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mercredi, 08 septembre 2010

Immigration et identité: les erreurs de la Nouvelle droite et de l'Eglise catholique romaine

Immigration extra-européenne et identité : les erreurs de la Nouvelle droite et de l’Eglise catholique romaine…

Ex: http://tpprovence.wordpress.com/

Le dernier numéro de la revue Eléments pose la question en gros titre de couverture  et s’interroge pour savoir si certains intellectuels dits de La Nouvelle droite  dans leur combat remarquable contre le monde individualiste, droit de l’hommiste, globalisé, anglo-saxon, et de la consommation effrénée n’appartiendraient pas en fait à la Nouvelle gauche ?

Après tout,  le fait que Mohammed soit le nouveau prénom le plus usité  des naissances dans la région bruxelloise ne serait pas aussi grave que certains Européens traditionalistes, xénophobes et dépassés auraient tendance à le croire ! Finalement, une identité n’est pas immuable en soi et ne peut qu’évoluer au fil des siècles. L’immigration extra-européenne, à tout prendre, est un moindre danger pour notre identité européenne que le règne aliénant de la marchandise et de la consommation. Le vrai danger serait le capitalisme financier visant toujours plus à étendre son empire et transformant les êtres vivants en objets inanimés (1).

Nous tenons à nous élever avec force contre cette idée qui est très belle sur le papier et qui se rapproche effectivement de la conception (Weltanschauung) des hommes de gauche pratiquant trop facilement  et allègrement le déni des réalités.

Le véritable et plus grave  danger  pour les Français qui se définissent avant tout comme des Européens de langue française, c’est bien l’inacceptable phénomène migratoire extra-européen car il porte atteinte, au-delà des risques évidents de guerre civile et à une difficile politique du retour, d’une façon irréversible, à l’identité européenne, à la substance ethnique du peuple français. Le système économique, lui, pourrait  être adapté et changé sans trop d’encombres du jour au lendemain ! (fin du libre échange, mise en place de la préférence communautaire, mise en place d’un capitalisme volontariste industriel). L’immigration au contraire, engage la patrie charnelle du peuple français qui a pris son origine bien avant 1789. Le système économique suicidaire actuel ne présente pas les mêmes dangers à long terme ; il est , nonobstant les trop nombreuses  vies  déjà gâchées et les emplois définitivement  perdus  suite aux délocalisations inconscientes, plus facilement  modifiable et réversible.

Lorsqu’on voit les réactions de jeunes vierges effarouchées telles que celles de Jean-Pierre Raffarin ou de Michel Rocard, suite au renvoi volontaire avec un pécule de 300 euros, avion payé, de quelques Roms dans leur pays d’origine, on réalise à quel point est grave pour la société française le cancer mortel droit de l’hommiste. La réaction des élus de l’UMPS est d’autant plus inacceptable que ces mêmes Roms expulsés auront le droit de revenir d’ici quelque temps dans notre douce France ! En fait, pour la majorité d’entre eux, ce sont des congés payés dans leur pays d’origine aux frais du contribuable français ! A noter  également que  La France est un des rares pays au monde où des clandestins peuvent manifester publiquement  et tranquillement pour se faire régulariser   à tour de bras !

Ces réactions de l’UMPS sont d’autant plus stupides et scandaleuses que ces expulsions ne contribuent en rien  et pas le moins du monde à la diminution du véritable  danger  migratoire qui consiste, sous le règne médiatique  des seuls effets d’annonce du Président Sarkozy, à ne rien faire contre l’entrée annuelle effective de 250 000 nouvelles  personnes par an en France, essentiellement du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne, soit une nouvelle agglomération lilloise extra-européenne tous les 3 ans dans l’hexagone, nonobstant une natalité délirante de ces nouveaux arrivants  et un nouvel appel d’air pour les mariages mixtes et les regroupements familiaux ! Et avec Madame Ségolène Royal, Madame Aubry et les socialistes, ce serait 450 000 personnes par an !

Quant aux réactions de certains hommes d’Eglise pour ces mêmes Roms,  elles nous rappellent que le christianisme a contribué au déclin et à la chute de l’Empire romain. Thomas Molnar a bien analysé les causes principales de la décadence européenne actuelle qui prennent leurs sources dans l’Eglise catholique romaine, l’Université et la Culture.(2)

Orateur et homme politique important vivant au IVème siècle, époque du chaos qui vit triompher le christianisme, Symmaque  le romain est célèbre pour avoir protesté publiquement quand les chrétiens, soutenus par Théodose, enlevèrent du Sénat de Rome, en 382, la statue et l’autel de la Victoire. Tout cela se termina par le sac de Rome par  Alaric en 410 ! L’Europe avec une fin possible du christianisme connaitra-t-elle un sort équivalent à la fin de l’Empire romain et du paganisme, se demandait à juste titre Thomas Molnar ?

L’Eglise catholique, les droits de l’hommistes, les intellectuels soit disant éclairés contribuent donc à cette « peste de l’esprit » selon Dominique Venner (3) qui s’est étendue à l’ensemble du monde blanc jusqu’à combiner sournoisement son autodestruction par la voie d’un brassage généralisé. Nietzsche avait aussi déjà vu le danger voyant dans le christianisme la religion des faibles avec tout ce que cela comporte de beau pour les envolées humanitaires, mais aussi de risques mortels et bien réels pour notre civilisation.

Seuls résistent finalement  à ces absurdités et à la catastrophe programmée, comme à la veille de la chute de l’Empire romain, quelques intellectuels épars, quelques hommes et  partis politiques, le  bon sens, l’âme populaire, la Russie et ne l’oublions pas, l’Eglise catholique  orthodoxe qui a un point de vue très différent de l’Eglise catholique romaine. Selon la religion catholique orthodoxe, « il existe des valeurs qui ne sont pas inférieures aux droits de l’homme tels la foi, la morale, le sacré et la Patrie ».

N’est ce pas un certain Poutine qui a prédit qu’au rythme où vont les choses, « la France finirait par devenir la colonie de ses anciennes colonies » ! Seuls le populisme, le nationalisme et la droite identitaire peuvent sauver la France ! La situation est grave. Il n’est plus possible de rester « Zen », de jouer au philosophe éclairé  à l’esprit  impassible et supérieur. L’heure semble bien au contraire venue de baisser les masques, de sortir  très vite du bois et de  donner la Garde car sinon la bataille dores et déjà engagée pour la survie de l’identité française et européenne pourrait  bien être définitivement perdue !

Marc Rousset*

*Marc Rousset est l’auteur de « La nouvelle Europe Paris-Berlin-Moscou », Editions Godefroy de Bouillon, 2009 . Il collabore régulièrement à la revue Synthèse nationale.

Notes

(1) Alain de Benoist, Nous et les autres, Problématique de l’identité, p 134, Krisis,  2007

(2)Thomas Molnar, Moi, Symmaque, L’Age d’Homme, Lausanne-Paris, 2000

(3) Dominique Venner, Histoire et tradition des Européens, Editions du Rocher, p 38, 2009

samedi, 04 septembre 2010

Sarrazin und die Meinungsfreiheit

ThSa.jpg

 

Sarrazin und die Meinungsfreiheit

Die Ausübung der Meinungsfreiheit soll unbequemer werden - laut  Kommentator Martin Krigar, Chefredakteur beim "Westfälischen Anzeiger" (http://www.hammwiki.de/wiki/Martin_Krigar)
(Krigar: "Auch in einer Demokratie kann niemand gezwungen werden, jeder noch so fragwürdigen „freien Meinungsäußerung“ eine wohlige Heimat zu geben.")
http://www.op-online.de/nachrichten/politik/verlust-vertr...

Zwar nicht die Deutschen, aber die "ausländischen Mitbürger" werden zu ihrer Meinung über Sarrazin befragt...
Brückenbauer gesucht
http://www.op-online.de/nachrichten/blickpunkte/brueckenb...

Böhmer: Sarrazin hat rote Linie überschritten
http://www.op-online.de/nachrichten/politik/maria-boehmer...

Zu gefährlich: Sarrazin-Lesung abgesagt
http://www.op-online.de/nachrichten/politik/proteste-sarr...


Thilo Sarrazin und die Scheindemokratie

Wann beginnt die Bücherverbrennung? Thilo Sarrazin und die Scheindemokratie

Udo Ulfkotte

http://info.kopp-verlag.de/

 

Mehr als drei Viertel der Deutschen werden in diesen Tagen von Politik und Medien zu Irren erklärt, einem rechtslastigen Pöbel, der angeblich auf einen Schlag unter der Hypnose eines Thilo Sarrazin durchgeknallt ist. Es lohnt inmitten der Politiker- und Journalisten-Hysterie völlig ruhig zu bleiben und allen, die sich nun empört zu Worte melden, ins Archiv zu folgen. Für viele wäre es wohl besser, wenn sie den Mund halten und sich voller Scham in die Ecke stellen würden.

 

 

Das deutsche Wesen soll aus der Sicht von Politik und Medien an möglichst viel Einwanderung genesen – und deshalb sagt die Bundeskanzlerin, Thilo Sarrazin rede »dummes Zeug«. Schauen wir uns eine der Kernthesen Sarrazins einfach einmal näher an: Sarrazin prognostiziert, dass die Deutschen »auf natürlichem Wege durchschnittlich dümmer« werden und er hat dies in Zusammenhang mit der Zuwanderung »aus der Türkei, dem Nahen und Mittleren Osten und Afrika« gebracht. Weil diese Migranten mehr Kinder bekämen als Deutsche, werde »eine unterschiedliche Vermehrung von Bevölkerungsgruppen mit unterschiedlicher Intelligenz« das Bildungsniveau verschlechtern.

Die Aufregung von Journalisten und Politikern über solche Äußerungen ist merkwürdig. Denn erst wenige Wochen zuvor hatten im Sommer 2010 deutsche Politiker der Merkel-Partei, die des Rechtsextremismus unverdächtig sind, Intelligenztests für Zuwanderer gefordert. Zur Erinnerung ein Zitat aus der österreichischen Zeitung Der Standard vom Juni 2010:

Politiker von CDU und CSU haben neue Kriterien für die Einwanderungspolitik in Deutschland gefordert und dabei auch Intelligenztests für Zuwanderer befürwortet. Der innenpolitische Sprecher der Berliner CDU, Peter Trapp, sagte der »Bild«-Zeitung zufolge: »Wir müssen bei der Zuwanderung Kriterien festlegen, die unserem Staat wirklich nützen. Maßstab muss außer einer guten Berufsausbildung und fachlichen Qualifikation auch die Intelligenz sein. Ich bin für Intelligenztests bei Einwanderern.« Diese Frage dürfe nicht länger tabuisiert werden.

Acht Wochen später wird der aus den Reihen der Union gekommene Hinweis in Zusammenhang mit Thilo Sarrazin zum »dummen Zeug«.

Europa verblödet durch Zuwanderung. Besonders schlimm ist es in Deutschland. Die Deutschen mutieren rasend schnell zu einer Nation der Minderintelligenten, um es höflich zu formulieren. Intelligenzforscher der Universität Erlangen warnen seit Langem: Seit Ende der 1990er-Jahre werden die Deutschen immer dümmer – pro Jahr sinkt der Intelligenzquotient durchschnittlich um zwei Punkte. Weil wir Deutsche aber immer weniger Kinder zeugen und unsere Zuwanderer immer mehr, liegt die rapide sinkende Intelligenz in Deutschland – was ihre Ursachen angeht – an den Migranten – wir importieren die Dummheit.

Unsere Zukunft lautet: »Generation doof«. Den Doofen gehört die Zukunft. Schon in wenigen Jahren wird Deutschland international nur noch das »Land der Hilfsarbeiter« sein, denn in bestimmten Migrantenmilieus ist der Durchschnitts-IQ eben nachweislich niedriger als bei ethnischen Deutschen. Die Welt schrieb im Jahre 2005 in ihrem Artikel »Der Intelligenzquotient der Türken«, darüber zu berichten sei heikel, weil »… es mittlerweile unstrittig ist, dass Intelligenz sehr stark auch von Erbanlagen bestimmt wird – und deshalb einschlägige Aussagen über ethnische Gruppen allzu schnell mit dem Vorwurf des Rassismus beantwortet werden«.

Das, was Die Welt vor 5 Jahren geschrieben hat, darf man heute in der gleichen Zeitung offenkundig nicht mehr über die Intelligenz von Migranten schreiben. In diesen Tagen schreibt die Welt über Sarrazin bitterböse:

»Nach Erkenntnissen des Gehirnforschers Thilo Sarrazin werden die Deutschen immer dümmer. Schuld daran sind Ausländer, die Dummheit in großen Mengen unerlaubt einführen und unser einst so schlaues Volk verblöden. Sarrazin selber ist der Beweis für seine These, er wird in immer kürzeren Abständen von Dummheitsattacken heimgesucht, wodurch sein IQ bereits von 165 auf 124,3 sank, Tendenz fallend.«

Wissenschaftliche Studien, die man in Der Welt noch vor einem halben Jahrzehnt zitierte, gelten heute eben nicht mehr. Journalisten werden zu Volkserziehern, die anstelle von Wissenschaftlern darüber befinden, was gut und was schlecht für das dumme Volk ist.

Das alles gilt in Politik und Medien heute auch für eine andere Aussage Sarrazins, nach der Migranten deutsche Steuerzahler viel Geld kosten. Die Frankfurter Allgemeine Zeitung berichtete am 24. Juni 2010, Migranten hätten bis 2007 schon über eine Billion (!) Euro mehr aus unseren Sozialsystemen herausgenommen, als sie in diese einbezahlt hätten. Niemand hat sich daran gestört, dass die FAZ vor wenigen Wochen eine vernichtende Kosten-Nutzen-Analyse der Zuwanderung aufmachte. Heute aber erklärt der Sender n-tv Sarrazin, der ebenfalls eine Kosten-Nutzen-Rechnung der Zuwanderung aufmacht, zum »Störenfried«.

Wir haben eine neue Hexenjagd. Und es ist eine reine Frage der Zeit, wann jetzt wieder einmal Bücher in Deutschland verbrannt werden. Überall in Deutschland regt man sich in diesen Tagen darüber auf, dass eine kleine Kirche in den USA am 11. September 2010 einen Koran verbrennen will. Die gleichen Medien erheben nicht ihre Stimme dagegen, dass die kriminellen Unterstützer eines selbsternannten »Bündnisses gegen Rechts« nun im Internet offen mit einer Fotomontage aufrufen, Thilo Sarrazin wie einst den CDU-Politiker Peter Lorenz im Jahre 1975 zu behandeln, was juristisch eine Aufforderung zur Straftat bedeuten kann. Lorenz wurde von Links-Kriminelle entführt und misshandelt.

Jeder darf seine Meinung in Wort und Bild frei äußern, so steht es im Grundgesetz. Doch das gilt für die Mehrheit der Deutschen in diesem Land, die laut allen Umfragen klar hinter Sarrazin stehen, heute nicht mehr. Die Demokratie ist nur noch eine Scheindemokratie. Unsere Medien sind Systemmedien, die eben nur noch den VolksZertretern nach dem Munde reden. Wer sie unterstützt und ihre Produkte kauft (finanziert), der untergräbt und zerstört die Demokratie immer weiter. Denn genau diese Medien würden wohl mit viel Verständnis reagieren und jubeln, wenn die ersten Bücher von Sarrazin in Deutschland jetzt öffentlich verbrannt würden.

 

vendredi, 27 août 2010

Sarrazin geisselt unqualifizierten Familienzuzug

Sarrazin geißelt unqualifizierten Familienzuzug

Ex: http://www.welt.de/

Berlins Ex-Senator und Bundesbanker Thilo Sarrazin sieht Migranten in der Pflicht, sich zu integrieren – und auch ökonomisch nützlich zu sein.

Thilo Sarrazin

Das Vorstandsmitglied der Bundesbank, Thilo Sarrazin, hat einen höheren Integrationsdruck auf muslimische Migranten gefordert. Man dürfe nicht zulassen, dass 40 Prozent der muslimischen Migranten von Transferleistungen lebten und ihnen jede Form von Integration „erspart“ werde, sagte er im Deutschlandradio Kultur. Integration müsse eine Bringschuld von Migranten sein.

Sarrazins Sprüche


Der frühere Berliner Finanzsenator und heutige Bundesbanker Thilo Sarrazin macht regelmäßig mit deftigen Sprüchen zu Politik und Gesellschaft auf sich aufmerksam:

„Wir müssen den Menschen, die bei uns leben, alle Chancen geben, sich zu integrieren, wir müssen diese Chancen aber auch mit einem kräftigen Aufforderungscharakter verbinden“, sagte der frühere Berliner Finanzsenator (SPD), der ein Buch über seine Sicht von Deutschland und der Integrationsdebatte geschrieben hat. Wenn es um die Gestaltung der Zukunft Deutschlands gehe, müsse man auch darüber reden, welche Einwanderungsgruppen ökonomischen Nutzen oder ökonomische Belastungen mit sich bringen. „Für die Gesamtheit der muslimischen Einwanderung in Deutschland gilt die statistische Wahrheit: In der Summe haben sie uns sozial und auch finanziell wesentlich mehr gekostet, als sie uns wirtschaftlich gebracht haben“, erklärte das Bundesbank-Vorstandsmitglied.

Bei künftigen Migranten müsse man daher wesentlich schärfere Maßnahmen anlegen. Niemand habe etwas dagegen, dass etwa ein marokkanischer Ingenieur oder Arzt mit seiner Familie nach Deutschland ziehe. „Aber die unqualifizierte Migration, die wir gegenwärtig haben, und die Migration des ungebildeten, unqualifizierten Familiennachzugs, das kann in dieser Form nicht weitergehen“, betonte Sarrazin.

Deutschland sei dabei, sich abzuschaffen, indem jede Generation etwa ein Drittel kleiner sei als die vorhergehende. Muslimische Migranten bekämen im Durchschnitt doppelt so viele Kinder wie die übrige Bevölkerung. „Man kann ganz einfach eine Modellrechnung anstellen, wie eine maßvolle weitere Zuwanderung von 100.000 im Jahr plus die Fortsetzung dieses Trends dazu führt, dass die Mehrheit in einzelnen deutschen Städten oder Regionen, möglicherweise irgendwann aber auch in Deutschland insgesamt kippt“, warnte Sarrazin.

epd/zel

jeudi, 10 juin 2010

Schweiz lässt Volksinitiative für Ausweisung krimineller Ausländer zu

Schweiz läßt Volksinitiative für Ausweisung krimineller Ausländer zu

Ex: http://www.jungefreiheit.de/

svp-plakat.jpgBERN. Die von der Schweizer Volkspartei (SVP) getragene Initiative für die Ausschaffung krimineller Ausländer ist für gültig erklärt worden. Dies hat der Nationalrat am Mittwoch entschieden. Gleichzeitig brachte das Schweizer Parlament aber eine alternative Gegeninitiative ein.

Der SVP-Gesetzesentwurf sieht die automatische Ausweisung von Ausländern bei schweren Straftaten oder Erschleichung von Sozialleistungen vor. Wörtlich heißt es hier:

„Sie (die Ausländer) verlieren unabhängig von ihrem ausländerrechtlichen Status ihr Aufenthaltsrecht sowie alle Rechtsansprüche auf Aufenthalt in der Schweiz, wenn sie wegen eines vorsätzlichen Tötungsdelikts, wegen einer Vergewaltigung oder eines anderen schweren Sexualdelikts, wegen eines anderen Gewaltdelikts wie Raub, wegen Menschenhandels, Drogenhandels oder eines Einbruchsdelikts rechtskräftig verurteilt worden sind oder mißbräuchlich Leistungen der Sozialversicherungen oder der Sozialhilfe bezogen haben.“

Alternativ-Vorschlag öffnet Mißbrauch „Tür und Tor“

Kritiker machen völkerrechtliche Vorbehalte gegen diesen Gesetzesentwurf geltend. Der Alternativ-Vorschlag, der unter anderem von der Freisinnigen Partei (FDP)und den Christdemokraten (CVP) getragen wird, sieht entsprechend ausdrückliche Verweise auf das Völkerrecht vor, sowie das Gebot, das „Anliegen der Integraton“ zu berücksichtigen.

Die Ausschaffungsinitiative sieht damit allerdings „Tür und Tor“ geöffnet, um künftig Ausweisungen doch noch verhindern zu können: „Solche Formulierungen eröffnen unzählige Möglichkeiten für Rekurse und Beschwerden. Den Gerichten sind kaum mehr Grenzen gesetzt, zugunsten der auszuschaffenden Sträflinge zu urteilen“, heißt es in einer Stellungnahme der SVP.

Sozialdemokraten (SP) und Grüne im Nationalrat hätten die Ausschaffungsinitiative am liebsten für ungültig erklärt. (FA)

vendredi, 28 mai 2010

Wenn Migranten Migranten hassen

Wenn Migranten Migranten hassen: Afrikaner nach Türken-Angriff in Berlin geistig behindert

Udo Ulfkotte

Ex: http://info.kopp-verlag.de/

Würden zwei Deutsche in der Bundeshauptstadt aus rassistischen Gründen einen Afrikaner angreifen und so zusammenschlagen, dass er bis an sein Lebensende behindert bliebe, Sie würden das natürlich sofort in allen Zeitungen lesen. Die Empörung wäre zu Recht groß. Zwei arbeitslose Türken haben aus rassistischen Gründen in Berlin einen armen Afrikaner angegriffen. Und die Medien schauten wieder einmal vereint politisch korrekt weg, weil die Täter nicht blond sind und auch keine Springerstiefel trugen. Wenn Migranten Migranten hassen, dann schweigen die deutschen Systemmedien.

Nach dem lebensgefährlichen Angriff von zwei Türken auf einen Afrikaner hat das Berliner Landgericht nun die arbeitslosen Täter zur Zahlung von 240.000 Euro Schmerzensgeld an den aus Burkina Faso stammenden Mann verurteilt. Die Türken hatten im Juni 2007 auf einem Neuköllner U-Bahnhof aus rein rassistischen Gründen immer wieder brutal auf ihr Opfer eingeschlagen. Nach einem Karatesprung eines Türken gegen den Afrikaner stürzte dieser mit dem Kopf auf den Bahnsteig und brach sich dabei den Schädel. Das heute 38 Jahre alte Opfer ist seit dem Türken-Angriff körperlich und geistig schwer behindert. Er wird wohl bis an das Ende seines Lebens auf Betreuung angewiesen sein. Der Mann hat allerdings seit rund zwei Jahren weder von Politik noch von Medien oder Verbänden irgendeine Unterstützung oder Aufmerksamkeit bekommen. Auch die großen Türkenverbände, die den Deutschen sonst gern pauschal »Rassismus« vorwerfen, haben sich um das afrikanische Türken-Opfer bislang nicht gekümmert. Da die türkischen Straftäter arbeits- und mittelllos sind, wird das Opfer wohl keinen Cent vom zugesprochenen Schmerzensgeld sehen. Und der Steuerzahler muss für die Verfahrenskosten und für die Betreuung des armen Afrikaners aufkommen.

 

Donnerstag, 20.05.2010

© Das Copyright dieser Seite liegt, wenn nicht anders vermerkt, beim Kopp Verlag, Rottenburg


Dieser Beitrag stellt ausschließlich die Meinung des Verfassers dar. Er muß nicht zwangsläufig die Meinung des Verlags oder die Meinung anderer Autoren dieser Seiten wiedergeben.

mercredi, 19 mai 2010

Citoyens biculturels

Citoyens biculturels

 

memoires-d-immigres-l-heritage-maghrebin.jpgD’abord, on nous a parlé de “travailleurs immigrés” (gastarbeiders), puis d’étrangers (vreemdelingen), puis d’immigrés (immigranten) puis d’allochtones (allochtonen) puis de “nouveaux Belges” (nieuwe Belgen) et, enfin, de migrants (migranten). Tous ces termes ont acquis au fil du temps une connotation négative. Le parti “ChristenUnie’ (CU) aux Pays-Bas, a imaginé une nouvelle dénomination, qui, supposent ses adeptes, gommera cette connotation négative: on parlera désormais de “citoyens biculturels” (1). D’après la dame qui a inventé ce nouveau concept, une certaine Cynthia Ortega-Martijn, celui-ci aurait un “effet adoucissant” (“een verzachtende werking”).

 

Nous verrons dans l’avenir si les allochtones seront charmés ou non lorsqu’on s’adressera à eux en les désignant comme “citoyens biculturels”.

 

(note parue dans ’t Pallieterke, Anvers, 12 mai 2010).

 

Note de la rédaction:

 

(1) Et comment faudra-t-il appeler les édiles socialistes de la Région bruxelloise, monocultrurels de par leurs origines mais férus de biculturalisme jusqu’à la folie? Des “(bons) citoyens monoculturels biculturalisants”, donc progressistes et amis des Lumières (selon Saint Habermas – qu’il prie pour nous)? Et ceux qui sont réticents face aux effets du multiculturalisme et du biculturalisme? Des “(mauvais) citoyens monoculturels monoculturalisants”, terme qui adoucirait les vocables injurieux, par les temps qui courent, d’ “ethnocentriste”, de “xénophobe” et de “raciste”? Espèce de sale monoculturel monoculturalisant, va! Et que dire encore des citoyens étiquetés “biculturels” mais qui n’ont rien à cirer du biculturalisme qu’on veut leur servir et souhaitent demeurer bien à l’aise dans leur niche monoculturelle d’origine? Va-t-on les appeler des “citoyens biculturels rétifs et monoculturalisants”, citoyens mi-figue mi-raisin, où l’on rangera les fondamentalistes islamiques et tous ceux qui veulent établir les critères du bled à Molenbeek ou ailleurs, avec la complicité de certains “monocultrurels biculturalisants”?

dimanche, 16 mai 2010

Omar Ba: "N'émigrez pas!"

N'émigrez pas !

Ex: http://metapoinfos.hautetfort.com/

Une prise de conscience africaine du caractère néfaste de l'émigration : c'est tout l'intérêt du livre d'Omar Ba, N'émigrez pas ! L'Europe est un mythe, que les éditions Jean-Claude Gawsewitch viennent de publier. Bousculant le politiquement correct, il rejoint, à partir d'un point de vue différent, les analyses des observateurs les plus lucides de l'immigration en Europe. Alain de Benoist, dans un éditorial de la revue Eléments, écrivait déjà en 1983 : "L'immigration est née de l'obligation faite à des hommes de se déraciner, par un système économique désireux de faire appel à une main d'oeuvre bon marché, système fondé sur le profit qui transfère les hommes comme on transfère les marchandises ou les capitaux. Fruit de l'idéologie de la rentabilité (à courte vue), elle est une forme moderne de déportation et d'esclavage."

Omar Ba.jpg
 

"Après le succès de "Je suis venu, j’ai vu, je n’y crois plus" (plus de 10 000 exemplaires), Omar Ba nous livre un texte percutant sur l’immigration, un sujet brûlant. Omar Ba affirme que les Africains qui quittent tout pour venir en Europe perdent au change. Leur avenir est sur le continent noir. L’immigration contribue à maintenir les populations africaines en position d’assistanat. De plus, les populations immigrées sont plus touchées par le chômage : l’Europe a-t-elle besoin de l’immigration ? Les immigrés sont « conviés à la misère ». Omar Ba est contre les régularisations massives des sans-papiers, qui vont pousser de nombreux autres Africains à quitter leurs pays d’origine pour l’Europe en leur donnant de l’espoir, mais qui vont aussi priver les pays d’Afrique de leurs ressortissants. Au sujet des expulsions, il s’agit d’une sanction juridiquement approuvée par la Cour Européenne des Droits de l’Homme, cela ne devrait pas provoquer autant de remous. Pour Omar Ba,l’opinion publique choisit l’émotion (cas du renvoi des Afghans en décembre 2009). « Parfois il est salutaire de raccompagner l’étranger dans son pays », selon lui. Les conditions socio-économiques se dégradent dans les pays du Nord, qui ne peuvent donc plus accueillir. Mais selon Omar Ba, l’immigration ne doit pas être associée au racisme, c’est un problème socio-économique, à ne pas « racialiser » (ex : la chasse aux Camerounais exercée en Guinée Equatoriale en mars 2004, où on a vu « des Noirs s’en prendre à d’autres »)… Un texte à contre-courant des idées « bien-pensantes » sur l’immigration, le point de vue surprenant d’un immigré africain de 27 ans."

lundi, 03 mai 2010

Moslims boos over Belgisch boerkabesluit

burqa_afghanistan_01.jpg
Ex: http://www.telegraaf.nl/buitenland/6637920/__Moslims_boos_over_boerkabesluit__.html

Moslims boos over Belgisch boerkabesluit
BRUSSEL -  Moslims in België hekelen het aankomende boerkaverbod in het land. Ze geloven niet in het argument dat het verbod nodig is om veiligheidsredenen. Ze stellen dat het bedoeld is om moslims aan te pakken.

„Ik denk dat ze ons gewoon willen uitschakelen”, zei Souad Barlabi, een jonge vrouw met een gewone hoofddoek, toen ze vrijdag de grote moskee van Brussel binnenging voor gebed. „We voelen ons aangevallen.”
Het Belgische parlement had donderdag gestemd voor een nationaal verbod om op straat kleding te dragen die het gezicht verhult, zoals de boerka. Geen enkel parlementslid stemde tegen: een uitzonderlijk teken van eenheid in het doorgaans zo verdeelde België.
Wie het verbod negeert kan een boete krijgen van 15 tot 25 euro of een celstraf tot zeven dagen. De wet moet nog goedkeuring krijgen van de Senaat. Het is dan het eerste nationale boerkaverbod in de wereld, waarbij vooral de veiligheid als reden wordt genoemd.

„Het is gewoon een smoesje”, zegt Samuel Bulte, een bekeerling tot de islam die folders uitdeelt voor de moskee. „Hoeveel overvallen zijn er gepleegd door mensen die een boerka droegen?“
„Ik ben bang dat ze binnenkort het teken van de halve maan gaan verplichten op de rug van moslims”, zei hij, doelend op de gele sterren die Joden moesten dragen tijdens de bezetting door de nazi's.
Bruno Tuybens, een Vlaamse socialist, was een van de twee parlementsleden die zich donderdag van stemming onthielden. „Deze wet ergert me. Ik geloof in vrije meningsuiting en ik denk niet dat het beperkt moet worden, behalve voor erg uitzonderlijke omstandigheden. Er is geen verband tussen criminaliteit en het dragen van een boerka.”

Voor de moskee van Brussel riep een oude bebaarde man: „De maagd Maria droeg ook een hoofddoek. Niemand die daar iets van zegt.”
Even verderop zegt de 25-jarige Said dat hij verbaasd is „hoe een seculier land zo verward kan raken over religie”.
Mensenrechtenorganisatie Amnesty International riep de Belgische Senaat op het wetsvoorstel te herzien. De organisatie meent dat de wet strijdig is met mensenrechtenverdragen. „Een compleet verbod op het verbergen van een gezicht schendt de vrijheid van meningsuiting en de geloofsvrijheid van de vrouwen die de boerka of nikab dragen”, zei John Dalhuisen, Amnesty's expert voor discriminatie in Europa. „Het Belgische besluit om de gezichtsbedekking te verbieden, als eerste in Europa, is een gevaarlijk precedent.”

13:17 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : islam, immigration, burqa, belgique, belgicana, politique | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

samedi, 20 mars 2010

Een Turkse vijfde colonne?

Een Turkse vijfde colonne?

erdogan_tuerk2.jpgIn het bericht van gisteren had ik het reeds over de praktijken die Turkije erop nahoudt. Men kan nu zeggen dat de titel die ik hier gekozen heb zwaar overdreven is. Maar wanneer men naar de feiten kijkt, kan men niet anders dan zich toch ernstige vragen stellen. Het is ook heus niet zo dat het een nationalistische partij is die bepaalde feiten aan de kaak stelt, maar wel een christen-democratische.

DEN HAAG – Het CDA wil opheldering over berichten dat de Turkse regering Turkse politici in Europese landen probeert te beïnvloeden. Tweede Kamerlid Mirjam Sterk van die fractie vindt dergelijke inmenging ongewenst. Ongeveer 1500 Turkse politici zouden vorige maand op uitnodiging en kosten van de Turkse regering een conferentie in Istanbul hebben bijgewoond.

Bron: http://www.nu.nl/politiek/2207795/cda-wil-geen-turkse-inmenging-in-nederland.html

Wat zouden die politici daar gedaan hebben? De rest van het artikel geeft al een hint in die richting:

Volgens het Duitse weekblad Der Spiegel heeft de Turkse premier Recep Tayyip Erdogan hen daar opgeroepen niet te integreren in het land waar ze wonen, maar juist politiek actiever te worden. Het CDA wil van de demissionair ministers Eimert van Middelkoop (Integratie) en Maxime Verhagen (Buitenlandse Zaken) weten of er ook (Turks-)Nederlandse politici bij betrokken zijn geweest. Ook wil Sterk dat de bewindslieden een signaal aan de Turkse autoriteiten overbrengen dat inmenging niet wenselijk is.

Bron: http://www.nu.nl/politiek/2207795/cda-wil-geen-turkse-inmenging-in-nederland.html

Wat is er hier aan de hand? Wat is de agenda van Turkije m.b.t. de Europese landen en welke rol wensen de Turkse politici in Europa hierin te spelen? Het wordt toch wel eens dringend tijd dat de oogkleppen langs de linkerkant beginnen af te vallen, want veel duidelijker moet het mijn inziens allemaal niet meer worden… Dringend tijd voor een allesomvattend actief remigratiebeleid!

Ex: http://yvespernet.wordpress.com/

vendredi, 12 février 2010

The Camp of the Holy Ghosts

 

boatpeople.jpg

http://www.theoccidentalobserver.net/authors/Sunic-RaceReligionIV.html#TS

 

The Camp of the Holy Ghosts 

Tom Sunic 

February 7, 2010 

The incessant flooding of non-White immigrants into Europe and America raises the academic question of cause and effect. Certainly, the ongoing racial and religious changes in America and Europe are already having dramatic effects that will soon result in low intensity urban warfare. However, while it is relatively easy to study the consequences of non-White immigration and put the blame on non-White intruders and their liberal protectors, probing into the causes of the non-White immigration is far more delicate. The suicidal role of churches, especially the Catholic Church in the USA and in Europe needs to be critically examined, as does the opportunistic role toward Islam and Judaism of many White nationalists.

In all European countries, with the exception of Eastern Europe, the experiment with multiculturalism is getting uglier by the day. According to the estimates ofBritain's Commission for Racial Equality, by the year 2011 the population of the city of Leicester in the United Kingdom will be 50 percent non-White. Non-European Muslim immigrants, mostly from northern Africa and Asia Minor, already make up more than 20 percent of the population in the French city of Marseille, the Dutch city of Rotterdam, or the Swedish Malmo. Referring to dangers presented by Lebanese, Kurdish and Turkish drug gangs, the chief of the Berlin police trade union, Eberhard Schönberg,  admits that “we no longer venture into some parts of the city”.  

For fear of Muslims — and token Jews   

Among White advocates, especially in America, Islam is often associated with menacing non-Europeans who are perceived to be racially and culturally light years away from any Whiteness. In contrast to ethnocentric Judaism, Christianity and Islam have been reaching out for centuries to different races worldwide. All of these three religions originated in the Near East — not in Europe. If one were, therefore, to follow this logic then one must dispense with Judaism and Christianity too, since these two religions are also non-White by birth.

Race cannot be the synonym for religion. Masses of pious and God-loving Mexican immigrants, streaming daily into North America are very Christian. But they are not White. In a similar vein many recent German converts to Islam, let alone millions of Bosnian Muslims are very European and White.

As long as Christian churches and White advocates and other right-wingers criticize Islam and Muslim immigrants, they can savour some modest success with Jewish opinion makers, or may even be perceived as doing a substitute work for them. Should they venture, however, into critical analyses of modern political beliefs, largely shaped by Jewish think tankers, all hell breaks loose. Therefore,  over the last couple of years, in an effort to gain some credibility, or a piece of the parliamentary pie, European nationalist parties, along with some prominent White Americans, have decide to toe the line of Jewish neocons and Israeli firsters — a gesture which they combine with virulent remarks about Muslim immigrants.

Islam bashing, especially after the events of 9/11, fits well into the agenda of American-Jewish opinion makers, because it deflects concerns about Jewish influence and it provides Israel with additional territorial legitimacy.

Token Jews come in handy for White nationalist effusions, as shown by the BNP posting of the Jewish councillor Pat Richardson on its board.  "I'm in the BNP because no one else speaks out against the Islamification of our country," saidRichardson. "Being Jewish only adds to my concern about this aggressive creed that also threatens our secular values and Christian tradition."

Similar anti-Muslim and pro-Jewish words can be heard in continental Europe emanating from the influential nationalist party Vlaams Belang, whose chief, Frank Vanhecke said: "They say I'm anti-Semitic when the truth is I am one of Israel's staunchest defenders in the European Parliament. I invite you to read my queries to the European Parliament concerning its unjust treatment of Israel, and about the support the same parliament is giving to Palestinian murderers.” 

Such pathetic comments by the Vlaams Belang or the BNP, and by some American White advocates, won’t help their White constituents in the long run, nor will they appease their Jewish detractors. Quite to the contrary. Scared to death of the dreaded word ‘anti-Semite’, many European and American Whites assume that their anger at the rising tide of non-White immigrants, when couched in the eulogies of Jews and Israel, will give them extra mileage. They are wrong. They seem to forget the hard lesson German mainstream conservatives learned decades ago.  Despite crawling on all fours, bending backwards and forwards with the flurry of pro-Jewish and pro-Israeli disclaimers, Germany is not exonerated from making endless restitution payments to Jews or Israel.

A hundred years ago, a famous scholar and political psychologist, Vilfredo Pareto, described in his thick volumes the non-logical actions of liberal political actors and their desperate methods of rationalizing their aberrant political decisions. His analyses could well fit into the study of the mindset of prominent White advocates and their neurotic attitudes toward Jews. Servility never disarms the tormentor; it only makes the servile victim look more despicable in the tormentor’s eyes.

Another backlash of proxy White identity can be spotted among Whites’ grotesque veneration of Palestinians. This is in particular true among French “identitarians,” who enjoy sporting the Palestinian flag  often as a subterfuge for their condensed anti-Jewish feelings. Many European nationalists like to exhibit bizarre humanitarian emotions for this alien out-group, while neglecting the plight of their own White kinsmen in their own neighbourhoods.  

The Palestinian plight must be bewailed and bemoaned by Arabs only — not by White Americans and Europeans. Had the wealthy petro-sheiks from Qatar or Saudi Arabia more integrity and higher IQ, they could easily rock the boat and send oil prices into heaven on Wall Street, and thus help their brethren in Gaza or on the West Bank. Instead, they prefer yachting on the Croatian and the French Riviera on the look-out for White Christian women. The congenial lack of self-discipline among Arabs helps tiny Israel run the show in the Middle East — with the aid of American taxpayers.  

Christian–Leftist Holy Wars  

But I stand by my statement. Part of the mission of the Roman Catholic Church is to help people in need. It is our Gospel mandate, in which Christ instructs us to clothe the naked, feed the poor and welcome the stranger. 

These are the words of the US Cardinal Richard Mahony, from his op-ed piecein The New York Times, although his words could easily be attributed to a leftist militant. 

 If anybody can break the law with impunity in Europe and America, it is the powerful Catholic clergy. Mahony openly snubbed the House bill against hiring illegal aliens. If one were to replace his words “Catholic Church” and “Gospel” with the words “Party” and the “Five Years Plan” respectively, one could read a carbon copy of the new Communist Manifesto. Frightened at the sight of the vanishing White flock and reeling from the pedophile scandals, the Catholic clergy in America must look now for less intelligent and more credulous faithful, notably among Latin American immigrants.

Almost without exception the French higher and lower clergy is known for its left-leaning, pro-immigration politics. Given that less than 10 per cent of White French attend Sunday mass, the French Catholic Church must search for new sheep among non-White immigrants. It is common to observe the French clergy break the law by providing safe havens on the church premises for non-European immigrants, including Muslims from North Africa. The words by the notorious French bishop, Jacques Gaillot, who is openly pro-homosexual, pro-Muslim, pro-Arab and pro-immigration, as related by the influential French left-leaning weekly Le Nouvel Observateur online forum, says it all:

Undocumented foreigners are honoring us when they knock on the doors of churches. When they come to St Hippolyte and at St Merri they ask the Church to support them and to make their plight known, because they know that the Church has common bonds with foreigners. And sometimes the foreigner evokes the words of Jesus: “I was a foreigner and you welcomed me.” We do not have to imitate what foreign countries could do to Europeans if they were to go to mosques. It is not because Muslim countries would not welcome Europeans that we have to be like them. We have the responsibility to host those who are human beings as ourselves. 

Last year in May, Italy passed strict laws against illegal immigrants making it a felony to work and reside in Italy without proper documents. The Pope, however, could not wait to slam the right-wing Silvio Berlusconi government as “racist and xenophobic.”  In January this year, after race riots had broken out in Calabria, in southern Italy, the Catholic clergy promptly sided with the African immigrants.

But what else can one expect from the Catholic Church whose doctrine is based on the dysgenic idea of “love thy neighbor”?   The Pope’s spokesman reiteratedrecently that “the Church had always sought to defend the dignity of immigrants, particularly the weak and the feeble, around the world.“

Such priestly statements must be fine music for the ears of non-European  immigrants, and it would be naive to think that they ignore the consequences of Samaritan gifts provided by their Catholic hosts.            

One would think that traditional Catholics affiliated with the Society of Saint Pius have more racial awareness, because, unlike the Vatican,  they resolutely attack the Islamification of Europe. Undoubtedly, the European Catholicintégristes command a certain respect among prominent rightwing French academics and politicians sympathetic to the French Le Front National. Yet the stance of the Society of Saint Pius on non-European immigrants and on race mixing is not much different from the one espoused by the Vatican. How can it be otherwise in view of St Pius branches and supporters scattered in far away non-European countries, such as the Philippines or Latin America?  

Although fully obedient to Rome, Catholics in Slovakia, Hungary or Croatia are far more racially aware than their counterparts in Bavaria or Ireland. It is common to hear homilies by Croat Franciscan priests in the Catholic missions inPittsburgh, Sydney or Zagreb, implicitly urging young Croats to marry only within White Christian gene pool. East European Christians, particularly Christian Orthodox Serbs and Roman Catholic Croats have far less political compunctions about criticizing Muslim non-European immigrants than their Western equivalents — as shown by their ugly treatment of  Bosnians Muslims during the recent war in the Balkans. In Serb and Croat national sagas and myths, words like ‘Arab’ or ‘Turk’ are synonymous with evil. However, their own mutually exclusive nationalism, largely due to their past interreligious quarrels, makes any revival of an all-out, across the board White consciousness in Europe, at least for now, risible and far-fetched. 

The Catholic Church in Central and Eastern Europe is a projection of local White national identity and no so much the symbol of spiritual salvation. Catholic Poland, Slovakia, Croatia and Hungary take special pride in calling themselves “antemurale cristianitatis”, or "antimurale occidentis — i,e,, the “bulwark of Christianity” and the “rampart of the West” — first against Turkic Islamic invaders, then against godless communism.  Seen in retrospect though, communist repression in Eastern Europe had strengthened the role of the Catholic Church and the White consciousness of its congregation. By contrast, in Western Europe the liberal system is now quickly turning the Catholic Church into a multiracial clearing house.   

Certainly, in the very near future Christian meek shall inherit the old Earth — and the new Gulag.

Tom Sunic (http://www.tomsunic.info;  http://doctorsunic.netfirms.com) is author, translator, former US professor in political science and a former Croatian diplomat. He is the author of Homo americanus: Child of the Postmodern Age (2007). His new book of essays, Postmortem Report: Cultural Examinations from Postmodernity, prefaced by Kevin MacDonald, will soon be released.  Email him.

Bottom of Form

Permanent link: http://www.theoccidentalobserver.net/authors/Sunic-RaceReligionIII.html

 

 

jeudi, 04 février 2010

Nultolerantie in Brussel?

anderlecht.jpgNultolerantie in Brussel?

Ex: http://yvespernet.wordpress.com/

In Brussel is het allemaal “wat uit de hand” aan het lopen. Een partij als het Vlaams Belang zegt het al jaren, maar zij zijn telkens uitgemaakt voor racisten, fascisten of aanhangers van een politiestaat. Dat er elk jaar in Brussel tientallen rellen zijn, zonder dat die in de media komen (met dank aan mijn Brusselse kennissen om dit te melden), dan was dat de schuld van velen, maar nooit van de beleidsvoerders of van de relschoppers. Maar ondertussen hebben de politici ontdekt dat het misschien toch wat uit de hand loopt…

Bij een hold-up op een wisselkantoor in de Brusselse Adolphe Maxlaan is zaterdagmorgen een agent neergeschoten. De man raakte zwaargewond, maar is niet in levensgevaar. Na de overval sloegen de drie daders op de vlucht. Een politiepatrouille probeerde de overvallers tegen te houden, maar werd daarbij beschoten. Een agent kreeg drie kogels in het been en zou zwaargewond naar het ziekenhuis gebracht zijn.

Bron: http://www.gva.be/nieuws/binnenland/aid898678/agent-zwaargewond-na-overval-brussel.aspx

Met wat schoten de daders? Met het alombekende Russische automatische aanvalsgeweer: de AK. Wilt u ook zo’n vuurwapen in uw bezit hebben? Blijkbaar kan dit zonder probleem. Men moet enkel € 50 hebben en de juiste contacten in Brussel:

Die wapens worden volgens de politie in Brussel tegen prijzen van 50 euro per stuk verkocht. “Er moet absoluut een betere bescherming zijn voor de mensen op het terrein”, vindt Van Hamme, “want de kalasjnikov doorboort onze kogelwerende vesten.”

Bron: http://www.deredactie.be/cm/vrtnieuws/regio/brussel/100131_NSPV_oorlogswapens

moureaux.jpgMen zou dus denken dat de voorstellen van politici voor een ééngemaakte politiezone Brussel, nu heeft elke burgemeester zowat zijn eigen politiemacht, en een zerotolerantie op algemene consensus wordt onthaald. Dit is wel en niet het geval. Langs Vlaamse kant zijn alle partijen het eens dat dit moet gebeuren, van Groen! t.e.m. het Vlaams Belang. Maar, afgaande ook op de berichtgeving in het avondjournaal op Één, is dit langs Franstalige kant zeker niet het geval. Daar worden de voorstellen tot hervorming bekeken als “Vlaamse eisen” en “extreem-rechtse” praat.

‘Ik ben geen communautaire scherpslijper, maar in deze heeft de Brusselse Franstalige politieke klasse een verpletterende verantwoordelijkheid. Om electorale redenen houden zij vast aan het systeem van 19 gemeenten, dat niet meer aangepast is aan de huidige toestand waarin Brussel een echte grootstad geworden is. Dat vraagt een andere aanpak. Ze willen niet weten van een gemeenschappelijk politiebeleid omdat ze heilig geloven in de ‘proximité’, de nabijheid met de burger. [...] ‘De Brusselse Franstalige politici hebben de macht in de negentien gemeenten en zien dat als een soort garage, waar ze zichzelf en hun getrouwen kunnen parkeren. Tel maar na, 19 burgemeesters, al die schepenen, al die gemeenteraadsleden, dat zijn allemaal pionnetjes. Maar met goed bestuur heeft dat niets te maken. Weet je dat er hier de komende 10 jaar nog eens 200.000 Brusselaars bijkomen, vooral in de armste gebieden van Brussel? Maar daar hoor je niets over. Nee, men blijft een onderwijssysteem verdedigen dat jonge mensen blijft uitspuwen die nauwelijks Frans kennen, laat staan de drie talen die ze nodig zullen hebben om werk te vinden.’

http://www.nieuwsblad.be/article/detail.aspx?articleid=DMA31012010_001

Thielemans.jpgHet gaat daar dus ondertussen zo ver dat men, puur uit koppigheid en oogkleppenmentaliteit, regelrecht weigert om maatregelen te nemen. Die ideeën komen immers uit Vlaamse hoek en het Vlaams Belang heeft die ideeën ook geuit. Dat is zoals verkiezen om te verdrinken omdat de persoon die je wilt komen redden een andere maatschappijvisie heeft. In Terzake van 1 februari 2010 konden we ook nog vernemen dat deze overvallen, volgens Philippe Moureaux en Freddy Thielemans toch, eigenlijk maar twee fait divers zijn. Deze dingen gebeuren en zijn verwaarloosbaar. De Vlamingen spreken hier enkel over om drama te kunnen maken, “zij willen immers het einde van België” (dixit Thielemans) en misbruiken heel deze situatie. Maar dat is dan ook normaal voor de Vlamingen met “hun extreem-rechtse praat“.

Of hoe het Belgische systeem op elk niveau een constante tegenstelling illustreert. België is gewoonweg niet meer werkbaar en men ziet nu de gevolgen op straat. Franstaligen weigeren in Brussel regelrecht problemen onder ogen te zien omdat de Vlamingen erover spreken en in de Franstalige pers komt het niet aanbod omdat het een “Vlaams” thema is en extreem-rechts in de hand zou kunnen werken. Zo had Philippe Moureaux vandaag drie Vlaamse cameraploegen over de vloer gehad voor een reactie over de gebeurtenissen, terwijl er geen enkele Franstalige ploeg was langskomen. Men zou voor minder voor het einde van België ijveren…

Ondertussen in De Standaard: Nultolerantie nu al op de helling

2 februari 2010 Geplaatst door Yves Pernet |

mercredi, 27 janvier 2010

La Turquie inonde l'Europe d'immigrés clandestins

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La Turquie inonde l’Europe d’immigrés clandestins

 

ANKARA (NOVOpress) – Eric Besson, ministre de l’immigration, était hier à Tolède (Espagne) dans le cadre d’une réunion avec ses homologues de l’Union européenne (UE). Pour le ministre français, l’immigration clandestine en provenance notamment de Turquie devient incontrôlable. « Un sujet prioritaire dans les relations entre l’Union européenne et la Turquie. La situation dans la mer Egée est devenue intenable. Les Grecs sont soumis à une pression intolérable. La Turquie est de toute évidence devenue un pays de transit et nous avons besoin qu’elle joue le jeu ».

Cette question est tellement brûlante qu’Eric Besson évoque une « exigence ». Mais pas question de froisser les Turcs. Les enjeux économiques planent sur les relations franco-turques à trois heures de vol de Paris, la France étant le deuxième investisseur étranger du pays… Ainsi, Jacques Barrot, commissaire européen en charge de la Justice et de la Sécurité, ne veut surtout pas « stigmatiser » la Turquie qui « doit être considérée comme un grand partenaire. Elle a un rôle à jouer dans la région et il faut la laisser décider de sa relation avec l’UE. En tout état de cause, il faut lui ouvrir le choix vers un partenariat très fort ».

Déjà une voie royale pour l’afflux de migrants afghans en Europe, avec des pays limitrophes aussi instables que l’Iran et l’Irak : outre ses propres ressortissants, la Turquie expédierait cette fois sur le continent européen des centaines de milliers d’immigrés extra-européens chaque année si elle devait intégrer l’Union européenne, véritable passoire en matière de lutte contre l’immigration massive.


[cc [1]] Novopress.info, 2010, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
[
http://fr.novopress.info [2]]


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mardi, 19 janvier 2010

Does Immigration Limitation Require a Police State?

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Does Immigration Limitation Require a Police State?

Says one of my critics:

“…my problem with Keith Preston’s approach is not that he suggests identifying and allying with criminalized, marginalized, or lumpen people. My problem is, first, that he has what I consider a disastrously selective view of whose criminalization and marginalization counts as legitimate libertarian concern (=). And, secondly, that he has the wrong idea about what the process of building such an alliance, and the terms on which allies might ally themselves with each other, looks like.

(=) Hence, for example, his bizarre efforts coddle pseudo-populist Right-wingers who support the immigration police state and the mass criminalization of people without papers. Whereas on my view, if you’re concerned about identifying with the most criminalized, marginalized, exploited and oppressed, it would be harder to find a better place to start than with standing up for the rights of “illegal alien” workers confronting the border Stasi without government papers.”

The first problem here is the fact that the Stasi were oriented towards keeping people inside the German Democratic Republic, rather than keeping immigrants out, and repressing political dissent among East Germany’s captive native population. Beyond that, however, is the wider question of whether immigration limitation by itself requires a police state. No doubt there are plenty of anti-immigration enthusiasts who would like nothing better than a police state hunt-down of suspected illegal immigrants. No doubt the militarization of U.S. law enforcement generated by the various “Wars on…” (pick one) drugs, crime, guns, gangs, terrorism, vice, cults, racism, sexism, poverty, urban blight, child abuse, animal abuse, et. al. ad nauseum has at times included police state tactics in immigration enforcement as well (see the shenanigans of Uber-PIG Joe Arpaio).

But is a fascist police state essential to the restriction or limitation of immigration? Iceland  and Switzerland are among the most restrictive of the European nations concerning their immigration policies. Yet both of these are widely considered to be among the most progressive and libertarian of all nations anywhere. Iceland has no standing army, and bars nuclear weapons from its territory. Neither of them maintains the death penalty, and neither will extradite fugitives to the U.S. who may face capital punishment. Some years ago, an Icelandic court refused to extradite a fugitive to the U.S. because of the conditions found in U.S prisons. Switzerland is one of the world’s most non-belligerent nations. There are certainly no signs of fascism here.

Does immigration restriction even require a state of any kind? If the Spanish anarchist militias had been triumphant in the civil war, could they not have proceeded to safeguard the borders of the Spanish territory following victory? The Hezbollah militia of Lebanon is a non-state entity, yet it is an effective fighting force. Hezbollah is not only capable of guarding the Lebanese border, but of repelling an actual Israeli occupation. Likewise, the Armed Forces of the Colombian Revolution are a non-state entity, yet they have at times successfully held substantial portions of Colombian territory. Could not the FARC also safeguard its territorial boundaries?

What about all of the different kinds of territories within the United States itself where entry is restricted? These include industrial parks, office complexes, shopping centers, schools and universities, recreational facilities, country clubs, gated communities, stadiums, private neighborhoods, airports, bars and nightclubs, and private homes. All of these territories impose at least some degree of limitations on who may or may not enter. Those who do not buy a ticket are forbidden from entering theaters and stadiums. Those who do not pay a cover charge or have an ID are refused admission to bars. Those without a membership are denied entry to private clubs. Entry into schools is typically restricted to students, parents, employees, and others with authorized business. Even ordinary commercial facilities impose some minimal requirements for entry: “Shirts and Shoes Required”; “No Smoking”; “No Playing Loud Music”; “No Pets or Animals”; “No Rude or Aggressive Behavior.”

Of course, it might be argued that all of the aforementioned are private or semi-private institutions and organizations, as opposed to public streets, sidewalks, thoroughfares, lands, waterways, and airways. Yet most of these things are currently owned not by “the public” but by the state, which anarchists and the most radical libertarians ostensibly consider to be illegitimate. If the state were to disappear, into whose hands would such “public” areas fall? The anarcho-capitalist solution is to place these in the hands of private landowners, whether individual or collective in nature. The geo-anarchists prefer land trusts. Left-anarchists and libertarian-municipalists would prefer community control on the basis of some kind of Athenian model “direct democracy.” Syndicalists might prefer that all public services be put under “workers’ control,” meaning that, for instance, public streets and highways would be under the management of the highway workers’ and street maintenance workers’ unions. Mutualists might prefer “consumer control,” meaning, for instance, airports might be managed by, say, associations of frequent flyers or consumers of airline services. Whatever model or combination of models one prefers, it is quite possible that at least some of these kinds of entities would enact entry requirements at least as restrictive as those currently in existence.

There are other possibilities. Upon the demise of the state, perhaps all public properties and areas could be ceded to “squatters’ rights.” The first person to show up and pitch a tent on a piece of land in Yellowstone Park gets to keep the lot. Perhaps all public areas could simply be declared “No Man’s Lands” akin to present day Antarctica or remote desert or mountainous regions. Perhaps these might be areas where everything is a free-for-all, and where even ordinary criminal laws do not apply. I confess that if such a proposal came up for vote in a national referendum, the nihilist in me might well take over and I might not be able to resist the impulse to vote in favor of it. But how many people really think this would be a desirable state of affairs?

Either way, from where can the principle be deduced that a stateless or near-stateless society, nation, or territory would necessarily maintain unrestricted entry? Even if public areas were “No Man’s Lands” could not a xenophobic militia simply organize and drive away unwanted migrants? In contemporary Western-model societies, much of the mass immigration we presently observe is not simply occurring according to natural patterns of population movement, but is actively encouraged, promoted, and subsidized by the state. See here and here for some examples of how this works. I suspect this trend could be reversed if the support given to mass immigration by state and corporate policies was simply ended. Much of this immigration is economic in nature. Take away the economic incentives, and the overall amount of immigration should diminish. Indeed, there are some signs that the present economic situation is having such an effect.

I’m not going to go into the problems with allowing mass immigration from the Third World into the West. I’ve already written about that in the past and have really said all I have to say about the matter. See here and here. Critics already understand the potentially rather severe consequences of this. Proponents of mass immigration generally make it clear that they don’t care about the consequences. But when Islamic revolutionary parties start becoming competitive in European elections, and there’s a replay of the Mexican War complete with good old fashioned ethnic cleansing in the U.S. Southwest, don’t say us dirty, rotten, fascist, racist, nationalist, right-wing, reactionary, xenophobic bigots didn’t warn you. 

Some interesting articles on immigration:

mardi, 05 janvier 2010

L'immigration, un instrument du mondialisme

immigration-lampedusa-image.jpgL'immigration, un instrument du mondialisme

Ex: http://unitepopulaire.org/

 

M. Claude Calame, éminent intellectuel du système, directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) de Paris s’est fendu il y a quelques jours (le 7 décembre) d’une chronique parue dans plusieurs titres de presse en France et en Suisse romande. Le titre de son papier vaut à lui seul le détour : Les apories discriminatoires du libéralisme productiviste. C’est clair pour tout le monde ? Non, pas tout à fait ? Aucune importance, un vrai universitaire ne s’adresse toujours qu’à d’autres universitaires, seuls lecteurs susceptibles de le comprendre – et dans le cas de M. Calame, c’est sans doute mieux ainsi car il n’y a guère que dans la cafétéria de Sciences-Po qu’on peut prendre pour argent comptant les arguments fantaisistes qu’il déploie.

Vous l’aurez compris si vous avez pris la peine de décrypter le titre ampoulé de l’article, il s’agit d’un texte essayant de mettre en lumière les discriminations engendrées par le capitalisme. Sujet intéressant – c’est, en gros, ce que nous faisons ici chaque semaine avec “nos mots à nous”. M. Calame nous expose donc ce qu’est le but du capitalisme et ce qu’il croit être ses moyens :

« Dans la perspective de maximiser le profit économique, il s’agit de favoriser la production et le libre commerce des marchandises mais de restreindre la circulation de leurs producteurs, et davantage encore l’immigration de celles et ceux qui sont exclus d’un système productiviste désormais mondialisé. […] A l’externe, [la politique concertée de développement mondial du capitalisme] empêche l’immigration de celles et ceux qui sont les victimes des vastes crises provoquées par un système refusant toute régulation qui répondrait à des critères autres que celui du profit : crises économiques, alimentaires et désormais financières. »

Il y a à la fois du vrai et du faux dans cette phrase. Du vrai car oui, le capitalisme vise toujours à la maximisation du profit et oui, la mondialisation du système productiviste (c’est-à-dire la transformation de nombreux pays en zones réservées pour telle ou telle tâche précise dans la chaine de production – d’où l’expression “atelier du monde”) met des millions de gens sur la paille et, parmi eux, en pousse un grand nombre à quitter leur pays pour tenter leur chance ailleurs. Du faux car le capitalisme, s’il favorise le libre commerce (libre circulation des biens et des capitaux à travers le monde) ne fait rien, mais vraiment rien, pour faire barrage à la libre circulation des personnes et à plus forte raison des travailleurs. Bien au contraire !

« D’une part on supprime toutes les barrières dont on prétend qu’elles entravent le marché et la circulation des gains financiers qui en sont retirés ; d’autre part on restreint par une panoplie de mesures de discrimination juridique et policière les libertés fondamentales des ouvriers de la société productiviste, souvent au nom de la préservation de l’“identité nationale”. »

M. Calame persiste dans cette erreur grossière – erreur qui tient plutôt du mensonge car on peut espérer qu’un professeur de formation ait tout de même compris les mécanismes généraux de l’économie mondiale. Il fait semblant de croire que les décisions relatives à l’extension des marchés et celles concernant certaines restrictions s’appliquant aux droits des immigrés procèdent de la même autorité, or nous savons bien – spécialement en Suisse – qu’il n’en est rien. Si les mesures prises par l’OMC entrainant la déréglementation des marchés et l’ouverture des frontières n’ont rien de démocratique, les décisions prises de temps à autre chez nous pour “serrer la vis” à nos frontières sont la plupart du temps le fruit d’une votation populaire. M. Calame feint sans doute de l’ignorer pour ne pas avoir à confesser ce désamour de la démocratie qui caractérise aujourd’hui nombre d’intellectuels de la gauche bourgeoise.

Il faudra aussi qu’il nous explique ce que sont les “libertés fondamentales des ouvriers de la société productiviste”. J’aurais tendance  penser qu’il s’agit entre autres du droit de trouver un emploi dans son pays, mais pour M. Calame, cette liberté semble plutôt se résumer au droit de se faire exploiter à l’autre bout du monde en faisant jouer la sous-enchère salariale. Chacun sa vision du socialisme.

Quant à ce qu’il pense de l’identité nationale, l’usage des guillemets dont il entoure cette expression en dit sans doute assez long sur le crédit qu’il lui accorde. Nous faire croire que les multinationales éprouvent le moindre état d’âme pour l’identité nationale relève de la malhonnête intellectuelle pure et simple ! Le principe de la nation s’oppose par essence à celui de la mondialisation libérale : le marché global veut s’immiscer partout mais les nations ont des frontières, il veut libéraliser tous les secteurs mais les nations sont dirigées par des Etats, il veut créer un modèle de consommateur unique mais les nations cultivent leurs identités culturelles respectives.

« L’idéologie de l’économie de marché est devenue national-libéralisme. »

Avec M. Calame, nous ne sommes plus à un oxymore près… Faudra-t-il encore et toujours répéter que le terme fantasmatique “national-libéralisme” porte en lui-même sa propre contradiction ? Si, comme la réalité des marchés en atteste, la forme moderne du libéralisme est résolument mondialiste, comment pourrait-elle être à la fois nationale ? Il faut être méchamment naïf pour croire que si la loi donne à un grand PDG les moyens de maximiser ses profits en délocalisant ou en faisant jouer la concurrence entre travailleurs indigènes et étrangers, il va s’en abstenir par patriotisme ou par conscience civique ! Un national-libéral, si ce type de mutant existait, serait assurément moins libéral qu’un capitaliste global, mais dans la gauche d’aujourd’hui, il faut croire qu’on préfère voir l’ombre menaçante du Grand Capital chez les patrons de PME et les petits indépendants que chez les trusts internationaux…

A titre d’exemple des exclusions prétendument encouragées par le système capitaliste, il cite la récente votation suisse sur les minarets et dit la chose suivante :

« Encore une fois le “ça suffit” populaire que permet la démocratie directe a été détourné sur un autre, diabolisé. »

Et pour le coup, la logorrhée trotskisante passe de moins en moins bien car on désespère d’y trouver encore le moindre signe de cohérence. Si on comprend bien, M. Calame met dans le même panier les décisions prises par le peuple et celles prises par le grand capital – ce qui pour un socialiste est plutôt original – et considère que l’interdiction des minarets fait le jeu du libéralisme mondial, à rebrousse-poil de tous les analystes qui nous assuraient que cette même interdiction allait inévitablement décourager dans notre pays tous les investissements financiers en provenance du monde arabe… Allez comprendre !

Ce qu’on retiendra surtout, c’est que la démocratie est pour M. Calame une bonne chose lorsqu’elle va dans son sens mais qu’il suffit qu’elle s’en écarte (ce qu’elle fait la plupart du temps sans doute) pour qu’elle ait nécessairement été “détournée” de sa cible… Un seul élément évident émerge dans cet imbroglio : les gauchistes, tout en faisant mine – devant un public d’universitaires tiraillés entre leurs idéaux et leur situation sociale – de combattre la droite libérale et ce qu’il est convenu d’appeler les forces de l’argent, vont en fait main dans la main avec leurs frères ennemis puisque leurs visions du monde respectives ne se distinguent plus guère que par la rhétorique qui les emballe. Des deux côtés le mondialisme, des deux côtés l’immigration “libre et non faussée”, des deux côtés la haine et le mépris des nations, des peuples et des identités.

 

pour Unité Populaire, David L’Epée

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dimanche, 20 décembre 2009

Ehrenmorde: Darf man relativieren?

kositza-sezonline.jpgEllen KOSITZA
http://www.sezession.de/
Ehrenmorde: Darf man relativieren?

Darf man relativieren? Relativieren heißt: In Beziehung setzen. Wo es um Opferzahlen geht, ist das ein denkbar kritischer Ansatz. Wir wissen aus vielfältigen Diskussionen – Menschenleben gegeneinander aufwiegen zu wollen, ist immer heikel. Wo wäre schon der Maßstab, um abzuwiegen: Den Wert des Lebens bspw. eines Ungeborenen, eines Greises, eines Taliban, eines Rechtsradikalen etc.? Gibt es Leben, die schwerer wiegen als andere? Wie könnte man Opfer klassifizieren? Und: Wie kommen eigentlich Statistiken zustande?

Anna Caroline Cöster etwa sagt uns nun, die offiziellen Opferzahlen unter der Rubrik „Ehrenmorde“ seien deutlich zu hoch gegriffen. Cöster wird vom Tagesspiegel als „Expertin für Geschlechterverhältnisse“ vorgestellt, die Universität Freiburg führt sie unter „Wissenschaftlicher MitarbeiterInnen“ (sic!). Frau Cöster hat 25 in den Jahren 1997-2005 vor Gericht verhandelte Tötungsdelikte untersucht, die als „Ehrenmorde“ bekannt geworden sind und kommt zu dem Schluß: Nur in zehn Fällen habe es sich um tatsächliche Ehrenmorde gehandelt, die anderen Fälle seien Affekthandlungen gewesen – durchaus vergleichbar mit „Beziehungstaten“ unter Deutschen. Cöster warnt davor, solche betrüblichen Vorfälle falsch einzuordnen und sie für eine Integrationsdebatte zu instrumentalisieren.

Hm, zehn für gültig befundene Ehrenmorde in acht Jahren – klingt beinahe harmlos.

Allerdings: eine amtliche Statistik zu solchem Straftatbestand liegt gar nicht vor. Höchst hilfreich ist da die Seite ehrenmord.de, die von Uta Glaubitz verantwortet wird. Glaubitz hatte 2008 gemeinsam mit der jungen Anwältin Gülsen Celebi bei Heyne das Buch Kein Schutz, nirgends veröffentlicht. Dessen Verkauf wurde bald verboten. Entsprechend vorsichtig und unterfüttert mit vielfältigen Quellenangaben werden die Ehrenmordfälle auf Glaubitz´ ständig aktualisierter Seite vorgestellt. Für 2009 sind bislang 26 Ehrenmorde samt ihrer Geschichte aufgelistet. Zudem heißt es, daß viele Ehrenmorde als Unfälle oder Selbstmorde getarnt werden bzw. die Opfer zuvor ins Ausland geschafft würden. Celebi spricht von einer hohen Dunkelziffer, die mit bis zu 100.000 Fällen pro Jahr weltweit ausgeht, rund 300 seien es in der Türkei, ein Vielfaches etwa in Pakistan.

Welche Bundesmittel werden eigentlich bereitgestellt, um wenigstens dem blutigen Geschehen hierzulande zu begegnen? Wie viele zivilcouragierte Initiativen, Anlaufstellen für Gefährdete und davongekommene Opfer, wie viele Aussteigerprojekte für potentielle Täter gibt es? Andere Zahlen und Hilfsadressen sind da leichter zu ermitteln. Eine Große Anfrage der Linken nach der Zahl der getöteten Opfer rechtsextremer Gewalt beantwortete die Bundesregierung im Oktober 2009: 46 Menschen seien zwischen 1990 und 2008 durch sogenannte Rechtsextreme ums Leben gekommen (46 zuviel – muß ich das hinzufügen?).

Die zehn Professoren mit meist einschlägig linkem Hintergrund, die sich nun lautstark gegen eine befürchtete Kürzung der Fördermittel gegen Rechtsextremismus wandten, sprechen von 140 Todesopfern – scheint, dies alles ein weites Feld für Interpretationen.. Jedenfalls: es gibt über 90 staatlich geförderte Initiativen „gegen rechts“, und „nach Mügeln“ (also nach der Dorfkeilerei zwischen Indern und Deutschen bei einem Volksfest) wurde der jährliche Haushalt von 19 Millionen Euro Fördermitteln noch mal um 5 weitere Millionen aufgestockt.

Wie viele Heimflüge und, meinetwegen, Re-Integrationsmaßnahmen hätte man von einem Bruchteil dieses Geldes finanzieren können? Zuletzt: Es müßte mal ein Wissenschaftler auf die Idee kommen, zu untersuchen, hinter wie vielen „rechtsextremen Straftaten“ wirklich eine rechte Gesinnung stand. Am Ende kommt dabei womöglich heraus, daß die meisten Täter gar nicht aus rechtsextremen Gründen handelten. Daß sie weder über ein „geschlossenes Weltbild“ verfügten noch eine dezidiert rechte politische Motivation besaßen. Daß sie, ja, „nur“ im „Affekt“ handelten …

mercredi, 16 décembre 2009

Sarrazin wirkt

thilo-sarrazin.jpgSarrazin wirkt

Ex: http://www.sezession.de/

Öffentliche Verkehrsmittel in Großstädten sind eine Universität der rauhen Wirklichkeit. Redakteur Rainer Wehaus von den „Stuttgarter Nachrichten“ ist bodenständig genug, um auch mal die Stadtbahn zu nehmen. Der „Fall Sarrazin“ hat ihn scheint’s ermuntert, die dort gemachten Erfahrungen mit seinen Lesern zu teilen.

Woran denkt die „schweigende Mehrheit“, wenn sich im Stadtbahnwagen „ein paar junge Männer mit Migrationshintergrund“ lärmend, brüllend und rempelnd breitmachen, daß die anderen Fahrgäste stumm die Köpfe einziehen? – fragt Wehaus im Leitartikel der „Stuttgarter Nachrichten“ [1] vom 5. Dezember und mutmaßt:

„An den altklugen Zeitungskommentar von gestern, der zu mehr Verständnis und zu mehr Hilfe für bildungsferne Schichten aufrief? Oder an die salbungsvollen Worte aus der Politik, derzufolge man doch bitte schön andere Kulturen als Bereicherung empfinden und den Dialog suchen solle?“

Eine Dame, die es damit versucht und die Halbstarken um Ruhe bittet, wird wüst angepöbelt. Die Störenfriede steigen aus, die Mehrheit schweigt erleichtert weiter. „Wer Stadtbahn fährt, erlebt so etwas öfter“, weiß Wehaus und findet zur treffenden Lageanalyse:

„Es sind die Erlebnisse des gemeinen Volks, die so gar nicht zu dem passen wollen, was die Politik mit Hilfe der Medien gerne präsentiert: Vorzeigeprojekte zur besseren Integration ausländischer Jugendlicher – die heile Welt im Kleinen. Oder Islamkonferenzen mit großen, leeren Worten. In der Stadtbahn sieht die Welt etwas anders aus. Und die schweigende Mehrheit beschleicht das unbestimmte Gefühl, daß die Politik ihnen nicht die ganze Wahrheit sagt.“

Von dieser Lagebeschreibung aus bringt Wehaus die Sarrazin-Kampagne auf den Punkt –

„Der Stammtisch darf auch dann nicht recht haben, wenn er recht hat.“

– und zieht mit Sarrazins Kommentar zum Schweizer Minarettverbot im Handelsblatt die Quintessenz aus der „Kluft zwischen öffentlicher und veröffentlichter Meinung“, die ihm in beiden Fällen ins Auge springt:

„ ‚Das Schweizer Volksbegehren zeigt, daß in der Tiefe der Gesellschaft anders gedacht wird, als die politische Klasse und die Mehrheit der Medien glauben wollen.’ Da hilft nur eins: Öfter mal Stadtbahn fahren.“

Kein Zweifel: Sarrazin wirkt. Die Debatte, die der Ex-Senator aus der Flasche gelassen hat, geht weiter; seine Art, Klartext zu reden, wirkt ansteckend. Die Breschen in der politisch korrekten Schweigemauer um das Multikulti-Luftschloß werden größer. Es passen schon immer mehr Redakteure etablierter Tageszeitungen hindurch.

(Foto: flickr/kaffeeeinstein)


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[1] im Leitartikel der „Stuttgarter Nachrichten“: http://www.stuttgarter-nachrichten.de/stn/page/detail.php/1405184

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vendredi, 04 décembre 2009

Démographie, écologie, immigration et politiquement correct

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Démographie, écologie, immigration

et politiquement correct

 

Ex: http://unitepopulaire.org/

« Tout d’abord, deux jeunes écologistes tentent d’établir les effets directs sur l’environnement de l’accroissement de la population suisse. Que leur discours relève de l’évidence ne l’empêcha pas de faire scandale, ce qui prouve la sévère dictature intellectuelle dans laquelle nous vivons. Les auteurs passèrent donc immédiatement pour de dangereux xénophobes, voire de futures recrues de l’UDC. Les critiques provinrent essentiellement de leur propre parti et de la gauche en général alors que la droite au contraire s’enthousiasmait de cet anticonformisme juvénile. Tous pourtant devraient réfléchir à cela qu’il n’y a que deux solutions pour résoudre le problème posé par nos héros : soit limiter l’immigration, ce qui est politiquement incorrect, soit encourager l’émigration, c’est-à-dire expulser les Suisses de leur pays, comme le disent clairement les auteurs, ce qui pourrait devenir politiquement très correct si nous n’y prenons garde… […]

C’est ainsi que l’écologie nous conduit tout droit vers un nouveau malthusianisme. A l’origine économique avec le principe de la croissance zéro, il en devient démographique, en prônant le recul des naissances. Rien n’est plus dangereux! En effet, à peine les mesures natalistes mises en place en Europe depuis plus de dix ans produisent-elles leurs effets qu’il faudrait donner le signal inverse ! Ce d’autant que les démographes affirment que le monde est entré, depuis 2005 environ, dans une phase de baisse de la fécondité : l’indicateur conjoncturel correspondant au nombre moyen d’enfants par femme est aujourd’hui inférieur à 2,2 pour plus de la moitié de la population mondiale et inférieur à 3 pour plus de 75%, entre autres en raison des politiques strictes des pays asiatiques. A l’échelle internationale, cette transition démographique devrait durer en tout cas jusqu’à 2050 et les problèmes liés au vieillissement accéléré vont devenir toujours plus importants, particulièrement en Europe et en Asie orientale. »

 

Marie-Hélène Miauton, Le Temps, 20 novembre 2009

vendredi, 13 novembre 2009

Immigration et identité

immigration_clandestine-cb663.jpgImmigration et identité

par Dominique Venner

Lancé à quelques mois des élections régionales, le débat sur l’identité nationale n’est sans doute pas innocent. La thématique avait déjà pesé lors de l’élection présidentielle .Bien entendu cette question toujours biaisée ne se pose qu’en raison des inquiétudes créées par l’immigration. Les Français n’ont jamais été consultés sur celle-ci, alors qu’elle plombe le présent et engage l’avenir de leur descendance à qui seront léguées des catastrophes certaines. Sujet tabou.

Pour mesurer les interdits verrouillant cette question, les historiens de l’avenir auront l’embarras du choix. Ils pourront par exemple associer deux curieux incidents, survenus récemment à un mois de distance. Commençons par le second, chronologiquement parlant. La scène se passe le 5 septembre à Seignosse, lors du campus d’été du parti majoritaire. Dans une ambiance détendue, le ministre de l’Intérieur, à qui l’on présente un militant en précisant « c’est notre petit Arabe », laisse filer ce commentaire: « Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes… » Rapportés par les médias, ces propos seront jugés “racistes” et provoqueront les réactions que l’on imagine. Le ministre tentera d’esquiver : il pensait aux Auvergnats, ce qui serait moins pendable. Depuis, quand des policiers appréhendent un Maghrébin, ils disent: “On a pincé un Auvergnat.”

Passons à l’autre incident, qui remonte au matin du 31 juillet, à l’aéroport d’Orly.U n préfet de la République en civil se présente au contrôle. Légère bousculade. Plusieurs agents de sécurité d’origine antillaise accuseront le préfet d’avoir lancé: « On se croirait en Afrique… Il n’y a que des Noirs ici… » Les contractuels porteront plainte pour “injures racistes”. Le ministre de l’Intérieur décidera illico de suspendre le préfet sans l’avoir entendu. Ainsi donc, un ministre sanctionne durement un haut fonctionnaire pour un motif qui s’apparente à ce qui pourra bientôt lui être reproché… Qu’ont-ils donc commis tous deux de si répréhensible? Ils ont dit tout haut ce que beaucoup de Français pensent tout bas sans oser parler, faute de parole libre.

Cela prouve que la question de l’immigration est un tabou, autant que l’identité. Il est assez éloquent que le gouvernement se soit doté d’un ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale. Deux termes par définition antinomiques. Pourquoi les avoir accolés ? Pour tromper son monde, diront les mauvaises langues. Par confusion mentale, diront les plus charitables.

Cette confusion n’aide pas à répondre aux questions fondamentales de l’immigration et de l’identité. J’éprouve pour ma part une vraie compassion pour les immigrés d’Afrique noire ou du Maghreb que l’on a fait venir dans une intention économique sordide, et que l’on transforme en déracinés acculturés. Dans leur détresse, pourtant, ils bénéficient d’aides publiques considérables et du soutien de solidarités communautaires. Le sort des Français des banlieues, les “Gaulois”, est autrement pathétique et désespéré tant ils sont abandonnés.

Les mobiles économiques ne sont pas seuls en cause. Les calculs pervers ont leur poids, associés à la nouvelle religion de la repentance. Dès maintenant,l ’immigration afro-maghrébine et musulmane a transformé la composition de la population française, lui faisant perdre son homogénéité ethnique et culturelle, imposant aussi des dérogations aux principes de l’unité et de la laïcité républicaine en matière d’éducation, de moeurs et de nationalité. Dans son essai, l’Islam, le Sexe et Nous (Buchet-Chastel, 2009), Denis Bachelot a braqué le projecteur sur une réalité autrement parlante que le concept flou de la citoyenneté. Au centre de sa réflexion, l’omniprésence sociale du corps de la femme dans notre culture et nos habitudes. Le refus horrifié de cette présence du corps féminin chez les musulmans (le voile) heurte de plein fouet la tradition ancestrale européenne qui, depuis le haut Moyen Âge, a fait toute sa place à la visibilité du corps féminin.

Ces réactions définissent l’identité : désir d’être soi-même, être conscient de ce que l’on est dans toute l’épaisseur de son existence, parmi ceux qui vous ressemblent et partagent la même mémoire. Si l’on n’est pas complètement aveugle, on se demande pourquoi le désir d’identité serait légitime chez les Noirs américains, les Chinois, les Arabes, les Israéliens, les Ouïgours, les Turcs ou les Maliens, mais condamnable chez les Français et les Européens? Répondre à cette question permettrait de progresser dans la compréhension de notre époque.

Dernier ouvrage paru : Ernst Jünger. Un autre destin européen, Le Rocher, 2009.
Dominique Venner, écrivain, historien, directeur de “la Nouvelle Revue d’histoire”

Source : Valeurs Actuelles [2]


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[2] Valeurs Actuelles: http://www.valeursactuelles.com/parlons-vrai/parlons-vrai/immigration-et-identit%C3%A9.html

jeudi, 05 novembre 2009

Entortende Verortung

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Entortende Verortung

ex: http://www.sezession.de/

Der Begriff „Parallelgesellschaften“ ist heute sehr beliebt, wenn es darum geht, die Auswüchse der gescheiterten Integration von Ausländern zu beschreiben. Mir erscheint er als völlig ungeeignet, weil sich in Deutschland ja kein nettes, kleines gallisches Dorf im Römischen Reich gebildet hat, mit dem es zwar hin und wieder Ärger gibt, das aber intern ganz gut funktioniert.

Weil diese „Parallelgesellschaften“ allein nicht lebensfähig sind und gesellschaftszerstörend wirken, möchte ich ein alternatives Begriffspaar vorschlagen: entortende Verortungen.

Wie ist die Lage? In allen westdeutschen Großstädten gibt es Stadtteile, in denen Ausländer bereits die Mehrheit der Bevölkerung stellen. In einigen Fällen drohen sogar ganze Städte zu kippen (z.B. Offenbach). Überproportional viele Ausländer in diesen Vierteln leben auf Staatskosten, weil sie keine Notwendigkeit erkennen, eine Arbeit zu ergreifen und weil der Staat keine Anstrengungsbereitschaft abfordert. Ein Blick in die Kriminalstatistiken beweist des weiteren, daß wiederum überproportional viele Ausländer straffällig werden.

Diese eindeutigen Zahlen dürfen jedoch nicht dazu verleiten, die Deutschen als Opfer und „die Ausländer“ als Täter oder Schmarotzer zu klassifizieren. Es ist komplizierter, denn auch orientierungslose Ausländer sind in gewisser Weise Opfer. Sie leiden ebenso wie die Deutschen an der desaströsen Einwanderungspolitik der Bundesrepublik, die einerseits dieses Land überfremdet und andererseits entortende Verortungen geschaffen hat.

Zwar ist dieser Ausdruck, den ich bei dem italienischen Philosophen Giorgio Agamben in Homo sacer aufgespürt habe, für eine breite Debatte zu kompliziert. Er hilft aber dabei, Wesen und Folgen der planlosen Masseneinwanderungspolitik offenzulegen.

Was geschieht also? Bildungsferne Ausländer kommen mit Wohlstandserwartung nach Deutschland, das in einer Identitätskrise steckt und weder Kraft noch Willen hat, die Neuankömmlinge an das eigene Leben heranzuführen. Der Staat ist aber nicht tatenlos: Asylbewerber versorgt er in Heimen und „integriert“ Migranten, indem er ihnen unabhängig von deren Leistungen und Fähigkeiten, ein angenehmes Grundeinkommen (mindestens HartzIV) zusichert. Das führt dazu, daß für sie die Möglichkeit besteht, abgeschottet von der Außenwelt in irgendwelchen sozialen Brennpunkten, in denen kaum noch einer Deutsch spricht, auf relativ niedrigem Niveau zu leben. Durch seine Sozialpolitik unterstützt die BRD solche Ghettoisierungen.

Das Leben in solchen Ghettos läßt die betreffenden Migranten in großem Abstand zu den Deutschen leben, aber – und das ist der entortende Faktor – er entfremdet sie auch von der eigenen Kultur. Sie üben zwar vielfach noch ihre Religion aus, aber insgesamt stumpfen sie doch erheblich durch monotone Tage in diesen Ghettos ab. Die Reaktion von vielen Jugendlichen mit Migrationshintergrund, die in diesem entortenden Umfeld aufwachsen, ist Gewalt. Das nennen wir dann Vorbürgerkrieg.

mardi, 13 octobre 2009

Suisse: immigration et connaissances linguistiques

naturalisations08.jpgSuisse: immigration et connaissances linguistiques

 

La Suisse vient de voter une loi qui oblige tous les étrangers résidant sur le territoire de la Confédération helvétique à s’intégrer rapidement en apprenant les langues du pays. L’immigré qui ne parviendrait pas à maîtriser avec célérité l’une des quatre langues officielles de la Confédération, soit l’allemand, le français, l’italien ou le rhéto-romanche, pourrait se voir retirer son permis de séjour et être expulsé. Cette décision a été prise début octobre 2009 par le Conseil National et par le Conseil des Etats (“Ständerat”). Ce dernier, qui constitue la deuxième chambre du Parlement suisse et qui représente les cantons, a accepté par 15 voix contre 12 cette proposition de loi introduite par l’UDC/SVP.

 

(source: “Junge Freiheit”, Berlin, n°41/2009).

 

Commentaires:

 

-          L’intégration d’une population procède toujours par l’acquisition de la langue du pays-hôte. Sans cette acquisition, l’intégration échoue, engendre un mal-être général et une inadaptation problématique des jeunes strates démographiques immigrées, conduisant parfois, dans les cas extrêmes, à des troubles ou des émeutes comme dans les banlieues françaises ou certaines communes de l’agglomération bruxelloise.

 

-          La concentration de populations immigrées crée des ghettos autonomes et fermés sur eux-mêmes, qui rendent l’acquisition de la langue du pays-hôte inutile. Cette ghettoïsation empêche le développement harmonieux d’une solidarité inter-ethnique, comme le législateur a voulu la promouvoir.

 

-          Cette absence d’intégration linguistique concerne avant tout les femmes qui restent au foyer. Celles-ci, comme de tous temps, ont pour rôle de transmettre la langue véhiculaire du pays aux jeunes enfants. Sans ce rôle de transmission, l’intégration des nouvelles générations s’avère impossible à moyen terme. La ghettoïsation se renforce, avec tous les problèmes connexes qui y sont liés.

 

-          Il y a une ou deux décennies, l’intégration linguistique se faisait sans aucun problème en Belgique, tant en néerlandais qu’en français. De jeunes immigrés studieux acquéraient de bonnes connaissances linguistiques via les médias et l’école. Et parvenaient à gravir les échelons de l’ascension sociale.

 

-          Cette intégration linguistique d’il y a une ou deux décennies est freinée sinon bloquée par divers facteurs, dont, notamment, l’apparition des antennes paraboliques dans les foyers immigrés. Par le truchement de ces antennes, les grands-mères, maîtresses du foyer, écoutent et imposent l’écoute de chaînes télévisées marocaines (en arabe ou en berbère) ou turques à la communauté familiale, privant les enfants d’un environnement familial où domine le français ou le néerlandais. L’acquisition de vocabulaire ne se fait pas uniquement à l’école: elle se fait par les médias, par des lectures et surtout par des conversations familiales. Pire: ces chaînes véhiculent soit des modes de vie, certes intéressants sur le plan de l’ethnologie ou des traditions mais unadaptés à nos sociétés post-industrielles, soit des formes d’intégrisme religieux qui condamnent automatiquement ceux qui les adoptent à la marginalisation sociale.

 

-          Les pouvoirs publics, s’ils sont soucieux de parfaire l’intégration qu’ils ont promis, doivent lutter énergiquement contre la diffusion de ces antennes paraboliques, taxer à du 500% (au moins) l’achat de ces objets, interdire leur installation en façade et, éventuellement, donner aux forces de police le droit de perquisition pour les confisquer et les détruire. Ils doivent également prévoir des amendes très lourdes à payer par tous les adultes de la communauté ménagère si les enfants du foyer présentent des déficits en connaissances linguistiques. Avec éventuellement  la possibilité de soustraire les enfants à cette influence néfaste, en levant la puissance parentale et en les confiant à des institutions scolaires, du type pensionnat, qui leur permettront de se développer en toute harmonie, dans un environnement culturel fécond et utile, y compris dans la sphère des loisirs. De toutes les façons, la possession d’une antenne parabolique devrait être considérée comme un délit contre les lois favorisant l’intégration, assortie d’une suppression totale des allocations familiales.

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-          Le législateur doit prévoir, avant de telles mesures, qui ne frappent finalement que les victimes de marchands sans scrupules, de juguler définitivement le commerce d’objets et d’engins électroniques néfastes à la santé mentale et physique des jeunes. L’appareil répressif doit frapper d’abord ce commerce, coupable de saper les fondements mêmes  de la société: la famille, l’école et la santé. Les jeunes immigrés en sont victimes tout autant que les jeunes autochtones, voire davantage puisque certains objets, comme les antennes paraboliques, les handicapent dangereusement sur le plan linguistique, ce qui entraîne marginalisation, inadaptation et chômage à grande échelle. La première mesure pourrait être de confisquer les fortunes acquises par ce commerce, à tous niveaux, du patron d’entreprise au plus modeste de ses employés, car chaque employé qui vit d’un commerce pervers est un complice, comme le petit dealer est complice du grand trafiquant de stupéfiants. Si le législateur prévoit de réprimer les “bandes” d’adolescents qui se livrent à des violences dans la rue, il doit aussi considérer comme “bandes” néfastes à l’ordre social les entreprises qui  vendent des instruments et objets qui contribuent grandement à marginaliser un trop grand nombre de jeunes. 

samedi, 12 septembre 2009

Entra en vigor en Italia la ley que tipifica la inmigracion clandestina

Entra en vigor en Italia la ley que tipifica la inmigración clandestina

ROMA (NOVOpress) – Hoy entran en vigor en Italia la ley que tipifica como delito la inmigración clandestina y la que contempla la creación de rondas de vigilancia de ciudadanos que prestarán apoyo a los cuerpos de seguridad italianos ante el aumento de la delincuencia, impulsadas por el Ministro de Interior Roberto Maroni, de la Lega Nord. 

 

Hay muchos equívocos. Hemos percibido un fenómeno difuso y por esto lo hemos decidido regularizar, dando a los alcaldes la posibilidad, si lo quieren, de organizar estas actividades”, comenta Maroni.

La ley salió adelante con los votos a favor, fundamentalmente del partido identitario padano Lega Nord impulsor de la iniciativa y tipifica como delito la inmigración clandestina y prevé multas de hasta 10.000 euros y la expulsión inmediata para los que no tengan los papeles en regla. Asimismo, se penará con la cárcel a quienes alojen o alquilen habitaciones a los inmigrantes que se encuentren en situación irregular.
De igual manera la ley, establece la posibilidad de que los ciudadanos organicen rondas o patrullas urbanas no armadas, cuya misión es dar aviso a la policía y garantizar la seguridad nocturna de los italianos. Dichas rondas estarán compuestas, prioritariamente, por ex carabineros y policías, que cuenten con al menos 25 años de edad y no tengan antecedentes penales. Además, está en manos de las administraciones locales la posibilidad de adoptar o no estas medidas de seguridad ciudadana.
Dichas medidas traen causa de una ola de violaciones acaecidas en Roma, Bolonia y Milán perpetradas por extranjeros y que conmocionaron a toda la sociedad italiana.
“Ya hemos impedido que los barcos llenos de clandestinos lleguen a nuestras costas, hoy, nos ocupamos de aquellos que viven en nuestro suelo, de la criminalidad, del tráfico de droga y la prostitución, a esa gente no la queremos aquí” señaló Federico Bricolo de la Lega Nord. Por su parte, el Ministro Maronia ha señalado que debido a estas medidas se congratula de “haber detenido los flujos de inmigración ilegal desde Libia”
Estas medidas ya fueron adoptadas por el consejo de Ministros y fueron definitivamente aprobadas por el Parlamento italiano entrando en vigor en el día de hoy, en lo que supone uno de los mayores avances europeos en la lucha contra la inmigración, la delincuencia y defensa de la identidad.

[cc [1]] Novopress.info, 2009, Texto original cuya copia y difusión pueden ser libres siempre que se mencione la fuente de procedencia [http://es.novopress.info [2]]


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lundi, 29 juin 2009

Economie: l'immigration n'est pas un "à-côté" de la logique du capital

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Économie - L’immigration n’est pas un « à-coté » de la logique du capital

Ex: http://www.europemaxima.com/


Il suffit de passer un peu de temps dans le métro parisien pour constater une chose : de plus en plus de gens, qu’ils soient officiellement étrangers ou non – cela ne veut plus rien dire avec les naturalisations automatiques du droit du sol - ne parlent que leur langue d’origine. Leur communauté d’origine est tellement nombreuse, qu’elle soit chinoise, sri-lankaise, indienne, africaine, etc., que nombre de ces gens se lèvent en parlant leur langue d’origine, travaillent avec des compatriotes, vivent avec des compatriotes, se marient avec eux, font rapatrier leur corps au pays par des associations communautaires, et ne parlent français que le strict minimum, avec les administrations ou les « associations », et encore, car la France paie chèrement des traducteurs pour toutes les langues du monde. Comment l’assimilation fonctionnerait-elle alors que dans bien des quartiers de Paris et de banlieue les Français d’origine, « de souche » si l’on préfère, sont minoritaires ? Quand la langue parlée quotidiennement, même dans le travail (quand il y a travail) n’est pas le français ? (Que ceux qui en doutent aillent sur un chantier de bâtiment en région parisienne et ils comprendront). Il est loin le temps du vieil ouvrier maghrébin, francophone bien sûr, qui finissait par ouvrir un bistrot, Mohammed que l’on appelait affectueusement Momo, et qui faisait partie du paysage français. Ou du Russe blanc de Billancourt, qui restait « très russe » mais devenait en même temps si français, au contact de ses compatriotes d’usine encore très majoritairement français de souche.

J’entends dire parfois : « S’il n’y avait plus un seul immigré en France, il y aurait toujours les mêmes problèmes, la sous-culture mondialisée, l’hyper-consommation, l’alignement sur les U.S.A., etc. » Tout n’est pas faux dans ce point de vue. Mais il est bien spécieux. S’il n’y avait plus d’immigration, le capitalisme ne serait plus le capitalisme, l’immigration n’est pas un « à-coté » de la logique du capital, elle lui est consubstantielle, c’est pourquoi il y a de plus en plus de vrais hommes de gauche qui sont contre l’immigration, légale ou clandestine, parce qu’ils sont contre la Forme-Capital, parce qu’ils ont vu les dégâts qu’elle produit, et, assumons le subjectivisme, parce qu’ils sont trop français pour ne pas en souffrir (comme par hasard ce sont souvent des ouvriers ou des fils d’ouvriers). N’oublions pas que Le Capital de Marx était sous-titré Critique de l’économie politique. C’est en cessant de subordonner le monde à l’économie que l’on trouvera l’énergie de mettre fin au processus de disparition de nos peuples par les flux migratoires.

Pierre Le Vigan

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vendredi, 19 juin 2009

Migrazione e diaspore : prospettive geopolitiche

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MIGRAZIONI E DIASPORE:

PROSPETTIVE GEOPOLITICHE

di Louis Sorel*

SINERGIE EUROPEE – BOLZANO / BRUXELLES – AGOSTO 2004

La mobilità degli uomini e, correlativamente, l’esistenza delle diaspore sono fenomeni antichi, ma in questi ambiti come in molti altri ci troviamo a vivere un’accelerazione della storia. Effettivamente questi ultimi decenni hanno conosciuto importanti e durevoli movimenti di popolazioni su scala planetaria, nonché una generalizzazione del fatto diasporico. Nei limiti del tempo qui concessoci cercheremo di inquadrare questi fenomeni in una prospettiva geopolitica, la geopolitica essendo qui compresa come analisi dei rapporti di potenza tra politìe/unità politiche così come fra «attori anomici ed esotici» — come dice Lucien Poirier — vale a dire non-statuali.
Utilizzeremo qui lo studio delle migrazioni e delle diaspore per imparare le dinamiche del sistema-Mondo. Dopo aver tracciato una rapida geografia delle migrazioni e diaspore, ne prenderemo in considerazione le conseguenze geopolitiche interne — la destrutturazione degli Stati-Nazione del «Nord» — ed esterno: il rinnovamento delle problematiche «internazionali» e conflittuali.

IL «PIANETA NOMADE»
[Questo titolo riprende il tema dell’VIII edizione del Festival internazionale di geografia di Saint-Dié-des-Vosges (ottobre 1997), «Il pianeta nomade, le mobilità geografiche di oggi»]

I flussi migratori contemporanei si organizzano attorno a pochi grandi poli/centri attrattori che possono agevolmente essere rappresentati su di un planisfero.
Principale centro attrattore, gli Stati Uniti: nel secolo scorso questo grande paese d’immigrazione ha polarizzato l’essenziale dei flussi europei, ma nel corso degli anni venti, e in seguito alla trasformazione delle correnti migratorie — la maggior parte delle quali è rappresentata dalle popolazioni euro – mediterranee e slave — lo Stato federale ha deciso di adottare misure restrittive. Nel 1965, al termine di quattro decenni di chiusura delle frontiere, queste misure sono state abolite, e negli ultimi
anni l’immigrazione è ripresa al ritmo di circa un milione di ingressi legali l’anno. Questi flussi originano dall’immediata periferia — Messico, Caraibi e America Latina —, dall’Asia orientale e dai paesi del «Sud»
non europei. Gli Stati Uniti contano così circa 20 milioni d’immigrati della prima generazione.
Altro centro attrattore, il continente europeo: l’Europa del Nord – Ovest, a partire dagli anni Cinquanta, e ormai l’Europa del Sud. Gli immigrati rappresentano circa 15 milioni di individui nell’Unione europea (senza contare i naturalizzati e i clandestini) e questi flussi persistono.
Dapprima essi hanno avuto origine dagli ex territori coloniali, più o meno periferici, ma oggi assistiamo a una mondializzazione dei flussi migratori senza rapporto con le eredità storiche (colonizzazione/decolonizzazione).
Terzo centro attrattore, fino alla fine degli anni Ottanta, i paesi petroliferi del Medio Oriente (ai quali bisogna aggiungere la Libia). In mancanza di censimenti, il peso delle popolazioni immigrate è di difficile valutazione, ma è ragionevole stimarlo fra i 7 e gli 8 milioni di persone — il che, in termini relativi, è parecchio. In molte petromonarchie gli immigrati rappresentano più della metà della popolazione. Tuttavia è necessario precisare che dopo la Guerra del Golfo i flussi migratori si sono invertiti e ancora nel 1997 le espulsioni sono state numerose.

La geografia delle migrazioni comprende anche centri d’attrazione secondari, tali cioè da polarizzare flussi su distanze più corte: l’Australia, paese – continente stiracchiato tra geografia e storia; la Costa d’Avorio, la
Nigeria e la Repubblica sud – africana; il Venezuela, l’Argentina e il Brasile; certe zone dell’Asia sul versante Pacifico… Nel corso di quest’esposizione analizziamo le cose dal punto di vista del «Nord» e di
conseguenza privilegiamo i flussi a lunga distanza e i ragionamenti su scala planetaria.

Diversi e numerosi fattori si combinano per spiegare la potenza e la direzione di questi flussi migratori: fattori demografici, economici, storici, culturali e politici.

FATTORI DEMOGRAFICI: anche se oggi è un po’ riduttivo, in materia tutti sono a conoscenza del dualismo Nord/Sud. Nei paesi sviluppati, ci sono popolazioni stabili e in via d’invecchiamento; nei paesi in via di
sviluppo, popolazioni giovani dalla demografia galoppante. Questo differenziale di crescita si spiega con la transizione demografica, modello che sembra unanimemente accettato. Tuttavia s’impongono due osservazioni. La prima è la differenziazione crescente delle situazioni dei paesi e delle macro - regioni del «Sud», autentico mosaico demografico. La seconda è il rinnovamento delle tesi maltusiane presso alcuni autori, fra cui Jean – Christophe Rufin (L’empire et les nouveaux barbares, Jean-Claude Lattès, 1991) e Yves – Marie Laulan (Les nations suicidaires, François-Xavier de Guibert, 1998).

FATTORI ECONOMICI: tanto per i flussi Nord/Sud che per quelli Sud/Sud, la ricerca di migliori condizioni di vita è uno dei principali fattori esplicativi delle migrazioni internazionali. Nel corso del periodo che va dagli anni Cinquanta agli anni Ottanta, e in seguito all’afflusso di petrodollari in Medio Oriente fra gli anni Settanta e la metà degli anni Ottanta, gli immigrati sono in cerca d’impiego. Al giorno d’oggi, sono i sistemi sociali che giocano il ruolo di pompa aspirante.

FATTORI STORICI E CULTURALI: abbiamo già menzionato il ruolo del passato coloniale nei flussi migratori; l’espansione delle potenze europee ha comportato la diffusione delle lingue del Vecchio Continente e la mondializzazione delle sue forme di civiltà. In compenso questi retaggi hanno facilitato le migrazioni Nord/Sud. È vero che a partire dalla metà degli anni Settanta le ondate migratorie sono planetarie e scarsamente rapportabili alle geografie coloniali di un tempo. È altresì necessario
prendere in considerazione un altro fattore culturale: lo strapotere dei media occidentali (soprattutto americani). La circolazione a tutto campo dei medesimi suoni e delle medesime immagini genera una sorta di «immaginario migratorio» e un’ideologia dello sradicamento che stanno alla base dei
movimenti di popolazione. Nei paesi ricettori, questa stessa atmosfera globale è propizia ad un certo lassismo in materia di regolazione dei flussi migratori. Per concludere col ruolo dei fattori culturali, è del pari necessario segnalare che le delocalizzazioni – rilocalizzazioni delle unità produttive nei paesi del «Sud», diffondendo i modelli occidentali, contribuiscono a un certo numero di partenze, com’è stato possibile osservare nelle cosiddette maquiladoras — unità produttive messicane situate nelle immediate vicinanze della frontiera settentrionale del paese e controllate da aziende statunitensi.

FATTORI POLITICI: è il caso delle persone che fuggono da un regime politico dato e/o da una situazione bellica. Lo statuto di questi rifugiati politici è stato specificato dalla Convenzione di Ginevra del 1951 e l’Alto
Commissariato per i Rifugiati dell’ONU, creato nello stesso anno e con sede nella stessa città, si fa carico attualmente di circa 27 milioni di persone.
Per far fronte alla pressione migratoria derivante da questa trafila, quasi tutti i paesi sviluppati hanno, chi più chi meno, inasprito le condizioni d’accesso allo statuto di rifugiato politico.

Come si vede, nella perennità e nell’espansione dei flussi migratori giocano un complesso di cause rilevanti e un vero e proprio sistema di mobilità.

La conseguenza di questi flussi migratori è la costituzione di diaspore.
Il fenomeno è antico, legato a migrazioni non meno antiche. Gérard Chaliand e Jean – Pierre Rageau (Atlas des diasporas, Odile Jacob, 1991) chiamano «diaspora» un popolo disperso su vasti spazi e territori non collegati fra loro, e le cui differenti ramificazioni persistono nella loro identità, a dispetto della pressione delle popolazioni autoctone. Nella maggior parte dei casi questa dispersione è legata ad un evento originario traumatico: massacri, genocidi, deportazioni, catastrofi naturali. Tuttavia, gli autori dell’Atlas des diasporas non mantengono sistematicamente l’insieme di questi criteri, il che ci permette di utilizzare a buon diritto il termine «diaspora» lato sensu.
Gli esempi più antichi di questo fenomeno sono ben noti: si pensi alla diaspora greca, ebrea e armena, senza dimenticare gli Zigani che al giorno d’oggi sono gli unici a non possedere né Stato né territorio di
riferimento (diaspora integrale). Nel corso del XVI secolo, con la tratta atlantica (il commercio triangolare), ha avuto inizio la dispersione delle popolazioni nere; nel XIX secolo si sono verificate la diaspora irlandese, quella cinese e quella indiana. Il nostro secolo ha rafforzato il fenomeno con un nuovo esodo di popolazioni armene, in seguito al genocidio commesso dai Turchi e dai Curdi alla fine della prima guerra mondiale, e altri avvenimenti e rapporti di forza geopolitici hanno poi generato la diaspora palestinese,
quella libanese e quella vietnamita.
Con il potenziamento e la mondializzazione dei flussi migratori, il fatto diasporico si generalizza: ci accontenteremo qui di menzionare le diaspore arabo – musulmana e nera, particolarmente visibili in Europa occidentale.
Certo, non sempre un disastro è all’origine di queste diaspore contemporanee e i loro membri talvolta rappresentano soltanto una parte poco rilevante della popolazione dei paesi d’origine. In compenso, con la rivoluzione delle comunicazioni (aeree e satellitari) i differenti segmenti di queste popolazioni sono sempre meglio collegati fra loro e la loro coscienza culturale e geopolitica comune si va rafforzando. Non sembra dunque indebito estendere il termine di «diaspora» a questi fenomeni.

LA DESTRUTTURAZIONE DEGLI STATI-NAZIONE DEL «NORD»

La conseguenza geopolitica interna della ridistribuzione delle popolazioni è dunque la destrutturazione degli Stati – Nazione del «Nord». Prima di esaminare questo fenomeno, dobbiamo prima di tutto soffermarci sulla forma politica che domina l’Occidente moderno.
Secondo Carl Schmitt e Julien Freund, il politico è un’essenza, vale a dire un’attività umana originaria rispondente a un dato basilare, in questo caso la conflittualità. Funzione del politico è di assicurare la concordia interna e la sicurezza esterna delle collettività umane costituite.
Successore dello Stato regale, lo Stato – Nazione è una delle manifestazioni storiche del politico, la forma politica propria della modernità. I suoi tratti distintivi sono i seguenti: centralizzazione dei poteri e abbassamento dei corpi intermedi; omogeneizzazione culturale e giuridica del territorio assunto. Questo tipo di politica cerca di far coincidere popolo – lingua – cultura, territorio e Stato.
Questa volontà di omogeneizzazione è strettamente legata al processo di democratizzazione delle società politiche occidentali. In effetti la democrazia è un regime che postula l’identità della volontà popolare e
della legge, l’identità dei governanti e dei governati. Essa suppone un démos, vale a dire un popolo la cui forte omogeneità e la chiara coscienza di ciò che propriamente lo fonda permettono l’emergere di un’autentica volontà generale (si pensi a Jean – Jacques Rousseau). È per questo che in epoca
moderna si è potuto esercitare la democrazia, o quantomeno approssimarvisi, soltanto all’interno di un quadro nazionale.
Questo ideale «nazionale» non è sempre stato realizzato, al di là di tutto.
Si sa che certe nazioni — e non delle minori: pensiamo alla Francia — si sono forgiate all’incrocio di aree culturali distinte (benché in seno ad una medesima civiltà) e sono multietniche. Se non altro ci si è avvicinati, in certa misura, all’omogeneità degli spiriti, sia nelle nazioni dell’Europaoccidentale che in quelle dell’America settentrionale. Oggi, flussi migratori massicci da un lato e la crescita correlativa delle minoranze razziali dall’altro (popolazioni arabo – musulmane in Francia e in numerosi altri Stati europei; popolazioni ispaniche negli Stati Uniti) mettono nuovamente in discussione l’omogeneità del paese d’accoglienza. La coesione di queste società, la loro «governabilità» — tanto per usare un termine
in voga — sono intaccate e, infine, a essere minacciati sono proprio i fondamenti e le strutture dello Stato – Nazione stesso.
Costretti a far fronte alla sfida immigratoria, un certo numero di Stati pensa di riuscire a controllare la situazione praticando una politica di assimilazione. In questo contesto il termine è preso come sinonimo di «naturalizzazione» nel senso etimologico del termine.
Tuttavia l’assimilazione non avviene per decreto: essa dipende da molteplici variabili — peso numerico e dinamismo demografico della popolazione da assimilare; distanza etnoculturale; dinamismo demografico, forza e attrattività del modello culturale della popolazione d’accoglienza. Ora, i paesi interessati dall’immigrazione vivono una crisi dei modelli di assimilazione. Prendiamo la Francia: essa non è più un impero, e neppure la Grande Nazione di un tempo; ha perduto il suo prestigio, e i suoi
meccanismi d’integrazione (scuola, esercito, partiti politici e sindacati) hanno perduto smalto proprio quando il mercato del lavoro non riesce più ad assorbire l’impatto dei nuovi venuti. La distanza etnoculturale degli immigrati aumenta sempre più, dal momento che i paesi d’origine non rientrano più in ambito continentale europeo ma appartengono ad altre sferedi civiltà.
Altro esempio, gli Stati Uniti. Il melting–pot si è rivelato inefficace di fronte alle identità negra e ispano-americana, tanto che oggi quando si parla delle popolazioni degli Stati Uniti, si preferisce usare il
termine di salad–bowl (insalata mista) per indicare la giustapposizione, e non la fusione, di elementi disparati e irriducibili fra loro. Una parte dell’establishment WASP (White, Anglo-Saxon, Protestant) teme addirittura che gli Stati Uniti finiscano col divenire una «maggioranza di minoranze». L’immigrazione e le sue conseguenze sono all’origine di numerosi dibattiti politici, di referendum e di nuove leggi: nel 1986, legge Simpson – Rodino sul ristabilimento delle quote; referendum californiano sulla risoluzione 187 detta «Save Our State» (i clandestini non avranno più accesso ai servizi sociali, medici e amministrativi); nel 1996, adozione di una legislazione più restrittiva sull’immigrazione; nel 1998, nuovo referendum
californiano sull’adozione dell’inglese come lingua ufficiale.
Nei paesi del «Nord» di tradizione assimilatrice, questo tipo di politica non è dunque riuscito a «naturalizzare» la maggior parte delle popolazioni interessate. Di fronte ai problemi migratori, oltre alle politiche di controllo e d’inversione dei flussi che s’impongono appare necessaria un’altra opzione, già praticata da parecchi anni in area anglosassone: quella del multiculturalismo.
L’opzione multiculturale è stata scelta dapprima in America del Nord — il «comunitarismo all’americana» è di volta in volta un modello o uno spauracchio — in ragione della sconfitta subita dal melting – pot. Essa
si articola sui seguenti princìpi:

  •  la diversità etnoculturale è non soltanto un fatto, ma un fatto positivo che occorre tutelare e promuovere;
  • gli uomini concreti non possono essere separati dalle loro appartenenze etnoculturali;
  •   le culture devono pertanto essere riconosciute nella sfera pubblica.


È da poco che l’Europa deve confrontarsi con questo tipo di situazione — il necessario riconoscimento delle identità regionali e delle patrie carnali non deve essere confuso con l’immigrazione su vasta scala di elementi non–europei: quindi il dibattito assimilazionismo/multiculturalismo vi è di recente introduzione.
Questa scelta corrisponde alla visione del mondo e ai valori che ci sono propri, ma nel contempo ci induce a porci un certo numero di domande:

  •   tutte le «differenze» sono compatibili?
  •   non esistono necessariamente dei fenomeni di rigetto?
  •  è possibile mettere legittimamente sullo stesso piano il sistema diusi/costumi/norme degli allogeni e quello degli indigeni?
  •  ci si può accontentare di giustapporre orizzontalmente delle «comunità» nel quadro di una «grande società» (di mercato)?
  •   e se no, su quali basi enunciare delle norme collettive sovracomunitarie?
  • un «patriottismo costituzionale» senza contenuto culturale?
  •   dei valori universali?
  •   e se sì, quali?


In realtà, c’è da temere che l’opzione multiculturale non sia altro che l’intellettualizzazione di evoluzioni che si è ormai rinunciato a controllare, avendo come orizzonte una società di mercato all’americana in cui le
solidarietà comunitarie giochino il ruolo di assistenti sociali.
Ricordiamo che gli insiemi multiculturali, particolarmente gli imperi, che hanno preceduto e/o sono coesistiti con gli Stati – Nazione, e hanno saputo resistere al tempo, avevano un collante: lealismo dinastico, pratica di una medesima religione e patriottismo basato su di un’unica civiltà permettevano
di superare le differenze etnoculturali e linguistiche. Oggi, niente di tutto questo!
L’opzione multiculturale va dunque rivista secondo il metro della ragione politica, quand’anche la ragione filosofica dovesse soffrirne. Per assicurare il necessario primato demografico, culturale e politico degli
autoctoni bisogna rispettare qualche condizione sine qua non: controllo e inversione dei flussi migratori; cittadinanza piena e totale per i soli indigeni e assimilati; politica prevalentemente nazionale ed europea. Le popolazioni immigrate non-assimilate non beneficerebbero né della cittadinanza né di un certo numero di diritti ad essa connessi, ma in compenso esse si vedrebbero concedere uno statuto di popolo – ospite. A queste condizioni, l’opzione multiculturale è compatibile con la perennità delle nostre identità europee; in caso contrario, essa sfocerà immancabilmente in situazioni drammatiche, poiché i paesi d’accoglienza
dei flussi migratori saranno lacerati fra civiltà diverse. Le cose sono già molto avanti su questa china…

IL RINNOVAMENTO DELLE PROBLEMATICHE «INTERNAZIONALI»

L’espansione delle correnti migratorie mondiali e la moltiplicazione delle diaspore partecipano, con i movimenti di valuta e di capitale (si pensi al mega-mercato finanziario mondiale) e la rivoluzione delle comunicazioni, alla complessificazione delle relazioni cosiddette internazionali, dal momento che nuovi attori s’impongono sulla scena mondiale.
Dal XVI al XX secolo, lo spazio mondiale si è venuto progressivamente lastricando di Stati — forma politica che ha conosciuto l’apogeo nel XIX secolo. Attore totale, lo Stato-Nazione è l’unico soggetto del diritto
internazionale; dopo il 1945, il fenomeno di territorializzazione (appropriazione delle terre emerse) si è esteso all’Oceano mondiale.
Oggi si contano circa 200 Stati, 185 dei quali sono membri dell’ONU.
Tuttavia la mondializzazione dell’ordine statuale e territoriale non può dissimulare altre e più gravi tendenze. L’«èra occidentale» è stata segnata anche dalla massificazione dei flussi di ogni tipo, particolarmente nella seconda metà del XX secolo: flussi di merci, di capitali, d’immagini e di suoni, e infine di uomini. Contrariamente alla crisi del 1929, quella del 1973 non ha affatto rallentato il movimento bensì l’ha accelerato: grazie a questo, reti molteplici — anche migratorie — scavalcano i territori statali.
Dunque nuovi attori si affermano — aziende transnazionali e multinazionali, organizzazioni non-governative, mafia, sette… e diaspore. Così queste catene di «colonie» e di enclaves collegate da flussi più o meno intensi, avvolgono doppiamente gli Stati-Nazione. Dall’alto, con le reti transnazionali che
esse costituiscono; dal basso, con la formazione di comunità infra-nazionali che si autoregolano. A fianco degli Stati, ineludibili ma di fatto elusi, e non più in grado di padroneggiare in modo esclusivo il gioco mondiale, si affermano dunque delle forze transnazionali, «attori anomici ed esotici», legate alle migrazioni passate e presenti. Le questioni della Svizzera, Stato sovrano, col Congresso Ebraico mondiale danno l’idea della potenza di alcune di queste forze.
Altra conseguenza dei flussi migratori, lo «scontro delle civiltà» descritto e analizzato da Samuel P. Huntington. È noto che secondo il geopolitologo americano la politica mondiale si ricompone secondo degli assi culturali, e le linee di frattura traccerebbero nuove frontiere fra le civiltà. Il metodo
di suddivisione scelto da Huntington è certo contestabile — si pensi alla confusione di Europa e America del Nord in una stessa civiltà occidentale da un lato, e dall’altro il limite stabilito fra cristianità latina e
cristianità greca (spazio slavo-ortodosso) — ma il modello interpretativo che egli propone, il «paradigma civilizzazionale», non è privo d’interesse.
Per riprendere le categorie utilizzate da questo autore, non si può fare a meno di constatare che le civiltà occidentale e slavo-ortodossa dividono uno stesso destino demografico. Altri autori — Yves Lacoste (Silhouetter le troisième millénaire. Tout sauf la fin de l’histoire, in “Le Monde”, 24 ottobre 1997) e Yves-Marie Laulan (Les nations suicidaires, op. cit.) — adottano del resto una definizione di Occidente allargata, che comprende America del Nord, Europa e Russia. In questo senso l’Occidente — il
«mondo-razza bianco», per dirla con Jean Cau — dovrebbe confrontarsi con le civiltà demograficamente massicce: arabo-musulmana, negro-africana, indiana e cinese.
Al riguardo, le proiezioni della Banca Mondiale, pubblicate nel 1994 poco prima della conferenza dell’Onu sulle popolazioni e lo sviluppo organizzata al Cairo, sono particolarmente illuminanti. Da qui al 2030 la
popolazione dovrebbe raggiungere la cifra di 8,5 miliardi (+ 50%) e, soprattutto, le dinamiche regionali saranno destinate a differenziarsi profondamente: l’Europa, Russia inclusa, passerebbe da 731 a 742 milioni di individui (+2%); l’Asia da 3,4 a 5,1 miliardi (+ 35%); l’Africa da 720 milioni a 1,6 miliardi
(+ 103%); l’America del Nord da 295 a 368 milioni (+ 25%); l’America Latina da 475 a 715 milioni (+ 50%). Si può dunque rilevare la forte atonia demografica delle popolazioni di ceppo europeo, tanto più che il tasso di crescita previsto per l’America del Nord, certo più importante che in Europa, sarebbe dovuto soprattutto alla forza dell’immigrazione e alla fecondità delle minoranze etniche. Secondo altre stime recenti, di qui a trent’anni i “Caucasici” (Americani di ceppo europeo) rappresenteranno il 52% della popolazione degli Stati Uniti, contro il 73% di oggi.
Queste dinamiche demografiche differenziate inducono una nuova geografia strategica, quella delle interfacce Nord/Sud: la frontiera Usa/Messico, fra America del Nord e America Latina; più ancora la frontiera Mediterranea, fra Europa e Africa; e il lato meridionale della Russia, contiguo alle aree arabo-musulmana e sino-confuciana. Queste linee di divisione sul piano demografico e su quello civilizzazionale sono dei potenziali fronti di aggressività, con qualche riserva sul Rio Grande. Naturalmente la geografia
strategica non si riduce a queste zone polemogene; è possibile circoscrivere molte altre linee di frattura, relative a poste ben altro che demografiche.
Del resto, migrazioni e diaspore comportano lo straripamento di certe civiltà sulle aree di altre civiltà. Qui è necessario ricorrere alla descrizione fatta da Huntington della struttura di una civiltà: al
centro, lo Stato o gli Stati faro, i più potenti e i più centrali dal punto di vista culturale; intorno, gli Stati membri che s’identificano pienamente, in termini culturali, con la loro civiltà d’appartenenza; alla periferia,
paesi divisi, a cavallo di una o più frontiere di civiltà, con importanti differenze culturali fra le loro componenti umane; all’estrema periferia, negli Stati delle civiltà adiacenti, minoranze culturalmente affini.
Questo schema può essere facilmente applicato alle situazioni geopolitiche contemporanee. Così la civiltà arabo-musulmana beneficia dello scambio con importanti minoranze culturalmente affini nell’ecumene europeo, particolarmente dinamiche sul piano demografico e religioso e, dopo gli accordi di Dayton (1995), con un’entità musulmana, il principato di Sarajevo. Del pari, la civiltà cinese dispone, con le sue importanti minoranze d’oltremare, di una «rete di bambù» estesa sull’Asia del Sud-Est ma anche sull’America del Nord e, benché in misura minore, sull’Europa Occidentale. Lo «scontro delle civiltà» è anche interno. Strettamente legata con l’interazione generalizzata degli spazi e delle popolazioni —questa è una delle definizioni del mondialismo — è l’elaborazione di nuovi modelli conflittuali a partire da situazioni osservabili.
Primo modello, l’intervento esterno, divenuto frequente con le numerose crisi statuali e la riconfigurazione del sistema internazionale. Dopo la fine del conflitto Est/Ovest, le potenze cosiddette occidentali (e la
Russia) manifestano una spiccata propensione agli interventi esterni sui loro confini meridionali per mantenervi una certa stabilità. I governi cercano soprattutto di evitare un confronto diretto con flussi improvvisi e massicci di rifugiati politici e, nel quadro di una politica di controllo dei flussi migratori, intendono tenere la situazione ben salda in pugno.
Dunque gli eserciti sono ristrutturati in modo da poter condurre a buon fine questo tipo di operazione (forze ridotte ma flessibili ed estremamente mobili). Questi interventi non sono sempre militari e aperti: vi si
devono includere le politiche di sostegno agli Stati-cuscinetto e ai regimi-bunker del «Sud».
Altro modello conflittuale, quello dei conflitti identitari. François Thual** (Les conflits identitaires, Ellipse-IRIS, 1995) ha descritto e teorizzato questo scontro dei caos limitati del Sud e, in Europa, quelli
dei Balcani e del Caucaso. Quando questi conflitti si scatenano in prossimità degli spazi sviluppati del «Nord», essi inducono le grandi potenze a intervenire. Questa forma di conflitto mette alle prese gruppi
culturalmente/religiosamente differenziati (etnie, nazionalità, confessioni religiose), ciascuno dei protagonisti essendo convinto del pericolo di estinzione (processo di vittimizzazione). I mezzi di comunicazione moderni permettono di mobilitare le popolazioni interessate e la diaspora, se c’è diaspora, che in tal caso assicura il sostegno economico e lo scambio mediatico. Le ricomposizioni della geografia umana dei paesi sviluppati potrebbero portare benissimo all’estensione di questo tipo di conflitto, prefigurato, su scala minore, dagli scontri etnici delle periferie.
Questo rapido giro panoramico sui fenomeni migratori e sul fatto diasporico ha mostrato gli stretti legami esistenti fra il mercato del sistema-Mondo e la crescente potenza dei flussi umani. Il sistema-Mondo è di fatto un sistema di mobilità fondato sulla messa in relazione generalizzata (mondializzazione/globalizzazione) e l’elogio del nomade (Jacques Attali, Lignes d’horizon, Fayard, 1990). Esso genera una delocalizzazione planetaria e uno sradicamento massiccio di cui la «crisi migratoria globale» (S. P. Huntington) è l’aspetto più visibile e più gravido di conseguenze.
Gli effetti destrutturanti dei flussi transnazionali — umani, commerciali, finanziari, informativi — sono tali che sembra necessario imporre loro una logica politica e quindi riterritorializzarli. Se è vero che lo Stato-Nazione resta un elemento fondamentale del sistema-Mondo, è anche vero che esso attualmente è superato dall’estensione delle scale geografiche e dalla potenza dei flussi planetari, segnatamente umani. La «crisi migratoria globale», come gli altri aspetti della mondializzazione, richiedono dunque una riflessione sul rinnovamento delle forme politiche. Qualcuno si richiama agli imperi.


* Autore con Robert Steuckers e Gunther Maschke del volume “Idee per una geopolitica europea”, pubblicato dalla Società Editrice Barbarossa

** Autore del volume “Geopolitica dell’ortodossia”, pubblicato in Italia dalla Società Editrice Barbarossa

lundi, 15 juin 2009

Immigration et déclin démographique reliés

Immigration et déclin de la population reliés

La hausse immédiate du nombre d’immigrants ne permettra pas d’éviter le déclin de la population du Québec. Au con­traire, elle pourrait mê­me l’accentuer. C’est du moins ce qu’affirme Guil­laume Marois dans son mémoire de maîtrise en démographie à l’Université de Montréal.

En 2006, le Québec a accueilli 45 000 immigrants, soit environ 50 % de plus qu’en 2000. Dans sa Planification triennale de l’immigration 2008-2010, Yolande James, ministre de l’Immigration et des Com­munautés culturelles, an­non­ce de nouvelles augmen­ta­tions : près de 50 000 nouveaux arrivants en 2008, et 55 000 en 2010. Cette augmentation, soutient la ministre, a pour but de retarder le déclin de la population. Une affirmation que conteste M. Marois.

«Le critère le plus important en matière de remplacement de la population est l’indice synthétique de fé-condité (ISF). On estime que chaque femme devrait donner naissance, en moyenne, à 2,1 enfants pour qu’une population se renouvelle d’elle-même. Or, le Québec affiche actuellement un ISF de seulement 1,6 enfant. À ce rythme, la population commencera à décroître vers 2035.»

«Il est étonnant a priori d’entendre dire que l’immigration ne freinera pas le déclin démographique à long ter­me au Québec. C’est pourtant un fait, soutient pour sa part Jacques Légaré, directeur de recherche de Guillaume Marois. D’abord, l’âge moyen des immigrants qui arrivent au Québec est si élevé [30 ans] qu’une bonne partie d’entre eux n’auront pas d’enfants. Ensuite, une grande proportion d’immigrants (jus­qu’à 20 %, selon certaines estimations) choisissent de quitter le Québec une fois leur statut régularisé.»

«En outre, plusieurs étu­des mentionnent que les immigrants adoptent très vite les mœurs de leur pays d’accueil en matière de natalité; ils ont donc moins d’enfants que s’ils étaient restés dans leur pays d’origine, poursuit-il. Résultat?: le taux de fécondité reste le même, avec ou sans immigration.»

L’immigration peut-elle amplifier le déclin?

La hausse du contingent d’immigrants contribuera à grossir la taille de la population durant une cinquantaine d’années, ce qui pourrait nuire à l’objectif fixé par l’État.

«En accroissant les ni­veaux d’immigration dès maintenant, on aura besoin d’encore plus d’immigrants demain pour remplacer les gens qui mourront ou qui partiront. Voilà pourquoi l’augmentation du nombre d’immigrants cette année pourrait nous jouer des tours dans un avenir plus ou moins rapproché», explique M. Marois.

Le jeune homme a élaboré deux scénarios visant à empêcher le déclin de la population.
Le premier, prudent, suppose l’arrivée de 40 000 im­migrants par année à partir de 2008; le second, de 60 000. Pour chacun des scénarios, dès que la population décroît, le nombre d’immigrants est ajusté en conséquence afin d’éviter ce déclin?: c’est ce que l’on appelle la migration de remplacement.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, le premier scénario apparaît beaucoup plus efficace que le second en regard de l’objectif défini. En effet, si l’on accepte 40 000 immigrants dès cette année, le nombre devrait être haussé à environ 57 000 à partir de 2050 pour stopper le déclin de la population. Alors que si on reçoit 60 000 immigrants dès 2008, il faudrait hausser les niveaux à plus de 65 000 au cours de la deu­xième moitié du siècle.

Cela dit, reconnaît le jeune démographe, l’immigration n’est pas qu’une affaire de chiffres. Un pays comme le Canada a la responsabilité humanitaire d’ouvrir ses portes à des citoyens de l’étranger. Et il le fait bien. Par rapport à la taille de sa population, à 40 000 immigrants annuellement, le Québec en accueille plus que la France et le Royaume-Uni, notamment.

Une hypothèse qui tient la route, estiment des démographes

L’hypothèse selon laquelle plus on accepte d’immigrants aujourd’hui, plus on accroîtra le déclin démographique du Québec demain tient la route. C’est ce que nous ont dit les quatre démographes auxquels nous avons fait lire notre article sur le mémoire de maîtrise de Guillaume Marois. Ils ont cependant quelques réserves.

Par exemple, Richard Marcoux, professeur titulaire au Département de sociologie de l’Université Laval, n’est pas d’accord lorsque M. Marois affirme que «ce n’est pas la taille de la population qui importe, mais sa dynamique». «La taille de la population est cruciale, soutient M. Marcoux. C’est elle qui détermine le poids politique du Québec dans le Canada, les transferts gouvernementaux, la péréquation, etc. Tout ça est bien plus important qu’un lointain déclin de la population.»

M. Marcoux fait remarquer, en faisant référence au graphique, que malgré un déclin de la population plus marqué avec le scénario A (immigration forte), le Qué-bec compterait près de
450 000 habitants de plus vers 2050 qu’avec le scénario B (immigration modérée).

Finalement, si M. Marcoux reconnaît que le Québec accepte proportionnellement plus d’immigrants que la France et le Royaume-Uni, il souligne que nous en acceptons sensiblement moins que l’Ontario, la Colombie-Britannique et bien d’autres pays.

Un niveau de fécondité intermédiaire

Plutôt que de dire comme M. Marois que «les immigrants adoptent très vite les moeurs de leur pays d’accueil en matière de natalité», Jean-Michel Billette, démographe et analyste à Statistique Canada, préfère parler «d’un niveau de fécondité intermédiaire entre celui de leur pays d’origine et celui du pays d’accueil».

Cela dit, M. Billette estime que «le scénario A de M. Marois est plus vraisemblable que le scénario B de la ministre de l’Immi­gration, Yolande James».

Par ailleurs, Hélène Vézina, professeure au Département des sciences humaines et chercheuse du Groupe de recherche interdisciplinaire en démographie et épidémiologie génétique de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), et son collègue Marc Tremblay, démographe lui aussi, trouvent intéressants les travaux de M. Marois.

«Si on accueille un nombre plus grand d’immigrants, la population augmentera, mais effectivement, si la fécondité de ces immigrants est sous le seuil de remplacement, comme le nôtre, ils contribueront éventuellement au déficit démographique», affirme Mme Vézina.

«Cependant, il faut être prudent avec les projections sur plus de 50, ou même 30 ans, car elles reposent sur des hypothèses très fragiles, ajoute M. Tremblay. Par exemple, on fait des projections sur la fécondité de femmes qui ne sont même pas encore nées.»

Source : Journal Métro


 

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