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mercredi, 18 mars 2015

La montre connectée d'Apple. Et si Apple payait ses impôts?

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La montre connectée d'Apple. Et si Apple payait ses impôts?

par Jean-Paul Baquiast
Ex: http://www.europesolidaire.eu
 
Apple espère rencontrer un nouveau succès « planétaire » avec sa montre connectée, l'Apple Watch, qui sera disponible en neuf pays, dont la France, fin avril prochain.

Les versions en ont été annoncées, de même que les prix et l'autonomie. Ne nous faisons pas ici le porte parole de la firme. Disons que ces prix, selon les versions, iront de 400 à 15.000 euros, auxquels devront s'ajouter les taxes payées par l'acheteur, variables selon les pays.Quant à l'autonomie, nous y reviendrons ci-dessous.

Point à noter, comme chacun devrait le savoir dorénavant, sur les sommes ainsi perçues, Appel, du fait de la non-harmonisation des réglementations fiscales de par le monde, ne paiera que des montants d'impôts ridicules. Grâce à cette évasion fiscale, il a pu annoncer en 2014 un bénéfice annuel de 39, 5 milliards de dollars de bénéfice. Ce chiffre est à comparer aux 3 milliards d'euros nécessaires cette année à la France pour s'acquitter de ses obligations à l'égard de Bruxelles, à comparer aussi aux 30 milliards demandés à la Grèce.

Foire mondiale aux esbrouffes

On dira que ce bénéfice record est principalement du à l'engouement des acheteurs pour l'i-phone. Mais il y a tout lieu de penser que ledit engouement résulte en grande partie des habiles campagnes de communication d'Apple. Le moindre utilisateur un peu averti connaît au moins une demi-douzaine d'appareils moins chers rendant des services équivalents. Il y a tout lieu de penser que de la même façon, malgré la crise, un grand nombre d'acheteurs vont se précipiter sur l'Apple Watch, sans se demander un instant si le prix payé correspond à un service véritablement utile, et que des montres banales ne rendraient pas.

Certes, disent les responsables du marketing d'Apple, la Watch donne l'heure à travers des cadrans numériques personnalisables. Elle permet d'envoyer des messages, de lire ses courriels, de prendre des appels téléphoniques. Mais le tout se fait par une liaison sans fil avec un smartphone qui doit nécessairement être un iPhone. De même la montre permet un suivi d'activité grâce à un détecteur de rythme cardiaque, un accéléromètre et la synchronisation avec le GPS du smartphone.

Il s'agit de fonctionnalités sur l'utilité desquels l'honnête travailleur ayant peu de temps à consacrer au suivi des paramètres de sa petite personne devrait s'interroger. De plus, elles sont proposées par diverses montres connectées déjà sur le marché, à des prix moindres. Mais Apple ne vise pas nécessairement le seul honnête travailleur acheteur du modèle à 400 euros, il vise à attirer ceux, sans doute moins honnêtes, qui considèrent avoir manqué leur vie si à 50 ans ils ne possèdent pas une Rollex. Le modèle dit haut de gamme sera doté d'un boîtier en or 18 carats. Où et à quels prix, demandons-nous en passant, Apple achètera-t-il l'or nécessaire?

Donner l'heure

Concernant cependant la fonction attendue d'une montre, c'est-à-dire donner l'heure et éventuellement la date, ce que fait le moindre produit à 50 euros doté d'une pile ne nécessitant d'être changée que tous les deux ans, l'Apple Watch bat tous les records de ridicule. Son autonomie est d'environ 18 heures. Comme quoi l'utilisateur devra transporter avec lui non seulement sa montre mais un dispositif de recharge, aussi laid qu'encombrant. Certes, Apple fait valoir que de nombreuses start-up(s) développeront des applications plus utiles les unes que les autres permettant de justifier l'achat de la montre. Mais combien d'entre elles intéresseront le public? Il suffit de voir les invendus, si l'on peut dire, encombrant déjà l'Apple Store, pour en avoir une petite idée.

La plupart des clients qui font vivre les sociétés de consommation auxquelles nous appartenons ne se demanderont pas pourquoi ces mêmes sociétés reposent, au niveau mondial, sur le pouvoir que se sont attribué les 5% d'individus et organismes qui détiennent l'essentiel des richesses du monde. N'est-ce pas en partie du fait de leurs comportements moutonniers sinon serviles à l'égard de ces hiérarchies dominantes et des « valeurs » qu'elles défendent?

Sans aborder ce vaste problème ici, bornons-nous à dire que pour notre part nous n'avons pas l'intention d'acheter la moindre Apple Watch, comme nous n'avions pas l'intention d'acheter la moindre Google Glass.

L'Appel Watch et la santé

Pour être honnête, il faut admettre que Apple, en même temps que l'Apple Watch, a lancé ResearchKit, un logiciel qui actuellement opère sur l'iPhone et pourra utiliser les données recueillies par la Watch. Ceci permettra aux porteurs de la montre de participer via des applications adéquates à des études portant initialement sur les fréquences cardiaques, les effets de l'exercice physique et du repos ou ceux du stress.

D'autres données permettront par exemple de géolocaliser les différents profils de santé, afin d'en tirer des indicateurs portant sur les besoins et les ressources destinés aux responsables des politiques de santé (ou aux entreprises faisant métier de vendre des produits et activités de santé). Apple s'engage à confidentialiser les données individuelles recueillies, afin notamment de ne pas diffuser des éléments intéressant des personnes identifiables.

D'ores et déjà Apple a mis en place un réseau permettant aux centaines de millions d'utilisateurs de ses produits actuels d'alimenter en données personnelles des instituts de recherche répartis dans le monde, de l'Université d'Oxford à l'hôpital Xuanwu de Pékin. Les sujets de recherche sont la maladie de Parkinson, le diabète, l'asthme, les cancers du sein et diverses maladies cardiaques. On conçoit que la transmission quasi automatiques de ces données de santé aux instituts de recherche est bien plus efficace et moins coûteuses que les méthodes traditionnelles d'enquête.

Dans un domaine différent, le système dit Apple Pay permettra aux porteurs d'iPhone, et sans doute aussi d' Apple Watch, d'accomplir où qu'ils se trouvent des opérations de paiement. Tout ceci est bel et bon, mais il faut se rendre compte qu'Apple, comme d'autres multinationales américaines analogues, sont en train d'organiser un monde numérique global où les individus n'auront pas plus d'indépendance que n'en ont les cellules individuelles de notre corps. Un monde également dont leurs responsables sont seuls à définir les spécifications.

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vendredi, 14 novembre 2014

Pourquoi Steve Jobs et Cie ont gardé leurs enfants éloignés des nouvelles technologies

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Pourquoi Steve Jobs et Cie ont gardé leurs enfants éloignés des nouvelles technologies

 

 

 

 

« Le défunt Steve Jobs a admis à l’époque que ses enfants n’avaient jamais utilisé un iPad, un des grands succès d’Apple », explique Nick Bilton. Jobs faisait également remarquer aussi que l’utilisation de la technologie était particulièrement limitée dans sa maison.

Plus tard, il est apparu que Jobs n’était pas une exception. Dans la famille de Evan Williams, un des fondateurs de Twitter, les enfants n’ont pas non plus de tablettes et en outre, la lecture de livres imprimés est encouragée. Chris Anderson, ancien rédacteur en chef du magazine de technologie Wired, a même admis qu’il ne tolérait pas d’écran d’ordinateur dans la chambre de ses enfants.

« Nous avons constaté en premier les dangers de cette technologie et je ne veux pas que mes enfants puissent être confrontés à ces problèmes », a affirmé Anderson pour justifier ces restrictions.

Bilton dit avoir constaté que la plupart des pionniers de la technologie limitent l’utilisation de gadgets comme les tablettes ou les smartphones par leurs enfants à 30 minutes par jour pendant la semaine, alors que d’autres ne tolèrent l’usage de la technologie que pendant le week-end.

A partir de l’âge de dix ans, les enfants de ces pionniers peuvent, selon le journaliste, utiliser pour la plupart un ordinateur, mais uniquement pour leurs travaux scolaires.

Hannah Rosin, journaliste auprès de The Atlantic, a constaté un phénomène similaire chez les concepteurs d’applications pour enfants. « Là aussi, il a semblé que le divertissement numérique est tabou pendant la semaine », dit-elle.

Les restrictions par rapport à la technologie se reflètent aussi souvent selon les observateurs dans le choix des écoles que les entrepreneurs de Silicon Valley réservent à leurs enfants.

Beaucoup de cadres d’entreprises de Google, Yahoo, Apple et eBay semblent en effet avoir inscrit leurs enfants à la Waldorf School dont la philosophie ne laisse aucune place à la technologie qui selon la direction, représente une menace pour la créativité, le comportement social et la concentration des élèves.

Les dirigeants de la Silicon Valley transforment le monde en un environnement totalement technologique, mais se montrent comme parents particulièrement réticents à l’égard de ces applications innovantes, écrit Nick Bilton, journaliste spécialiste de la technologie auprès du journal américain The New York Times. Bilton a en effet constaté que l’élite de la Silicon Valley contrôle de manière stricte l’utilisation de la technologie par leurs enfants.

Express.be

samedi, 20 septembre 2014

Hoffmann e Jünger: La natura perturbante della tecnologia

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Hoffmann e Jünger: La natura perturbante della tecnologia

di Marco Zonetti
Fonte: Arianna Editrice [scheda fonte]  

Leggendo il racconto “L’Uomo della Sabbia” di Ernst Theodor Hoffmann e il breve romanzo distopico “Le api di vetro” di Ernst Jünger, potremmo scoprire che i due autori non condividono soltanto il nome di battesimo e la nazionalità, bensì una peculiare e chiaroveggente diffidenza nei confronti della tecnologia, o perlomeno del suo potere manipolatore e disumanizzante.

Nel racconto di Hoffmann, scritto nel 1815, il giovane Nathanael è ossessionato dalla figura di un uomo misterioso, Coppelius, che fin dall’infanzia egli apparenta iconograficamente all’Uomo della Sabbia (o Mago Sabbiolino), una sorta di uomo nero delle tradizioni popolari che getta la sabbia negli occhi dei bambini, strappandoli e portandoli nel suo rifugio sulla “falce di luna” per darli da mangiare ai suoi “piccolini dai becchi ricurvi”.

Coppelius viene introdotto nel racconto in veste di vecchio avvocato amico del padre di Nathanael, per poi rivelarsi una specie di folle scienziato/alchimista nonché complice di un fabbricante di automi italiano, Lazzaro Spalanzani, che si spaccia per un innocuo professore di Fisica. Nathanael conosce la figlia di quest’ultimo, Olimpia, in realtà un automa costruito da Spalanzani con l’aiuto di Coppelius, e se ne innamora perdutamente finendo in un vortice di follia. Dopo una breve parentesi di serenità, accudito dalle amorevoli cure della fidanzata Clara e dell’amico Lothar, che rappresentano il focolare domestico e gli affetti sinceri non contaminati dall’unheimlich costituito dalle “diavolerie” della tecnica incarnate invece da Coppelius e Spalanzani, Nathanael sembrerà aver ritrovato brevemente la ragione, salvo poi risprofondare nelle antiche ossessioni – ridestate da un cannocchiale fabbricato da Coppelius – che lo condurranno al suicidio.

Lo stesso approccio alla scienza e alla tecnologia viste come “perturbanti” traspare dal breve romanzo di Ernst Jünger, “Le api di vetro” del 1957. Api di vetro, ovvero minuscoli automi intelligenti che popolano i giardini dell’industriale Zapparoni (un altro italiano) ove il protagonista Richard – reduce di guerra e di un mondo semplice fatto di tradizioni d’onore e di valori ormai perduti – è capitato in cerca di un impiego. Nei giardini di Zapparoni, arricchitosi grazie all'ideazione e costruzione di macchine tecnologicamente avanzate che dominano ormai il mondo, Richard osserva la “spaventosa simmetria”, per citare William Blake, delle api di vetro e della loro fisiologia ipertecnologica che, lungi dal migliorare o perfezionare la natura (imperfettibile in sé come fa notare Jünger in molte sue opere, ricordandoci che più la tecnologia progredisce più l’umanità subisce un’involuzione e viceversa), la impoveriscono, devastandola in ultima analisi – i fiori toccati dalle “api di vetro” sono infatti destinati a perire poiché deprivati dell’impollinazione incrociata..

Seppur concepite in due epoche diverse, Olimpia e le api di vetro rappresentano l’elemento perturbante di un mondo ossessionato dalla scienza, e in corsa dissennata verso un futuro ultratecnologico in cui uomini e macchine divengono intercambiabili sempre più a discapito dei primi. In cui la poesia dell’ideale romantico e dell’amore sincero, come quello di Nathanael per Clara, viene guastato dall’ossessione per la fredda e innaturale Olimpia, meccanismo perfetto ma inumano come quello degli “automi di Neuchatel” che devono aver ispirato Hoffmann per la sua protagonista. In cui uomini e animali vengono via via sostituiti distopicamente dalle macchine e dagli automi, e dove la stessa nascita, lo stesso atto d’amore che porta al concepimento dell’essere umano viene sostituito da un alambicco, da una provetta, da una miscela in laboratorio, in una sorta di “catena di montaggio” della riproduzione, di “fordismo” applicato alle nascite come nel “brave new world” di Aldous Huxley, “eccellente mondo nuovo” in cui sia Olimpia sia le api di vetro sarebbero cittadini onorari e abitanti privilegiati.

arman110.jpgAltra peculiare affinità fra le due opere è quella data dalla ricorrenza dell’elemento degli “occhi” e del “vetro”. Nel racconto di Hoffmann, troviamo per esempio il leitmotiv dei cannocchiali (“occhi” fatti di vetro come le api) costruiti dal solito Coppelius nelle vesti dell’italiano Coppola. Cannocchiali che ci riportano immediatamente a Galileo Galilei, sommo esponente dell’ambizione scientifica dell’uomo, ambizione che nel racconto di Hoffmann è tuttavia distorta dagli ambigui scopi di Coppelius, intenzionato a deprivare Nathanael degli occhi, per renderlo un cieco automa come la stessa Olimpia. Paradossalmente, anziché donargli una visione amplificata della realtà rendendolo più “lungimirante”, il cannocchiale che Nathanael acquista da Coppelius lo fa sprofondare in una follia primordiale che non riconosce affetti, amore, amicizia, né tantomeno connotati umani, portandolo infine all’annullamento di sé, ovvero al suicidio.

Come lo stesso Richard protagonista de “Le api di vetro”, Nathanael perde a poco a poco la propria umanità e l’attaccamento alle proprie tradizioni e ai propri valori, travolto dalla tecnologia malvagia di due esseri votati alla creazione di marionette e pagliacci destinati a divertire le folle, fenomeni da baraccone come Olimpia, o come gli automi di Zapparoni finiti a sostituire gli attori in carne e ossa nei film, quali li descrive Jünger nel suo romanzo.

Per tornare al tema degli occhi, il protagonista de “Le api di vetro” capirà a poco a poco che, per l’incarico che intende assumere, occorrono occhi disumanizzati, asettici, (occhi di vetro?) che devono vedere senza guardare, senza discernere, così da passar sopra alle atrocità perpetrate nel giardino (e nella società) degli orrori tecnologici di Zapparoni. Per poter sopravvivere nel mondo ipertecnicizzato e inumano insediatosi grazie alla perdita dei valori e della tradizione, Richard si renderà dunque conto che è necessario lasciarsi cavare metaforicamente gli occhi dall’Uomo della Sabbia rappresentato dall’ambizione e della protervia dell’uomo.

Con le derive della tecnologia, con il sacrificio dell’etica sull’altare della Hýbris, con la corsa dissennata a voler piegare la natura al nostro volere, sembrano quindi preconizzarci Hoffmann e Jünger, l’essere umano diventa simulacro di se stesso, automa (fintamente) perfetto, “ape di vetro” senz’anima, senza cuore, senza sesso. Transgender e ultragender costruito in serie come una marionetta, al punto che – nella nostra realtà più vicina – i genitori risultano tanto spersonalizzati da abdicare perfino al nome di padre e di madre per diventare “genitore 1” e “genitore 2”, espressioni che tanto piacerebbero all’ambiguo Zapparoni – che deve il suo successo al tramonto dell’etica e della tradizione – ma anche all’infido Coppelius, sorta di “tormento del capofamiglia” kafkiano, non meno inquietante del “rocchetto di filo” Odradek, protagonista del celebre racconto dello scrittore praghese. Ma soprattutto al mostruoso Uomo della Sabbia che, dal suo antro nella “falce di Luna”, non potrebbe che compiacersi oltremodo della nostra cieca ambizione, che ci impedisce di vedere la realtà distopica nella quale, superbi e protervi, ci stiamo gettando a capofitto inseguendo le derive della tecnologia e dell’ingegneria genetica.

La Hýbris demiurgica della tecnica rappresentata da Coppelius e Zapparoni, ovvero l’aspirazione a replicare la potenza creatrice divina, racchiude necessariamente l’annullamento di sé e dell’umanità, per questo il Nathanael di Hoffmann non può che suicidarsi e il Richard di Jünger tradire i propri princìpi per assoggettarsi al nuovo status quo e al nuovo regime di spersonalizzazione dell’uomo.

Privi degli occhi dell’etica, dei valori e del sacro rispetto della natura, accecati dalla nostra arroganza, siamo solo bambini sprovveduti destinati a diventare cibo della progenie di occulti “uomini della sabbia” o schiavi di scaltri e spietati “Zapparoni”.


Tante altre notizie su www.ariannaeditrice.it

dimanche, 06 avril 2014

Découverte d’une backdoor (porte dérobée) dans les téléphones de Samsung

Découverte d’une backdoor (porte dérobée) dans les téléphones de Samsung

Ex: http://zejournal.mobi

Les développeurs de Replicant, un projet qui consiste à développer une version d’Android totalement libre, viennent de découvrir une backdoor (porte dérobée) dans la gamme des Samsung Galaxy.

Sur le blog de la Free Software Foundation (FSF), Paul Kocialkowski de chez Replicant explique que cette backdoor se situe sur la puce baseband (qui fait office de modem et qui est une technologie fermée / propriétaire) et que celle-ci peut envoyer des ordres à l’OS et au processeur principal pour écrire et lire directement sur le système de fichier depuis un accès extérieur.

D’une manière générale, vu qu’on ne sait pas exactement ce qu’il y a dans les puces de baseband, on peut tout imaginer. Elles sont d’ailleurs connues pour autoriser la géolocalisation ou l’utilisation de la caméra à l’insu du propriétaire du téléphone. Ces puces sont un cauchemar pour ceux qui souhaitent protéger leur vie privée.

Replicant a donc débusqué une backdoor dans les téléphones Samsung Galaxy et la FSF demande à ce que les clients de Samsung se mobilisent pour protester contre ces pratiques

Attention, il ne s’agit pas d’une faille involontaire mais bien d’une fonctionnalité implémentée par le fabricant de ces puces. Que Samsung soit au courant ou non de cette « fonctionnalité » est une autre histoire.

Les services de renseignements (NSA and co) ainsi que des hackers informés de cette faille pourraient donc accéder aux photos, documents, fichiers de paramètres (mots de passe and co) mais aussi balancer des malwares ou tout autre fichier sur n’importe quel téléphone.

Alors comment se protéger ? Et bien c’est difficile. Il faudrait en réalité acheter des téléphones dont le code du baseband est ouvert mais ils sont très peu nombreux. Par exemple un projet de baseband ouvert assez connu est celui d’Osmocom.

L’autre solution, c’est à dire celle choisie par Replicant, est d’interdire à l’OS de tenir compte des messages envoyés par la puce Baseband et de lui barrer l’accès au système de fichiers. Malheureusement, c’est une bien maigre protection puisque cette puce pourrait tout à fait forcer le processeur principal à contourner ce blocage.

En tout cas, bravo à Replicant qui a découvert cette backdoor dans les produits Samsung. Je suppose qu’il en reste beaucoup d’autres à trouver dans tous les téléphones du marché mais au moins, pour celle-ci, on est officiellement au courant.


- Source : Korben

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jeudi, 13 février 2014

L'IMPRIMANTE 3 D

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L'IMPRIMANTE 3 D
 
La Révolution du travail arrive...

Michel Lhomme
Ex: http://metamag.fr

Il n'y aura plus jamais de plein emploi. Faire croire le contraire et se focaliser sur les courbes du chômage est suicidaire. Mais il y a pire, l'obsolescence technologique, le retard dans les investissements et la ringardise de la formation professionnelle risquent de faire payer encore plus cher aux entreprises françaises la nouvelle révolution technologique en cours. 


Ce qui frappe le plus dans la crise de l'emploi et de l'éducation présente, ce n'est pas le débat sur la théorie du genre mais la résistance de l'institution à repenser son modèle jésuitique inadapté, à mettre à la poubelle tous ses programmes obsolètes face aux nouveaux élèves digitaux. Du coup, elle refourgue son incompétence et son inadaptation aux marchés juteux et quasi mafieux des formations privées. Le monde de l'entreprise n'est guère mieux loti dans les planifications à programmer. On se souvient de la faillite de Kodak qui, pour avoir sous-estimé la photographie numérique sombra corps et âme avec ses vieilles bobines de pellicules. Le développement de nouvelles classes moyennes dans les pays émergents et la recherche de produits à bas prix ont concentré la production industrielle dans les pays asiatiques. Pour combien de temps ?


Une nouvelle technologie somme toute assez simple est en train discrètement de changer toute la donne économique. Il s'agit de l'imprimante 3 D, capable de produire en résine résistante des matériaux en volume. Au fur et à mesure que cette technologie s'étendra, les processus de production et toute la logistique commerciale se trouveront modifiés. Le premier grand changement, c'est que la production se rapprochera au plus près de son point de consommation. Dans certains cas, il suffira même de payer simplement la matière première et le service d'impression pour obtenir son produit tandis que le software qu'on aura utilisé pour le dessiner sera disponible et téléchargeable sur Internet. Si, avec l'imprimante 3D, le coût de production par unité sera en théorie plus élevé que celui d'une production à grande échelle, le coût final tendra à se niveler en raison des économies obtenues dans les coûts de distribution, de stockage et de financement.


Autre grand chambardement de l'expansion de la technologie de l'imprimante 3D, les produits seront singularisés, individualisés, personnalisés en fonction du goût particulier du client. L'ère de l'individualisme marchand sera aussi l'ère de la production individuelle et de la commande-distribution sur mesure. Dans le vieux monde de l'ère industrielle en voie de disparition, on utilise encore de vieux moules très couteux qui tous, demain disparaîtront. L'imprimante 3D est bien une nouvelle révolution industrielle qui doit amener les entreprises à repenser leurs stratégies pour répondre aux nouveaux défis de cette nouvelle technologie.

Le développement de l'imprimante 3D va enfin avoir un impact géopolitique certain qu'il ne faut pas sous-estimer. Il impactera très fortement l'économie chinoise transformée ces dernières années en ''atelier du monde''. Certes, la Chine a développé un gigantesque marché interne qui lui aussi recherchera des produits personnalisés à partir de la technologie 3D mais il y aura un laps de temps d'adaptation à la nouvelle production qui affectera durement l'économie chinoise. Il faudra tenir compte de cette nouveauté dans ses répercutions géopolitiques. L'Asie n'a plus vocation à être le centre du monde. 


A côté d'un modèle de production-distribution hautement flexible à faible échelle, le modèle de production centralisé classique à grande échelle perdurera mais il devrait à long terme réellement disparaître. L'urbanisme concentrationnaire chinois autour des grosses fabriques devrait être du coup révisé car la technologie 3D suscite des postes de travail à proximité des centres de consommation et permet d'envisager l'extension d'un habitat plus diversifié et moins concentré. Il débloque l'opposition de la vieille industrie ou de la vielle ville entre centre et périphérie.


Ainsi, le cas de l'imprimante 3D est emblématique de comment un simple changement technologique quasi anodin, encore perçu comme secondaire peut générer une importante modification en temps réel de la production, de la distribution, du travail et en quelque sorte de toute l'économie. La séparation production/distribution sera demain dépassée, tout le marché rénové et transformé. Penser un tel changement, l'anticiper, le programmer, le planifier, voilà une vraie politique de restructuration industrielle, de réforme éducative bien loin des ABCD de l'égalité homme/femme qui ne poserait même pas problème dans un futur schéma de production industrielle hautement singularisé.    

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dimanche, 09 février 2014

Du sixième sens à l'ordinateur organique

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DU SIXIEME SENS A L'ORDINATEUR ORGANIQUE
 
Au-delà de Big Brother
 
Michel Lhomme
Ex: http://metamag.fr

L'armée et les services secrets américains utilisent des rats que l'on appelle dans le milieu militaire US, les rats DARPA ou plus communément "rat-bot" du nom d'une agence qui dépend du Ministère de la défense américain et de son programme intitulé précisément ''rat-bot''. Ce programme vise à guider un rat à distance en lui envoyant des impulsions électriques indolores dans le cerveau. Il a été pour le Pentagone ou la NSA plus que concluant. On n'arrête pas, en fait, d'expérimenter sur les rats pour préparer le trans-humain.


Des chercheurs américains sont parvenus, par exemple, à mettre au point un implant cérébral sur des rats qui leurs donne la capacité de percevoir la lumière infrarouge que leurs yeux ne peuvent pas distinguer. Or, qui n'a pas rêvé au moins une fois dans sa vie d'avoir un sixième sens et surtout de disposer de facultés supérieures à la normale, comme celles de tout voir et de tout entendre ? Cette possibilité, le fantasme privé du Big Brother, on vient aujourd'hui d'en franchir un bon pas avec la prouesse réalisée par des chercheurs de l'université Duke aux Etats-Unis. Rapportés dans la revue Nature Communication, ces travaux sont les premiers à aboutir sur un dispositif capable de donner un nouveau sens à un animal. L'implant en question est une neuroprothèse composée d'un détecteur infrarouge relié à des microélectrodes, elles-mêmes connectées à une région du cortex liée au toucher. C'est notamment cette dernière région cérébrale qui reçoit des informations provenant des vibrisses, les fameuses moustaches ultrasensibles des rats. Pour tester leur dispositif, les chercheurs ont procédé en plusieurs étapes. Dans un premier temps, ils ont entrainé des rats exposés à trois diodes à se diriger vers celle qui s'allumait afin de pousser un levier leur permettant d'obtenir quelques gouttes d'eau. Puis, ils ont équipé les rongeurs de la neuroprothèse et ont recommencé l'expérience avec trois lumières infrarouges. Les premiers jours, les sujets ne se sont pas toujours dirigés vers la bonne direction, celle de la lumière. Toutefois, les chercheurs ont constaté qu'après avoir appuyé sur l'interrupteur, les rats se mettaient à se frotter les moustaches, suggérant ainsi qu'ils "sentaient" bien la lumière infrarouge, comme s'ils la touchaient. Il a alors fallu seulement un mois pour confirmer complètement l'efficacité du dispositif. Passé ce délai, les rats avaient pleinement associé la nouvelle sensation avec les sources de lumière et étaient capables de trouver dans 100% des cas, laquelle des lumières étaient allumées. Les rats qui ne possédaient pas le dispositif, eux, ne parvenaient pas, la plupart du temps, à trouver la bonne. La démonstration ne s'arrête pas là puisqu'elle a également permis de faire une découverte d'importance.


En effet, cette étude démontre qu'une région cérébrale et des neurones, impliqués dans un sens précis peuvent aussi interpréter d'autres types d'informations sensorielles. « Les nerfs ont répondu en même temps au toucher et à la lumière infrarouge. Ceci montre que le cerveau humain peut acquérir de nouvelles capacités qui n'ont jamais été expérimentées sur l'animal avant cela », a ajouté le scientifique. En théorie, une personne aveugle pour cause de dommage au niveau du cortex visuel pourrait recouvrer la vue en utilisant un implant sur une autre partie de son cerveau. Tout comme pourrait le faire une personne devenue sourde en raison de dommages au niveau du cortex auditif. « Ceci suggère que, dans le futur, il serait possible d'utiliser des dispositifs de type prothèses pour restaurer des modalités sensorielles qui ont été perdues, telles que la vision, en utilisant une partie cérébrale différente », a confirmé le Dr Nicolelis cité par le Telegraph. En somme, cette recherche ouvre la voie à la possibilité d'améliorer ou d'exacerber les capacités dont disposent déjà les animaux y compris l'être humain. « Cela pourrait être de détecter des rayons X, des ondes radio, ou n’importe quoi d’autres », a précisé le scientifique. Déjà, on a réussi à mettre au point un œil bionique capable de restaurer une partie de la vision à des aveugles. Nous entrons donc bien dans l'ère des NBIC (Nanotechnologie-Biotechnologie-Informatique et sciences Cognitives) sans réellement en mesurer toutes les conséquences perceptives car si l'on parvient à exacerber un sens, le sujet pourra-t-il vraiment contrôler cette "amélioration" ? Le sixième sens ne sera-t-il pas vécu comme une hypersensibilité pour le sujet ? Aujourd'hui, les rayons infrarouges ne nous gênent pas car nous ne les percevons pas, mais si demain nous les percevions, cela ne risquerait-il pas d'altérer notre vision du monde ? Il pourrait, en effet être très désagréable de percevoir ce qu'on ne perçoit pas en temps normal et de forcer en quelque sorte la nature des choses.


Du rêve télépathique à l'ordinateur organique 


Cette inquiétude légitime ne va-t-elle pas pourtant passer dans les oubliettes de la science avec la connexion intercontinentale envisageable du cerveau de deux souris (via des implantes et des câbles) et la possibilité ainsi de concevoir demain un super ordinateur organique.


En effet, dans le genre transhumain, il y aura plus que le sixième sens. Toujours à la Duke University, les scientifiques de l'équipe Nicolelis s'étaient distingués l'année dernière en réalisant la première interface cerveau-cerveau. Ils avaient réussi à connecter les cerveaux de deux rats, séparés de 5 000 km, par voie électronique, puis à transférer une information motrice ou tactile de l’un à l’autre pour guider l’accomplissement d’une tâche simple. Dans cette expérience, les chercheurs avaient utilisé des rats « encodeurs » et « décodeurs ». Les rats encodeurs étaient entraînés à répondre à un signal visuel ou tactile, en appuyant sur la touche correspondante, pour obtenir une récompense. Les chercheurs enregistraient ensuite l'activité cérébrale de ces rats encodeurs à l'aide d'un réseau de microélectrodes implantées dans leur cerveau. Ils transmettaient alors ces informations, sous forme de micro stimulations intra corticales (MSIC), aux aires corticales correspondantes chez le rat décodeur. Le rat décodeur, ainsi "informé" des actions visuelles ou tactiles de son congénère encodeur, devait reproduire les mêmes actions en choisissant d'actionner différentes touches, ce qu'il fit avec un excellent taux de réussite. « Par ces expériences, nous avons pu établir un lien de communication direct d'un nouveau type entre des cerveaux et montrer la validité du concept d'"ordinateur organique"», souligne le Professeur Nicolelis qui ajoutait aussitôt : « La prochaine étape de nos recherches sera d'essayer de construire un vaste réseau de cerveaux qui pourrait permettre l'émergence de propriétés et capacités nouvelles ». 

L'ordinateur quantique serait-il déjà mort né et  remplacé par l'ordinateur organique ?

lundi, 14 octobre 2013

GPS in smartphones voorloper van geïmplanteerde chip

GPS in smartphones voorloper van geïmplanteerde chip


Het is nog maar kort geleden dat de meeste mensen niets moesten weten van het idee om hun huisdier te 'chippen', zodat het overal en altijd kan worden teruggevonden. Anno 2013 wordt dat niet alleen steeds normaler gevonden, maar zijn we ook begonnen met het chippen van vee, wilde dieren, en zelfs bijen en vissen. Zo wordt de samenleving stap voor stap voorbereid om -mogelijk veel eerder dan de meesten van ons nu voor mogelijk houden- te accepteren dat ook mensen zo'n geïmplanteerde microchip zullen moeten krijgen.

In Europa zou het chippen van vissen al tot de arrestatie van stropers hebben geleid. Dit betekent dat de technologie inmiddels al zover is, dat de minuscule chips op grote afstand kunnen worden gelokaliseerd, gescand en gevolgd, mogelijk ook door satellieten. De door sommigen belachelijk gemaakte, maar door andere gevreesde totale controlemaatschappij, de 'Nieuwe Wereld Orde', is daarom geen sciencefiction meer, maar kan op ieder gewenst moment worden ingevoerd.

GPS in smartphone voorloper

Biochips kunnen vanaf iedere plek ter wereld persoonlijke gegevens versturen en opdrachten ontvangen. Iedere moderne smartphone bezit een GPS chip waarmee uw gangen en stappen voortdurend kunnen worden gevolgd, óók als u uw toestel uitschakelt. Iedere keer als u een foto uploadt, wordt daar automatisch de exacte tijd en precieze locatie aan verbonden, zodat u geheel 'vrijwillig' laat weten waar u op een zekere dag was en wat u op dat moment deed.

Hoewel weinigen het zo zullen ervaren, is de GPS-chip in uw smartphone feitelijk de voorloper van een chip die in uw lichaam kan worden geïmplanteerd. Immers, de meeste mensen nemen hun smartphone overal mee naar toe, en laten hierdoor -bewust of onbewust- weten waar ze zijn en wat ze doen. Voor velen zal de stap naar een door een toekomstige wereldregering verplichte geïmplanteerde chip dan ook niet groot zijn.

'Technologie voor chippen mensen eenvoudig'

Hoewel alle producenten van chips voor dieren ontkennen dat ze overwegen deze technologie ook bij mensen te gaan gebruiken, schreef Tim Willard, hoofdredacteur van het blad Futurists van de World Future Society, dat de beschikbare technologie voor een menselijke microchip 'behoorlijk ongecompliceerd en nauwelijks ingewikkeld is, en voor tal van menselijke toepassingen gebruikt kan worden... Het is denkbaar dat mensen al bij geboorte een nummer krijgen toegewezen, dat je hele leven bij je blijft.'

De meest logische plek voor zo'n implanteerbare chip is volgens hem 'de bovenkant van de rechter- of linkerhand... zodat het eenvoudig in winkels te scannen is... Het kan gebruikt worden als een universele ID-kaart die alle betaalpasjes, paspoorten en dergelijke vervangt. Bij de kassa in de supermarkt haal je simpel je hand over een scanner, en het bedrag wordt automatisch van je rekening afgeboekt.'

De chip kan ook worden gebruikt voor medische doeleinden, bijvoorbeeld voor de opslag van het elektronische patiëntendossier. Als je een ongeluk krijgt, hoeven de hulpverleners enkel je hand te scannen om al je medische gegevens op te vragen. Dat zou met name een groot voordeel zijn als het slachtoffer bewusteloos is.

Met één chip toegang tot... alles

Een volgende logische stap is de chip te gebruiken voor toegang tot je huis, je auto, je computer, et cetera. Inbraak, diefstal, misbruik en fraude zal hierdoor een stuk lastiger, zo niet onmogelijk zijn. Het is dan niet moeilijk voor te stellen dat veel mensen juist vanwege deze 'veiligheids'redenen graag zo'n microchip zullen accepteren. Of zo'n chip het leven inderdaad veiliger maakt, is echter de vraag. Criminelen en hackers zijn er tot nu toe in geslaagd om zelfs de best beveiligde systemen te kraken.

De nieuwste lichting biochips zijn gedeeltelijk gemaakt van levende proteïnen. Willard schreef dat zo'n chip in de hersenen kan worden geïmplanteerd, waardoor 'je een ongelimiteerde hoeveelheid informatie in het brein kan uploaden, zonder dat je ooit een boek hoeft open te doen.' Gehandicapten kunnen nu al een hersenchip krijgen, waarmee ze weer gevoel krijgen in hun beschadigde lichaamsdelen of ledematen, en deze zelfs kunnen besturen. Ook doof- en blindheid zouden op deze wijze kunnen worden aangepakt.

Alles kwijt door fout in centraal systeem

De risico's dat al onze persoonlijke informatie die in grote databases wordt opgeslagen door de overheid of door andere partijen wordt misbruikt, is levensgroot. Bovendien is niet één systeem 100% foutloos. Wat gebeurt er bijvoorbeeld als uw chip door een computerfout niet meer werkt, en hierdoor uw bankrekening is verdwenen, en u ook geen toegang meer krijgt tot uw eigen huis, auto of computer? Hoe kunt u dit oplossen, wetende dat de verantwoordelijken bij de overheid met wetten beschermd zijn tegen iedere vorm van aansprakelijkheid?

Willard schreef dat zo'n zeer gecentraliseerd systeem het beste werkt als iedereen met behulp van een geïmplanteerde chip en één algemeen identificatienummer toegang krijgt tot werkelijk alles. 'Mensen hebben de neiging idealistisch te zijn over hun onafhankelijkheid en privacy, maar de realiteit is dat de meeste informatie over uw onderwijs, kredietgeschiedenis, of wat dan ook, eenvoudig beschikbaar is voor iedereen die ernaar vraagt,' vervolgde hij.

NWO-systeem bestaat en wacht op laatste stap

Robert Mittmann van het Institute for the Future, een nonprofit onderzoeksinstelling in Californië, vergelijkt de microchip met de verplichte tatoeages die gevangenen kregen in de concentratiekampen van de Nazi's. Volgens hem zijn er betere methoden dan het 'schenden van de integriteit van iemands huid... Mensen zouden er sommige burgerrechten voor moeten opgeven.'

De vraag is dus niet langer óf het Nieuwe Wereld Orde systeem al bestaat, maar wanneer de laatste stap -het eerst vrijwillig, en daarna verplicht implanteren van mensen- wordt genomen. Veel christenen vrezen dat zo'n verplichte chip het in de Bijbel voorzegde 'Teken van het Beest', de 'Antichrist' (666) is.

Mensen straks in de rij voor de chip?

Of deze uitleg aangaande de komst van het laatste, satanische wereldrijk inderdaad de juiste is, moet nog blijken. Eén ding is echter zeker: de technologie om een op geïmplanteerde microchips gebaseerd wereldwijd controlesysteem in te voeren, is volledig beschikbaar. Het enige wat nog ontbreekt is het 'juiste' moment, wat mogelijk doelbewust zal worden gecreëerd door een geplande wereldwijde financiële en economische instorting.

Als mensen door die instorting -mogelijk getriggerd door een nieuwe, enorme 'false flag' aanslag en/of een grote oorlog- alles kwijt dreigen te raken wat ze hebben, zullen ze ongetwijfeld in de rij staan voor een chip, waarmee ze hun geld, bezittingen en hun oude leventjes weer terug kunnen krijgen, zelfs als dit betekent dat ze hun privacy moeten opgeven en willoze slaven worden van een totalitaire wereldregering.

Weigeren chip vrijwel onmogelijke opgave

De Bijbel waarschuwt niet alleen dat iedereen die het 'teken van het Beest' (666) accepteert, voor eeuwig verloren gaat, maar ook dat de misleiding in de eindtijd zó sterk zal zijn, dat zelfs de uitverkorenen zouden kunnen worden verleid. Als bedacht wordt dat we in de toekomst zonder microchip mogelijk niets meer zullen kunnen doen -niet kunnen kopen, verkopen, wonen, salaris/uitkering krijgen, nergens geen toegang meer kunnen krijgen- dan lijkt het weigeren van zo'n chip voor de meeste mensen inderdaad een onmogelijke opgave te worden.*

* Nogmaals: ALS deze uitleg van deze Bijbelse profetieën inderdaad de juiste blijkt. In eerdere delen en artikelen zijn diverse alternatieve verklaringen besproken.

Xander

Zie ook:

07-10: Beast Tech (3): Totale controlemaatschappij veel dichterbij dan gedacht
02-10: Beast Tech (2): Leger VS noemt tegenstanders Nieuwe Wereld Orde terroristen
30-09: 'Beast Tech': Geheim project voor totale 'Teken van het Beest' controle in 2017
23-09: Israël mogelijk eerste land waar cash geld wordt uitgebannen
21-09: Fujitsu presenteert identificatie en betalen met je hand
12-09: De Apple iPhone 5S, de droom van iedere Big Brother overheid
03-08: CNN: Met smart-tv's kunnen burgers worden bespioneerd
22-02: Bilderbergers willen wereldwijde ID-kaart, mogelijk op basis van handscan
23-01: EU wil net als VS totaal controlesysteem burgers invoeren (/ Terugblik: BEAST supercomputer in Brussel al 3 jaar actief?)

01-02: Bill Gates streeft naar wereldwijd uitbannen van cash geld

2012:
16-10: '...; Versnelde invoering één-wereldmunt in 2013'
10-10: CNN voorspelt invoering geïmplanteerde microchip die gedrag controleert
27-03: Al tienduizenden scholieren Brazilië dragen verplichte chip

2011:
29-10: Amerikaanse TV zenders berichten over nieuwe implanteerbare 'killer' chip
16-08: Wat de Bijbel zegt over de islam in de eindtijd (deel 8)  (... Het teken van het Beest: Allah?)
11-08: Boek 'Breaking News: Het Kenteken of het Merkteken'

dimanche, 22 septembre 2013

Neil Postman (2)

neilpo.jpg

vendredi, 20 septembre 2013

De Apple iPhone 5S, de droom van iedere Big Brother overheid

De Apple iPhone 5S, de droom van iedere Big Brother overheid
 

Uw vingerafdruk vrij toegankelijk voor Apple en de overheid, en kwetsbaar voor fraude door hackers - Ook Blackberry's en Android-smartphones eenvoudig te kraken


De recentste versie van de populair iPhone van Apple is een droom die uitkomt voor iedere 'Big Brother' overheid die zijn burgers onder steeds strakkere controle wil onderwerpen. De iPhone blijft niet alleen behept met talloze apps die via GPS uw locatie traceren en deze direct doorgeven aan bedrijven en de overheid, maar beschikt tevens over een vingerafdruksensor die gebruikt kan worden om uw toestel te ontgrendelen of om apps te kopen. En dat is nog maar het begin.

Inlichtingendiensten zoals de beruchte Amerikaanse NSA zijn in pure extase vanwege de nieuwe iPhone. Burgers hoeven niet langer eerst te worden gearresteerd om hun vingerafdrukken te moeten afgeven. Miljoenen iPhone gebruikers laten hun biometrische gegevens vrijwillig opslaan in een database die zonder enige twijfel vrij toegankelijk is voor Apple en de overheid.

Fraude met uw vingerafdruk

Zoals bekend heeft dezelfde fabrikant via het -inmiddels niet meer zo topgeheime- PRISM programma van de NSA al uw persoonlijke gegevens en chats weggegeven. Beveiligingsexperts en hooggeplaatste high-tech analisten waarschuwen dat al die zogenaamde 'veiligheids'opties waarmee nieuwe smartphones worden uitgerust, in werkelijkheid zeer kwetsbaar zijn. Zo kunnen hackers de enorme database met vingerafdrukken hacken en deze gebruiken voor allerlei vormen van fraude.

Apple beweert dan wel dat de vingerafdrukscans enkel op uw telefoon worden opgeslagen, maar gezien de ervaringen met de NSA en de FBI is dat nauwelijks geloofwaardig. Grote bedrijven zoals Apple verdienen tenslotte bakken met geld met de persoonlijke gegevens van hun klanten. Bedenk dat u met uw vingerafdruk apps kunt kopen. Dit betekent dat uw vingerafdruk op zijn minst door een derde partij ergens moet zijn opgeslagen.

Kwetsbaar voor hackers

'Kan biometrische authenticatie worden gehacked,' vraagt een beveiligingsspecialist op CNET retorisch. 'Vrijwel zeker. Ik ben ervan overtuigd dat iemand met een goede kopie van uw vingerafdruk en enige vaardigheid om wat basismaterialen te maken - of gewoon een goede printer - op deze manier toegang tot uw iPhone kan krijgen... Het grootste probleem met biometrische systemen is de database. Als dit systeem wordt gecentraliseerd, is er een grote database met biometrische informatie die kwetsbaar is voor hackers.'

Big Brother systeem

Stap voor stap wordt de maatschappij gecentraliseerd rond identificatie door middel van biometrische gegevens (vingerafdruk, irisscan, aderenscan, et cetera). De meeste mensen hebben er echter geen benul van dat ze met behulp van bijvoorbeeld gehypte smartphones zoals de iPhone met open ogen in een 'Big Brother' totale-controlesysteem worden gelokt. (1)

Alle grote besturingssystemen te kraken

Overigens zijn niet alleen iPhones, maar ook Blackberry's en smartphones die draaien op Android eenvoudig te bespioneren. De Duitse Spiegel citeerde onlangs interne NSA-documenten waaruit blijkt dat de inlichtingendiensten vrij toegang hebben tot uw contactpersonenlijst, verzonden en ontvangen SMS'jes en zowel huidige als vorige locaties. De NSA heeft voor ieder besturingssysteem een aparte werkgroep, die verantwoordelijk is voor clandestiene operaties waarmee de persoonlijke gegevens van smartphones worden verzameld. Wel zou de NSA het meeste 'succes' bij iPhones behalen.

De Blackberry's gaven de NSA aanvankelijk de meeste problemen, maar in 2010 slaagde de organisatie erin het door de Canadese fabrikant 'ondoordringbaar' genoemde mailsysteem van het toestel te kraken. Met één woord, 'champagne!', vierde de NSA deze voor hen belangrijke mijlpaal. (2)

Disconnect

'Disconnect' is een goede Amerikaanse dramafilm uit 2012 waarin op pijnlijke wijze is te zien hoe eenvoudig mensenlevens kunnen worden verwoest met behulp van valse identiteiten en misbruik van bestaande internet- en identificatiemethoden. Zo weet een hacker via een simpele chatroom in te breken op een computer van een goed opgeleid stel, en op deze wijze al hun geld te stelen. Dit soort 'kleine' (gezins)drama's zijn helaas dagelijkse realiteit geworden.

Xander

(1) Infowars
(2) Russia Today

Zie ook o.a.:

22-08: Duitse overheid: Windows 8 kwetsbaar voor NSA-spionage
03-08: CNN: Met Smart TV's kunnen burgers worden bespioneerd
02-08: FBI kan op afstand microfoons Androidtoestellen inschakelen en gesprekken opnemen
08-06: Speciale app beschikbaar om afluisteren door VS te voorkomen
01-07: Afluisterschandaal: 'VS opereert als Stasi en is morele geloofwaardigheid kwijtgeraakt'
01-02: Bill Gates streeft naar wereldwijd uitbannen van cash geld (/ Eerste Amerikaanse studenten betalen met vingerscan  - Vingerafdrukscanners worden geïntegreerd in mobieltjes)

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jeudi, 19 mai 2011

Le Projet DESERTEC, un enjeu géostratégique

Le projet Desertec, un enjeu géostratégique

 

 
Il est temps, pour tenir compte à la fois de la crise du nucléaire et du printemps des peuples arabes, que les Européens réactivent des projets jusqu'ici jugés utopiques

 


La conviction selon laquelle les pays développés doivent envisager des programmes de grande ampleur pour produire de l'électricité à partir d'énergies renouvelables se répand de plus en plus. Le terme de programmes de grande ampleur désigne des projets technologiques se chiffrant en dizaines de milliards d'euros, s'étendant sur plusieurs décennies, susceptibles d'intéresser des industriels majeurs et d'avoir une signification géopolitique de grande portée.

Ceci ne veut pas dire qu'il faille négliger ni de petits investissements à ambition locale, ni les économies d'énergie, qui demeureront indispensables. Mais si l'on veut progressivement commencer à remplacer à la fois le nucléaire de fission et les centrales au charbon, qui fournissent actuellement l'essentiel de l'électricité consommée, il faut voir grand. Il faut aussi, ne l'oublions pas, parler aux imaginations afin de susciter les vocations technoscientifiques et les épargnes.

Il se trouve que, dans le domaine de l'énergie solaire, existait depuis quelques années, à partir d'une initiative principalement européenne, un grand programme de cette nature, nommé Desertec. Pour différentes raisons (notamment la résistance des intérêts investis dans les formes actuelles de production d'énergie) ce programme avait été recouvert par ce qu'il faut bien appelé une chape de silence. Deux facteurs différents poussent à le relancer.

Le premier est bien entendu l'accident de Fukushima au Japon. Le second, de nature géopolitique, découle de ce que l'on a nommé le printemps arabe. Un certain nombre de pays du sud-méditerranéen se sont débarrassés de leurs dictatures. Ils se sont ouverts au dialogue avec les pays du nord et ont montré que leurs populations se détournaient progressivement des fantasmes de djihad. Mais ce faisant ces pays posent, en premier lieu aux Européens, la question de savoir si les économies du Nord pourront ou non proposer, en dehors de tout retour au néocolonialisme, des projets de co-développement susceptibles de créer des emplois par miliers et des revenus susceptibles de se réinvestir sur place. Sans ces emplois et ces revenus, les nouvelles démocraties retomberont nécessairement dans le désordre. Or c'est précisément ce que le projet Desertec, s'il était bien mené, pourrait permettre: une vague de co-développement à l'échelle euro-africaine.

Nous pensons donc essentiel que l'Union européenne s'intéresse désormais officiellement à Désertec, tant au regard de ses retombées socio-économiques que pour ses composantes géopolitiques. Il s'agirait de concrétiser, pour toute l'Europe et non pour les seuls pays européens du sud, le thème évoqué par le projet d'Union pour la Méditerranée: créer dans cette partie du monde un grand ensemble d'intérêts communs. L'intérêt de Desertec est à cet égard de pouvoir s'étendre au delà de la seule Méditerranée. Il pourrait intéresser, en conjuguant d'autres sources de production d'électricité, notamment l'éolien et le marée-moteur, une grande partie de l'hémisphère nord à l'est du 20e Méridien. Pour l'Europe, il s'agirait donc également d'une démarche véritablement emblématique

Les adversaires du projet ont fait valoir qu'impliquant directement des Etats ou des régions sahariennes plus ou moins en but au terrorisme, des organisations telles que l'actuelle AQMI pourraient en profiter pour exercer un chantage permanent sur les partenaires du projet. Mais il s'agit d'une vue de l'esprit. Si Desertec était mis en oeuvre avec la volonté d'associer dès le début les Etats et les populations du Maghreb, il représenterait un tel enjeu qu'il serait non pas agressé  mais protégé et soutenu par tous les partenaires africains du programme.

 

Nous extrayons des sites de la Fondation Desertec et de Wikipédia quelques informations permettant de préciser la teneur de cette grande ambition.

Le Projet Desertec est un projet éco-énergétique de grande envergure mené par la Desertec Foundation. Il a été initialisé sous les auspices du Club de Rome et de la Trans-Mediterranean Renewable Energy Cooperation.

Il s'agit de créer un réseau interconnecté alimenté par des centrales solaires du Maroc à l'Arabie Saoudite, reliées par des réseaux à très haute tension. Le projet vise à répondre en grande partie aux besoins des pays producteurs d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, et à fournir 15% (dans un premier temps) de l'électricité nécessaire à l'Europe.

Un protocole d'accord pour le projet a été signé par douze sociétés basées en Europe, au Proche-Orient et en Afrique du Nord, le 13 juillet 2009 à Munich. En mars 2010, quatre nouveaux investisseurs ont annoncé qu'ils s'associaient au projet, ce qui porte à 17 le nombre de partenaires (16 entreprises représentant un potentiel technique et de savoir-faire considérable) et la fondation Desertec elle-même.

L'entreprise vise à connecter plusieurs grandes centrales solaires thermiques et peut-être d'autres installations d'énergies renouvelables (fermes éoliennes) entre elles ainsi qu'au réseau de distribution de l'électricité qui alimenterait l'Afrique du Nord, l'Europe et le moyen-Orient, ce réseau pouvant être optimisé via une approche de type SuperGrid.

Mais Desertec ne se limitera pas à la production d'énergie : il participera aussi au développement des pays en créant de nombreux emplois locaux. Dans un premier temps, il s'agira de la main d'œuvre acceptant de travailler dans les conditions difficiles du milieu désertique.Mais il faudrait très vite que s'y investissent les ingénieurs et gestionnaires originaires des pays du sud.

Les promoteurs estiment qu'un tel réseau pourrait avant 2050 fournir plus de 50 % des besoins en électricité de la région EUMENA (Europe + Moyen-Orient + Afrique du Nord).
Les difficultés à résoudre seront nombreuses, mais tout à fait à la portée des technologies actuelles ou disponibles dfans un proche avenir .

Pour la production, on envisage des centrales solaires thermodynamiques à concentrateurs, c'est-à-dire utilisant des miroirs paraboliques pour produire de la vapeur d'eau à très haute température et sous forte pression, qui fait tourner une turbine et un alternateur produisant de l'électricité. Divers équipements de cette nature existent déjà en Europe
Ces centrales consomment beaucoup d'eau douce (un problème en zone aride) et conduisent à modifier la météorologie du désert et contribuer peut-être à exacerber certains effets du dérèglement climatique. Mais des remèdes sont possibles.

Pour le transport de l'électricité, les concepteurs du projet espèrent pouvoir utiliser de nouveaux types de lignes Haute Tension (lignes de transmission modernes en Courant Continu Haute Tension ou CCHT ou HVDC) devant permettre de transporter l'électricité sur de grandes distances avec beaucoup moins de pertes en ligne (3% pour 1.000 km) qu'avec les lignes classiques à courant alternatif, et presque sans pollution électromagnétique. Dans la conjoncture actuelle, caractérisée par le prix croissant du cuivre et alliages conducteurs, il s'agira d'une partie fragile, à protéger.

Pour le strockage, la production d'électricité ne se faisant que de jour, une partie de celle-ci pourra en être utilisée pour pomper l'eau vers des lacs de montagne en Europe, qui en possède beaucoup. L'utilisation la nuit de l'énergie de cette eau dans des turbines assurerait sa mise à disposition homogène au profit de l'ensemble du réseau.

Le coût global du projet a été estimé à 400 milliards d'euros sur plusieurs dizaines d'années, dont 50 milliards pour construire 20 lignes CCHT de 5 GW chacune. On peut craindre que ce coût n'augmente. Mais il sera aisément amorti grâce au prix de vente de l'électricité, dont les pays développés doivent cesser de considérer qu'il s'agit d'une énergie bon marché.

 

 

 

08/05/2011

samedi, 06 novembre 2010

Les robinets de matières premières se fermeront-ils?

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Michael WIESBERG :

 

Les robinets de matières premières se fermeront-ils ?

 

Bon nombre d’indices nous signalent que la Chine est actuellement sur la bonne voie pour détricoter les règles du jeu qui régissent le processus de globalisation, règles aujourd’hui toujours dominées par les Etats-Unis. Son objectif ? Reprendre à son compte le rôle de chef d’orchestre international pour promouvoir son propre modèle de capitalisme.

 

Les exemples les plus récents dans ce conflit : 1) la querelle concernant le dumping monétaire pratiqué par les Chinois et, plus récemment encore, 2) la politique chinoise de diminuer drastiquement l’exportation de minerais critiques (de terres rares) qui sont d’une importance vitale surtout pour l’industrie occidentale des hautes technologies. En ce domaine, la Chine détient une position dominante sur le marché parce qu’elle extrait 95% de ces minerais critiques (terres rares). La Chine limite depuis environ trois ans ses exportations, ce qui pousse les industries occidentales vers des goulots d’étranglement, comme on le ressent actuellement en Allemagne. D’après le site « Spiegel-Online », certaines firmes allemandes cessent de recevoir les métaux nécessaires pour la production de hautes technologies.

 

En menant cette politique de raréfaction de ses exportations de minerais critiques et de terres rares, la Chine vise manifestement à ce que la production de technologies clefs se fasse sur son territoire, comme le subodore, par exemple, le « New-York Times Online » (NYTO).

 

Constituer une « réserve stratégique »

 

Pour bon nombre d’observateurs, cette thèse du NYTO se révèle caduque et ne reflète que la plainte émise par des entreprises occidentales, d’avoir été discriminées en Chine au profit de firmes nationales chinoises. C’est là un argument assez faible contre l’hypothèse posée par le NYTO. Quoi qu’il en soit : la raison fondamentale qui explique cette polémique vient probablement du fait que la Chine cherche à se constituer une « réserve stratégique » qui lui permettrait de contrôler le marché des minerais critiques et des terres rares, pour lequel la concurrence est âpre et l’enjeu stratégique très important.

 

Les activités déployées par la Chine en Afrique confirment par ailleurs la thèse du NYTO, surtout dans une région ravagée par la guerre comme le Congo, où l’on exploite le manganèse, divers autres minerais, les sels potassiques et le phosphate. Tandis que l’UE aborde le problème congolais en termes de ratiocinations oiseuses et de thématiques « humanitaires », les Chinois, qui n’ont cure de tout cela, se sont depuis assez longtemps déjà assurés de droits d’exploitation. Il n’y a donc aucun doute : la Chine a reconnu le talon d’Achille de l’Occident et ce talon d’Achille, entre autres faiblesses, est le goulot d’étranglement que constitue l’obtention de minerais critiques et de terres rares pour les Etats occidentaux industrialisés. La Chine joue désormais ses atouts en ce domaine, en toute bonne conscience.

 

« Nous sommes menacés par plusieurs goulots d’étranglement »

 

Si les Chinois ne modifient pas leur politique actuelle, les Etats industrialisés de l’Occident, et donc aussi l’Allemagne, se retrouveront dans une situation fort désagréable.  « Nous sommes menacés de dangereux goulots d’étranglement », a expliqué le géologue Peter Buchholz, attaché à l’Institut Fédéral allemand des Sciences géographiques et des Matières premières (« Bundesanstalt für Geowissenschaften und Rohstoffe », BGR), sur le site « Spiegel-Online ». La fabrication d’un grand nombre de produits électroniques, dont les ordinateurs et les moniteurs informatiques, les accus, les téléphones portables, certains biens d’équipement civils et militaires, les semi-conducteurs, etc. pourrait s’interrompre, si aucun nouveau fournisseur de minerais critiques  ou de terres rares ne se présente dans des délais prévisibles.

 

Petit à petit, le gouvernement fédéral allemand se rend compte qu’il y a urgence à agir, mais autrement que dans le cadre conventionnel des « missions pour les droits de l’homme et la dignité de chaque personne humaine » qui structure depuis longtemps l’action gouvernementale de la RFA ; c’est ce que l’on peut lire, par exemple, dans un dépliant de Günter Nooke, qui fut jusqu’en mars 2010, le chargé d’affaires de la politique des droits de l’homme et de l’aide humanitaire du gouvernement fédéral allemand.

 

Nous dépendons pour près de 100% de la Chine

 

La Russie est la seule puissance capable de nous aider ; mais, en déployant des activités similaires aux Etats-Unis, en Australie ou en Afrique du Sud, nous pouvons espérer améliorer notre situation. Le plus grand espoir actuel, nous le plaçons dans la région de Kvanefjeld au Groenland, où l’on pourrait, paraît-il, extraire chaque année jusqu’à 100.000 tonnes de minerais critiques et/ou de terres rares. C’est en tous cas ce que nous laissent miroiter les pronostics les plus prometteurs. Cependant, l’extraction proprement dite ne pourrait démarrer au plus tôt qu’en 2015.

 

Mais que se passera-t-il d’ici là ? D’ici à ce que les espoirs placés dans le site groenlandais deviennent réalité ? Jusqu’à la fin de l’année 2011, nous explique Peter Buchholz, l’Allemagne restera à près de 100% dépendante du bon vouloir de la Chine en ce qui concerne les minerais critiques. Tout esprit rationnel peut déplorer que le gouvernement de la RFA ne réagit que maintenant, alors que ce processus de dépendance est à l’œuvre depuis assez longtemps. Evidemment, les « missions pour la dignité de chaque personne humaine » avait pris quasiment 100%  du temps de nos excellences politiciennes.

 

Michael WIESBERG.

(article tiré du site http://www.jungefreiheit.de/ - 25 octobre 2010).   

dimanche, 26 avril 2009

La tyrannie technologique - Critique de la société numérique

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La Tyrannie technologique :

Critique de la société numérique

Présentation de l'éditeur

Après le travail et le sommeil, la troisième activité des Occidentaux est de regarder la télévision. 80% de la population française possède un téléphone portable contre moins de 5% dix ans plus tôt. Créée en 1998 dans un garage, la société Google est aujourd'hui cotée en bourse et valorisée à plusieurs milliards de dollars. Au cours des dix dernières années, les ventes d'antidépresseurs ont doublé. Les nouvelles technologies, fer de lance et alibi d'une industrie obsédée par la rentabilité, participent chaque jour un peu plus à la destruction du lien social et à la disparition des formes anciennes de sociabilité, d'organisation du travail et de la pensée. Leur diffusion massive et leur omniprésence posent les bases d'une véritable mutation anthropologique comparable à l'apparition de l'écriture. Si l'alphabétisation fut bien souvent la compagne de l'émancipation, les technologies contemporaines préparent et organisent un monde fondé sur la vitesse, l'immédiateté, la superficialité, le profit et la mort. Ecrit par plusieurs auteurs tirant leurs réflexions de leurs travaux militants ou universitaires, La Tyrannie technologique dresse un panorama lucide et percutant de l'emprise des nouvelles technologies sur notre vie quotidienne.

Collectif,
La Tyrannie technologique : Critique de la société numérique, Ed. L'échappée, 2007.

jeudi, 12 février 2009

"Unternehmen Patentenraub" 1945

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Georg, Friedrich
›Unternehmen Patentenraub‹ 1945


Die Geheimgeschichte des größten Technologieraubs aller Zeiten



368 Seiten
194 Abbildungen
Leinen
Lexikonformat
ISBN-13: 978-3-87847-241-4 - 19,80 Euro


z.Zt. vergriffen, Neuauflage voraussichtlich 03/2009

Verdanken die USA ihren Aufstieg zur Technologie-Supermacht den geraubten deutschen Patenten und Erfindungen?


Kurztext:

Der militärische Sieg der Alliierten über Deutschland 1945 und die Besetzung des Reichsgebietes hatten auch die Folge, daß vor allem die USA anschließend Hunderttausende deutscher Patente, Erfindungen und Gebrauchsmuster beschlagnahmten und entschädigungslos enteigneten. Dieser Raubzug war schon einige Jahre vorher von Washington generalstabsmäßig geplant worden. Denn man hatte erkannt, daß die Deutschen den Westmächten in der Grundlagenforschung und in der Entwicklung neuer Ideen auf fast allen Gebieten der modernen Wissenschaften und Technikbereiche um Jahre voraus waren. Nur durch den Raub deutschen Wissens und jahrelange Zwangsarbeit deutscher Wissenschaftler und Techniker in den USA war es möglich, daß die Vereinigten Staaten ihre Wirtschaft und Rüstung auf neue Grundlagen stellen und an die Spitze der Entwicklung kommen konnten.

Dieses Buch beschreibt ausführlich Vorbereitung, Durchführung und Folgen des größten ›Patentenklaus‹ der Geschichte. Im einzelnen werden für die verschiedenen Sachgebiete an vielen Beispielen mit Nennung der Verantwortlichen die Vorgänge des alliierten Diebstahls deutschen geistigen Eigentums und der Zwangsverpflichtung deutscher Forscher und Techniker geschildert. Es zeigt sich, daß die modernen Neuerungen wie Farbfernsehen und Transistortechnik, Raumfahrt und Raketen, Überschallflug und Computer auf deutsche Erfindungen und Entdeckungen zurückgehen, mit denen die US-amerikanische Wirtschaft anschließend Milliardengewinne machte.

Langtext:

Bis heute wird weltweit verschwiegen, daß die USA ihren steilen Aufstieg vom technisch weitgehend veralteten Massenhersteller, der keine Grundlagenforschung betrieben hatte, zur ›einzigen Weltmacht‹ nach 1945 dem aus dem vollkommen besetzten Deutschland gewaltsam mitgenommenen geistigen Eigentum verdanken. Die amerikanische Führung hatte früh bemerkt, daß das Deutsche Reich in Wissenschaft und Technik den anderen Nationen um Jahre voraus war und eine unglaubliche Fülle neuer Forschungsergebnisse und Verfahrensweisen zu bieten hatte. Unter Leitung und ausdrücklicher Genehmigung von US-Präsident Truman kam es nach Kriegsende zum größten Technologieraub aller Zeiten. Höchste amerikanische Gremien aus Industrie und Wissenschaft hatten vorher die Operation zur Ausbeutung der deutschen Wirtschaft und Technik von langer Hand gemeinsam generalstabsmäßig geplant und durchgesetzt.

Tausende von US-Spezialisten kamen im Frühjahr 1945 dicht hinter der Front ins Reich und durchkämmten die deutschen Betriebe nach neuen Maschinen, Verfahren und technischen Erfindungen. Außer der vollständigen Wegnahme von Hunderttausenden von deutschen Patenten, Gebrauchsmustern und Entwicklungsskizzen nahmen die Amerikaner dazu noch Tausende von deutschen Forschern und Technikern einfach mit, die dann jahrelang zur Forschungsarbeit und zur Bedienung der neuen deutschen Geräte in den USA gezwungen wurden. Die Überführung neuartiger Technologien – ein einmaliger und mehrere Jahre währender skrupelloser Raubzug in Deutschland – sollte auf diese Weise die amerikanische Industrie revolutionieren und den Absturz in eine neue Depression verhindern, wie es der US-Wirtschaftsminister 1946 erklärte.

Das ›Unternehmen Patentenraub‹ war so erfolgreich, daß das moderne Leben in den USA von den Halbleitern bis zum Container, vom Fernsehen bis zum Raumflug ohne die aus Deutschland mitgenommene Technik gar nicht denkbar wäre. Dasselbe gilt für die militärischen Neuerungen wie Raketen, Düsenjäger, U-Boote und Nuklearwaffen. Trotz aller Vertuschungsversuche ist es in dem vorliegenden Buch gelungen, den Versuch einer Bilanz dieses größten Wissensraubes aller Zeiten zu ziehen.

Mit dem Diebstahl der Hunderttausenden von deutschen Patenten und Erfindungen gelang den USA nach Ende des Zweiten Weltkrieges ein absolut beispielloser Coup. Seine Auswirkungen sind auch noch im 21. Jahrhundert deutlich spürbar. Folgende Fragen drängen sich auf:
- Wären die USA 1945 trotz ihres überwältigenden Sieges ohne den geistigen Raub an den Deutschen zum zweitklassigen Technologieland abgestiegen?
- Erteilte US-Präsident Truman in Kenntnis der Rückständigkeit der USA seinen Besatzungstruppen eine rückwirkende ›Lizenz zum Stehlen‹ aller nutzbaren deutschen Erfindungen?
- Kannte man schon Jahre vorher in Washington die wissenschaftliche und technische Überlegenheit der Deutschen, und hatte man deswegen früh mit den generalstabsmäßigen Planungen für die ›Operation Patentenraub‹ begonnen?
- Wie lief die systematische Jagd auf Deutschlands geistiges Eigentum sowie auf seine Forscher und Techniker wirklich ab?
- Trifft es zu, daß schweigsamen deutschen Erfindern noch 1948 die Todesstrafe drohte, wenn sie ihre Geheimnisse nicht verraten wollten?
- Wird die Zahl der 1945 in Berlin eingesackten Patente nachweisbar viel zu niedrig angegeben?
- Warum war Professor Ferdinand Porsche so wichtig?
- Welches Geheimnis versteckt sich bis heute im massenhaften Import von deutschen Spitzenwissenschaftlern zur Forschungsarbeit in die USA?
- Wie sind wichtige Zukunftstechnologien wie Magnetband, Computer, Fernsehen und Transistortechnik wirklich entstanden?
- War die synthetische Benzinherstellung von Leuna ein Kriegsgrund?
- Ist Präsident Bushs sensationeller Weltraumbomber wirklich so neu?
- Ist der Wert der von den USA aus Deutschland mitgenommenen Patente und Erfindungen so astronomisch, daß heute niemand aus Wirtschaft und Politik darüber sprechen darf?

Inhaltsverzeichnis:

Einleitung
Die fünfte Technologiewelle des Industriezeitalters 11

Vorspann
»Nazigehirne helfen der USA« - 13

1. Kapitel
Warum die deutschen Patente und Entwicklungen für die USA so wichtig waren 17
A. 1937–1944: »Krieg wäre jetzt ein gutes Geschäft...« - 19
Rettete der Zweite Weltkrieg die USA vor einer neuen Depression? - 19
B. Die Durchsetzung des wirtschaftlichen Liberalismus im Welthandel - 25
»Es konnte nur Einen geben«:
die wirtschaftliche Systemkonkurrenz USA/ Deutschland von 1933 bis 1941 - 25
Die Unterwerfung der deutschen Wirtschaft unter den amerikanisch beherrschten Freihandel - 26
C. Veraltet in die Zukunft? Das Technologiedefizit der USA und seine unkonventionelle Aufhebung - 29
Uneingeschränkte wirtschaftliche Vorherrschaft mit tödlichem Risiko - 29
War Amerika 1945 zum zweitklassigen Technologieland abgestiegen? - 30
›Planned Obsolescence‹ oder gerade noch mal Glück gehabt – 35
D. Die Geburt des Projekts zur Sicherung der technologischen Herrschaft Amerikas - 41
Böse Vorzeichen – 41
Vannevar Bush bläst zur Jagd auf das deutsche geistige Eigentum - 43

2. Kapitel
Wie das ›Unternehmen Patentenraub‹ organisiert war 47
Exekutivorder 9604 - Präsident Trumans »Lizenz zum Stehlen« - 49
Ordnen, verteilen - und vernichten - 52
Bund der Diebe - 55

3. Kapitel
Die Heuschrecken werden auf das Feld gelassen 63
A. Das Dokumentenprogramm - 65
»Nach dem Ende des Zweiten Weltkriegs 1945 stellte das Patentamt seine Tätigkeit ein ... « - 65
Das Schatzschloß - 71
Das ›Air Documents Research Center‹ - 71
Wurden alle gefunden?
Die geheimen Mikrofilmverstecke von Süddeutschland - 72
Bis heute geheim, die Akten der Reichspostforschungsanstalt - 73
Auf der Suche nach Kammlers SS-Schatz:
bewaffnete US-Expedition in die Tschechoslowakei 1946 - 74
Das verschollene ›Bernsteinzimmer der Technik‹ - 78
Eine astronomische Menge von Beute - 81
B. Ausforschungsberichte. Die gnadenlose Jagd auf Ideen und Betriebsgeheimnisse - 83
Wenig feine Methoden der ›Befreier‹ - 83
Der schnelle Vogel fängt den Wurm – 84
Die ›Heuschreckenliste‹ vom Sommer 1945 - 85
Jeder ist sich selbst der nächste - 88
Wie die Alliierten sich gegenseitig betrogen - 89
Der ›lange Arm‹ kannte keine Grenzen - 93
C. Die Entnahme von Mustermaschinen - 94
Das weiße ›M‹ - 94
Mahles Magnesium-Spritzgußmaschine:
ein Beispiel für den amerikanischen Umgang mit technischer Beute - 96
D. »Letzter Aufruf nach Deutschland« oder: als den »Heuschrecken« das Futter ausging. . . - 98
Der Wind beginnt sich zu drehen: der ›Fall Österreich‹ - 98
Angst vor deutscher Zivilkonkurrenz - 99
Der harte Weg, einen unkontrollierten Diebstahl zu stoppen - 99
1948: Todesstrafe für schweigsame Erfinder - 101
Zu schön um aufzuhören: die Nachfolger von CIOS und FIAT - 103
E. Wissenschaftler wie Waren importiert: der systematische Transfer lebendigen Wissens 1945–1949 - 107
Die große ›Zielscheiben‹-Jagd beginnt - 107
Rechtmäßige menschliche Beute - 108
Ein Nobelpreisträger protestiert gegen unlautere Abwerbungsmethoden - 110
Legitimation durch Nutzen - 111
Die große Untertreibung – oder wie viele deutsche Spezialisten arbeiteten wirklich für die USA? - 114

4. Kapitel
Die ›Faust der Technik‹ wird geschmiedet – deutsche Erfindungen revolutionieren die amerikanische Industrie 117
A. Die neue Technologie wird ›amerikanisch‹ oder das Erlernen einer neuen Sprache - 119
Wie das Erlernen einer neuen Sprache - 119
»Deutschland spuckt seine üppigen Geheimnisse aus« - 121
Die Überlegenheit der deutschen Forschung war 1947 mit damaligen Mitteln selbst mengenmäßig kaum in den Griff zu bekommen - 128
Wie lange brauchte man mit der Auswertung? - 129
B. Alles nur geklaut? Ausgewählte Beispiele für wichtige Zukunftstechnologien deutschen Ursprungs - 132
Sektion A: Rettet das Erdölmonopol! Synthetisches Benzin gefährdet(e) die britisch-amerikanische Ölgeopolitik - 132
Kriegsgrund Kohleverflüssigung -132
Die Tragödie der Kohleverflüssigung und der synthetischen Benzinherstellung: gestohlen, verboten und ›vergessen‹ - 137
Ölschiefer – ein deutsches Geschenk für die USA - 147
Synthetische Öle und Superschmiermittel - 149
Sektion B: Chemie beherrscht(e) die Welt - 151
Die Amerikanisierung der Antibabypille - 156
Sektion C: das Reich der Metalle - 158
Container oder die Blechkiste, aus der die Globalisierung ist - 158
Altstoff wird Rohstoff: Aluminiumschrott-Recycling - 161
Die Hochtemperaturlegierungen von ›Project RAND‹ - 162
Supermetalle - 163
Sektion D: Optik - 165
Die revolutionäre Welt der Mikroskopie - 165
Das ›Photophon‹ - 167
Wer entwickelte die Kameras für Aufklärungssatelliten? - 168
Sektion E. Neue Medien und Kommunikationstechnologie - 169
Der Agfa-Farbfilm – 169
Die Wiedererfindung der Scheibenantenne - 170
Die Einführung der Magnetbandtechnologie - 170
Das ehemalige deutsche Monopol in der Fernsehtechnik - 172
Farbfernsehen - 175
Miniaturfernsehkameras mit Sender - 177
Hochauflösendes Fernsehen (HDTV) - 179
Weitere Pionierleistungen der Fernsehtechnik - 179
Die geheime Schatzkammer der Nachrichtentechnik von Burg Feuerstein - 180
Geheime Kommunikationssysteme - 181
Spracherkennungstechnologie (automatische Stimmerkennung) - 182
Die Magier von Fort Monmouth - 184
Infrarottechnologie - 185
Sektion F: Die digitale Welt, wie sie wirklich entstand - 188
Das Geheimnis der Quarzuhren - 188
Röhren zur Informationsspeicherung - 189
›Alternative Zwei‹ oder: wie Siliziumtechnik, Halbleiter und Transistor wirklich entstanden - 190
Das Geheimnis der ersten Digital-Computer - 200
Rechner mit Elektronenröhren - 205
Der rätselhafte Aufstieg der Firma IBM - 207
Sektion G: Neue Konzepte für Fortbewegungsmittel auf Land und Wasser - 208
Turbinenantrieb für Landfahrzeuge - 208
Die Sequenzenräder von Le Tourneau - 212
Fakt oder Fiktion: Nuklearantrieb für Landfahrzeuge - 217
Gasturbinenantrieb für Schiffe - 219
Das Tragflügelboot - 222
Technisch abgeschlagen:
die Probleme der amerikanischen U-Boot-Technik - 224
Die amerikanischen ›U-Boot-Revolutionen‹, Mythos und Wahrheit - 228
Plötzlicher Ideenmangel oder:
Die dritte ›amerikanische U-Boot-Revolution‹ fällt aus - 235
Sektion H: Wie die US-Luftüberlegenheit wirklich entstand, und was dahinter verborgen wurde - 237
Republic P-47M ›Thunderbolt‹ – Sinnbild amerikanischer Technologie 1944/45 - 237
Zwei Züge – zwei Schätze - 238
Erst 1970 freigegeben: Krieghoffs Experimentalbordwaffen - 241
Das traurige Geheimnis der amerikanischen Luftfahrttechnologie 1945: »nicht die beste, nur die größte...« - 242
»Gemein, gemein, gemein!« (wicked, wicked, wicked) - 247
Rettung in letzter Minute für das amerikanische Düsenprogramm 247
Wie Howard Hughes die US-Luftwaffe 1948 mit deutscher Technik vorführen wollte - 254
Das Geheimnis von Volkenrode oder:
Amerikas ›zweites Manhattan-Programm‹ - 255
Die erste Höhenprüfstandsanlage der Welt geht in die USA - 262
»Wackelt mit den Tragflächen, Jungs!« – Die sichtbaren Folgen der Übernahme deutscher Luftwaffentechnologie - 263
Die Flächenregel – Wie genial war Mr. Whitcomb wirklich (Teil 1)? - 282
Die rechtzeitige Wiedererfindung des superkritischen Pfeilflügels – eine Waffe im transatlantischen Handelskrieg oder:
Wie genial war Mr. Whitcomb wirklich (Teil 2)? - 284
Der ›schiebende Flügel‹ - 285
Triebwerke mit weltumspannender Reichweite – wo sind sie geblieben? - 286
Pfeilblatt – Rotortechnologie
Nach 50 Jahren aus dem Dornröschenschlaf erweckt - 286
Der Pate des ›Warzenkeilers‹ (Warthog) oder:
Wie die USAF aus einer Klemme befreit wurde - 287
Tarnkappe für Flugzeuge - 290
Sektion 1: Wernher von Braun kam nicht allein - 298
Beispiele von Spitzenleistungen durch ›Paperclip‹-Wissenschaftler für die USA - 298
Präsident Bush und sein ›Weltraumbomber‹ - 305
C. Merkwürdige Begebenheiten - 308
Schnellzuglokomotive mit Einzelachsantrieb - 308
Gekränkter Sportehrgeiz?
Die alliierte Entzauberung der Silberpfeile - 308
Die Kosmetikindustrie Mission (Cosmetic Industry Mission) - 312
Rettet den ›Teddybär‹ - 313
Automatische Postsortierungssysteme:
Habsucht und Dummheit hemmen den Fortschritt - 313

5. Kapitel
Bilanz des größten Raubes aller Zeiten 317
Die größte Schatzsuche der Welt - 319
Jubel in der New York Times - 322
Der deutsche Einfluß auf die RAND-Denkfabrik - 324
Deutsche Erfindungen wertlos«! - Großkonzerne als Leugner - 324
Die Außerirdischen waren es – Hilflose Erklärungen für den plötzlichen Technologiesprung? - 325
Für immer vernichtet? Die Folgen von Pfuscherei und Dummheit - 325
Die Grenzen des Ausbeutungsprogramms - 326
Versuch einer finanziellen Bilanz - 328
Militärische Vorherrschaft durch ehemalige deutsche Technik - 329
Hundert Jahre voraus? - 330
Akten geschlossen? - 330
Keine Weltwirtschaftsdepressionen dank deutscher Technologie? - 331

6. Kapitel
Rechtsstaatlich gelöst? 333
Die Jagd auf Patente oder: Müssen Ideen geschützt werden? - 335
Massiver Verstoß gegen das Völkerrecht - 335
Der größte Diebstahl der Weltgeschichte wird abgesichert - 336
Patentverletzungen bis heute aktuell: 1,52 Milliarden Euro Schadenersatz für ein einziges Patent - 338

7. Kapitel
... und es geht immer weiter 341
Neo-›Paperclip‹ statt Antiterrorkampf? - 343
Die digitale Version vom ›Unternehmen Patentenraub‹ - 344
Wie Boeing wieder Weltspitze wurde - 346
Die Faust der Technologie - 348
Diebstahl geistigen Eigentums als Grundlage und Teil des amerikanischen Wirtschaftsmodells - 350

mercredi, 26 novembre 2008

Russland und Brasilien planen technologische Allianz

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Russland und Brasilien planen technologische Allianz

Ex : http://de.rian.ru/

RIO DE JANEIRO, 25. November (RIA Novosti). Dmitri Medwedew ist zu einem dreitägigen Besuch in Brasilien eingetroffen. Neue Energie- und Forschungsprojekte stehen auf der Tagesordnung.

Am Dienstag besucht der russische Staatschef das Hauptquartier von Petrobraz, dem größten staatlichen Öl- und Gaskonzern Brasiliens. Er will in brasilianische Erfahrungen in Sachen Schelferschließung sowie in das nationale Programm für die Biokraftstoff-Herstellung Einblick nehmen. Ein Treffen mit Vertretern brasilianischer Geschäftskreise ist geplant.

Wie Medwedews Assistent Sergej Prichodko mitteilte, will der Präsident vor allem über den Ausbau der wirtschaftlichen und Forschungskooperation verhandeln. Das ziele darauf ab, eine „technologische Allianz“ der beiden Länder zu gründen.