Les start-up de la défense française manquent cruellement de financement et finissent par se tourner vers les fonds étrangers. Ce problème se caractérise principalement par le fait que tout ce qui touche à la défense est « non grata » pour les demandes de financement. Bien qu’il existe des fonds souverains tel que Definvest ou Ace pour ce type spécifique de start-ups, les fonds alloués ne sont pas à la hauteur des fonds étrangers et sont beaucoup plus difficiles à obtenir. L’installation en décembre 2018 du fond d’investissement américain In-Q-Tel à Londres a durci le débat sur la souveraineté technologique de la France dans ce domaine.
Le cas d’école In-Q-Tel
In-Q-Tel (anciennement Peleus), est un fonds américain de capital-investissement à but non lucratif créé et géré par la Central Intelligence Agency américaine.Il cible principalement, à l’international, les entreprises innovantes dans les technologies de pointe du type collecte, analyse et traitement de l’information pouvant être adaptées à la communauté américaine du renseignement.
In-Q-Tel a investi dans les start-ups les plus connues dans ce type d’expertise :
- Palantir (2005) : cette société, fondée par Peter Thiel, analyse des données en provenance de multiples sources
- Kensho (2015) : Logiciel qui analyse les données pour répondre à plus de 65 millions de combinaisons de questions en données de marchés en l’espace de quelques minutes.
- Algorithmia (2016) : Partage de modèles de machine-learning et d’intelligence artificielle parmi les data-scientistes. Il y a plus de 5 000 algorithmes et a permis au renseignement américain de mettre au point de nouveaux systèmes en intelligence artificielle.
- Keyhole (2003 / devenu Google Earth) : technologie de visualisation interactive en 3D qui a été fourni à la National Imagery and Mapping Agency (NIMA) en soutien des troupes américaines en Irak.
- Dataminr (2016) : plate-forme d’analyse de données pondérées en fonction de la crédibilité de leur auteur, du lieu d’où ils sont postés, localise leur auteur. Twitter lui avait demandé de cesser ses relations avec les agences de renseignement.
Échec français dans la copie du modèle In-Q-Tel
Pour améliorer le financement de son écosystème, la Direction générale des armées a annoncé la création d’un fonds public pour l’innovation et la défense en 2016. Sa base ? Le succès américain du fonds In-Q-Tel dont elle rêve de répéter l’écosystème. Relancée par la CIA après les attaques terroristes du 11 septembre 2001, la société d’investissement, à but non lucratif, a, entre autres, réussi à donner naissance à Google Earth et à l’expert du Big Data Palantir.
Le renseignement militaire s’est allié aux start-ups. C’est dans ce cadre qu’a permis aux agences du renseignement américaines de faire tomber Ben Laden et de fournir régulièrement des services à Wall Street pour l’analyse de leurs données. Fin novembre, l’entreprise américaine a d’ailleurs signé un contrat avec la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) pour traiter le Big Data informatique lié au terrorisme. Palantir a ainsi pu former des agents français à ses outils pour extraire et décrypter les données. Un contrat qui a soulevé la polémique de la dépendance de la France vis-à-vis des États-Unis et qui exerce une pression sur la France pour tirer profit de son propre écosystème technologique. Et cela, sans compter la vente de l’expert en biométrie Morpho par Safran, qui a été jugée « regrettable » dans les milieux militaires.
La Direction des armées a donc toute sa concentration sur le modèle d’In-Q-Tel : depuis plus de quinze ans, la CIA identifie des problèmes et In-Q-Tel, les technologies pour y répondre en investissant dans des start-up privées. L’effet de levier est énorme, puisque pour 1 dollar apporté par les fonds publics 15 dollars sont co-investis par des fonds privés dans les tours de table de ces start-ups.
In-Q-Tel investit ainsi en moyenne chaque année 120 millions de dollars, selon des estimations, ce qui laisse entrevoir les capacités investies par les États-Unis dans les nouvelles technologies de défense. Aujourd’hui plus de 200 start-up, allant de la détection chimique à la cyber-sécurité, aux technologies optiques et imageries, et à l’intelligence artificielle, ont ouvert leur capital à In-Q-Tel.
L’investissement tous azimuts dans le monde occidental
En se déployant à partir de Londres puis de Sydney en 2019, In-Q-Tel cherche à profiter des avantages des éco-systèmes qu’il soit scientifique, technologique et aussi en termes de capital-risque de chaque région afin de poursuivre sa mission de sécurité nationale pour les États-Unis et ses alliés. Et pour commencer, en premier lieu, ses alliés du renseignement britannique et australien.
La Grande Bretagne se félicite d’ailleurs de cette arrivée. « In-Q-Tel a l’expérience historique de fournir du capital d’amorçage pour financer des sociétés high-techs innovantes aux États-Unis, et nous attendons d’eux une approche comparable afin d’appuyer des projets similaires au Royaume-Uni », déclare aux Echos un porte-parole de la British Business Bank, qui héberge le Fonds d’investissement de sécurité nationale britannique (The NSSIF).

Cette nouvelle politique d’investissement à l’international d’In-Q-Tel est orchestrée par Peter Tague, l’ancien coresponsable mondial des fusions-acquisitions de la banque américaine Citi, tout juste recruté comme vice-président exécutif de la firme. Et elle intervient au moment où les agences américaines de renseignement peinent à nouer des coopérations dans la Silicon Valley.
Pour l’administration française cette implantation n’est pas une surprise. « Ce type de fonds américain ou chinois a toujours une phase d’approche, via d’autres fonds ou des rabatteurs », indique une source de l’exécutif. En revanche, elle se dit beaucoup plus vigilante que Londres, et compte protéger les start-up françaises avec des technologies sensibles. « Nous nous intéressons à leur procédure de conformité et sensibilisons l’écosystème digital, en faisant la preuve par l’exemple, qu’ils ne respectent pas, dans certains cas, leurs engagements d’investissement, ou viennent simplement pomper des technologies », indique cette source. Bercy va donc élargir le contrôle des investissements étrangers aux technologies sensibles liées à l’intelligence artificielle, au spatial, au stockage des données et aux semi-conducteurs. « Tout acquisition dans ces domaines par un acteur étranger devra être notifié. Au-delà d’une certaine taille, il fera l’objet d’un contrôle. Mais dans tous les cas, il aura été signalé », indique une autre source. Bercy veut pouvoir ainsi offrir des alternatives aux entrepreneurs. « En amorçage pour les besoins de 5 à 20 millions d’euros, nous poussons les start-up, pour créer une référence de marché avec l’AMF et Bpifrance. Ce sont de bons modèles pour les start-up françaises car ces financements de projets ne dépossèdent pas l’entrepreneur ». Pour les tours de table plus élevés, « nous allons inciter au regroupement de capitaux privés, fonds, family office ou assureurs, avec des acteurs publics ».
Y-a-t-il eu réellement un effet « Palantir »
Pourquoi autant de réserve de la part des autorités françaises ? C’est qu’en Europe, le nom d’In-Q-Tel possède une certaine notoriété. C’est le représentant américain du Big Data Palantir. En France, le choix de sa technologie, née dans le giron du renseignement américain, a été choisie par la DGSI après les attentats de Charlie Hebdo de 2015, et deux ans plus tard par Airbus et a donc soulevé de nombreuses critiques. Le nom de Palantir a notamment été associé au scandale Cambridge Analytica et des inquiétudes sont nées suite au Cloud Act américain permettant à l’administration américaine d’accéder plus facilement à des données stockées à l’étranger.

En réaction à ces craintes, le Groupement français des industries de défense et de sécurité (GICAT) a lancé le cluster « Data Intelligence » il y a deux ans, avec 22 entreprises dont des start-up comme Aleph-Networks et Linkurious. Cette initiative vise à offrir une solution souveraine sur-mesure et pousser leur déploiement l’export. Son vice-président, Emmanuel Tonnelier, passé par une start-up d’In-Q-Tel (Language Weaver) se fait direct : « Palantir ne propose pas en soi une technologie très moderne. Mais en 2016 il n’existait pas de solution française similaire. Le problème avec les Etats-Unis est que bien que nous soyons alliés historiques, la tentation existe de faire de l’espionnage. Face à leur force de frappe financière colossale et de vraies prises de risque, nous sommes contraints d’être agiles ». L’important, dit-il, est d’identifier ces start-up innovantes, comme Diodon, ce drone flottant transportant un intercepteur de communication développé à Toulouse. « Après, on ne les lâche plus! ».
Ces technologies garantissent notre indépendance sur la scène internationale. Leur financement est donc stratégique. Et plus globalement, la France semble avoir du mal à garder ses atouts. Les banques et les fonds ne veulent pas associer leur image aux technologies militaires. Numalis, qui développe un système correctif de trajectoires pour missiles et fusées, n’a pas su convaincre malgré un partenariat signé avec Airbus.
Ce genre de deeptech demande un temps de développement long (~ 5/10 ans) et ça ne colle pas forcément avec la logique court-termiste des fonds. In-Q-Tel, le fonds d’investissement de la CIA, a fait des propositions à des start-up françaises comme Linkurious (société d’un ancien de l’EGE), qui a aidé à faire éclore les Panama Papers ou Earthcube qui développe une technologie d’imagerie satellite. Et pendant ce temps-là, certaines se financent déjà à l’étranger. Dataiku, utilisé par la cellule luttant contre le blanchiment d’argent Tracfin, vient de boucler une levée de $101 millions auprès du fonds ICONIQ Capital, très proche de Zuckerberg.
Fabrice Villa


 
 

 The Color Revolution Otpor! model was refined and deployed in 2004 as the Ukraine Orange Revolution with logo and color theme scarves, and in 2003 in Georgia as the Rose Revolution. Later Secretary of State Hillary Clinton used the template to launch the Arab Spring. In all cases the NED was
The Color Revolution Otpor! model was refined and deployed in 2004 as the Ukraine Orange Revolution with logo and color theme scarves, and in 2003 in Georgia as the Rose Revolution. Later Secretary of State Hillary Clinton used the template to launch the Arab Spring. In all cases the NED was 




 del.icio.us
  del.icio.us
 Digg
 Digg Facebook
 Facebook














 The Carter Administration was not happy with this, sending Vice President Walter Mondale (picture) to France and West Germany to "inform" them that the U.S. would henceforth oppose the sale of nuclear energy technology to the Third World...and thus they should do so as well. West Germany's
The Carter Administration was not happy with this, sending Vice President Walter Mondale (picture) to France and West Germany to "inform" them that the U.S. would henceforth oppose the sale of nuclear energy technology to the Third World...and thus they should do so as well. West Germany's 
 On Jan 4th, 1979, the Shah named Shapour Bakhtiar (picture), a respected member of the National Front, as Prime Minister of Iran. Bakhtiar was held in high regard by not only the French but Iranian nationalists. As soon as his government was ratified, Bakhtiar began pushing through a series of major reform acts: he completely nationalised all British oil interests in Iran, put an end to the martial law, abolished the SAVAK, and pulled Iran out of the Central Treaty Organization, declaring that Iran would no longer be "the gendarme of the Gulf".
On Jan 4th, 1979, the Shah named Shapour Bakhtiar (picture), a respected member of the National Front, as Prime Minister of Iran. Bakhtiar was held in high regard by not only the French but Iranian nationalists. As soon as his government was ratified, Bakhtiar began pushing through a series of major reform acts: he completely nationalised all British oil interests in Iran, put an end to the martial law, abolished the SAVAK, and pulled Iran out of the Central Treaty Organization, declaring that Iran would no longer be "the gendarme of the Gulf". 






 Et ce « Contre-coup » d'État, en réponse à cette tentative de coup d'État « en douce », ce fut la victoire du Président Trump. À vrai dire pas uniquement, puisque cette victoire du Président Trump ne signifia en fait que le début d'une épuration antisubversive de longue haleine aux États-Unis, laquelle a eu lieu en coulisses depuis maintenant quatre ans (2016-2020), et n'est certainement pas terminée... Mais cette victoire de Trump fut l'élément historique qui rendit possible une Restauration de la République américaine, en forme de Seconde Révolution américaine dans « l'esprit de 1776 »[7].
Et ce « Contre-coup » d'État, en réponse à cette tentative de coup d'État « en douce », ce fut la victoire du Président Trump. À vrai dire pas uniquement, puisque cette victoire du Président Trump ne signifia en fait que le début d'une épuration antisubversive de longue haleine aux États-Unis, laquelle a eu lieu en coulisses depuis maintenant quatre ans (2016-2020), et n'est certainement pas terminée... Mais cette victoire de Trump fut l'élément historique qui rendit possible une Restauration de la République américaine, en forme de Seconde Révolution américaine dans « l'esprit de 1776 »[7]. 
 Pourtant, des voix s'élevèrent en effet en Occident, face à l'hystérie collective soudaine que suscita l'emballement médiatique en Occident. Face aux médias clamant à l'unisson l'extrême dangerosité du coronavirus, pour légitimer des mesures de contrôle des populations tellement extrêmes qu'elles rappelaient les totalitarismes du XXe siècle. Aux États-Unis notamment, par la voix du Président Trump lui-même[21] et de Qanon, la voix occulte des patriotes américains[22]. Au Québec avec le média patriote Radio Québec, et même quelques personnages publics courageux qui eurent le cran de prendre publiquement position[23]. En Allemagne également, avec notamment la lettre ouverte du Professeur Sucharit Bhakdi à la Chancelière Angela Merkel[24]. En France, enfin, avec ce qui constituera certainement le plus gros scandale d'État depuis l'affaire dite du « sang contaminé », durant les années 1980.
Pourtant, des voix s'élevèrent en effet en Occident, face à l'hystérie collective soudaine que suscita l'emballement médiatique en Occident. Face aux médias clamant à l'unisson l'extrême dangerosité du coronavirus, pour légitimer des mesures de contrôle des populations tellement extrêmes qu'elles rappelaient les totalitarismes du XXe siècle. Aux États-Unis notamment, par la voix du Président Trump lui-même[21] et de Qanon, la voix occulte des patriotes américains[22]. Au Québec avec le média patriote Radio Québec, et même quelques personnages publics courageux qui eurent le cran de prendre publiquement position[23]. En Allemagne également, avec notamment la lettre ouverte du Professeur Sucharit Bhakdi à la Chancelière Angela Merkel[24]. En France, enfin, avec ce qui constituera certainement le plus gros scandale d'État depuis l'affaire dite du « sang contaminé », durant les années 1980. 


 Et à présent, cette même entente russo-américaine occulte, qui remonte à Lincoln et dont on trouve d'autres traces bien peu comprises dans l'histoire, se renouvelle sous nos yeux. Non pas par cette pantalonnade ridicule du « complot russe », qui aurait prétendument abouti à la victoire de Trump de 2016, fondée sur la fable du « rapport Steele » qui reviendra brutalement contre ses instigateurs bientôt, et restera dans l'Histoire comme l'Obamagate...[42] Mais c'est bien à l'occasion de cette crise du coronavirus que par nécessité, un axe occulte russo-américain va perdurer, plein de réalisme face au danger qui menace tant la Russie que les États-Unis en tant qu'États souverains.
Et à présent, cette même entente russo-américaine occulte, qui remonte à Lincoln et dont on trouve d'autres traces bien peu comprises dans l'histoire, se renouvelle sous nos yeux. Non pas par cette pantalonnade ridicule du « complot russe », qui aurait prétendument abouti à la victoire de Trump de 2016, fondée sur la fable du « rapport Steele » qui reviendra brutalement contre ses instigateurs bientôt, et restera dans l'Histoire comme l'Obamagate...[42] Mais c'est bien à l'occasion de cette crise du coronavirus que par nécessité, un axe occulte russo-américain va perdurer, plein de réalisme face au danger qui menace tant la Russie que les États-Unis en tant qu'États souverains.  Si j'étais citoyen Américain, je serais très vraisemblablement accusé par Joe Biden de n'être « pas musulman » si je décidais de voter pour Donald Trump. Mais que lui répondrais-je ? Que les vrais musulmans savent ce qu'il s'est passé à Benghazi, et plus globalement durant toute l'époque de subversion des Clinton, Bush Jr. et Obama. Ils savent aussi qui a voulu créer une immigration déstabilisante pour les États-Unis depuis 1965 afin de ruiner leur modèle d'intégration vertueux par l'excellence, avec une pure volonté de subversion qui fut parfaitement identifiable sous l'ère Obama[50]. De même, les musulmans n'ignorent pas non plus les turpitudes personnelles transgressives de « creepy » Joe, et dès lors, ne sauraient accepter toute prétention de son auguste personne à leur donner des leçons de maintien et de morale. Pour toutes ces raisons, les hommes de bien musulmans, au même titre que les chrétiens américains, ne peuvent que se réjouir à l'avance de sa future défaite lors de la réélection à venir du Président Trump...
Si j'étais citoyen Américain, je serais très vraisemblablement accusé par Joe Biden de n'être « pas musulman » si je décidais de voter pour Donald Trump. Mais que lui répondrais-je ? Que les vrais musulmans savent ce qu'il s'est passé à Benghazi, et plus globalement durant toute l'époque de subversion des Clinton, Bush Jr. et Obama. Ils savent aussi qui a voulu créer une immigration déstabilisante pour les États-Unis depuis 1965 afin de ruiner leur modèle d'intégration vertueux par l'excellence, avec une pure volonté de subversion qui fut parfaitement identifiable sous l'ère Obama[50]. De même, les musulmans n'ignorent pas non plus les turpitudes personnelles transgressives de « creepy » Joe, et dès lors, ne sauraient accepter toute prétention de son auguste personne à leur donner des leçons de maintien et de morale. Pour toutes ces raisons, les hommes de bien musulmans, au même titre que les chrétiens américains, ne peuvent que se réjouir à l'avance de sa future défaite lors de la réélection à venir du Président Trump... 

 On voit encore d'autres traces de cette subversion, quand la BBC s'obstine à réécrire sans cesse l'Histoire occidentale dans un sens « antiraciste », en faisant jouer les personnages européens par des immigrés d'origine africaine.[60] Ceci est visible dans tous les pays occidentaux, jusqu'au ridicule quand Lancelot[61], Achille[62] ou Louis XIV[63] sont joués alors par des acteurs noirs. On attend avec impatience une histoire de Nelson Mandela, de Martin Luther King ou de l'Empereur Kanga Moussa du Mali joués par des acteurs blancs, afin d'être sûr que personne ne soit choqué par ces réécritures de l'Histoire ridiculement parasitées par des partis-pris idéologiques...
On voit encore d'autres traces de cette subversion, quand la BBC s'obstine à réécrire sans cesse l'Histoire occidentale dans un sens « antiraciste », en faisant jouer les personnages européens par des immigrés d'origine africaine.[60] Ceci est visible dans tous les pays occidentaux, jusqu'au ridicule quand Lancelot[61], Achille[62] ou Louis XIV[63] sont joués alors par des acteurs noirs. On attend avec impatience une histoire de Nelson Mandela, de Martin Luther King ou de l'Empereur Kanga Moussa du Mali joués par des acteurs blancs, afin d'être sûr que personne ne soit choqué par ces réécritures de l'Histoire ridiculement parasitées par des partis-pris idéologiques...  Depuis la victoire de Trump aux Etats-Unis et le net reflux de la pédocriminalité outre-Atlantique, la France passe de plus en plus pour le premier Etat pédocriminel au monde... Au point de susciter la préoccupation d'INTERPOL et d'EUROPOL. En France, chaque année, 58 000 enfants disparaissent et plus de 150.000 enfants sont violés[69], alors qu'à peine 0,3 % des agressions sexuelles sur mineurs sont condamnées ! C'est ainsi que l'on détruit la substance et l'avenir d'un peuple, et les Français qui tentent de protéger leurs enfants sont bâillonnés, dénigrés, voire accusés lorsqu'ils osent évoquer ce sujet. Selon Me Marie Grimaud, avocate pénaliste de l'association « Innocence en danger », « La France est l'eldorado des pédophiles. [...] Je le répète, aujourd'hui mieux vaut violer un enfant que de dealer du shit dans la rue. La sanction est beaucoup plus lourde pour le dealer que pour le violeur d'enfants ». Pire, elle rappelle que « si des magistrats estiment qu'un enfant de 5 à 6 ans peut éventuellement consentir à un rapport sexuel et éventuellement relaxer des individus pour cela, c'est que nous avons un problème dans la formation de nos magistrats. C'est ce que j'appelle la gouvernance des juges, qui va en deçà [au-delà] de ce que la loi prévoit »[70]. Djamila Allaf, directrice de l'association « Enfance au cœur », renchérit : en France, « les chiffres de la maltraitance des enfants sont terrifiants. Ils sont indignes d'une société qui se dit civilisée. Parce que le marqueur d'une civilisation, c'est sa capacité à protéger les plus faibles. Aujourd'hui, dans un pays comme la France, qui se dit pays des Droits de l'Homme, qui donne des leçons dans le monde entier, il y a 422 enfants qui sont violés chaque jour, 2 enfants qui meurent de maltraitance par jour. Et malgré cela on a toujours un silence sur cette question, ça reste tabou »[71]. Dans le contexte de l'Affaire d'Outreau, qui a défrayé la chronique, qui a fait énormément de mal à la cause des enfants en discréditant leur parole, une remarquable enquête non médiatisée d'un journaliste de l'AFP[72], rappelait qu'aucun enfant de l'affaire d'Outreau n'avait menti. Douze enfants ont bien été reconnus victimes de violences sexuelles dans un contexte de proxénétisme. Alors pourquoi leurs bourreaux ont-ils été protégés ? Était-ce un réseau susceptible de révéler des noms connus ? En tout cas, la France n'en sort pas grandie...et les enfants français continuent d'être torturés ![73]
Depuis la victoire de Trump aux Etats-Unis et le net reflux de la pédocriminalité outre-Atlantique, la France passe de plus en plus pour le premier Etat pédocriminel au monde... Au point de susciter la préoccupation d'INTERPOL et d'EUROPOL. En France, chaque année, 58 000 enfants disparaissent et plus de 150.000 enfants sont violés[69], alors qu'à peine 0,3 % des agressions sexuelles sur mineurs sont condamnées ! C'est ainsi que l'on détruit la substance et l'avenir d'un peuple, et les Français qui tentent de protéger leurs enfants sont bâillonnés, dénigrés, voire accusés lorsqu'ils osent évoquer ce sujet. Selon Me Marie Grimaud, avocate pénaliste de l'association « Innocence en danger », « La France est l'eldorado des pédophiles. [...] Je le répète, aujourd'hui mieux vaut violer un enfant que de dealer du shit dans la rue. La sanction est beaucoup plus lourde pour le dealer que pour le violeur d'enfants ». Pire, elle rappelle que « si des magistrats estiment qu'un enfant de 5 à 6 ans peut éventuellement consentir à un rapport sexuel et éventuellement relaxer des individus pour cela, c'est que nous avons un problème dans la formation de nos magistrats. C'est ce que j'appelle la gouvernance des juges, qui va en deçà [au-delà] de ce que la loi prévoit »[70]. Djamila Allaf, directrice de l'association « Enfance au cœur », renchérit : en France, « les chiffres de la maltraitance des enfants sont terrifiants. Ils sont indignes d'une société qui se dit civilisée. Parce que le marqueur d'une civilisation, c'est sa capacité à protéger les plus faibles. Aujourd'hui, dans un pays comme la France, qui se dit pays des Droits de l'Homme, qui donne des leçons dans le monde entier, il y a 422 enfants qui sont violés chaque jour, 2 enfants qui meurent de maltraitance par jour. Et malgré cela on a toujours un silence sur cette question, ça reste tabou »[71]. Dans le contexte de l'Affaire d'Outreau, qui a défrayé la chronique, qui a fait énormément de mal à la cause des enfants en discréditant leur parole, une remarquable enquête non médiatisée d'un journaliste de l'AFP[72], rappelait qu'aucun enfant de l'affaire d'Outreau n'avait menti. Douze enfants ont bien été reconnus victimes de violences sexuelles dans un contexte de proxénétisme. Alors pourquoi leurs bourreaux ont-ils été protégés ? Était-ce un réseau susceptible de révéler des noms connus ? En tout cas, la France n'en sort pas grandie...et les enfants français continuent d'être torturés ![73] 
 Le regretté Pierre Schoendoerfer considérait qu'un soldat avait pour devoir sacré de « mettre de l'ordre dans le désordre ». Le général Michael Flynn, directeur de campagne de Donald Trump, compara les citoyens réalisant avec responsabilité leur propre travail individuel de réinformation personnelle, à une « armée digitale » devant monter en ligne pour préserver son propre destin : sur Internet comme dans la vie réelle, afin de réduire toujours plus la surface d'action de la subversion sur les esprits non préparés. Certes, « l'Histoire est faite par peu d'Hommes », disait Jules César. Mais l'habitude résignée de voir un parti subversif, somme toute très faible, détourner impudemment un vieil État qui semble impuissant, alors que son Histoire permettrait pourtant de comprendre toutes les causes et conséquences de ce détournement, suscite une indolence qui prédispose à l'esclavage. Cette indolence résignée, c'était la situation exacte des États-Unis durant les mois qui précédèrent l'élection de Trump en 2016, lorsque les patriotes les mieux informés ne pouvaient que constater l'état de démoralisation du peuple : prêt à se soumettre à une justice subvertie qui venait de favoriser ce qui allait à coup sûr devenir une énième élection truquée, dont les États-Unis finissaient par avoir l'habitude...[80]
Le regretté Pierre Schoendoerfer considérait qu'un soldat avait pour devoir sacré de « mettre de l'ordre dans le désordre ». Le général Michael Flynn, directeur de campagne de Donald Trump, compara les citoyens réalisant avec responsabilité leur propre travail individuel de réinformation personnelle, à une « armée digitale » devant monter en ligne pour préserver son propre destin : sur Internet comme dans la vie réelle, afin de réduire toujours plus la surface d'action de la subversion sur les esprits non préparés. Certes, « l'Histoire est faite par peu d'Hommes », disait Jules César. Mais l'habitude résignée de voir un parti subversif, somme toute très faible, détourner impudemment un vieil État qui semble impuissant, alors que son Histoire permettrait pourtant de comprendre toutes les causes et conséquences de ce détournement, suscite une indolence qui prédispose à l'esclavage. Cette indolence résignée, c'était la situation exacte des États-Unis durant les mois qui précédèrent l'élection de Trump en 2016, lorsque les patriotes les mieux informés ne pouvaient que constater l'état de démoralisation du peuple : prêt à se soumettre à une justice subvertie qui venait de favoriser ce qui allait à coup sûr devenir une énième élection truquée, dont les États-Unis finissaient par avoir l'habitude...[80] 






 Sollte der Iran eine weitere Tanker-Flottille auf die Reise nach Südamerika schicken, könnten die Vereinigten Staaten ihre bisherige Zurückhaltung aufgeben und die Schiffe mit militärischer Gewalt an der Weiterfahrt hindern.
Sollte der Iran eine weitere Tanker-Flottille auf die Reise nach Südamerika schicken, könnten die Vereinigten Staaten ihre bisherige Zurückhaltung aufgeben und die Schiffe mit militärischer Gewalt an der Weiterfahrt hindern.

 Toutefois, après avoir initialement dissimulé la gravité de l’épidémie, face aux soupçons, au lieu de jouer la carte de la transparence, le gouvernement chinois a déchaîné sa propagande contre ceux qui osaient critiquer sa version officielle et n’a pas hésité à faire la leçon à aux pays occidentaux sur leur propre gestion de l’épidémie. Cette attitude a braqué contre la Chine la majorité des Etats occidentaux et des voix se sont élevées pour réclamer une enquête de l’Organisation mondiale de la santé sur l’origine du virus, ce qu’a refusé Pékin, de même qu’il a refusé de participer aux financements lors des réunions de donateurs pour lutter mondialement contre l’épidémie.
Toutefois, après avoir initialement dissimulé la gravité de l’épidémie, face aux soupçons, au lieu de jouer la carte de la transparence, le gouvernement chinois a déchaîné sa propagande contre ceux qui osaient critiquer sa version officielle et n’a pas hésité à faire la leçon à aux pays occidentaux sur leur propre gestion de l’épidémie. Cette attitude a braqué contre la Chine la majorité des Etats occidentaux et des voix se sont élevées pour réclamer une enquête de l’Organisation mondiale de la santé sur l’origine du virus, ce qu’a refusé Pékin, de même qu’il a refusé de participer aux financements lors des réunions de donateurs pour lutter mondialement contre l’épidémie.



 Sa vie bascule durant les années 1945-60, où elle devient une philosophe à la mode, soutenue par quantité de financiers et de littérateurs juifs, cyniques et conquérants. Durant les années 1960, un parent de l’épouse de son amant, Leonard Peikoff, anime le Mouvement objectiviste, à la gloire de la Dame.
Sa vie bascule durant les années 1945-60, où elle devient une philosophe à la mode, soutenue par quantité de financiers et de littérateurs juifs, cyniques et conquérants. Durant les années 1960, un parent de l’épouse de son amant, Leonard Peikoff, anime le Mouvement objectiviste, à la gloire de la Dame.
 « Je reproche aux miséricordieux de manquer facilement de pudeur, de délicatesse, de ne pas savoir garder les distances. La compassion prend trop vite l’odeur de la populace. Surmonter la pitié, c’est une vertu aristocratique » (Nietzsche, Ecce Homo, de 1888). La compassion est une « valeur amorale » et la charité – le don gratuit, sans espoir de réciprocité – une « morale d’esclaves »… une autre analyse en ferait plutôt une valeur de Seigneur moral ! « Les horreurs de la réalité sont infiniment plus nécessaires que ce petit bonheur qu’on appelle “la bonté” », cette bonté que Friedrich, solitaire, aigri par son insuccès en terres germaniques, assimile à un hédonisme moral (même source). Il fait de la magnanimité une « vengeance sublimée »… alors qu’elle est surtout une forme subtile de mépris.
« Je reproche aux miséricordieux de manquer facilement de pudeur, de délicatesse, de ne pas savoir garder les distances. La compassion prend trop vite l’odeur de la populace. Surmonter la pitié, c’est une vertu aristocratique » (Nietzsche, Ecce Homo, de 1888). La compassion est une « valeur amorale » et la charité – le don gratuit, sans espoir de réciprocité – une « morale d’esclaves »… une autre analyse en ferait plutôt une valeur de Seigneur moral ! « Les horreurs de la réalité sont infiniment plus nécessaires que ce petit bonheur qu’on appelle “la bonté” », cette bonté que Friedrich, solitaire, aigri par son insuccès en terres germaniques, assimile à un hédonisme moral (même source). Il fait de la magnanimité une « vengeance sublimée »… alors qu’elle est surtout une forme subtile de mépris. Dans son Malaise dans la civilisation (texte de 1930), le gourou de Vienne, alors en perte de vitesse, étant très contesté par ses concurrents et ses ex-élèves, écrit l’une des perles dont il a le secret : « Tout renoncement à une pulsion devient une source d’énergie pour la conscience », alors qu’elle ne fait généralement qu’alimenter la puissance d’une autre pulsion. Ne pas reprendre du gâteau fut une source d’intime satisfaction pour le stoïcien romain ; ne pas violer une jolie femme restera toujours une source d’honneur pour un homme.
Dans son Malaise dans la civilisation (texte de 1930), le gourou de Vienne, alors en perte de vitesse, étant très contesté par ses concurrents et ses ex-élèves, écrit l’une des perles dont il a le secret : « Tout renoncement à une pulsion devient une source d’énergie pour la conscience », alors qu’elle ne fait généralement qu’alimenter la puissance d’une autre pulsion. Ne pas reprendre du gâteau fut une source d’intime satisfaction pour le stoïcien romain ; ne pas violer une jolie femme restera toujours une source d’honneur pour un homme. Se réclamant officiellement de « l’objectivité », la dame a fourni à ses lecteurs des analyses très « subjectives » de tout ce qu’elle a traité. Plutôt que les rhapsodies très lyriques de la romancière-philosophe, c’est le pavé de Leonard Peikoff (1991) qui explique le mieux les concepts assez rudimentaires de la dame, qui a tenté d’amalgamer le cynisme de « Stirner » et le délire mégalomaniaque du Nietzsche de ses dernières années d’éveil cérébral aux théories sommaires des économistes ultralibéraux des XVIIIe et XIXe siècles.
Se réclamant officiellement de « l’objectivité », la dame a fourni à ses lecteurs des analyses très « subjectives » de tout ce qu’elle a traité. Plutôt que les rhapsodies très lyriques de la romancière-philosophe, c’est le pavé de Leonard Peikoff (1991) qui explique le mieux les concepts assez rudimentaires de la dame, qui a tenté d’amalgamer le cynisme de « Stirner » et le délire mégalomaniaque du Nietzsche de ses dernières années d’éveil cérébral aux théories sommaires des économistes ultralibéraux des XVIIIe et XIXe siècles. Chaque être humain est libre de butiner là où il trouve son bien, libre également de crier Au génie !, libre de vouloir faire partager son admiration. Toutefois, nier toute valeur à la compassion et repousser l’altruisme et la pitié, au profit de l’individualisme forcené ou d’un darwinisme social quelque peu absurde, ce sont de curieuses attitudes, peu enthousiasmantes.
Chaque être humain est libre de butiner là où il trouve son bien, libre également de crier Au génie !, libre de vouloir faire partager son admiration. Toutefois, nier toute valeur à la compassion et repousser l’altruisme et la pitié, au profit de l’individualisme forcené ou d’un darwinisme social quelque peu absurde, ce sont de curieuses attitudes, peu enthousiasmantes. B. Plouvier : Le dérangement du monde ou des erreurs et des hommes, L’Æncre, 2016
B. Plouvier : Le dérangement du monde ou des erreurs et des hommes, L’Æncre, 2016


















 Dans une tribune, une dizaine de militaires de haut rang ayant quitté le service et regroupés au sein du Cercle de réflexion interarmées, s’inquiètent de la participation de la France au prochain exercice militaire de l’OTAN.
Dans une tribune, une dizaine de militaires de haut rang ayant quitté le service et regroupés au sein du Cercle de réflexion interarmées, s’inquiètent de la participation de la France au prochain exercice militaire de l’OTAN.

![defendereurope20_bremerhaven_2[3300]-HcKsR2.jpg](http://euro-synergies.hautetfort.com/media/02/02/2832104459.jpg)




 L’historien français Jacques Benoist-Méchin (1901 – 1983) relate avec une grande précision comment les deux chefs d’Etat ont noué ce marchandage du siècle. Le résultat de cette discussion s’articule en quatre points : 1) la stabilité de l’Arabie saoudite fait partie des « intérêts vitaux » des États-Unis qui assurent, en contrepartie, la protection inconditionnelle de la famille Saoud et accessoirement celle du Royaume contre toute menace extérieure éventuelle ; 2) par extension, la stabilité de la péninsule arabique et le leadership régional de l’Arabie saoudite font aussi partie des « intérêts vitaux » des États-Unis ; 3) en contrepartie, le Royaume garantit l’essentiel de l’approvisionnement énergétique américain, la dynastie saoudienne n’aliénant aucune parcelle de son territoire.
L’historien français Jacques Benoist-Méchin (1901 – 1983) relate avec une grande précision comment les deux chefs d’Etat ont noué ce marchandage du siècle. Le résultat de cette discussion s’articule en quatre points : 1) la stabilité de l’Arabie saoudite fait partie des « intérêts vitaux » des États-Unis qui assurent, en contrepartie, la protection inconditionnelle de la famille Saoud et accessoirement celle du Royaume contre toute menace extérieure éventuelle ; 2) par extension, la stabilité de la péninsule arabique et le leadership régional de l’Arabie saoudite font aussi partie des « intérêts vitaux » des États-Unis ; 3) en contrepartie, le Royaume garantit l’essentiel de l’approvisionnement énergétique américain, la dynastie saoudienne n’aliénant aucune parcelle de son territoire. 













 Découvrez ce petit âne mignon sur la droite.
Découvrez ce petit âne mignon sur la droite.  En 1995, la journaliste américaine Laurie Garrett a publié un excellent livre intitulé «The Coming Plague: Newly Emerging Diseases in a World Out of Balance» dans lequel elle a expliqué pourquoi et même comment une pandémie mondiale émergerait naturellement en raison de la nature même de notre société moderne. Je recommande fortement ce livre en dépit du fait qu’il a maintenant un quart de siècle : il est très bien écrit, facile à lire et il est très convaincant en disant que de telles pandémies étaient inévitables, et sans besoin de faire appel aux théories non confirmées de la guerre biologique.
En 1995, la journaliste américaine Laurie Garrett a publié un excellent livre intitulé «The Coming Plague: Newly Emerging Diseases in a World Out of Balance» dans lequel elle a expliqué pourquoi et même comment une pandémie mondiale émergerait naturellement en raison de la nature même de notre société moderne. Je recommande fortement ce livre en dépit du fait qu’il a maintenant un quart de siècle : il est très bien écrit, facile à lire et il est très convaincant en disant que de telles pandémies étaient inévitables, et sans besoin de faire appel aux théories non confirmées de la guerre biologique. 



