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mercredi, 28 janvier 2015

DIVORCE NETANYAHU / OBAMA

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DIVORCE NETANYAHU / OBAMA
 
Intérêts divergents sur l'Iran avec la France en entremetteuse
 
Michel Lhomme
Ex: http://metamag.fr

Mercredi dernier, la Maison Blanche a exprimé son exaspération après avoir appris que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu avait été invité par les Républicains américains à venir « débattre » au Congrès sur l'Iran. 


Le président de la Chambre des représentants, le républicain John Boehner, avait en effet annoncé que Benjamin Netanyahu avait été invité, pour la troisième fois, à prononcer le 11 février un discours devant les deux chambres du Congrès. La Maison Blanche a semble-t-il été prise de court, n'ayant été informée de ce rendez-vous que peu avant le communiqué républicain. En termes diplomatiques mais sans aucune équivoque, le porte-parole de Barack Obama a fait part de l'agacement américain à l'encontre du Premier ministre israélien : « Le protocole classique est que le dirigeant d'un pays prenne contact avec le dirigeant du pays dans lequel il se rend, c'est certainement la façon dont les voyages du président Obama à l'étranger sont organisés, et cet événement semble donc être un écart au protocole », a déclaré Josh Earnest. « Les Israéliens ne nous ont pas informés du tout de ce voyage », a-t-il ajouté.


Les deux dirigeants américains et israéliens se seraient parlé au téléphone le 12 janvier. Ils auraient parlé beaucoup de la France et des attentats de Paris. Outre l'incident protocolaire, la venue du Premier ministre israélien intervient en fait en plein débat américain sur le nucléaire iranien. Or, une bonne partie des élus républicains est favorable à l'adoption préventive de sanctions contre l'Iran, pour contraindre Téhéran à signer avant la date-butoir du 1er juillet un accord sur le nucléaire. Mais Barack Obama ne veut rien céder de son pouvoir de négociation, et a promis d'opposer son veto à une telle législation. Aussi, les propos de John Boehner justifiant l'invitation ne laissent guère de doutes quant à son but : ajouter la puissante voix de M. Netanyahu à celles des nombreux parlementaires qui veulent défier l'administration Obama. John Boehner a en d'ailleurs rajouté : « Le Premier ministre Netanyahu est un grand ami de notre pays, et cette invitation est la marque de notre engagement sans faille en faveur de la sécurité et du bien-être de son peuple », pour insister ensuite : « Face aux défis actuels, je demande au Premier ministre de s'exprimer devant le Congrès sur les graves menaces que l'Islam radical et l'Iran représentent pour notre sécurité et notre mode de vie ». Une bonne concordance avec Charlie. 


De plus, le discours de M. Netanyahu est non seulement attendu à Washington mais aussi à Tel Aviv car il aura lieu à un peu plus d'un mois avant les élections législatives israéliennes du 17 mars, lors desquelles Benjamin Netanyahu espère être reconduit.


L'incident diplomatique de la semaine dernière illustre en tout cas la mésentente notoire entre les deux dirigeants, américains et israéliens dans les dossiers iranien mais aussi palestinien, notamment sur la construction de logements à Jérusalem-Est. Assis dans le Bureau ovale près de Barack Obama en octobre dernier, Benjamin Netanyahu l'avait mis en garde devant les caméras contre un accord faible qui mènerait l'Iran « au seuil de la puissance nucléaire ». Netanyahu, parfaitement bilingue, est d'ailleurs régulièrement invité dans les grandes émissions politiques américaines du dimanche, en duplex de Jérusalem, pour peser sur ce débat américain sur l'Iran. La visite de M. Netanyahu est donc clairement partisane, organisée par l'APAIC et soutenue par les néo-conservateurs, le Congrès étant passé sous contrôle républicain en janvier. Mais Israël dispose aussi de solides alliés à l'étranger avec surtout son allié de poids : Paris. Et c'est là que l'on retrouve indirectement l'attentat de Charlie Hebdo et un certain agacement américain dans les services secrets contre la France et Israël mais là, on avoue ne pas trop comprendre pourquoi et que quelque chose nous dépasse !

 

vendredi, 12 décembre 2014

House Resolution 758: A Work of Fiction

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House Resolution 758: A Work of Fiction

By

Ex: http://www.lewrockwell.com

The U.S. government is a bastion of reckless behavior, constantly and continually. The extent of damage inflicted upon the American people by U.S. governments is huge and incalculable. The latest addition to its record of recklessness is H.R. 758. This resolution passed the House with 95 percent of the House voting “yea”. The vote was 411 to 10 with 13 not voting.

The text of H.R. 758, passed by the U.S. House of Representatives on Dec. 4, 2014, is here. This resolution is directed against Russia. All quotes below are from H.R. 758.

“H.Res.758 – Strongly condemning the actions of the Russian Federation, under President Vladimir Putin, which has carried out a policy of aggression against neighboring countries aimed at political and economic domination.”

H.R. 758 condemns Russia unjustly, unilaterally, without justification, without evidence, and while ignoring Russia’s actual intentions and actions.

H.R. 758 makes false charges against Russia. False accusations obscure facts and realities. This can only lead to harmful decisions. Basing national policies on fictions can only cause problems and hurt Americans.

H.R. 758 gains  nothing for Americans by fabricating false charges against Russia. To the contrary, there is much to be lost by placing America on a collision course with Russia. There is much to be lost for Americans, Russians, and other peoples of the world by isolating Russia and starting a new Cold War.

H.R. 758 makes various calls for action “with the goal of compelling it [Russia]…” These acts, that include “visa bans, targeted asset freezes, sectoral sanctions, and other measures on the Russian Federation and its leadership” are hostile and aggressive.

H.R. 758’s attempt to compel Russia raises the distinct possibility of subsequent further economic, political and military steps that confront Russia and raise the likelihood of war, even nuclear war. These prospects are not counterbalanced by any gains to Americans from compelling Russia.

H.R. 758 demeans Russia. It is scandalously derogatory. It accuses Russia. It places Russia in a docket made by the U.S. It judges Russia. It makes the U.S. government the judge and jury of Russia.

H.R. 758 makes demands of Russia. It demands unrealistic capitulation. It places the U.S. in opposition to Russia when there is nothing to be gained by such opposition and peace is to be lost.

H.R. 758 calls for military actions. It spurns diplomacy.

H.R. 758 is aggressive in tone and nature, needlessly and without right.

H.R. 758 intrudes the U.S. into areas of the world where the U.S. doesn’t belong and has no right being. It intrudes the U.S. government into areas where it has no genuine interest on behalf of the American people.

H.R. 758 is fiction purporting to be fact. As fact, it’s mostly garbage, and harmful, dangerous garbage at that.

H.R. 758 is an extended exercise in baseless Congressional propaganda that teaches the American people false beliefs that can only generate hatred, suspicion and hostility. These strengthen the hand of the American warmongers and war party and obscure the voices for peace.

Although the situation in Ukraine and Russia’s role in it are none of Congress’s (or the House’s) business, measures like H.R. 758 will be used to justify further actions against Russia. For this reason, it’s useful to point out just a few of the many fictional narratives in this document.

What emerges after considering some of these allegations is that H.R. 758 has assembled a laundry list of charges against Russia in order to create the illusion of a substantial indictment. This is analogous to how American prosecutors trump up charges by issuing a stew such as assaulting a police officer, resisting arrest, trafficking, conspiracy to deliver controlled substances, conspiracy to resist arrest, unlawful use of a telephone, ad infinitum. This manner of proceeding is not surprising given the legal backgrounds of many Congressmen and members of their staffs.

FICTION: “…the Russian Federation has subjected Ukraine to a campaign of political,         economic, and military aggression for the purpose of establishing its domination over the country and progressively erasing its independence.”

FACT: The Russian Federation did absolutely nothing to initiate Ukraine’s current set of troubles. It did not create a coup d’etat in Ukraine. To the contrary, the U.S. encouraged the coup. Russia never attacked Ukraine militarily with its armed forces. It never made an attempt to take over Ukraine. If it has, where is the evidence of such an invasion? Russia has never sought to erase the independence of Ukraine. To the contrary, it has again and again made efforts to bring peace to that country.

FICTION: “…Russian Federation’s forcible occupation and illegal annexation of Crimea…”

FACT: Russia didn’t forcibly occupy Crimea at any time. Russia never invaded Crimea. Actually, in response to the coup d’etat in Kiev, the Parliament of Crimea adopted a resolution calling for a referendum to secede from Ukraine and its illegitimate government. The referendum was put to the people and passed in a one-sided vote. This resulted in Crimea joining the Russian Federation as a sovereign state.

FICTION: “… the Russian Federation has provided military equipment, training, and other assistance to separatist and paramilitary forces in eastern Ukraine that has resulted in over 4,000 civilian deaths, hundreds of thousands of civilian refugees, and widespread destruction…”

FACT: Whatever assistance was or was not, it did not result in “over 4,000 civilian deaths, hundreds of thousands of civilian refugees, and widespread destruction…” as H.R. 758 says. This cannot be laid at the doorstep solely of either the secessionists or the Russian Federation. It is a consequence of the de-stabilization of Ukraine’s government that catalyzed secession movements and resulted in Ukraine’s going to war to maintain its territory.

FACT: As with Crimea, secessionary forces of eastern Ukraine immediately became active after the coup d’etat in Kiev on February, 25, 2014. (The Donetsk Republic organization actually appeared before the year 2007 when Ukraine banned it.) The coup resulted in activists taking control of municipal buildings and declaring the Federal State of Novorussiya on April 7, 2014. One week later, Ukraine’s interim government declared it would confront the secessionists militarily.

FACT: On May 16, 2014, Ukraine declared that the entire Donetsk People’s Republic, a component of the Federal State of Novorussiya, was a terrorist organization. Consequently, Ukraine sent its military forces against those of the eastern Ukraine secessionists. We know that to re-take territory, Ukraine prosecuted the war in Donbass by bombardments of civilian areas.

FACT: The available evidence on the war in Donbass shows complexity in the forces fighting on the secessionist side. The participation of Russians did occur. However, there is no documentation that has yet been provided by the U.S. of the extent and kinds of assistance by Russians and/or by the Russian Federation to the secessionist forces of the Federal State of Novorussiya.

FICTION: “…the terms of the cease-fire specified in the Minsk Protocol that was signed on September 5, 2014, by representatives of the Government of Ukraine, the Russian Federation, and the Russian-led separatists in the eastern area of Ukraine have been repeatedly violated by the Russian Federation and the separatist forces it supports…”

FACT: The cease-fire has been repeatedly violated by both the Government of Ukraine and separatists. They’ve been fighting over the Donetsk airport. Calling the separatists Russian-led is an attempt to make Russia the author of the secessionist movement, which it is not. Cease-fires often are respites in longer wars as each side arms and regroups. This cease-fire’s lapses, which are none of America’s business anyway, can’t be taken seriously, and certainly not as seriously as H.R. 758 purports to do.

FICTION: “Malaysia Airlines Flight 17, a civilian airliner, was destroyed by a missile fired by Russian-backed separatist forces in eastern Ukraine, resulting in the loss of 298 innocent lives…”

FACT: The causes of the destruction of this airliner have not been yet established. H.R. 758 treats allegations as if they were facts.

FICTION: “…the Russian Federation has used and is continuing to use coercive economic measures, including the manipulation of energy prices and supplies, as well as trade restrictions, to place political and economic pressure on Ukraine…”

FACT: The energy relations among Russia, Russian companies, Ukraine and oligarchs of both countries are complex and not easily understood. They are known to be opaque. There are all sorts of hypotheses about them, but little is actually known. The allegation made in H.R. 758 is unproven.

FICTION: “…the Russian Federation invaded the Republic of Georgia in August 2008…”

FACT: The breakup of the USSR has been followed by some instabilities on Russia’s periphery, especially where there are large Russian populations that come into conflict with other nearby peoples. This characterizes Ukraine and Georgia. In the latter case, Georgia had a breakaway region, South Ossetia. Georgia shelled this region, and that brought in the Russian military to protect the integrity of South Ossetia. A European Union report says that Russia didn’t simply invade Georgia on its own hook. It didn’t initiate an aggression. The attacks by Ukraine on Donbass are a similar case, except that Russia has notably not responded to protect Novorussiya as it did South Ossetia. It has not introduced a concerted Russian attack.

FICTION: “…the Russian Federation continues to subject the Republic of Georgia to political and military intimidation, economic coercion, and other forms of aggression in an effort to establish its control of the country and to prevent Georgia from establishing closer relations with the European Union and the United States…”

FACT: This charge is sour grapes over the fact that Russia doesn’t want Georgia to join NATO and place missiles and armed forces on its doorstep. Georgia wants to join NATO, thinking that it affords it some protection against Russia.

If the Congress regards Russia’s pressures as “forms of aggression”, what then are its sanctions on Russia? Georgia is no more America’s business than is Ukraine. For the U.S. to condemn Russia over its actions on its periphery makes no more sense than for Russia to condemn the U.S. for its actions in Mexico or the Caribbean. When one major state begins to pressure another major state for its intrusions on smaller states, neither one can justify itself; and the result is often war between the two mastodons.

H.R. 758 is confrontational. It’s a jockeying for power at Russia’s boundaries and elsewhere. The problem with it is that as justification for confrontation it is so patently trumped up and false; and as part of a policy of U.S. expansion and influence, it is so foolish, so counter-productive and so dangerous.

H.R. 758 makes Ukraine into a U.S. ally. It calls for the restoration of Ukraine’s pre-coup borders. To accomplish this, it calls for the U.S. to supply arms, services and training to Ukraine: “…calls on the President to provide the Government of Ukraine with lethal and non-lethal defense articles, services, and training  required to effectively defend its territory and sovereignty…”

This makes the U.S. a party to Ukraine’s war against Donbass and even Crimea.

The belief that motivates all of H.R. 758 is that Russia is expansionist and on the move, seeking to take over countries on its periphery. Washington sees Putin and Russia as a new Hitler and Germany. This is the basis of all the trumped up charges and fictions in this document. Washington is constructing a new Hitler for itself, even though the situation is totally different and even though the evidence points in very different directions. To this erroneous belief is added another erroneous idea, which is the notion that to do nothing is to appease Russia. And finally there is a third erroneous idea which is that it’s the mission of the U.S. to fight evil empires all over the world. So, since the U.S. government conceives itself as committed to fighting evil empires and it has found one in Putin’s Russia, it wants to join hands with Ukraine and enter the fight. Ukraine is seen as the new Sudetenland or Czechoslovakia or Austria.

What we have in Washington are people who have been so indoctrinated in an oversimplified history of the world American-style that they cannot see anything but those past situations today, when in fact the situations arising today are considerably different and call for very different responses.

Reality is far, far different than H.R. 758 suggests. Russia is not an aggressive state. Its moves are defensive. Putin has sought time and again to protect Russian populations on the periphery of the Russian Federation. This is merely housekeeping and tidying up after the dissolution of the USSR. Putin wants respect for Russia and a Russian sphere of influence. He wants ties with Europe, peaceful ties. Putin has not built Russia into a military machine of huge proportions. He has not attacked any country in an outright aggression. There is no evidence, in word or deed, that this is his intent.

NATO is an aggressive force, as shown in Serbia, Afghanistan and Libya. It is a tool of neo-colonialist European powers. NATO cannot be trusted. Russia’s defensiveness concerning NATO is entirely justified.

America is an aggressively expansionary force, with vast global ambitions, as shown by its attacks on Serbia, Afghanistan, Libya, and Iraq, as shown by its drone wars in other countries like Pakistan and Yemen, as shown by its forces in Somalia and its other commitments in Africa, and as shown by its Pacific pivot and evident antagonism toward Russia. Russia’s defensiveness concerning the U.S. is justified.

H.R. 758 reflects anachronistic thinking, but fighting enemies, real and imagined, has become an entrenched habit of American governments. Congress doesn’t want peace. It doesn’t want to exercise diplomacy. It doesn’t want to recognize a multipolar world and other major powers, not really. Congress wants a new and large outside enemy. Else, why would it be constructing one in the form of Putin and the Russian Federation?


mercredi, 10 décembre 2014

Regering Obama voert eerste test uit met uitschakelen kritische internetmedia

Regering Obama voert eerste test uit met uitschakelen kritische internetmedia

Onafhankelijke berichtgeving in VS kan nu op ieder gewenst moment worden geblokkeerd

‘Nieuwspraak’ ook in EU (en Nederland) harde realiteit: speciale raad in Duitsland controleert op politiek correcte berichtgeving over immigratie, misdaad en islam


De Amerikaanse regering heeft afgelopen woensdag voor het eerst gericht enkele nieuwssites op internet voor korte tijd platgelegd. Volgens Mike Adams, beheerder van Natural News –één van de grootste alternatieve websites van het land-, was dit een eerste test waarmee de regering Obama voorbereidingen treft om de onafhankelijke berichtgeving op het internet uit te schakelen, zodat er alleen nog maar ruimte overblijft voor overheidspropaganda.

In Californië waren woensdag bekende nieuwssites, waaronder Drudge Report, CNN, Epoch Times en het christelijke World Net Daily twee uur lang niet meer te bereiken. Adams’ bronnen onthulden dat de Amerikaanse regering hier achter zat, die tevreden geconstateerd zou hebben dat het technisch mogelijk is om vijandig gezinde websites op ieder moment razendsnel af te sluiten of te veranderen.

Overheid wil totale controle over berichtgeving

Dat laatste is mogelijk nog verontrustender, want dat betekent dat de overheid valse kopieën van bestaande websites in de lucht kan brengen. Er is weinig fantasie voor nodig om te bedenken dat het op deze wijze erg eenvoudig wordt om ook aan de meest kritisch denkende Amerikaan leugenachtige propaganda voor ‘waarheid’ te verkopen.

De overheid, politie en geheime diensten willen bij eventuele natuurrampen,  grote terreuraanslagen of andere calamiteiten –denk aan een eventuele ebola epidemie- de nieuwsvoorziening aan het publiek totaal onder controle houden. Dat betekent dat zoveel mogelijk mensen alleen de officiële lezing van de gebeurtenissen te horen en te lezen mogen krijgen, voordat onafhankelijke journalisten, bloggers of activisten met andere, niet gewenste verklaringen en bewijzen (zoals foto’s en filmpjes) komen.

Bespioneren van burgers

Sinds de ‘war on terror’ begon na de aanslagen op  9/11/01 heeft het bespioneren van burgers door de NSA en andere geheime diensten een hoge vlucht genomen. Tegelijkertijd werd de politie en ME omgevormd tot een militaristische macht. Inmiddels worden er dus ook voorbereidingen getroffen om het internet, het laatste bolwerk van vrije meningsuiting, lam te leggen.

Hackaanval

De geheime diensten hadden afgelopen maandagavond via een zogenaamde ‘flash memo’ de infiltratie van bedrijvenwebsites door ‘onbekende hackers’ voorspeld. Daar was een digitale inbraak bij ’s werelds grootste filmstudio Sony Pictures Entertainment aan vooraf gegaan. Daarbij werd persoonlijke informatie van talrijke prominente filmsterren gestolen.

Achter deze hack zou Noord Korea zitten, dat woedend zou zijn op de recente actiekomedie ‘The Interview’, waarin de regisseur van een celebrity-show door de CIA wordt ingeschakeld om de Noord Koreaanse dictator Kim Jong-un na een interview te vermoorden.

False-flag

Waar of niet, het uitschakelen van grote websites in Californië toonde aan dat de Amerikaanse overheid in staat en bereid is om het gehele internet over te nemen en te manipuleren. Dat houdt ook in dat de regering op ieder gewenst moment een crisis in gang kan zetten of zelfs kan veinzen. Dan kan het gebeuren dat er een grote ‘false flag’ terreuraanslag plaatsvindt, waarna de overheid onmiddellijk overvloedig –maar vals- bewijs van ‘gewenste’ daders –natuurlijk vijanden van de globalisten in Washington- op het internet zet.

‘Nieuwspraak’ harde realiteit in VS en EU

In de EU staan we al jaren bloot aan manipulatie door de overheid. Soms lekt daar iets van naar buiten, zoals bijvoorbeeld de recente ‘wens’ van de Nederlandse regering dat TV-programma’s niet meer zoveel aandacht besteden aan criminaliteit die door allochtonen wordt gepleegd.

In Duitsland bestaat zelfs een speciale raad die bepaalt hoe de reguliere media op ‘politiek correcte’ wijze moeten berichten (2), zoals het verdoezelen van criminaliteit van buitenlanders en het zo positief mogelijk weergeven van immigranten en de islam.

In het in 1949 geschreven boek ‘1984’ beschreef George Orwell een totalitaire staat waarin het denken en spreken door ‘Nieuwspraak’ (bijv. ‘oorlog = vrede’) totaal wordt gecontroleerd, bestuurd en gemanipuleerd.

De schrijver bleek er slechts 30 jaar naast te zitten, want anno 2014 is ‘Nieuwspraak’ (‘werkloosheid = economische groei; bezuinigingen = betere zorg; EU = welvaart; islam = vrede; multiculti = verrijking; Rusland = het kwaad; CO2 = opwarming’; etc.) in onze media en politiek de harde realiteit geworden. Het enige wat nog ontbreekt is het definitief monddood maken van alle tegengeluiden, iets wat afgelopen week in de VS werd uitgetest.

Xander

(1) KOPP
(2) KOPP

mardi, 09 décembre 2014

¿La paz “imposible” de Putin con Obama?

por Alfredo Jalife-Rahme

Ex: http://paginatransversal.wordpress.com

Ahora que me encuentro en San Petersburgo –la segunda ciudad rusa en importancia y joya cultural humanista con casi 6 millones de habitantes–, donde interactúo gratamente con los rusos locales, me cuesta demasiado trabajo entender cómo Rusia puede ser desvinculada cultural, económica y políticamente de Europa, en particular, y en general de Occidente–una distorsión semántica de la orwelliana propaganda anglosajona (en inglés equivale a “ misnomer”)–, que cuenta en el seno del G-7 al oriental –desde el punto de vista cultural y geográfico– Japón.

La semiótica distorsión geoeconómica/geopolítica de la dupla anglosajona de Wall Street/La City (Londres), que controla a sus respectivos gobiernos pusilánimes cuan impopulares –Obama compite en repudio ciudadano con David Cameron, el premier británico–, incrusta a Japón, de raza amarilla y cultura oriental, y excluye a Rusia, de raza blanca y cultura occidental genuina, del Nuevo Occidente adulterado y desbrujulado.

En un enfoque holístico, San Petersburgo –la metrópoli más occidental de Rusia, válgase la tautología cultural y geográfica– representa uno de los crisoles modernos de la auténtica civilización occidental humanista: desde sus incomparables Ballets Russes del Teatro Mariinsky –lo óptimo de Occidente– hasta su maravilloso Museo L’Hermitage, que detenta la mayor colección de pinturas de Occidente, sin contar otros notables atributos civilizatorios, como sus iglesias del rito ortodoxo cristiano –una religión medio-oriental adoptada por la primera, segunda y tercera Roma (respectivamente la original, luego Bizancio y por último Moscú)– y sus característicos palacios de ensueño, de arquitectura similar a la de Italia, Gran Bretaña (GB), Francia y Alemania.

El inconmensurable sabio chino Confucio solía decir que la máxima señal del caos es cuando existe confusión lingüística: no sólo excluir a Rusia –tanto del fenecido G-8 como de la entelequia de Occidente adulterada por los urgentes imperativos geopolíticos de la dupla anglosajona–, sino peor aún, comparar grotescamente a Hitler con Putin, cuyo país contribuyó en la derrota de la Alemania nazi, denota una grave pérdida de la sindéresis, a la par de una incontinencia verbal.

Otra confusión lingüística en el campo de la geopolítica radica hoy en discutir casi bizantinamente si Estados Unidos y Rusia se encuentran ya en un nueva guerra fría –a la que han advertido solemnemente Kissinger y Gorbachov– o si se confrontan en una guerra multidimensional, donde destaca la guerra económica a la que ha hecho alusión prístinamente el mismo presidente ruso Vlady Putin (http://goo.gl/5WCUlP) y quien, en su célebre entrevista a la televisión alemana ARD (http://goo.gl/syTXSI), reclama y exclama que la OTAN y Estados Unidos poseen bases militares esparcidas en todo el globo, incluyendo áreas cercanas al territorio ruso y cuyo numero sigue creciendo. Luego Putin confesó que, frente a la decisión de la OTAN de desplegar fuerzas especiales cerca de la frontera rusa, Moscú ha respondido con ejercicios similares (v.gr en el Golfo de México).

La “nueva guerra fría” ya empezó y su epítome es la guerra económica que ha desplomado deliberadamente el precio del petróleo, que daña enormemente a Rusia.

En un extenso documento (http://goo.gl/CHwJUS), Vladimir P. Kozin –jefe de los consejeros del Instituto Ruso de Estudios Estratégicos– aborda la “segunda guerra fría” que Estados Unidos y la OTAN han impuesto a Rusia y pregunta cuál es la forma de superarla, a lo que propone cuatro axiomas:

1) Estados Unidos y sus aliados de la OTAN deben cesar cualquier edificación militar cerca de las fronteras rusas –que incluya una serie de acuerdos estratégicos sobre armas convencionales y nucleares a los que ya se llegó– y deben contemplar a Rusia como su aliado (sic) permanente y no como su enemigo permanente.

2) Levantar sin condiciones todas las sanciones económicas y financieras contra Rusia.

3) “Ucrania tendrá que declarar su promesa para conservar su estatuto de no alineado y no nuclear para siempre (sic). Aquí vale la pena un comentario: al momento de la disolución de la URSS, Ucrania cedió parte de su dotación de armas nucleares –al unísono de Belarús y Kazajs­tán–, sin haber sido recompensada por la ingrata comunidad internacional.

Y 4) La comunidad internacional debe oponerse firmemente a las tentativas de revivir los resultados de la Segunda Guerra Mundial, y combatir consistentemente todas las formas y manifestaciones de racismo, xenofobia, nacionalismo agresivo y chovinismo.

Tales cuatro puntos deberán ser tratados en una cumbre especial entre Estados Unidos y Rusia, pero no con Barack Obama, ya que el geoestratega Kozin juzga imposible (¡supersic!) realizarla durante lo que queda de su presidencia.

Kozin plantea que en el umbral de una guerra nuclear definitoria, las guerras hoy son híbridas: guerras convencionales sumadas de ciberguerras y guerras de desinformación mediante infiltraciones en asuntos domésticos ajenos bajo la forma de caos controlado y guerras por aliados interpósitos (“proxy-wars”).

Kozin se pronuncia por una “distensión (détente) global”, que implemente bajo el principio del mundo multipolar una seguridad mutua garantizada.

Llama la atención el profundo grado de animadversión personal de los geoestrategas rusos a Obama, que no alcanza los niveles de rusofobia masiva del polaco-canadiense-estadunidense Brzezinski quien, después de haber tendido una trampa letal a la URSS en Afganistán, contempla(ba) balcanizar lo que queda de Rusia en tres pedazos, con el fin de incorporar a Ucrania a la OTAN, como enuncia en su libro hoy caduco El gran tablero de ajedrez mundial, que no previó las derrotas militares de Estados Unidos en Irak y Afganistán ni el advenimiento del nuevo orden tripolar geoestratégico (EU/Rusia/China).

El verdadero asesor geoestratégico de Obama es Brzezinski, ex asesor de Seguridad Nacional de Carter, atormentado por sus fobias atávicas todavía a sus 86 años.

Los geoestrategas rusos han perdido la esperanza de alcanzar un acuerdo con Obama –la paz imposible–, a quien también le conviene el conflicto congelado de Ucrania mientras cede la batuta a un Congreso hostil.

Quizá los rusos prefieran esperar al nuevo presidente de Estados Unidos en los próximos tres años para poder negociar.

Un error de focalización subjetiva consiste en atribuir a los mandatarios de Estados Unidos y Rusia sus políticas que son producto de sus maquinarias de guerra y sus intereses grupales.

Una cosa es la postura de un think tank de la talla del Instituto Ruso de Estudios Estratégicos y otra cosa es la trivialización de la guerra sicológica de viciosa propaganda negra a la que se consagran dos publicaciones financieristas anglosajonas, The Economist (22/11/14) y The Wall Street Journal (4 y 15/11/14), quienes desde su comodidad bursátil no se agotan en incitar a una guerra de Estados Unidos contra Rusia.

¿Tendrán suficientes refugios nucleares los malignos banqueros de Wall Street y La City de Londres?

AlfredoJalife.com

Twitter: @AlfredoJalife

Facebook: AlfredoJalife

samedi, 29 novembre 2014

Le faux-semblant de la régularisation de l'immigration décidée par Obama

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Le faux-semblant de la régularisation de l'immigration décidée par Obama

par Jean Paul Baquiast
Ex: http://www.europesolidaire.eu
 
La presse européenne a récemment applaudi Barack Obama d'avoir osé affronter la majorité au Congrès en décidant de régulariser les immigrés d'Amérique latine dont des millions étaient depuis des années en situation illégale.
 
 
Ainsi, même s'il n'avait accompli aucune des grandes promesses sur lesquelles il s'était fait élire, au moins, à la fin de son mandat pourrait-il mettre l'une de celles-ci à son actif. La télévision a montré des foules de « latinos » pleurant des larmes d'émotion à la perspective de se voir régulariser. Le geste, a-t-on fait à juste titre remarquer, n'engageait guère la présidence puisqu'il pouvait être contré soit à la Chambre, soit au Sénat. Au moins cependant, l'intention était là.

Mais lorsque l'on regarde le détail de l' «executive action on immigration » décidée le 21 novembre par la Maison Blanche, dont Obama s'est félicité dans le cadre d'une intervention à la télévision, on constate qu'elle n'engage pas à grand chose. Le document (voir www.migrationpolicy.org/pubs/administrativefixes.pdf ) comporte trois sections . La première renforce les mesures destinées à bloquer l'immigration à la frontière.De nouveaux moyens sont mis à disposition de la police aux frontières et centralise celle-ci sous un commandement unifié, afin de faire plus efficacement la chasse aux immigrants clandestins.Ajoutons que cette "chasse" aboutit à un nombre de décès sans doute aussi nombreux que ceux enregistrés en Méditerranée dans le cadre de Frontex. 

Une seconde section vise à « déporter » c'est-à-dire renvoyer chez eux, non plus les familles comme aujourd'hui, mais seulement les individus dès lors qu'ils sont suspects de comportements « criminels ». Parmi eux, inclus dans les maffieux et terroristes, se trouvent ceux qui traversent la frontière de façon illégale.

La troisième section, jugée la plus libérale, exonère pendant 3 ans de tout risque d'expulsion les résidents de plus de 5 ans, payant des impôts et dotés d'enfants ayant la nationalité américaine. Après ce délai, les expulsions pourront reprendre.

Lors de ses deux premières années à la présidence, alors qu'il disposait d'une majorité au Congrès, Obama n'avait rien fait pour limiter les expulsions de masse, entreprises sous l'administration de Bush et qui ont intéressé environ 400.000 personnes. Après que les Républicains aient pris le contrôle de la Chambre, le Sénat sous majorité démocrate avait poursuivi cette action. Le service en charge, Immigration and Customs Enforcement , avait encore accru le nombre des contrôles et des expulsions.

Les nouvelles mesures recommandées par Obama, et si vivement applaudies dans les médias, prévoient des mesures si complexes pour conférer le droit à résidence que le nombre de ceux susceptibles d'en bénéficier, soit environ 3,7 millions de personnes, hésiteront à se faire connaître de l'administration. Ils préféreront conserver le statut de clandestin, d'autant plus que leurs employeurs, eux-mêmes illégaux, les y pousseront.

Les gouvernements et citoyens des pays européens, si soucieux eux-mêmes de contrôler les clandestins et prévenir les immigrations illégales, considéreront qu'Obama n'a fait que ce qu'il devait faire pour rendre de facto l'immigration très difficile. Ils souhaiteront que l'Europe fasse preuve d'une même sévérité. Peut-être ont ils raison. Mais alors, plutôt que présenter Obama comme un grand philanthrope, nous ferions mieux de reconnaître que le POTUS s'est inscrit en fait dans une tradition répressive bien affirmée.

Jean Paul Baquiast

jeudi, 27 novembre 2014

Obama régularise les clandestins

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Obama régularise les clandestins. Pourquoi? Vers l’explosion des USA?

 Passant par dessus l’avis du Congrès et utilisant la procédure du ”décret exécutif”, le président Obama vient de régulariser 5 millions de clandestins ”latinos”, originaires du Mexique et d’Amérique latine ; sur un total estimé (ou sous-estimé) de 11 millions de sans-papiers présents aux États-Unis. C’est la plus grande régularisation de toute l’histoire du pays, celles de Clinton et de Reagan ayant été beaucoup plus limitées. Un journal new-yorkais parle d’ « obamnestie ».

La vague hispanique

Après sa déroute aux élections législatives de mi-mandat le 4 novembre face aux Républicains hostiles à la régularisation des sans-papiers, Obama a décidé de passer en force. John Boehner, le chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants l’a accusé d’agir « en roi ou en empereur ». Joe Arpaio, un shérif du comté de Maricopa (Arizona) qui lutte depuis longtemps contre l’arrivée incessante des illégaux depuis le Mexique a lancé une procédure en justice contre le président. Les gouverneurs du Texas, Rick Perry, et du Wisconsin, Scott Walker, menacent de l’imiter. 

Le Congrès pourrait aussi refuser les crédits que nécessiteront cette régularisation en provoquant un shutdown (”verrouillage”) budgétaire. Les partisans de cette régularisation de grande ampleur avancent un argument sophistique auquel il fallait penser : cela fera 5 millions de contribuables en plus, puisqu’ils ne travailleront plus au noir ! 

Cela fait longtemps que les États-Unis font face à une véritable invasion migratoire venue d’Amérique latine. Pourtant, ils essayent de se protéger beaucoup plus efficacement que l’Europe de Schengen par la construction d’un mur et l’organisation de patrouilles de nombreux garde-frontières, le long du Rio Grande. La population blanche du Midwest est de plus en plus inquiète de cette vague hispanique qui bouleverse l’équilibre démographique, racial et culturel de la région. Autant dire que la décision d’Obama apparaît comme une aggravation de la menace et une catastrophe. L’élue républicaine du Minnesota, Michelle Bachman a déclaré : « tout ce que nous allons récolter, ce sont des électeurs illettrés  », en créant un scandale dans la sphère du politiquement correct, même dans son parti. 

En effet, cette régularisation va avoir un effet d’attraction sur  les millions d’autres candidats qui, au Mexique et en Amérique latine (voir venus d’ailleurs dans le monde !) ne rêvent que d’entrer illégalement aux Etats-Unis. Maintenant, ils peuvent espérer pénétrer d’abord et être régularisés ensuite, un jour. D’autant que, comme en Europe, les expulsions de clandestins, bien que plus sérieuses, ne touchent qu’une minorité. De plus, cette obamnestie risque évidemment d’avoir un effet en Europe et notamment en France où l’on pratique déjà des régularisations à petit flux continu et où l’on va être tenté par une opération massive de régularisation des fameux sans-papiers, tant choyés par l’oligarchie.

L’idéologie d’Obama

Que cherche Obama ? Passons sur les cuisines électorales internes : on prétend qu’il vise à diviser un peu plus le GOP (”Great Old Party”, le Parti républicain) déjà partagé sur l’immigration entre les opposants et ceux qui recherchent un électorat latino de tempérament conservateur, et aussi déstabilisé par le mouvement des Tea Party. Mais Obama ne se représentera pas, donc l’électoralisme ne l’intéresse pas. Sa démarche est peut-être idéologique. Mr. Obama n’est pas d’abord un politicien. Il a des idées derrière la tête, c’est un militant.

En effet, le premier président noir de l’histoire n’a jamais caché sa sympathie pour un modèle qui ne serait plus une ”Amérique blanche”  mais  un pays totalement multiracial et multiculturel.  Historiquement, le melting pot (”creuset”) américain n’a jamais signifié la multiracialité mais la fusion dans une même nation d’immigrants de diverses origines européennes ; les Etats-Unis se pensant comme une nouvelle Europe, c’est-à-dire comme un pays tout de même globalement homogène d’un point de vue ethnoculturel. (1)

Or, nous assistons à un basculement capital : pour des raisons démographiques et migratoires, les États–Unis sont en train, au cours de ce début du XXIe siècle, de voir les ”Blancs” (terme légal outre-Atlantique) passer en dessous de la barre des 50%. Il se pourrait qu’Obama cherche tout simplement à accélérer le mouvement. Il suit ses convictions : ”déseuropéaniser” l’Amérique. En faire le creuset du monde entier. Lui-même étant d’origine mêlée, keynianne et anglo-saxonne, il projette sur ses conceptions politiques sa situation et sa psychologie personnelles. Une Amérique majoritairement ”blanche”, d’origine ethnique européenne, ne lui semble pas acceptable. En ce sens, il est en phase parfaite avec l’idéologie dominante dans tout l’Occident, de Saint-Germain-des-Prés à Yale. L’Amérique profonde de la low middle class  (milieux populaires) ne partage pas cette vision des choses.

L’hypothèse de l’éclatement des États-Unis

Mais les mêmes lois produisant partout dans le monde les mêmes effets et  les pays multiraciaux et multiculturels ayant tendance à verser dans l’instabilité, la division et le conflit endémiques (comme le remarquait déjà Aristote), le risque existe pour les Etats-Unis de connaître de grave troubles voire des partitions au cours de ce siècle. Les rêves de fusion et de métissage pacifiques n’existent que dans le cerveau des utopistes cosmopolites.  Surtout en Amérique, espace continental aux dimensions immenses, où les métissages ne se pratiquent pas. Et où toutes les séparations sont possibles.

Ce qui peut donc se produire aux Etats-Unis où la cohabitation entre populations d’origines différentes risque d’échouer, de tourner au vinaigre, au conflit, c’est un éclatement et une partition territoriale.  Déjà, dans tous les États du sud, de la Californie à la Floride, la population hispanique est en train de devenir majoritaire. Au Mexique, il y a même des mouvements nationalistes qui militent pour une récupération de ces États perdus au XIXe siècle.

L’hypothèse suivante est donc possible :  après des troubles de haute ou de basse intensité, des États à majorité hispanique font sécession, ce qui ampute les É–U d’une partie du territoire fédéral.  Dans la foulée, il est possible que se créent des enclaves afro-américaines semi-indépendantes. Des mégalopoles cosmopolites comme New-York ou Los Angeles  pourront même accéder à un statut spécial. 

Ce sera évidemment la fin de la superpuissance américaine qui n’aura été qu’une comète dans l’histoire – trois siècles. Ceux qui balayent cette hypothèse devraient se rappeler la fin de l’Empire romain millénaire : les installations ”contrôlées” de Barbares ont fini aux Ve et VIe siècles par déboucher sur le démantèlement, le dépeçage de la romanité au profit de royaumes indépendants. (2) Partout, l’histoire se répète au fil des siècles, sous des lumières différentes mais avec la même logique, implacable.

Bien sûr, la doctrine officielle est que les É-U vont paisiblement devenir une nation multi-ethnique, à la fois anglo-saxonne, hispanique et tout ce qu’on veut d’autre, tout en conservant son dynamisme. Un modèle pour l’Europe, en somme. C’est une hypothèse possible mais je ne parierai pas un dollar sur elle.  Il y aura certainement  des Européens qui pourront se réjouir de ce possible éclatement ethnique de l’Amérique. Qu’ils fassent bien attention : ce spectre menace aussi l’Europe et il y sera beaucoup plus grave qu’aux É–U. Eux, risquent une sécession d’États ”hispanisés” et nous, en première ligne, nous affrontons déjà bien pis et plus urgent : une installation expansive, dans tous nos territoires, de populations fondamentalement hostiles, une hostilité ancrée dans l’histoire. Il est facile de comprendre de qui je parle. Notre destin est à la fois différent et commun. Mais la perspective de la victoire n’est pas exclue. 

(1) La thèse de l’identité européenne des É-U, consubstantielle à sa nature, est défendue par le think tank American Renaissance, présidé par Jared Taylor. 

(2) Cf. Michel De Jaeghere, Les derniers jours, la fin de l’empire romain d’Occident, Les Belles Lettres.  Paris, 2014.  

samedi, 22 novembre 2014

Obama en Australie: une quasi déclaration de guerre à la Chine

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Obama en Australie: une quasi déclaration de guerre à la Chine

par Jean Paul Baquiast

Ex: http://www.europesolidaire.eu

Les commentaires faits par les médias concernant le sommet du G20 n'ont pas suffisamment insisté sur les propos tenus le 15 novembre par Barack Obama à l'Université de Queensland. On peut en fait y voir l'affirmation que les Etats-Unis utiliseront tous les moyens dont ils disposent, y compris sans doute des moyens militaires, pour empêcher la Chine de menacer l'hégémonie américaine en Asie-Pacifique.
Une bonne partie de son intervention a été consacrée à recenser les manoeuvres diplomatiques contre la Chine que Washington a menées depuis l'annonce par Obama du « pivot vers l'Asie » devant le parlement australien en 2011. Il s'est vanté de la manière dont les Etats-Unis ont renforcé leurs liens avec le Japon, la Corée du Sud et les Philippines, ont ouvert de nouvelles bases en Australie et à Singapour, ont encouragé l'Inde à jouer un plus grand rôle militaire dans la région et poursuivi des relations plus serrées avec le Vietnam, la Malaisie et la Birmanie.

Il a souligné que le pivot vers l'Asie était indissociable de la guerre menée par les Etats-Unis au Moyen-Orient, de ses interventions en Ukraine contre la Russie et de l'escalade des opérations menées en Afrique sous le mot d'ordre de la lutte contre le virus Ebola. Il a demandé en conséquence que le pivot, autrement dit le rééquilibrage des engagements militaires américains vers l'Asie ne consiste pas seulement à ce que les Etats-Unis s'investissent davantage en Asie, mais aussi que la région Asie-Pacifique s'investisse plus avec eux dans le monde entier. A l'encontre de la Chine, il a répété que Pékin devait « adhérer aux mêmes règles que les autres pays » pour éviter tout conflit.

Obama a précisé ce que devaient être selon lui ces règles. « Nous pensons qu'un ordre de sécurité efficace pour l'Asie ne doit pas être basé sur les sphères d'influence, la coercition ou l'intimidation des grands pays envers les petits, mais sur des alliances pour la sécurité mutuelle, un droit international et des normes internationales qui sont respectées. ». L'Amérique défend « l'ouverture des marchés et un libre négoce qui soient équitables et libres » En termes à peine diplomatiques il voulait ainsi stigmatiser l'action de la Chine à l'égard des autres pays de la zone. Il ne mentionnait évidemment pas les sphères d'influence que l'Amérique avait développé dans cette région du monde immédiatement après sa défaite au Viet-Nam. Il n'a pas insisté non plus sur le fait que l'Amérique cherche à former des blocs commerciaux discriminatoires tels le partenariat transatlantique (Trans-Pacific Partnership, TPP) qui exclura la Chine et forcera ses membres à accepter les termes fixés par les entreprises américaines.

La démocratie à la mode américaine

Les principaux alliés en Asie, courtisés par Obama, sont l'Australie et le Japon. Il a été moins disert concernant la Corée du Sud, certainement soucieuse de conserver un minimum de bonnes relations avec la Chine. Personne malheureusement n'a osé lui rappeler que Washington n'avait jamais tenu compte du droit international dont il se vante pourtant d'être le garant. Le gouvernement américain se conduit sur la scène internationale avec un total mépris des lois, s'arrogeant le droit d'intervenir partout où il estime que ses prétendus intérêts nationaux sont menacés. L'ensemble de sa politique étrangère est fondé sur la coercition et l'intimidation. Reprendra-t-il en Asie une politique qu'il avait couramment pratiqué depuis des décennies en Amérique centrale et latine, et qu'il a depuis trois ans remise en service à l'est de l'Europe?

Dans l'intention évidente de donner des leçons à la Chine à la face du monde, Obama a déclaré: « Nous croyons en la démocratie – que l'unique source de légitimité est l'approbation de la population, que chaque individu est né libre et égal en droits, des droits inaliénables, et qu'il incombe aux gouvernements de faire valoir ces droits. » Or le monde commence à comprendre, même en Europe, pourtant profondément américanisée, que le gouvernement américain est au service d'une oligarchie financière contrôlant tous les aspects de la vie politique et qui a supervisé le renforcement d'un massif appareil de renseignement pour espionner le monde entier. Les Etats-Unis prennent de plus en plus le caractère d'un Etat policier, que dénoncent, mais jusqu'alors sans grand succès, un opposition libérale interne encore très minoritaire.

On peut se demander ce qu'il adviendrait si l'actuel gouvernement chinois décidait de contrer systématiquement les efforts de l'Amérique pour dominer encore plus qu'actuellement la zone Asie Pacifique. La Chine ne dispose pas de moyens militaires comparables, mais des réactions locales de type militaire pourraient être décidées pour pousser l'Amérique à une riposte armée massive, c'est-à-dire pour transformer en ennemis avérés de l'impérialisme américain 2 à 3 milliards d'asiatiques et d'indiens qui cherchent encore des accommodements entre les deux blocs.

Jean Paul Baquiast

jeudi, 20 novembre 2014

Asian Games: Poutine-Obama 2-0

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Asian Games: Poutine-Obama 2-0

Auteur : Manlio Dinucci
Ex: http://zejournal.mobi

L'échec occidental au G20 aura été masqué aux populations européennes et états-uniennes grâce à un vaste effort de propagande montrant un président Poutine conspué par ses homologues à propos de sa politique ukrainienne. Or, à aucun moment, le nom de l'Ukraine n'a été prononcé lors de ce sommet. La propagande atlantiste a créé une confusion entre les déclarations agressives des chefs d'État occidentaux en marge du sommet et le sommet lui-même. Manlio Dinucci revient sur ce G20 et l'avancée sino-russe.

Un Poutine envoyé dans les cordes par Obama à Pékin comme à Brisbane, obligé de quitter le G20 de façon anticipée : c’est l’image médiatique qu’on nous a présentée. Exactement l’opposé de ce qui s’est passé. À Pékin pour le sommet de l’Apec, Obama a conclu avec la Chine un accord aussi « historique » que fumeux qui prévoit la réduction des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030. Poutine a conclu avec la Chine 17 accords opérationnels d’importance stratégique. Avant tout celui trentennal sur la fourniture de 30 à 40 milliards de mètres cubes de gaz naturel à travers un couloir énergétique allant de la Sibérie occidentale à la Chine nord-occidentale. Une fois réalisé, la Chine deviendra le plus grand importateur de gaz russe.

Ont en outre été signés des accords sur des projets énergétiques conjoints dans la région d’Arkhangelsk et en Extrême-Orient russe. Les plus grandes compagnies énergétiques russes —Gazprom, Rosneft et Lukoil— sont sur le point de coter leurs actions à la Bourse de Hong Kong, non pas en dollars mais en monnaies asiatiques : yuan chinois, dollar de Hong Kong, dollar de Singapour. Le processus de dédollarisation des échanges commerciaux, extrêmement redouté aux États-Unis, accomplit un nouveau pas avec l’accord entre la Banque centrale russe et la Banque populaire de Chine. En outre, Exim Bank, qui finance l’export-import de la Chine, a effectué des investissements dans des banques russes —Vnesheconombank, Vtb et Rosselkhozbank— touchées par les sanctions des USA et de l’Union européenne.

Un autre accord important concerne la réalisation de grands parcs de haute-technologie dans les deux pays, destinés en particulier à développer les systèmes satellites de navigation mondiale, le Glonass russe et le Beidou chinois, alternatifs au GPS états-unien : dans ce cadre seront installées en Chine diverses stations terrestres du Glonass.

Le chef d’état-major russe, Valery Gerasimov, a en outre annoncé que les deux gouvernements se sont mis d’accord sur « de nombreux projets de coopération militaire ». L’un d’entre eux est le chasseur furtif chinois J-31, analogue au F-35 états-unien, qui, doté de moteurs russes, a été montré en vol au Salon aérospatial de Zhuhai en Chine méridionale, pendant que le président Obama se trouvait à Pékin.

Les liens entre les deux pays « représentent une tendance irréversible », a déclaré le président Xi, lors de sa dixième rencontre avec le président Poutine depuis qu’il est entré en fonction en mars 2013. Et, pour preuve de ceci, les deux présidents ont annoncé que la Chine et la Russie célèbreront ensemble, en 2015, le 70ème anniversaire de la victoire dans la Seconde Guerre mondiale. Climat analogue à Brisbane, en Australie, où s’est tenu un G20 inconcluant, qui a annoncé l’objectif d’atteindre une croissance de 2,1 % d’ici 2018 (moyenne statistique entre une Chine dont le PIB croit de 8 % par an et une Italie pratiquement à l’arrêt). L’événement le plus important s’est tenu à Brisbane en marge du G20, la réunion des chefs d’État et de gouvernement des pays des Brics : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud. Leur PIB total, à parité de pouvoir d’achat, est plus haut que celui du G7. Ces pays réalisent plus de 20 % du produit brut et du commerce mondiaux et le commerce interne aux Brics a doublé en cinq ans, atteignant les 300 milliards de dollars.

À Brisbane les cinq leaders ont confirmé la création, à l’intérieur des Brics, d’une Banque pour le développement avec un capital de 100 milliards de dollars (dont 41 versés par la Chine) et d’un Fond de réserve de 100 autres milliards pour fournir une liquidité ultérieure aux pays membres. Le « leadership états-unien dans la région Asie/Pacifique » proclamé par Obama à Brisbane, doit compter avec un monde qui change.

- Source : Manlio Dinucci

samedi, 08 novembre 2014

Wird sich nun nach den Zwischenwahlen in den USA wirklich etwas ändern?

Wird sich nun nach den Zwischenwahlen in den USA wirklich etwas ändern?

Michael Snyder

Quelle: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/geostrategie/michael-snyder/wird-sich-nun-nach-den-zwischenwahlen-in-den-usa-wirklich-etwas-aendern-.html

Manche Dinge verändern sich nur schwer. Die Republikaner haben zwar bei den Zwischenwahlen zum amerikanischen Kongress am 4. November im Senat die Mehrheit gewinnen (52:43 Sitze) und ihren Vorsprung im Repräsentantenhaus noch ausbauen (243: 179 Sitze, zuvor 233:199 Sitze) können. Auch bei den Gouverneuren haben sie nun die Nase vorn. Aber wird das tatsächlich den Kurs des Landes ändern? Wird sich überhaupt etwas ändern?

 

Viele Menschen hoffen, dieses Wahlergebnis könnte zu einem »Wendepunkt« für Amerika werden, aber die Geschichte lehrt uns, dass es mit an Sicherheit grenzender Wahrscheinlichkeit nicht so kommen wird. In den vergangenen 30 Jahren haben sich unabhängig davon, welche der beiden großen Parteien im Weißen Haus saß oder im Kongress die Mehrheit hatte, die Dinge nur unwesentlich geändert.

In dieser Zeit hat sich allerdings die Staatsverschuldung explosionsartig vermehrt, unsere langfristigen Wirtschaftsprobleme haben sich verschärft, unsere Freiheiten und Bürgerrechte wurden weiter eingeschränkt und unsere Nation verkam in moralischer Hinsicht immer mehr. In Wahrheit bestehen zwischen den meisten Demokraten und dem Großteil der Republikaner nur sehr geringe Unterschiede. Die Korruption ist in Washington extrem verbreitet und reicht sehr hoch, und nur wenige Politiker sind in der Lage, in dieser Umgebung ihre moralischen Prinzipien aufrechtzuerhalten.

In der letzten Zeit wurden die Zwischenwahlen vorrangig zu einem Strafinstrument gegen die Regierung, die jeweils im Weißen Haus saß. Gegenwärtig gibt es, was die Präsidentschaft Barack Obamas betrifft, sicherlich viel Grund, enttäuscht zu sein. Viele halten ihn sogar für den schlimmsten Präsidenten der amerikanischen Geschichte, und das will schon einiges heißen.

Als Obama im Januar 2009 sein Amt antrat, lagen seine positiven Umfragewerte extrem hoch und entsprechend groß war auch die Erwartungshaltung. Aber im Verlaufe seiner ersten und jetzt zur Hälfte seiner zweiten Amtszeit sind sie deutlich gefallen. Laut einer CNN-Umfrage von Ende Oktober sind 53 Prozent der Amerikaner mit der Amtsführung ihres Präsidenten unzufrieden, und fast 70 Prozent der Amerikaner sind über die Entwicklung im Land und die Richtung, die es nimmt, verärgert und besorgt.

Und mit Sicherheit spiegelt sich diese Unzufriedenheit, die das Land prägt, in den Wahlergebnissen vom Dienstag wider. Aber trotz der Millionen und Abermillionen abgegebener Stimmen besteht kaum eine Chance, dass sich in der Art und Weise, wie dieses Land regiert wird, etwas ändert.

Einer der Gründe hängt sicherlich damit zusammen, dass Barack Obama als Präsident die Möglichkeit hat, gegen alle ihm missliebigen Gesetze, die der republikanische Kongress verabschiedet, sein Veto einzulegen. Und die Republikaner verfügen nicht über die notwendige Mehrheit, um das Veto des Präsidenten zu überstimmen.

Dies bedeutet zum Beispiel, dass die Republikaner nicht in der Lage sein werden, die von ihnen vehement abgelehnte Reform des Gesundheitswesens, das sogenannte Obamacare, rückgängig zu machen. Und unabhängig davon, ob die Mehrheit der amerikanischen Bevölkerung dies ablehnt oder nicht, müssen wir mindestens für die nächsten zwei Jahre mit einem Stillstand in der Politik rechnen.

Die neue Situation nach den Wahlen bedeutet andererseits aber auch, dass Barack Obama in der Lage ist, im Alleingang die sogenannte Keystone-Pipelinezu stoppen.

Auch wenn Umfragen zeigen, dass die amerikanische Bevölkerung mit überwältigender Mehrheit für die Pipeline ist, wird sie nur gebaut werden können, wenn Barack Obama dem zustimmt.

Warum sich wahrscheinlich nur wenig in Washington ändern wird, hängt auch damit zusammen, dass sich Demokraten und Republikaner eigentlich in viel mehr Fragen einig als uneinig sind. Betrachten wir einmal folgende Beispiele:

  • Die amerikanische Staatsverschuldung ist in den vergangenen Jahren unabhängig davon, welche Partei die Mehrheit im Kongress hatte, explosionsartig angestiegen. Als die Republikaner vor vier Jahren die Mehrheit im amerikanischen Repräsentantenhaus errangen, ging das vor allem darauf zurück, dass sie im Wahlkampf versprochen hatten, die Regierungsausgaben zu senken, aber nichts Entsprechendes geschah. Die amerikanische Staatsverschuldung stieg im Haushaltsjahr 2014 im Gegenteil um mehr als eine Billion Dollar.

  • Beide Parteien befürworten einhellig den Aufbau einer weltweiten Wirtschaftsordnung, die bereits zum Verlust von Millionen gut bezahlter amerikanischer Arbeitsplätze geführt hat. Gegenwärtig verhandelt Barack Obama hinter verschlossenen Türen über ein neues Freihandelsabkommen mit Europa, das als Transatlantisches Freihandelsabkommen (TTIP) bekannt ist. Sollte dieses Abkommen zustande kommen, werden noch weitere Arbeitsplätze in Amerika verloren gehen, und unsere Wirtschaft wird weiteren Schaden nehmen. Leider befürworten die Republikaner Obamas Bemühungen und haben keineswegs die Absicht, sich diesem hinterhältigen Vertrag in den Weg zu stellen.

  • Die Geschichte lehrt uns, dass die Republikaner im Senat auch weiterhin die meisten der von Barack Obama vorgeschlagenen ultraliberalen Richter anstandslos bestätigen werden. Heute werden in Amerika viele der großen Rechtsfragen letztlich von Richtern, die früher Aktivisten waren, entschieden, und es ist alles andere als wahrscheinlich, dass die »Tyrannei der Justiz« bald enden wird.

  • Die beiden großen politischen Parteien haben gezeigt, dass sie nur wenig Respekt für unsere Bürgerrechte und Freiheiten haben. Beide erneuern und verlängern willfährig das PATRIOT-Gesetz, wenn es zur Abstimmung gestellt wird, und weder Demokraten noch Republikaner lassen in irgendeiner Weise erkennen, dass sie dem missbräuchlichen Vorgehen von Geheimdiensten wie der NSA oder anderen Behörden wie der dem Innenministerium unterstellten Behörde für Verkehrssicherheit TSA Einhalt gebieten wollen.

  • Unabhängig davon, wer im Kongress die Mehrheit hat, erhält die Organisation Planned Parenthood, die sich unter dem Deckmantel der Familienplanung für das Recht auf Abtreibung einsetzt, alljährlich Millionen und Abermillionen Dollar aus der Staatskasse. Seit der Entscheidung in dem Verfahren Roe vs. Wadeaus dem Jahre 1973, in dem die Entscheidung zur Abtreibung weitgehend der »Privatsphäre« der Frau untergeordnet wurde, wurden mehr als 50 Millionen Amerikaner getötet. Dies ist eine nationale Schande, aber keine der beiden großen Parteien will dagegen etwas unternehmen.

  • Demokraten wie Republikaner sind davon überzeugt, dass eine Zwei-Staaten-Lösung zu einem anhaltenden Frieden zwischen Palästinensern und Israel führen würde. Und beide Parteien unterstützen die Bewaffnung »gemäßigter Dschihadisten« in Syrien. Die USA haben seit Jahrzehnten schwerwiegende Fehler in ihrer Politik des Nahen und Mittleren Ostens begangen, und dies wird sich wohl in absehbarer Zeit auch nicht ändern.

  • Keine der beiden großen Parteien stellt die angebliche »Unabhängigkeit« der amerikanischen Notenbank Federal Reserve (Fed) in Frage. Bei der Fed handelt es sich in Wirklichkeit um ein demokratisch nicht legitimiertes, niemandem verantwortliches Bankenkartell, das größeren Einfluss auf die Wirtschaft besitzt als Barack Obama oder der amerikanische Kongress. Aber unsere Politiker unternehmen nicht das Geringste, um diese bösartige und skrupellose Institution zu zerschlagen und unter öffentliche Kontrolle zu bringen, obwohl deren Vorgehen extrem fahrlässig ist. Wie ich schon an anderer Stelle schrieb, ist die Fed entscheidend für viele unserer seit Langem anhaltenden wirtschaftlichen Probleme verantwortlich, aber der Kongress sieht keinen Handlungsbedarf.

Natürlich ließe sich diese Liste noch beliebig fortsetzen. Ich möchte an dieser Stelle aber vor allem deutlich machen, dass diese Zwischenwahlen den Kurs, den dieses Land eingeschlagen hat, nicht ändern werden.

Vielleicht gibt es bei den Clowns einige Veränderungen, aber der Zirkus als Ganzes bleibt bestehen.

Amerika befindet sich auf dem Weg in den Untergang, und Demokraten wie Republikaner sind gleichermaßen für diese Tragödie verantwortlich.

 

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vendredi, 07 novembre 2014

Il crepuscolo di Obama e l’effetto domino

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Il crepuscolo di Obama e l’effetto domino

Mattia Pase

Ex: http://www.ilprimatonazionale.it

Roma, 6 ott – Suona quasi beffardo, dopo il disastro delle elezioni di Mid Term, lo slogan obamiano “Yes, we can” che, piaccia o meno, ha condizionato la politica mondiale per alcuni anni. Già persa la Camera dei Rappresentanti, i democratici americani perdono anche il Senato, senza nemmeno l’onore delle armi. La sconfitta condanna infatti all’impotenza il Presidente Barack Obama, costretto da qui alla scadenza del suo mandato, nel dicembre 2016, a convivere con un Parlamento ostile.

I segni premonitori della disfatta in realtà si erano già visti nella vittoria su Mitt Romney, alle ultime presidenziali. Nonostante l’affermazione netta sul candidato repubblicano, Obama aveva infatti perso circa cinque milioni di elettori, fatto piuttosto inusuale nelle dinamiche politiche statunitensi, rispetto alla trionfale elezione del novembre 2008. Cinque milioni di delusi, per un Presidente che aveva fatto leva sull’entusiasmo popolare per insediarsi alla Casa Bianca, erano evidentemente un campanello d’allarme che Obama non ha voluto, o saputo, ascoltare. I cinque milioni si sono moltiplicati, causando un’astensione di massa delle minoranze e delle donne che ha lasciato campo libero all’elettorato repubblicano, capace di imporsi anche in Stati tradizionalmente democratici.

Solitamente è l’economia a determinare le fortune dei governi statunitensi, tanto che ad affossare i Repubblicani, nel 2008, più che le scriteriate politiche di George Bush jr, era stato il crollo delle borse a seguito dell’affaire Lehmann Brothers. Di questi tempi, invece, l’economia a stelle e strisce è in crescita, ma questo non ha impedito la netta affermazione del Grand Old Party, che a questo punto si trova in pole position nella lunga ricorsa alla successione a Obama. Il che, va detto, non significa che il prossimo Presidente sarà sicuramente un repubblicano. Significa, piuttosto, che il Partito Democratico è costretto a trovare un personaggio capace di mobilitare le masse che si sono sentite tradite dal “primo presidente nero”, per sperare di ribaltare la situazione, come peraltro già successo nella storia recente degli Stati Uniti. L’elettorato repubblicano sembra invece più fedele e disciplinato, visto che McCain nel 2008 e Mitt Romney nel 2012 hanno ricevuto praticamente lo stesso identico numero di voti, nonostante la diversità dei due personaggi. Di certo la batosta non è dispiaciuta a quella parte del Partito Democratico che non ha mai visto Obama con particolare simpatia.

Visto dall’Europa, Obama è stato indubbiamente un ottimo comunicatore, preso ad esempio da diversi “colleghi” dei partiti di centro-sinistra del Vecchio Continente, e un mediocre politico. Si ricorderanno, di lui, la discussa riforma sanitaria, l’altrettanto discussa vicenda dell’uccisione di Bin Laden, e una sfilza interminabile di fallimenti in politica estera. Dal balbettante comportamento di fronte alla “primavera” egiziana alla repentina retromarcia sull’attacco al Regime di Bashar Al Assad in Siria, dall’incapacità di gestire la questione ucraina (per la prima volta l’Unione Europea è riuscita ad essere più efficace, o meno inefficace, dell’alleato d’oltreoceano, il che è tutto dire) all’esplosione della nuova guerra civile irachena, Obama si è dimostrato ben lontano dall’immagine di Comandante in Capo che gli americani amano cucire addosso al loro presidente. Nè hanno giovato, al “presidente nero”, gli scontri razziali nel Missouri.

Sono così scomparsi i suoi ammiratori europei, le t-shirt con il suo volto sornione, gli improvvisati Nando Moriconi che si spellavano le mani di fronte all’ennesima dimostrazione dell’american dream. Tutto finito, tutto rinchiuso nel cassetto delle delusioni politiche da dimenticare in fretta. Ripescheranno l’immagine di Obama – in mancanza d’altro – fra qualche lustro, sorvolando sulle sue incertezze e sui suoi fallimenti, e ricordandone solo l’aura di novello Kennedy del terzo millennio. Impossibile azzardare ipotesi su cosa cambierà politicamente nel prossimo biennio, e più in là, quando un nuovo presidente si insedierà nella sala ovale. Nè è dato sapere se, perso il perdibile, Obama tenterà qualche colpo di coda per riabilitare la propria presidenza, ribellandosi al lento crepuscolo che sembra attenderlo di qui al 2016. Difficile, con l’ostilità di entrambe le Camere, ma non impossibile, considerando una certa propensione al masochismo da parte dei dirigenti repubblicani e la latente divisione fra i compassati conservatori e gli esagitati del Tea Party.

La sola cosa certa è che gli Stati Uniti si preparano a una lunghissima campagna elettorale presidenziale, e che questa, molto probabilmente, sarà più incentrata sulle questioni di politica interna che sul ruolo di gendarme globale che Washington ha iniziato ad interpretare con la caduta del Muro, e che, a seguito dei ripetuti disastri delle amministrazioni Bush e Obama – in Medio Oriente e non solo – sembra interessare sempre meno gli elettori a stelle e strisce. Per sapere se questo eventuale ripiegamento potrà rappresentare un’opportunità per gli altri attori della scena politica mondiale, non resta che attendere.

Quello che pare evidente è lo spaesamento delle compagini socialdemocratiche europee con il testa il Partito Democratico di casa nostra, nato all’insegna del veltroniano “si può fare”, mutuato appunto dall’obamiano “Yes, We can”. Il fallimento del presidente americano non può essere ignorato da Renzi, è di certo un campanello d’allarme per chi ha fatto dello slogan e dell’immagine buonista un efficace macchina raccatta voti che si è inceppata nel momento in cui doveva passare dalle parole ai fatti. Saper comunicare rifacendosi il trucco non basta e l’annuncio accattivante via twitter inizia a fare cilecca anche durante le campagne elettorali. Il crepuscolo di Obama non può essere ignorato dagli epigoni europei.

Mattia Pase

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lundi, 13 octobre 2014

Obama will Krieg

Obama will Krieg

von Johannes Schüller

Ex: http://www.blauenarzisse.de

Obama will Krieg
 

Der Schweizer Historiker Dr. Daniele Ganser ist ein international renommierter Energie– und Friedensforscher. Ein Gespräch zu den Ursachen des Ukraine-​Konflikts, Syrien, Erdöl-​Beutezügen und NATO-​Geheimarmeen.

Der 1972 in Lugano geborene Historiker sowie Energie– und Friedensforscher unterrichtet unter an der Universität St. Gallen und der Universität Basel. Außerdem leitet Ganser das „Swiss Institute for Peace and Energy Research“ (SIPER). 2001 bis 2003 war er Senior Researcher beim renommierten, wirtschaftsliberalen Think Tank „Avenir Suisse“ in Zürich. International bekannt wurde er 2008 mit seiner Dissertation zu NATO-​Geheimarmeen, die in zehn Sprachen übersetzt wurde. 2012 veröffentlichte Ganser das Buch Europa im Erdölrausch: Die Folgen einer gefährlichen Abhängigkeit.

Blaue​Narzisse​.de: Im Zusammenhang mit der ukrainischen Krise wird von einem großangelegten, vor allem geopolitisch motivierten Konflikt gesprochen. Dabei bleibt gerne unerwähnt, dass es zum Beispiel vor der Krim reiche Ressourcen an Erdöl und Erdgas gibt. Geht es hier nicht in erster Linie um Ressourcen?

Daniele Ganser: Die Vorkommen von Erdöl und Erdgas vor der Krim sind nicht sehr groß. Aber ich denke, dass es bei jedem Krieg nicht um Menschenrechte, sondern um Geostrategie und Ressourcen geht. Das war 2003 im Irak der Fall, 2011 in Libyen und jetzt 2014 in der Ukraine. Die Vorkommen von Erdöl und Erdgas in Russland sind riesig. Die Russen produzieren jeden Tag zehn Millionen Fass Erdöl, zusammen mit den Saudis sind sie Spitzenproduzenten. Auch beim Erdgas sind die Russen dominant. Sie produzieren nach den USA am zweithäufigsten Erdgas.

Die NATO möchte Russland immer mehr umzingeln und setzt dies auch um. Sie hat sich in den letzten 25 Jahren stets ausgedehnt, obschon die USA dem damaligen Staatspräsidenten der Sowjetunion, Michail Gorbatschow, nach dem Fall der Berliner Mauer versprochen hatten, das werde nicht der Fall sein. Nun hat die NATO ihre Versprechen gebrochen. Wer die NATO-​Osterweiterung auf einer Karte anschaut, sieht das sofort (siehe Infografik, weitere Karten hier, die Red.).ganser karte

Die Russen reagieren nun damit, dass sie von der neuen ukrainischen Regierung des Staatspräsidenten Petro Poroschenko, die durch einen illegalen Putsch an die Macht gekommen ist, höhere Gaspreise verlangen. Wir sehen also eine Konfrontation von NATO und Gazprom.

Während des Kalten Krieges sollen NATO-​Geheimarmeen unter anderem in Italien aus machtstrategischen Gründen in Italien eine „Politik der Spannung“ verfolgt haben. Mittel zum Zweck seien unter anderem Terroranschläge gewesen. Hat sich diese Strategie nun verändert?

Man kann auch heute noch die Strategie der Spannung beobachten. Diese Strategie ist also nicht einfach verschwunden. Nur ist es eben sehr schwer herauszufiltern, welche Akteure hinter den Bomben und Schießereien stehen. Nehmen Sie konkret den Sturz von Viktor Janukowitsch in der Ukraine im Februar 2014. Das war allem Anschein nach ein illegaler Putsch. Wir wissen nicht, wer die Scharfschützen waren, die auf dem Maidan sowohl Polizisten wie auch Demonstranten töteten und das Chaos auslösten. Das sieht genau nach einer Strategie der Spannung aus.

Nicht, dass Janukowitsch eine weiße Weste hätte. Er war ein korrupter Oligarch, der sich bereichert hatte. Aber das ist nicht der Punkt. Auch sein Nachfolger, Poroschenko, scheint ein korrupter Oligarch zu sein, der sich nicht um die armen Leute bemüht. Der Unterschied zwischen beiden ist vielmehr, dass der gestürzte Janukowitsch ein Freund Moskaus war und die Ukraine aus der NATO halten wollte. Poroschenko dagegen ist ein Washington-​Freund, der die Ukraine in das westliche Bündnis führen will.

Gibt es historische Vorbilder für diese „Strategie der Spannung“?

Ich habe den Sturz der Regierung des iranischen Premierminister Mohammad Mossadegh 1953 und den Sturz von Präsident Salvador Allende in Chile 1973 untersucht: In beiden Fällen hat die US-​amerikanische CIA die Finger im Spiel gehabt, im Iran auch der britische MI6. Die britischen und amerikanischen Geheimdienste haben damals die Strategie der Spannung eingesetzt. CIA-​Agenten haben sich als Kommunisten verkleidet und in Teheran Bomben in die Häuser von Muslimen geworfen, das hat das Land schnell ins Chaos gestürzt. Ob das nun 2014 in der Ukraine wieder gleich läuft? Schon möglich. Aber es ist nicht klar. Es gibt noch zu viel Nebel. Es braucht wohl noch etwas Zeit, bis dieser Regierungssturz geklärt ist.

Sie sprechen unter anderem auch von „Erdöl-​Beutezügen“. Würden Sie das auch bei den Operationen der IS sagen? Immerhin sollen die Terroristen erbeutetes Öl an die Türkei und die EU verkauft haben.

Die IS liefert nun den Vorwand, warum die USA auch Syrien bombardieren will. Das ist eigentlich illegal, kein Land darf ein anderes Land bombardieren. Obama hat kein Mandat des UN-​Sicherheitsrats. Aber wie schon die ABC-​Waffen von Saddam Hussein, die sich später als Lüge herausgestellt haben, liefert IS mit grausamer Brutalität einen Schock. Diesen Schock benutzt die Kriegspropaganda, um mehr Gewalt und mehr Bomben zu legitimieren. Obama behauptet, er könne durch Gewalt die Gewalt auslöschen oder zumindest eindämmen. Aber das wird ihm nicht gelingen. Auch Bush ist es nicht gelungen. Es war wohl auch nie das Ziel. Die NATO hat bereits in Afghanistan und Libyen ein Desaster hinterlassen.

Warum ausgerechnet nun Syrien? Will die NATO die Menschenrechte gegen Staatspräsident Baschar al-​Assad verteidigen?

Es geht nicht um Menschenrechte. Die USA wollen Assad stürzen. Das ist zwar illegal, aber diesen Plan verfolgen sie schon seit 2011. Damals geschah das vor allem durch Unterstützung von diversen muslimischen Gruppen mit Waffen und Training. Das hat nichts gebracht. Nun greifen sie Syrien mit Bomben an. Auch das ist illegal, weil Obama kein Mandat des UN-​Sicherheitsrats hat.

Was passiert mit diesen Konflikten, im Falle, dass das sogenannte „Peak Oil” erreicht wird? Rücken andere Ressourcen in den Vordergrund?

Peak Oil meint das Fördermaximum von Erdöl. Das ist ein sehr reales Problem, das uns noch lange beschäftigen wird. Weltweit benötigen wir 90 Millionen Fass Erdöl pro Tag, das sind täglich 45 Supertanker. Wir sind also stark erdölsüchtig. Um ganz ehrlich zu sein: Dies ist eine Diskussion unter Süchtigen. Auch ich brauche Erdöl. Und auch Sie brauchen Erdöl. Und auch die Leser dieses Interviews. Es gibt die Hoffnung, dass wir dank der Energiewende und mit erneuerbaren Energien aus dieser Erdölsucht rauskommen, aber das braucht Zeit, Geld und Kraft. Inzwischen beobachten wir, dass in verschiedenen Ländern die Erdölförderung einbricht, die Briten und die Norweger haben den Peak Oil erreicht, die Förderung fällt dort. Auch in Indonesien und in Mexiko ist das bereits der Fall.

Und in den USA?

Die USA haben beim konventionellen Erdöl schon 1970 den Peak Oil erreicht. Danach sank die Förderung. Derzeit können die USA dank Fracking die Erdölförderung erhöhen, aber sie verschmutzen damit das Grundwasser, was nicht klug ist. Denn Wasser ist eine ganz wichtige Ressource. Zudem brauchen die USA jeden Tag 19 Millionen Fass Erdöl und produzieren inklusive Fracking nur elf Millionen Fass. Sie werden also auch in Zukunft auf Erdölimporte angewiesen sein.

Der Kampf um Erdöl und Erdgas verschwindet nach dem Peak Oil nicht, sondern wird leider intensiver. Aber ich hoffe, dass sich dann auch immer mehr Menschen Gedanken über die Gewaltspirale machen werden. Das Pentagon hat ein Budget von 700 Milliarden Dollar, also zwei Milliarden Dollar pro Tag. Wenn man dieses Geld in die Energiewende fließen lassen würde, könnten wir die Erdölkriege in kurzer Zeit überwinden.

Wie sollen erneuerbare Energien, selbst wenn sie massiv subventioniert sind, je annähernd so viel Energie wie Erdöl und Erdgas bereitstellen? Bleibt da nicht nur eine großflächige Wachstumsrücknahme in den Industrieländern?

Es wird schwer, mit Wind und Sonne komplett Öl und Gas zu ersetzen, daher braucht es auch Effizienz und neue Strukturen, in welchen die lokale und nachhaltige Wirtschaft immer mehr Anteile gewinnt. Es geht also um einen Systemwechsel, um den Ausstieg aus dem fossilen und nuklearen Zeitalter. Ob das gelingt, bleibt offen.

Herr Ganser, vielen Dank für das Gespräch!

Anm. der Red.: Hier geht es zur Autorenseite und den Büchern von Ganser, hier zur Seite des SIPER.

Bild: In den Schweizer Alpen (Säntis) /​Foto: Marcel Roth

vendredi, 10 octobre 2014

Obama is Out of Control

Obama is Out of Control

Barack-Obama-Celebrity-Fan-Art-Funny-Caricature.jpgThe United States is wagging its finger at Zimbabwe, threatening to ratchet up sanctions over a plan to develop a platinum mine involving Russian and Zimbabwean companies. Obama is attempting to impose his own rule of law over the entire world – my way or highway. He has no such constitutional authority and this guy who misses most of his daily briefings as Fox News reported, and countless others.

I am not kidding. This is precisely how Athens fells. It dictated to all its allies and one by one they turned against Athens and joined Sparta. Sparta was a virtual communist state and Athens was a state in a battle swinging back and forth between oligarchs and democracy.

Russia is rising and Obama is the direct cause of handing power to Russia in the EXACT same manner as we saw the fall of Athens. Piss-off all your allies and they then turn against you and joining your enemy. Your enemy is my friend – as the saying goes. Putin is way smarter than Obama. He has adopted the words of Abraham Lincoln, you destroy and enemy by making him your friend. Since he cannot do that with Obama, he is doing it with everyone around him. Putin is a master chess player – Obama may not even be capable of checkers.

Joe Biden is great for saying things he shouldn’t. Now Biden in a boast admitted publicly that the Americans have for the first time have forced the EU and Merkel against their will to sanction Russia. Joe Biden said that Obama has insisted that the EU take into account economic damage to punish the Russians. The Biden’s remarks make clear that Angela Merkel and her EU colleagues have followed the instructions of Obama against the self-interests of their own people. In Germany, this is having a serious impact for Merkel’s words of the free self-determination sound more like just political bullshit.

No in the parliamentary elections that took place in Latvia, the Pro-Russian party Harmony won with 23.3% –  the most votes of any party. Nevertheless, a change of government is, however, unlikely. Russia can thank Obama’s sanctions for more and more countries and regions are turning to Russia.

Previously ruling center-right coalition in Latvia of Prime Minister Laimdota Strsujuma coming together to almost 58 percent of the vote so there will be no real change. Nonetheless, we are seeing the rising trend in support of Russia around the globe.

Iran has rejected sending exports of energy to Europe. President Rouhani said Iran did not have enough gas to allow it to export to the EU. Tehran has since been living with sanctions of the West and therefore seeking an alliance with Moscow. Another great failure of sanctions.

Putin is gaining support in China, Middle East, and even making friends in South America. All Obama can do is sanction people trying to run the world like managing children, but Putin refuses to go to his room. So now what comes next – a spanking? Obama will never back off of sanction because then he has to admit he has been wrong. Nevertheless, domestic confidence in Obama is at record lows. The Republican pray he comes to their state to try to support the local democrat. The association with Obama is becoming disaster.

Reprinted from Armstrong Economics.

 

Copyright © 2014 Armstrong Economics

jeudi, 02 octobre 2014

Le pacte d'Obama avec les Saoudiens et Al-Nosra

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Le pacte d'Obama avec les Saoudiens et Al-Nosra

Auteur : Moon of Alabama-Traduction SLT
 
Ex: http://zejournal.mobi
 
Obama le Malin

Selon le Wall Street Journal, Obama a fait un pacte avec les Saoudiens. Ils vont légitimer les attaques contre l'Etat islamique et al-Qaïda en Syrie (aka Jabhat al-Nusra) et le gouvernement Obama renversera plus tard le gouvernement syrien du président Assad. Le prince saoudien Bandar, qui approvisionnait les djihadistes, avait été évincé, mais à présent il est bien en cour, et les éditeurs néo-conservateurs de The Economist crient "victoire". Ils ont réussi à obtenir à ce que les Etats-Unis reviennent à nouveau dans leur guerre. Hourra !

Mais à ce que je comprends le rôle d'Obama dans cet accord est censé venir beaucoup plus tard. Il faudra un an pour former des insurgés "modérés, avalisés" en Arabie Saoudite et c'est seulement lorsque ceux-ci seront prêts, que le canard boiteux d'Obama, pourra (ou non) débuter son action militaire. Les électeurs US savent très bien qu'Obama tient toujours ses promesses (ou non). Une année peut être un temps assez long et qui sait ce qui va se passer avant.

L'urgence de l'accord avec les Saoudiens est peut-être survenue du fait que certaines personnes ont ressenti qu'il était maintenant nécessaire d'attaquer les dirigeants d'Al-Qaïda (Jabhat al-Nusra) en Syrie. Cela pourrait aussi provenir des scores faibles d'Obama dans les sondages et de son besoin de garder un Sénat où les Démocrates sont majoritaires après les élections de novembre. La seconde raison semble plus probable.

Pour justifier ce coup sur ce groupe ayant un grand leadership, cette action a dû être différenciée de l'action avec le groupe de "djihadistes modérés" de l'organisation Al-Nosra avec lequel il existe une coopération sur un certain nombre d'autres questions. Le groupe "Khorassan "a été inventé et une campagne de peur a été lancée pour justifier l'attaque. Les médias étatsuniens fort prévisibles ont tout gobé et ont propagé la propagande alarmiste des "responsables" au sujet de "Khorasan". Seulement après que l'attaque ait eu lieu, les doutes ont été autorisées à être diffusées :

Plusieurs des assistants de M. Obama ont déclaré mardi que les frappes aériennes contre les agents de Khorasan ont été lancées pour contrecarrer une attaque terroriste "imminente". Mais d'autres responsables étatsuniens ont déclaré que le complot était loin d'avoir été organisé, et qu'il n'y avait aucune indication que Khorasan ait planifié l'exécution d'un tel complot.

Selon certaines spéculations : Jabhat al-Nusra fait partie de l'organisation al-Qaïda. Elle a été dirigée par les vétérans d'Al-Qaïda qui avaient combattu en Afghanistan et au Pakistan mais sont venus en Syrie où l'insurrection a commencé. Les États-Unis ont rebaptisé ces anciens combattants par le nom de groupe "Khorassan" pour avoir une bonne raison de les éliminer. Leurs remplaçants pourraient bien être des locaux menant les groupes de rebelles en Syrie du sud et désireux de coopérer davantage avec USrael (raccourci entre USA et Israël, ndt). Une nouvelle version plus soft d'al-Qaïda.

L'ensemble de la stratégie déployée dans les différentes guerres par procuration en Syrie et en Irak menée par les forces atlantistes est devenue de plus en plus compliqué. Je ne serais pas étonné de voir Obama jeter l'éponge sur toute cette affaire. Après l'élection en novembre, il pourrait bien dire «stop» et laisser le chaos derrière lui.

mardi, 16 septembre 2014

Obama autorise à bombarder n’importe qui, n’importe quand

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Obama autorise à bombarder n’importe qui, n’importe quand
 
Auteur : Dmitri Kossyrev
 
On pourrait résumer ainsi le discours du président américain Barack Obama diffusé récemment sur internet : "Les USA vont bombarder le territoire syrien sans consulter Damas, parce qu’on ne peut pas faire autrement". La situation frise en fait l’absurde car les frappes aériennes américaines viseront justement des ennemis qui sont en premier lieu ceux du président syrien Bachar al-Assad, et seulement après ceux de Barack Obama et d’autres pays.

Mais en effet, Obama peut difficilement reconnaître devant le monde entier que les USA se retrouvent de fait alliés avec la Syrie et, par extenstion, indirectement avec l’Iran. Ce discours du président américain jette ainsi la lumière sur la plus grande faiblesse idéologique de l’Amérique, qui estime avoir le droit de faire tout ce que bon lui semble mais ne dit pas à voix haute des choses évidentes.

L’ennemi de mon ennemi n’est pas mon ami

Dans le texte intégral du discours présidentiel on peut trouver tout ce qu’on veut, sauf la réponse à cette question : quelles sont les causes de cette guerre qui a déjà entraîné la prise de vastes territoires irakiens par l’armée extrémiste de l’Etat islamique (EI) ?

Ce sont bien les amis et alliés des Américains – l’Arabie saoudite, le Qatar et d’autres monarchies du Moyen-Orient - qui ont déclenché ce processus. D’abord par l’incitation aux révolutions à travers toute la région, qui ont été suivies de coups d’Etat et de guerres. Dans cette affaire les USA participaient d’abord mollement, sans désir, puis les monarchies ont commencé à les impliquer dans une véritable guerre, notamment contre la Syrie qu’elles haïssaient tant. Aujourd’hui, la situation dans la région est devenue très compliquée car ceux qui encourageaient les coups d’Etat se sont brouillés entre eux… mais rien de tout cela n’est dit à voix haute par Obama. Il a un autre problème.

Le fait est que la création sur le territoire de deux Etats – l’Irak et la Syrie – d’un Etat terroriste, où des musulmans d’Europe et même des USA se rendent comme pour un safari, est intolérable. Les Etats-Unis étaient tout simplement obligés de soutenir le gouvernement irakien avec des frappes aériennes, éloignant un peu le front de la capitale. Mais l’EI est basé en Syrie, sur le territoire d’un autre Etat souverain d’où les terroristes ont précisément débarqué en Irak après avoir échoué à vaincre le gouvernement d’Assad. Et si on ne pouvait pas atteindre ces terroristes là, en Syrie, il serait impossible vaincre ce mouvement.

Les experts écrivent depuis des mois que l’Amérique est dans une situation absurde. L’ennemi de son ennemi s’est avéré être, lui aussi, son ennemi. Une véritable alliance militaire se dessine entre les USA, d’une part, et la Syrie et l’Iran de l’autre. Ces deux derniers étant des cibles de toute l’opération des anciens amis des USA, les monarchies du Moyen-Orient, appelée "Printemps arabe". Alors pourquoi ne pas reconnaître que telle est notre nouvelle réalité – nous, l’Amérique, sommes désormais amis avec Téhéran et Damas parce que nous devons faire face à une menace commune vraiment terrible ?

Non - il semble plus simple pour Obama de bombarder le territoire d’un Etat souverain plutôt que de briser des modèles idéologiques qu’il n’a même pas créés lui-même.

Y a-t-il quelqu’un au-delà des Etats-Unis ?

Le plus intéressant dans le discours de M.Obama est ce qu’il a évité habilement de dire, notamment sur la Syrie : "Dans cette guerre nous ne pouvons pas compter sur le régime d’Assad, qui fait régner la terreur sur son peuple. Ce régime ne retrouvera jamais sa légitimité perdue". Et c’est tout, en fait.

Mais au fait, qui subit la terreur d’Assad ? Précisément l’EI, qui s’est d’abord emparé des deux tiers du pays en y commettant les mêmes atrocités qu’aujourd’hui en Irak, puis a été repoussé au nord-est d’où, étant dans l’incapacité de prendre Damas, il a mis le cap sur l’Irak.

Dans son discours, Obama a déclaré qu’il aiderait "une force tierce" en Syrie qui pourrait s’imposer face à tout le monde, aussi bien Assad que l’EI. Comme si les USA ne les aidaient pas déjà. En réalité, l’Amérique n’a pas aujourd’hui la tête à la Syrie. Ils veulent bombarder l’EI sur le territoire syrien, aidant ainsi Assad à reprendre les territoires que l’organisation occupe ? De toute façon, ce sera seulement pour demain - et d’ici-là on trouvera bien quelque chose. Si l’occasion de renverser le gouvernement de Damas se présentait, il serait renversé.

En fait, il aurait simplement suffit de faire preuve de respect pour le droit international et de téléphoner à Assad pour lui demander : "Pouvons-nous éliminer votre ennemi sur votre territoire ?" Il n’aurait certainement pas été contre.

En fait, le droit international et le concept de souveraineté sont pratiquement absents de l’allocution d’Obama. Sans parler de la légitimité du gouvernement syrien. Après tout, ce n’est pas Washington qui décide qui est légitime ou non. Plus tard bien évidemment, quelque part à l’Onu, l’Amérique dira quelque chose pour la forme. Voire ne dira rien du tout.

Mais dans ce cas, qu’avons-nous au final ? Admettons que la Russie n’apprécie pas l’Uruguay -elle n’a en réalité absolument rien contre ce pays, au contraire, mais c’est juste à titre d’exemple. Imaginons qu’une bande s’empare d’une partie du territoire uruguayen et pénètre au Brésil. La Russie veut aider le Brésil et commence à bombarder l’Uruguay tout en disant que son gouvernement n’est pas légitime et qu’elle fait ce qu’elle veut. D’ailleurs, pourquoi seulement la Russie ? N’importe qui peut bombarder n’importe qui : Obama l’a autorisé. Après tout, le droit international est le même pour tout le monde.

Le président américain n’est pas le seul à omettre l’aspect juridique de l’affaire : la plupart des Américains le font. Dans les premières réactions à son discours, on ne trouve pratiquement aucune réflexion à ce sujet.

Voici la "consultation juridique" du Washington Post, dont l’expert n’analyse qu’un seul thème – Obama a-t-il ou non le droit d’effectuer des raids sur le territoire syrien, tout en annonçant qu’il n’a pas à demander l’autorisation du Congrès dans ces circonstances. Il n’est donc bien question que d’une chose : l’autorisation de le faire ! L’expert trouve même des arguments en faveur d’Obama : un acte du Congrès de 2002 signé avant la guerre en Irak à l’époque de Bush, qu’il analyse minutieusement - on n’y trouve pas un mot sur le monde en dehors des USA.

Du côté de l’opinion publique américaine, s’il y a un an la majorité était très opposée à une agression contre la Syrie, le soutien des bombardements a doublé aujourd’hui : 71% sont favorables aux attaques contre l’EI sur le territoire irakien et 65% approuvent ces attaques sur le sol syrien…

Mais on n’entend absolument rien sur la souveraineté et le droit international. Enfin, il y a bien une publication amusante dans le New York Times. C’est un genre à part – l’art du dialogue, le summum de la médisance de deux intellectuels. Ils commencent par une discussion sur Charles Dickens avant de passer à Obama en soupirant, et l’un des interlocuteurs lance : "Le plus difficile consiste à expliquer au peuple américain ce qu’est le système international. Vous le voyez ou le ressentez à peine. Bien qu’il crée un "fond subconscient de conduite pour tous, pour les bons et pour les mauvais gars".

Qu’on se le dise : il n’y a plus de "droit international" ni de droit tout court. Ni de règles de conduite. La prochaine fois que quelqu’un en parle, il ne restera qu’à en rire ensemble et discuter de Dickens.


- Source : Dmitri Kossyrev
 
 

lundi, 15 septembre 2014

Sans commentaires...

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mardi, 09 septembre 2014

Obama prêt à approvisionner l’Europe en gaz américain

 

Obama prêt à approvisionner l’Europe en gaz américain

Auteur : JDS - Ex: http://zejournal.mobi
 
Au cours d’un sommet de 90 minutes avec les deux présidents européens Herman Van Rompuy et José Manuel Barroso, le chef de la Maison-Blanche a recommandé aux Européens de diversifier leurs sources d’approvisionnements énergétiques afin de réduire leur dépendance avec la Russie.

"L’Europe doit trouver comment diversifier ses approvisionnements. Les États-Unis, eux, ont la chance d’être richement dotés. Accélérer le mouvement serait bon pour l’UE et bon pour l’Amérique. Cela ne se fera pas du jour au lendemain. Mais c’est maintenant qu’il faut agir, dans l’urgence" a-t-il insisté.

L’Union européenne a acheté 133 milliards de mètres cubes de gaz à la Russie en 2013, soit un quart de sa consommation (selon les données publiées par la société russe Gazprom), soit 25% de sa consommation. L’Allemagne en absorbe près du tiers, suivie de l’Italie et du Royaume-Uni. Les pays ­Baltes, la Pologne, la Finlande et d’autres pays de l’Est sont totalement dépendants.

85 milliards de mètres cubes arrivent via l’Ukraine. Le reste des achats de gaz à la Russie est acheminé par les gazoducs Nord Stream, Yamal et Blue Stream, qui contournent tous l’Ukraine.

Afin de diversifier rapidement ses approvisionnements, l’UE voudrait donc que Washington libéralise les licences d’exportation de gaz de schiste, production américaine en plein essor. Et les États-Unis l’envisagent clairement.

Barack Obama souligne notamment que «ce serait beaucoup plus facile» si les deux rives de l’Atlantique concluaient le traité de libre-échange euro-américain, négocié dans l’ombre depuis de longs mois.

Mais pour ce faire, les États-Unis et l’Europe devraient investir plusieurs dizaines de milliards de dollars pour construire les infrastructures nécessaires et une flotte pour acheminer le gaz liquéfié en Europe, tandis que cette dernière devra construire une infrastructure pour accueillir les navires et le gaz liquéfié.

Si les États-Unis et l’Europe acceptent ces dépenses, le prix du gaz américain sera au moins comparable, voire supérieur, à celui du gaz russe.

Enfin, un plan d’action a également été demandé à la Commission européenne pour le prochain sommet en juin. Les possibilités seraient de se tourner vers la Norvège et l’Algérie, mais en perdant le bénéfice des prix avantageux consentis par Gazprom.

L’Union européenne dépense chaque année 400 milliards d’euros pour ses achats d’énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon), selon les chiffres cités par la commissaire au Climat Connie Hedegaard.


- Source : JDS

vendredi, 25 juillet 2014

Obama e la strategia del nemico permanente

Obama e la strategia del nemico permanente

Il problema per Obama, come quello dei suoi predecessori, è quello di impedire la saldatura della vecchia Europa con la Russia.

Marco Mari

Barack_Oba.jpgPer gli Usa vincitori della Seconda Guerra Mondale è stato facile tenere uniti gli sati europei nella Nato: c’era da fronteggiare nel periodo della guerra fredda la temibile Urss. Con la caduto del muro di Berlino (1989) e la dissoluzione dell’Unione Sovietica lo scenario è completamente cambiato, in quanto non c’era più un nemico da combattere. Bisognava urgentemente trovarne uno. Ecco comparire l’Iraq di Saddam Hussein per l’nvasione del Kuwait, messo nel mirino in “nome della sicurezza nazionale”.
Il presidente iracheno non era certamente una mammoletta, ma garantiva al suo paese  una vita dignitosa e libertà religiosa, cosa che in altri stati mediorientali non accade nemmeno oggi. Ovvio che quella guerra fu scatenata per il petrolio del quale è ricco quel paese. Da allora gli States hanno organizzato diverse campagne militari in giro per il pianeta al fine di destabilizzare questa o quell’area adducendo la necessità delle guerre umanitarie per l’esportazione della democrazia. La Serbia di Milosevic, l’Iraq 2.0, l’Afganistan. Dove non hanno agito in prima persona, gli Usa hanno sostenuto l’azione degli altri, vedi la Libia per sostituire lo scaltro Gheddafi con una classe dirigente di utili (e incontrollabili) idioti.
E’ evidente che di umanitario in questi interventi militari non c’era proprio nulla: solo interesse economico (petrolio e gas) oppure strategico. In Kosovo c’è una grande base Nato che chiude gli occhi di fronte al crocevia di ingenti traffici di droga e armi. Perfettamente in linea coi suoi predecessori (Bush e Clinton), Obama da più di due anni spinge per bombardare la Siria di Assad e se la cosa non si è ancora verificata è solo per la ferma opposizione della Russia che a Tartous ha una base militare. La Siria è un altro tassello per arrivare all’altro serbatoio di petrolio della zona: l’Iran, nemico giurato dell’Arabia Saudita alleata di Washington.
Vista l’impossibilità di mettere le mani sulla Siria il Pentagono ha il piano B: l’Ucraina paese di faglia, di confine tra due culture, quella occidentale e quella russa. Qui gli americani ci stanno lavorando da anni: prima di cesello (la rivoluzione arancione poi andata come è andata), poi finanziando e sostenendo l’opposizione semi-fascista al governo Yanukovic regolarmente eletto un paio d’anni fa e poi destituito dal golpe di qualche mese fa. Risultato: ecco l’ennesimo governo fantoccio.
Il resto è cosa nota: il referendum della Crimea svoltosi solo per l’intervento di Putin a tutela della regolarità del voto sotto l’occhio attento delle organizzazioni internazionali, ed ora le proteste delle regioni dell’est filo-russe che non si sentono più tutelata da Kiev dopo la chiusura delle tv in lingua russa e la messa al bando negli uffici pubblici e nelle scuole della lingua russa. Al Cremlino non preoccupa l’adesione di Kiev alla Ue, ma la base Nato che i nuovi dirigenti ucraini sono pronti a ospitare sul proprio territorio, avallando così il progetto Usa di circondare la Russia con batterie missilistiche. Dietro questa operazione c’è un vero e proprio risiko geopolitico ed economico. Washington divide l’Europa in due aree: la Vecchia Europa costituita da Germania, Francia, Italia e la Nuova Europa composta dalla Gran Bretagna e dalle nuove economie nate dalla dissoluzione del Comecon (patto di Varsavia) e dell’Urss.
Il problema per Obama, come quello dei suoi predecessori, è quello di impedire la saldatura della vecchia Europa con la Russia. E questo lo vediamo nelle attuali posizioni in campo: da una parte gli Usa e la Gran Bretagna pronte a misure durissime, al limite del bellico contro Putin, e dall’altro la Merkel molto più morbida. Mosca è fortissimamente dipendente dalle esportazioni tedesche, ma se la Germania dovesse chiudere con Mosca perderebbe almeno 300mila posti di lavoro. Senza contare la chiusura delle forniture di gas siberiano del quale non possiamo tutti fare a meno e che al momento non è possibile sostituire in breve tempo.
A questo punto dobbiamo porci un interrogativo: Siamo ancora disposti a seguire gli Stati Uniti per la loro sete di supremazia sul pianeta tenendo conto che ci hanno spinto a partecipare a conflitti che sono  serviti solo alle multinazionali? Agitare lo spauracchio dell’oligarca Putin è ridicolo: Mosca avrebbe potuto invadere l’Ucraina in men che non si dica ma non lo ha fatto dimostrando capacità diplomatiche superiori a quella politica delle minacce americane.
Purtroppo da questa eurocrazia filo-Usa non possiamo aspettarci nulla di buono: speriamo che nel prossimo parlamento Ue ci siano tanti onorevoli pronti a dare un taglio diverso e nuovo alla politica estera continentale, a favore dei popoli e contro le lobbies economico-finanziarie che da troppo tempo imperano su tutti noi. L’Europa deve trovare la sua identità in quanto restando serva degli Sates non può far altro che scomparire perché è questo che la Casa Bianca vuole.


28 Aprile 2014 12:00:00 - http://rinascita.eu/index.php?action=news&id=23394

mercredi, 25 juin 2014

Poolse minister BuZa: Alliantie met VS is waardeloos en schadelijk


Minister van BuZa Sikorski, in het openbaar pro-VS, maar achter de schermen bepaald niet.

 
Poolse minister BuZa: Alliantie met VS is waardeloos en schadelijk

Een Pools magazine is in het bezit gekomen van een geluidsopname waarop te horen is hoe minister van Buitenlandse Zaken Radek Sikorski de alliantie met de VS waardeloos noemt, en ‘zelfs schadelijk, omdat deze een vals gevoel van veiligheid creëert. We zijn sukkels, absolute sukkels. Het probleem in Polen is dat we amper trots en een laag zelfbeeld hebben.’ Het Poolse ministerie van BuZa weigerde commentaar te geven, maar ontkende niet dat Sikorski dit had gezegd.

Het magazine Wprost publiceerde enkel een gedeeltelijk transcript van Sikorski’s gesprek met de voormalige minister van Financiën, dat in het voorjaar zou hebben plaatsgevonden. De geluidsopname zelf wordt vandaag of morgen vrijgegeven. Het in het geheim opnemen van een persoonlijk gesprek is in Polen overigens een misdrijf.

Sikorski gebruikte platte taal bij zijn stelling dat de alliantie met de VS de relatie met de twee belangrijkste buurlanden, Rusland en Duitsland, zou kunnen beschadigen. Zijn standpunt is des te opmerkelijker als bedacht wordt dat hij eerder forse kritiek uitte op de bemoeienissen van het Kremlin in Oekraïne, en in het verleden doorgaans een grote voorstander van sterke banden met de VS was.

Kandidaat om Ashton op te volgen

De Poolse regering schoof Sikorski onlangs naar voren als kandidaat om EU-buitenlandchef Catherine Ashton op te volgen. Door de opname zal niet alleen zijn kandidatuur in gevaar komen, maar ook zijn positie in de regering. Politiek analist Rafal Chwedoruk denkt dan ook dat er sprake is van een intern machtsspelletje. Sommige Polen vermoeden dat Rusland daar een rol bij heeft gespeeld, omdat het Kremlin gebaat zou zijn bij het destabiliseren van het land.

Centrale Bank zweert samen met regering

Vorige week veroorzaakte Wprost ook al een politieke storm met een geluidsopname van een gesprek tussen Marek Belka, hoofd van de Centrale Bank, en minister van Binnenlandse Zaken Bartlomiej Sienkiewicz. Te horen was hoe beide heren overlegden hoe de bank de regerende partij in 2015 aan een nieuwe verkiezingsoverwinning kan helpen, wat een schending is van de onafhankelijkheid van de Centrale Bank. Critici eisten onmiddellijk het aftreden van de pro-EU regering van premier Donald Tusk.

‘Obama catastrofaal voor Europa’

In 2008 waarschuwde de bekende Bush-criticus Webster Tarpley dat de toen zojuist gekozen president Barack Obama ‘catastrofaal’ zou zijn voor de wereld, maar vooral voor Europa. Hij voorspelde dat Obama zou aansturen op een politiek en uiteindelijk ook militair conflict met Rusland, en daarbij geen seconde zou aarzelen om Europa op te offeren.

Xander

(1) Breitbart

mardi, 10 juin 2014

Ice Station Obama

Ice Station Obama

by Wayne Madsen

Wayne MADSEN

Ex: http://www.strategic-culture.org

 

Although President Obama's «pivot to Asia» is receiving media attention, his little-known push to establish American hegemony over the rapidly melting Arctic polar zone has gone largely unnoticed. Using three NATO allies, all of them monarchies, Obama is trying to establish a U.S.-led condominium of the United States, Canada, Norway, and Denmark over the Arctic, conspicuously leaving Russia out of the equation. Obama’s military and intelligence push into the Arctic could be taken from the pages of the 1960s Cold War thriller by Alistair MacLean, «Ice Station Zebra», With the depletion of the Arctic ice pack opening up formerly non-navigable Arctic maritime zones to shipping, Obama and his Wall Street handlers are eyeing the Arctic as America’s new region for natural resource exploitation. And, as always, the Pentagon and the U.S. intelligence Community are ready to act as the centurions for the investment bankers and hedge fund tycoons.

U.S. Defense Secretary Chuck Hagel’s Arctic Strategy was unveiled in Halifax in November 2013. Hagel said the Pentagon’s «Arctic Strategy» is centered upon the U.S. bolstering its military capabilities in the Arctic region with the opening of new sea lanes for natural resource «exploration», 

The first step of the Obama «polar pivot» has been to militarize it under the NATO umbrella. The Svalbard Treaty of 1920, ratified by 40 nations, agreed to demilitarize the Norwegian-owned Arctic archipelago of Svalbard and to permit commercial activities on the islands by the signatories. Only Norway and Russia (and the former Soviet Union) exercised the right to commercially exploit the resources of the islands, mainly by mining coal. Russia has largely withdrawn its commercial interests from the islands with only some 370 Russians and Ukrainians remaining in Svalbard, many of them living at the mining community in Barentsburg, the Russian research station at Ny-Ålesund, and the small mining outpost at Sveagruva.

A dependency of Norway, Svalbard has seen its Norwegian population grow with many of the Norwegians living in the capital of Longyearbyen. As signatories of the Svalbard Treaty, Americans, Canadians, and Britons are free to travel and reside on Svalbard without restrictions imposed by Norwegian authorities. Americans first started to arrive in Svalbard as part of the team that oversees the operation of the Svalbard Global Seed Vault, a project of Global Crop Diversity Trust, which stores most of the world's crop and botanical varieties in an underground vault.

Russia believes that NATO has violated the Svalbard Treaty by covertly operating military functions at the Svalbard Satellite Station at Ny-Ålesund, which is connected to Harstad and Andoya, Norway by the Svalbard Undersea Cable System. Andoya was the site of a Norwegian Sound Surveillance System (SOSUS) array, art of the U.S. Integrated Undersea Surveillance System (IUSS) that acoustically tracked Soviet and Russian submarines. There is a belief that the Norwegians have continued to employ acoustic intelligence devices against the Russians and that Svalbard is part of the Norwegian monitoring activities, in violation of the Svalbard Treaty. The U.S. also maintains a Globus II HAVE STARE radar station in Vardo in the Norwegian Arctic, which is used to collect electronic intelligence for the U.S. National Security Agency from Russian military targets across the Norwegian border. The mushroom-like radome that conceals the HAVE STARE radar is a tell-tale sign of a U.S. military-intelligence presence. Radomes have appeared in increasing numbers from the National Security base at Menwith Hill, England to northern Norway, Svalbard, Greenland, Iceland, the Faeroes, northern Canada, and even remote and uninhabited Jan Mayen Island in the Norwegian Sea. 

Complementing America's operations in Svalbard and Norway is the increasing use by NATO of Sweden's Arctic Lapland for military purposes. Most NATO activities in Sweden involve NEAT, which stands for NATO Exercises and Advanced Testing.

The U.S. is also expanding its military presence at the Thule airbase in Greenland as part of the U.S. Air Force 21st Space Wing's missile defense network. Thule provides missile launch sensor data to the North American Air Defense Command (NORAD) and the Air Force Space Command. A number of Greenland «home rule» governments have wanted the United States to withdraw its military forces from Greenland but Washington and Denmark, which remains the sovereign authority over Greenland through the contrivance of calling Greenland a self-governing country within the «Kingdom of Denmark,» have rejected Greenlandic calls for the demilitarization of Greenland. The «kingdom» contrivance has also been used to keep the independence-minded Faeroe Islands in the Norwegian Sea firmly under Denmark's, and by default, NATO's, control. The Faeroes and Greenland are part of Denmark's Joint Arctic Command, which in turn reports to NATO.

Although Greenland's Prime Minister Aleqa Hammond of the social democratic Siumut Party favors independence, she, like other past leaders, face determined opposition from Washington and Copenhagen, where NATO lobbyists exercise final say. Hammond stated «We will stand up as a people and demand what is rightfully ours.» According to a document found in the CIA archives, The U.S. has always believed it has ultimate authority over Greenland. And Denmark has not always been such an obedient slave to the dictates of Washington. A formerly TOP SECRET CIA document, dated January 31, 1947, states that the U.S. Minister to Denmark, Josiah P. Marvel, Jr., raised the issue of Greenland with the Danish Foreign Minister, Gustav Rasmussen. The U.S., at the time, was interested in wresting control of Greenland from Denmark to use it as a military base against the Soviet Union. When Marvel insisted on discussing the future of Greenland with Rasmussen, the Danish Foreign Minister replied, «While we owe much to America, I do not feel we owe them the whole island of Greenland.»

What a difference a generation makes. Former Danish Prime Minister and outgoing NATO Secretary General Anders Fogh Rasmussen, nicknamed the «Fogh of War» by his many critics, handed Greenland to the United States on a Georg Jensen silver platter and warned the Faeroes not to even think about independence. Whatever the Americans paid for Rasmussen’s knee-jerk loyalty, it was worth it to Washington.

U.S. dominance over the Arctic is spelled out in the Pentagon's National Strategy for the Arctic Region, a policy that was developed under the stewardship of Daniel Y. Chiu, the deputy assistant secretary of defense for strategy. Chiu sees the rapid climate change that is affecting the Arctic facilitating a greater U.S. naval and other military presence in the region.

Last February, U.S. forces participated in the first airborne operation north of the Arctic Circle. The exercise, codenamed SPARTAN PEGASUS, saw paratroopers from the Army's 25th Infantry Division parachute into Deadhorse on Alaska's North Slope.

In 2012, the commander of the U.S. Northern Command (NORTHCOM) and NORAD signed the Tri-Command Framework for Arctic Cooperation with the Commander of Canadian Joint Operations Command. The agreement «enhances military cooperation to support safety, security and defense operations in the region.» NORTHCOM has assumed sole responsibility for military operations in the Arctic region, placing Greenland, Svalbard, Jan Mayen Island, and the North Pole within NORTHCOM's jurisdictional domain. And NORTHCOM has not been shy about ordering U.S. fighter planes to engage Russian military aircraft in dangerous «cat-and-mouse» games over the Bering Sea between Siberia and Alaska.

NORTHCOM has increased its presence in Canada's first Inuit-ruled territory, Nunavut. In March, NORTHCOM conducted Exercise ARCTIC WARRIOR/GUERRIER NORDIQUE in Iqaluit, Nunavut. The Stephen Harper government in Ottawa has increasingly stymied the rights of Native Canadians over the natural resources on their lands. The presence of NORTHCOM military units in the Nunavut capital of Iqaluit last March was a message by Ottawa and Washington to the local leaders that their self-government has «limits,» just like those imposed by Washington and Copenhagen on their Inuit cousins in Greenland. The same restrictions by the neo-colonialists of Ottawa and Washington will be imposed on the emerging Deline Gotine nation, the first native Canadian self-governing entity in Canada's Northwest Territories. In addition, the people of Deline Gotine will have no authority to ban natural gas fracking in their territory.

NATO has urged Denmark and Canada to resolve a dispute over ownership of Hans Island, a 1.3 kilometer barren uninhabited island between Greenland and Canada's Ellesmere Island. The island will be ruled as a shared condominium between Canada and Denmark. Left out of the agreement are Greenland and Nunavut, the two Inuit governments that actually would have had no problems resolving sovereignty issues between the same native people. However, in the Arctic, the decisions are made in Washington, while the NATO puppets of Ottawa, Copenhagen, and Oslo obediently wag their tails.

 

mercredi, 04 juin 2014

What Obama Told Us At West Point

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What Obama Told Us At West Point

Paul Craig ROBERTS

Ex: http://www.strategic-culture.org

 
At West Point Obama told us, to the applause of West Point cadets, that «American exceptionalism» is a doctrine that justifies whatever Washington does.  If Washington violates domestic and international law by torturing «detainees» or violates the Nuremberg standard by invading countries that have undertaken no hostile action against the US or its allies,  «exceptionalism» is the priest’s blessing that absolves Washington’s sins against law and international norms. Washington’s crimes are transformed into Washington’s affirmation of the rule of law.  

Here is Obama in his own words:  »I believe in American exceptionalism with every fiber of my being. But what makes us exceptional is not our ability to flout international norms and the rule of law; it is our willingness to affirm them through our actions.» 

Actions indeed. In the 21st century «American exceptionalism» has destroyed seven countries in whole or in part. Millions of people are dead, maimed, and displaced, and all of this criminal destruction is evidence of Washington’s reaffirmation of international norms and the rule of law. Destruction and murder are merely collateral damage from Washington’s affirmation of international norms.

«American exceptionalism» also  means that US presidents can lie through their teeth and misrepresent those they choose to demonize.  Listen to Obama’s misrepresentations of the Putin and Assad governments:  »Russia’s aggression towards former Soviet states unnerves capitals in Europe . . . In Ukraine, Russia’s recent actions recall the days when Soviet tanks rolled into Eastern Europe .»  Obama misrepresents Assad as «a dictator who bombs and starves his own people.»

Did any of the cadets in Obama’s West Point audience wonder why, if Assad is a brutal dictator who bombs and starves his own people, the Syrian people are supporting Assad instead of the American-backed «liberation forces,» the combination of imported jihadists and al Qaeda fighters who object to Assad’s government because it is secular? The US military is taught to respect its civilian commander-in-chief, but if West Point cadets actually do obtain an education, it is remarkable that Obama’s audience did not break out in laughter.

The reference to Soviet tanks rolling into Europe is a reference to the Hungarian (1956) and  Czech (1968) «revolutions» when the Hungarian and Czech communist leaders attempted to assert independence from Moscow.  It is doubtful that Washington’s response to countries attempting to exit NATO would be any different.  A few months ago Washington responded to political talk in Germany and England about leaving the EU by informing both governments that it was not in Washington’s interest for them to depart from the European Union.

Obama used the image of Soviet tanks in order to color Russia with the Soviet Threat, to mischaracterize Russia’s response to the Georgian invasion of South Ossetia, and to misrepresent Crimea’s vote in favor of reunification with Russia as «Russia’s invasion and annexation of Crimea.»  These lies are still a mainstay in the US media and in Washington’s official propaganda.

Obama’s speech is probably the most disingenuous ever given by a Western politician. We could have fun for hours with all the crimes that Washington commits but buries in rhetoric directed at others.  Perhaps my favorite is Obama evoking a world in which «individuals aren’t slaughtered because of political belief.»  I am sure Obama was thinking of this just world when he murdered without due process of law four American citizens «outside of areas of active hostilities.» 

Another favorite is the way Obama flushed the US Constitution of its meaning. Obama said, with reference to bringing the Guantanamo prisoners to the US, that «American values and legal traditions don’t permit the indefinite detention of people beyond our borders.» No, Obama, the US Constitution prevents the indefinite detention of US citizens by the US government anywhere on earth, especially within our borders.  

By detaining and by murdering US citizens without due process of law, Obama has violated his oath of office and should be impeached.  It was only a short time ago that President Bill Clinton was impeached by the US House of Representatives (the Senate saved him from conviction) for lying about his sexual affair with a White House intern.  How times change. Today a president who violates his oath of office to protect the Constitution from enemies foreign and domestic gets a free ride.  The Constitution has lost its power to protect citizens from the arbitrary power of government. The US is the Constitution.  Without the Constitution the US ceases to exist, and the country becomes a tyranny, both at home and abroad. Today the US is a tyranny cloaked in the garb of «freedom and democracy.»

Instead of laughing our way through Obama’s ridiculous speech to what apparently was a dumbed-down West Point graduating class, lets pay attention to Obama’s bottom line: «America must always lead on the world stage. . . . The military is, and always will be, the backbone of that leadership.»

In other words, Washington doesn’t use diplomacy.  Washington uses coercion. The favorite threat is: «Do as you are told or we will bomb you into the Stone Age.» Obama’s speech is a justification of Washington’s criminal actions on the grounds that Washington acts for the exceptional Americans whose exceptionalism places them and, thereby, their government above law and international norms. In this way of thinking, only the failure to prevail constitutes failure.

Americans are the new ubermensch, the new master race. Inferior humans can be bombed, invaded, and sanctioned. Obama’s West Point speech asserts American superiority over all others and Washington’s determination to continue this superiority by preventing the rise of other powers.  This arrogant hubris was not enough for the Washington Post editorial board. The newspaper’s editorial damned Obama for binding US power and limiting its use to «a narrow set of core interest,» such as direct threats to America.

The American «liberal media» object that Obama’s claim of exceptionalism is not broad enough for Washington’s purposes.  Obama’s address, the Washington Post wrote, bound «US power» and «offered scant comfort» to those militarists who want to overthrow Syria, Iran, Russia, and China. 

The world should take note that the most militarily aggressive American president in history is considered a wimp by the neoconized American media.  The media drives wars, and the American media, firmly allied with the military/security complex, is driving the world to the final war.

dimanche, 18 mai 2014

The Obama Doctrine

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The Obama Doctrine: Replacing Democratically-Elected Governments by Undemocratic Contrivances

Wayne MADSEN

Ex: http://www.strategic-culture.org

 

Born out of U.S. think tanks, most with covert links to U.S. intelligence agencies, the Obama Doctrine on foreign policy will have at its hallmark the replacement of democratically-elected governments with leaders chosen by undemocratic means. The Obama Doctrine first reared its ugly head in June 2009 when the Obama administration sanctioned a «constitutional coup» against the left-leaning democratically-elected president of Honduras, Manuel Zelaya. The «cover» for the coup was a contrived Honduran Supreme Court decision that authorized Zelaya’s ouster. The Honduran coup had the support of the U.S.-trained Honduran military, as well as U.S. military personnel in the country detailed from the U.S. Southern Command in Miami.

The Honduran coup was followed in March 2013 by the Paraguayan «show trial» impeachment of leftward-leaning and democratically-elected president Fernando Lugo. The Paraguayan Congress, dominated by right-wing oligarchs, removed Lugo and replaced him with a right-wing savant who took his orders from the U.S. embassy and CIA station in Asuncion, the Paraguayan capital.

Proving to itself that «constitutional coups» could be successful in its own hemisphere, the Obama administration and its CIA operatives, some operating under the non-profit cover of George Soros’s Open Society Institute, set about to organize similar undemocratic changes of government in countries further away. This past February’s ouster of democratically-elected Ukrainian president Viktor Yanukovych by a clique of World Bank stooges, Zionists, and neo-Nazis in the Ukrainian parliament led to Europe’s worst crisis since the end of the Cold War.

After deposing Yanukovych, the Obama administration saw another opportunity to depose a democratically-elected populist leader, Thailand’s Prime Minister Yingluck Shinawatra. The Thai Constitutional Court, dominated by judges beholden to royalists and wealthy oligarchs, deposed Yingluck because of purely political charges by the Thai right-wing that she abused her office. Yingluck, in an undemocratic manner, was replaced by her Deputy Prime Minister and Commerce Minister Niwatthamrong Boonsongphaisan. Nine other government ministers were also ordered to resign. The caretaker government was authorized by the court to remain in power until a July 20 election.

Yingluck and her brother, former Prime Minister Thaksin Shinawatra, himself deposed in a 2006 military coup, have advocated for Thailand’s poor rural class. The rural movement, known as the «Red Shirts», engaged in street battles with the pro-royalist «Yellow Shirts». The Yellow Shirts never recognized the outcome of the 2011 election, which saw the pro-Red Short Yingluck cruise to victory. The Yellow Shirts conspired with the large CIA station in Bangkok, as well as local Soros-funded operatives, to deploy «rent-a-mobs» to launch protests against the Yingluck administration. 

Red Shirt leaders accused the Thai court of using its powers to unseat a democratically-elected leader. There is little doubt that the clearing out of the Yingluck government in Bangkok was tied directly to the recent visit of Obama to Asia where he set about to recreate the old Cold War Southeast Asia Treaty Organization (SEATO) to confront the expanding growing power of China in the region. After having secured military base rights in the Philippines, a founding member of the long-defunct SEATO, Obama traveled to Malaysia to discuss an expanding U.S. military role in the country that extends from the Malayan peninsula to Sarawak and Sabah states on the island of Borneo. One holdout for Obama was Thailand, whose pro-Red Shirt government was more interested in expanding economic opportunities for Thailand’s poor agrarian sector of the population than in playing host to Cold War-era military bases and trans-Pacific «free trade» opportunists. For that reason, Obama and his CIA masters conspired with Thailand’s royal family, corporate tycoons, and elements of the Thai military to engineer Yingluck out of power. 

In a three-month period of time, the Obama Doctrine saw the undemocratic expulsion from power of the «2 Ys» – Yanukovych and Yingluck. Based on this success, the Obama administration, with the twin harpy advocates of Obama’s so-called «Responsibility to Protect» policy, UN ambassador Samantha Power and National Security Adviser Susan Rice, at the helm, was more dangerous than ever. Venezuelan President Nicolas Maduro faced a dual CIA and Soros operation to destabilize Venezuela through street mob action, financial pressure, media propaganda, and attempts to convince Venezuelan military officers to stage a coup.

Media propaganda, channeling contrived news stories about financial collapse in Venezuela, are being facilitated by working relationships between such outlets as Bloomberg News and the Wall Street Journal and well-funded «think tanks», such as the Inter-American Dialogue rife with Council of Foreign Relations, Ford Foundation, neocon American Enterprise Institute, and Open Society Institute veterans on their board of directors and staff. Master currency manipulator and Wall Street bankers have conspired to devalue the Venezuelan bolivar, resulting in de facto boycotts of Venezuela by multinational corporations like Ford Motors and Toyota and resultant lay-offs in the auto industry and other private sector industries. Bringing international bank pressure on a targeted nation is a hallmark of the Obama Doctrine, as witnessed by the World Bank and European Union financial pressure on Ukraine prior to the coup against Yanukovych.

The same combination of political and economic pressure was brought against Thailand by the United States and its Trans-Pacific Partnership (TPP) allies of Australia, Canada, and New Zealand. It is clear that the United States is bent on restoring a new version of the old SEATO to counteract China, Russia, and their Shanghai Cooperation Organization (SCO). The old SEATO consisted of the United States, Britain, France, Australia, New Zealand, Thailand, the Philippines, and Pakistan. What the Obama administration appears intent on creating is a new Asian defense alliance to complement the North Atlantic Treaty Organization (NATO) and the European Union. The TPP is planned as an «Asian EU», which the United States seeks to dominate. The TPP consists of the United States, Canada, Australia, New Zealand, Japan, Malaysia, Brunei, Vietnam (South Vietnam was an observer member of the old SEATO), Mexico, Peru, and Chile. In addition, Laos, South Korea, and Taiwan were also observer members of SEATO. 

With the Philippines’ agreement on U.S. military bases, it appears likely that it will be the next country to join the TPP. But one holdout was Thailand. As a basis for any agreement to participate in the TPP, Yingluck demanded special guarantees for Thai farmers, a base of support for the Red Shirts. Washington and its trade allies refused and a decision was made in the ivory towers of Washington and Wall Street to depose the troublesome Yingluck and replace her with a government more to the liking of the Wall Street bankers and the Pentagon generals eager to restore SEATO as a centurion force for the «free traders» of the TPP.

Rather than seek to have Pakistan rejoin a Western-led Asian defense pact, the architects of a new anti-Chinese and anti-Russian SEATO hope to lure India into the fold. The Hindu nationalist Bharatiya Janata Party leader Narendra Modi is seen as more attuned to the wishes of the Western defense planners than is the Congress Party leader Rahul Gandhi, the grandson of Indira Gandhi. It was Indira Gandhi who viewed SEATO as an imperialist threat to Asia, thus prompting her to establish close relations with the Soviet Union. The Wall Street bankers and Pentagon war planners are not about to cast their lots with Rahul’s Congress Party.

After the ouster of the «2Ys» of Yanukovych and Yingluck, the Western war mongers and global bankers are in search of new prey. Venezuela and Cuba are now feeling the heat… South Africa, Brazil, Argentina, Indonesia, and other nations showing degrees of independence from the «New World Order» are clearly in the gun sights of the Obama Doctrine practitioners.

 

jeudi, 15 mai 2014

Syrië: Regering Obama wil alle macht overdragen aan Moslim Broederschap

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Syrië: Regering Obama wil alle macht overdragen aan Moslim Broederschap

Rechtstreekse steun Obama en Erdogan aan promotors Al-Qaeda en Sharia-islam

Er is nieuw bewijs geleverd van de nauwe banden tussen de Moslim Broederschap, de Syrische oppositie, Turkije en de Amerikaanse regering. De Syrische imam Bassam Estwani, de voormalige leider van de Dar al-Hijrah moskee -een notoire broedplaats voor terroristen- die in februari 2001 in het Huis van Afgevaardigden een gebed tot Allah mocht uitspreken, krijgt de volle politieke steun van machtige politici zoals voormalig president Bill Clinton, Hillary Clinton, oud voorzitter van het Huis van Afgevaardigden Dennis Hasters en Nancy Pelosi. Zij steunen Estwani, ondanks zijn vriendschap met Moslim-Broederschapleider annex Al-Qaeda- en Shariapromotor Ahmed Moaz al-Khatib Alhassani, die door de regering Obama is uitgekozen om Syrië te leiden na de beoogde val van president Assad.

Obama’s steun aan al-Khatib –die meerdere malen werd gearresteerd wegens opruiing- is des te schokkender, omdat de president daar slechts 2 maanden na de terreuraanval op het Amerikaanse consulaat in Benghazi (Libië, 11 september 2012) mee begon. Bij die aanval kwam onder andere ambassadeur Christopher Stevens om het leven. Al-Khatib werd expliciet naar voren geschoven door Robert Ford, de Amerikaanse ambassadeur in Syrië.

Westerse regeringen en massamedia (o.a. de Britse BBC, het Franse AFP) gaven Al-Khatib vervolgens een ‘softer’ en aanvaardbaarder gezicht. Groot Brittannië, Frankrijk, de VS en Turkije zijn allen NAVO-landen. Met de steun voor Al-Khatib en de opkomst van de Moslim Broederschap is echter slechts één lid gebaat: Turkije.

Muruna

Turkije ziet in Al-Khatib een belangrijke pion, omdat hij een Soefistische moslim is. Het Westen wordt de grote leugen voorgehouden dat de Soefi’s de kloof tussen de Soenitische en Shi’itische moslims kunnen overbruggen. Voor de Westerse microfoons en camera’s heeft Al-Khatib het over multiculturalisme, intergeloof-dialoog en het bouwen van bruggen.

Dit is echter allemaal onderdeel van zijn muruna, wat feitelijk hetzelfde is als taqiyya, namelijk liegen tegen de vijand om de islam te bevorderen. Voor zijn eigen publiek promoot Al-Khatib namelijk de racistische en onderdrukkende Sharia-islam. Al in 1981 veroordeelde hij de Syrische regering omdat die de verplichte hijab (hoofddoek) voor vrouwen afschafte.

Stealth Jihad voor herstel Ottomaans Rijk

De Soefistische moslims zien de Moslim Broederschap als instrument om het Ottomaanse Rijk te herstellen. Ook Al-Khatib en Estwani streven hiernaar. Hier een foto van beide heren in Caïro, toen Moslim Broederschap president Mohamed Mursi daar nog de scepter zwaaide (links), met daarnaast Estwani, jaren eerder in zijn eigen Dar al-Hijrah moskee, met naast hem niemand minder dan de extreem antisemitische Egyptische Broederschapleider Yusuf al-Qaradawi: 

Net als Qaradawi is Al-Khatib een virulente Jodenhater, die volgens hem de ‘vijanden van Allah’ zijn. De Shi’itische moslims noemde hij ‘afvalligen’, wat zijn in het Westen gecreëerde beeld als bruggenbouwer tegenspreekt. Op zijn Facebook prees hij de dood van 10.000 vrouwelijke martelaren, en tevens de arrestatie van net zoveel moslima-jihadisten, die na de val van Mursi dood en verderf zaaien in Egypte.

Op dezelfde Facebook pagina staat een link naar een Arabisch artikel waarin de geschiedenis van de Moslim Broederschap wordt besproken, de komst van de organisatie naar Syrië, en het gebruik van ‘moderne’ technieken -zoals de ‘stealth jihad’ die ook door Qaradawi en Estwani wordt toegepast- om de fundamentalistische islam over de hele wereld te verspreiden.

Erdogan en Al-Khatib delen zelfde droom

De Turkse premier Erdogan deelt dezelfde islamistische droom als Al-Khatib. Nadat president Mursi was afgezet huilde Erdogan openlijk op de nationale TV. In deze video is te zien hoe de Turken een propagandacampagne startten om de Egyptische Broederschap-terroristen af te schilderen als onschuldige moslims die enkel vanwege hun geloof worden geëxecuteerd, een verhaaltje dat door het links-liberale Westerse establishment maar al te graag werd overgenomen.

Hoewel Al-Khatib in maart 2013 terugtrad, wordt hij door zowel Amerikaanse politici als inlichtingendiensten nog steeds als een ideale kandidaat gezien om na de beoogde val van Assad Syrië (mede) te gaan leiden.

‘Liefdadige’ steun aan terreur

Al-Khatibs partner-in-crime Estwani zit bovendien in het bestuur van zowel de Syrian Emergency Task Force (SETF) als Mercy Without Borders (MWB), van belasting vrijgestelde organisaties die onder het mom van ‘liefdadigheid’ fondsen werven voor islamitische terreurgroepen. In datzelfde bestuur zit ook zijn goede vriend Rateb al-Nabulsi, eveneens een antisemiet die de jihad en zelfmoordaanslagen promoot. Desondanks kreeg hij van de regering Obama een visum om in heel de VS geld op te halen voor zijn extremistische doelstellingen.

Estwani en Al-Nablusi waren slechts enkele dagen voor de aanval in Benghazi aanwezig op de ‘Moslim- en Christelijke Perspectieven’ intergeloof-conferentie in Istanbul, waar ze een wandelingetje maakten met de Turkse minister van Buitenlandse Zaken Ahmet Davutoglu.

Ankara en Washington achter jihadisten

In maart 2013 hadden Estwani, Al-Khatib en SETF-directeur Mouaz Moustafa in Caïro een ontmoeting met wederom Davutoglu. De Turkse regering had Al-Khatib als de leider van de Syrische jihadisten (de ‘Syrische Nationale Coalitie’) naar voren hadden geschoven. Davutoglu ontkende echter dat hij daarover in november 2012 een geheime deal met de Syrische oppositie had gesloten (2).

Al-Khatib legde in maart 2013 zijn functie neer uit onvrede over de ontwikkelingen. Dat doet echter niets af van het feit dat de regering Obama en de regering Erdogan zowel politieke, diplomatieke als militaire steun verlenen aan radicale islamisten, die verklaarde vijanden zijn van het Westen – precies zoals de Broederschap, die zoals bekend ook door de EU wordt gesteund, al in 1991 in dit document expliciet stelde:

‘De Ikwhan (Moslim Broederschap) moet begrijpen dat hun werk in Amerika een vorm van grootste jihad is om de Westerse beschaving van binnenuit te elimineren en vernietigen, en hun miserabele systeem door hun eigen hand en de hand van de gelovigen te ‘saboteren’, zodat het uit de weg wordt geruimd, en Allahs religie alle andere religies overwint.’

Xander

(1) Shoebat
(2) Hurriyet
(3) Clinton Library

samedi, 10 mai 2014

La crise ukrainienne à travers le prisme stratégique américain

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La crise ukrainienne à travers le prisme stratégique américain

par Gabriel Galice, Président du GIPRI,* Genève

Ex: http://horizons-et-debats.ch

La vérité occidentale martelée veut que le président russe Vladimir Poutine entende reconstituer à la fois l’empire russe et l’Union soviétique.


Commis voyageur zélé, le président américain Barack Obama vint à Bruxelles proposer aux Européens de remplacer du gaz russe par du gaz états-unien, à l’heure où se prépare la grande affaire du Partenariat transatlantique sur le commerce et l’investissement entre l’Union européenne et les Etats-Unis d’Amérique (TTIP).


Tout cela n’est ni soudain, ni inattendu pour qui prend la peine de relire les meilleurs stratèges des Etats-Unis. Dès 1997, Zbigniew Brzezinski explique dans son maître livre, «Le grand échiquier – l’Amérique et le reste du monde» (actualisé dans «Le vrai choix» en 2004), pourquoi et comment contrôler l’Eurasie. «L’Eurasie reste l’échiquier sur lequel se déroule la lutte pour la primauté mondiale.» Né Polonais, successivement conseiller des présidents Carter et Obama, Brzezinski annonce que «le but de ce livre est de formuler une politique géostratégique cohérente pour l’Amérique sur le continent eurasien». Hypothèses et raisonnements sont d’une grande rigueur intellectuelle. L’Eurasie est centrale, l’Amérique doit y être présente pour dominer la planète, l’Europe est la tête de pont de la démocratie en Eurasie, l’OTAN et l’Union européenne doivent, de concert, étendre leur influence en Eurasie, les Etats-Unis doivent jouer simultanément l’Allemagne et la France (carte des zones d’influences respectives de ces deux pays à l’appui), alliées fidèles mais, de façon différente, remuantes et capricieuses. Cela sera laborieux: «Quoi que l’avenir nous réserve, on peut raisonnablement conclure que la primauté américaine sur le continent eurasien sera soumise à de fortes turbulences et même confrontée à des épisodes de violence.»


L’auteur repère cinq «acteurs géostratégiques»: la France, l’Allemagne, la Russie, la Chine et l’Inde, et cinq «pivots géopolitiques»: l’Ukraine, l’Azerbaïdjan, la Corée, la Turquie et l’Iran. Russie et Chine sont les deux limites à l’expansion projetée. «Exclure la Russie (de l’UE ou de l’OTAN) pourrait être lourd de conséquences – cela validerait les plus sombres prédictions russes –, mais la dilution de l’Union européenne ou de l’OTAN aurait des effets fortement déstabilisateurs.» «Le dilemme se résume à un choix entre équilibre tactique et dessein stratégique», estime l’Américain. Le «pivot géopolitique» ukrainien fait l’objet de longs développements: «Au cours de la période 2005–2010, l’Ukraine pourrait à son tour être en situation d’entamer des négociations en vue de rejoindre l’UE et l’OTAN.» Brzezinski suggère d’étendre à l’Ukraine le «triangle de Weimar», constitué en 1991 par la France, l’Allemagne et la Pologne pour en faire «la colonne vertébrale de la sécurité européenne». «Une question essentielle se pose, poursuit Brzezinski: ce scénario se déroulera-t-il dans un environnement apaisé ou dans un contexte de tension avec la Russie?»


Nous avons la réponse. Mais le défi lancé aux Russes s’encombre peu de subtilités: «Pour que le choix de l’Europe – et, en conséquence, de l’Amérique – se révèle fructueux, la Russie doit satisfaire à deux exigences: tout d’abord, rompre sans ambiguïté avec son passé impérial; ensuite, cesser ses tergiversations à propos de l’élargissement des liens politiques et militaires entre l’Europe et l’Amérique.» Bref, un désarmement unilatéral.


Benjamin Barber, ancien conseiller du président Clinton, complète utilement la vision états-unienne, dans une version plus modérée. Adversaire résolu du président George W. Bush et des néo-conservateurs, il oppose, dans son ouvrage «L’Empire de la peur» (2003), les «aigles», schématiques et brutaux, aux «chouettes», subtiles dans leur chasse entre chien et loup. Reste que les chouettes sont aussi des prédateurs. A la «guerre préventive», Barber préfère la «démocratie préventive», sans s’illusionner sur la «démocratie de marché» chère à certains démocrates: «Le désir de favoriser l’expansion de la démocratie forme une composante déterminante de la démocratie préventive comprise comme politique nationale de sécurité, mais on confond souvent ce soutien avec le désir tout aussi intense d’exporter le capitalisme et de cultiver les marchés mondiaux. [...] Dans le secteur international, l’âge des «robber barons» (barons voleurs) – appelons-les les banques prédatrices ou les spéculateurs hors-la-loi – est de retour.»


La teneur de l’accord d’association entre l’Ukraine et l’UE illustre largement la volonté prédatrice de s’emparer des richesses de l’Ukraine, moyennant quelques corruptions des nouvelles élites, au nom de «la concurrence libre et non faussée», de la «mobilité des travailleurs», de la «récupération ou du rapatriement des capitaux investis, de même qu’aux profits qui en découlent.» Le volet militaire n’est pas oublié: «Promouvoir une convergence graduelle en matière de politique étrangère et de défense.»
Serait-ce l’empire euro-américain?    •

*    GIPRI: L’«Institut international de recherches pour la paix à Genève» (en anglais «Geneva International Peace Research Institute», GIPRI) est une organisation non gouvernementale basée à Genève.

vendredi, 09 mai 2014

Obama prepares to smash BRICS

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Obama prepares to smash BRICS during his last few years in office

Wayne MADSEN

Ex: http://www.strategic-culture.org

 

The buildup of NATO air and ground forces along the borders of Russia in eastern Europe and President Barack Obama’s American power-influencing trip to Asia have a single purpose. The seen and unseen forces who dictate policy to their political puppets in Washington, London, Paris, Brussels, Berlin, and other vassal capital cities have decided to smash BRICS – the emergent financial power bloc encompassing Brazil, Russia, India, China, and South Africa. 

Bilateral and multilateral discussions among the five emerging economic powers aimed at decoupling BRICS economies from the U.S. dollar as a reserve and trading currency have met with the only power Washington can muster on behalf of itself and its foundering allies – military force. The problems between Ukraine and Russia over Crimea and federalism within Ukraine are a mask designed to cover Obama’s true intentions, which are the smashing of the BRICS as a viable alternative to the neo-colonialist financial systems of the West and subsuming the economies of the BRICS to the whims of the United States and the ever-teetering European Union.

The G-8, which suspended Russia from membership, and the World Trade Organization, of which Russia is now a member, never had a thing to do with free trade and common economic policies. These contrivances, formed in the back rooms by the bankers of the Trilateral Commissions and Bilderberg Group, were always about unipolar domination of the world by a single superpower. Since the end of World War II and the collapse of the once-dominant British Empire, that superpower has been the United States.

Not only are the BRICS countries shedding their dependency on the U.S. dollar as a trading and reserve currency, thus making the U.S. fiat currency backed by the manipulative practices of the U.S. Federal Reserve Bank, even more worthless than it already is, but Russia and China are already trading in the ruble and the yuan, their respective currencies.  There are plans for the embryonic Eurasian Economic Union, a counter to the bloated and corrupt European Union, to adopt a dollar- and euro-free monetary unit called the «altyn» by 2025. These plans have sent the Western globalists and bankers into nervous fits and, as a result, we see the buildup of U.S. and Western military forces on the Russian borders in Europe and in China’s waters in the Far East.

The neo-conservatives who dominate the policymaking apparatuses in Washington, London, Brussels, Paris, and Berlin have concocted a risky method to smash the BRICS. What U.S. intelligence and its Western counterparts are planning for the BRICS is the very same thing that the West accuses Russia of doing in Ukraine: financing separatist groups with the intent of peeling away at the national integrity of the BRICS nations. As far as Western intelligence agencies are concerned, the BRICS have two choices: remain committed to the BRICS as an alternative to Western domination and face the breakup of their nation-states or throw in the towel and agree to surrender themselves to the dictates of the Central Intelligence Agency, the centurions for Wall Street, and the «company’s» junior partners in London, Paris, and Berlin. 

As the G7 and EU tighten the sanctions screws on Russia, there is renewed talk about the status of the Russian Baltic enclave of Kaliningrad, a special economic zone of Russia nestled between two NATO countries, Poland and Lithuania. Kaliningrad, once part of Germany’s eastern province of East Prussia, is the home to Russia’s Baltic fleet. There are elements within Germany and NATO that would like to see Russia not only lose its Black Sea fleet headquarters in Crimea but its Baltic Sea fleet in Kaliningrad.

The Baltic Times, which adheres to the Radio Free Europe/Radio Liberty/George Soros/CIA line of thinking, has already published an article suggesting that NATO blockade Kaliningrad, or Konigsberg as it is increasingly being called in the Western propaganda media, unless Russia withdraws from Crimea. The following was published on the Baltic Times website on April 28: «Why not block Kaliningrad from the Baltic Sea and station troops around its entire border? This would cut off Kaliningrad from Russia giving NATO a strong card to play in demanding that the Crimea be returned to the Ukraine and to halt all Russian efforts to invade the east of the country». Al Jazeera, a «news» network dominated by the Muslim Brotherhood princely potentates if Qatar, put forth the notion that the West could seek the return of Kaliningrad to Germany by invalidating the ters of the Potsdam Agreement of 1945 signed between the leaders of the USSR, the United States, and Great Britain.

Kaliningrad is not the only part of the Russian Federation being eyed by NATO imperialists and their fellow travelers in countries like Finland and Turkey. The Finns are looking at Karelia, which it lost to the USSR after Finland allied with Nazi Germany. The pan-Turkic nationalists in Turkey are closely watching events in the Caucasus majority Muslim autonomous republics, as well as deep interior republics like Tatarstan and Bashkortostan. There is no doubt that pan-Turkic nationalists have long provided weapons and other support to Chechen, Dagestani, Ingush, and other Muslim terrorist groups operating in the Caucasus region of Russia.

Meanwhile, in Asia, it was no coincidence that Obama’s war dance through Japan, South Korea, the Philippines, and Malaysia was coupled with another Uighur Muslim terrorist attack in China’s majority Muslim Xinjiang-Uighur Autonomous Region. Uighur terrorists, who receive financing from the CIA and propaganda support from the Uighur service of Radio Free Asia, stabbed railway passengers at the train station in the region’s capital of Urumqi. The terrorists set off a bomb between the railway station and a bus stop, killing three and wounding at least 80. In March, a similar slashing attack at a rail station in Yunnan province in southern China killed 29. The Urumqi attack followed by a few hours the visit of President Xi Jinping to the Xinjiang region.

There is no doubt that the CIA, and Obama, who is merely a puppet, as were his mother, stepfather, and maternal grandparents, for the intelligence agency, are carrying out a scheme to break the backs of the BRICS members by supporting separatists and irredentists within each of the BRICS states. 

India, with its multitude of ethnic groups, religions, and languages, has always been a favorite target for CIA operations to support secessionists. CIA operations have concentrated on Sikhs in Punjab, Muslims in Kashmir, and Tamils in southern India.

In South Africa, the Cape Party, a new party, the funding for which is murky at beast, is demanding that the South African Western Cape province become the Cape Republic. The party has petitioned the United Nations’ Committee of 24 to declare the province a non-self-governing territory of South Africa, eligible for independence. If South African intelligence were to examine this party’s financing, the fingerprints of the CIA would be clearly identifiable. 

After U.S. relations with Brazil soured after revelations of U.S. National Security Agency spying on President Dilma Rousseff and senior Brazilian officials, there have been renewed calls for independence for three southern Brazilian states, Rio Grande do Sul, Santa Catarina, and Parana as the «Republic of the Pampas». The movement gained popularity among white Europeans in the three states in the early 1990s, particularly among descendants of German and Jewish immigrants holding racist views, but died off after true opposition leaders came to power in Brazil. However, with U.S. Brazilian relations at an all-time low and U.S. hostility toward BRICS, the secessionists are reappearing with new impetus.

By trying the smash BRICS, Washington and its lackeys are playing with fire. And, keeping in mind that Russia, China, and India are nuclear weapons powers, and Brazil is reportedly emerging as one, the West is playing «Russian roulette» with a nuclear trigger.

jeudi, 24 avril 2014

Jeugdvriendin: Leven Obama draaide om seks, leugens en cocaïne

Jeugdvriendin: Leven Obama draaide om seks, leugens en cocaïne

‘Obama noemde zichzelf een buitenlandse student en was een pathologische leugenaar’ – Larry Sinclair beleefde twee one-night-stands met Obama


'Barry Soetoro was een coke snuivende, crack rokende homo en een pathologische leugenaar.'

Volgens diverse personen die hem vroeger hebben gekend is Barack Hussein Obama één grote vervalsing. Dan hebben we het nog niet eens over de bewezen fraude met zijn geboortecertificaat, maar over zijn complete bestaan als man en gezinshoofd. Een voormalige jeugdvriendin van Obama is de volgende die een boekje opendoet over de eerste zwarte Amerikaanse president.  Zij zegt dat er drie dingen centraal stonden in Obama’s leven: cocaïne, leugens en homoseksuele vrienden. Ze is zeker niet de enige die Obama op deze wijze herinnert.

Hoewel, ‘Barack Obama’? De in 1963 geboren Mia Marie Pope kende hem enkel onder een naam die de afgelopen jaren al vaker de revue is gepasseerd: Barry Soetoro. Toen ze beiden op Hawaii woonden behoorden ze tot hetzelfde vriendenclubje.

Buitenlandse student en ‘pathologisch leugenaar’

Volgens Pope noemde Obama zich in die tijd zelf een ‘buitenlandse student’, en was het algemeen bekend dat hij in homokringen verkeerde. ‘Wij wisten van Barry dat hij zich nog nooit voor meisjes had geïnteresseerd. Voor mij als jonge meid was het duidelijk dat hij enkel in mannen was geïnteresseerd.’

Daarnaast herinnert ze Barry als een ‘pathologische leugenaar’. Zijn leugens waren allen ‘egoïstisch’ gemotiveerd en hadden als doel om mensen een totaal ander beeld van hem te geven. ‘Het leek erop dat hij in wat voor relatie dan ook niet eerlijk kon zijn,’ aldus Pope. Met andere woorden: de perfecte kwalificatie voor een toekomstige politicus.

In hun vriendenkring stond Barry behalve zijn cocaïnegebruik ook bekend vanwege zijn voorliefde voor ‘oudere blanke mannen’, die hem van coke voorzagen. ‘Hij had dus seks met deze oude mannen, en zo kwam hij aan zijn cocaïne.’

Obama als gezinsman is theater

Dat Obama homo zou zijn is wettelijk niet verboden, maar dat hij voor de ogen van de hele wereld een misleidend theaterspelletje opvoert dat hij een keurige heteroseksuele vader zou zijn, geeft zeer te denken. Feit is dat het leeuwendeel van de bevolking hetero is, en niet zo gauw op een homo zou stemmen – niet eens per se om discriminerende redenen, maar puur omdat zo iemand een totaal ander wereldbeeld heeft doordat hij of zij doorgaans geen kinderen en gezin heeft, en zich daar als politicus mogelijk minder voor zal willen inzetten.

Cocaïne, crack en twee one-night-stands

Pope is niet de eerste die Obama ervan beschuldigt zich anders voor te doen. Larry Sinclair schreef in 2009 in zijn boek ‘Barack Obama & Larry Sinclair: Cocaïne, Sex, Lies & Murder’ dat hij ooit eventjes de ‘lover’ was van de huidige president. Dat gebeurde in november 1999, toen Obama 38 jaar oud was.

Sinclair was toen voor zaken een paar dagen in Chicago, huurde een chauffeur en vroeg hem of hij iemand kende die wel zin had in bepaald gezelschap. De chauffeur pleegde een telefoontje en reed hem naar een bar. ‘Toen ik uit de limousine stapte, zag ik een smal gebouwde, keurig verzorgde, lichtzwarte man met grote oren staan. De bestuurder stelde hem voor als zijn ‘vriend Barack Obama’.’

Die naam zei Sinclair helemaal niets, ook al was Obama toen al lid van de Senaat van de staat Illinois. Ze dronken wat aan de bar, en toen Sinclair aan Obama vroeg of hij hem een of twee ‘lijntjes’ kon bezorgen, vroeg Obama of hij daarmee cocaïne bedoelde. ‘Nadat ik ja zei, antwoordde hij dat hij daar wel voor kon zorgen.’ Ze vertrokken met de limo, en Obama deed wat hij beloofde. Hij stuurde de chauffeur naar een onbekend adres, stapte uit, en toen hij terug kwam gaf hij Sinclair 3,5 gram coke.

Zelf pakte Obama een crackpijp uit zijn broekzak.’Obama rookte crack terwijl ik hem op de achterbank oraal bevredigde,’ aldus Sinclair. De volgende dag ontmoetten ze elkaar opnieuw voor drugs en seks.

Lastercampagne na confrontatie

Sinclair schreef dat hij tot 2004 geen benul had met wie hij destijds van doen had. ‘De meeste mensen zouden niet verwachten met iemand te feesten, drugs te gebruiken en een dubbele one-night-stand te hebben, en dan diezelfde persoon een paar jaar later op TV op de partijdag van de Democraten te zien spreken. Maar dat was precies wat mij overkwam.’

Pas toen Obama zich in 2007 kandidaat stelde voor het presidentschap, besloot Sinclair hem met zijn crack-verleden te confronteren. Daar kreeg hij al gauw spijt van, omdat er onmiddellijk een lastercampagne tegen hem werd opgestart, en hij onder grote druk werd gezet.

Drie homo’s voortijdig gestorven

Bovendien bleek een andere vroegere veronderstelde gaylover van Obama, Donald Young, onder mysterieuze omstandigheden om het leven te zijn gekomen. ‘Dat was een man die enkel stierf om Barack Obama’s image te beschermen,’ zei Sinclair. ‘Youngs vroege dood voorkwam dat de wereld Obama leerde kennen zoals hij is: een wc-homo.’ Naast Young bleken er nog minstens 2 anderen uit de homoscene in Chicago die contact met Obama zouden hebben gehad, plotseling te zijn gestorven.

Young was koordirigent in Obama’s toenmalige kerk. Hij en twee andere homoseksuele gemeenteleden kwamen eind 2007 onverwacht om het leven, zogenaamd door bloedvergiftiging, lontontsteking en AIDS. Volgens Young zijn zij echter geëxecuteerd. In een interview met The Globe beweerde ook Youngs moeder Norma Jean dat haar zoon was vermoord, zodat Obama’s homoseksuele verleden niet aan het daglicht zou komen.

In dienst van politieke tegenstanders?

Sceptici concludeerden natuurlijk dat Sinclair in opdracht van Obama’s politieke tegenstanders handelde. Het campagneteam van Hillary Clinton, die destijds met Obama om de presidentsnomimatie streed, zou aanvankelijk de onthullingen hebben willen gebruiken, maar dit niet hebben gedaan omdat Obama’s team terug dreigde te slaan met de bewering dat Hillary lesbisch zou zijn.

Waar of niet, Sinclairs in 2009 verschenen boek, waarin hij nauwkeurig beschrijft hoe Obama’s geslachtsdelen eruit zien, is nog steeds te koop, wat impliceert dat Sinclair in tenminste enkele opzichten de waarheid lijkt te hebben gesproken.


Xander

(1) KOPP

Zie ook o.a.:

06-03: Crisis Oekraïne: Is Obama zwak en naïef, of de critici die hem zo noemen?
14-02: 'Als Obama niet wordt gestopt, stort Amerika binnen 18 maanden in' (/ Zelfs Wall Street Journal noemt Obama 'wetteloos')
30-01: Obama zegt Congres te negeren; Eerste dictatuur VS een feit
26-01: Obama begonnen met uitschakelen politieke vijanden
10-01: Generaal en oud-vicestafchef: Moslim Broederschap in regering Obama