La dégradation du système scolaire, très longtemps niée, devient une évidence, non plus seulement pour les enseignants du supérieur, qui ont de plus en plus de mal à travailler avec les jeunes recrues fraîchement débarquées des salles de classe. La destructuration des programmes scolaires, les méthodes ludiques et créatives ont permis de créer une génération intellectuellement et psychologiquement faible - qui par ailleurs présente le grand intérêt pour les cercles dirigeants d'être beaucoup plus manipulable. Un énorme travail de sape a été parfaitement réalisé sous l'impulsion des structures internationales, fonctionnant de concert, à savoir principalement l'OCDE, l'UNESCO et la Banque mondiale. La Commission européenne surveille l'exécution conforme des réformes au niveau européen, et même les pays non-membre de l'OCDE, comme la Russie, sont pris en main. Mais il a fallu attendre la mise en place de la "crise de Covid" pour bénéficier de l'impulsion nécessaire à l'entrée en force de l'enseignement dit "ouvert et à distance", dont la forme actuelle a été façonnée par l'UNESCO en 1997 pour les pays en voie de développement, mais peinait à s'implanter dans les Etats développés. Ce pas a été franchi grâce à l'excuse Covid et la mondialisation renforce un monde unifié, mais prévu comme inégalitaire, avec un enseignement traditionnel, coûteux, pour une élite et un enseignement low cost pour la plèbe. C'est ça la "nouvelle réalité" qui foncièrement veut, avec le temps, nous être imposée. Car cette élite a besoin d'un peuple inculte pour se sentir supérieure.
L'éducation des peuples est la pierre angulaire du développement de toute société. Sans même parler du développement culturel de cette société, sur lequel repose chaque pays, car de lui va dépendre le niveau moyen des élites dirigeantes, les systèmes d'éducation forment les jeunes êtres humains appelés à devenir des Hommes. La vie n'est pas qu'un concept biologique, à moins de ne l'appliquer qu'aux cellules. Un être humain n'est pas qu'un amas de cellules, c'est avant tout un être pensant et conscient de cela. Sa personnalité va résulter et des connaissances acquises et de la manière dont ces connaissances seront acquises, à savoir de sa capacité à l'effort, qui fera de lui ensuite un être capable de se développer. Ou non.

Les sources de cette tragédie humaine, dont nous sommes les seuls responsables, sont à rechercher dans les organismes internationaux, qui dirigent les politiques d'enseignement au niveau national. L'UNESCO est très active à ce sujet et a lancé depuis 1997, ouvertement, un grand mouvement pour "l'enseignement ouvert et à distance". L'idée est très simple : puisque la mondialisation se développe à merveille, le monde global doit prendre en main l'enseignement. Or, les zones culturelles et économiques de ce monde global sont différentes - l'enseignement à distance est une chance ... pour égaliser. Sous les slogans de "débarrasser des contraintes de temps et de lieu", d'"enseignement flexible", les pays sont largement enjoints à se détourner de l'enseignement traditionnel, qui ne serait plus adapté aux exigences d'aujourd'hui, pour se tourner vers l'enseignement à distance, ce qui concerne également les Universités. Les crises économiques vont aider à convaincre, car cette forme d'enseignement coûte beaucoup moins cher.
Cette démarche a été, au départ, tournée vers les pays en voie de développement. L'argument spécifique était simple : vous n'avez pas un budget énorme à consacrer à l'enseignement, vos ressources intellectuelles sont limitées, nous vous proposons une solution à moindre coût avec accès à des "vidéos" de qualité. Le culte managerial de la rentabilité fait son travail.
Parallèlement, en 2002, l'OCDE, qui s'occupe des questions économiques, ouvre une direction de l'éducation, qui va "aider" les Etats à intensifier "dans le bon sens" les réformes de l'éducation. Un rapport aussi volumineux qu'instructif est disponible ici. La toile se renforce, car les partenaires de l'OCDE ici sont notamment la Banque mondiale (dont nous allons parler ensuite), l'UNESCO, la Commission européenne et tout un réseau d'ONG, ce qui permet l'implantation nationale des directives internationales. La démarche de l'OCDE est très intéressante, car elle se base sur différents programmes, dont la méthodologie annoncée est très significative. Sur le programme PISA :
"Elle collecte des informations sur leurs compétences socio-émotionnelles, leurs attitudes à l’égard de l’apprentissage et leur bien-être, et évalue également le degré d’équité des possibilités d’apprentissage qu’offrent les pays à leurs jeunes citoyens. Grâce à ces évaluations, les pays ont la possibilité de comparer leurs politiques et pratiques éducatives avec celles des systèmes les plus performants et progressant le plus rapidement dans le monde, tout en tirant des enseignements de ces comparaisons."

L'autre intérêt de ces démarches est la mise en avant de l'utilitarisme : il faut produire des instruments utiles à la société contemporaine - telle que ces organismes l'ont préalablement déterminée :
"mesure le niveau des adultes dans les compétences fondamentales – à savoir la littératie, la numératie et la capacité à résoudre des problèmes dans des environnements à forte composante technologique. (...) L’analyse des données de l’Évaluation des compétences des adultes offre aux pays un bon aperçu des forces et faiblesses de leur main-d’œuvre – et des éléments de leurs systèmes d’enseignement et de formation qui pourraient encore être améliorés. "
Dans cette logique, il est suffisant, au regard du monde technologique voulu, que ces gens sachent lire, compter et manier les technologies. Le système éducatif, de l'école à l'Université, doit donc produire des instruments plus ou moins vivants permettant de faire marcher un monde déterminé ailleurs. Ce n'est plus l'homme qui façonne le monde dans lequel il vit, c'est lui qui est sommé de s'adapter à un certain monde.
Une question idiote en passant : qui va donc avoir le droit de former les "élites" qui décideront de la forme du monde ? La réponse nous est donnée grâce à la crise du coronavirus.
Toute cette démarche bloquait un peu avant la crise socio-idéologique du coronavirus. Comme le soulignait l'UNESCO, les pays développés restaient plus attachés aux méthodes d'enseignement traditionnel. Mais cette année, la révolution tant attendue a eu lieu, il a fallu l'aider, mais peu importe, enfin, nous sommes appelés à vivre dans le monde merveilleux des prisons à distance, pardon, de la liberté virtuelle. Et une nouvelle réalité s'impose : tout le monde n'aura pas les mêmes chances dans la vie. Ce n'est pas une nouvelle, cela a toujours été le cas, mais justement les sociétés évoluées, traditionnellement, cherchaient à combattre les inégalités sociales. Maintenant, c'est un fait établi. C'est la nouvelle réalité. Parfaitement expliquée par la Banque Mondiale.
Près de 1,5 milliard d’élèves dans plus de 170 pays ne vont plus à l’école, leurs établissements ayant été fermés par les gouvernements en réaction à la pandémie de Covid-19 (coronavirus). Dans ce contexte, les ministères de l’éducation du monde entier tentent désormais d’assurer la continuité des apprentissages par le biais de l’enseignement à distance.
Tout d'abord, car c'est une démarche qui renforce l'inégalité au lieu de l'effacer :
Mais le même paradoxe surgit partout : si le recours aux EdTech semble pouvoir minimiser les énormes pertes d’apprentissage, surtout chez les élèves vulnérables, il risque dans le même temps de creuser encore davantage les inégalités parmi les élèves .
Le moyen proposé est en fait d'aller plus loin - développer le numérique. Or, comme la crise du coronavirus l'a montré, les élèves veulent un contact physique avec l'école, leurs professeurs et leurs copains. Les étudiants se rebiffent. Certains en Russie, dont la lettre est en ma possession, se sont adressés aux autorités de leur établissement pour décrire la réalité des conditions dans lesquelles ils ont été mis pour passer leurs examens par zoom : devoir chercher un point d'accès internet à plusieurs dans une voiture, louer un appartement à plusieurs, se rapprocher en campagne d'une borne internet quel que soit le temps, etc. Et à ce jour, alors que tout a réouvert à Moscou, étrangement l'Université d'Etat de Moscou (Lomonossov), sur ordre du Recteur, reste fermée ... sine die. D'autres, comme MGIMO, l'Université du ministère des Affaires étrangères russe, ont demandé à leurs enseignants d'enregistrer des vidéos de leurs cours, car il n'est pas certain qu'elles ouvrent leurs portes à la rentrée. Autrement dit, il est possible d'aller au resto ou dans les salles de sports, l'on peut voter pour la réforme constitutionnelle et aller voir la Parade militaire, mais aller à l'Université est dangereux. Dans un certain sens, c'est vrai.
Pour remédier aux défauts du système, par exemple, en France l'on propose des tables rondes dans les écoles (car les virus se dirigent en ligne droite, c'est bien connu) et en Russie de faire signer aux étudiants un document dans lequel ils s'engagent eux-même à ce que leur internet fonctionne. Ubu s'épanouit sous nos cieux ...
Et ce nouveau monde propose donc deux formes d'enseignement. Un enseignement réel, physique, avec un contact entre élèves et enseignants, avec des livres, des cahiers et des bibliothèques, un enseignement cher - pour l'élite. Et un enseignement low cost, avec zoom et wikipédia, "débarrassé des contraintes de temps et de lieu" où les enfants seront obligés de passer des heures assis devant un écran (ce qui est très mauvais pour leur santé) ou bien où les cours, pour tenir compte justement de leur santé seront réduits à 10-20 minutes, pour la forme. Un enseignement peu cher, rentable. Pour la plèbe. Qui ensuite pourra aller vendre dans des magasins des smartphones et des tablettes. Puisque comme précisé dans le rapport de l'OCDE, elle saura lire, compter et manier les technologies, elle pourra établir une facture et même encaisser l'argent, sans trop d'erreurs.
C'est ça la nouvelle réalité qui veut nous être imposée, celle d'un monde inégalitaire et heureux de l'être. C'est ça l'importance de la course aux technologies de pointe, car pendant que les pays sont occupés à cela, ils transforment docilement leur société, détruisent leur industrie, détruisent leur recherche scientifique, détruisent leur système scolaire. S'affaiblissent. Et comme ils sont faibles, ils sont heureux que les masses soient incultes, donc manipulables (comme l'expliquait Herman Gref, le directeur de la Sberbank en Russie). Puisque des populations fortes et éduquées ne pourraient tolérer cela. Pour autant, le fantasme de cette élite édulcorée est assez primaire, car il serait surprenant qu'une baisse généralisée du niveau, ce qui est proposé, permette de sauvegarder des îlots d'élitisme réels.
C'est bien ici un rapport de faiblesses et non pas un rapport de forces. A nous de décider, si l'on veut être formaté pour entrer dans les contours étriqués d'un monde qui réalise le fantasme d'une pseudo-élite, dont l'existence ne dépend que de l'abrutissement de la masse ou si l'on défend la réalité, ni ancienne, ni nouvelle, simplement notre vie.




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En 1905, Mark Sykes, alors jeune diplomate britannique à Constantinopleiii, a rédigé et transmis un rapport sur les sources affleurantes de pétrole entre Bitlis, Mossoul et Baghdad (Report on the Petroliferous Districts of Mesopotamia), à partir du travail d’un ingénieur allemand engagé par la Liste Civile du Sultan. L’attaché militaire anglais, lui, avait déjà été l’auteur d’un article publié en mai 1897 avec une carte des zones pétrolières en Mésopotamie, et en 1904 il avait pu récupérer une copie de la carte des zones pétrolières récemment dressée par un allemand employé du Syndicat ferroviaire anatolien. Cette prospection allemande était menée dans le cadre légal de la concession de la voie ferrée Konya Bagdad et au-delà vers Bassora, signée en 1902 entre une filiale ferroviaire de la Deutsche Bank et l’Empire Ottoman. Car cette concession allemande lui avait accordé un droit complet de prospection, exploitation et vente de produits miniers, pétrole inclus, sur une bande de 20 km de chaque côté du tracé prévu. L’ambassadeur britannique O’Connor transmit à Londres en soulignant « that many of the springs can be profitably worked before the completion of the Baghdad Railway by mean of pipelines to the sea». Dès 1905 plusieurs visées concurrentes se font jour, envers les ressources pétrolières de Mésopotamie et les voies de transfert. 


En 1901 Théodore Herzl s’était vu refuser par le Sultan la concession coloniale juive en Palestine qu’il réclamait en proposant le rachat de l’écrasante dette ottomane et un crédit de 81 ans. Après avoir obtenu au printemps 1902 d’énormes crédits de 3 grandes banques européennes, Crédit Lyonnais, Dresdner Bank, Lloyds, Herzl retourna à Constantinople et là écrivit en français le 25 juillet 1902 une longue lettre au Sultanxvi, incluant : « Par contre le gouvernement Impérial accorderait une charte ou concession de colonisation juive en Mésopotamie – comme Votre Majesté Impériale avait daigné m’offrir en février dernier- en ajoutant le territoire de Haïfa et ses environs en Palestine... » 







En 2019, après sept ans d’hystérie féministe anti-hommes, on en comptait 22 900.
C’est en fait à un véritable redémarrage de l’histoire de la France et de l’Occident auquel nous assistons. Car il est fondamental pour les féministes de faire croire que le harcèlement de rue, par exemple, a toujours existé, et que les femmes se faisaient aussi bien insulter il y a cent ans qu’aujourd’hui. Il est fondamental de faire croire qu’il y a « encore » des viols et du harcèlement, et non pas « de plus en plus ». Il est fondamental de faire croire que le sexisme et le machisme bestial sont des survivances du « patriarcat blanc » et non pas l’avenir de la société islamisée.
S’il existe une clef pour sortir du piège capitonné dans lequel sont en train de nous enfermer ceux qui veulent notre perte, je ne l’ai pas, ni moi ni aucun homme. Nous ne jouons dans cette affaire qu’un rôle secondaire. Seules les femmes, puisque c’est elles que la propagande a choisies pour cible, ont le pouvoir de nous faire sortir de cette impasse, par une réaction massive de rejet, sans aucune nuance ni ambiguïté. L’enjeu est clair : si le féminisme triomphe, non seulement la société européenne traditionnelle sombrera corps et bien, mais disparaîtra également le rêve apparu au cours des années soixante et soixante-dix, celui d’une société désinhibée où les hommes et les femmes auraient pu ensemble opérer un saut anthropologique à la recherche d’une nouvelle harmonie et d’un nouvel âge d’or, en se débarrassant du carcan des interdits judéo-chrétiens et de la logique productiviste. C’était le rêve de Pierre Clastres. C’était le rêve des hippies, anéanti par la prise de pouvoir de la gauche bourgeoise puritaine à partir des années quatre-vingt. 
Si hablamos de las causas de la guerra, entonces Platón las vio en la riqueza de la gente. Aristóteles argumentó que las guerras se libraban para vivir en paz. Algo similar fue expresado por el antiguo pensador chino Sun Tzu, quien calificó la guerra como una lucha para obtener ganancias. Su diferencia con otros tipos de conflicto era que cuando los ejércitos entran en una confrontación, este tipo de lucha termina siendo la más difícil. Además del hecho de que este método es el menos rentable, también es el más inseguro. Según el trabajo de Sun Tzu, el primer lugar en las prioridades de la guerra es preservar el país del enemigo, y solo en el segundo es su destrucción. De manera similar se piensa en el ejército del enemigo: debe ser derrotado solo cuando no hay forma de conquistarlo. Por lo tanto, "el objetivo principal (del arte de la guerra) debería ser la subyugación de otros Estados sin entrar en un conflicto militar: el ideal completo de la victoria se refleja aquí" (3).
La escuela filosófica del tradicionalismo también consideró la manifestación del conflicto como un reflejo de las leyes universales. “La razón principal de la guerra, desde cualquier punto de vista, es considerada como el fin del desorden y la restauración del orden; en otras palabras, la unificación de lo plural por medios que pertenecen al mundo de la pluralidad misma... Según este entendimiento, la guerra no está limitada únicamente a la condición humana, expresa el proceso cósmico de reintegración de lo manifiesto en la unidad original; Por eso, desde el punto de vista de la manifestación misma, esta reintegración parece destrucción” (8). Además, el papel de catalizador de las cualidades espirituales fue algo atribuido a la guerra. Proporciona a una persona un despertar en sí mismo del héroe que duerme dentro. "La guerra permite que una persona se dé cuenta de la relatividad de la vida humana y, por lo tanto, aprenda la ley de que existe algo "más que la vida", por lo tanto, la guerra siempre tiene un significado espiritual antimaterialista", decía el destacado representante de la escuela del tradicionalismo Julius Evola (9). El filósofo italiano también habló de la necesidad de combatir al enemigo interno, que era una sed animal por la vida y lo extrapolaba a un enemigo externo (10).
Las profundas conexiones entre la cultura y la guerra en varias sociedades fueron estudiadas por el crítico cultural holandés Johan Huizinga en su estudio clásico Homo Ludens. Tanto la batalla sangrienta como los torneos en los festivales tenían ciertas reglas y se percibían como parte de la idea inicial del juego. Existían restricciones incluso si al enemigo no se le reconocía una naturaleza humana (bárbaros, demonios, herejes), pero luego se impusieron ciertas restricciones en nombre del honor. "Hasta el momento, tales restricciones se basaban en el derecho internacional, que expresaba el deseo de incluir la guerra en la esfera de la cultura" (13). La formación de la etiqueta en las artes marciales junto a los líderes militares y los duelo en la época medieval también se asocia con esto. Incluso la guerra se definió de manera diferente. Si se trataba de un conflicto de caballeros contra caballeros, era Guerre, pero si los caballeros se oponían a todas las demás enemigos, era Guerre guerroyante y no se consideraba una guerra como tal. En las guerras modernas, Huizinga observaba los rudimentos de tratar la guerra como un juego honesto y noble: este es un intercambio de regalos y cortesías, aunque a veces, sin embargo, toma la forma de una sátira. Huizinga también introdujo una tipología especial de la guerra, basada en el concepto de "agón" (competencia, un término aparentemente asociado con la palabra "ágora", asamblea popular). Así, el tipo de guerra agonal incluye aquellos "cuando los beligerantes comienzan a verse como un adversario que lucha por lo que tiene derecho" (14). Además de la agonal, existe la esfera sagrada de la guerra, cuando la guerra se considera en la esfera del deber sagrado y el honor. Y ambos tipos de guerra son difíciles de separar el uno del otro. Huizinga también notó una conexión etimológica, refiriendo la antigua palabra alemana oorlog (guerra) al reino sagrado, lo que indica que el significado de las palabras correspondientes a oorlog fluctúa entre el destino, la lucha frente al destino y cuando la alianza jurada por el juramento expira.





Pour en revenir à Delgado et Stefancic, une position critique sur les sociétés libres et leurs normes est à nouveau au centre de la Théorie critique de la race : « les spécialistes de la [Théorie] critique de la race sont mécontents du libéralisme en tant que structure pour répondre aux problèmes raciaux de l'Amérique. De nombreux libéraux croient au daltonisme et aux principes neutres du droit constitutionnel » (p. 21). Le célèbre « éducateur critique de la 
C'est évidemment une opinion abominable, qui va à l'encontre de l'un des tout premiers piliers de la science : l'universalité. L'universalité de la science dit que peu importe qui fait une expérience, le résultat sera toujours le même. C'est parce que la science croit en l'
Alors que les récits peuvent être informatifs, pour créer une position selon laquelle la science est un « mode d'acquisition de la connaissance » pour les blancs occidentaux — surtout les hommes — et que le conte est plus adapté aux minorités raciales, la Théorie critique de la race est elle-même raciste — contre les minorités raciales — et paralyse les personnes qu'elle prétend aider. Cela se produit de multiples façons, notamment en sapant leur capacité de réflexion critique, en leur apprenant à voir le monde d'une manière qui les opprime, et en les associant à des stéréotypes négatifs et nuisibles selon lesquels ce sont les Blancs, et non les Noirs, qui utilisent des méthodes rigoureuses. 
On peut aisément concevoir les types de problèmes créés par la mise en pratique de ces doctrines, et constater avec horreur la manière dont la Théorie critique de la race 






























The Color Revolution Otpor! model was refined and deployed in 2004 as the Ukraine Orange Revolution with logo and color theme scarves, and in 2003 in Georgia as the Rose Revolution. Later Secretary of State Hillary Clinton used the template to launch the Arab Spring. In all cases the NED was 















