissent l’énorme cirque des montagnes : la propagande d’une compagnie de propagande allemande joue “Stille nacht, Heilige nacht”. Et parallèlement, sans arrêts, les lourds coups de mortiers que la montagne répercute. Tout ceci ressemble à un grand cirque enfermé en un cercle démoniaque, et qui n’admettrait dans son enceinte, hormis les couleurs mornes, que la couleur rouge. Ici il n’y a que violence et douleur qui, toutes deux, viennent s’y confondre. » Jünger s’enfonce encore un peu plus dans les ténèbres sur ces terres embrasées où se joue l’avenir du monde. Mais le contact avec le front et le froid de la Russie n’ôte toujours pas la dimension poétique à son regard. Il conserve sa capacité à saisir l’enchantement au-delà de la mort et des destructions. Face à la nature qui l’environne ou à la guerre qu’il subit, Jünger ne quitte jamais la position du contemplateur. Il n’est plus l’homme des coups de main militaires mais des coups d’œil poétiques ; l’esprit perméable à la beauté sous toutes ses formes. Comme l’écrit le critique littéraire Bruno de Césolle, il « fait sienne l’idée du philosophe allemand Johan Georg Hamann dit le “Mage du Nord”, à savoir que la contemplation, et non l’action, est à l’origine de toutes choses ». Une forme de résistance intérieure au monde moderne comme au nazisme et à la destruction, prémisse de ce « recours aux forêts » qu’il théorisera durant l’après-guerre dans son Traité du rebelle. Une nuit, alors que le fracas d’un duel d’artillerie se fait entendre, c’est la magnificence du ciel étoilé qui le bouleverse alors : « Que sommes-nous devant cette splendeur ? Qu’est donc notre éphémère tourment ? »

Les signes de l’apocalypse

Plus il s’enfonce à l’Est, plus sa vision idéalisée de la guerre s’effrite face à ce qu’il semblait déjà percevoir dès la Première Guerre mondiale. Plus encore qu’en 1914, la nouvelle forme de guerre industrielle aboutit à transformer le soldat en rouage d’une machine dans laquelle les anciennes vertus chevaleresques n’ont plus leur place. « Autrefois, écrit-il, alors que nous rampions dans les cratères de bombes, nous croyions encore que l’homme était plus fort que le matériel. Cela devait s’avérer une erreur. »  Dans son livre Le Travailleur, écrit en 1932, il prophétisait déjà l’emprise de la technique sur les hommes et le travail. Celle-ci s’étend maintenant à la guerre, soldats et travailleurs sont maintenant  devenus les enfants de la technique. L’étincelant des médailles, la beauté des uniformes, les couleurs des drapeaux et les rêves de gloire s’effacent brutalement dans ce conflit mécanique dans lequel s’enfonce la civilisation. Eléments contrastés que développera également son frère Frederich Georg dans son livre majeur : La perfection de la technique. Le soldat comme l’officier ne sont plus qu’un minuscule rouage de la superstructure.

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Sur le front de l’Est, plus qu’ailleurs, les soldats sont maintenant des pièces interchangeables à la conscience broyée qui renonceront à s’engager dans la conjuration. Il est ainsi confronté à un effondrement moral du soldat allemand dont les crimes de masse, commis sur ce front, sont le terrible symptôme. Lui qui saluait militairement les porteurs d’étoile jaune à Paris est confronté à de multiples témoignages qui font état d’exactions envers les Juifs et les populations occupées. « Ce sont là des rumeurs, que je note en tant que telles ; mais il est sûr que se commettent des meurtres sur une grande échelle » S’il avait encore un doute sur la destruction définitive de l’idéal chevaleresque, il est désormais levé. Le heaume a été remplacé par le casque d’acier. Avec l’âge industriel, le nihilisme l’a emporté : « L’homme a donc atteint ce stade que Dostoievski décrit à travers Raskolnikov. Il considère alors ses semblables comme de la vermine. » Son ami Carl Schmitt écrit dans Le Nomos de la terre une idée similaire alors que les villes allemandes s’embrasent une à une sous les vagues de bombardiers alliés : « Le bombardement aérien n’a pour sens et fin que l’anéantissement. » Alors que Stalingrad s’apprête à tomber et que son humeur s’assombrit face au futur cataclysme militaire qu’il pressent, il reçoit l’annonce de la mort de son père le 8 janvier 1943. Il quitte alors précipitamment la Russie et retourne chez lui à Heidelberg.

Malgré la brièveté de ce voyage de trois mois, il s’envole vers sa ville natale avec maintenant quelques certitudes : les officiers allemands sur le front de l’Est ne soutiendront pas la conjuration. Il a acquis aussi l’intime conviction que l’Allemagne se dirige vers une inexorable défaite, la marche funèbre du Crépuscule des Dieux résonnera à Berlin.  

Editorial EAS: Tienda

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Editorial EAS: Tienda

IMPERATOR ROMANORUM: Enrique I, Otto el Grande y el surgimiento del Primer Reich Alemán por Troy Southgate

12.95€

¿Qué acontecimientos ocurrieron en Europa tras la ruptura del Sacro Imperio Romano?

¿Qué nueva dinastía se presentó en el corazón de Europa?

¿Cómo surgió el Primer Reich Alemán?

¿Quienes fueron Enrique I y Otto el Grande?

Descripción

Sugerir que los cautivantes eventos de la Alemania del siglo X fueron complejos y tumultuosos sería un eufemismo. Luego de la muerte del emperador Carlomagno, en 814, el Sacro Imperio Romano se había roto y una sucesión completa de monarcas europeos —comenzando con Luis el Piadoso (778-840)— mostró una marcada incapacidad para cumplir con las rigurosas exigencias del legado imperial. En el momento oportuno, sin embargo, una nueva dinastía se presentó en el Reino Alemán de Sajonia y cambió para siempre el rostro de la política europea. Comenzó con Enrique el Pajarero (876-936), un rey que pasó gran parte de su reinado intentando sofocar las hordas eslavas y magiares que se levantaban en el Este, una tarea que más tarde fue completada por su hijo, Otto el Grande (912-973). Este último, un líder más formidable y ambicioso, se sobrepuso a una serie de rebeliones aristocráticas dentro de sus propias fronteras, antes de emprender una campaña exitosa en Italia, para finalmente convertirse en emperador. Como resultado de su enfoque inflexible hacia el Papado Católico y el empleo de algo de diplomacia bastante astuta en relación con el Imperio Bizantino, Otto pasó a convertirse en una de las figuras más importantes en la historia alemana. Bien organizado y empleando una amplia variedad de fuentes primarias y secundarias, este apasionado y vigorizante relato examina algunos de los más fascinantes e intrigantes aspectos de la Alemania Otoniana y es una adición valiosa dentro del campo de la historia europea medieval.

Troy Southgate

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Programación Mental: El arma oculta de las élites por Manuel Quesada y Ramón Irles

14.95€

“La característica de la gobernación moderna es que no se sabe quién gobierna de facto, lo mismo que de jure. Vemos al político, pero no a quien lo respalda y menos aún al que respalda al respaldador ni (lo que es más importante) al banquero del respaldador. Entronizado entre todos nosotros está el profeta oculto de las Finanzas, gobernando las vidas de los hombres y lanzando exorcismos en una lengua desconocida por todos.”

G.K. Chesterton

“La herramienta básica para la manipulación de la realidad es la manipulación de las palabras. Si puedes controlar el significado de las palabras, puedes controlar la gente que debe usar las palabras.”

Philip K. Dick

“Se puede ver sólo lo que se observa y se observa sólo lo que está en la mente”

Alphonse Bertillon

No puedo sino suscribir con la más fuerte de las convicciones lo que ha dejado escrito en el prólogo Felipe Botaya “El trabajo … es de una profundidad que rara vez se puede ver en un texto de estas características”.

El libro creará escuela y será un referente imprescindible para los políticos decentes de la nueva generación. El libro es sencillamente ¡GENIAL!

Antonio Hernández (Premio Accesit Universidad de Valladolid)

Descripción

Siempre he dicho y por ello valoro enormemente este libro, que las élites tienen unos conocimientos, a través de sabios y eruditos mercenarios y lacayos sobre la psique humana que no se enseña en las universidades. Llegan mucho más lejos y en silencio a campos mentales totalmente nuevos que aplican sobre nosotros.

Hoy la PNL o Programación Neuro-Lingüística aglutina lo que antes se hacía de forma casi casual y eran las técnicas de control mental o también el llamado proceso de educación mental de las personas. Es evidente que desde la antigüedad ha habido un interés de los gobernantes por controlar a sus gobernados, para dirigirlos a su antojo y tenerlos controlados. En el fondo y aquí radica el éxito de esta técnica actual, la principal consecuencia es el cambiar la personalidad natural de la persona y sus inclinaciones, hasta convertirle en la personalidad deseada por el gobernante.

El trabajo de Manuel Quesada y Ramón Irles es de una profundidad que rara vez se puede ver en un texto de estas características. Al mismo tiempo, su lectura es amena, comprensible y el lector irá viendo a medida que avanza, que lo que explican ambos escritores está a la orden del día.

Verá ejemplos muy claros de manipulación, como la población de las sociedades occidentales admite sin discutir y sin darse cuenta de la realidad que vive, encaminándose hacia la destrucción sin parangón en la historia.

Aquí no hablamos de guerras convencionales, con ejércitos bien definidos y geográficamente localizados, hablamos de la batalla por la mente humana y esa guerra la están ganando aquellos que quieren someternos y esclavizarnos.

Dr. Felipe Botaya

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Manifiesto de la Izquierda Nacional: La síntesis del siglo XXI por Laureano Luna

9.95€

En la era del capitalismo global la izquierda nacional es la izquierda a secas, la única izquierda posible.

Fco. José Fernández-Cruz Sequera

Descripción

Las clases trabajadoras de los países desarrollados asisten a un deterioro continuado de sus derechos laborales y de sus salarios reales desde los años ochenta. Se trata de un formidable ataque de las nuevas formas del capitalismo ‒el capitalismo global‒ contra las conquistas laborales de los trabajadores y el modelo social europeo.

La humanidad carece hoy por hoy de la posibilidad de construir una autoridad política mundial capaz de sobreponerse al poder del dinero. Solo los Estados nacionales y aquellas instituciones supranacionales que se apoyen en ellos tienen la posibilidad de someter el poder del dinero a los valores de la civilización y a los intereses de las clases trabajadoras. Por eso en la era del capitalismo global la izquierda nacional es la izquierda a secas, la única izquierda posible.

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El Hombre de la Tradición por Eduard Alcántara

12.95€

Sin duda son las actitudes propias del Hombre de la Tradición las que suponen el antídoto idóneo ante las dinámicas disolventes de los tiempos presentes.
 
Descripción

En un mundo que ha llegado a las más altas cotas de disolución imaginables se hace imprescindible que el hombre que quiera sobrevivir en medio de tantas ruinas sepa qué actitudes existenciales debería seguir por tal de intentar no sucumbir en medio del marasmo envilecedor, desarraigante y desgarrador al que la modernidad y la postmodenidad lo quieren arrastrar. Sin duda son las actitudes propias del Hombre de la Tradición las que suponen el antídoto idóneo ante las dinámicas disolventes de los tiempos presentes.

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Notas sobre peronismo por Alberto Buela

14.95€

La exposición de esta idea puede desarrollarse en tres secciones o partes:

La primera consiste en fijar el marco teórico donde se sitúa y qué significa la noción de Comunidad Organizada. La segunda estriba en ubicar esta idea en la obra de Perón. La tercera es una exposición sistemática de la misma.

Descripción

La Comunidad Organizada tiene dos lecturas posibles: Como sistema social a construir; y como sistema de poder.

Como sistema social; sostiene que el pueblo suelto, aislado, atomizado, no existe. Sólo existe el pueblo organizado y como tal se transforma en factor concurrente en los aparatos del estado que le son específicos a cada organización del pueblo.

Como sistema de poder, sostiene que el poder procede del pueblo que se expresa a través de sus instituciones intermedias. Ni el poder procede del gobierno, ni del Estado. Ni el pueblo delega su poder en las instituciones del Estado.

Estas dos lecturas constituyen el círculo hermenéutico que explica la idea de Comunidad Organizada. El pueblo como pueblo organizado crea un sistema social que genera un poder político real, (no virtual como la parodia democrática: “Un hombre igual a un voto”) que le permite la recreación permanente de un sistema social para el logro de la “buena vida”.

El presupuesto ideológico de la Comunidad Organizada es su populismo que consiste en:

1) considerar al pueblo como fuente principal de inspiración.

2) Término constante de referencia y…

3) depositario exclusivo de valores positivos.

Mientras que la crítica política que se desprende de la Comunidad Organizada es que las instituciones formales del Estado demo-liberal no alcanzan, no son suficientes para expresar las demandas auténticas de los pueblos.

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La guerra del fin del mundo por Francisco J. Fernández-Cruz Sequera

9.95€

El escrito de Fernández-Cruz explica el cambio en el mundo desde el siglo XVIII al XXI, de Kant a Putin.

Gustavo Morales

Descripción

El liberalismo económico se ha quedado con el poder ocultando su existencia y para ello necesita los medios de comunicación. Ya no es el carro de combate ni el soldado quienes expresan el orden, son los medios. “La globalización de la cultura y la información es un componente fundamental que subyace a todas las otras dimensiones institucionales de la globalización”.

La economía financiera ha sustituido a la real. La información pasa a ser un útil de trabajo y una mercancía. Los mercados financieros son la realidad económica dominante, el lugar donde se asigna el valor de compra. La globalización es, sobre todo, financiera.

El escrito de Fernández-Cruz explica ese cambio en el mundo desde el siglo XVIII al XXI, de Kant a Putin.

Gustavo Morales

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