Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr
Nos dirigeants ne veulent pas que vous sachiez.
C’est un signe certain qu’un morceau de « science controversée » est en fait empiriquement exact quand notre élite marxiste culturelle tente désespérément de trouver une explication environnementale, aussi improbable soit-elle. Cela signifie que la preuve est si écrasante qu’on ne peut plus la nier, elle doit donc, d’une certaine manière, être due au comportement humain, et en particulier au comportement des humains privilégiés. Si c’est dû à la génétique, alors le déterminisme environnemental n’a aucun sens ; et c’est injuste, impensablement injuste. C’est ce qui s’est produit lorsque la preuve des différences raciales au niveau du QI est devenue indéniable. Et maintenant, cela se produit avec la preuve qu’en moyenne, nous devenons moins intelligents.
 Comme preuve que le QI des Noirs américains à un écart-type inférieur à celui des Blancs, des tentatives risibles ont été faites pour trouver une explication environnementale. « Les tests de QI sont injustes pour les Noirs », insistait-on, jusqu’à ce qu’il soit démontré que les Noirs s’en sortaient mieux sur les parties les moins culturelles du test, que les Asiatiques de l’Est obtiennent de meilleurs résultats que les Blancs et que les différences raciales se situent au niveau de l’intelligence générale, qui est fortement génétique. L’explication suivante était : « C’est en rapport avec la pauvreté des Noirs », jusqu’à ce qu’il soit démontré que la pauvreté est fortement génétique et que les enfants Noirs – adoptés par de riches couples blancs – finissaient par avoir à peu près le même QI que leurs parents biologiques [Race Differences in Intelligence, By Richard Lynn, 2015, Washington Summit]. Le plus drôle pour finir avec la « menace de stéréotype » – les Noirs s’en sortent plus mal dans les tests de QI parce qu’ils sont victimes de stéréotypes les desservant. Mais il a ensuite été démontré que, dans certains cas, l’inverse est vrai, la preuve est très incohérente et son sujet a un biais de publication étonnant (« An examination of stereotype threat effects on girls’ mathematics performance » By J. Ganley and others, Developmental Psychology, 2013).
Comme preuve que le QI des Noirs américains à un écart-type inférieur à celui des Blancs, des tentatives risibles ont été faites pour trouver une explication environnementale. « Les tests de QI sont injustes pour les Noirs », insistait-on, jusqu’à ce qu’il soit démontré que les Noirs s’en sortaient mieux sur les parties les moins culturelles du test, que les Asiatiques de l’Est obtiennent de meilleurs résultats que les Blancs et que les différences raciales se situent au niveau de l’intelligence générale, qui est fortement génétique. L’explication suivante était : « C’est en rapport avec la pauvreté des Noirs », jusqu’à ce qu’il soit démontré que la pauvreté est fortement génétique et que les enfants Noirs – adoptés par de riches couples blancs – finissaient par avoir à peu près le même QI que leurs parents biologiques [Race Differences in Intelligence, By Richard Lynn, 2015, Washington Summit]. Le plus drôle pour finir avec la « menace de stéréotype » – les Noirs s’en sortent plus mal dans les tests de QI parce qu’ils sont victimes de stéréotypes les desservant. Mais il a ensuite été démontré que, dans certains cas, l’inverse est vrai, la preuve est très incohérente et son sujet a un biais de publication étonnant (« An examination of stereotype threat effects on girls’ mathematics performance » By J. Ganley and others, Developmental Psychology, 2013).Le fléau du désespoir environnemental a maintenant atteint un important corpus de preuves que nous devenons moins intelligents. Connu sous le nom d’« effet Woodley » – d’après le nom du psychologue britannique Michael Woodley de Menie – ce qui s’est produit est maintenant très clair. Sur de nombreuses et solides corrélations sur des relations temps de réaction/intelligence, les parties les plus génétiques des tests de QI qui mesurent aussi au mieux l’intelligence, la discrimination des couleur, l’utilisation de mots difficiles, la capacité de compter à rebours, les niveaux de génie par nombre d’habitants et les innovations majeures, les niveaux de créativité et la fréquence dans la population des allèles associés à des niveaux d’éducation très élevés et à une intelligence élevée – les occidentaux deviennent de plus en plus stupides. En se basant sur le ralentissement des temps de réaction, nous avons perdu 15 points de QI en moyenne entre 1900 et l’an 2000 ; la différence entre un enseignant d’école primaire et un professeur d’université [At Our Wits’ End : Why We’re Becoming Less Intelligent and What It Means for the Future, Par Edward Dutton & Michael Woodley de Menie, Imprint Academic, 2018].
 La raison proposée par Woodley de Menie et son équipe est simple. En fait, elle a été conjecturée dès le XIXe siècle, car des gens comme Charles Darwin avaient prédit qu’il y aurait des « effets dysgéniques ».
La raison proposée par Woodley de Menie et son équipe est simple. En fait, elle a été conjecturée dès le XIXe siècle, car des gens comme Charles Darwin avaient prédit qu’il y aurait des « effets dysgéniques ».Darwin a écrit, cité par Lynn :
« Nous, les hommes civilisés, nous faisons tout notre possible pour contrôler le processus d’élimination ; nous construisons des asiles pour les imbéciles, les mutilés et les malades ; nous instituons de mauvaises lois ; et nos médecins exercent leurs plus grandes compétences pour sauver la vie de tout le monde jusqu’au dernier moment. C’est ainsi que les membres faibles des sociétés civilisées propagent leur être. Personne … ne doutera que cela sera très préjudiciable à la race humaine. » La filiation de l’homme, 1871
Jusqu’à la révolution industrielle, nous étions dans des conditions optimales en terme de sélection. Cela signifiait que les enfants des riches, avec leurs conditions supérieures, avaient plus de chances de survivre. En effet, d’après les testaments anglais du XVIIe siècle, dans 50% des testaments des plus riches, il y avait presque le double du nombre d’enfants survivants par rapport aux 50% les plus pauvres. La richesse et le niveau d’éducation sont prédits par l’intelligence, qui est à environ 80 % génétique, de sorte que nous sommes devenus de plus en plus intelligents jusqu’à la percée géniale de la révolution industrielle.
Cela a réduit la dureté de l’environnement pour les pauvres et a conduit à l’innovation de la contraception, qui était mieux utilisée par les moins impulsifs et donc les plus intelligents. Les familles nombreuses sont devenues un accident basé sur la stupidité et l’intelligence a commencé à décliner. Cette situation a été aggravée par l’immigration dysgénique du Tiers Monde, par des femmes plus intelligentes qui limitent leur fertilité pour poursuivre leur carrière, et par un État providence laxiste qui offre des incitatifs – sous forme d’allocations familiales – aux femmes à faible QI pour qu’elles se reproduisent [At Our Wits’ End, Dutton & Woodley of Menie].
Mais des spectres hantent cette théorie simple et fondée sur des preuves. L’une d’entre elles est une scientifique galloise, Barbara Demeneix (née Jenkins), qui dirige un laboratoire au Muséum d’histoire naturelle de Paris. Tant qu’elle dit aux médias dominants ce qu’ils veulent entendre, elle n’a aucun problème pour diffuser son message, par exemple comme dans son livre Losing Our Minds : How Environmental Pollution Impairs Human Intelligence and Mental Health, (Perdre la tête : Comment la pollution de l’environnement nuit à l’intelligence humaine et à la santé mentale), publié en 2014 par Oxford University Press, ou dans son livre suivant Toxic Cocktail : How Chemical Pollution Is Poisoning Our Brains [2017], (Toxic Cocktail : Comment la pollution chimique empoisonne notre cerveau) ou un documentaire de 2017 sur la chaîne française Arte sur le déclin du QI [Are people becoming dumber ? (Les gens deviennent-ils plus bêtes ?), Sputnik News, 10 décembre 2017] qui a interviewé un partisan de la théorie dysgénique, mais a coupé tout ce qu’il avait à dire à ce sujet, et n’a rapporté que le point de vue de Demeneix.
 Essentiellement, Demeneix prétend que le déclin de l’intelligence est causé par les neurotoxines trouvées dans le plastique et d’autres matériaux industriels auxquels les gens, et donc les bébés à naître, sont de plus en plus exposés. Ces derniers agissent apparemment comme des « perturbateurs endocriniens » qui modifient l’expression des gènes et réduisent ainsi l’intelligence.
Essentiellement, Demeneix prétend que le déclin de l’intelligence est causé par les neurotoxines trouvées dans le plastique et d’autres matériaux industriels auxquels les gens, et donc les bébés à naître, sont de plus en plus exposés. Ces derniers agissent apparemment comme des « perturbateurs endocriniens » qui modifient l’expression des gènes et réduisent ainsi l’intelligence.Woodley et son équipe ont créé un modèle informatique pour tester la théorie de la neurotoxine par rapport à la leur. Ils ont retracé dans quelle mesure les neurotoxines avaient augmenté au fil du temps et l’ont comparée à l’influence de l’immigration et de la fertilité dysgénique au fil du temps. Ces facteurs correspondaient au modèle qui illustrait la façon dont l’intelligence avait diminué au fil du temps. La neurotoxine accumulée ne correspondait pas du tout au modèle. En d’autres termes, d’un point de vue scientifique, la théorie de la neurotoxine est assez…. toxique.
L’autre spectre : une paire de Norvégiens qui soutient que toute la baisse du QI présentée dans les méta-analyses sur la baisse du QI peut s’expliquer par des facteurs environnementaux, parce que les jeunes frères conscrits norvégiens, les conscrits étant la base de ces tests, ont tendance à obtenir un score inférieur à celui de leurs frères plus âgés [The Flynn Effect and its Reversal Are Environmentally Caused, (L’effet Flynn et son inversion sont causés par l’environnement), par Brent Bratsberg & Ole Rogeberg, PNAS, 2018].
Cette méthode souffre de problèmes évidents. Les méta-analyses de la baisse du QI n’ont fourni que des estimations, ce qui signifie que la baisse pourrait être considérablement plus importante. De plus, ils ne testent pas si le déclin concerne les aspects génétiques de l’intelligence – ce qui s’est avéré être le cas dans les pays où cette information est disponible [The Negative Flynn Effect : A Systematic Literature Review, par Edward Dutton et autres, Intelligence, 2016]. Les diminutions intergénérationnelles réelles de la fréquence des allèles associés à un niveau d’éducation très élevé (et donc un QI élevé) ont été trouvées par exemple en Islande [Sélection contre les variantes du génome associées au niveau d’éducation, par Augustine Kong et autres, PNAS, 2017]. En conséquence, la baisse du QI est presque certainement liée à des aspects génétiques en Norvège aussi, ce qui signifie que le résultat obtenu est une sorte de faux positif, provoqué par les chercheurs imposant beaucoup de contrôles complexes et abscons sur leurs données.
À mesure que les preuves du déclin de l’intelligence deviennent plus largement connues, on peut s’attendre à des tentatives de plus en plus désespérées et élaborées pour persuader les gens que tout cela est dû à l’environnement et que le déclin de la civilisation peut être arrêté si seulement nous cessons d’utiliser des téléphones intelligents, de boire de l’alcool, de manger de la viande, et surtout cessons de penser mal…
Absolument tout pour éviter d’admettre que certaines personnes sont génétiquement plus intelligentes que d’autres et que ces personnes restent sans enfants alors que des indigènes moins intelligents sont encouragés à se reproduire et que les personnes provenant de pays à faible QI sont importées pour faire de même.
Lance Welton est un nom de plume pour un journaliste freelance vivant à New York.
Note du traducteur
Ce sujet très sensible doit être contrebalancé avec le fait qu'il existe différentes formes d'intelligence. Celle dont parle l'article est celle privilégiée par l'élaboration de notre société du technologisme, conçue par l'Occident pour les Occidentaux il y a déjà quelques siècles, à une époque ou le multiculturalisme n'existait que dans le cerveaux de quelques « philosophes ».


 
 

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 Esiste un libro “speciale” in Italia dal titolo UNISEX e con sottotitolo “Cancellare l’identità sessuale: la nuova arma della manipolazione globale” pubblicato da Arianna Editrice. Gli autori sono la giornalista Enrica Perucchietti e lo scrittore Gianluca Marletta.
Esiste un libro “speciale” in Italia dal titolo UNISEX e con sottotitolo “Cancellare l’identità sessuale: la nuova arma della manipolazione globale” pubblicato da Arianna Editrice. Gli autori sono la giornalista Enrica Perucchietti e lo scrittore Gianluca Marletta.
 As Peter Thiel argues persuasively in
As Peter Thiel argues persuasively in Of course workers who are replaced by machines can’t be allowed to starve. The products of machines have to be consumed by someone. Production can be automated but consumption cannot. It would be an absurdist dystopia if mechanization led to the starvation of workers, so consumption had to be automated as well. One set of robots would produce things, then another set of robots would consume them and add zeroes to the bank balances of a few lonely plutocrats.
Of course workers who are replaced by machines can’t be allowed to starve. The products of machines have to be consumed by someone. Production can be automated but consumption cannot. It would be an absurdist dystopia if mechanization led to the starvation of workers, so consumption had to be automated as well. One set of robots would produce things, then another set of robots would consume them and add zeroes to the bank balances of a few lonely plutocrats.
 Soixante-dix ans après sa mort, Georges Bernanos fait toujours l’objet d’interprétations intéressées. Certaines se focalisent sur le romancier et ignorent l’essayiste et le polémiste. D’autres, au contraire, valorisent le pamphlétaire et écartent son œuvre romanesque. Thomas Renaud a le mérite de montrer que ces deux facettes forment un seul ensemble de manière irrécupérable. « Complexe et torturé, dans la mesure où il n’a jamais voulu faire taire les appels de son âme, Bernanos a porté avec lui les violents paradoxes de la nature humaine, sans que ne soient jamais trahies ses plus profondes convictions. Catholique, royaliste, anti-démocrate, anti-clérical et anti-moderne, ennemi des bourgeois et partisan des petits jusqu’à la mauvaise foi, il demeura tout cela à la fois, depuis son adolescence jusqu’à son dernier souffle. D’un côté, les “ droitards ” se fourvoient en dénonçant en lui un traître passé à gauche, de l’autre, certains néo-bernanosiens se trompent également en occultant l’admiratif disciple de Drumont, le militant de rue de l’Action française, le solide soldat des tranchées et le chrétien intégral (p. 114). »
Soixante-dix ans après sa mort, Georges Bernanos fait toujours l’objet d’interprétations intéressées. Certaines se focalisent sur le romancier et ignorent l’essayiste et le polémiste. D’autres, au contraire, valorisent le pamphlétaire et écartent son œuvre romanesque. Thomas Renaud a le mérite de montrer que ces deux facettes forment un seul ensemble de manière irrécupérable. « Complexe et torturé, dans la mesure où il n’a jamais voulu faire taire les appels de son âme, Bernanos a porté avec lui les violents paradoxes de la nature humaine, sans que ne soient jamais trahies ses plus profondes convictions. Catholique, royaliste, anti-démocrate, anti-clérical et anti-moderne, ennemi des bourgeois et partisan des petits jusqu’à la mauvaise foi, il demeura tout cela à la fois, depuis son adolescence jusqu’à son dernier souffle. D’un côté, les “ droitards ” se fourvoient en dénonçant en lui un traître passé à gauche, de l’autre, certains néo-bernanosiens se trompent également en occultant l’admiratif disciple de Drumont, le militant de rue de l’Action française, le solide soldat des tranchées et le chrétien intégral (p. 114). » Du fait des impératifs du volume, l’auteur s’intéresse à la vie de Georges Bernanos, quitte à reléguer au second plan sa vision politique. Elle demeure cependant bien présente pour expliquer les prises de position virulentes d’un fervent chrétien inquiet de l’avenir de la foi et des fidèles. Attention au contre-sens ! Bernanos se moque du sort des États modernes. Ce catholique a compris que la modernité est en perdition, elle est la perdition et correspond à la Chute de l’Homme adamique. D’où la démarche de son biographe. « Il nous semblait préférable de présenter aux lecteurs qui le connaissaient mal un Bernanos vivant, sans l’habituelle hémiplégie intellectuelle des lecteurs “ de droite ” et “ de gauche ”. Sébastien Lapaque a fait beaucoup pour rendre ce Bernanos “ en bloc ” que trop de critiques avaient divisé. Cette petite biographie doit ouvrir largement sur l’œuvre et permettre une belle amitié avec un auteur particulièrement attachant, qui n’a jamais souhaité jouer la comédie (1). »
Du fait des impératifs du volume, l’auteur s’intéresse à la vie de Georges Bernanos, quitte à reléguer au second plan sa vision politique. Elle demeure cependant bien présente pour expliquer les prises de position virulentes d’un fervent chrétien inquiet de l’avenir de la foi et des fidèles. Attention au contre-sens ! Bernanos se moque du sort des États modernes. Ce catholique a compris que la modernité est en perdition, elle est la perdition et correspond à la Chute de l’Homme adamique. D’où la démarche de son biographe. « Il nous semblait préférable de présenter aux lecteurs qui le connaissaient mal un Bernanos vivant, sans l’habituelle hémiplégie intellectuelle des lecteurs “ de droite ” et “ de gauche ”. Sébastien Lapaque a fait beaucoup pour rendre ce Bernanos “ en bloc ” que trop de critiques avaient divisé. Cette petite biographie doit ouvrir largement sur l’œuvre et permettre une belle amitié avec un auteur particulièrement attachant, qui n’a jamais souhaité jouer la comédie (1). »
 Les mystères de l’Eurasie sont désormais disponibles en français grâce aux excellentes éditions Ars Magna dans la collection « Heartland » (2018, 415 p. 30 €). L’ouvrage accorde une très large place au symbolisme, à l’étude des runes russes, à l’eschatologie chrétienne orthodoxe et à l’ésotérisme. Cependant, politique et géopolitique ne sont jamais loin chez Alexandre Douguine qui, dès cette époque, rejoint un néo-eurasisme balbutiant. Ne voit-il pas en « Gengis Khan, le restaurateur de l’Empire eurasien (p. 142) » ? En se fondant sur les recherches des traditionalistes Guénon, Evola et Georgel, il explique que « la Sibérie est toujours restée cachée, inconnue et mystérieuse à travers l’histoire, comme si elle était sous la protection d’une force spéciale du destin, d’un archange inconnu (p. 134) ».
Les mystères de l’Eurasie sont désormais disponibles en français grâce aux excellentes éditions Ars Magna dans la collection « Heartland » (2018, 415 p. 30 €). L’ouvrage accorde une très large place au symbolisme, à l’étude des runes russes, à l’eschatologie chrétienne orthodoxe et à l’ésotérisme. Cependant, politique et géopolitique ne sont jamais loin chez Alexandre Douguine qui, dès cette époque, rejoint un néo-eurasisme balbutiant. Ne voit-il pas en « Gengis Khan, le restaurateur de l’Empire eurasien (p. 142) » ? En se fondant sur les recherches des traditionalistes Guénon, Evola et Georgel, il explique que « la Sibérie est toujours restée cachée, inconnue et mystérieuse à travers l’histoire, comme si elle était sous la protection d’une force spéciale du destin, d’un archange inconnu (p. 134) ».




 Negli anni Sessanta, in qualità di giovanissimo militante della Giovane Europa, l’organizzazione da lui diretta, ebbi modo di vederlo diverse volte. Lo conobbi a Parma, nel 1964, accanto a un monumento che colpì in maniera particolare la sua sensibilità di “eurafricano”: quello di Vittorio Bottego, l’esploratore del corso del Giuba.  Poi lo incontrai in occasione di alcune riunioni della Giovane Europa e in un campeggio sulle Alpi. Nel 1967, alla vigilia dell’aggressione sionista contro l’Egitto e la Siria, fui presente a un’affollata conferenza che egli tenne in una sala di Bologna, dove spiegò perché l’Europa doveva schierarsi a fianco del mondo arabo e contro l’entità sionista. Nel 1968, a Ferrara, partecipai a un convegno di dirigenti della Giovane Europa, nel corso del quale Thiriart sviluppò a tutto campo la linea antimperialista: “Qui in Europa, la sola leva antiamericana è e resterà un nazionalismo europeo ‘di sinistra’ (…) Quello che voglio dire è che all’Europa sarà necessario un nazionalismo di carattere popolare (…) Un nazionalcomunismo europeo avrebbe sollevato un’ondata enorme di entusiasmo. (…) Guevara ha detto che sono necessari molti Vietnam; e aveva ragione. Bisogna trasformare la Palestina in un nuovo Vietnam”. Fu l’ultimo suo discorso che ebbi modo di ascoltare.
Negli anni Sessanta, in qualità di giovanissimo militante della Giovane Europa, l’organizzazione da lui diretta, ebbi modo di vederlo diverse volte. Lo conobbi a Parma, nel 1964, accanto a un monumento che colpì in maniera particolare la sua sensibilità di “eurafricano”: quello di Vittorio Bottego, l’esploratore del corso del Giuba.  Poi lo incontrai in occasione di alcune riunioni della Giovane Europa e in un campeggio sulle Alpi. Nel 1967, alla vigilia dell’aggressione sionista contro l’Egitto e la Siria, fui presente a un’affollata conferenza che egli tenne in una sala di Bologna, dove spiegò perché l’Europa doveva schierarsi a fianco del mondo arabo e contro l’entità sionista. Nel 1968, a Ferrara, partecipai a un convegno di dirigenti della Giovane Europa, nel corso del quale Thiriart sviluppò a tutto campo la linea antimperialista: “Qui in Europa, la sola leva antiamericana è e resterà un nazionalismo europeo ‘di sinistra’ (…) Quello che voglio dire è che all’Europa sarà necessario un nazionalismo di carattere popolare (…) Un nazionalcomunismo europeo avrebbe sollevato un’ondata enorme di entusiasmo. (…) Guevara ha detto che sono necessari molti Vietnam; e aveva ragione. Bisogna trasformare la Palestina in un nuovo Vietnam”. Fu l’ultimo suo discorso che ebbi modo di ascoltare. All’inizio degli anni Ottanta, Thiriart lavora a un libro che non ha mai visto la luce: L’Empire euro-soviétique de Vladivostok à Dublin. Il piano dell’opera prevede quindici capitoli, ciascuno dei quali si articola in numerosi paragrafi. Come appare evidente dal titolo di quest’opera, la posizione di Thiriart nei confronti dell’Unione Sovietica è notevolmente cambiata. Abbandonata la vecchia parola d’ordine “Né Mosca né Washington”, Thiriart assume ora una posizione che potrebbe essere riassunta così: “Con Mosca contro Washington”. Già tredici anni prima, d’altronde, in un articolo intitolato Prague, l’URSS et l’Europe (“La Nation Européenne”, n. 29, novembre 1968), denunciando gli intrighi sionisti nella cosiddetta “primavera di Praga”, Thiriart aveva espresso una certa soddisfazione per l’intervento sovietico e aveva cominciato a delineare una “strategia dell’attenzione” nei confronti dell’URSS. “Un’Europa occidentale NON AMERICANA – aveva scritto – permetterebbe all’Unione Sovietica di svolgere un ruolo quasi antagonista degli USA. Un’Europa occidentale alleata, o un’Europa occidentale AGGREGATA all’URSS sarebbe la fine dell’imperialismo americano (…) Se i Russi vogliono staccare gli Europei dall’America – e a lungo termine essi devono necessariamente lavorare per questo scopo – bisogna che ci offrano, in cambio della SCHIAVITU’ DORATA americana, la possibilità di costruire un’entità politica europea. Se la temono, il modo migliore di scongiurarla consiste nell’integrarvisi”.
All’inizio degli anni Ottanta, Thiriart lavora a un libro che non ha mai visto la luce: L’Empire euro-soviétique de Vladivostok à Dublin. Il piano dell’opera prevede quindici capitoli, ciascuno dei quali si articola in numerosi paragrafi. Come appare evidente dal titolo di quest’opera, la posizione di Thiriart nei confronti dell’Unione Sovietica è notevolmente cambiata. Abbandonata la vecchia parola d’ordine “Né Mosca né Washington”, Thiriart assume ora una posizione che potrebbe essere riassunta così: “Con Mosca contro Washington”. Già tredici anni prima, d’altronde, in un articolo intitolato Prague, l’URSS et l’Europe (“La Nation Européenne”, n. 29, novembre 1968), denunciando gli intrighi sionisti nella cosiddetta “primavera di Praga”, Thiriart aveva espresso una certa soddisfazione per l’intervento sovietico e aveva cominciato a delineare una “strategia dell’attenzione” nei confronti dell’URSS. “Un’Europa occidentale NON AMERICANA – aveva scritto – permetterebbe all’Unione Sovietica di svolgere un ruolo quasi antagonista degli USA. Un’Europa occidentale alleata, o un’Europa occidentale AGGREGATA all’URSS sarebbe la fine dell’imperialismo americano (…) Se i Russi vogliono staccare gli Europei dall’America – e a lungo termine essi devono necessariamente lavorare per questo scopo – bisogna che ci offrano, in cambio della SCHIAVITU’ DORATA americana, la possibilità di costruire un’entità politica europea. Se la temono, il modo migliore di scongiurarla consiste nell’integrarvisi”. Apparso nel 1964 in lingua francese, nel giro di due anni Un Empire de 400 millions d’hommes: l’Europe vide la luce in altre sei lingue europee. La traduzione italiana venne eseguita da Massimo Costanzo, (all’epoca redattore di “Europa Combattente”, organo italofono della Giovane Europa), il quale presentò l’opera con queste parole: “Il libro di Jean Thiriart è destinato a suscitare, per la sua profondità e per la sua chiarezza, un forte interesse. Ma da dove deriva questa chiarezza? Da un fatto molto semplice: l’autore ha usato un linguaggio essenzialmente politico, lontano dai fumi dell’ideologia e dalle costruzioni astratte o pseudometafisiche. Dopo una lettura attenta, nel libro si possono anche trovare impostazioni ideologiche, ma queste traspaiono dalle tesi politiche e non il contrario, come fino ad oggi è avvenuto nel campo nazionaleuropeo”. Nonostante le riserve che alcune “impostazioni ideologiche” dell’Autore (eurocentrismo, razionalismo, giacobinismo ecc.) potranno suscitare, il lettore di questa seconda edizione italiana probabilmente concorderà con quanto scriveva Massimo Costanzo quarant’anni or sono; anzi, si renderà conto che questo libro, senza dubbio il più famoso dei testi redatti da Thiriart
Apparso nel 1964 in lingua francese, nel giro di due anni Un Empire de 400 millions d’hommes: l’Europe vide la luce in altre sei lingue europee. La traduzione italiana venne eseguita da Massimo Costanzo, (all’epoca redattore di “Europa Combattente”, organo italofono della Giovane Europa), il quale presentò l’opera con queste parole: “Il libro di Jean Thiriart è destinato a suscitare, per la sua profondità e per la sua chiarezza, un forte interesse. Ma da dove deriva questa chiarezza? Da un fatto molto semplice: l’autore ha usato un linguaggio essenzialmente politico, lontano dai fumi dell’ideologia e dalle costruzioni astratte o pseudometafisiche. Dopo una lettura attenta, nel libro si possono anche trovare impostazioni ideologiche, ma queste traspaiono dalle tesi politiche e non il contrario, come fino ad oggi è avvenuto nel campo nazionaleuropeo”. Nonostante le riserve che alcune “impostazioni ideologiche” dell’Autore (eurocentrismo, razionalismo, giacobinismo ecc.) potranno suscitare, il lettore di questa seconda edizione italiana probabilmente concorderà con quanto scriveva Massimo Costanzo quarant’anni or sono; anzi, si renderà conto che questo libro, senza dubbio il più famoso dei testi redatti da Thiriart
 Truyens considera que la elección de Emmanuel Macron es, sin duda, un efecto de la estrategia popperiana de Georges Soros. Macron no tenía un partido detrás, sino un movimiento de muy reciente constitución, puesto en marcha rápidamente según las tácticas aprobadas por la fundación que Soros había aplicado en otras partes del mundo. Tanto si Soros ha financiado como si no el movimiento “En marcha” de Macron, la política de éste, como la de Merkel y otros supuestos “líderes” europeos sigue una lógica Popper-sorosiana de disolución de los pueblos, sociedades y Estados en mayor medida que la lógica sesentayochista derivada de la Escuela de Frankfurt, instrumento que ahora consideran inadecuado porque podría tener los efectos contrarios a los esperados.
Truyens considera que la elección de Emmanuel Macron es, sin duda, un efecto de la estrategia popperiana de Georges Soros. Macron no tenía un partido detrás, sino un movimiento de muy reciente constitución, puesto en marcha rápidamente según las tácticas aprobadas por la fundación que Soros había aplicado en otras partes del mundo. Tanto si Soros ha financiado como si no el movimiento “En marcha” de Macron, la política de éste, como la de Merkel y otros supuestos “líderes” europeos sigue una lógica Popper-sorosiana de disolución de los pueblos, sociedades y Estados en mayor medida que la lógica sesentayochista derivada de la Escuela de Frankfurt, instrumento que ahora consideran inadecuado porque podría tener los efectos contrarios a los esperados.













 Les auteurs ne cachent pas, du reste, les réserves que peuvent leur inspirer ce plan de travail, qui est celui de l’éducation nationale, mais ils ont choisi d’en montrer les éventuelles limites de l’intérieur. Le déploiement de ce modèle classique d’exposition de la philosophie a le mérite de susciter des échos chez tous les lecteurs, avancés ou moins avancés, de thèmes philosophiques. Il montre aussi qu’il est possible d’entrer dans la philosophie par différentes portes. C’est pourquoi Alain Renaut précise à juste titre qu’il n’est aucunement indispensable de lire ce livre dans l’ordre des parties et des chapitres. Nous ne sommes donc ni face à un manuel scolaire/universitaire à proprement parler, ni face à un anti-manuel, ce qui serait bien prétentieux, et une vaine coquetterie.
Les auteurs ne cachent pas, du reste, les réserves que peuvent leur inspirer ce plan de travail, qui est celui de l’éducation nationale, mais ils ont choisi d’en montrer les éventuelles limites de l’intérieur. Le déploiement de ce modèle classique d’exposition de la philosophie a le mérite de susciter des échos chez tous les lecteurs, avancés ou moins avancés, de thèmes philosophiques. Il montre aussi qu’il est possible d’entrer dans la philosophie par différentes portes. C’est pourquoi Alain Renaut précise à juste titre qu’il n’est aucunement indispensable de lire ce livre dans l’ordre des parties et des chapitres. Nous ne sommes donc ni face à un manuel scolaire/universitaire à proprement parler, ni face à un anti-manuel, ce qui serait bien prétentieux, et une vaine coquetterie.

 En tant que théologien et philosophe, il est bien conscient de l’importance de la nécessité pour la société de légitimer religieusement son autorité séculière, d’offrir à son peuple un bouclier contre la terreur et les craintes multiples de la vie par un mythe protecteur qui a été utilisé avec succès par les États-Unis pour terroriser les autres, de montrer comment les termes selon lesquels les États-Unis sont légitimés comme « nation choisie » par Dieu et les Américains comme « peuple élu » par Dieu ont évolué au fil du temps, à la lumière de l’avancée des processus de sécularisation et de pluralisme qui se sont développés. Les noms ont changé, mais la signification est la même. Dieu est de notre côté, et quand c’est ainsi, l’autre côté est maudit et peut être tué par le peuple de Dieu, qui se bat toujours contre le Diable.
En tant que théologien et philosophe, il est bien conscient de l’importance de la nécessité pour la société de légitimer religieusement son autorité séculière, d’offrir à son peuple un bouclier contre la terreur et les craintes multiples de la vie par un mythe protecteur qui a été utilisé avec succès par les États-Unis pour terroriser les autres, de montrer comment les termes selon lesquels les États-Unis sont légitimés comme « nation choisie » par Dieu et les Américains comme « peuple élu » par Dieu ont évolué au fil du temps, à la lumière de l’avancée des processus de sécularisation et de pluralisme qui se sont développés. Les noms ont changé, mais la signification est la même. Dieu est de notre côté, et quand c’est ainsi, l’autre côté est maudit et peut être tué par le peuple de Dieu, qui se bat toujours contre le Diable.



