Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 24 août 2013

Il lupo grigio al bivio

Il lupo grigio al bivio

 Il lupo grigio al bivio

SOMMARIO

Editoriale 

C. Mutti, Il lupo grigio al bivio

Geofilosofia

Aristotele, Popolazione e territorio della polis ideale

Dossario – Il lupo grigio al bivio

Aldo Braccio, La Repubblica turca a dieci anni dal centenario

Tancrède Josseran, È duro essere turchi

Davide Ragnolini, Il pensiero geopolitico del Giano turco

Mahdi Darius Nazemroaya, Neoottomanismo e teoria del sistema mondiale

Francesca Manenti, Turchia e Stati Uniti: evoluzione di un’alleanza

Alessandro Lattanzio, Le Forze Armate turche

Federico Donelli, La strategia energetica turca guarda verso il Kurdistan

Giuseppe Cappelluti, La Turchia e il Kazakhstan

Augusto Sinagra, La Repubblica Turca di Cipro del Nord

Lorenzo Salimbeni, Il grande malato

Emanuela Locci Atatürk, e la massoneria

Continenti

Carlo Fanti, Air Sea Battle

Ye Feng, L’esercito cinese: una forza di pace

Andrea Fais, Il ruolo della Bielorussia nel mondo multipolare

Giacomo Gabellini, L’offensiva di Tel Aviv

Documenti

La “Rivoluzione Democratica Nazionale” del Partito dei Lavoratori di Turchia

Jean Thiriart, Criminale nocività del piccolo nazionalismo: Sud Tirolo e Cipro

Interviste

La Turchia vista da Budapest. Intervista a Gábor Vona

Intervista all’ambasciatore tedesco in Italia

Recensioni

Nilüfer Göle, L’Islam e l’Europa. Interpenetrazioni (C. Mutti)

Carlo Frappi, Azerbaigian. Crocevia del Caucaso (C. Mutti)

Giovanni Bensi, Le religioni dell’Azerbaigian (C. Mutti)

Gamal Abd el-Nasser, La filosofia della rivoluzione (D. Ragnolini)

Imam ‘Alî ibn Abî Tâlib, Lettera a Mâlik al-Ashtar. Il governo dal punto di vista islamico (E. Galoppini)

Marco Di Branco, Storie arabe di Greci e di Romani. La Grecia e Roma nella storiografia arabo-islamica medievale (C. Mutti)

Fabio Vender, Kant, Schmitt e la guerra preventiva (D. Ragnolini)

  Ecco di seguito l’elenco degli articoli presenti in questo numero, con un breve riassunto per ciascuno di essi.

mercredi, 03 juillet 2013

Un socialisme identitaire ?...

Un socialisme identitaire ?...

La revue Réfléchir et Agir publie dans son dernier numéro (n°44 - été 2013), disponible en kiosque, un dossier sur le socialisme identitaire...

 

Réfléchir et agir 44.jpg

Au sommaire :

Médias

Mc Luhan, le prophète de la modernité


Dossier : Face à la gauche et à la droite du capital, notre socialisme identitaire

Renouons avec notre socialisme

Notre tradition anticapitaliste et sociale

Le capitalisme, un génocide culturel

Entretien avec Pierre Jovanovic

Entretien avec Roberto Fiorini

Comment la gauche a trahi le monde du travail

Débat : peut-on encore se dire socialiste ?

Autour de quelques axes de travail


Entretien

Gérard de Villiers

 

Hommage

Dominique Venner

 

Réflexion

Giorgio Locchi, le mythe surhumaniste

 

Littérature

Giono, l'expèrience du Contadour

 

Un livre est un fusil

Jean-Yves Le Gallou : la tyrannie médiatique

 

Cinéma

Jess Franco, l'Ed Wood du bis européen

 

Art

Quand Marinetti et les siens écrivaient le futur

00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, socialisme, socialisme identitaire | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

mardi, 02 juillet 2013

Rome, ville éternelle...

aigle-imperial-empire.png

Rome, ville éternelle...

La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 67, juillet - août 2013). Avec la mort de Dominique Venner, c'est Philippe Conrad qui reprend le flambeau et assure la direction de la revue.

Le numéro s'ouvre, bien évidemment, par l'hommage que rendent à Dominique Venner de nombreux écrivains, historiens et journalistes.

Le dossier central est consacré à Rome. On peut y lire, notamment,  des articles de Philippe Conrad ("Aux origines de l'Urbs, de la légende à l'histoire"), de Jean-Louis Voisin ("L'héritage de Rome"), de Dominique Venner ("Comment l'Empire est devenu chrétien"), de Bernard Fontaine ("La papauté romaine au Moyen Âge"), de Jean-Joël Brégeon ("La Rome de la Renaissance", "1527 : le sac de Rome"), de Martin Benoist ("La papauté face au défi de l'unité italienne"), de Michel Ostenc ("La Rome de Mussolini") et de Philippe d'Hugues ("De Rome à Cinecitta") ainsi que des entretiens avec Yann Le Bohec ("Le miracle romain") et Jean Delumeau ("La seconde gloire de Rome").

Hors dossier, on pourra lire, en particulier, un entretien avec la sinologue Anne Cheng ("La Chine d'hier et d'aujourd'hui") ainsi que des articles de Dominique Venner ("De la gauche au capitalisme absolu"), de Jean-Jacques Langendorf ("Jomini l'incompris") ou de Francis Bergeron ("Henri Béraud, l'épuré qui n'avait pas collaboré ") et la chronique de Péroncel-Hugoz.

 

NRH 67.jpg


mardi, 25 juin 2013

Выпуск XIX. Индия

Выпуск XIX. Индия

 

 

Раджа Мохан
Новая внешняя политика Индии
 
Леонид Савин
Идеология и стратегия
 
Шаши Тхарур
Глобальный индиец
 
Родни В. Джоунс
Тема войны и мира
в индийской стратегической культуре
 
Смрути С. Паттанаик
Индия и Пакистан: на пути к мирному процессу 
 
Фрэнсис Корнигэй
Индия, Южная Африка
и уравнение IBSA-BRICS 2013
 
Табасум Фирдоус
Инициативы Индии в Центральной и Южной Азии:
проблемы и перспективы
 
Мохаммад Самир Хуссейн
Проблемы безопасности в Центральной Азии
и роль Индии
 
Адит Чарли
Ответ Индии на арабскую весну
 
Харш Пант, Джулия Супер
Балансирующие конкуренты:
Индия между Ираном и США
 
Герард О’Туатайл
Геополитические условия постмодерна:
государства, государственное управление и безопасность 
в новом тысячелетии
 
Николай Малишевский
Политическая картография
 
Рецензии
Сведения об авторах

Файл в формате pdf: 

samedi, 15 juin 2013

Le Bulletin célinien n°353

Le Bulletin célinien n°353 - Juin 2013

 
 
Vient de paraître : Le Bulletin célinien n°353. Au sommaire : 

Marc Laudelout : Bloc-notes.
Pierre Assouline : Un roman peut-il servir de sources aux historiens ? Le cas Céline.
Jean-Pierre Dauphin : L’œuvre exige des soins scrupuleux [1967]
M. L. : Le Livre de Poche a 60 ans.
Éric Mazet : Gen Paul et Céline. La Bataille du Styx.
Frédéric Saenen : Céline « mi-Diogène mi-Roi Lear ».
Pierre Lalanne : Un colloque sur les pamphlets.
M. L. : Les lectures de Christopher Gérard et de Philippe d’Hugues. 


Le Bulletin célinien, Bureau Saint-Lambert, B. P. 77, 1200 Bruxelles.
Courriel : celinebc@skynet.be.

Abonnement 1 an, 11 numéros : 55 €

Consulter le sommaire des anciens numéros ici.


Bloc-notes

Il est temps de passer aux aveux : cela fait une quarantaine d’années que Céline me fascine. Au point de lui consacrer depuis quasi autant de temps le bulletin que vous avez entre les mains ¹.
 
J’apprends que la revue Études céliniennes a été créée parce que ses animateurs refusent précisément de « céder à la fascination que peuvent susciter Céline et son œuvre ». Et de revendiquer « une approche ouvertement critique, au sens étymologique et philosophique du terme ² ». Oserais-je l’écrire ? Le rôle que s’était assigné la Société des études céliniennes en 1976 me paraît davantage empreint de sérénité : « Réunir, en dehors de toutes passions politiques ou partisanes, tous ceux, lecteurs, chercheurs ou collectionneurs, qui s’intéressent à l’œuvre de Louis-Ferdinand Céline, et favoriser par tous moyens la connaissance de celle-ci. ».
 
Les temps ont changé. Nous sommes à l’heure de la moraline. Il s’agit de faire preuve de la plus grande vigilance à l’égard de cet écrivain mort il y a plus d’un demi-siècle. Dans le précédent BC, j’évoquais cette célinienne se demandant, anxieuse, si le plaisir éprouvé à lire Céline n’est pas compromettant. Lors d’un récent colloque, des universitaires se sont gravement interrogé sur l’opportunité qu’il y avait de rééditer les pamphlets ³. Le fait qu’il s’agisse d’une édition critique due à un céliniste irréprochable n’a manifestement pas suffi à dissiper l’inquiétude de certains. Et tout indique que beaucoup ne partagent pas le point de vue de son meilleur biographe : « Céline, mieux que tout autre, savait qu’il n’avait pas voulu l’holocauste et qu’il n’en avait pas même été l’involontaire instrument 4. »
 
Quant à la revue Études céliniennes, il n’y aurait rien à en dire si elle n’était l’organe de la Société des études céliniennes. Quand son directeur émet des propos déplaisants à l’égard d’autres spécialistes de l’écrivain, parle-t-il en son nom propre ou engage-t-il la SEC ? Lorsqu’il daube sur un éditeur célinien « friand de notes de linge », on sait qui est visé 5. Ce persiflage n’a pas été avalisé par le comité de rédaction de la revue. Vétille. Mais quand l’édition critique de la correspondance à Albert Paraz y fait l’objet d’une recension délibérément suspicieuse 6, il en va différemment. L’organe de la S.E.C. est-il dans son rôle lorsqu’il laisse libre cours à ces petits jeux personnels ? C’est la question que peuvent se poser à bon droit les (autres) adhérents de cette société d’études 7.
 
 
Marc LAUDELOUT

 
1. Faut-il pour autant me qualifier d’« inconditionnel de Céline » ? Formule assurément périlleuse utilisée par Christine Sautermeister dans sa communication sur la réception critique de LFC au colloque « Céline à l’épreuve » (j’y étais) organisé en mai 2011 par l’Université de la Sorbonne nouvelle.
 
2. Isabelle Blondiaux, « Pourquoi lire Céline ? » in Céline et l’Allemagne (Actes du Dix-neuvième colloque internationalLouis-Ferdinand Céline), Société d’études céliniennes, 2013, p. 60.
 
3. « Les pamphlets de Céline : enjeux d’une réédition etbilan de la recherche », Congrès de l’Association francophone pour le savoir, Université Laval (Québec), 7-8 mai 2013. Voir l’article de Pierre Lalanne pp. 19-22.
 
4. François Gibault, préface à Lettres de prison à Lucette Destouches et à Maître Mikkelsen, Gallimard, 1998. À comparer avec l’affirmation selon laquelle les pamphlets « préparèrent les esprits au processus d’extermination [sic] » (André Derval, L’Accueil critique de “Bagatelles pour un massacre, Éd. Écriture, 2010, p. 28).
 
5. Études céliniennes, n° 7, printemps 2012, p. 106. L’année précédente, la critique avait déjà été émise dans les mêmes termes : André Derval, « Bibliographie [L’Année Céline] », Le Magazine littéraire, n°505, février 2011, p. 83d.
 
6. Études céliniennes, n° 6, hiver 2010-2011, pp. 112-114.
 
7. Voir aussi David Alliot, « Foudres et flèches... » & Éric Mazet, « Haro sur Céline » in Spécial Céline,n° 9 (« La chasse à l’homme ! »), mai-juin-juillet 2013, pp. 9-42.

jeudi, 13 juin 2013

Sezession Nr. 54

Sezession 54

Artikel-Nr.: Juni 2013

Sezession, Heft 54

60 Seiten

11,00 Euro - zzgl Versand

Bestellung: http://www.antaios.de/

Editorial

Bild und Text
Französischer Frühling
Dominique Venner

Thema
»Man muß das Leben einsetzen«
Gespräch mit Dominique Venner

Begründung für einen Freitod
Dominique Venners Erklärungen

Autorenportrait Jean Raspail
Joachim Volkmann

Reaktion – ein Grundriß
Karlheinz Weißmann

Reaktion als geistiges Prinzip
Harald Seubert

Krankheit und Gesundheit
Martin Lichtmesz

Das römische Prinzip und
der deutsche Sonderweg
Siegfried Gerlich

Kein deutscher König
Erik Lehnert

Toskana-Fraktion von rechts – das Beispiel Chestertons
Johannes Ludwig

Die Reaktion auf 1789
Felix Dirsch

»Die Heilige Messe ist nicht verhandelbar«
Gespräch mit Pater Michael Weigl

Kleines Lexikon der Reaktion
Karlheinz Weißmann

Bücher
Die Herrschaft der Dinge
Ellen Kositza

Rezensionen

Vermischtes
Burschenschaftliche Blätter, Tumult, 10. Todestag Armin Mohler

Bildinnenteil
Ein Museum der Reaktion.

 

 

mercredi, 12 juin 2013

HOMENAJE A DOMINIQUE VENNER

ELEMENTOS Nº 48. HOMENAJE A DOMINIQUE VENNER

 
 
 
Enlace Revista electrónica

Enlace Revista formato pdf


Sumario.-


Ceremonia-homenaje a Dominique Venner - París, por Javier Ruiz Portella
 
Dominique Venner, un maestro para Europa, por Sebastian J. Lorenz
 
Dominique Venner, por Arnaud Imatz
 
¿La muerte voluntaria de Dominique Venner? Entrevista a Alain de Benoist, por Nicholas Gauthier
 
En la muerte de Dominique Venner, por Ernesto Milá
 
En torno al acto auto-inmolatorio de Dominique Venner, por Diego Pappalardo
 
Nuestro tiempo, los actos ejemplares y la muerte de Dominique Venner, por Antonio Martínez
 
Apoteosis de Dominique Venner en Notre-Dame, por Enrique Ravello
 
Suicidio por Europa, en El silencio de la verdad
 
Dominique Venner: ¿Por qué escogió la catedral de Notre-Dame?, por Jean-Yves Le Gallou

Dominique Venner. El saludo de los jóvenes, por Philippe Christèle y Grégoire Gambier
 
El sentido de la muerte y de la vida, por Dominique Venner
 
Encuentros con el suicidio, por Emil Cioran
 
Europe Action y Venner, por Ernesto Milá
 
Hommage à Dominique Venner, VV.AA.
 
En souvenir de Dominique Venner, por Robert Steuckers

mardi, 21 mai 2013

Rébellion n°58

Rébellion n°58
Rébellion58.jpg
ÉDITORIAL
La critique moralisante
RÉFLEXION
La rue abattra les tyrans !
Découragement ?
par zentropa 
INTERNATIONAL
Venezuela. Viva Chavez !
Elections Italiennes. Entre populisme et paralysie par Xavier Eman 

Le Printemps arabe change-t-il la géopolitique du Proche-Orient ? par Terouga 
Chine. Le XVIIIème Congrès du PCC. Fantômes dans la brume.
ENTRETIEN
Rencontre avec Lucien de Gouverner par le chaos. Ingénierie sociale et mondialisation.
IDÉES
Perspectives Michéennes. La triple transformation libérale par Charles Robin
PHILOSOPHIE
L'esquisse d'une éducation non conformiste dans la pensée de Confucius par Thibault Isabel.
FIGURE
Alexandre Douguine. Révolte contre le monde post-moderne.

CULTURE
Rap & Business. Qui veut la part du Ghetto ?
Rencontre avec Mathias Cardet. L'effroyable imposture du Rap.
Entretien avec Arnaud Bordes. Chroniques livres et musique.

5 euros (port compris) pour un numéro de 48 pages. 
Commande à notre adresse :
Rébellion c/o RSE BP  62124 - 31020 TOULOUSE cedex 02

00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, socialisme révolutionnaire, contestation, rébellion | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

samedi, 27 avril 2013

War Roak n°37

war raok 37

 

War Roak n°37

Réveiller les PEUPLEs-PATRIEs!

A divers moments de leur histoire tous les peuples ont du faire entendre leur voix pour continuer d’exister. Il est illusoire d’imaginer qu’un peuple puisse obtenir sa reconnaissance en droit et sa liberté dans le cadre de la Constitution d’un autre pays. Ceci est fondamental et depuis l’aube des temps l’administration coloniale a usé de toutes ses ressources, militaires et intellectuelles, pour asseoir sa domination. Sans liberté politique, il n’y a pas d’épanouissement possible !


Aujourd’hui le temps est venu de proposer à tous les peuples « embastillés » de se prendre en main, d’assurer eux-mêmes leur développement, d’affirmer leur volonté de vivre dans le respect de leurs valeurs nationales et de refuser les grands systèmes sans définition ethnique, sans dimension charnelle. Aussi l’idée des peuples-patries, élargie à l’Europe et au monde, est-elle le véritable défi historique du siècle à venir, le défi d’une civilisation bâtie sur un socle ethnique vigoureux.
Arrêtons-nous aux grandes déterminations qui définissent un peuple-patrie et le maintiennent dans sa personnalité différenciée, qui sont aussi ce par quoi la société politique internationale devra le reconnaître et le respecter. Le peuple-patrie n’est pas une population, un agrégat d’individus assemblés par les hasards d’une contrainte politique, les lois d’un marché économique, les intérêts matériels transitoires d’une classe ou d’une famille.
Il ne se saisit pas dans le moment mais ne se conçoit que dans la double perspective d’un passé et d’un avenir étroitement solidaires et propres au groupe national. (…) La « conscience nationale » est une expression récente, relative à des réalités qui ont souvent varié en fonction des dominantes philosophiques. Le peuple-patrie, lui, quel que soit son degré de conscience, reste un élément permanent de la vie, bien au-delà du politique.
En ce sens, les mouvements des peuples-patries ne sont pas des phénomènes mais bien au contraire la dynamique même du devenir des hommes. Notre engagement pour un peuple-patrie, union du peuple et de sa terre ancestrale, résulte d’une prise de conscience et d’une décision spécifique. Nous sommes mus par une nécessité interne et non par la pression ou l’influence d’une société qui nous devient étrangère, et dont nous refusons les rôles qu’elle veut nous faire jouer.

Nous voulons créer l’Etat de notre peuple-patrie. L’Etat n’est pas pour nous la fin de la vie nationale, mais le moyen de lui assurer un développement harmonieux, par ses interventions de puissance médiatrice, d’instance supérieure du politique, de garant de la personnalité ethnique du peuple-patrie. Nous ne sacrifions à aucun totalitarisme, car pour nous le changement institutionnel n’est pas la seule condition du salut national. Ne perdons jamais de vue que ce qui compte c’est la personnalité communautaire, plus que telle ou telle structure. L’Etat national doit être le régulateur d’une vie sociale qu’il n’a pas créée, le promoteur de formes culturelles qu’il n’a pas inventées et le gardien d’un patrimoine qui reste sa seule justification.
Il est une instance de la souveraineté populaire et un moyen d’exercice du politique compris comme recherche du consensus dans une visée à long terme du développement de la nation. Le principe de respect des cultures nous fait condamner l’assimilation des peuples par colonisation et substitution planifiée des populations.
Ce que nous refusons pour les ethnies d’Europe, nous le refusons aussi pour les peuples du monde. Notre position sur l’immigration de populations non-européennes en Europe se nourrit de notre expérience de nationalités en lutte pour leur survie et la reconquête de leur caractère-propre. Elle est donc choisie sereinement et avec rigueur. Nous sommes opposés à l’immigration extra-européenne comme au néo-colonialisme économique et culturel qui l’accompagne ordinairement.
Contre la dépersonnalisation et le déracinement des peuples de culture nous voulons un dialogue fécond des civilisations. Nous refusons donc le mondialisme et son projet de métissage universel des peuples et des cultures, caricature inversante d’une réelle solidarité humaine. Nous prônons la relance de la démographie de nos peuples. Nous rejetons le misérabilisme, nous refusons de gémir sur des maux nés en partie de notre faiblesse, car nous savons que notre action prend place dans une longue suite de renaissances qui sont autant de triomphes formalisateurs sur les faux-sens de l’histoire…

Extraits du texte proposé par Padrig MONTAUZIER et lu lors de la conférence de Terre et Peuple Wallonie au château de Coloma. 

War Roak n°37

war raok 37

 

War Roak n°37

Réveiller les PEUPLEs-PATRIEs!

A divers moments de leur histoire tous les peuples ont du faire entendre leur voix pour continuer d’exister. Il est illusoire d’imaginer qu’un peuple puisse obtenir sa reconnaissance en droit et sa liberté dans le cadre de la Constitution d’un autre pays. Ceci est fondamental et depuis l’aube des temps l’administration coloniale a usé de toutes ses ressources, militaires et intellectuelles, pour asseoir sa domination. Sans liberté politique, il n’y a pas d’épanouissement possible !


Aujourd’hui le temps est venu de proposer à tous les peuples « embastillés » de se prendre en main, d’assurer eux-mêmes leur développement, d’affirmer leur volonté de vivre dans le respect de leurs valeurs nationales et de refuser les grands systèmes sans définition ethnique, sans dimension charnelle. Aussi l’idée des peuples-patries, élargie à l’Europe et au monde, est-elle le véritable défi historique du siècle à venir, le défi d’une civilisation bâtie sur un socle ethnique vigoureux.
Arrêtons-nous aux grandes déterminations qui définissent un peuple-patrie et le maintiennent dans sa personnalité différenciée, qui sont aussi ce par quoi la société politique internationale devra le reconnaître et le respecter. Le peuple-patrie n’est pas une population, un agrégat d’individus assemblés par les hasards d’une contrainte politique, les lois d’un marché économique, les intérêts matériels transitoires d’une classe ou d’une famille.
Il ne se saisit pas dans le moment mais ne se conçoit que dans la double perspective d’un passé et d’un avenir étroitement solidaires et propres au groupe national. (…) La « conscience nationale » est une expression récente, relative à des réalités qui ont souvent varié en fonction des dominantes philosophiques. Le peuple-patrie, lui, quel que soit son degré de conscience, reste un élément permanent de la vie, bien au-delà du politique.
En ce sens, les mouvements des peuples-patries ne sont pas des phénomènes mais bien au contraire la dynamique même du devenir des hommes. Notre engagement pour un peuple-patrie, union du peuple et de sa terre ancestrale, résulte d’une prise de conscience et d’une décision spécifique. Nous sommes mus par une nécessité interne et non par la pression ou l’influence d’une société qui nous devient étrangère, et dont nous refusons les rôles qu’elle veut nous faire jouer.

Nous voulons créer l’Etat de notre peuple-patrie. L’Etat n’est pas pour nous la fin de la vie nationale, mais le moyen de lui assurer un développement harmonieux, par ses interventions de puissance médiatrice, d’instance supérieure du politique, de garant de la personnalité ethnique du peuple-patrie. Nous ne sacrifions à aucun totalitarisme, car pour nous le changement institutionnel n’est pas la seule condition du salut national. Ne perdons jamais de vue que ce qui compte c’est la personnalité communautaire, plus que telle ou telle structure. L’Etat national doit être le régulateur d’une vie sociale qu’il n’a pas créée, le promoteur de formes culturelles qu’il n’a pas inventées et le gardien d’un patrimoine qui reste sa seule justification.
Il est une instance de la souveraineté populaire et un moyen d’exercice du politique compris comme recherche du consensus dans une visée à long terme du développement de la nation. Le principe de respect des cultures nous fait condamner l’assimilation des peuples par colonisation et substitution planifiée des populations.
Ce que nous refusons pour les ethnies d’Europe, nous le refusons aussi pour les peuples du monde. Notre position sur l’immigration de populations non-européennes en Europe se nourrit de notre expérience de nationalités en lutte pour leur survie et la reconquête de leur caractère-propre. Elle est donc choisie sereinement et avec rigueur. Nous sommes opposés à l’immigration extra-européenne comme au néo-colonialisme économique et culturel qui l’accompagne ordinairement.
Contre la dépersonnalisation et le déracinement des peuples de culture nous voulons un dialogue fécond des civilisations. Nous refusons donc le mondialisme et son projet de métissage universel des peuples et des cultures, caricature inversante d’une réelle solidarité humaine. Nous prônons la relance de la démographie de nos peuples. Nous rejetons le misérabilisme, nous refusons de gémir sur des maux nés en partie de notre faiblesse, car nous savons que notre action prend place dans une longue suite de renaissances qui sont autant de triomphes formalisateurs sur les faux-sens de l’histoire…

Extraits du texte proposé par Padrig MONTAUZIER et lu lors de la conférence de Terre et Peuple Wallonie au château de Coloma. 

mercredi, 03 avril 2013

Sezession, Heft 53

Aktuelle Druckausgabe (11 €):

Sezession, Heft 53, April 2013

Ex: http://www.sezession.de/

heft53 gross Aktuelle Druckausgabe (11 €): Heft 53, April 2013 Editorial

 

Bild und Text

Verstrickungen
Martin Lichtmesz

Thema

Autorenportrait Cormac McCarthy
Michael Wiesberg

Amerika – Hegemon und Samariter
Thomas Bargatzky

Der Puls Europas
Felix Menzel

Nationalsozialistischer Untergrund
Felix Krautkrämer

Richard Wagners deutsche Sendung
Siegfried Gerlich

Wagner und Nietzsche
Frank Lisson

Wie Frauen in der Sprache (wieder) unsichtbar werden
Werner Sohn

Die große Erzählung
Karlheinz Weißmann

Debatte

Der schmale Grat
Erik Lehnert

Die Spurbreite des schmalen Grates
Götz Kubitschek

Avantgarde, Ästhetik, Revolution
Alex Kurtagic

Bücher

Wagner-Literatur
Siegfried Gerlich

Rezensionen

Vermischtes

Kursbuch 173, Graben für Germanien, Pius-Brüder, Pascal Ormunait

Briefe an alle und keinen

00:05 Publié dans Nouvelle Droite, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : allemagne, revue, nouvelle droite | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

samedi, 23 mars 2013

TeKoS Nr 149

TeKoS Nr 149 ...

 

INHOUDSOPGAVE


Editoriaal

De crisis van het Westen - Het Liberalisme
door Roland Wuttke - vertaald door Juul Slembrouck

Ethisch universalisme versus ethisch nationalisme
door Wim Couwenbergh

Professor em. Dr. S.W. Couwenberg was reeds meermaals een zeer gewaardeerd spreker op de colloquia van de Deltastichting. Ook hebben zijn artikels steeds vlot de weg naar TeKoS gevonden. Dit neemt echter niet weg dat de conclusie van de bijdragen in kwestie soms wel enigszins afwijkt van hetgeen ons tijdschrift voorstaat. Ook bij onderhavig artikel is dit het geval, ondanks de belangwekkendheid op informatief vlak.

Particularisme versus universalisme

De botsing van etnische en andere uitingen van particularisme als denk- en streefrichting (het accentueren van wat mensen en groepen onderscheidt) en de universalistische traditie in onze westerse beschaving (het accentueren van wat mensen gemeenschappelijk hebben), zien sommige auteurs als een van de belangrijkste controverses van deze tijd. Het is een controverse die diepe wortels heeft in onze westerse beschaving, in het bijzonder in de ontwikkelingsproblematiek van de moderniteit sinds de 18e eeuw. We worden sindsdien geconfronteerd met een botsing tussen het universalisme van de Verlichting zoals dat zich manifesteert in de moderne filosofie, wetenschap en technologie, in de liberale markteconomie en cultuur en in het kosmopolitisme als mentaliteit, en allerlei particularistische tegenstromingen die hun wortels hebben in de Romantiek en tot uiting komen in typisch particularistische ideologieën als het klassieke conservatisme, het nationalisme, het christelijk confessionalisme en in onze tijd het multiculturalisme.
Nederland neemt in deze controverse een bijzonder plaats in. Als het gaat om de vraag wat ons als natie kenmerkt, overheerst hier de particularistische neiging vooral de nadruk te leggen op onze pluriformiteit (denk maar aan onze verzuiling); in internationaal verband zijn we daarentegen juist geneigd tot het cultiveren van de idee van universele normen en waarden (internationale rechtsorde, mensenrechten) en denken we meer in de geest van de universalistische Verlichtingstraditie.
Deze controverse speelt ook een prominente rol in het denken over de ethiek. Het universalisme, het idee van een universele moraal, heeft oude papieren. De idee van een natuurlijke zedenwet en van het natuurrecht als algemeen geldige rechtsbron wortelt in een lange christelijk traditie. Dankzij de Verlichting kreeg die idee een nieuwe seculiere en rationele fundering. Ook het utilitarisme van J. BENHAM e.a. heeft het besef van een universele moraal een nieuwe impuls gegeven. In onze tijd is het de journalist en schrijver RALF BODELIER, die het belang van ethisch universalisme in een nieuw politiek perspectief plaatst als grondslag van kosmopolitische actieprogramma’s als “Human Development” en “Human Security”. Hij doet dat in een dissertatie die hij onlangs verdedigde aan de Universiteit van Tilburg en waarin o.a. een universalistisch optimisme opvalt, zoals bijvoorbeeld blijkt uit zijn stelling dat de markt mensen uit alle delen van de wereld in ‘our circles of empathy’ trekt. Dat klinkt mooi, als het klopt. Want als Europese solidariteit in het geding is, blijkt daar niet zoveel van. Al kent Europa officieel geen grenzen meer, in de politieke mentaliteit zijn er nog steeds nationale grenzen als solidariteit gevraagd wordt. Als de nood tot solidariteit dwingt, is dat meestal ‘contre coeur’ ......
 

Jos De Man over de twijfelachtige toekomst van de democatie
door Koenraad Elst

De dandy als politicus
door Daniel Napiorkovski - vertaald dor Peter Logghe

Eigenlijk was de dandy een fenomeen van het einde van de 18de en 19de eeuw. Hij kwam op het voorplan middenin een maatschappelijke breuk, ingezet met het terugdringen van de aristocratie in Europa en eindigend met die schitterende poging om de verschijnselen van het verval tegen te gaan, om zich als vertegenwoordiger van de aristocratie op cultureel vlak op het voorplan te hijsen. Het opmerkelijke optreden van de dandy, zijn vlekkeloze kledij, zijn uitstekend conversatietalent en zijn goed gebalanceerde manieren verschaften hem ook zonder rang, geboorte in de hoogste kringen of zonder een groot vermogen invloed in milieus, die in andere omstandigheden voorbehouden waren voor een geprivilegieerde stand, voor zijn gelijken niet toegankelijk. Nochtans was hij veel meer dan alleen maar de Machiavelli van de etikette, zoals hij in een terugblik nogal eens meewarig wordt omschreven: hij was tegelijkertijd voorvechter van een streng moreel gedrag, een man die ethische normen durfde te poneren en een conservatieve aanhanger van de Gegenaufklärung. Van Charles Baudelaire stamt de uitdrukking dat de liefde voor materiële elegantie “voor de echte, voor de volledige dandy slechts het symbool is van de aristocratische superioriteit van de geest”.
Met de toenemende egalisering en vulgarisering van de samenleving kon de dandy zijn positie in de maatschappij niet meer handhaven. De maatschappelijke hierarchie werd afgevlakt, de algemene burgerlijke conventies die verplichtingen oplegden en andere regels: ze werden alle minder belangrijk. Veelvuldiger waren de wegen om zich ook in hogere kringen te laten horen. De dandy zag zich beroofd van zijn werkkring en zijn cultuuraristocratische verschijningsvormen dreigden te verstarren tot een louter ceremonieel omhulsel. Een uitweg, een mogelijkheid om zijn zin voor het mooie en het zedelijk hogere te sublimeren zocht hij daarom in de literatuur, in de kunst – en in de politiek. Deze bijzondere mengeling van dandy, literator/auteur en politicus bleek inderdaad geen zeldzaamheid. Vroege vertegenwoordigers van dit type waren bijvoorbeeld de Britse dichter lord Byron, of de Duitse schrijver Hermann von Pückler-Muskau. Bij de belangrijke eeuwwisseling met de 20ste eeuw kwamen figuren als Gabriele d’Annunzio, Maurice Barrés en Stefan George het politieke schouwtoneel verrijken. Terwijl de vroege vertegenwoordigers van de politiserende dandy nog geen directe opstand tegen de maatschappelijke ordening belichaamden, stond de dandy in het democratische tijdperk als het ware op een natuurlijke manier in esthetisch verzet tegen de tijdsgeest. Dat mocht bijvoorbeeld Benjamin Disraeli zeer snel ervaren, toen hij in het Britse Lagerhuis zijn eerste redevoering uitsprak. In typisch dandy-achtige outfit betrad de elegante salonbezoeker, de befaamde rokkenjager en romanschrijver, die overigens met zijn roman Vivien Grey Oscar Wilde had geïnspireerd voor diens grootste succesboek, The Picture of Dorian Gray, het spreekgestoelte, en hij kreeg prompt spot, fluitconcerten en boegeroep over zich heen ........

Een kritische beschouwing van Erward Said's thesis inzake oriëntalisme
door Rohald Gysemans

De wraak van de "Ossis"?
Door Peter Van Windekens

Uwe Böhnhardt, Uwe Mundlos en Beate Zschäpe, drie jonge mensen afkomstig uit het voormalige Oost-Duitse Jena (Thüringen), wisten zich gedurende dertien jaar verborgen te houden voor de politiediensten in heel Duitsland, terwijl zij een tiental politiek geïnspireerde moorden en veertien bankovervallen pleegden. In één lange zin is dit zowat het thema van het acht maanden geleden verschenen boek “Die Zelle. Rechter Terror in Deutschland” van de twee onderzoeksjournalisten Christian Fuchs en John Goetz.

Geen onbekommerde jeugdjaren

Hoewel de voornoemde jongeren uit beter gesitueerde families stamden, waren zij reeds in hun jeugdjaren hetgeen men ‘probleemkinderen’ pleegt te noemen. Uwe Böhnhardt (1977-2011), zoon van een ingenieur, kon al snel bogen op een goedgevulde criminele carrière. Hij vloog uit verschillende scholen, werd veroordeeld voor slagen en verwondingen, afpersing, diefstal, inbraak…Een verblijf in jeugdinstellingen was er het logische gevolg van. Volgens zijn ouders was Böhnhardt echter het slachtoffer van een gespleten ontwikkeling: thuis leek hij wel de ideale zoon, in “bepaalde kringen” waarin hij verkeerde een raddraaier. Uwe Mundlos (1973-2011), zoon van een hoogleraar (die in de DDR in ongenade was gevallen), was een heel ander type dan zijn voornaamgenoot. Een goed onderlegd debater, blonk hij uit in de studie van de exacte wetenschappen (zijn Abitur zou hij echter nooit behalen). Hij was gefascineerd door de Tweede Wereldoorlog en het nationaalsocialisme. De jonge Mundlos provoceerde echter wat graag en maakte zelf bommen. Geen wonder dat hij thuis regelmatig de politie over de vloer kreeg. Beate Zschäpe (° 1975), het meisje uit het trio, kende eveneens een weinig aangename jeugd. Zij werd meermaals betrapt op winkeldiefstal. Met haar moeder, een tandarts, kon zij niet over de baan, zodat zij soelaas zocht bij haar tante. Beate behaalde wel een diploma aan de tuinbouwschool.......

De groene hoek
door Guy de Maertelaere

Schrijvers en Lezers
door Peter Logghe en Peter Van Windekens


00:05 Publié dans Nouvelle Droite, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nouvelle droite, flandre, revue | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Orientations n°1 - 1982

ORIENTATIONS n°1 - 1982
 
http://i1.calameoassets.com/130318034621-61bb8d5a2be660659e941ee70e8516e9/thumb.jpg

A lire in extenso sur: Lien n°2

◘ Sommaire :

    Dossier Spengler

    Spengler aujourd'hui (W. Duden)
    Hommage à O. Spengler (A. Mohler)
    Réflexions d'un lecteur du “Déclin” (L. Penz)
    Quoi de neuf ? Oswald Spengler ! (R. Steuckers)
    O. Spengler et l'idée de déclin (GK Kaltenbrunner)

    Histoire

    Le vocabulaire de Toynbee (R. Steuckers)
    Les fondements d'une unité de destin (G. Parker)
    L'idée d'État dans les grands Pays-Bas (F. De Hoon)
    Conceptions organiques et conceptions systématiques de l'histoire (W. Hoskins)  

    Chroniques

    Alexandre Zinoviev : le communisme comme réalité (RS)

mercredi, 20 mars 2013

Bulletin célinien n°350

Le Bulletin célinien n°350

mars 2013

Vient de paraître : Le Bulletin célinien, n° 350.

Au sommaire :

Marc Laudelout : Bloc-notes
Christine Sautermeister : Céline mémorialiste
Bernard Morlino : Jean Luchaire, l'enfant perdu des années sombres
Cédric Meletta : Jean Luchaire à Sigmaringen
Jean-Paul et François Senac : Le choix de Sigmaringen
Eugène Saccomano nous écrit

Abonnement : 55 euros à :

Le Bulletin célinien, Bureau St Lambert, B P 77, BE 1200 Bruxelles.
Courriel : celinebc@skynet.be.

> Consulter le sommaire des anciens numéros ici.

jeudi, 14 mars 2013

TERRE & PEUPLE Magazine n°54

tp54.jpg

TERRE & PEUPLE Magazine n°54

Communiqué de Terre & Peuple-Wallonie - 12 mars 2013

Le numéro 54 de TERRE & PEUPLE Magazine est centré autour du thème de l’Empire. Dans son éditorial, Pierre Vial épingle la mobilisation ethnique à laquelle Obama doit sa victoire : 93% des Noirs et 71% des Latinos ont voté pour lui, contre 25% des Blancs, lesquels sont moins conditionnés par les ligues de vertu que les Blancs européens. Dans les sociétés multiculturelles, la logique ethnique reste la clé du monde de demain. Sous le titre ‘Le vase déborde’, il remarque à la suite que les grands hebdomadaires L’Express et Le Point ont traité en couverture de l’immigration. L’Epress pour s’obstiner à y voir un atout économique, niant malgré la multiplication par 6 de l’aide médicale les conclusions de l’étude solide des Contribuables Associés sur son coût réel. Le Point dénonce pour sa part la tactique du grignotage des islamistes et leurs provocations pour tester la résistance des autochtones : la porte est ouverte aux revendications sans fin.

Jean-Louis Roumégace situe la pensée du MAS sur la quête d’identité dans une France où les communautés organiques sont malmenées depuis plus de deux siècles. L’identité se nourrit d’un imaginaire où se mêlent histoire, culture, religion, tradition populaire. La tradition, c’est ce qui ne passe pas.  Elle nous permet d’évoluer en restant nous-mêmes.  Ce qui est fondamental, c’est d’entretenir la conscience commune. Lénine parlait de ‘conscience de classe’.

Le même explique ensuite les affinités du MAS avec Casa Pound Italia et Pierre Vial enchaîne en rapportant l’heureuse expérience de sa visite à la Casa Pound romaine, car on sait que Casa Pound a essaimé dans toute l’Italie et, outre dans la solidarité avec les Italiens sinistrés, sur tous les terrains, clubs sportifs, syndicats étudiants, groupes musicaux, etc.

Pour introduire le dossier sur l'Empire, Pierre Vial souligne combien le concept évoque la grandeur. Celle-ci n’effraie que ceux qui la confondent avec les prétentions impérialistes des Anglo-Saxons sur le monde. Pour nos patries charnelles européennes, l’idée d’empire ouvre la perspective d’une confédération euro-sibérienne des peuples.

Jean Haudry rappelle que, dans notre tradition, le roi de France, régnant aussi sur des Allemands, des Flamands, des Bretons, des Catalans, des Provençaux, était devenu ‘empereur en son royaume’. L’Empire se définit alors comme une monarchie multinationale. L’institution du ‘Roi des Rois’ est une réalité ancienne, apparue dès le quatrième millénaire AJC en Egypte et en Orient. C’est Alexandre qui la transmettra aux Romains. Dans ses origines, l’Empire n’a pas de limites : il porte jusqu’où s’étend le pouvoir. L’empereur perse Cyrus II est Roi du monde; Rome est édifiée autour du ‘mundus’. Toutefois, la défaite de Varus devant Arminius arrête la conquête du monde au ‘limes’ et contraint l’Empire romain à la défensive. Chez les Indo-Européens, les notions de roi du monde et d’empire universel sont anciennes, mais plus on remonte et plus la notion se limite à la part qu’on connaît du monde. Cela légitime les razzias. A la période des migrations, Celtes et Germains n’ont jamais formé que des confédérations occasionnelles. La conquête de matières premières des grands empires asiatiques, avec un pouvoir central fort et une langue véhiculaire qui se superpose aux langues particulières, tout cela est étranger aux peuples indo-européens.

Pierre Vial évoque la nostalgie des clercs médiévaux pour la paix romaine garantie par les légions, mythifiée comme toute ‘belle époque’. Le couronnement de Charlemagne à Rome par le Pape Léon III est ressenti à Constantinople, la Seconde Rome, comme un camouflet pour l’Impératrice Irène. Si Charlemagne donne des gages à l’Eglise (il impose par force le christianisme aux Saxons et aux Frisons), il ordonne dans le même temps de recueillir la littérature épique païenne. Son fils le Débonnaire en fera brûler le recueil, mais les textes seront ensuite portés par une tradition orale, les ‘vulgares cantilenae’. Réaliste, l’Empereur permet à chaque région de ‘vivre du sien’, avec son droit particulier, avec ses assemblées générales annuelles des hommes libres. Othon, élu roi par les cinq peuples, germain, lorrain, souabe, bavarois, franconien et saxon, forces d’équilibre d’un pouvoir souverain, tint à se faire couronner à Aix-la-Chapelle, et pas à Rome. Conrad II a réintégré la Bourgogne dans l’empire, mais sous son fils Henri IV le Pape réussit à échapper au contrôle de l’empereur. Le conflit du césaro-papisme et de la théocratie, qui va les dresser l’un contre l’autre pendant deux siècles, rebondit avec Frédéric Barberousse et avec son petit-fils, Frédéric II. Avec les Hohenstaufen,  ‘race de vipères’ que le pape n’eut de cesse d’exterminer, l’empire semblait condamné. Les Habsbourg lui permettront de survivre.

Gilles Gaillez, qui passe toute leur lignée en revue, rappelle leur sage souci, sous la constante menace de l’anarchie, d’équilibrer la composante germanique par les composantes magyare et slave et de refaire l’unité en rempart contre la perpétuelle menace turque. C’est par d’astucieux mariages qu’ils établiront leur dynastie et par le principe de la primogéniture qu’ils parviendront à la faire durer trois quarts de millénaire, installée sur les domaines impériaux héréditaires. Lorsque l’impératrice Marie-Thérèse épouse le duc François de Lorraine, la puissance de l’empire est à son apogée et les Turcs en passe d’être reconduits au Bosphore. C’est la révolution libérale et bourgeoise qui aura raison de lui, bien plus que la Prusse, qui l’écrase militairement en 1866, à Sadowa. A la surprise de l’Europe, le reliquat de leur empire, l’ensemble hétéroclite austro-hongrois, va conserver une cohésion inattendue et c’est la première guerre qui va permettre au projet mondialiste d’étouffer dans l’œuf le projet trop prometteur des Habsbourg d’une triple monarchie austro-slavo-hongroise.

Pour Gabriele Adinolfi, la contradiction n’est qu’apparente entre la Res Publica, le bien commun communautaire de la Ville, et l’empire. Mais, si le fascisme italien a épousé le mythe de l’Empire romain, c’est dans le sens de la mystique fasciste, qui oppose Rome à Carthage, en ensuite à Londres et Jérusalem. Au contraire de la pulsion impérialiste à tout soumettre à un modèle unique, l’idée impériale fasciste, c’est le respect dans la participation directe, anticolonialiste.

Pour Willy Freson, l’Union européenne n’est que le décombre impuissant de l’Empire éclaté, dominion le moins problématique des Etats-Unis. Et le demi-siècle de paix prétendue qu’on affiche à présent à son crédit n’a rien à voir avec la Pax Romana, produit d’une puissance décisive. Prophétique, Krouchtchev parlait à l’époque avec dédain d’un « mariage d’homosexuels », infécond. Divisée en une poussière d’entités instables dont les nations actuelles sont les héritières, l’Europe révèle par contre une identité fondée sur sa géographie et plus encore sur des racines communes. L’ « équilibre européen » n’est pas l’aboutissement d’une convergence d’entités étrangères, mais la résultante d’un mode politique et d’un moule historique communs. C’est l’héritage d’Alexandre le Grand et d’un autre visionnaire inégalé, César. Celui-ci avait préféré s’assurer de l’hinterland gaulois de l’Italie, plutôt que céder au mirage de l’orient. Son héritier politique, Auguste, parachèvera la tâche en Europe centrale et orientale. C’est Tibère qui va ordonner le repli sur la ligne Rhin-Danube, pour de simples motifs de politique intérieure et non de contrainte extérieure. Eut-il tenu le front, le choc des grandes migrations s’en serait trouvé dévié et le noyau de la vigueur germanique aurait désormais agi en faveur de l’Empire. « Et il aurait rendu improbable qu’un suppôt de guerre civile comme Constantin fît du messianisme chrétien l’idéologie dominante du monde romain, et improbable de même la survie du judaïsme et l’émergence de l’islam. »  Tacite rapporte, avec mépris, que quand le feu sacrilège a été mis au Capitole, en 69, des Gaulois avaient alors présagé que la souveraineté du monde irait aux Transalpins. La prophétie ne s’est réalisée qu’en 800, autour du noyau continental Meuse-Oder-Tibre, que s’ingénieront à maintenir les empereurs germaniques et auquel fera obstacle la prétention française. Mais quand reviendront les temps où les Chinois nous désigneront à nouveau par ‘Ta Tsin’, la Grande Chine ?

Llorenc Pierre Albanell est un Catalan  pénétré de la légitimité que peut conférer à un mouvement indépendantiste un million et demi de manifestants qui se pressaient dans les rues de Barcelone le 11 septembre dernier. Pour lui autant que pour nous, l’ordre nouveau européen doit y aller fort : les états-nations doivent disparaître. Ils ne sont plus adaptés. Ils viennent contrecarrer les collaborations inter-régionales, fécondes pour la gestion politique, économique, écologique. Le système à trois bases Europe-Nation-Région génère lenteurs et coût inutiles. Le principe de base doit être la subsidiarité et, dans l’ordre nouveau, l’Europe n’a à intervenir que pour ce qui excède les capacités régionales, notamment pour la défense et la politique étrangère. Comme le recommandait le prix Nobel d’économie Maurice Allais, l’Europe doit pratiquer un protectionnisme continental, préserver son indépendance énergétique et alimentaire et garder le contrôle des produits médicaux et d’intérêt stratégique. Notamment par la nationalisation des productions nécessaires à la survie (eau, gaz, électricité, transports) et par le contrôle des banques, de manière à éliminer toute mainmise de cartels politico-financiers. Enfin, les terres arables ne doivent appartenir qu’aux allochtones.

Alain Cagnat fait la chronique du cynisme machiavélique de la politique pétrolière des Anglo-saxons au Moyen-Orient. Ils ont commencé avec la Guerre de Crimée, dans laquelle ils sont parvenus, sous prétexte de défendre les Turcs contre les Russes, à entraîner les Français (qui y perdront 95.000 hommes, contre 25.000 Anglais !). Il s’agissait d’empêcher les Russes de libérer les populations slaves opprimées et surtout de développer leur puissance en obtenant un accès aux ‘mers chaudes’. Avec l’invention du moteur Diesel, en 1885, il était devenu urgent pour la Royal Navy de contrôler les champs de pétrole du Moyen-Orient, car, sur la Mer Caspienne, les navires russes fonctionnaient déjà au mazout depuis 1870 ! Les Anglais commenceront par s’installer en Egypte, avant de conquérir progressivement la péninsule arabique et l’Irak. Mais, pendant ce temps, l’Allemagne, alliée des Turcs, est devenue une menace dans la région, car elle construit une ligne ferroviaire Bagdad-Berlin. La première guerre mondiale se dessine alors que les Anglais envahissent le Koweit en 1912 et que la Deutsche Bank acquiert pour la Bagdad Rail les droits de passage pour les pétroles de la très riche région de Mossoul : c’est le casus belli. Le premier prétexte suffira. C’est à ce moment que T.E.Lawrence va promettre l’indépendance à l’émir de La Mecque, son ‘ami’ Hussein ibn Ali, qu’il trahira. C’est dès cette époque que les Anglais vont déployer 1,4 millions d’hommes au Moyen-Orient, au détriment de leurs alliés français ! Cela n’empêchera pas Clémenceau d’offrir ensuite Mossoul à l’Angleterre « au nom de l’amitié franco-britannique » !  Les Anglais, qui ne veulent en aucun cas des embarras d’une unité arabe, vont jouer ensuite les Saoudiens contre les Hachémites (lesquels se feront massacrer). Lorsqu’Ibn Saoud va reprendre à son compte l’unification de la péninsule, les Anglais  fractionneront celle-ci entre l’Arabie saoudite, l’Irak, le Koweït le Yémen et la Jordanie.  Jusqu’à ce que les Américains jouent à leur tour Ibn Saoud contre leurs alliés anglais. C’est ainsi que s’explique le mariage contre nature de la Première Démocratie du Monde avec des Bédouins pillards et esclavagistes, fanatiques religieux fondamentalistes et commanditaires de terroristes, « gardiens légitimes des Lieux Saints ».

 

00:05 Publié dans Nouvelle Droite, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : empire, irlande, nouvelle droite, revue, france | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

dimanche, 17 février 2013

Rébellion n°57

Parution de Rébellion n°57
 
Edito : Et nozigue, où qu'on va ? 
Réflexion : Rébellion, comme une éclaircie dans un paysage politique blême par Claude Karnoouh

Dossier géopolitique du Proche-Orient :
Intro : la marche vers la guerre globale.
Gouverner  le Proche-Orient par le chaos.  
Entretien avec Georges Corm. 
Retour sur la campagne de Syrie par Jean de Lavaur.
A. Chauprade et les dynamiques internes de la Syrie. 
 Entretien avec Mère Agnès-Mariam de la Croix 
Entretien avec Ayssar Midani 
Entretien avec Madhi Darius Nazemroya. 

 Entretien avec Jean-Michel Vernochet et chronique de son livre " Iran la destruction nécessaire".
Média : Rencontre avec le Cercle des Volontaires par Pablito Waal 
Chronique livre sur la guerilla. 
 
Numéro de 44 pages au même prix. 
 
Disponible pour 4 euros auprès de 
Rébellion c/o RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02 

http://rebellion.hautetfort.com/

 image.jpg

samedi, 09 février 2013

Bulletin célinien 349

Le Bulletin célinien n°349

février 2013

Vient de paraître : Le Bulletin célinien, n° 349.

Au sommaire :

Marc Laudelout : Bloc-notes
François Gibault : Le centenaire de Lucien Combelle
Pierre Assouline : Entretien avec Lucien Combelle (1988)
Philippe Alméras : Lucien Combelle relaps
Correspondance Combelle - Céline : "Révolution et révolutionnaires" (1942)
Lucien Combelle : L'heure est au pamphlet (1939)
Eric Mazet : D'un monument à l'autre
Frédéric Saenen : Albert Cossery, le sphinx


Abonnement : 55 euros à :

Le Bulletin célinien, Bureau St Lambert, B P 77, BE 1200 Bruxelles.

Zuerst - Februar 2013

  • Aktuelle Ausgabe

    Aus dem Inhalt
    (Ausgabe Februar 2013):

    Titelgeschichte:
    Weltklima-Apokalypse
    UN-Klimakonferenzen, EU-Klimaziele, nationale Aktionspläne: Ist der Mensch tatsächlich in der Lage, die Erdtemperatur zu beeinflussen? Oder ist der „Klimaschutz“ nur ein Dogma, um den Bürger noch mehr zu gängeln und auszunehmen? Eine kritische Bestandsaufnahme

    Zivilcourage
    Dr. Wolfgang Thüne gilt als einer der prominentesten „Klima-Kritiker“ Deutschlands. ZUERST! hat mit ihm über Klimapolitik gesprochen

    Deutschland:
    Eine Frage der Ehre
    Die Schmutzkampagne gegen eine hessische Buchhändlerin geht in die nächste Runde

    Soldat Struck
    Zum Tod des ehemaligen Verteidigungs­ministers: Was gesagt werden muß

    „Schlechte Stimmung“
    Fußball: Ultra-Fußballfans fühlen sich
    von Politik und Verbänden diskriminiert

    Bahn frei?
    Die Europäische Union fordert, daß Deutschland das Ende der Deutschen Bahn einläutet

    „Immer neue Frechheiten“
    Lars Seidensticker vom Eigentümerverband Ost über die deutschen Ostgebiete

    Dr. Pizzasalami
    Klinik unter Palmen: Deutsche Ärzte machen sich Sorgen über die Sprachprobleme eingewanderter ausländischer Mediziner

    Zweifelhafter Held
    Prozeß: Darf man Georg Elser, bei dessen gescheitertem Attentatsversuch auf Hitler acht Menschen starben, einen „Mörder“ nennen?

    „Pistole“ macht in Kunst
    Terror, Nazis und viel Bier: Wie der Neo­nazi-Aussteiger Manuel Bauer für die linke Initiative EXIT aufblüht

    Österreich:
    „Kirchenasyl“
    Seit Mitte Dezember halten Asylanten die Wiener Votivkirche besetzt

    International:
    „Starkes, freies Land“
    Warum zieht es Ausländer wie Gerard Depardieu nach Rußland? Der in Rußland lebende Franzose Alexandre Latsa weiß die Antwort

    Silvio Salvatore
    Italien: Silvio Berlusconi macht sich startklar für die nächste Runde in Rom

    Spiel mir den Narcocorrido
    Mexiko: Staatlicher Feldzug gegen die Drogenkartelle in der Sackgasse

    „Drohungen und Anschläge“
    Pressefreiheit: In Syrien riskieren Journalisten, die nicht auf Seiten der Rebellen stehen, Kopf und Kragen. Der syrische Journalist Abdalla Abdul-Wahab im ZUERST!-Gespräch

    Wirtschaft:
    Neue Einwan­derungswelle?
    Arbeitsmarkt: Vor allem aus den von der Krise gebeutelten südeuropäischen Ländern kommen junge Arbeitsmigranten

    Schulden machen glücklich
    Japan hat eine neue Regierung, die das ohnedies überbordende Staatsdefizit noch vergrößern will. Trotzdem ist die Wirtschaft begeistert. Wie kann das gutgehen?

    Geschichte:
    Der Soldatenkönig
    Preußen: Vor 300 Jahren bestieg Friedrich Wilhelm I. den Thron

    „Nur noch ein Funke“
    1813: Der preußische General Hans Ludwig Yorck von Wartenburg und seine Rede vor den Ständen Ostpreußens

    „Nicht nachvollziehbar“
    Eine deutsch-italienische Historikerkommission bezichtigt Deutschland schwerer Kriegsverbrechen im Zweiten Weltkrieg in Italien. Der Münchner Historiker Dr. Walter Post erklärt im ZUERST!-Gespräch, warum er diese Forschungsergebnisse anzweifelt

    Umwelt:
    Deutschland wächst
    25 Kilometer vor Schleswig-Holsteins Nordseeküste ist im Wattenmeer eine neue Insel entstanden

    Technik:
    Schönes Stück Deutschland
    Die siebte Generation des VW-Golf ist etwas teurer als die Konkurrenz, dafür aber auch perfekter

    Kultur:
    Fakten, Fakten, Focus
    Im Januar 1993 erschien die erste Ausgabe des Nachrichtenmagazins Focus, der ein Gegen-Spiegel sein wollte

    „Der reitende Eurasier“
    Der italienische Wissenschaftler Prof. Dr. Claudio Mutti im ZUERST!-Gespräch über die Faszination des Baron Roman von Ungern-Sternberg

    Das Auftragsstück
    Vor 50 Jahren wurde das umstrittene Theaterstück Der Stellvertreter von Rolf Hochhuth uraufgeführt

    Grober Klotz mit weichem Herz
    Von Zwickau hinaus in die Welt:
    Gert Fröbe zum 100. Geburtstag

    Gesellschaft:
    Munga Munga in Kenia
    Hoffnung, Enttäuschung, Erwartung und Betrug: Die weißen „Sugar Mamas“ und die schwarzen „Beachboys“

    Rettet die Maultasche!
    Wie Kochsendungen den guten Geschmack der Deutschen verderben

    Der Visionär
    Über Marton Gyöngyösi tobte ein
    Empörungs-Tsunami hinweg: Er hatte den israelischen Einfluß in Ungarn ­kri­tisiert. ZUERST! hat sich mit dem Spitzenpolitiker der ungarischen Rechtspartei Jobbik getroffen

00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, allemagne | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

mardi, 05 février 2013

Un samouraï d'Occident

 

 
NRH 64 2

Un samouraï d'Occident

par Dominique Venner

Ex: http://www.dominiquevenner.fr/

Edito de la Nouvelle Revue d’Histoire n°64

janvier-février 2013

Exister c’est se vouer et se dévouer. Mais mourir, c’est parfois une autre façon d’exister. Exister face au destin. Voilà bien un paradoxe digne d’un samouraï d’Occident qu’illustre notre dossier consacré à « La fin des Habsbourg ». Paradoxe, mais vérité. Un exemple, celui de l’archiduc François-Ferdinand, assassiné à Sarajevo le 28 juin 1914. Si l’on en croit son récent biographe, Jean-Paul Bled, l’archiduc héritier n’avait pas toujours la sagesse politique de son oncle, l’empereur François-Joseph. Les conséquences de l’attentat de Sarajevo eurent de telles proportions géantes qu’il est impossible d’imaginer ce qui serait advenu de l’Europe et de l’empire des Habsbourg sans cet assassinat. Une seule certitude, le vieil empereur François-Joseph se serait éteint de toute façon le 21 novembre 1916, et François-Ferdinand lui aurait alors succédé. Avec quelles conséquences ? Nous l’ignorons. Quel souvenir aurait-il laissé ? Nouvelle inconnue. Un fait demeure. La mort dramatique de l’archiduc héritier a donné à son personnage une densité exceptionnelle que plus rien n’est venu modifier. C’est un paradoxe qu’aurait compris le Japon des samouraï autant que la haute Antiquité européenne toujours à redécouvrir.

Par la voix de leur poète fondateur, nos anciens âges avaient la conscience forte de ce qu’ajoute une mort dramatique à l’image du défunt. Ainsi parle Hélène : « Zeus nous a fait un dur destin afin que nous soyons chantés par les hommes à venir » (Iliade, VI, 357-358). Ainsi parle également Alcinoos, roi des Phéaciens, pour consoler Ulysse qui pleure ses camarades morts : « Si les dieux ont infligé la mort à tant d’hommes, c’est pour donner des chants aux gens de l’avenir » (Odyssée, VIII, 579-580). Donner des chants, autrement dit des poèmes, cela signifie transcender le malheur en œuvre d’art. Ce fut une constante de l’imaginaire européen pour qui les grands drames font les grandes sagas. Achille était d’une vitalité extrême, pourtant, il fit le choix d’une vie brève et glorieuse, plutôt que d’une existence longue et terne (Iliade, IX, 410-417). Le héros était d’ailleurs sans illusion sur ce qui survient après la mort : « La vie d’un homme ne se retrouve pas ; jamais plus elle ne se laisse saisir, du jour qu’elle est sortie de l’enclos des dents » (Iliade, 408-409). Plus tard, réduit à l’état d’ombre aux Enfers, il dira à Ulysse que l’éternité lui semble d’un ennui mortel. Opinion partagée par Ulysse lui-même. Dans l’Odyssée, le héros éponyme se voit proposer par la nymphe Calypso une vie éternelle et voluptueuse à ses côtés. Contre toute attente, il refuse, préférant son destin de mortel et choisissant de retrouver sa terre et son épouse Pénélope pour mourir à ses côtès (Odyssée, V, 215-220).

La mort n’est pas seulement le drame que l’on dit, sinon pour ceux qui pleurent sincèrement le disparu. Elle met fin aux maladies cruelles et interrompt le délabrement de la vieillesse, donnant leur place aux nouvelles générations. La mort peut se révéler aussi une libération à l’égard d’un sort devenu insupportable ou déshonorant. Elle peut même devenir un motif de fierté. Sous sa forme volontaire illustrée par les samouraï et les « vieux Romains », elle peut constituer la plus forte des protestations contre une indignité autant qu’une provocation à l’espérance. Certes, la mort de l’archiduc François-Ferdinand ne fut en rien volontaire. Mais tous les témoignages recueillis sur le drame de Sarajevo prouvent que, durant cette journée fatale, il regarda plusieurs fois la mort dans les yeux sans jamais ciller, comme un samouraï. Ainsi, de celui que l’on perçoit habituellement comme une victime, par la force de ma pensée différente, je fais un héros.

 Dominique Venner

00:05 Publié dans Nouvelle Droite, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dominique venner, nouvelle droite, revue | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

vendredi, 01 février 2013

REBELLION n° 56

REBELLION n° 56 EST SORTI !

rebellion, socialisme européen, insoumission, mas, révolution, françis cousin

Au sommaire du numéro : 

Editorial : Réflexion en écho à celle d'un philosophe transalpin

Actualité : la rébellion des peuples européens. 

Idées : Penser le libéralisme par Charles Robin. 

L'Odyssée de la crise. 

Entretien avec Francis Cousin : L'Etre contre l'Avoir. 

Esprit Libre : La liberté d'expression ne se demande pas. elle se prend !

Entretiens avec Arnaud Guyot-Jeannin et Javier R. Portella

Polémique : Retour sur la pensée de Richard Millet. 

Culture : Les illusions de la contre-culture par David l'Epée. 

Chroniques livres. 

 

Le numéro est disponible contre 4 euros à l'adresse suivante : 

Rébellion

c/o RSE BP 62124  

F-31020  TOULOUSE cedex 02

19:01 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, révbellion, socialisme révolutionnaire, france, révolte | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

mercredi, 30 janvier 2013

Neue Ordnung IV/2012

Zur Vergrößerung auf das Umschlagbild klicken!

Neue Ordnung IV/2012

http://www.neue-ordnung.at/

Staatsfeinde oder Mitbürger? Seite 2–3, 9
Von Hans B. von Sothen

Zitiert 4

Knapp & klar Seite 4–5

Merkel und sonst nichts Seite 6–7
Von Dr. Hans-Dietrich Sander

Pannonicus Seite 8

Die Identitären Seite 10–11
Von Martin Lichtmesz

Europa der Vaterländer – Vaterland Europa Seite 12–15
Zehn Thesen
Von Univ.-Dozent Dr. Friedrich ­Romig

Entkommunifizierung Seite 14–16
Das undurchführbare Projekt in Kroatien
Von Dr. Tomislav Sunic

Stalingrad Seite 17–18
Der Untergang der 6. Armee vor 70 Jahren

Treue und Glaube Seite 19–22
Das ideengeschichtliche Vermächtnis von Antoine de Saint-Exupéry
Von Benedikt Kaiser

Die Rubrik „Abendland“ Seite 23

Odin statt Jesus? Seite 24–31
Gott- und Jenseitsvorstellungen im deutschen Neuheidentum
Von Dr. Baal Müller

Heidentum – Sukzession – Überlieferung Seite 32–37
Von Johannes Auer

Heldischer Christus – Wehrhaftes Christentum Seite 38–43
Für eine christlich-nationale Neubesinnung in der deutschen Kulturnation
Von Manfred Müller

Libri legendi Seite 44–46

10:09 Publié dans Nouvelle Droite, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : autriche, revue, nouvelle droite | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

mercredi, 09 janvier 2013

Elementos 38: Werner Sombart / Elementos 37: Federalismo

ELEMENTOS Nº 38. WERNER SOMBART. EL BURGUÉS: HOMO OECONOMICUS MODERNO
 
Enlace Revista electrónica

Enlace Revista documento pdf


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Sumario.-
 
El burgués: paradigma del hombre moderno, por Alain de Benoist
Werner Sombart y la teoría histórica de la economía, por José Antonio Rubio
Werner Sombart y el hombre económico moderno, por João Carlos Graça
El burgués, de Werner Sombart, por Conrado García Alix
Las doctrinas económicas de Werner Sombart, por E. L. Marshall
Socialismo, fútbol y movilidad social. A proposito de ¿Por qué no hay socialismo en los Estados Unidos?, de W. Sombart, por Francisco Javier Noya Miranda,
Sombart. La cultura de la otra Europa, por Thule
Sombart y la teoría de la destrucción creativa, por Jorge Ortega
Sombart y los judíos, por Claudio Mutti
Sombart: lujo y capitalismo, por Juan Soler Llácer
Actualidad de Werner Sombart, por José Mª Castroviejo
Sombart y Spengler. Las Grandes Ciudades y sus contradicciones, por Patricio H. Rändle
Libros electrónicos:
¿Por qué no hay socialismo en Estados Unidos?
Los judíos y el capitalismo moderno
Enlaces a esta entrada
 
Enlace Revista electrónica

Enlace Revista documento pdf


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Sumario
 
El primer federalista. Johannes Althusius, por Alain de Benoist
 
Carl Schmitt y el Federalismo, por Luis María Bandieri
Nacionalismo, Democracia y Federalismo, por Ramón Máiz
Europa federal y el principio de subsidiariedad, por Rodrigo Agulló
España, ¿federación o autodeterminación?, por Sebastian J. Lorenz
Plurinacionalidad, Federalismo y Derecho de Autodeterminación, por Jaime Pastor
El federalismo pluralista. Del federalismo nacional al federalismo plurinacional, por Miquel Caminal
Federalismo plurinacional, por Ramón Máiz
Estado federal y Confederación de Estados, por Max Sercq
De la Confederación a la Federación. Reflexiones sobre la finalidad de la integración europea, por Joschka Fischer
Federalismo versus Imperialismo, por Juan Beneyto
Europa. De imperio a federación, por Josep M. Colomer
Entrevistas imaginarias con el Presidente de Europa y el Jefe del Gobierno europeo

samedi, 05 janvier 2013

Terre et Peuple Magazine n°54 Hiver 2012

Terre et Peuple Magazine n°54

Hiver 2012

TP_54_-_dcembre_2012_Copier

13:31 Publié dans Nouvelle Droite, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, nouvelle droite, empire | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

jeudi, 29 novembre 2012

L’ISLAMISMO CONTRO L’ISLAM?

L’ISLAMISMO CONTRO L’ISLAM?

Sommario del numero XXVIII (4-2012) d'Eurasia - Rivista di studi geopolitici

http://www.eurasia-rivista.org/

L’ISLAMISMO CONTRO L’ISLAM?

Lo strumento fondamentalista

“Il vero problema per l’Occidente non è il fondamentalismo islamico, ma l’Islam in quanto tale”. Questa frase, che Samuel Huntington colloca in chiusura del lungo capitolo del suo Scontro delle civiltà intitolato “L’Islam e l’Occidente”1, merita di essere letta con un’attenzione maggiore di quella che ad essa è stata riservata finora.

Secondo l’ideologo statunitense, l’Islam in quanto tale è un nemico strategico dell’Occidente, poiché è il suo antagonista in un conflitto di fondo, che non nasce tanto da controversie territoriali, quanto da un fondamentale ed esistenziale confronto tra difesa e rifiuto di “diritti umani”, “democrazia” e “valori laici”. Scrive infatti Huntington: “Fino a quando l’Islam resterà l’Islam (e tale resterà) e l’Occidente resterà l’Occidente (cosa meno sicura) il conflitto di fondo tra due grandi civiltà e stili di vita continuerà a caratterizzare in futuro i reciproci rapporti”2.

Ma la frase riportata all’inizio non si limita a designare il nemico strategico; da essa è anche possibile dedurre l’indicazione di un alleato tattico: il fondamentalismo islamico. È vero che nelle pagine dello Scontro delle civiltà l’idea di utilizzare il fondamentalismo islamico contro l’Islam non si trova formulata in una forma più esplicita; tuttavia nel 1996, allorché Huntington pubblicò The Clash of Civilizations and the Remaking of World Order, una pratica di questo genere era già stata inaugurata.

“È un dato di fatto – scrive un ex ambasciatore arabo accreditato negli Stati Uniti e in Gran Bretagna – che gli Stati Uniti abbiano stipulato delle alleanze coi Fratelli Musulmani per buttar fuori i Sovietici dall’Afghanistan; e che, da allora, non abbiano cessato di far la corte alla corrente islamista, favorendone la propagazione nei paesi d’obbedienza islamica. Seguendo le orme del loro grande alleato americano, la maggior parte degli Stati occidentali ha adottato, nei confronti della nebulosa integralista, un atteggiamento che va dalla benevola neutralità alla deliberata connivenza”3.

L’uso tattico del cosiddetto integralismo o fondamentalismo islamico da parte occidentale non ebbe inizio però nell’Afghanistan del 1979, quando – come ricorda in From the Shadows l’ex direttore della CIA Robert Gates – già sei mesi prima dell’intervento sovietico i servizi speciali statunitensi cominciarono ad aiutare i guerriglieri afghani.

Esso risale agli anni Cinquanta e Sessanta, allorché Gran Bretagna e Stati Uniti, individuato nell’Egitto nasseriano il principale ostacolo all’egemonia occidentale nel Mediterraneo, fornirono ai Fratelli Musulmani un sostegno discreto ma accertato. È emblematico il caso di un genero del fondatore del movimento, Sa’id Ramadan, che “prese parte alla creazione di un importante centro islamico a Monaco in Germania, intorno al quale si costituì una federazione ad ampio raggio”4. Sa’id Ramadan, che ricevette finanziamenti e istruzioni dall’agente della CIA Bob Dreher, nel 1961 espose il proprio progetto d’azione ad Arthur Schlesinger Jr., consigliere del neoeletto presidente John F. Kennedy. “Quando il nemico è armato di un’ideologia totalitaria e dispone di reggimenti di fedeli devoti, – scriveva Ramadan – coloro che sono schierati su posizioni politiche opposte devono contrastarlo sul piano dell’azione popolare e l’essenza della loro tattica deve consistere in una fede contraria e in una devozione contraria. Solo delle forze popolari, genuinamente coinvolte e genuinamente reagenti per conto proprio, possono far fronte alla minaccia d’infiltrazione del comunismo”5.

L’uso strumentale dei movimenti islamisti funzionali alla strategia atlantica non terminò con il ritiro dell’Armata Rossa dall’Afghanistan. Il patrocinio fornito dall’Amministrazione Clinton al separatismo bosniaco ed a quello kosovaro, l’appoggio statunitense e britannico al terrorismo wahhabita nel Caucaso, il sostegno ufficiale di Brzezinski ai movimenti fondamentalisti armati in Asia centrale, gl’interventi a favore delle bande sovversive in Libia ed in Siria sono gli episodi successivi di una guerra contro l’Eurasia in cui gli USA e i loro alleati si avvalgono della collaborazione islamista.

Il fondatore di An-Nahda, Rachid Ghannouchi, che nel 1991 ricevette gli elogi del governo di George Bush per l’efficace ruolo da lui svolto nella mediazione tra le fazioni afghane antisovietiche, ha cercato di giustificare il collaborazionismo islamista abbozzando un quadro pressoché idilliaco delle relazioni tra gli USA e il mondo islamico. A un giornalista del “Figaro” che gli chiedeva se gli americani gli sembrassero più concilianti degli Europei il dirigente islamista tunisino ha risposto di sì, perché “non esiste un passato coloniale tra i paesi musulmani e l’America; niente Crociate, niente guerra, niente storia”; ed alla rievocazione della lotta comune di americani e islamisti contro il nemico bolscevico ha aggiunto la menzione del contributo inglese6.

La “nobile tradizione salafita”

L’islamismo rappresentato da Rachid Ghannouchi, scrive un orientalista, è quello che “si richiama alla nobile tradizione salafita di Muhammad ‘Abduh e che ha avuto una versione più moderna nei Fratelli Musulmani”7.

Ritornare al puro Islam dei “pii antenati” (as-salaf as-sâlihîn), facendo piazza pulita della tradizione scaturita dal Corano e dalla Sunna nel corso dei secoli: è questo il programma della corrente riformista che ha i suoi capostipiti nel persiano Jamal ad-Din al-Afghani (1838-1897) e nei suoi discepoli, i più importanti dei quali furono l’egiziano Muhammad ‘Abduh (1849-1905) e il siriano Muhammad Rashid Rida (1865-1935).

Al-Afghani, che nel 1883 fondò l’Associazione dei Salafiyya, nel 1878 era stato iniziato alla massoneria in una loggia di rito scozzese del Cairo. Egli fece entrare nell’organizzazione liberomuratoria gli intellettuali del suo entourage, tra cui Muhammad ‘Abduh, il quale, dopo aver ricoperto una serie di altissime cariche, il 3 giugno 1899 diventò Muftì dell’Egitto col beneplacito degl’Inglesi.

“Sono i naturali alleati del riformatore occidentale, meritano tutto l’incoraggiamento e tutto il sostegno che può esser dato loro”8: questo l’esplicito riconoscimento del ruolo di Muhammad ‘Abduh e dell’indiano Sir Sayyid Ahmad Khan (1817-1889) che venne dato da Lord Cromer (1841-1917), uno dei principali architetti dell’imperialismo britannico nel mondo musulmano. Infatti, mentre Ahmad Khan asseriva che “il dominio britannico in India è la cosa più bella che il mondo abbia mai visto”9 ed affermava in una fatwa che “non era lecito ribellarsi agli inglesi fintantoché questi rispettavano la religione islamica e consentivano ai musulmani di praticare il loro culto”10, Muhammad ‘Abduh trasmetteva all’ambiente musulmano le idee razionaliste e scientiste dell’Occidente contemporaneo. ‘Abduh sosteneva che nella civiltà moderna non c’è nulla che contrasti col vero Islam (identificava i ginn con i microbi ed era convinto che la teoria evoluzionista di Darwin fosse contenuta nel Corano), donde la necessità di rivedere e correggere la dottrina tradizionale sottoponendola al giudizio della ragione e accogliendo gli apporti scientifici e culturali del pensiero moderno.

Dopo ‘Abduh, capofila della corrente salafita fu Rashid Rida, che in seguito alla scomparsa del califfato ottomano progettò la creazione di un “partito islamico progressista”11 in grado di creare un nuovo califfato. Nel 1897 Rashid Rida aveva fondato la rivista “Al-Manar”, la quale, diffusa in tutto il mondo arabo ed anche altrove, dopo la sua morte verrà pubblicata per cinque anni da un altro esponente del riformismo islamico: Hasan al-Banna (1906-1949), il fondatore dell’organizzazione dei Fratelli Musulmani.

Ma, mentre Rashid Rida teorizzava la nascita di un nuovo Stato islamico destinato a governare la ummah, nella penisola araba prendeva forma il Regno Arabo Saudita, in cui vigeva un’altra dottrina riformista: quella wahhabita.

La setta wahhabita

La setta wahhabita trae il proprio nome dal patronimico di Muhammad ibn ‘Abd al-Wahhab (1703-1792), un arabo del Nagd di scuola hanbalita che si entusiasmò ben presto per gli scritti di un giurista letteralista vissuto quattro secoli prima in Siria e in Egitto, Taqi ad-din Ahmad ibn Taymiyya (1263-1328). Sostenitore di ottuse interpretazioni antropomorfiche delle immagini contenute nel linguaggio coranico, animato da un vero e proprio odium theologicum nei confronti del sufismo, accusato più volte di eterodossia, Ibn Taymiyya ben merita la definizione di “padre del movimento salafita attraverso i secoli”12 datagli da Henry Corbin. Seguendo le sue orme, Ibn ‘Abd al-Wahhab e i suoi partigiani bollarono come manifestazioni di politeismo (shirk) la fede nell’intercessione dei profeti e dei santi e, in genere, tutti quegli atti che, a loro giudizio, equivalessero a ritenere partecipe dell’onnipotenza e del volere divino un essere umano o un’altra creatura, cosicché considerarono politeista (mushrik), con tutte le conseguenze del caso, anche il pio musulmano trovato ad invocare il Profeta Muhammad o a pregare vicino alla tomba di un santo. I wahhabiti attaccarono le città sante dell’Islam sciita, saccheggiandone i santuari; impadronitisi nel 1803-1804 di Mecca e di Medina, demolirono i monumenti sepolcrali dei santi e dei martiri e profanarono perfino la tomba del Profeta; misero al bando le organizzazioni iniziatiche e i loro riti; abolirono la celebrazione del genetliaco del Profeta; taglieggiarono i pellegrini e sospesero il Pellegrinaggio alla Casa di Dio; emanarono le proibizioni più strampalate.

Sconfitti dall’esercito che il sovrano egiziano aveva inviato contro di loro dietro esortazione della Sublime Porta, i wahhabiti si divisero tra le due dinastie rivali dei Sa’ud e dei Rashid e per un secolo impegnarono le loro energie nelle lotte intestine che insanguinarono la penisola araba, finché Ibn Sa’ud (‘Abd al-’Aziz ibn ‘Abd ar-Rahman Al Faysal Al Su’ud, 1882-1953) risollevò le sorti della setta. Patrocinato dalla Gran Bretagna, che, unico Stato al mondo, nel 1915 instaurò relazioni ufficiali con lui esercitando un “quasi protettorato”13 sul Sultanato del Nagd, Ibn Sa’ud riuscì ad occupare Mecca nel 1924 e Medina nel 1925. Diventò così “Re del Higiaz e del Nagd e sue dipendenze”, secondo il titolo che nel 1927 gli venne riconosciuto nel Trattato di Gedda del 20 maggio 1927, stipulato con la prima potenza europea che riconobbe la nuova formazione statale wahhabita: la Gran Bretagna.

“Le sue vittorie – scrisse uno dei tanti orientalisti che hanno cantato le sue lodi – lo han reso il sovrano più potente d’Arabia. I suoi domini toccano l’Iràq, la Palestina, la Siria, il Mar Rosso e il Golfo Persico. La sua personalità di rilievo si è affermata con la creazione degli Ikhwàn o Fratelli: una confraternita di Wahhabiti attivisti che l’inglese Philby ha chiamato ‘una nuova massoneria’”14.

Si tratta di Harry St. John Bridger Philby (1885-1960), l’organizzatore della rivolta araba antiottomana del 1915, il quale “aveva occupato alla corte di Ibn Saud il posto del deceduto Shakespeare”15, per citare l’espressione iperbolica di un altro orientalista di quell’epoca. Fu lui a caldeggiare presso Winston Churchill, Giorgio V, il barone Rothschild e Chaim Weizmann il progetto di una monarchia saudita che, usurpando la custodia dei Luoghi Santi tradizionalmente assegnata alla dinastia hascemita, unificasse la penisola araba e controllasse per conto dell’Inghilterra la via marittima Suez-Aden-Mumbay.

Con la fine del secondo conflitto mondiale, durante il quale l’Arabia Saudita mantenne una neutralità filoinglese, al patrocinio britannico si sarebbe aggiunto e poi sostituito quello nordamericano. In tal senso, un evento anticipatore e simbolico fu l’incontro che ebbe luogo il 1 marzo 1945 sul Canale di Suez, a bordo della Quincy, tra il presidente Roosevelt e il sovrano wahhabita; il quale, come ricordava orgogliosamente un arabista statunitense, “è sempre stato un grande ammiratore dell’America, che antepone anche all’Inghilterra”16. Infatti già nel 1933 la monarchia saudita aveva dato in concessione alla Standard Oil Company of California il monopolio dello sfruttamento petrolifero, mentre nel 1934 la compagnia americana Saoudi Arabian Mining Syndicate aveva ottenuto il monopolio della ricerca e dell’estrazione dell’oro.

I Fratelli Musulmani

Usurpata la custodia dei Luoghi Santi ed acquisito il prestigio connesso a tale ruolo, la famiglia dei Sa’ud avverte l’esigenza di disporre di una “internazionale” che le consenta di estendere la propria egemonia su buona parte della comunità musulmana, al fine di contrastare la diffusione del panarabismo nasseriano, del nazionalsocialismo baathista e – dopo la rivoluzione islamica del 1978 in Iran – dell’influenza sciita. L’organizzazione dei Fratelli Musulmani mette a disposizione della politica di Riyad una rete organizzativa che trarrà alimento dai cospicui finanziamenti sauditi. “Dopo il 1973, grazie all’aumento dei redditi provenienti dal petrolio, i mezzi economici non mancano; verranno investiti soprattutto nelle zone in cui un Islam poco ‘consolidato’ potrebbe aprire la porta all’influenza iraniana, in particolare l’Africa e le comunità musulmane emigrate in Occidente”17.

D’altronde la sinergia tra la monarchia wahhabita e il movimento fondato nel 1928 dall’egiziano Hassan al-Banna (1906-1949) si basa su un terreno dottrinale sostanzialmente comune, poiché i Fratelli Musulmani sono gli “eredi diretti, anche se non sempre rigorosamente fedeli, della salafiyyah di Muhammad ‘Abduh”18 e in quanto tali recano inscritta fin dalla nascita nel loro DNA la tendenza ad accettare, sia pure con tutte le necessarie riserve, la moderna civiltà occidentale. Tariq Ramadan, nipote di Hassan al-Banna ed esponente dell’attuale intelligencija musulmana riformista, così interpreta il pensiero del fondatore dell’organizzazione: “Come tutti i riformisti che l’hanno preceduto, Hassan al-Banna non ha mai demonizzato l’Occidente. (…) L’Occidente ha permesso all’umanità di fare grandi passi in avanti e ciò è avvenuto a partire dal Rinascimento, quando è iniziato un vasto processo di secolarizzazione (‘che è stato un apporto positivo’, tenuto conto della specificità della religione cristiana e dell’istituzione clericale)”19. L’intellettuale riformista ricorda che il nonno, nella sua attività di maestro di scuola, si ispirava alle più recenti teorie pedagogiche occidentali e riporta da un suo scritto un brano eloquente: “Dobbiamo ispirarci alle scuole occidentali, ai loro programmi (…) Dobbiamo anche prendere dalle scuole occidentali e dai loro programmi il costante interesse all’educazione moderna e il loro modo di affrontare le esigenze e la preparazione all’apprendimento, fondate su metodi saldi tratti da studi sulla personalità e la naturalità del bambino  (…) Dobbiamo approfittare di tutto ciò, senza provare alcuna vergogna: la scienza è un diritto di tutti (…)”20.

Con la cosiddetta “Primavera araba”, si è manifestata in maniera ufficiale la disponibilità dei Fratelli Musulmani ad accogliere quei capisaldi ideologici della cultura politica occidentale che Huntington indicava come termini fondamentali di contrasto con l’Islam. In Libia, in Tunisia, in Egitto i Fratelli hanno goduto del patrocinio statunitense.

Il partito egiziano Libertà e Giustizia, costituito il 30 aprile 2011 per iniziativa della Fratellanza e da essa controllato, si richiama ai “diritti umani”, propugna la democrazia, appoggia una gestione capitalistica dell’economia, non è contrario ad accettare prestiti dal Fondo Monetario Internazionale. Il suo presidente Muhammad Morsi (n. 1951), oggi presidente dell’Egitto, ha studiato negli Stati Uniti, dove ha anche lavorato come assistente universitario alla California State University; due dei suoi cinque figli sono cittadini statunitensi. Il nuovo presidente ha subito dichiarato che l’Egitto rispetterà tutti i trattati stipulati con altri paesi (quindi anche con Israele); ha compiuto in Arabia Saudita la sua prima visita ufficiale e ha dichiarato che intende rafforzare le relazioni con Riyad; ha dichiarato che è un “dovere etico” sostenere il movimento armato di opposizione che combatte contro il governo di Damasco.

Se la tesi di Huntington aveva bisogno di una dimostrazione, i Fratelli Musulmani l’hanno fornita.

NOTE:

1. Samuel P. Huntington, Lo scontro delle civiltà e il nuovo ordine mondiale, Garzanti, Milano 2000, p. 319.

2. Ibidem, p. 310.

3. Rédha Malek, Tradition et révolution. L’enjeu de la modernité en Algérie et dans l’Islam, ANEP, Rouiba (Algeria) 2001, p. 218.

4. Stefano Allievi e Brigitte Maréchal, I Fratelli Musulmani in Europa. L’influenza e il peso di una minoranza attiva, in: I Fratelli Musulmani nel mondo contemporaneo, a cura di M. Campanini e K. Mezran, UTET, Torino 2010, p. 219.

5. “When the enemy is armed with a totalitarian ideology and served by regiments of devoted believers, those with opposing policies must compete at the popular level of action and the essence of their tactics must be counter- faith and counter-devotion. Only popular forces, genuinely involved and genuinely reacting on their own behalf, can meet the infiltrating threat of Communism” (http://www.american-buddha.com/lit.johnsonamosqueinmunich.12.htm)

6. “- Les Américains vous semblent-ils plus conciliants que les Européens? – A l’égard de l’islam, oui. Il n’y a pas de passé colonial entre les pays musulmans et l’Amérique, pas de croisades; pas de guerre, pas d’histoire… – Et vous aviez un ennemi commun: le communisme athée, qui a poussé les Américains à vous soutenir… – Sans doute, mais la Grande-Bretagne de Margaret Thatcher était aussi anticommuniste…” (Tunisie: un leader islamiste veut rentrer, 22/01/2011; http://plus.lefigaro.fr/article/tunisie-un-leader-islamiste-veut-rentrer-20110122-380767/commentaires).

7. Massimo Campanini, Il pensiero islamico contemporaneo, Il Mulino, Bologna 2005, p. 137.

8. Cit. in: Maryam Jameelah, Islam and Modernism, Mohammad Yusuf Khan, Srinagar-Lahore 1975, p. 153.

9. Cit. in: Tariq Ramadan, Il riformismo islamico. Un secolo di rinnovamento musulmano, Città Aperta Edizioni, Troina (En) 2004, p. 65.

10. Massimo Campanini, Il pensiero islamico contemporaneo, cit., p. 23.

11. Cit. in: Tariq Ramadan, op. cit., p. 143.

12. Henry Corbin, Storia della filosofia islamica, Adelphi, Milano 1989, p. 126.

13. Carlo Alfonso Nallino, Raccolta di scritti editi e inediti, Vol. I L’Arabia Sa’udiana, Istituto per l’Oriente, Roma 1939, p. 151.

14. Henri Lammens, L’Islàm. Credenze e istituzioni, Laterza, Bari 1948, p. 158.

15. Giulio Germanus, Sulle orme di Maometto, vol. I, Garzanti, Milano 1946, p. 142.

16. John Van Ess, Incontro con gli Arabi, Garzanti, Milano 1948, p. 108.

17. Alain Chouet, L’association des Frères Musulmans, http://alain.chouet.free.fr/documents/fmuz2.htm. Sulla presenza dei Fratelli Musulmani in Occidente, cfr. Karim Mezran, La Fratellanza musulmana negli Stati Uniti, in: I Fratelli Musulmani nel mondo contemporaneo, cit., pp. 169-196; Stefano Allievi e Brigitte Maréchal, I Fratelli Musulmani in Europa. L’influenza e il peso di una minoranza attiva, ibidem, pp. 197-240.

18. Massimo Campanini, I Fratelli Musulmani nella seconda guerra mondiale: politica e ideologia, “Nuova rivista storica”, a. LXXVIII, fasc. 3, sett.-dic. 1994, p. 625.

19. Tariq Ramadan, op. cit., pp. 350-351.

20. Hassan al-Banna, Hal nusir fi madrasatina wara’ al-gharb, “Al-fath”, 19 sett. 1929, cit. in: Tariq Ramadan, op. cit., p. 352.

 

mercredi, 28 novembre 2012

Zuerst - Dezember 2012

Aktuelle Ausgabe

Aktuelle Ausgabe

Aus dem Inhalt
(Ausgabe Dezember 2012)

http://www.zuerst.de/

Titelgeschichte:
Vertrauen ist gut – Gold ist besser
Intransparenz, Ausflüchte, Beschwichtigungen: Seit langem macht die Deutsche Bundesbank ein Geheimnis um die deutschen Goldreserven im Ausland. Jetzt wächst der Druck, unser Gold zurückzuholen.

„Gold ist Vertrauen“
Warum ist das Gold der Bundesbank ausgerechnet jetzt ein Thema? Der Journalist und Analyst Peter Helmes im ZUERST!-Gespräch

Deutschland:
Prozeß Deluxe
Piraten: In Hamburg standen somalische Freibeuter vor Gericht

Aus vollen Taschen
Steuergeldverschwendung: Der Bund der Steuerzahler deckt wieder haarsträubende Fälle auf

Asyl für alle
In Berlin protestieren angebliche Flüchtlinge gegen die Asylgesetze. Doch hinter ihnen steht eine mächtige inländische Lobby, die sich teils aus Steuergeldern finanziert

Shopping im Reichstag
Während die Medien über Peer Steinbrück herfallen, kauft sich Aserbaidschan die CDU – und keiner merkt es

Die Rentenfalle
Bundesregierung: Schwarzgelb, die „Zusatzrente“ und die große Angst vor dem Wort „Demographie“

Österreich:
Ausverkaufsartikel?
Mit den Reformplänen von Staatssekretär Kurz ist eine neue Debatte um die Staatsbürgerschaft entbrannt

International:
Republik der Mafia
Das Organisierte Verbrechen hat einen eigenen Staat gegründet – und die EU-Länder zahlen und zahlen

Der gehorsame Barack
US-Wahlen: Die Demokratie in den USA ist löchrig wie ein Käse aus Wisconsin

„Fehler der Republikaner“
US-Wahlen: Der konservative US-Jour­nalist und Autor Dr. Thomas Fleming im ZUERST!-Gespräch

„Regelrecht ausgeplündert“
Erfolg und Scheitern: David Irvings Erfahrungen mit deutschen Gerichten

Wirtschaft:
In den Fängen der Bankster
Island und die Erblast der marktradikalen „Geysir-Ökonomie“

„Langfristig gierig“
Wie die US-Bank Goldman Sachs jenseits und diesseits des Atlantiks immer einflußreicher wird

Geschichte:
Der letzte Ritter
Prinzregent Luitpold von Bayern prägte eine Epoche

„Bemerkenswerte Leistung“
Zweiter Weltkrieg: Vor 70 Jahren tobte die Schlacht um Stalingrad. Der österreichische Militärhistoriker Dr. Heinz Magenheimer gehört zu den renommiertesten Stalingrad-Forschern

Lobby für Afrika
Vor 125 Jahren wurde die einflußreiche
Deutsche Kolonialgesellschaft gegründet

Kultur:
„Doppelt bestrafte Generation“
Kreative Protestkultur: Was steckt hinter der „Identitären Bewegung“?

Botschafter des guten Geschmacks
Seit 20 Jahren gibt der deutsche Sänger Max Raabe den guten, alten deutschen Schlager zum besten

Märchenbrüder
Vor 200 Jahren erschien die erste Auflage
der Grimmschen „Kinder- und Haus­märchen“

„Glaube wichtiger als Gehorsam“
Bischof Richard Williamson spricht erstmals ausführlich über seinen Ausschluß aus der traditionalistischen ­Priesterbruderschaft St. Pius X.

Schatz im Silbersee
Edler wilder Westen „made in Germany“: Vor 50 Jahren kamen Winnetou und Old Shatterhand in die Kinos

Dichter und Volkstribun
Vor 150 Jahren verstarb Ludwig Uhland

Gesellschaft:
Frankophiler Umerzieher
Ulrich Wickert feiert seinen 70. Geburtstag – und nervt noch immer als weltbürger­licher Grandseigneur

Männer machen mobil
Der Mann, das unbekannte Wesen: Der „Männerkongreß 2012“ beschäftigt sich mit den Folgen von Trennungen für Männer und Jungs

Der Troubadour
Der deutsche Liedermacher Reinhard Mey wirkt wie ein Sozialarbeiter – aber der Schein trügt

„Leise Revolution“?
Medien entdecken einen neuen Trend:
Ausländer erobern die „Zivilgesellschaft“

Fels in der Brandung
In Syrien machen radikal-sunnitische Banden Jagd auf syrische Christen und schänden Kirchen. ZUERST! besuchte den syrisch-katholischen Priester Elias Zahlawi in Damaskus

00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, allemagne, actualité, presse, médias, journaux | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook