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vendredi, 05 mars 2010

Restaurer la souveraineté monétaire

Restaurer la souveraineté monétaire

Par Jean Claude Werrebrouck

Comment solder les différences de niveaux de prix intra européens, lorsqu’a disparu l’arme de la dévaluation ? La réponse classique consiste à prôner la déflation salariale – entendre blocage ou baisse des salaires, qui entraînerait une baisse relative de l’inflation et des coûts par rapport à la zone euro et permettrait de restaurer la compétitivité des économies du sud. En clair, plusieurs années d’éreintantes vaches maigres en perspective.

billets_euros_469_300_2636b.jpgL’économiste Jacques Delpla, reprenant une étude d’Olivier Blanchard, du FMI, propose une mise en œuvre à marche forcée de ce programme. Les États du sud, propose-t-il, devraient imposer une réduction coordonnée des salaires et des prix, de l’ordre de 10 à 30%. Jean Claude Werrebrouck s’inquiète des conséquences de cette mesure « abracadabrantesque », aux effets de bord imprévisibles, et qui de plus aurait pour conséquence remarquable d’être favorable aux rentiers. Face à la grande crise qui menace, le temps n’est plus aux bricolages, juge-t-il : il convient de « rétablir la souveraineté monétaire ».

L’économiste en chef du FMI, Olivier Blanchard, propose de sanctionner les « GIPEC » (Grèce, Irlande, Portugal, Espagne et Chypre), encombrants passagers clandestins du navire Euro. Puisqu’il est impossible de les « amincir » par des progrès rapides de productivité, leur permettant tout à la fois de rétablir l’équilibre extérieur, le plein emploi et l’équilibre des comptes publics, il faut en monnaie unique, passer par une dévaluation interne. Le schéma proposé est ambitieux. Puisque la monnaie unique interdit toute manipulation de la valeur externe de la monnaie, il est urgent de procéder à une révolution des prix internes.

Concrètement il s’agit d’une déflation imposée et généralisée des prix, et si possible déflation coordonnée pour assurer l’homothétie du recul. Plus concrètement encore il est proposé une baisse générale, par exemple de 30%, de tous les prix, salaires, loyers, transferts sociaux, retraites, etc.

Il s’agirait bien d’une dévaluation puisqu’il y aurait diminution du pouvoir d’achat international des résidents, en particulier celui les salariés. En même temps, la capacité exportatrice augmenterait en raison de la baisse du niveau général des coûts et des prix. Et, en principe, l’évolution positive du solde commercial serait porteuse d’un ré enclenchement dynamique de la demande globale, et donc porteuse d’emplois nouveaux. Jacques Delpla voit dans cette proposition, un keynésianisme d’un genre sans doute nouveau, marqué par le double sceau de l’acceptabilité politique (hypothèse d’homothétie dans la déflation et donc d’équité) et de l’efficience économique (ajustement plus rapide que les politiques traditionnelles de rigueur). Remarquant toutefois que le poids relatif du stock de dettes serait accru dans les mêmes proportions, il propose à enveloppe constante des budgets bruxellois, un redéploiement des fonds structurels et de la politique agricole commune vers les « GIPEC » soumis à la dévaluation interne. On peut imaginer que les dettes privées pourraient également bénéficier de ce redéploiement.

Un tel projet laisse place à de lourdes interrogations. Tout d’abord il semble bien qu’il s’agit d’une déflation organisée. Cela signifie le rétablissement d’un contrôle des prix avec toutes les difficultés correspondantes. D’abord la mise en place d’une bureaucratie nouvelle chargée du contrôle et de la gestion des litiges. Mais aussi d’inextricables difficultés d’application : dans quelle mesure les prix des marchandises, dont le contenu en input importations est infiniment variable, doivent ils baisser au même rythme que les marchandises locales ? Faut-il établir des barèmes en fonction du contenu importation de marchandises pourtant produites localement ? Plus encore, faut-il prévoir une diminution des prix des crédits nouveaux, ce qui suppose le contrôle des banques et donc du taux de l’intérêt ? La baisse des salaires pourra t’elle être uniforme ? Et surtout peut-on sérieusement imposer une telle baisse, sans voire apparaitre de gigantesques comportements opportunistes, comme dans le cas des heures supplémentaires à la française dans le cadre de la loi « TEPA » ? La liste des questions n’est évidement pas exhaustive, et seule la mise en pratique peut faire apparaitre l’étendue des problèmes, notamment l’étendue imprévisible d’externalités elles mêmes imprévisibles. Levitt et Dubner (cf « Superfreakonomics ») et plus généralement les bons connaisseurs de la micro économie savent à quel point toute intervention développe des conséquences pour le moins inattendues.

Mais au-delà, une question fondamentale se doit d’être évoquée. Si tous les prix diminuent, il est logique que la valeur du stock d’actifs financiers soit rognée dans les mêmes proportions. Pourquoi Jacques Delpla semble soucieux de ne pas déflater la dette existante, et en contre partie mobiliser à ce titre les fonds européens devenant indisponibles par ailleurs ? Le coût d’opportunité d’un tel choix a-t-il fait l’objet d’évaluation ? Pourquoi faut-il ainsi « sacraliser » la dette existante ? Et la réponse consistant à dire qu’une bonne partie de la dette est détenue par des non résidents est insuffisante car l’autre partie est détenue par des résidents qui eux – mais pour quelle raison ?- ne seraient pas soumis à la même déflation. Pourquoi faudrait-il ainsi créer 2 catégories de résidents, les titulaires de la rente s’opposant à tous les autres ?

Mieux, attendu que durant la période de déflation autoritaire, il faudrait continuer à assurer la gestion de la dette publique avec les moyens habituels des agences des Trésors, lesquels passent toujours par des adjudications, faut-il penser que les dites adjudications seraient « déflatées » comme les autres prix ? En clair les agences pourraient-elles imposer le prix de la dette souveraine nouvelle en imposant un taux ? Dans quel Traité de Sciences Economiques a-t-on pu lire qu’un acteur de marché – fusse t-il en situation de monopole – pouvait simultanément fixer et les quantités et les prix ?

Les dérapages des économistes qui – très imprudemment – se déclarent libéraux sont saisissants : au nom de l’ajustement et donc du marché, certains sont prêts à restaurer un ordre, à tout le moins autoritaire, porteur de bien des déconvenues. Comme quoi il est difficile de sacraliser l’ordre spontané de Hayek en édifiant un ordre organisé. Comme quoi il est difficile de conserver le cercle si on le transforme en carré.

Mais s’agit-il par la voie de l’autorité, de protéger des marchés libres, ou plutôt de protéger les ardeurs prédatrices de la rente ?

Car enfin, il est une façon plus simple pour sortir de l’étau les « petits un peu ronds », et ce peut-être sans même renoncer à la monnaie unique : rétablir une souveraineté monétaire dont le blog La Crise des années 2010 se fait l’ardent défenseur.

La rencontre européenne des marchés politiques nationaux a débouché sur le drame de la dénationalisation monétaire dans les années 80 et 90. Bien des mises en gardes furent étouffées dans le climat idéologique de ces années, climat porteur de sacralisation. Et la Raison – comme toujours et partout- s’est effacée devant le nouvel objet sacré. C’est que rien ne peut être entrepris contre le sacré. La violence de ce que certains commencent à appeler – à très juste titre – la « grande crise » met à nu – peut-être plus rapidement que prévu- les incohérences des choix nationaux et européens qui furent promulgués. Et les adeptes de la dénationalisation monétaire sont aujourd’hui terrorisés par l’énormité des conséquences résultant des décisions des années 90. Face à l’énormité des coûts associés au démantèlement de la zone euro ces mêmes adeptes poursuivent leur fuite en avant en imaginant des dévaluations internes abracadabrantesques. Et bien évidemment les entreprises politiques sont encore bien plus démunies devant l’épaisseur du brouillard.

Contre-Info

lundi, 01 mars 2010

Les présidentielles ukrainiennes signalent le recul de l'hégémonie américaine

K. Gajendra SINGH :

Les présidentielles ukrainiennes signalent le recul de l’hégémonie américaine

 

Le 13 février dernier, l’ambassadeur e. r. K. Gajendra Singh, correspondant de la revue italienne « Eurasia », a publié son commentaire sur le résultat des dernières présidentielles en Ukraine. Le texte qui suit en est une synthèse, due à la plume d’Andrea Bogi.

 

Ukraine_federation_svg.pngLes résultats du second tour des présidentielles ukrainiennes ont sanctionné la victoire du candidat pro-russe Viktor Yanoukovitch, avec 48,95% des voix, contre Ioulia Timochenko, avec 45,47%. Environ 70% des citoyens inscrits ont exercé leur droit de vote lors de ces élections qui revêtaient une importance capitale dans la lutte stratégique qui oppose, en Ukraine, le camp occidental au « camp oriental ».

 

Le déroulement régulier de cette élection a été confirmé par plus d’un organisme international et par tous les observateurs, tant russes qu’américains, malgré les protestations de Mme Timochenko, que le vainqueur des élections a accusé, dans un entretien accordé à CNN, de trahir ses propres principes, avancés lors de la fameuse « révolution orange » de 2004 (financée et téléguidée par les Etats-Unis et par les organisations, fondations et marionnettes qu’ils manipulent partout en Eurasie).

 

Dans les commentaires que publiait le New York Times, on pouvait lire : « Timochenko a œuvré à diffuser la révolution orange qui a apporté, pour la première fois, la démocratie de type occidental en Ukraine. Sa défaite pourrait suggérer un reflux des principes de cette révolution orange, mais le fait que le pays a réussi à assumer des élections présidentielles controversées, qu’on considère désormais comme parfaitement régulières, nous fait au contraire croire que l’héritage de la révolution orange a survécu ».

 

Cet avis est partagé par le Professeur Olexej Haran, qui enseigne la politique comparée à l’Université Mohyla de Kiev : il souligne que la démocratie a obtenu un grand succès parmi les Ukrainiens, qui ont été fortement déçus de l’échec des réformes sociales et économiques qu’on leur avait pourtant promises.

 

Le Président américain Barack Obama a félicité à son tour Yanoukovitch, en lui adressant le commentaire suivant : « Le pas en avant en direction du renforcement de la démocratie en Ukraine est un pas positif », ce qui, pour Obama, constitue simultanément l’affirmation de la nécessité de continuer la coopération réciproque dans le but «d’étendre la démocratie et la prospérité, de protéger la sécurité et l’intégrité territoriale, de renforcer la légalité, de promouvoir la non prolifération et de soutenir les réformes économiques et énergétiques en Ukraine ».

 

Yanoukovitch a pourtant déclaré qu’il ne prendrait pas en considération l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN : « L’Ukraine s’intéresse aujourd’hui au développement d’un projet visant la création d’un système collectif de sécurité européenne. Nous sommes prêts à en faire partie et à soutenir l’initiative du Président russe Dimitri Medvedev ». C’est là une indication des plus claires : Yanoukovitch veut restaurer les liens avec la Russie, rompus à partir de 2004 à cause des politiques pro-occidentales de Youchtchenko.

 

Suite à la défaite de Yanoukovitch, il y a cinq ans, Youchtchenko avait opté pour une politique d’opposition à Moscou pour plaire à ses « mécènes », c’est-à-dire, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et aux autres, ce qui a causé de profonds dommages et pertes pour le pays. La situation qui en a résulté fut une querelle permanente avec Moscou pour fixer le prix du transit gazier vers l’Europe centrale et occidentale, querelle où les Ukrainiens n’ont vraiment pas gagner grand chose. Cette dispute a en outre permis aux organes de propagande occidentaux, comme la BBC et CNN, d’inventer force arguments pour médire de la Russie parce que celle-ci avait manifesté l’intention de fournir son gaz au prix du marché à l’Ukraine qui, en réaction, subtilisait ce gaz ou jugulait sa livraison aux pays d’Europe centrale et occidentale.

 

L’Allemagne entendait garder des relations économiques stables et fructueuses avec la Russie pour échapper à l’emprise de l’arrogance américaine. Berlin a garanti pour un milliard d’euro le coût du projet North Stream, qui veut faire passer un gazoduc sous la Baltique pour éviter tout transit par le territoire ukrainien ou par d’autres pays jugés peu sûrs ; l’ancien Chancelier Gerhard Schroeder a ainsi accepté d’être nommé par Gazprom au poste de chef du conseil d’administration. Le changement à Kiev est de bon augure pour les Ukrainiens, qui n’étaient plus que de simples pions sur l’échiquier Est/Ouest.

 

Immédiatement après la victoire de Youchtchenko, il y a cinq ans, les marines américains faisaient leur apparition dans la région pontique pour un exercice naval en Crimée, un territoire russe qui a été donné à l’Ukraine par le leader soviétique Nikita Khrouchtchev, d’origine ukrainienne et où stationne encore la flotte russe. La population russophone avait protesté et chassé les Yankees, les obligeant à quitter rapidement le terrain.

 

(K. G. Singh a été ambassadeur de la République Indienne en Turquie, en Azerbaïdjan, en Jordanie, en Roumanie et au Sénégal. Aujourd’hui, il préside la « Foundation for Indo-Turkic Studies »).

(Ce texte est tiré du site de la revue italienne « Eurasia », http://www.eurasia-rivista.org/ ).

samedi, 27 février 2010

Maniobras militares conjuntas entre Turquia e Israel

Maniobras militares conjuntas entre Turquía e Israel

Finalmente el ministro turco de defensa, Vecdi Gonül mencionó que después de la crisis del octubre de 2009 en las relaciones de este país y el régimen sionista, el ejército de este régimen ha participado dos veces en maniobras celebradas en el territorio de Turquía. El gobierno turco el mes de octubre de 2009 anuló el programa de la celebración de entrenamientos militares conjuntos con el régimen sionista en protesta a los crímenes de este régimen en la franja de Gaza.

Pero Vecdi Gonül finalmente frente las preguntas de los diputados de diferentes partidos en el parlamento, confesó que una de estas maniobras fue celebrada de forma trilateral entre Turquía, el régimen sionista y Jordania el mes de noviembre de 2009 en Ankara y la segunda en mes de diciembre en la misma ciudad.

Esta confesión de Gonül tuvo amplios ecos en los medios noticieros turcos, de forma que el diario Vakit publicado en Turquía escribió que el ejército de este país sigue actuando de forma obstinado y no acata plenamente al gobierno de este país.


Esto significa que el ejército de Turquía al contrario que los políticos de este país, persigue sus intereses en relaciones con el régimen sionista.

Al mismo tiempo algunos analistas no rechazan la posibilidad de que teniendo en cuanta las relaciones estratégicas de Turquía y el régimen sionista, haya un acuerdo entre el ejercito y el gobierno de Turquía de forma que los mandatarios de este país tomen postura contra el régimen sionista con el fin de responder las reclamaciones de la opinión publica del país ante los crímenes de este régimen en Gaza, y por otro lado, el ejercito mantenga sus relaciones militares con el régimen sionista.

De forma que algunos medios noticieros de Turquía anunciaron la ejecución del acuerdo de varios millones de dólares de este país y el régimen sionista para la compra de aviones no tripulados Heron el mes de marzo.
Otro punto de vista es que el ejército del régimen sionista, con el fin de destruir la posición y lugar del primer ministro de Turquía, Recep Tayyip Erdogan y separar este país del mundo islámico, insiste en mantener relaciones militares con Turquía.

Después de la fuerte disputa verbal el año pasado entre Erdogan y Simon Pérez, presidente del régimen sionista al margen del foro de Davos, los políticos israelíes incluso calificaron a Erdogan de anti judío.
Mientras tanto dirigente del partido Kadima del régimen sionista, Tzipi Livni, dijo de forma explicita que Turquía debe elegir entre el mundo islámico e Israel.

Parece que el Partido Republicano del Pueblo de Turquía como mas grande partido de oposición en el parlamento, teniendo en cuenta la sensibilidad de la opinión publica de la población musulmana de Turquía a la forma de la relación de su país con este régimen, intenta llevar bajo la tela de juicio la actuación del gobierno dirigido por Erdogan y aprovechar de ello a su favor en las próximas elecciones generales.

Extraído de IRIB.

~ por LaBanderaNegra en Febrero 20, 2010.

Die tiefe Krise der Männer

Die tiefe Krise der Männer

Eva Herman : Ex: http://info.kopp-verlag.de/

Das männliche Geschlecht befindet sich auf rasanter Talfahrt: Während die Emanzipation die Frauen in den zurückliegenden Jahrzehnten allerorten in ungeahnte Machtpositionen hievte, und weltweite Gender-Mainstreaming-Maßnahmen ebenso ausschließlich die Förderung von Frauen vorsehen, kämpfen die Männer zunehmend um die Existenz ihres Geschlechtes. Schon die Feministinnen in den 1970er-Jahren predigten die Männer entweder als Weicheier oder Machos schlecht. Dazwischen gab es kaum etwas, was männlich und gleichzeitig etwa sympathisch oder normal sein konnte.

manliness-1.jpgDie verhängnisvolle Entwicklung der Männerverachtung findet für den Vertreter des männlichen Geschlechts ihren frühen Anfang heutzutage schon in Kindergarten und Schule: Ein Blick auf das derzeitige Schulsystem allein genügt, um festzustellen: Hier werden haufenweise Verlierer produziert, die Mehrheit ist männlich.

In Kinderkrippen, Kindergärten und in den Schulen fehlen überall männliche Vorbilder! Die Kinder werden vorwiegend von Frauen betreut und erzogen, diese bevorzugen in aller Regel, teils bewusst, teils unbewusst, die Mädchen.

Durch die Feminisierung in der Erziehung werden für die Kinder hier die künftig geltenden Verhaltensstandards festgelegt: Diese werden nahezu ausschließlich aus dem Verhalten der Mädchen entwickelt. Ohne Rücksicht darauf, dass Jungen naturgemäß ein völlig anderes Benehmen haben. Männliches Verhalten wie durchaus natürliche Rangeleien und hierarchiebedingte Kämpfe werden allermeist durch aus weiblichem Harmoniestreben resultierende Maßnahmen im Keime erstickt. Dadurch geraten die Jungs ins Hintertreffen, die Gefahr, dass sie ihre Geschlechteridentität nicht naturgemäß ausbilden können, schlägt sich auf die Leistungen nieder. 

Der Vorsitzende des Bayerischen Philologenverbands, Max Schmidt, betonte in einem Spiegel-Interview: »Sowohl in der Grundschule, aber auch während der Pubertät, ist es wichtig, dass Jungen und Mädchen in männlichen und weiblichen Lehrkräften positive Rollenvorbilder erleben.« Das zunehmende Verschwinden von Männern aus den Schulen erschwere gerade den Jungen die Auseinandersetzung mit der eigenen Rollenidentität.

Das sehen auch andere Experten so: Eine letztjährige Studie des Aktionsrates Bildung bestätigt, dass der Grund für die Zensurenlücke vornehmlich darin zu finden ist, dass Jungen in Kindergarten und Schule massiv benachteiligt würden. Nicht mehr die Mädchen, sondern die »Jungen sind die Verlierer im deutschen Bildungssystem«, sagt der Ratsvorsitzende und Präsident der Freien Universität Berlin, Dieter Lenzen. Statt auszugleichen, verstärke die Schule den Bildungs- und Leistungsrückstand der Jungen. Jungen haben laut Lenzen oftmals gar nicht die Chance, eine ausgereifte Geschlechtsidentität zu bilden, da sie im Kindergarten und in der Grundschule meist mit Erzieherinnen und Lehrerinnen konfrontiert seien. In keinem Bundesland liegt der Anteil männlicher Erzieher in den Kindertagesstätten bei mehr als zehn Prozent.

Auch das Bundesbildungsministerium bestätigt diese verhängnisvolle Entwicklung. Eine Untersuchung ergab: In der Grundschule sehen sich Jungen einer weiblichen Übermacht an Lehrkräften gegenüber – und werden von den Lehrerinnen häufig benachteiligt. Der Hallenser Bildungsforscher Jürgen Budde stellte in dem Bericht fest, dass Jungen in allen Fächern bei gleicher Kompetenz schlechtere Noten bekommen als ihre Mitschülerinnen. Selbst wenn sie die gleichen Noten haben wie Mädchen, empfehlen die Lehrer ihnen seltener das Gymnasium. Einfach ausgedrückt: Jungen werden bei gleicher Leistung schlechter behandelt.

Der Schulabschluss bestimmt den weiteren Lebensweg, die persönliche Arbeitsbiografie wird hier festgelegt. Dementsprechend sind junge Männer häufiger erwerbslos. Aus einem individuellen Problem erwächst inzwischen längst eine hoch gefährliche Gesellschaftskrise.

Jungs werden häufig von Anfang nicht richtig eingeschätzt und verstanden. Ihre männlichen Verhaltensweisen sollen denen der Mädchen angepasst werden, dementsprechend werden sie nicht selten unter falschen Voraussetzungen erzogen. Oft können sie ihr wahres männliches Inneres nicht leben, der Kern ihres Mannseins wird unterdrückt.

Vielen Jungen fehlt außerdem die männliche Vorbildfigur, an der sie sich orientieren könnten und dies auch dringend tun müssten. Jungen, die bei ihrer alleinerziehenden Mutter aufwachsen, sind in weitaus höherem Maße gefährdet. Schon der Psychologe Alexander Mitscherlich sprach einst von der »vaterlosen Gesellschaft« und meinte damit die Nachkriegsgeneration, deren Väter entweder im Krieg gefallen waren oder gebrochen zurückkehrten. Heute hat der Begriff wieder neue Aktualität bekommen. Väter verlassen die Familien, entziehen sich oder wollen schlicht keine starken Vorbilder mehr sein, aus Angst, sie könnten als hirnlose Machos gelten.

Auch unsere unheilvolle Geschichte hat tiefe Spuren hinterlassen. Ist ein starker Mann nicht schon ein Faschist? Ist einer, der sich zum Mannsein bekennt, nicht schon ein Soldat? Stärke wurde ein Synonym für das Böse, das unterworfen werden musste. Wer offensiv auftritt, ist einfach nicht politisch korrekt. Eroberer haben keine Chance.

Und so flüchten sich Jungen und Jugendliche häufig in Traumwelten, die sie im Fernsehen und bei den Abenteuer- und Ballerspielen auf dem Computer, der Playstation oder dem Gameboy finden. Hier, in der Fantasy-World, herrschen ausgesprochen männliche, körperlich starke, kämpfende Helden, die souverän alle Feinde besiegen und töten. Mit ihnen lässt es sich trefflich  identifizieren, wenigstens in der Fantasie. Immer mehr Jungen und junge Männer verbringen täglich viele Stunden vor interaktiven Medien, die sie zusehends von der Außenwelt, vom sozialen Miteinander abtrennen, die sie weiter in die gesellschaftliche Isolation treiben und zunehmend den Realitätsbezug verlieren lassen. Dieses Phänomen ist nicht auf die Kindheit und die Pubertät beschränkt, auch erwachsene Männer spielen lieber den omnipotenten Helden in der Fantasie, als im Leben ihren Mann zu stehen.

Was bleibt ihnen auch anders übrig?, könnte man fragen. Wenn Männer ihre Rechte einfordern wollen, stürzt sich alsbald ein Haufen wütender Frauen auf sie und verteidigt energisch das ständig größer werdende Stück Land, das sie in den letzten Jahrzehnten einnahmen. Rechte für die Männer? Die haben doch alles, was sie brauchen! So lautet das Vorurteil. Die Zeit der Alphatierchen sei vorbei, verkündete die ehemalige Bundesfamilienministerin Ursula von der Leyen, die sich stets auf die Seite erwerbstätiger Frauen schlägt, im März 2007 im Stern.

Männer sollen durch politische Maßnahmen wie ein zweimonatiges Elterngeld für Väter und eine neue öffentliche, mit aller Macht forcierte Geisteshaltung nach Hause gezwungen werden. Sie sollten mehr als »nur den Müll runterbringen«, schließlich arbeite die Frau schwerer als sie, weil sie zusätzlich noch die Kinder versorgen müsse.

Unbehagen macht sich breit. Auch wenn nur ein geringer Prozentsatz der Männer wirklich auf diese Forderungen eingeht, so plagt ihn doch das schlechte Gewissen, das man ihm einredet. Wer aber will sich auf Dauer nur noch verteidigen? Dann doch lieber die Flucht nach vorn, die Flucht in den Job, wo man auch mal jemanden anbrüllen darf, die Flucht auf den Fußballplatz, wo man sich aggressiv zu seiner Mannschaft bekennt. Oder die finale Flucht aus der Familie.

Während alle Jugendstudien die Mädchen zur »neuen Elite« küren, mehren sich die mahnenden Stimmen, die vor einer »entmännlichten Gesellschaft« warnen.

Experten fordern zu drastischen Maßnahmen auf: Der Jugendforscher Klaus Hurrelmann verlangt eine Männerquote für Lehrer und Erzieher. Der Deutsche Philologenverband will eine Leseoffensive für Jungen an Schulen einrichten.

Alle Studienergebnisse über die Leistungskrise der Jungs sprechen ihre eigene Sprache:

– Jungs bleiben doppelt so oft sitzen wie Mädchen, fliegen doppelt so häufig vom Gymnasium und landen doppelt so oft auf einer Sonderschule. An Haupt-, Sonder- und Förderschulen machen Jungen heute rund 70 Prozent der Schüler aus;

– Schätzungen zufolge leiden zwei- bis dreimal so viele Jungen unter Leseschwäche;

– 62 Prozent aller Schulabgänger ohne Abschluss sind Jungen;

– 47 Prozent aller Mädchen gehen auf ein Gymnasium, bei den Jungen sind es nur 41 Prozent;

– Ein Drittel der Mädchen macht Abitur oder Fachabitur, aber nur ein knappes Viertel der Jungen;

– Abiturnoten von Jungen sind im Schnitt eine Note schlechter, als die ihrer Mitschülerinnen;

– Junge Frauen stellen die Mehrheit der Hochschulabsolventen und brechen ihr Studium seltener ab;

– 95 (!) Prozent der verhaltensgestörten Kinder sind männlichen Geschlechts;

– Jungen stellen zwei Drittel der Klientel von Jugendpsychologen und Erziehungsberatern;

– Aggression ist ein Problem, das vor allem Jungs betrifft: Unter den Tatverdächtigen bei Körperverletzungen sind 83 Prozent Jungen;

– Unter »jugendlichen Patienten, die wegen der berüchtigten ›Aufmerksamkeitsdefizit-Hyperaktivitätsstörung‹ (ADHS) behandelt werden müssen«, sind laut Spiegel Online »überdurchschnittlich viele Jungen: Auf sechs bis neun Zappelphilippe komme, meldet das Universitätsklinikum Lübeck, lediglich eine Zappelphilippine«.  (Erziehungstrends.de)

Der Präsident der Vereinigung der Bayerischen Wirtschaft (vbw), Randolf Rodenstock, warnte im vergangenen Jahr angesichts der vielen männlichen Schulabgänger ohne Abschluss, dass man es sich nicht leisten könne, so viele junge Männer auf dem Bildungsweg zu verlieren. Deutschland steuere langfristig auf einen Arbeitskräftemangel zu, der durch die aktuelle wirtschaftliche Lage nur verzögert werde.

In Ostdeutschland sieht die Lage übrigens noch trostloser aus, hier laufen die Frauen den Männern gleich scharenweise davon. Nicht nur, weil sie im Westen bessere Berufs- und Ausbildungsmöglichkeiten bekommen, sondern weil sie dort auch Männer finden, die ihrem starken Selbstbewusstsein etwas entgegenzusetzen haben. So titelten denn auch unlängst gleich mehrere Tageszeitungen in etwa so: Frauen verlassen Osten! Männer erheblich benachteiligt! Oder: Ist der Mann im Osten bald allein?

Diesen alarmierenden Aussagen lag eine Studie des Berliner Instituts für Bevölkerung und Entwicklung zugrunde, der zufolge in den Neuen Bundesländern »eine neue, männlich dominierte Unterschicht« entstanden sei. Während vor allem gut ausgebildete Frauen zwischen 18 und 29 Jahren ihre Heimat verließen, würden viele junge Männer mit schlechter Ausbildung und ohne Job zurückbleiben. In manchen strukturschwachen Regionen fehlten bis zu 25 Prozent Frauen, diese Gebiete seien besonders anfällig für rechtsradikales Gedankengut, so die Studie. Das Frauendefizit in Ostdeutschland wurde übrigens als einmalig in Europa bezeichnet. »Selbst in Polarregionen, im Norden Schwedens und Finnlands reiche man an die ostdeutschen Werte nicht heran«, hieß es.

Abgesehen davon, dass Deutschland zunehmend der männliche Aspekt verloren geht, der jedoch unverzichtbar für eine Gesellschaft des natürlichen Ausgleichs ist, müssen Männer die Frauen immer häufiger als Konkurrentinnen sehen, weil diese, gestützt durch sämtliche, gesetzlich verankerte Gender-Mainstreaming-Maßnahmen, bevorzugt werden und somit selbstverständlich und offensiv auftreten, zudem sie auch immer besser qualifiziert sind.

Frauen erobern eine männlich geprägte berufliche Domäne nach der anderen. Schwere körperliche Arbeit, die Männer leichter bewältigen können als Frauen, wird durch die zunehmende Technisierung der Arbeitswelt nahezu überflüssig und existiert kaum noch. Frauen können in jeden beliebigen Beruf einsteigen: als Pilotin ebenso wie als Soldatin, Lkw-Fahrerin, Managerin, Ministerin, Kanzlerin.

Und während die holde Weiblichkeit alle Erfolgsgrenzen sprengt, ziehen sich die Männer zunehmend zurück. Zwar sollen sie durch Brüssels Gesetze nun vermehrt den Hausmann geben und sich der Kindererziehung widmen, damit sie den gestressten, erwerbstätigen Ehefrauen den Rücken freihalten. Doch sind diese Maßnahmen wohl kaum dazu geeignet, männliches Verhalten in seiner ursprünglichen Natur zu fördern.

Der Medienexperte Norbert Bolz macht vielmehr auf die Gefahr aufmerksam, dass Männer sich wieder an ihrer Muskelkraft orientieren würden, wenn sie sich ihrer sexuellen Rollenidentität als klassischer Vater und Versorger beraubt sehen. Das erklärt die rasante Zunahme aller möglichen sportlichen Aktivitäten, die bis ins Rauschhafte gesteigert werden können. Die Männer brauchen den Sport. »Sport als Asyl der Männlichkeit ist eine genaue Reaktionsbildung darauf, dass die Zivilisation als Zähmung der Männer durch die Frauen voranschreitet«, so Bolz. »Vormodern war die Aufgabe, ein ›richtiger‹ Mann zu sein, vor allem eine Frage der Performanz; man musste gut darin sein, ein Mann zu sein. Heute gilt das nur noch im Sport. Er bietet den Männern einen Ersatzschauplatz für die Kooperation der Jäger. Nur im Sport können Männer heute noch den Wachtraum erfolgreicher gemeinschaftlicher Aggression genießen, also die Gelegenheit, körperlich aufzutrumpfen.«

Bolz schätzt  dies als offensichtliches Kompensationsgeschäft ein, das unsere moderne Kultur den Männern anbietet: »Seid sensible, sanfte Ehemänner und fürsorgliche Väter – am Samstag dürft ihr dann auf den Fußballplatz und am Sonntag die Formel eins im Fernsehen verfolgen: heroische Männlichkeit aus zweiter Hand.«

Aber werden solche Männer tatsächlich von den Frauen begehrt? Hier sind erhebliche Zweifel wohl angebracht. Denn so erfolgreich die Frauen auch werden mögen, so wenig wollen sie als männliches Pendant den Windelwechsler und Küchenausfeger, sie wollen vielmehr einen echten Mann!

Die meisten Frauen verachten »schwache Typen« gar, spätestens, wenn es um ihre eigene Beziehung geht. So ist es ja umgekehrt auch kaum vorstellbar, dass eine Frau einen Partner vorzieht, der sich von anderen Männern dominieren lässt, der also nicht in der Lage ist, sich Respekt und Achtung zu verschaffen. Frauen wollen Männer, die erfolgreich sind. Weicheier jedoch sind weit von Erfolgs- und Überlebensstrategien entfernt. Die Evolutionsforschung ist da eindeutiger und klarer, so Norbert Bolz: »Frauen tauschen Sex gegen Ressourcen, während Männer Ressourcen gegen Sex tauschen. Das funktioniert aber nur unter Bedingungen strikter Geschlechterasymmetrie – in der modernen Gesellschaft also: nicht!«

Die Untersuchung der amerikanischen Hirnforscherin Louann Brizendine in ihrem Buch Das weibliche Gehirn weist überzeugend nach, dass männliche und weibliche Gehirne sich wesentlich unterscheiden, was eine Fülle von spezifischen Wahrnehmungs- und Verhaltensweisen nach sich zieht. So ist beispielsweise das Sprachzentrum der Frauen ungleich stärker herausgebildet, als das der Männer. Louann Brizendine formuliert dies äußerst humorvoll: Dort, wo die Sprache verarbeitet wird, existiere bei Frauen gewissermaßen ein mehrspuriger Highway, bei den Männern dagegen nur eine schmale Landstraße.

Was im naturwissenschaftlichen Zusammenhang als Tatsache hingenommen wird, gilt aber plötzlich als rückständig, wenn es um die sozialen Beziehungen geht. Eine ernsthafte Betrachtung der klassischen Geschlechterbestimmungen ist heute längst in den Hintergrund gerückt und so gut wie überhaupt nicht mehr möglich. Politisch und gesellschaftlich korrekt und gewollt ist vielmehr das Herbeiführen »modernerer Verhaltensweisen«, die Mann und Frau gleichmachen.

Es geht nicht mehr um Respekt für »das Andere« bzw. »den Anderen« oder um den Mann an sich, sondern um Gleichberechtigung für Frauen. Die Medien tragen kräftig zu dieser Sicht der Dinge bei: Sie fördern einseitig das Erfolgsmodell »berufstätige Mutter«, die Multitaskerin, die Kind, Küche und Karriere locker unter einen Hut bringt. Frauen, die Familien- und Hausarbeit leisten, werden als fantasielos, rückständig und dumm dargestellt. Die Medien verleugnen und missachten damit häufig zugleich den Erfolg berufstätiger Väter, die eine ganze Familie mit ihrer Erwerbsarbeit ernähren. Das »Allein-Ernährer-Modell« wird nur noch selten honoriert, selbst da, wo es funktioniert, stehen die Männer schnell unter dem Verdacht, typische Unterdrücker zu sein. 

Umgekehrt fordern jetzt auch immer mehr Männer, dass Frauen ihr eigenes Geld dazu verdienen sollen. So wird aus dem einstigen Emanzipationswunsch der Frauen, die ihre Berufstätigkeit als Beweis für Selbstbestimmtheit und Selbstverwirklichung betrachteten, ein Bumerang. Im Klartext: Frauen, die auch nur für wenige Jahre aus der Erwerbstätigkeit aussteigen möchten, um sich um die Familie zu kümmern, gelten nun als Drohnen.

Was diese Gesellschaft erlebt, ist eine erschreckende Mobilmachung der Ressource Frau für den Arbeitsmarkt. Um das zu rechtfertigen, müssen die Männer herhalten: »Väter sind mindestens ebenso gut für die Erziehungsarbeit der Kleinsten qualifiziert wie die Mütter und sollten diese auch unbedingt wahrnehmen«, befand die amtierende Bundesfamilienministerin. Eine Schutzbehauptung, die Frauen zur Erwerbstätigkeit motivieren soll.

Wenn die Männer als Kinderbetreuer eingesetzt werden, ist das allerdings nicht so simpel, wie die Rollentauschfantasie der Ministerin es glauben machen will.

Und die Männer? Sie schweigen. Sie wollen nicht mehr reden. Sie wollen sich vor allem nicht mehr verteidigen. Sie wollen nicht mehr die willigen Versuchskaninchen in einem gesellschaftlichen Experiment sein, dem sie ihre Wünsche und ihre Identität opfern sollen. Hinter ihnen liegt oft ein Hindernis-Parcours der Streitigkeiten und Auseinandersetzungen, die alle Liebe, alles Vertrauen, alle Selbstverständlichkeit aus den Beziehungen vertrieben haben. Achselzuckend gehen sie ihrer Wege, überzeugt, dass sie eine feste Beziehung nicht mehr ertragen können.

Die moderne Gesellschaft täte gut daran, sich endlich entschieden gegen die durch die künstliche Geschlechterwelt der durch Feminismus und Gender-Mainstreaming übergestülpten Programme zur Wehr zu setzen, um den für alle Gesellschaften natürlichen Ausgleich durch das männliche und das weibliche Prinzip zurückzuerobern und als für alle Zeiten notwendiges Überlebensprogramm festzuschreiben. Anderenfalls kann man getrost für die Spezies Mensch schwarz sehen!

 

Mittwoch, 17.02.2010

Kategorie: Allgemeines, Wissenschaft, Politik

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vendredi, 26 février 2010

Cinco paises pediran a Washington que retire su arsenal atomico de Europa

Cinco países pedirán a Washington que retire su arsenal atómico de Europa

Alemania, Bélgica, Holanda, Luxemburgo y Noruega

Alemania, Bélgica, Holanda, Luxemburgo y Noruega van a pedir de forma conjunta a Estados Unidos la retirada de todas las armas nucleares que el Pentágono mantiene en suelo europeo. Así lo anunció este viernes el primer ministro belga, Ives Leterme.

Los cinco socios de la OTAN tienen previsto presentar esa iniciativa en el marco de la revisión del concepto estratégico de la Alianza Atlántica, explicó el mandatario en un breve comunicado: “Bélgica está a favor de un mundo sin armas nucleares y defiende esta postura en el seno de la OTAN en preparación de la conferencia de revisión del Tratado de no proliferación de mayo en Nueva York”.

Según Leterme, “los avances concretos sólo serán posibles a través de una concertación seria con los socios de la OTAN y teniendo en cuenta los progresos en las negociaciones en el campo del desarme”. El primer ministro aseguró que su Gobierno “quiere aprovechar la oportunidad brindada por el llamamiento del presidente Barack Obama a un mundo sin armas nucleares”, añadió.


El comunicado de Leterme es una respuesta al mensaje de dos antiguos primeros ministros belgas, Guy Verhofstadt y Jean-Luc Dehaene, y dos ex responsables de exteriores, Willy Claes y Louis Michel, publicado este viernes en la prensa. En él, los cuatro urgen a la retirada del arsenal atómico estadounidense en Europa y aseguran que éste “ha perdido toda su importancia militar”. “La Guerra Fría ha terminado. Es el momento de adaptar nuestra política nuclear a las nuevas circunstancias”, señalan los cuatro políticos.

Extraído de Radio Mundial.

~ por LaBanderaNegra en Febrero 20, 2010.

Stillgestanden, Pappkameraden: Europäische Armeen verkommen zu militärischen Pleitegeiern

Stillgestanden, Pappkameraden: Europäische Armeen verkommen zu militärischen Pleitegeiern

Udo Ulfkotte / http://info.kopp-verlag.de/

Europäische Armeen waren einmal wehrhaft. Sie wurden aufgestellt, um jederzeit Land und Bürger zu verteidigen. Doch verweichlichte Politiker haben aus europäischen Demokratien Bananenrepubliken gemacht. Und aus den europäischen Armeen arme Pappkameraden. Für Verteidigung ist kein Geld mehr da. Denn Feinde sind aus der Sicht unserer Politiker ja inzwischen zu angeblichen »Kulturbereicherern« mutiert. Jeder Böswillige wird als »kulturelle Bereicherung« hofiert. Und so wächst das innere Aggressionspotenzial in den europäischen Bananenrepubliken unaufhaltsam. Die Folge des Geldmangels der Armeen: Die Schweizer haben inzwischen nur noch Medikamenten-Attrappen in den Sanitätszelten. Und die Bundeswehr hat für das ganze Jahr 2010 keinen Schuss Munition mehr für das Standardgewehr G36. Ein Bundeswehreinsatz im Innern wäre 2010 deshalb wohl eher eine satirische Lachnummer.

spielzeug_musik_g.jpgAm 26. Januar wurde auf dem Schweizer Infanterie-Gebirgsschiessplatz Rothenthurm-Altmatt ein Soldat durch eine explodierende Handgranate schwer verletzt. Doch statt – wie geschehen – die Sanitätskompanie-7 zu Hilfe zu rufen, hätte man besser sofort das nächste Krankenhaus und einen Notarzt informiert. Wegen der Finanznot der Armee verfügen Schweizer Sanitäter nur noch über Medikamenten-Attrappen. Dem vor Schmerzen stöhnenden Opfer, das in Beinen, Brust und Bauch Granatsplitter hatte, konnten die Armee-Sanitäter nur eine einfache Infusion mit einer Salzlösung anbieten. Inzwischen gehören nicht einmal mehr Schmerzmittel bei Wehrübungen zur Grundausstattung Schweizer Sanitäter. Das Opfer wurde in einer Notoperation in einer privaten Klinik gerettet.

Bei der deutschen Bundeswehr sieht es nicht besser aus: Sie gibt zwar Milliarden für neue Rüstungsgroßprojekte aus, kann aber den Soldaten nicht einmal mehr die einfachsten Patronen aushändigen. Der Etat für Handfeuerwaffen der Bundeswehr ist schon jetzt für das komplette Jahr 2010 aufgebraucht. Es wurden bislang 30 Millionen Patronen des Typ 5,65 Millimeter Doppelkern (für das G36) verschossen. Das Verteidigungsministerium sucht nun einen Sponsor, der deutschen Soldaten 31,2 Millionen Euro für den Munitionsbedarf bis Ende 2010 zur Verfügung stellt. Auch wenn sich morgen ein Geldgeber finden würde, hilft das nicht sofort weiter: Die Lieferzeit für die Munition beträgt derzeit mehr als ein halbes Jahr. Wenn deutsche Politiker also über einen Bundeswehreinsatz im Innern fabulieren, dann ist das vor diesem Hintergrund eine Satire erster Klasse.

 

Mittwoch, 17.02.2010

Kategorie: Allgemeines, Enthüllungen, Wirtschaft & Finanzen, Politik

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mercredi, 24 février 2010

Kriegsvorbereitungen: Nach 28 Jahren rüsten sich Argentinier und Briten vor den Falkland-Inseln für die nächste Schlacht

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Kriegsvorbereitungen: Nach 28 Jahren rüsten sich Argentinier und Briten vor den Falkland-Inseln für die nächste Schlacht

Udo Ulfkotte / Ex: http://info.kopp-verlag.de/

Unbemerkt von deutschen »Qualitätsjournalisten« rüsten sich Briten und Argentinier für einen neuen Falkland-Krieg. Der letzte hat rund tausend Menschen das Leben gekostet. In der kommenden Woche wird sich der Ton verschärfen, die Argentinier durchsuchen nun alle Schiffe, die auf die Falkland-Inseln wollen. Denn die Briten wollen dort die Ölförderung aufnehmen. Die Argentinier aber sehen die Inselgruppe weiterhin als ihr Staatsgebiet an.

Zwischen April und Juni 1982 führten Großbritannien und Argentinien Krieg um die Falkland-Inseln (auch Malwinen – argentinisch »Islas Malvinas« – genannt), die Sandwich-Inseln und um Südgeorgien. Der damalige amerikanische Präsident Ronald Reagan sagte zu jener Zeit, er können  nicht verstehen, warum sich zwei Verbündete um »einige eisige Felsen« stritten. Doch es ging nicht um die kaum bewohnten Felsen. Es ging schon damals um die vermuteten reichen Ölvorkommen. Argentinien beharrt seither weiterhin auf dem Besitzanspruch in Bezug auf die Inseln. Der Konflikt zwischen beiden Staaten um die Rohstoffe der Region ist zwar seither in Vergessenheit geraten, aber nicht gelöst.

Vor dem Hintergrund der schweren britischen Wirtschaftskrise sucht die Londoner Regierung nun nach neuen Einnahmen und nach einer Möglichkeit, die immer unzufriedender werdende britische Bevölkerung geschlossen hinter sich zu vereinen. Mit einem neuen Krieg um die Falkland-Inseln könnte sie beides erreichen: Die Briten patriotisch hinter sich aufreihen und Großbritannien nach den versiegenden Nordeefeldern endlich große neue Ölvorkommen dauerhaft sichern lassen. In aller Ruhe hat die Lononer Regierung in den vergangenen Wochen Ölbohrungen auf den Falkland-Inseln vorbereitet – und parallel dazu »rein zufällig« immer mehr Kriegsschiffe und Truppen in die Region verlegt.

Die Argentinier kontrollieren nun alle Schiffe, die in Richtung der umstrittenen Inselgruppe fahren und durchsuchen diese. Ein britisches Schiff mit Ölbohrausrüstung haben sie gerade beschlagnahmt.

Nun will Buenos Aires offiziell wieder die Kontrolle über den gesamten Seeverkehr zwischen Südamerika und der Inselgruppe ausüben, die ohnehin energisch von Argentinien beansprucht wird, auch wenn dort Briten leben. Mit der Entdeckung gewaltiger Erdöl- und Gasvorräte in dem Seegebiet um die drei großen Inseln geht der Streit nun in die nächste – möglicherweise kriegerische – Runde. Denn die großen britischen Ölkonzerne vermuten allein unter einem einzigen Feld südlich der Falklands mindestens 60 Milliarden Barrel Öl. Wenn das zutrifft, dann wäre es etwa ein Drittel mehr, als bislang in der gesamten Nordsee gefördert wurde. Man muss, um sich die gewaltige Dimension vorstellen zu könenn, auch wissen: Das größte Ölfeld der Welt, Ghawar in Saudi-Arabien, wird auf 80 Milliarden Barrel geschätzt.

Großbritannien hat zum Schutz der genannten Ölvorkommen schon wieder mehr als tausend Soldaten auf der Inselgruppe stationiert, vor der Küste zudem Fregatten und einen Zerstörer. Luftlandetruppen werden derzeit verlegt. In den nächsten Tagen wird eine Ölbohrinsel zu den Inseln geschleppt. Die Argentinier sehen das als offene Kriegserklärung an. Wenn die Londoner Regierung will, dann kann sie die unzufriedene eigene Bevölkerung nun jederzeit mit einem spontanen Krieg von den inneren Problemen ablenken.

 

Donnerstag, 18.02.2010

Kategorie: Allgemeines, Geostrategie, Enthüllungen, Wirtschaft & Finanzen, Politik

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mardi, 23 février 2010

Some Geopolitical Remarks on the Arctic Region

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Some Geopolitical Remarks on the Arctic Region

Tiberio Graziani

Eurasia. Rivista di Studi Geopolitici

direzione@eurasia-rivista.org

www.eurasia-rivista.org

 

 

 

The geopolitical cycles of the Arctic

 

The geopolitical history of the Arctic – leaving aside ancient references to the region and the Viking explorations, that cannot easily be evaluated in typically geopolitical terms – can be divided, in a preliminary approximation, into at least three cycles. 

 

A first great cycle, which we can call the cycle of great exploration and of the initial Arctic maritime activity (maritimisation) can be defined starting around 1553, that is, when the English navigator Hugh Willoughby began searching for a North-East passage, and going to the second half of the 1820s. This first cycle – during which the “maritimisation” process of the Arctic basin took place, set off by the construction of ports and the planning of commercial routes – falls under the heading of the search for new routes to the Orient, an undertaking supported mainly by European nations. At the end of the eighteenth century and the beginning of the nineteenth the regional actors were Denmark and the British and Russian empires. The rivalry between Russia and Great Britain, that is, between a great land-based and a great sea power, is the key to understanding the principal geopolitical tensions in this region in the course of the first years of the nineteenth century. 

 

The agreement signed in 1826 between St. Petersburg and London delimiting the frontier between the so-called “American” Russia and the English possessions in North America inaugurated a new phase in the history of the polar region. Even though that agreement was aimed at reducing frictions between the two geopolitical entities, it wasn’t successful in its intent. The geopolitical tension between the two empires in this part of the planet was mitigated only in 1867, when Russia, in order to block the British from taking root in the Arctic, ceded Alaska to the emerging United States of America for $7.5 million.

Far from being Seward’s Folly, as it was called after the then-Secretary of State, the acquisition of Alaska represented, for the era, the arrival of Washington’s “Nordic” policy. In fact, the US, intending to project its power toward the Arctic pole, had entered into negotiations with Denmark to acquire Greenland. As noted, the USA reached its strategic objective of controlling the majority of the arctic circle only after the Second world War, installing the Thule military base in Greenland.

With the new entrant in the circum-polar navigation club, frictions arose that marked the successive phase of the geopolitical history of the Arctic. This is the cycle of sovereignty or territorial claims, which began in 1826 with the delimitation of the frontier and terminated in 1991 with the dissolution of the USSR. It was characterized by the expression of theories on the partition of the region and its growing militarization, which, started over the course of two World Wars, was, without interruption continued and intensified in the context of the Cold War. The area’s important geostrategic function, which it still plays today, as one of the main platforms for nuclear dissuasion, was fully recognized by the main regional actors, particularly the US and the USSR, and also Canada, and it was fully integrated in the respective geopolitical doctrines of the time.

 

The third cycle, which we can define as Arctic regional identity or multilateralism, placed between 1990 and the first years of this century, is marked by Moscow’s slight commitment – geopolitically fallen back into itself after the collapse of soviet structure – in supporting its own regional interests, by the renewed tensions between Canada and the US, by the timid presence of the European Union, which states the so-called policy of the Nordic Dimension, and, in particular, by some international or multilateral initiatives. These initiatives, based principally on the common Arctic identity, on the idea of an “Arctic Mediterranean,” with regard to minorities and the environment and the so-called sustainable development, are aimed both at reinforcing the internationalisation of the area, and at attenuating the frictions that have emerged in the restricted club of the circum-polar nations regarding sovereignty. It must still be observed that on the plane of real power relationships, especially those concerning military and geostrategic settings, the USA holds, in this brief cycle, the position of dominant nation in the entire zone, both directly and through the Atlantic alliance. The other actors play a marginal cameo role.

 

The Arctic in the multipolar scenario 

 

The Arctic is now, in the structuring of the new multipolar system, one of the most contested areas of the planet, not only because of its energy and mineral resources under the ice pack, but for its particular geostrategic position, the effects that global warming could produce regarding its practical use, and especially because of the return of Russia as a global actor.

Considered for a long time to be of limited geopolitical interest, mainly because of its inaccessibility, the Arctic circle has in fact become – as of August 2, 2007, when the crew of two submarines set the Russian tricolour on the Arctic ocean floor at a depth of 4200 metres – an area of increasing conflict among circum-polar countries and of great interest to China and Japan. This date,  which probably marks the opening of a new geopolitical era for the Arctic region, highlights first of all the renewed interest of Russia to defend its continental and coastal territory as well as the determination followed by the Kremlin to participate in the constitution of a new planetary order after the long period of bipolarism and the shorter, geopolitically catastrophic “unipolar moment.”  

The Russian “claim” on the Arctic space is fully included in the Putin Doctine aimed at re-establishing, in a mulipolar prospective, the due weight of Russia in the entire and complex world space. This is one “claim,” or rather an assumption of responsibility regarding the new world scenario, that  President Medvedev, currently in the  Kremlin, seems to support with conviction.

Moscow, after having reacquired prestige in the Caucasus and in Central Asia, renewed its relationship with China and, especially limited, as much as possible, the crumbling of its “near abroad”, is now turning toward the North.

This shouldn’t in fact be surprising, with the Russian territory, as Pascal Marchand reminds us, being the result of a historical process marked by two geographical natures: continentality,  that is, expansion on the Eurasian continent, and nordicity, expansion towards the Arctic.

These two policies, beyond the push toward the Indian Ocean, indicate again Russia’s destiny in the new great 21st century.

In the frame of reference the Arctic, mythical home of Vedic peoples according to studies carried out by the Indian politician and intellectual Bal Gangadhar Tilak, will become one of the main places in play in the next twenty years.

 

 

 

Presseschau 03/Februar 2010

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Presseschau

 

03 / Februar 2010

Einige Links. Bei Interesse anklicken...

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Atomstreit
Irans Außenminister Mottaki brüskiert die Welt
Keine Zusagen, nur heiße Luft: Wenn das ein Versöhnungsversuch war, ist er gescheitert. Irans Außenminister Mottaki hat bei seinem Auftritt auf der Münchner Sicherheitskonferenz die Mächtigen der Welt enttäuscht. Nun stehen Sanktionsdrohungen im Raum.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,676364,00.html
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,676412,00.html

Atomstreit
US-Senator Lieberman droht Iran mit Krieg
Den Auftritt von Irans Außenminister Mottaki bei der Münchner Sicherheitskonferenz nennt er „lachhaft“ und „unredlich“: Jetzt hat US-Senator Joseph Lieberman mit einem Militärschlag gedroht, wenn Wirtschaftssanktionen nicht wirken sollten.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,676380,00.html

Jerusalem
Berlusconi wirbt für Aufnahme Israels in die EU
http://www.focus.de/politik/ausland/jerusalem-berlusconi-wirbt-fuer-aufnahme-israels-in-die-eu_aid_476208.html

Türkische Schulen
„Wir erklären sogar den Dreisatz mit Atatürk“
Aus Istanbul berichten Markus Flohr und Maximilian Popp
In der Schule lernen Kinder lesen, rechnen, schreiben. In der Türkei lernen sie außerdem: Staatsgründer Atatürk bedingungslos zu lieben. Sie können seinen Lebenslauf auswendig und singen seine Kampflieder – als Schutz gegen den Islamismus, sagen Befürworter. Die Kritiker leiden unter der Indoktrination.
http://www.spiegel.de/schulspiegel/ausland/0,1518,675820,00.html

Visumpolitik
Türkei ärgert EU mit Grenzöffnung nach Nahost
Von Boris Kalnoky
Ankara hebt die Visumpflicht für mehrere Länder des Nahen Ostens auf, darunter Syrien und Libyen. Für die Harmonisierung mit der EU ist das ein Rückschlag. Denn über die Türkei reisen schon jetzt zahlreiche illegale Migranten in EU-Länder ein. Die Entscheidung ist nur ein Beispiel für einen neuen Konfrontationskurs.
http://www.welt.de/politik/ausland/article6353908/Tuerkei-aergert-EU-mit-Grenzoeffnung-nach-Nahost.html

Türkei „unschätzbar kostbar“ für Deutschland
Der deutsche Botschafter in der Türkei Dr. Eckart Cuntz (Foto) meint, sein Land sei dazu verpflichtet, dafür zu sorgen, daß die Beitrittsverhandlungen der Türkei in die EU fortgeführt würden. Eine privilegierte Parnerschaft als Alternativlösung komme nicht in Frage. Cuntz stützt sich mit dieser Ansicht explizit auf Außenminister Westerwelle, der bei seinem Besuch in der Türkei am 6. Februar versprochen hatte, Deutschland werde seine besondere Verantwortung in diesem Prozeß wahrnehmen.
http://www.pi-news.net/2010/02/tuerkei-unschaetzbar-kostbar-fuer-deutschland/#more-117967

Militärtechnologie
Chinas Massenarmee wandelt sich zur Hightech-Truppe
Von Markus Becker
Tarnkappenflugzeuge, U-Boote, Anti-Satelliten-Waffen und sogar ein eigener Flugzeugträger: China modernisiert seine Streitkräfte in enormer Geschwindigkeit. Schon bald könnte die militärtechnologische Überlegenheit der USA wanken.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,676549,00.html

Jemen: Tummelplatz für „al Qaida“ oder geopolitischer Engpaß für Eurasien
F. William Engdahl
Am 25. Dezember 2009 wurde in den USA der Nigerianer Abdulmutallab verhaftet, weil er versucht hatte, ein Flugzeug der „Northwest Airlines“ auf dem Flug von Amsterdam nach Detroit mit eingeschmuggeltem Sprengstoff in die Luft zu sprengen. Seitdem überschlagen sich die Medien, von CNN bis zur „New York Times“, mit Meldungen, es bestehe der „Verdacht“, daß er im Jemen für seine Mission ausgebildet worden sei. Die Weltöffentlichkeit wird auf ein neues Ziel für den „Krieg gegen den Terror“ der USA vorbereitet: Jemen, ein trostloser Staat auf der arabischen Halbinsel. Sieht man sich jedoch den Hintergrund etwas genauer an, dann scheint es, als verfolgten das Pentagon und der US-Geheimdienst im Jemen ganz andere Pläne.
http://info.kopp-verlag.de/news/jemen-tummelplatz-fuer-al-qaida-oder-geopolitischer-engpass-fuer-eurasien.html

Regierung: „Bewaffneter Konflikt“ in Afghanistan
Westerwelle wirbt im Bundestag für neues Mandat – Oberst Klein vor Kundus-Ausschuß
Die Bundesregierung stuft die Situation in Afghanistan jetzt offiziell als „bewaffneten Konflikt im Sinne des Völkerrechts“ ein. Die Lage klar zu benennen, habe rechtliche Folgen für die deutschen Soldaten, sagte Außenminister Westerwelle im Bundestag.
http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/31/0,3672,8031487,00.html

Klein: Angriff war legal und gerechtfertigt
Oberst vor Untersuchungsausschuß
Legal und gerechtfertigt: Oberst Klein steht zu seinem Befehl vom September, der den Luftschlag auf die beiden Tanklaster in Afghanistan ausgelöst hat. Das teilte sein Anwalt mit. Klein steht heute vor dem Untersuchungsausschuß des Bundestages.
http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/5/0,3672,8031557,00.html

Klingt nach guter Arbeit des KSK (was hat dieser „Spiegel“-Schreiberling überhaupt für ein Problem?) ...
Kunduz-Untersuchungsausschuß
Die dunklen Geheimnisse der KSK-Krieger
Von Matthias Gebauer
Mit dem Auftritt von Oberst Klein startet der Kunduz-Ausschuß – doch gleich danach werden sich die Parlamentarier mit dem Kommando Spezialkräfte beschäftigen müssen. Geheime Nato-Unterlagen belegen: In der Bombennacht spielten KSK-Elitekämpfer eine entscheidende Rolle.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,676923,00.html

Abstellen!
Demütigung bei der Bundeswehr
Soldaten mußten rohe Schweineleber essen
Der Bundeswehr droht ein neuer Mißbrauchsskandal: Ein ehemaliger Wehrpflichtiger hat sich einem Zeitungsbericht zufolge beim Wehrbeauftragten über entwürdigende Mutproben und Aufnahmerituale beschwert – demnach mußten Soldaten rohe Schweineleber essen und bis zum Erbrechen Alkohol trinken.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,676897,00.html

Das Stigma besiegen!
Von Carlo Clemens
Wenn ich Interviews mit vermeintlich „konservativen“ Hoffnungsträgern der Union lese, bleibt bei mir immer die Frage: Geht es diesen Leuten eigentlich um Deutschlands Zukunft, oder um die Zukunft ihrer Partei? Um Prozente und Posten oder um Inhalte und Überzeugungen?
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5d8d4b42199.0.html

Koalition plant „Löschgesetz“
Schwarz-Gelb rückt von Internetsperren ab
Von Stefan Berg und Marcel Rosenbach
Kurswechsel nach monatelangem Hickhack: In einem Brief an Bundespräsident Köhler geht die Regierung nach Informationen des SPIEGEL auf Distanz zum umstrittenen Internet-Sperrgesetz. Schwarz-Gelb kündigt nun eine neue Initiative für ein „Löschgesetz“ an.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,676669,00.html

Kommentar zu Hartz IV
Der Staat muß die Spendierhosen ablegen
Von Dorothea Siems
Die Hartz-IV-Regelsätze müssen neu berechnet werden. Das heißt nicht unbedingt, daß die Transferempfänger künftig mehr Geld in der Tasche haben. Schon heute leben sie manchmal besser als andere Arbeitnehmer. Der Staat sollte unbedingt dafür sorgen, daß nicht der Steuerzahler der Dumme ist.
http://www.welt.de/debatte/article6315717/Der-Staat-muss-die-Spendierhosen-ablegen.html

Wie man mit viel Geld Armut vermehrt
Von Gunnar Heinsohn
Höhere Sozialleistungen steigern die Geburtenrate von arbeitslosen Frauen. Bill Clinton kürzte in Amerika die Bezüge – mit Erfolg.
[Heinsohn hat vieles begriffen – vom „youth bulge“ bis eben zur Sozialstaatsproblematik. Seine Weisheit hat jedoch enge Grenzen, wie seine grandiosen Vorschläge zur massenhaften Aufnahme von Chinesen aus rein wirtschaftlichen Erwägungen offenbaren. Darauf, daß das Hauptaugenmerk auf die demographische Stabilisierung des deutschen Volkes und die Verhinderung der Abwanderung bzw. die Rückgewinnung qualifizierter Deutscher gelegt werden müßte, ergänzt um ethnisch-kulturell kompatible europäische bzw. europäischstämmige Zuwanderung, kommt er nicht. Er bleibt halt doch der alte 68er, der er immer war: jemand, dem die Zukunft seines Volkes letztlich vollkommen gleichgültig ist.]
http://www.welt.de/die-welt/debatte/article6311869/Wie-man-mit-viel-Geld-Armut-vermehrt.html

Debatte um Hartz-IV-Urteil
Westerwelles Worte schlagen Wellen
In Deutschland herrscht „geistiger Sozialismus“ – das findet zumindest FDP-Chef Guido Westerwelle, wenn es um die Hartz-IV-Regelsätze geht. Ein einmaliger verbaler Ausrutscher des Vizekanzlers? Keineswegs, denn nun legte er noch einmal nach: „Die Diskussion über das Hartz-IV-Urteil des Bundesverfassungsgerichts hat sozialistische Züge. Von meiner Kommentierung dieser Debatte habe ich keine Silbe zurückzunehmen“, sagte Westerwelle der „Passauer Neuen Presse“. Und schob als Erklärung hinterher: „Wenn man in Deutschland schon dafür angegriffen wird, daß derjenige, der arbeitet, mehr haben muß als derjenige, der nicht arbeitet, dann ist das geistiger Sozialismus.“
http://www.tagesschau.de/inland/westerwellehartziv100.html

Krisenprophet Max Otte
„Die Welt steht kurz vor dem Crash“
Schon 2006 warnte Max Otte vor der Krise – kaum einer hörte zu. Jetzt meldet sich der Ökonom erneut zu Wort: warum das Schlimmste noch kommt.
http://www.focus.de/finanzen/boerse/finanzkrise/tid-16399/krisenprophet-max-otte-die-welt-steht-kurz-vor-dem-crash_aid_458118.html

„PIGS“
Von Michael Paulwitz
Sage noch einer, Banker hätten keinen Humor. Für die inflationsgeneigten Hochrisikostaaten der Eurozone, die mit ihren Schuldenbergen immer munter an der Klippe zum Staatsbankrott entlangschrammen, für Portugal, Italien, Griechenland und Spanien also, hat die Finanzwelt seit kurzem ein prägnantes Sammelkürzel: PIGS.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5636df48d98.0.html

Schuldenkrise
Europa fürchtet die verflixten Fünf
Von Stefan Schultz
Erst Griechenland, dann Portugal und Spanien – schließlich Italien und Irland? Die Krise hat die Schulden von fünf EU-Problemstaaten so hochgetrieben, daß es Ökonomen vor einem Euro-Crash graut. SPIEGEL ONLINE tastet die Risikozonen des Kontinents ab: Wieviel Grund zur Panik gibt es wirklich?
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,676966,00.html

Politisches Gangsterstück
Von Thorsten Hinz
Und es kommt, wie’s kommen mußte. Europa (also vor allem Deutschland) wird für den Schlendrian in Griechenland (und danach in Portugal, Spanien, Italien, Irland) einstehen. Darüber läßt sich nicht mehr nur in politischen Kategorien reden.
Wir befinden uns mitten in einem Gangsterstück. Nichts gegen supranationale Strukturen in Europa, allein schon aus der Erwägung heraus, daß die europäischen Nationalstaaten im globalen Konkurrenzkampf sich nur gemeinsam behaupten können. Vielleicht war und ist auch die Idee des Euro im Prinzip richtig, aber daß man keine Rennpferde mit einer mediterranen Schindmähre wie Griechenland in dasselbe Gespann zwingen kann, hätte klar sein müssen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M54303cf8937.0.html

Brüsseler Roulette
Vor knapp zwölf Jahren, im Sommer 1998, wohnte ich zum ersten und bisher letzten Mal einer Partei-Wahlveranstaltung bei. Die Partei wurde damals als eine vielversprechende nationalliberale Neugründung und aufstrebende Alternative für von der verkrusteten CDU/FDP-Koalition enttäuschte Wähler gehandelt. Ihr Name tut nichts zur Sache, denn sie verschwand – wie auch bis heute auf dieser Seite der politischen Arithmetik üblich – wieder in der Versenkung.
http://www.pi-news.net/2010/02/bruesseler-roulette/#more-118046

Extremismus
BKA beklagt zunehmende Gewalt gegen Polizisten
http://www.focus.de/politik/deutschland/extremismus-bka-beklagt-zunehmende-gewalt-gegen-polizisten_aid_475545.html

Umstrittene Studie zu Gewalt gegen Polizisten startet
http://www.welt.de/die-welt/politik/article6275916/Umstrittene-Studie-zu-Gewalt-gegen-Polizisten-startet.html

Die deutsche Sprache vor Gericht
Von Thomas Paulwitz
Der Vorstoß, Englisch zur Gerichtssprache in Deutschland zu machen, trifft nun endlich auf entscheidenden Widerstand. Kein Geringerer als der Präsident des Bundesgerichtshofs (BGH) äußerte nun Bedenken. Das kommt genau zur rechten Zeit, denn in knapp einer Woche soll angeblich der Gesetzesentwurf Hamburgs und Nordrhein-Westfalens im Bundesrat beraten werden.
Der BGH wäre von einer Änderung des Gerichtsverfassungsgesetzes (GVG) unmittelbar betroffen. So soll Paragraph 184 GVG unter anderem mit dem Satz ergänzt werden: „Vor dem Bundesgerichtshof kann in internationalen Handelssachen das Verfahren in englischer Sprache geführt werden.“
http://www.jungefreiheit.de/index.php?id=154&tx_ttnews%5Btt_news%5D=85959&tx_ttnews%5BbackPid%5D=468&cHash=4fbf0e01c1&MP=154-576

Angeblich Schlamperei vor Einsturz von Kölner Stadtarchiv
Bei den Ermittlungen zum Einsturz des Kölner Stadtarchivs liegt der Staatsanwaltschaft einem Zeitungsbericht zufolge ein erstes Geständnis vor: Wie der „Kölner Stadt-Anzeiger“ berichtet, räumte ein Bauarbeiter der U-Bahnlinie unter der Kölner Südstadt ein, daß an der Unglücksstelle bewußt nachlässig gearbeitet worden sei.
http://portal.gmx.net/de/themen/nachrichten/panorama/9836648-Schlamperei-bei-Koelner-U-Bahnbau.html#.00000002?CUSTOMERNO=39290822&t=de1201636392.1265920406.4704aac2

Platzeck nennt Stasi-Kritiker „Revolutionswächter“
POTSDAM. Brandenburgs Ministerpräsident Matthias Platzeck (SPD) hat die Kritiker der Stasi-Vergangenheit von Abgeordneten der Linkspartei scharf zurechtgewiesen. „Wir haben eine Schar von Revolutionswächtern, die gehen mir auf den Keks“, zitieren ihn die „Potsdamer Neuesten Nachrichten“.
http://www.jungefreiheit.de/index.php?id=154&tx_ttnews%5Btt_news%5D=85957&cHash=6accd4a8e0

Stasi-Fälle
Kritik an Lötzsch wegen IM-Fürsprache
http://www.focus.de/politik/deutschland/stasi-faelle-kritik-an-loetzsch-wegen-im-fuersprache_aid_478013.html

Gründung vor 60 Jahren
Die tödlichen Methoden der DDR-Staatssicherheit
Von Sven Felix Kellerhoff
Lauschen, spähen, schnüffeln: Vor 60 Jahren wurde die DDR-Staatssicherheit gegründet. Mehr als 91.000 hauptamtliche und doppelt so viele inoffizielle Mitarbeiter garantierten der SED die Macht. Ein Geheimdienst im klassischen Sinn war der Apparat nie, eher schon eine kriminelle Vereinigung mit tödlichen Methoden.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article6299413/Die-toedlichen-Methoden-der-DDR-Staatssicherheit.html

Konstanz
Rechter Professor sorgt für Wirbel
An der Universität Konstanz erwächst Widerstand gegen den rechtskonservativen Professor Jost Bauch. Die Studenten beschlossen per Vollversammlung eine Ablehnung seiner Lehre. Der Universitätsleitung sind zwar juristisch die Hände gebunden, sie weist jedoch darauf hin, daß jeder entscheiden könne, ob er die Veranstaltung besuchen wolle.
http://www.suedkurier.de/region/kreis-konstanz/konstanz/Rechter-Professor-sorgt-fuer-Wirbel;art372448,4158892

Österreichischer Südtirol-Aktivist in Integrationsrat gewählt
MEERBUSCH. Der österreichische Arzt Erhard Hartung ist am vergangenen Sonntag in den Integrationsrat der nordrhein-westfälischen Stadt Meerbusch gewählt worden. Wegen seiner Beteiligung am Freiheitskampf in Südtirol in den sechziger Jahren hatte ihn die Unabhängige Wählergemeinschaft (UWG) im Rat der Stadt vor der Wahl zum Verzicht auf die Kandidatur aufgefordert.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5588583cc6b.0.html

Video: Dumm, dümmer, Antifa
http://www.youtube.com/watch?v=aOFfVD248gI

Produzieren Nazis Bioessen?
Wer Bio-Produkte kauft, kann sich nicht sicher sein, wen seine Einkäufe da unterstützen: Es gibt tatsächlich völkisch-nationalistische Biobauern, die mit nett-nachbarschaftlichem Auftreten auf NPD-Stimmenfang gehen. Proteste führten bisher bei den Bioprodukte-Vertrieben nicht wirklich zu Reaktionen. Betrachtungen aus Mecklenburg-Vorpommern.
http://www.netz-gegen-nazis.de/artikel/produzieren-neonazis-bioessen-3412

Brandanschlag
Feuer in Berliner Stiftung Wissenschaft und Politik
http://www.focus.de/panorama/vermischtes/brandanschlag-feuer-in-berliner-stiftung-wissenschaft-und-politik_aid_476306.html

Brände
Brandanschlag auf Haus der Wirtschaft in Berlin
http://www.zeit.de/newsticker/2010/2/4/iptc-bdt-20100204-60-23763212xml

Republik und Terror
Ein eiserner Windhauch
Von Jan Puhl
Die Erfinder der Guillotine waren beseelt vom Geist der Aufklärung.
http://www.spiegel.de/spiegelgeschichte/0,1518,674286,00.html

Vertriebenenstiftung
Regierungsfraktionen beenden Streit mit Steinbach
Der monatelange Konflikt über die Besetzung des Stiftungsrats der Vertriebenengedenkstätte ist beigelegt. Künftig wird der Bundestag die Mitglieder des Rats benennen, der Bund der Vertriebenen soll sechs statt wie geplant drei Sitze in dem Gremium bekommen. Steinbach sprach von einer „guten Lösung“.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,677268,00.html
http://nachrichten.rp-online.de/article/politik/Einigung-im-Fall-Steinbach/67619
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,677350,00.html
http://www.tagesschau.de/multimedia/video/video653194.html
http://www.welt.de/politik/deutschland/article6358384/Opposition-Steinbach-Einigung-ist-beschaemend.html
http://www.rp-online.de/politik/deutschland/Steinbach-Kompromiss-Beschaemend-und-enttaeuschend_aid_819140.html

Kommentar
Sieg und Niederlage für Erika Steinbach
Von Marcus Schmidt
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5b9c8efd5d0.0.html

Verräter
Von Stefan Scheil
Das Münchner Institut für Zeitgeschichte gibt in der neuesten Ausgabe seiner Vierteljahrshefte sechzehn Seiten frei, auf denen Kurt Neuhiebel eine Attacke auf Manfred Kittels angebliche „Entkoppelung von Krieg und Vertreibung“ ausbreiten darf. In Neuhiebels Argumentationsgang treten dabei die altbekannten Kausalitäten auf.
http://www.jungefreiheit.de/index.php?id=154&tx_ttnews%5Btt_news%5D=85951&tx_ttnews%5BbackPid%5D=154&cHash=06dc287194&MP=154-594

Stefan Scheil im Gespräch: „Der Bombenkrieg war für die Westalliierten ein geeignetes Mittel zur Kriegsführung und Tötung“
Der Historiker Stefan Scheil forscht zu den Ursachen des Zweiten Weltkriegs. Er ist langjähriger Autor der „Jungen Freiheit“ und der „Frankfurter Allgemeinen Zeitung“. 2005 erhielt er den „Gerhard-Löwenthal-Preis für Journalismus“. BlaueNarzisse.de sprach mit ihm im Vorfeld des 65. Jahrestags der Bombardierung Dresdens über die Ergebnisse der Dresdner Historikerkommission, Flüchtlinge in Dresden und die politischen Schatten der Bombardierung.
http://www.blauenarzisse.de/v3/index.php/aktuelles/1331-stefan-scheil-im-gespraech-der-bombenkrieg-war-fuer-die-westalliierten-ein-geeignetes-mittel-zur-kriegsfuehrung-und-toetung

Kontrovers diskutiert ...
Deutschland, halt’s Maul
Von Martin Lichtmesz
Wenn man noch irgendeinen Beweis dafür braucht, daß die Deutschen des beginnenden 21. Jahrhunderts das degenerierteste Volk auf diesem ganzen Erdball sind, dann sollte man sich den alljährlichen Hickhack um die Gedenkfeiern von Dresden zu Gemüte führen. Was hier geschieht, ist international beispiellos, und daß der Grad der Verkommenheit kaum mehr jemandem auffällt, ist Teil der Krankheit.
http://www.sezession.de/11660/deutschland-halts-maul.html

Unbedingt auch noch lesen ...
Sodom und Gomorrah (nochmals Dresden)
Von Martin Lichtmesz
Die Genesis, das 1. Buch Mose des Alten Testaments, berichtet, wie Gott in Begleitung zweier Engel bei Abraham einkehrte, dessen Neffe Lot mit seiner Familie in der vom Glauben abgefallenen Stadt Sodom lebte.  Gott war gekommen, um Abraham trotz des fortgeschrittenen Alters seines Weibes Sara die Geburt eines Sohnes anzukündigen. Als er sich anschickte weiterzuziehen, zögerte Gott:„Wie kann ich Abraham verbergen, was ich tue, sintemal er ein großes und mächtiges Volk soll werden, und alle Völker auf Erden in ihm gesegnet werden sollen?“
http://www.sezession.de/11993/sodom-und-gomorrah-nochmals-dresden.html

„Perlensamt“ von Barbara Bongartz
Von Götz Kubitschek
Möchte man ein Jude sein, heutzutage, ein Broder etwa, der ausstoßen darf, was er will, weil er weiß, daß ihm niemand kann? Vielleicht, manchmal. Aber es gibt auch einen anderen Weg: Man könnte der Erbe einer Nazigröße sein und sehr öffentlich zeigen, daß man alles wiedergutmachen will. Darum gehts in Perlensamt, und es gibt – nach einigem Nachdenken und wiederholter Lektüre dieses Buches – keinen Zweifel:
Perlensamt ist ein Schlüsselroman des deutschen Schuldstolzes um die Jahrtausendwende, und zwar ein sehr gelungener.
http://www.sezession.de/11787/perlensamt-von-barbara-bongartz.html#more-11787

Judenvergleich
Jesuiten distanzieren sich
http://www.tagesspiegel.de/weltspiegel/art1117,3023254
http://newsticker.welt.de/?module=dpa&id=23781084
http://www.wienerzeitung.at/DesktopDefault.aspx?TabID=3941&Alias=wzo&cob=470392

„Max Manus“ in den Kinos
Historien-Drama
http://www.filmstarts.de/kritiken/104143-Max-Manus.html

Einbeinige, rollstuhlfahrende, blinde Puppen oder siamesische Zwillinge aus Plastik sind auch noch viel zu wenig in Spielwarenläden verbreitet ...
Hanau
Ausstellung im Puppenmuseum hinterfragt Rollenklischees in Kinderzimmern
Mama kocht, Papa schaut fern
http://www.op-online.de/nachrichten/hanau/mama-kocht-papa-schaut-fern-620970.html

Diskriminierte Puppen
Von Ellen Kositza
Ans Puppenmuseum der Brüder-Grimm-Stadt Hanau hab ich noch folgende Erinnerung: Als uns in der sechsten Klasse mitgeteilt wurde, daß der nächste „Wandertag“ eine Fahrt in ebendieses Puppenmsueum bedeuten würde, ertönte Jubel, 25 Armpaare erhoben sich in frenetischer Begeisterung, zwei blieben unten – jene Mädchen haßten Puppen.
http://www.sezession.de/11939/diskriminierte-puppen.html

Verfassungspatriotismus funktioniert nicht ...
Regierungsbilanz
Frankreichs Nationaldebatte stigmatisiert Ausländer
Von Gesche Wüpper
Die von Staatspräsident Nicolas Sarkozy angestoßene Debatte über die nationale Identität ist gescheitert. Statt zu einer besseren Integration führte sie zu einer weiteren Stigmatisierung von Ausländern und vor allem der etwa fünf bis sechs Millionen in Frankreich lebenden Muslime. Profitiert haben die Rechtsextremen.
http://www.welt.de/politik/ausland/article6306935/Frankreichs-Nationaldebatte-stigmatisiert-Auslaender.html

Furchtbare Juristen ...
Abgeschobener Asylbewerber darf nach Deutschland zurückkehren
FRANKFURT/ODER. Ein nach Griechenland abgeschobener Iraker muß nach Deutschland zurückgeholt werden. Das entschied das Verwaltungsgericht Frankfurt/Oder. Das Gericht begründete nach einem Bericht der „Berliner Zeitung“ seine Entscheidung damit, daß die in Griechenland für Asylbewerber herrschenden Verhältnisse dem Iraker nicht zuzumuten seien. Zur Zeit müsse dieser als Obdachloser in einem Park leben.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M595ecc094db.0.html

Kolat: Migranten wollen Nestwärme fühlen
Kenan Kolat, Chef der Türkischen Gemeinde in Deutschland, findet, daß die Migranten so viel zur Integration geleistet hätten, daß jetzt mal die Deutschen dran sind. Die Kanzlerin solle sich gefälligst persönlich einbringen und ein Willkommensfest für Zuwanderer organisieren.
Angesichts zunehmender Fälle von Migrantengewalt auf unseren Straßen, tun wir nichts lieber, als die moslemischen Zuwanderer und ihre Kinder bei uns herzlich willkommen zu heißen. Herr Kauder hatte dies ja bereits auch von uns gefordert.
http://www.pi-news.net/2010/02/kolat-migranten-wollen-nestwaerme-fuehlen/#more-117159

Berliner Polizisten müssen immer öfter flüchten
Die Islamisierung Berlins schreitet zügig voran. In den „Tagesthemen“ vom 2. Februar lieferte die ARD einen tiefen Einblick in die dramatische Situation der Berliner Polizei. Die Sendung ist zwar schon über eine Woche alt, aber ihr Inhalt ist hochbrisant und brandaktuell.
http://www.pi-news.net/2010/02/berliner-polizisten-muessen-immer-oefter-fluechten/#more-118021

Gewalt gegen Polizisten
Bespuckt, beschimpft, bedroht
Von Jörg Diehl
Freund und Helfer war gestern – heute treffen Polizisten immer öfter auf Verachtung, Ablehnung, Aggression. In einer großen Studie soll der beunruhigende Trend jetzt untersucht werden: „Bullen aufzumischen“ sei längst zum Hobby gewalttätiger Jugendgangs geworden, klagen Beamte.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,677320,00.html

Kölner Polizei sucht sonnengebräunten Südländer
Die Kölner Polizei sucht nach einem brutalen Überfall am Donnerstag auf eine 26jährige Frau nach einem „südländisch wirkenden, schlanken Mann zwischen 30 und 40 Jahren, der stark sonnengebräunt ist“. Der Täter soll der Frau mit der Faust ins Gesicht geschlagen und sie am Boden liegend getreten haben.
http://www.pi-news.net/2010/02/koelner-polizei-sucht-sonnengebraeunten-suedlaender/#more-117098

München: Zivilcourage mit Messerstich bezahlt
Wenn demnächst kaum mehr einer Zivilcourage zeigen will, dann liegt es an Fällen wie diesem, die in letzter Zeit immer häufiger passieren: In München – in der Stadt also, wo vor einigen Monaten Dominik Brunner zu Tode getreten wurde – mußte in der Nacht zu Samstag auch ein 18jähriger fast mit seinem Leben bezahlen, weil er einem Bekannten helfen wollte. Einer der Angreifer, laut Münchner tz türkischstämmig, stach ihn mit dem Messer nieder.
http://www.pi-news.net/2010/02/muenchen-zivilcourage-mit-messerstich-bezahlt/

Dieser Fall ist schon etwas älter ...
Brutale Attacke vor der Disco
Mehrjährige Haftstrafen für gefährliche Schlägerei
Darmstadt (ddp). Das Darmstädter Landgericht hat drei brutale Schläger im Alter zwischen 19 und 42 Jahren zu mehrjährigen Haftstrafen verurteilt. Das Gericht sah es als erwiesen an, daß die Angeklagten den 29 Jahre alten Fabian S. aus dem südhessischen Bensheim im September 2008 bewußtlos geschlagen und ihn hilflos auf der Straße zurückgelassen hatten.
Das Opfer wurde von einem Taxi überrollt und starb vier Wochen später. Der 29jährige war zuvor in einer Bensheimer Diskothek einem jungen Mann zu Hilfe geeilt, der von den Schlägern verprügelt wurde.
Ein vierter Tatbeteiligter hatte sich vor Prozeßeröffnung in die Türkei abgesetzt. Vor Gericht verantworten mußten sich der 42jährige Erdogan M. aus Bensheim, sein 19jähriger Sohn Haydar M. und dessen gleichaltriger Halbbruder Volkan T. Auch weil er als Vater besondere Verantwortung trug, verurteilte das Gericht Erdogan M. zu sechs Jahren Gefängnis. Sein Sohn muß drei Jahre und sechs Monate in Haft, Volkan T. für drei Jahre und drei Monate. Alle drei Angeklagten wurden wegen gemeinschaftlich begangener gefährlicher Körperverletzung sowie anschließender Aussetzung mit Todesfolge schuldig gesprochen.
http://www3.e110.de/index.cfm?event=page.detail&cid=2&fkcid=1&id=46571

Dietzenbach/Offenbach
Polizei läßt Bande auffliegen
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/kreis_offenbach/2271619_Dietzenbach-Offenbach-Polizei-laesst-Bande-auffliegen.html

Multikulturelle Bereicherung zum Après-Ski
Die multikulturelle Bereicherung hat inzwischen auch einen der letzten Horte der Freiheit erreicht, die Skigebiete. Im österreichischen Mayerhofen gingen beim Après-Ski zwölf Türken u.a. mit Schlagringen, Messern und einer zerbrochenen Flasche auf sieben Niederländer los.
http://www.pi-news.net/2010/02/multikulturelle-bereicherung-zum-apres-ski/#more-117806

Türke
Mordversuch
„Ich hab halt einfach zugestochen“
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,676782,00.html

Da können sie sich wohl vor allem bei ihren Landsleuten bedanken ...
Bewerber-Diskriminierung
Tobias wirft Serkan aus dem Rennen
Von Christoph Titz
Und ist der Lebenslauf noch so toll – klingt ein Name türkisch, haben Jobbewerber schlechtere Chancen. Forscher haben Namenslotto mit fiktiven Studenten gespielt. Sie bestätigen, was immer vermutet wurde: Tobias und Dennis bekommen meist das Praktikum, Serkan und Fatih gehen oft leer aus.
http://www.spiegel.de/unispiegel/jobundberuf/0,1518,676649,00.html

Vorurteil? Vorurteil!
Von Karlheinz Weißmann
„Und ist der Lebenslauf noch so toll – klingt ein Name türkisch, haben Jobbewerber schlechtere Chancen.“ Wir glauben es der jüngsten „Spiegel“-Ausgabe, – unbesehen. Ein aufwendiges „Namenslotto“ mit fiktiven Bewerbungsunterlagen, fiktiven Zeugnissen von fiktiven Studenten, die sich um ein Praktikum in einem realen Unternehmen bemühen und trotz gleichartiger Leistungen verschieden behandelt wurden.
http://www.sezession.de/11849/vorurteil-vorurteil.html#more-11849

Bewährung für Straftat in der Bewährung
Eigentlich können sie machen, was sie wollen, so lange ein Migrations- und kein rechtsradikaler Hintergrund vorliegt. Wegen mehrfacher Körperverletzung in der Bewährungszeit wurde jetzt ein türkischer Hatz IV-Empfänger vom Amtsgericht Dortmund (Foto) erneut zu einer Bewährungsstrafe verurteilt. Der Richter hob aber drohend den Zeigefinger.
http://www.pi-news.net/2010/02/bewaehrung-fuer-straftat-in-der-bewaehrung/

NRW: Schöffe bestätigt Migrantenbonus
PI hat unzählige Male über den Mythos des Migrantenbonus berichtet. Von den Gutmenschen stets vehement bestritten, wird nun das Offensichtliche sehr rasant immer offensichtlicher. Ein Schöffe aus Nordrhein-Westfalen hat sich in einer mehr als eindrucksvollen E-Mail an den Bestsellerautor Udo Ulfkotte gewandt. Lesen Sie auch bei PI, was Udo Ulfkotte diesbezüglich geschildert wurde.
http://www.pi-news.net/2010/02/nrw-schoeffe-bestaetigt-migrantenbonus/

Migrationsbericht
Statistik – Mehr Abwanderung als Zuzug
(Böhmer sieht Zuwanderung als wirtschaftlichen „Gewinn“)
http://www.focus.de/politik/weitere-meldungen/migrationsbericht-statistik-mehr-abwanderung-als-zuzug_aid_476800.html

Wulff will neuerdings wohl Armin Laschet Konkurrenz machen ...
Migranten
Wulff fordert mehr Zuwanderer in deutschen Firmen
Niedersachsens Ministerpräsident Christian Wulff hat sich dafür ausgesprochen, daß deutsche Firmen mehr Zuwanderer einstellen sollen. „Es muß uns gelingen, auch ohne Quote den Anteil von Migranten zu erhöhen“, sagte der CDU-Politiker. Die Türkische Gemeinde in Deutschland sieht dies anders.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5972271/Wulff-fordert-mehr-Zuwanderer-in-deutschen-Firmen.html

Ismail Tipi wird erster türkischstämmiger CDU-Landtagsabgeordneter Hessens
„Kenne Wünsche der Migranten“
http://www.op-online.de/nachrichten/heusenstamm/kenne-wuensche-migranten-613285.html

Nach Text zu Minarettverbot
Linke: CDU-Abgeordneter Irmer ein „Haßprediger“
http://www.faz.net/s/Rub5785324EF29440359B02AF69CB1BB8CC/Doc~E526283E3CBBB4841966F4D8F5812DA8F~ATpl~Ecommon~Scontent.html?rss_googlenews

Angst vor Rockerkrieg
Die Polizei rechnet mit Racheakten nach Wechsel von Bandidos zu Hells Angels
Der Wechsel des Bandido-Unterstützer-Clubs „El Centro“ zu den verfeindeten Hells Angels hat in der Szene für Verwirrung gesorgt und am Sonnabend die Polizei auf den Plan gerufen. Ein Großaufgebot von Beamten kontrollierte ab 18 Uhr mehr als 280 „Höllen-Engel“ in Alt-Hohenschönhausen. Unter ihnen befanden sich auch der bisherige Anführer von „El Centro“ und ein Begleiter. Diese beiden hatten wie berichtet mit knapp 80 Angehörigen ihrer Bruderschaft in der vergangenen Woche die Seiten gewechselt. Anführer der Hells Angels hatten am Sonnabend zu einer Sitzung am Vereinshaus ihres Unterstützer-Clubs „Brigade 81“ an der Gärtnerstraße geladen. Dabei sollte es um die neue Situation und um Risikoabwägungen gehen.
Denn nicht alle Hells Angels sind nach Aussagen eines Ermittlers glücklich über die neue Entwicklung. In Polizeikreisen heißt es: „Diese Rocker haben ihre Aufnahmekriterien stets restriktiv durchgesetzt, Ausländer wurden nicht aufgenommen. Mit dem Übertritt der ehemaligen Bandidos-Unterstützer haben sie gleich eine Vielzahl von Türken in den eigenen Reihen.“ Zudem müsse jetzt jederzeit mit Racheakten der alteingesessenen Bandidos gerechnet werden. Darauf bereiten sich offenbar auch die Hells Angels vor – bei dem Einsatz in Alt-Hohenschönhausen wurden Brechstangen, Teleskopschlagstöcke, Äxte und Axtstiele, Quarzhandschuhe und Pfefferspray sichergestellt.
http://www.welt.de/die-welt/regionales/article6297568/Angst-vor-Rockerkrieg.html
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,675823,00.html

Paris
Posträuber kamen im Ganzkörperschleier
http://derstandard.at/1263706915410/Postraeuber-kamen-im-Ganzkoerperschleier

Alltagswahnsinn, britisch
Von Michael Paulwitz
Wer bei der Lektüre heimischer Gazetten glaubt, der alltägliche politisch korrekte und Multikulti-Irrsinn wäre nicht mehr zu toppen, der werfe gelegentlich mal einen Blick in die englische Boulevardpresse. In „Daily Mail“ zum Beispiel war gestern die groteske Geschichte des griechisch-zypriotischen Grundschullehrers Nicholas Kafouris zu lesen.
http://www.sezession.de/11881/alltagswahnsinn-britisch.html#more-11881

How Labour threw open doors to mass migration in secret plot to make a multicultural UK
http://www.dailymail.co.uk/news/article-1249797/Labour-threw-open-doors-mass-migration-secret-plot-make-multicultural-UK.html
http://www.pi-news.net/2010/02/blairs-multikulti-politik-war-kampf-gegen-rechts/

Ärtzin entschuldigt sich nach Wirbel um „Cihad“
http://www.focus.de/panorama/welt/gesellschaft-aertzin-entschuldigt-sich-nach-wirbel-um-und132cihadund147_aid_477303.html

Bundesweite Razzia
Ermittler durchsuchen Wohnungen von Islamisten
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,675741,00.html

Kontakte zu Sauerland-Gruppe?
Gericht bestätigt Ausweisung von Haßprediger Sadat
http://www.faz.net/s/Rub8D05117E1AC946F5BB438374CCC294CC/Doc~EA8FC9730674E496792483A31C86A8472~ATpl~Ecommon~Scontent.html?rss_googlenews
http://www.op-online.de/nachrichten/offenbach/offenbach-darf-imam-ausweisen-618714.html

Verhandlungen abgebrochen
Einigung über Hamburger Schulreform geplatzt
Von Jochen Leffers
Abbruch in der sechsten Runde: Die Verhandlungen über die Schulreform in Hamburg sind gescheitert, der schwarz-grüne Senat und Reformgegner fanden keinen Kompromiß. Damit dürfte es im Sommer zum Volksentscheid kommen – in einem bundesweit bisher beispiellosen Schulkampf.
http://www.spiegel.de/schulspiegel/wissen/0,1518,676103,00.html

Neukuhren soll Moskau entlasten
In Pionerskij, dem ehemaligen Neukuhren, wird eine Residenz der russischen Zentralregierung gebaut. Als deren Fundment dienen die Reste eines so genannten Bismarckhauses.
http://www.koenigsberger-express.com/main/show_artikel.php?id=2050&kat=6&PHPSESSID=452f50112656d243970ed1ce7372d440

Welch Wunder: Die Russen sind Europäer. Vom Gegenteil waren wohl nur Napoleon und Hitler überzeugt ...
Wie viele europäische Gene stecken im Russen?
Von Manfred Quiring
Im Moskauer Kurtschatow-Institut hat man sein Erbgut entschlüsselt – Tataren-Erbe geringer als erwartet
http://www.welt.de/die-welt/wissen/article6328010/Wie-viele-europaeische-Gene-stecken-im-Russen.html

Die Sentinelesen – das isolierteste Volk der Welt
„Man kann nicht so tun, als gäbe es sie nicht“
Mit dem Tod der letzten Angehörigen ist nun der Stamm der Bo auf der indischen Inselkette Andamanen ausgestorben. Die Bo waren ein Unterstamm des Großen-Andamanesen-Stamms, der einmal aus zehn Untergliederungen bestand und zu dem auch die Sentinelesen gehören.
http://www.faz.net/s/RubCD175863466D41BB9A6A93D460B81174/Doc~EACBD0D488D1F4E5AACE4FA58DC1F8AE6~ATpl~Ecommon~Scontent.html

Zetazeroalfa – Nella mischia
http://www.youtube.com/watch?v=bXGlEz1T8f4&feature=related

Casapound Italia
http://www.casapounditalia.org/

JF-Interview mit der Musikerin Dee Ex ...
„Ich habe die Freiheit gewählt“
Von Moritz Schwarz
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5cf2873145a.0.html
http://www.youtube.com/watch?v=BsN72OyUwxk&feature=PlayList&p=834B04231ED4A176&index=0
http://www.youtube.com/watch?v=3fF7IWB1u2k

Skurriles aus dem Orient ...
Vereinigte Arabische Emirate
Diplomat annulliert Ehe mit verschleierter Braut
Ein arabischer Botschafter hat unmittelbar nach seiner Hochzeit die Scheidung eingereicht, weil er sich durch den Gesichtsschleier seiner Braut getäuscht sah. Beim ersten Kuß habe er festgestellt, daß sie im Gesicht stark behaart sei und schiele, berichtete die emiratische Zeitung „Gulf News“. Vor einem Scharia-Gericht in Dubai machte der Diplomat geltend, die Familie der Braut habe seiner Mutter bei der Eheanbahnung Fotos der Schwester gezeigt.
http://www.welt.de/die-welt/vermischtes/article6343752/Diplomat-annulliert-Ehe-mit-verschleierter-Braut.html

Da es halbwegs glimpflich ausging, darf man auch hier lachen ...
Unfall in Istanbul: Kipplaster rammt Fußgängerbrücke
http://www.spiegel.de/video/video-1043411.html

mercredi, 17 février 2010

Russie: ce qui va changer en 2010!

Russie : ce qui va changer en 2010

Russia Beyond the Headlines publie un article très intéressant intitulé : Ce qui va changer en 2010 !
Miss_Russia_06_Tatiana_Kotova.jpgAu premier janvier 2010 :
* La Russie a entamé la valorisation des retraites, c'est-à-dire la révision du montant des allocations de retraite pour les personnes ayant commencé à travailler avant 2002. Globalement, le montant des retraites augmentera de 10%, plus 1% pour chaque année travaillée jusqu'en 1991. Les personnes handicapées toucheront des pensions de travail qui dépendront de groupes d'invalidité, sans prise en compte de leur capacité ou non à travailler.

* Les familles pourront commencer à utiliser l'argent du « capital maternel », prime distribuée à la naissance du deuxième enfant et des suivants. Il y a tout juste trois ans que le soutien aux familles avec enfants a été mis en place. Actuellement, le montant de ce capital est de 343 400 roubles (environ 8 100 euros).

* Les médicaments vitaux et essentiels, rassemblés sur une liste, verront leurs prix régulés. Ces prix seront dorénavant fixes et les régions devront se conformer aux restrictions concernant les autorisations de majoration de prix.

* Les tarifs des monopoles naturels sont en augmentation en ce début d’année. En effet, le coût de l'électricité a augmenté de 10% pour les particuliers et de 7,6% pour les industries. Les entreprises ont vu le prix de gaz augmenter de 15%, contre 5% pour les particuliers. De plus, le prix du gaz pour les particuliers sera majoré de 15% au premier avril 2010.

* La contribution sociale généralisée a été annulée. A sa place, les employeurs paieront 20% sur les salaires de leurs employés au Fonds de pension, 3,1% à l'Assurance Maladie et 2,9% à la Sécurité sociale. Le taux cumulé de ces cotisations restera dans les limites de la contribution sociale généralisée, soit 26%.

* Une Cour d'assises a été établie en Tchétchénie, la seule région de Russie qui n'en était toujours pas dotée fin 2009. Malgré l'établissement de jurys d'assises sur l'ensemble du territoire national (l'absence de Cour d'assises en Tchétchénie avait constitué l'une des raisons justifiant la mise en place du moratoire sur la peine capitale) et la possibilité formelle de condamner à la peine de mort, la Cour constitutionnelle de Russie a prolongé le moratoire sur la peine capitale.

* Neuf importants producteurs russes de boissons gazeuses, de chips et de confiseries se sont engagés à limiter la publicité pour les produits alimentaires et les boissons à destination des enfants de moins de 12 ans. L'interdiction a été appliquée à la publicité pour les produits alimentaires ne répondant pas aux normes définissant une alimentation saine, établies par le ministère de la Santé et du Développement social, et les normes sur l'alimentation infantile en Russie.

* Les musées, les archives et les bibliothèques nationaux et municipaux seront désormais exonérés de TVA dans les cas d'importation depuis l'étranger de biens culturels, quelle que soit leur nature, autrement dit, les achats et les dons privés de mécènes étrangers ne seront pas sujets à la TVA.

* L'obligation relative au montant minimal du capital des banques, qui s’élève à 90 000 000 de roubles (plus de 2 millions d'euros), a été mise en place. Selon les prévisions de la Banque de Russie, 80% des petites banques devraient conserver leur licence.

* Les licences de construction, de conception de projets et d'études d'ingénierie sont supprimées. L'activité des entreprises de bâtiment et d'ingénierie sera contrôlée par les organismes autorégulés.

* Les modifications portées aux Codes Fiscal, Pénal et Code de Procédure pénale de Russie, ainsi qu'à la loi "Police" sont entrées en vigueur. Dès à présent, une personne jugée pour la première fois pour le non-paiement de ses impôts sera affranchie de responsabilité pénale si elle s'acquitte de la totalité de la somme due, des pénalités de retard et des amendes. De plus, l'auteur présumé d'une fraude fiscale ou l'accusé ne pourra pas être placé en garde à vue.

* Le tarif douanier commun de l'Union douanière Russie-Biélorussie-Kazakhstan est effectif depuis début 2010. Cela a entraîné un changement de taxes douanières pour environ 18% des types de produits. Qui plus est, au premier juillet 2010, on prévoit l'entrée en vigueur du Code des douanes.

* Parmi les nouveautés de 2010, on note également la nouvelle loi permettant aux particuliers et aux entreprises d'accéder librement aux informations relatives aux activités des autorités nationales et locales.

* Le prix minimal d'une bouteille de vodka de 0,5 l s'élève depuis le début de l'année à 89 roubles. La vodka vendue à un prix inférieur est désormais étiquetée comme contrefaçon. Pour les bouteilles de volume différent, le prix minimal est calculé au prorata du volume.

* Le 10 janvier 2010, un nouveau type de peine a été établi en Russie, la liberté limitée. La détention à domicile sur décision du tribunal entend que le condamné n'a pas le droit de changer librement de domicile, de lieu de travail ou d'études, ou par exemple de se rendre dans certains endroits. Cette peine peut s'appliquer pour un délai de deux mois à quatre ans pour les délits mineurs, et de six mois à deux ans pour des délits majeurs (comme peine supplémentaire).

* En outre, le premier février entrera en vigueur la loi sur le commerce. Le gouvernement pourra fixer les prix maximaux pour certains types de produits alimentaires essentiels, pour une période maximale de 90 jours.

* Le premier mars le délai de privatisation gratuite du logement doit prendre fin (la possibilité d'une prolongation de ce délai sera débattue à la Douma) et le 8 mars, l'application de la prime à la casse sera mise en place pour les voitures des constructeurs nationaux et étrangers, âgées de plus de dix ans.

* A partir du 26 juin, tous les paquets de cigarettes et autres produits de tabac porteront l'inscription "Fumer tue", qui occupera au minimum un tiers de la partie frontale du paquet.

* A compter du premier juillet, toutes les décisions de justice seront publiées sur internet.

lundi, 15 février 2010

Offizielle Anfrage der französische Regierung an die USA über geheime LSD-Experimente in den 1950er-Jahre

Offizielle Anfrage der französischen Regierung an die USA über geheime LSD-Experimente in den 1950er-Jahren

F. William Engdahl - Ex: http://info.kopp-verlag.de/

Dieser Tage entsteht ein diplomatischer und politischer Skandal, der erhebliche Auswirkungen auf die amerikanisch-französischen Beziehungen haben könnte. Ausgelöst wurde er durch neue Untersuchungen des mysteriösen Ausbruchs von »Massenwahnsinn« in einem südfranzösischen Dorf, bei dem etwa 500 Menschen erkrankten und fünf starben.

LSD.jpgWie zuverlässige amerikanische Quellen berichten, ist beim Bureau of Intelligence and Research des US-Außenministeriums eine vertrauliche Anfrage des Büros von Erard Corbin de Mangoux, dem Chef des französischen Auslandsnachrichtendienstes DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure) eingegangen. Den Berichten zufolge bezieht sich die Anfrage auf die kürzlich veröffentlichte Darstellung über die Mitschuld der US-Regierung an dem mysteriösen Ausbruch von Massenwahnsinn in dem südfranzösischen Dorf Pont-Saint-Esprit im Jahr 1951.

Fast 500 Menschen waren damals betroffen, mindestens fünf von ihnen sind gestorben. Beinahe 60 Jahre lang hat man den Vorfall von Pont-St.-Esprit entweder auf eine Mutterkorn-Vergiftung – angeblich hatten die Dorfbewohner Brot gegessen, das mit bewusstseinverändernd wirkendem Schimmel verunreinigt war – oder auf eine organische Quecksilbervergiftung geschoben.

Ein kürzlich in den USA erschienenes Buch erhebt aufgrund von ausführlichen Interviews mit inzwischen pensionierten US-Geheimdienstmitarbeitern, die über die Vorgänge in Frankreich im Jahr 1951 direkt informiert waren, den Vorwurf, bei dem bis heute nicht geklärten Ausbruch von »Massenwahnsinn« in dem entlegenen Dorf handele es sich in Wirklichkeit um ein Top-Secret-CIA-Experiment, das im Rahmen des CIA-Forschungsprogramms MKULTRA (wie in ultra-geheim) durchgeführt wurde.

In seinem Buch A Terrible Mistake: The Murder of Frank Olson and the CIA’s Secret Cold War Experiments zu (Deutsch: Ein schrecklicher Fehler: Der Mord an Frank Olson und die CIA-Experimente im Kalten Krieg) dokumentiert der investigative Journalist H.P. Albarelli, dass der Krankheitsausbruch in Pont-St.-Esprit auf ein geheimes Projekt unter der Leitung der streng geheimen Abteilung Special Operations Division der US Army in Fort Detrick im US-Bundesstaat Maryland zurückzuführen ist, bei dem LSD versprüht wurde. Seiner Schilderung nach arbeiteten die Wissenschaftler, die mit der falschen Begründung verunreinigten Brotes oder einer Quecksilbervergiftung die wahre Ursache des Vorfalls vertuscht haben, für das Pharmaunternehmen Sandoz, das sowohl der US Army als auch der CIA mit LSD für Forschungszwecke geliefert hatte.

Eine französische Zeitung hatte damals über bizarre Vorfälle berichtet: »Es ist weder Shakespeare noch Edgar Poe. Es ist – leider! – die traurige Realität von Pont-St.-Esprit und seiner Umgebung, wo sich furchtbare Szenen von Halluzinationen abspielen, die geradewegs aus dem Mittelalter stammen könnten, Szenen voller Schrecken und Pathos, voll dunkler Schatten.« Die amerikanische Zeitschrift Time Magazine, deren Herausgeber Henry Luce eng mit den Propagandaaktivitäten der CIA in den 1950er-Jahren verbunden war, berichtete: »Betroffene fielen ins Delirium: Patienten warfen sich auf dem Bett hin und her, sie schrien entsetzt, aus ihrem Körper sprießten rote Blumen, ihre Köpfe hätten sich in geschmolzenes Blei verwandelt. Aus dem Krankenhaus von Pont-Saint-Esprit wurden vier Selbstmordversuche gemeldet.«

Laut Albarelli heißt es auf der Website des US-Justizministeriums bezüglich der Gefahren von LSD, Anfang der 1950er-Jahre sei »das Chemieunternehmen Sandoz so weit gegangen, der US-Regierung LSD als potenzielle geheime Waffen chemischer Kriegsführung anzupreisen. Sein Hauptverkaufsargument war dabei, schon eine kleine Menge könne, dem Trinkwasser zugesetzt oder in der Luft versprüht, eine ganze Armee von Soldaten orientierungslos, psychotisch und damit kampfunfähig machen.«

Seiner Darstellung nach lagen der CIA verschiedene Vorschläge amerikanischer Wissenschaftler vor, der Wasserversorgung einer mittelgroßen bis großen Stadt eine größere Menge LSD unterzumischen, doch nach Angaben ehemaliger Beamter der Behörde »ist das Experiment wegen der unerwarteten Zahl von Todesopfern bei der Operation in Frankreich nie genehmigt worden«.

Im Rahmen der Forschung über LSD als Offensivwaffe hat die US Army laut Albarelli in der Zeit von 1953 bis 1965 über 5.700 ahnungslose amerikanischen Militärangehörigen Drogen verabreicht. Aufgrund geheimer Verträge mit mehr als 325 Colleges, Universitäten und Forschungseinrichtungen in den USA, Kanada und Europa wurden gemeinsam mit der CIA an weiteren 2.500 Personen umfangreiche Tests mit LSD und anderen Drogen durchgeführt, viele davon waren Krankenhauspatienten und College-Studenten.

Ein Beamter der DGSE, der nicht namentlich genannt werden wollte, erklärt: »Sollten sich die Enthüllungen im Einzelnen als wahr erweisen, wäre dies für die Menschen in Pont-St.-Esprit und für alle Bürger Frankreichs äußerst bedrückend. Dass Regierungsbehörden der Vereinigten Staaten bewusst unschuldige ausländische Bürger zur Zielscheibe eines solchen Experiments machen würden, stellt einen Verstoß gegen das Völkerrecht und eine Verletzung internationaler Verträge dar.«

Montag, 08.02.2010

Kategorie: Allgemeines, Enthüllungen, Geheimdienste, Wissenschaft, Politik

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dimanche, 14 février 2010

Irrer Plan: Obama-Berater will Steuer auf "Verschwörungstheorien" - oder sie gleich verbieten

Irrer Plan: Obama-Berater will Steuer auf »Verschwörungstheorien« – oder sie gleich verbieten

Gerhard Wisnewski - Ex: http://info.kopp-verlag.de/

Gehören Sie auch zu den Leuten, die glauben, dass Präsident Kennedy und Martin Luther King von den Geheimdiensten ermordet wurden? Oder dass die bemannte Mondlandung niemals stattgefunden hat? Oder dass die »Klimakatastrophe« ein Schwindel ist? Dann ziehen Sie sich mal warm an. Denn ein Berater des ach-so-guten US-Präsidenten Barack Obama hat vorgeschlagen, solche Theorien zu verbieten, zu besteuern und/oder die Wahrheitssuchenden zu unterwandern und von ihrer Meinung abzubringen. Der Vorgang gibt all jenen Recht, die Obama von vorneherein für einen Albtraum gehalten haben.

cass-sunstein_068-copy.jpgObama-Berater will Verschwörungstheorien verbieten? Toll. Dann hat endlich die Geschichte von Obama bzw. Osama und den 19 Räubern ein Ende, die am 11. September 2001 auszogen, die Weltmacht USA zu attackieren. Oder die Verschwörungstheorien über Saddam Husseins Massenvernichtungswaffen, die nie gefunden wurden. Oder die Theorien, dass der Iran demnächst eine Atombombe bauen kann. Doch man ahnt es schon: Diese Verschwörungstheorien sind natürlich nicht gemeint. Vielmehr sind jene Theorien im Visier von totalitären Politikern, die den obrigkeitlichen Blödsinn immer wieder als Verschwörungstheorie entlarven.

»Viele Millionen Menschen glauben an Verschwörungstheorien«, heißt es in dem Papier des offiziellen Verschwörungstheoretikers Cass R. Sunstein, dem jetzigen Chef von Obamas Office of Information und Regulatory Affairs. Sunstein ist Juraprofessor an der Harvard Law School, wo Barack Obama von 1988 bis 1991 studierte. Sein dubioses Papier verfasste er 2008, was ihn möglicherweise gleich als Regierungsberater empfahl. Aber halt – so beginnt ja schon wieder eine Verschwörungstheorie!

Und das wollen wir natürlich nicht. Denn Verschwörungstheoretiker glauben, so Sunstein, »dass mächtige Leute zusammengewirkt haben, um die Wahrheit über einige wichtige Machenschaften oder schreckliche Ereignisse zu unterdrücken«. Na, so was: Das ist natürlich kompletter Unsinn. Schließlich arbeiten die Mächtigen dieser Welt Tag für Tag ausschließlich für die Wahrheit, die Wahrheit und nochmals die Wahrheit. Nicht zu vergessen das Wohl der Menschheit. »Diejenigen, die an Verschwörungstheorien glauben, können ernste Risiken heraufbeschwören, einschließlich des Risikos der Gewalt.« Das ist allerdings wahr. Man denke nur an Gewalttäter wie den Verschwörungstheoretiker George W. Bush.

Zunächst einmal müsse man die Bedingungen erkennen, unter denen Verschwörungstheorien gedeihen, meinen Sunstein und sein Co-Autor Adrian Vermeule. Den beiden kann geholfen werden: »Verschwörungstheorien« blühen immer dann, wenn die offiziellen Verschwörungstheorien so miserabel sind, dass sie nun wirklich kein Mensch mehr glaubt und die Leute nach besseren Erklärungen suchen. Und weil den Verbreitern der offiziellen Verschwörungstheorien sämtliche Felle davon schwimmen, wollen sie unbequeme Meinungen gesetzlich unterdrücken oder anderweitig unterminieren. Die zweite Herausforderung bestehe darin, Wege zu finden, wie solche Verschwörungstheorien untergraben werden können, heißt es in dem Papier.

Wie wär’s damit: Einfach mal die Wahrheit sagen! Nicht doch. Das geht nämlich überhaupt nicht. Das US-Imperium würde an der Wahrheit glatt zerbrechen – insbesondere an der Wahrheit über den 11.9. Die Lügen der US-Geschichte sind konstitutiv, seien es nun die Lügen über den Untergang der Maine 1898, über Pearl Harbor 1941, den Kennedy-Mord 1963 oder eben über den 11.9.2001. Die Lügen und Inszenierungen sind fester Bestandteil und Rechtfertigung für die eigene Geschichte und das eigene Handeln. Daher müssen sie verteidigt werden, und da kennt die Fantasie keine Grenzen. »Wir können uns eine Reihe von möglichen Maßnahmen vorstellen«, schreiben die Autoren:

– Die Regierung könnte Verschwörungstheorien verbieten.

– Die Regierung könnte eine Art finanzielle oder andere Abgabe über die Verbreiter von Verschwörungstheorien verhängen.

Das Beste sei aber die »weltanschauliche Infiltration von extremistischen Gruppen«. Mit »extremistischen Gruppen« ist wiederum nicht die US-Regierung gemeint, sondern Leute, die sich über das Weltgeschehen so ihre eigenen Gedanken machen. Faustregel: Wer die Lügen der US-Regierung nicht glaubt, muss einfach ein Extremist sein. »Wir schlagen eine spezielle Taktik vor, um den harten Kern von extremistischen Gruppen aufzubrechen, die Verschwörungstheorien verbreiten«, fabulieren Sunstein und Vermeule. Dabei sollen Zweifel an der »Verschwörungstheorie« gesät und so deren »gewünschte« Aufspaltung erreicht werden. Regierungsagenten könnten sich in Chat-Räume und soziale Netzwerke begeben, um die Verschwörungstheorien »zu unterminieren«.

Damit war der Mann möglicherweise reif für eine große Karriere bei Präsident Obama.

 

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Ergänzender Link zu diesem Artikel:

http://www.wnd.com/index.php?fa=PAGE.view&pageId=121884

 

Dienstag, 09.02.2010

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samedi, 13 février 2010

Raketenstationierung in Polen und Rumänien: USA setzen provokative Einkreisungsstrategie gegenüber Russland fort

missilespolroum.jpg

 

Raketenstationierung in Polen und Rumänien: USA setzen provokative Einkreisungsstrategie gegenüber Russland fort

F. William Engdahl - Ex: http://info.kopp-verlag.de/

Schon vor einigen Tagen hat Washington bekannt gegeben, dass Polen die amerikanischen »Patriot«-Luftabwehrraketen angeboten werden, jetzt folgt die Ankündigung, dass das Raketenabwehrsystem »zum Schutz Europas« auf Rumänien ausgedehnt wird.

Obwohl Präsident Obama im September 2009 erklärt hatte, auf die geplante Stationierung moderner US-Raketen- und Radarsysteme in NATO-Ländern wie Polen und der Tschechischen Republik zu verzichten – eine Entscheidung, die allgemein als Schritt zur Reduzierung der Spannungen zwischen den USA und Russland betrachtet wurde –, zeigt sich  jetzt, dass Washington lediglich den Ort der Stationierung und den Typ der Luftabwehrraketen verändert hat. Die Strategie der Einkreisung Russlands, für Moskau eine große militärische Herausforderung, wird also beibehalten. Die Gefahr einer weltweiten atomaren Katastrophe durch Fehlkalkulation bleibt unvermindert oder nimmt sogar noch zu.

Der rumänische Präsident Traian Basescu hat die Zustimmung seines Landes zu dem amerikanischen Plan der USA, im Rahmen des Raketenschutzschildes für Europa Abfangraketen auf rumänischem Territorium zu stationieren, bekannt gegeben. In der entsprechenden Ankündigung der USA hieß es, die Anlagen sollten 2015 einsatzbereit sein und dienten der Verteidigung gegen eine »aktuelle und künftige Bedrohung durch iranische Raketen«. Anstatt also die Pläne, die sich in Wirklichkeit ausschließlich gegen das noch verbliebene Nukleararsenal Russlands richten und nicht gegen eine mögliche Bedrohung Europas durch den Iran, tatsächlich aufzugeben, hat die Regierung Obama zu psychologischer Taktik gegriffen und das Offensivsystem einfach nur neu verpackt. Jetzt ist ein flexibleres System aus einer Kombination von luft- und seegestützten Abfangraketen geplant, die im Laufe der kommenden vier Jahre in Zentraleuropa stationiert werden sollen.

Die jüngste Ankündigung Rumäniens widerspricht Obamas Versicherung, er suche den Dialog mit Moskau, um gemeinsam und mit Beteiligung der Staaten der Europäischen Union die tatsächliche Bedrohungslage für beide Seiten zu untersuchen.

Dass die Bedrohung Moskau gegenüber wächst, wird auch dadurch bestätigt, dass die polnische Regierung in Warschau jetzt bekannt gegeben hat, dass die amerikanischen Patriot-Raketen im Norden des Landes, nur etwa 100 Kilometer von der Grenze zur russischen Enklave Kaliningrad entfernt, und nicht in Warschau stationiert werden sollen.

Wie der polnische Verteidigungsminister Bogdan Klich versichert, hat die Entscheidung, in Morag, das der russischen Grenze weit näher liegt als Warschau, eine Basis für die Patriot-Raketen zu errichten, keine strategischen Gründe. »In Morag konnten wir den amerikanischen Soldaten die besten Bedingungen und die optimalen technische Basis für die Ausrüstung bieten«, so Klich. Seine Erklärung klingt jedoch wenig überzeugend. Der polnische Außenminister und frühere Verteidigungsminister Radek Sikorski, der die provokative US-Raketenstrategie rückhaltlos unterstützt, gehört zum engen Kreis der neokonservativen Clique um Bush und Cheney. Sikorski war führendes Mitglied der Washingtoner Neo-Con-»Denkfabrik« namens American Enterprise Institute und Direktor der New Atlantic Initiative, die die Einkreisung Russlands unterstützt und dafür plädiert hat, so viele ehemalige Mitgliedsstaaten des Warschauer Pakts wie möglich in die NATO aufzunehmen.

Die Patriot-Einheit in Polen wird aus etwa 100 US-Soldaten bestehen; bis zu acht Raketensysteme sollen stationiert werden. Die ersten US-Soldaten werden Ende März in Polen erwartet. Das Patriot-Flugabwehrraketensystem (MIM-104) kann gegen taktische ballistische Raketen, Marschflugkörper und Flugzeuge eingesetzt werden.

 

Atomarer Erstschlag und Raketenabwehr

Die Stationierung des US-Raketenabwehrsystems birgt das größte Destabilisierungpotenzial, nicht nur für die Beziehungen zwischen den USA und Russland, sondern auch für die Frage Frieden und Atomkrieg durch Fehlkalkulation.

Sollte es den USA gelingen, nur wenige Flugminuten von den russischen Raketensilos entfernt einen noch so primitiven Raketenschirm zu stationieren, während Russland nicht über ein entsprechendes Abwehrsystem verfügt, dann erhielte das Pentagon damit zum ersten Mal seit Anfang der 1950er-Jahre das – im Jargon der Militärstrategen – »nukleare Primat«, nämlich die Fähigkeit zu einem erfolgreichen Erstschlag. Bevor eine solche Drohung jedoch Wirklichkeit wird, steht die andere Seite, also Russland, unter dem enormen Druck, rechtzeitig zum Präventivschlag auszuholen. Für US-Militärexperten wie den ehemaligen Direktor des US-Raketenverteidigungsprogramms, Lt. Colonel Robert Bowman, stellt die Raketenabwehr das »fehlende Verbindungsglied [missing link] zu einem Erstschlag« dar. Kein Wunder, dass die amerikanisch-russischen Beziehungen ziemlich frostig wurden, als Washington Anfang 2007 die entsprechenden Pläne bekannt gab.

 

Dienstag, 09.02.2010

Kategorie: Geostrategie, Politik, Terrorismus

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jeudi, 04 février 2010

Dix clefs pour combattre l'Amérique

uncle_sam_riddell.jpgDix clefs pour combattre l’Amérique

par Jean de Lothier

1/La stratégie du retournement

Il est primordial d’utiliser les armes de l’ennemi afin de lutter contre lui. C’est à dire conserver son identité, sa façon d’être au monde, tout en utilisant le dynamisme du modèle US et sa technologie, sans l’idéologie qui la structure. Ainsi, en guise de modèle, le réseau Internet devient un instrument de guerre que l’on retourne contre ses concepteurs. Il est un gigantesque forum où se préparent au quotidien les opérations intellectuelles, culturelles et politico-militaires contre la Pax Americana.

2/L’appel au boycott

L’appel au boycott des produits « made in Usa » est une entreprise de décontamination à grande échelle. Il s’agit de se démarquer (dans tous les sens du terme), de se singulariser, de s’identifier et de se libérer de la macule servile de la serpillière étoilée. Cette mesure implique la désertion des mangeoires bétaillères Mc Do, le refus de la coca-colonisation, et de toutes les autres formes d’aliénation culturelle aux couleurs de l’Amérique. S’affranchir du goût américain, c’est déjà rentrer en dissidence !

3/L’esprit partisan

Il importe de prendre fait et cause pour les guérillas, les rébellions, les résistances contre l’ordre américain. Les émules de Unabomber, les indépendantistes du Texas et d’Alaska, les zapatistes du Chiapas, les héritiers de Tupac Amaru, les spectres des fedayins disparus et les fils du « Vent divin » (kamikaze) sont nos frères d’armes dans la lutte contre l’américanisation du monde. A chacun d’apporter l’étincelle qui fera s’embraser les volontés et allumer les feux de la bataille finale contre l’odieux Uncle Sam.

4/Le rire armé

L’ennemi paraît d’autant plus indestructible qu’il impressionne. Dès l’instant où se dévoilent sa faiblesse, son inconséquence et sa niaiserie, sa crédibilité se décompose. L’étalage de l’imbécillité comique des artisans de l’hyperpuissance états-unienne indique une faiblesse. La libidineuse affaire Lewinski, l’attentat du bretzel étrangleur, les gesticulations du gouvernator Conard le Barbant donnent la juste mesure d’un pays où le ridicule est roi, et où triomphent le toc et le vulgaire. Derrière les gesticulations simiesques de la force brute, se révèle le néant par lequel un rire dévastateur peut s’engouffrer.

5/La démythification de l’histoire US

« L’Amérique ! Ses grands espaces de liberté, son idéal de justice,… ». Foutaises que tout cela ! Il est vital de dire, d’écrire, de proclamer inlassablement que l’histoire états-unienne est une litanie d’usurpations et de crimes : du génocide originel à Wounded Knee ; de la guerre hispano-américaine, premier acte militaire contre l’Europe, au bombardement des populations civiles du Havre, de Dresde et de Belgrade ; de l’atomisation des villes japonaises aux bombardements à fragmentation et à uranium appauvri contre l’Irak. Les Etats-Unis ou l’histoire d’un prédateur insatiable.

6/L’anti-american way of life

L’Amérique incarne un mode de vie placé sous le signe de l’utilité marchande, de la rentabilité économique et de l’intérêt matériel. A cela, il convient d’opposer une façon d’être au monde qui affirme le sens de l’acte gratuit, l’intelligence du cœur, la force de l’âme. Aux Etats-Unis, il faut savoir se vendre pour exister. En Europe et partout ailleurs, les ressources de l’âme doivent se mobiliser afin de renverser l’idole matérialiste états-unien.

7/La voie eurasienne

Trop longtemps habitués à regarder vers l’Ouest, les Européens doivent désormais regarder à l’Est où pourrait se lever demain l’aurore d’une Europe renaissante. La Russie dispose d’un potentiel identitaire et énergétique non négligeable. Elle partage avec l’Europe des racines communes Cette voie euro-sibérienne doit impérativement s’articuler autour d’un axe Paris-Berlin-Moscou. La maison commune eurasienne participerait alors à la construction d’un monde multipolaire qui ne soit plus écrasé par la domination amerloque. Les fils de l’Imperator Karolus Magnus doivent unir leur force à celles des enfants du Czar Pierre le Grand pour partir à l’assaut de la forteresse états-unienne qui enténèbre le continent européen.

8/La désotanisation de l’Europe

Il y a à ce jour 114 000 militaires US en Europe. C’est 114 000 de trop ! Une mesure symbolique et stratégique prise par les citoyens européens (lancement d’une campagne d’information, mettant en exergue le scandale de la présence américaine sur la terre d’Europe) devrait aboutir, par voie de manifestation populaire, au démantèlement de la présence militaire américaine en Europe, établissant de fait une doctrine Monroe européenne (« L’Europe aux Européens ! ») mettant un terme à la permanente ingérence états-unienne dans les affaires continentales.

9/L’alliance euro-arabe

La phobie auto-entretenue et les idées courtes qui circulent à propos de l’Islam (tous les musulmans ne sont pas salafistes !) nous font perdre de vue que l’Europe et le monde arabo-musulman partagent des intérêts géopolitiques communs. L’espace méditerranéen offre la possibilité d’une alliance culturelle et stratégique euro-arabe face à l’impérialisme militaire et marchand des Etats-Unis. La Méditerranée doit redevenir la mer intérieure (Mare Nostrum) qu’elle était dans l’Antiquité, en se libérant prioritairement de la VIe flotte US qui souille ses eaux. Cela ne peut être que si est établie une paix juste entre Israël (dont on n’oubliera pas qu’elle est historiquement et culturellement reliée à la civilisation européenne) et les pays arabes. Les intérêts de l’Etat hébreu ne sont pas ceux des USA[1] [1].

10/L’anti-américaine attitude

Adoptons un comportement qui nous change la vie de tous les jours et améliore notre style (désaméricanisons notre langage), notre connaissance du monde (désorientons les voyageurs yankees demandant leur chemin), notre forme physique (cassons la gueule aux missionnaires illuminés et endiablés qui, harnachés dans leurs costards classieux arpentent les villes d’Europe, le sac en bandoulière, en dégainant à chaque rencontre the holy bible version New World), nos compétences techniques (piratons les autoroutes de l’information états-unienne). Pour cela, levons-nous chaque matin avec la flamboyante maxime de Unabomber : « une société est un système dans lequel les parties sont en interaction, et vous ne pouvez pas changer de façon permanente un élément sans que les autres éléments en soient simultanément affectés ».


[1] [2] Certains oublient l’activité des agents du Mossad aux Etats-Unis (notamment le cas de Jonathan Pollard, ancien analyste au service des renseignements militaire de la marine US – et agent israélien infiltré – incarcéré depuis 1986 pour avoir fourni, entre 1983 et 1984, les codes d’accès et de cryptage de la National Security Agency ainsi que des informations vitales à l’Etat hébreu, entre autre, sur le potentiel biologique, chimique et nucléaire de la Syrie, de la Libye ou de l’Iran). (Cf « Un réseau d’espionnage israélien démantelé aux Etats-Unis », Le Monde, 05.03.2002). De plus, les rapports troubles entre l’Oncle Sam et la dynastie Saoud ont créé une marge critique entre les orientations israéliennes et américaines. Cf. Frédéric Encel, François Thual, Géopolitique d’Israël : Dictionnaire pour sortir des fantasmes, Paris, Seuil, 2004. Enfin, quoi qu’en pense le sous-Farrakhan hexagonal Dieudonné, ce n’est pas l’arabophobie ni l’islamophobie qui anime les soldats de Tsahal mais plutôt l’esprit de défense des combattants antiques de Massada ou des insurgés héroïques du ghetto de Varsovie. Israël doit vivre comme la Palestine !

 

Source : Livr’arbitres [3]


Article printed from :: Novopress Québec: http://qc.novopress.info

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[1] [1]: http://srv07.admin.over-blog.com/index.php?module=admin&action=publicationArticles:editPublication&ref_site=1&nlc__=541261870011#_ftn1

[2] [1]: http://srv07.admin.over-blog.com/index.php?module=admin&action=publicationArticles:editPublication&ref_site=1&nlc__=541261870011#_ftnref1

[3] Livr’arbitres: http://livr-arbitres.over-blog.com/article-dix-clefs-pour-combattre-l-amerique-41865362.html

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mercredi, 03 février 2010

Presseschau 1/Februar 2010

zeitungen2.jpgPresseschau

1/FEBRUAR 2010

Einige Links. Bei Interesse anklicken...

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Karlheinz Weißmann über die Deutsche Frage:

(...) Auch und gerade nach der Schaffung des kleindeutschen Reiches gab es ein tief empfundenes Unbehagen, wegen des Ausschlusses von Deutsch-Österreich aus dem nationalen Verband und wegen des ungeklärten Problems, wieviel spezifisch Deutsches in diesem Deutschland bleiben werde.
Diese Deutsche Frage konnte selbst in der Phase der Sekurität während des Wilhelminismus nur zurückgestellt, aber nicht überzeugend beantwortet werden. Ihre Virulenz zeigte sich aber erst unter den Bedingungen der Zwischenkriegszeit, als sich infolge einer traumatischen Niederlage und der Härte des Versailler Vertrages die Deutschen auf sich selbst zurückgeworfen sahen, verkeilt in der Mitte des Kontinents zwischen einem rachsüchtigen und zunehmend als fremd wahrgenommenen Westen und einem feindlichen Osten. Das katastrophale Scheitern des Ausbruchsversuchs hat diese Problematik nur noch verschärft.

(Staatspolitisches Handbuch, hrsg. v. Erik Lehnert und Karlheinz Weißmann, Band 1: Leitbegriffe, verfaßt von Karlheinz Weißmann, Schnellroda 2009, S. 31)

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„Man hat sich gescheut, in Deutschland die Wahrheit zu sagen“
Ehemaliger Bundeswehr-Nachrichtenoffizier bemängelt, daß die Situation in Afghanistan beschönigt wird
Marc Lindemann im Gespräch mit Stefan Heinlein
Er könne sich die Verharmlosung der Lage in Afghanistan nur „mit der innenpolitischen Front erklären“, sagt Marc Lindemann, Politikwissenschaftler und ehemaliger Bundeswehr-Nachrichtenoffizier, der nun ein Buch über seine Erfahrungen geschrieben hat. Sein Plädoyer: Man müsse den Menschen sagen, daß es um einen Kampf geht.
http://www.dradio.de/dlf/sendungen/interview_dlf/1112982/

Nigerianische Christen massakrieren Mohammedaner (meist ist es ja eher umgekehrt) ...
Religionskrieg in Nigeria
150 Leichen aus Brunnen geborgen
Den blutigen Auseinandersetzungen zwischen Christen und Muslimen in Nigeria sind erneut wahrscheinlich Hunderte Menschen zum Opfer gefallen. Nach einem Überfall auf ein Dorf wurden dort 150 Tote aus einem Brunnen geborgen, 60 Einwohner werden noch vermißt.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,673621,00.html

Noch mehr dazu ...
Massaker in Nigeria
Hetzen, jagen, töten
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,673261,00.html
http://www.welt.de/politik/ausland/article5931426/Toedlicher-Konflikt-in-einem-kopflosen-Land.html

Terror-Studie
Al-Qaidas Sehnsucht nach der Superbombe
Von Yassin Musharbash
Wie real ist die Gefahr, daß al-Qaida die USA mit Massenvernichtungswaffen angreift? Entsprechende Drohungen sind laut einer Studie des CIA-Veteranen Mowatt-Larssen mehr als leere Rhetorik. Im Gegensatz zu vielen Kollegen vermutet er, daß sich das Terrornetzwerk auf den größtmöglichen Anschlag vorbereitet.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,674101,00.html

Großbritannien streicht Jemen-Flüge
http://www.kleinezeitung.at/nachrichten/politik/2274334/grossbritannien-streicht-jemen-fluege.story

Sarah Netanjahu seit Mobbing-Prozess in Israels Schlagzeilen
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5i3VeYNNW6k1tLv-aD7DxWaSImj7w

Big Brother is watching you ...
Neue Sicherheitstechnik
Britische Polizei will Bürger mit Drohnen überwachen
Demonstranten, Autobahnraser, Umweltsünder: In Großbritannien werden sich viele Bürger dem wachsamen Auge des Staates künftig kaum mehr entziehen können. Drohnen sollen laut Plänen der Regierung auch für zivile Spähzwecke eingesetzt werden – schon 2012 könnte es soweit sein.
http://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/0,1518,673671,00.html

Alleinerziehende
Die Hätschelkinder der Nation
http://www.faz.net/s/RubEC1ACFE1EE274C81BCD3621EF555C83C/Doc~E60FE8AAF451840B7BFDC31CB92A21904~ATpl~Ecommon~Scontent.html

„Der Euro-Raum kann zerbrechen“
Von Jörg Eigendorf; Florian Hassel; Tobias Kaiser
Thomas Mayer, der neue Chefvolkswirt der Deutschen Bank, plädiert für einen europäischen Währungsfonds und hält höhere Inflation für unausweichlich, um die hohen Staatsschulden in Europa abzubauen.
http://www.welt.de/die-welt/politik/article5938285/Der-Euro-Raum-kann-zerbrechen.html

EZB-Chefvolkswirt Stark
Zentralbank verweigert Griechenland die Rettung
EZB-Chefvolkswirt Jürgen Stark lehnt eine Rettung Griechenlands ab. Das hoch verschuldete Land müsse sich selbst helfen. Zur Zinspolitik sagt Stark, die Zentralbank würde zur Not die Zinsen erhöhen, um einer Inflation vorzubeugen. „Wir sind dafür da, den Bürgern in Europa stabile Preise zu garantieren.“
http://www.welt.de/finanzen/article5954077/Zentralbank-verweigert-Griechenland-die-Rettung.html

Hohe Staatsschulden
EU-Kommission warnt vor Euro-Absturz
Die EU-Kommission schlägt Alarm: Angesichts horrender Defizite fürchtet die Brüsseler Behörde um den Euro. Vor allem Krisenländer wie Spanien oder Irland sollen nun auf Sparkurs gehen. Nach SPIEGEL-Informationen wird dabei auch eine bescheidene Lohnpolitik nach deutschem Vorbild empfohlen.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,673577,00.html

EZB und EU-Kommission wegen Griechenland in Sorge
http://de.reuters.com/article/economicsNews/idDEBEE60N06A20100124

Spekulationswahnsinn
In China bahnt sich ein gewaltiger Crash an
Von Gordon G. Chang
Die Chinesen prahlen mit ihrem Wirtschaftswachstum, Funktionäre erklären die Finanzkrise für beendet. Allerdings mehren sich die Anzeichen, daß China den Höhepunkt einer Spekulationsmanie erreicht hat – und eine Bruchlandung erlebt. Falls das passiert, wird das Riesenreich den Rest der Welt mit nach unten reißen.
http://www.welt.de/finanzen/article5945800/In-China-bahnt-sich-ein-gewaltiger-Crash-an.html

Nach Lafontaine-Rücktritt
SPD lotet Chancen für Linksbündnis aus
Oskar Lafontaines Ausstieg macht die Annäherung leichter: Kaum hat der Linken-Chef seinen Rücktritt bekanntgegeben, beginnen in der SPD Planspiele über Kooperationen. Partei-Vizechefin Kraft wirbt offen um ehemalige Genossen. Linke-Fraktionschef Gysi sucht derweil einen Nachfolger.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,673684,00.html

Garnisonkirche bekommt DDR-Gelder
Potsdams LINKE kritisiert Millionenzuschuß
http://www.neues-deutschland.de/artikel/162787.garnisonkirche-bekommt-ddr-gelder.html

(Antifaspiegel-Online spürt mal wieder die Volksfeinde auf...)
Rechtsextreme an der Uni
Braune Biedermänner
Von Ina Brzoska
Rechtsextreme an deutschen Unis geben sich bieder, brav und konservativ. Doch wie läßt sich verhindern, daß die Rechten an den Hochschulen auftrumpfen? Der Fall eines Studenten in Magdeburg zeigt, wie hilflos Kommilitonen und Professoren der Gefahr begegnen.
http://www.spiegel.de/unispiegel/studium/0,1518,668330,00.html

Neues aus der Versöhnungsanstalt
Von Stefan Scheil
Der polnische Historiker Tomasz Szarota begründet seinen Rückzug aus dem wissenschaftlichen Beraterkreis der Stiftung „Flucht, Vertreibung, Versöhnung“ in einem lesenswerten Interview mit der taz vom 19. Januar 2010.
Treffend ist wohl seine These, daß es der Stiftung weniger um internationale als um die innerdeutsche Versöhnung geht. Das „sichtbare Zeichen“ von Berlin soll nach dem Willen der Bundesregierung die Vertriebenen damit aussöhnen, daß ihnen elementare Rechte vorenthalten wurden.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5b1170dc038.0.html

(Sie ist immerhin konsequent. Ginge es nach den alles bis zum Ende denkenden "Antideutschen", müßte dies die Konsequenz der Vergangenheitsbewältigung für alle Deutschen sein. Bei gleichzeitigem Friedenseinsatz als unbezahlte Haushaltshilfen in einem Kibbuz...)
Görings Nichte
Sterilisiert aus Angst vor Nazi-Kindern
Horror-Beichte von Bettina Göring in israelischer Doku
http://www.berlinonline.de/berliner-kurier/print/nachrichten/291446.html

Broder vs. Benz
Von Martin Lichtmesz
Die Debatte über den „Antisemitismus“ des Antisemitismusforschers Wolfgang Benz will ich nicht noch einmal zusammenfassen. Alles Nötige, inklusive entsprechender Links, kann man hier nachlesen. Und einen konservativen Kommentar hier. Dieser geht allerdings nicht an den Kern der Sache, und den sehe ich folgendermaßen ...
http://www.sezession.de/11330/broder-vs-benz.html

Niederlande
Wilders weist Hetzvorwurf gegen Muslime zurück
http://www.tagesspiegel.de/politik/international/Niederlande-Islam;art123,3007677

Deutsche Qualitätsmedien gegen Geert Wilders
http://www.tagesschau.de/kommentar/wilders106.html
http://www.stern.de/politik/ausland/rechtspolpulist-vor-gericht-geert-wilders-wilde-islamtheorien-1537294.html
http://www.rp-online.de/politik/ausland/Provokateur-mit-Unschuldsmiene_aid_809673.html

Zahl der Einwohner mit Zuwanderungshintergrund leicht gestiegen
WIESBADEN. Der Anteil der Einwohner in Deutschland, die über einen sogenannten „Migrationshintergrund“ verfügen, ist 2008 im Vergleich zum Vorjahr von 18,7 auf 19 Prozent gestiegen. Dies teilte das Statistische Bundesamt in Wiesbaden auf der Basis des sogenannten „Mikrozensus“ mit.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5e7b801e110.0.html

Blick in die Wirklichkeit
Von Christian Dorn
Welchen Stellenwert besitzt Zivilcourage im heutigen Deutschland? Laut Marianne Birthler, die die Behörde für die Unterlagen des DDR-Staatssicherheitsdienstes leitet, ist sie nur selten anzutreffen. Vielmehr sei in unserer Gesellschaft allzu häufig nur eines von beiden auszumachen: eine vermeintliche „Courage“, die jede zivile Form vermissen lasse, und andererseits eine vorgebliche „Zivilität“, die sich letztlich als Feigheit entpuppe.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M55c58e5ad5e.0.html

„Zivilcourage“: Ein Figurenpanorama mit allen Opfern und Tätern der fehlgeschlagenen Integration
Von Felix Menzel
http://www.blauenarzisse.de/v3/index.php/gesichtet/1281-zivilcourage-ein-figurenpanorama-mit-allen-opfern-und-taetern-der-fehlgeschlagenen-integration

Beschwichtigend poetisieren
Von Johannes Schüller
http://www.blauenarzisse.de/blog/330/beschwichtigend-poetisieren.html

POL-F: 100122-90 Frankfurt-Innenstadt: Polizeibeamte angegriffen
Frankfurt (ots) – Während einer Personenkontrolle an der Konstablerwache am Donnerstagabend, dem 21. Januar 2010, gegen 19.00 Uhr, wurden zwei Beamte des 1. Reviers von einem 27jährigen Marokkaner angegriffen und verletzt. Der sich ohnehin schon aggressiv verhaltende Mann schlug plötzlich mit den Fäusten auf einen Beamten ein und stieß ihn zurück. Anschließend versuchte er zu flüchten, konnte aber kurz darauf eingeholt werden. Seine vorläufige Festnahme versuchte er ebenfalls gewaltsam zu verhindern. Unter anderem zog er eine Beamtin an den Haaren und schlug ihr die Brille aus dem Gesicht.
Zudem solidarisierten sich etwa 40 Personen mit dem Beschuldigten und umringten die Beamten. Erst mit starken Unterstützungskräften gelang es, die Situation zu beruhigen. Aus der Gruppe heraus versuchte ein 21jähriger Eritreer den Festgenommenen zu befreien, indem er einen Beamten wegziehen wollte. Dieser Versuch konnte abgewehrt werden.
http://www.presseportal.de/polizeipresse/pm/4970/1548863/polizeipraesidium_frankfurt_am_main

Tödliche Verfolgungsjagd mit Polizei
Schwere Krawalle in Frankreich
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,673125,00.html
http://www.sueddeutsche.de/panorama/614/500876/text/

Ungeheure Brutalität von 14jährigem Täter in Sprendlingen
Zwölfjähriges Kind zusammengetreten
http://www.op-online.de/nachrichten/dreieich/junge-zusammengetreten-599799.html

Auch so ein „Jugendlicher“?
„Nazi“-Vorwurf
Im Zug nach Eltville: Statt Fahrschein Schreckschußwaffe vorgezeigt
http://www.wormser-zeitung.de/nachrichten/polizei/8286394.htm
http://www.bild.de/BILD/regional/frankfurt/dpa/2010/01/25/teenager-zeigt-pistole-statt-fahrschein.html

Sexualverbrechen in Hamburg nehmen zu: Türke nach vermutlicher Vergewaltigung einer 17jährigen festgenommen
http://www.blauenarzisse.de/v3/index.php/aktuelles/1266-sexualverbrechen-in-hamburg-nehmen-zu-tuerke-nach-vermutlicher-vergewaltigung-einer-17-jaehrigen-festgenommen

Die meisten Medien verschweigen die jamaikanische Herkunft des als „Mann“ beschriebenen Täters ...
Mann randaliert im Ausländeramt
Randale: Besucher wirft Monitor nach Behörden-Mitarbeiterin - Frau bleibt unverletzt
http://www.echo-online.de/suedhessen/odenwaldkreis/erbach/art1269,578682
http://www.morgenweb.de/region/rhein_neckar_ticker/Mannheimer_Morgen/4346_Erbach:_Randalierer_greift_Beh%C3%B6rden-Mitarbeiterin_an_.html

Nationalität von der übrigen Presse verschwiegen. Bei BILD erfährt man sie ...
Frankfurt
Aus Eifersucht Mann mit Messer niedergestochen
http://www.bild.de/BILD/regional/frankfurt/dpa/2010/01/25/aus-eifersucht-mann-mit-messer-niedergestochen.html
Gegenbeispiel:
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/frankfurt/2228789_Polizei-Messerstecherei-in-Alt-Sachsenhausen.html

Nationalität von der übrigen Presse verschwiegen. Durch Internetrecherche erfährt man sie ...
Rüsselsheim
Überfall auf Supermarkt – Täter bedrohen Angestellte mit Pistole und Messer
http://www.brennessel.com/brennessel/news/detailview.php?ID=94399
Gegenbeispiel:
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/kreis_gross_gerau/2229624_Nachrichten.html

„Migranten müssen einsehen: So geht es nicht“
Diesen Satz zum Thema ausufernder Migrantengewalt hat diesmal nicht PI geschrieben, sondern der Vorsitzende der CDU/CSU-Fraktion im Deutschen Bundestag, Volker Kauder (60, Foto), geäußert, nachdem seine 61jährige Mitarbeiterin in unmittelbarer Nähe des Regierungsviertels von Migranten grundlos zu Boden geschlagen wurde.
http://www.pi-news.net/2010/01/migranten-muessen-einsehen-so-geht-es-nicht/#more-114037

Neue Nummer von Freiheit der Wissenschaft online erschienen
http://www.bund-freiheit-der-wissenschaft.de/webfdw/012010/web_fdw__januar_2010.pdf

Kommission für Jugendmedienschutz veröffentlicht Ergebnisse
München - Die Kommission für Jugendmedienschutz (KJM) hat im vierten Quartal 2009 26 Verstöße gegen die Bestimmungen des Jugendmedienschutz-Staatsvertrags (JMStV) in Fernseh-, und 14 Verstöße in Telemedienangeboten festgestellt.
http://www.digitalfernsehen.de/news/news_875939.html

Wegen Bohlen-Häme
Jugendschützer beanstanden „DSDS“
„Antisozial“ und „desorientierend“: Die Kommission für Jugendmedienschutz hat sich über die Wiederholung einer „DSDS“-Folge beschwert. In der führt Dieter Bohlen einen Kandidaten wegen dessen durchnäßter Hose vor – Häme und Herabwürdigung würden so als völlig legitim dargestellt.
http://www.spiegel.de/kultur/tv/0,1518,673264,00.html

Linguisten auf Abwegen ...
Sprachforschung
Deutsche Umlaute ä, ö und ü sterben in Zukunft aus
Von Rochus Rademacher
„Kannstema uber dem deutsch seine entwicklung eine diskusion fuhren?“ – In ferner Zukunft dürfte dieser Satz bei Hütern deutscher Grammatik und Wortlehre keinen Unmut mehr erregen. Sprachforscher sagen die konsequente Kleinschreibung, neue Wortendungen und das Aussterben von Umlauten voraus.
http://www.welt.de/wissenschaft/article5941403/Deutsche-Umlaute-ae-oe-und-ue-sterben-in-Zukunft-aus.html?page=2#article_readcomments

Deutschwerbung
Von Thomas Paulwitz
Großartig: Endlich rührt die Regierung kräftig die Werbetrommel für die deutsche Sprache. Eineinhalb Millionen Werbebroschüren verteilt das Bildungsministerium. Es rühmt die „logische und klare“ deutsche Sprache, mit deren Hilfe man „den enormen Reichtum“ Deutschlands und der deutschen Kultur ergründen könne. Was ist denn nun plötzlich in die Bundesregierung gefahren? Wie kommt sie auf einmal dazu, die deutsche Sprache dermaßen zu bejubeln? Handelt es sich etwa um einen Anflug von neunationalistischem Größenwahn?
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M56beab13084.0.html

Fremdschämen in neuen Dimensionen ...
Mr Oettinger is on the woodway
Günther Oettinger hatte sich als baden-württembergischer Ministerpräsident die Fremdsprachen-Kompetenz seiner Landeskinder auf die Fahnen geschrieben:
„Deutsch bleibt die Sprache der Familie, der Freizeit, die Sprache, in der man Privates liest, aber – Englisch wird die Arbeitssprache“, so die Prognose des CDU-Politikers vor vier Jahren.
Wie das beim designierten EU-Kommissar in der Praxis aussieht, ist nun auf einem Video nachzuvollziehen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5276a49eed8.0.html

Hier sieht man Oettingers englische Sprachkenntnisse:
http://www.youtube.com/watch?v=F-I-Ga1scHw
(ein Beispiel für jemandem, der durch gespielte anglophile "Weltläufigkeit" der eigenen Provinzialität zu entfliehen hofft...)

mardi, 02 février 2010

Nato-Ue: le nuove strategie degli Usa

Nato-Ue: le nuove strategie degli Usa

La Clinton e la Albright sostengono che l’Europa e l’Alleanza Atlantica devono rafforzare la collaborazione

Andrea Perrone

clintonsarkozy.jpgLa Nato chiede all’Unione europea una più stretta collaborazione militare nell’ambito di una nuova visione strategica per il XXI secolo.
A promuovere l’operazione sono stati l’attuale segretario di Stato americano, Hillary Rodham Clinton (nella foto con Sarkozy), e la sua omologa - ormai ex - Madeleine Albright, che ora guida il gruppo di saggi dell’Alleanza Atlantica. La Clinton, giunta venerdì a Parigi, ha incontrato il capo dell’Eliseo Nicolas Sarkozy, il suo consigliere alla sicurezza nazionale, Jean-David Levitte e il ministro degli Esteri Bernard Kouchner, a un anno dal rientro del Paese nel Consiglio militare integrato della Nato, per discutere come verrà presieduto dalla Francia, a partire dal prossimo 1 febbraio, il Consiglio di sicurezza dell’Onu. Per l’occasione il segretario Usa ha pronunciato un discorso all’École Militaire di Parigi sul concetto di sicurezza europea considerato un pilastro per la politica estera degli Stati Uniti. Il segretario Usa ha così riconfermato “l’impegno di Washington a lavorare con gli alleati della Nato e con la Russia per rafforzare la sicurezza dinanzi alle nuove minacce emerse nel 21mo secolo, dal terrorismo ai cyberattacchi fino alle catastrofi naturali”. Nel corso del suo intervento poi la Clinton ha cercato di indorare la pillola affermando che gli Usa sono “impegnati a esplorare i modi in cui la Nato e la Russia possono migliorare la loro partnership, dandoci migliori assicurazioni l’un l’altro sulle nostre rispettive azioni ed intenzioni”. A un certo punto però ha toccato le note dolenti dei rapporti Washington-Mosca, ovvero l’allargamento della Nato e i progetti per lo scudo antimissile. E ha attaccato la politica estera russa affermando che gli Usa si oppongono “a qualsiasi sfera di influenza in Europa” facendo riferimento alla guerra russo-georgiana dell’agosto 2008. A suo dire invece “la Nato e l’Ue hanno aumentato la sicurezza, la stabilità e la prosperità nel continente” e che questo ha accresciuto la sicurezza della Russia. Infine, la Clinton ha superato ogni limite affermando che il dispiegamento di uno scudo antimissile renderà l’Europa un posto più sicuro e questa sicurezza potrebbe estendersi alla Russia, se Mosca deciderà di cooperare con Washington. Un’ipotesi poco probabile visto che lo scudo verrà dislocato soltanto per alzare la tensione e contenere la Russia.
La Albright (72 anni) ha incontrato invece a Bruxelles gli europarlamentari e in quel contesto è stata più esplicita sottolineando la necessità “di massimizzare la collaborazione con l’Ue e fare maggior uso della consultazione politica”.
L’ex segretario di Stato Usa si è occupato di politica estera negli anni 1997-2001, quando la Nato ha lanciato la sua prima azione militare nella ex Jugoslavia, mantenendo stretti rapporti con gli albanesi più estremisti. La Albright è stata nominata lo scorso anno a presiedere un comitato di 12 esperti incaricato di consigliare il segretario generale della Nato, Anders Fogh Ramussen, su una versione aggiornata di “concetto strategico” per l’alleanza militare con la pubblicazione anche di un documento.
La strategia dell’ex segretario ha posto l’accento sulle nuove minacce alla sicurezza che vanno dagli attacchi cibernetici al terrorismo fino ai problemi riguardanti la sicurezza energetica, con un accento particolare al modo in cui l’Alleanza Atlantica dovrebbe saper rispondere. Per la Albright la soluzione ai problemi non dovrebbe essere l’autocompiacimento che, a suo dire, costituisce una grave minaccia, ma la fedeltà al principio fondatore della Nato - la difesa militare dei suoi membri da un attacco armato (art. 5) - dovrebbe rimanere il fulcro dell’organizzazione. Ora che gli Stati membri sono diventati 28 la necessità sarà quella di tener conto delle nuove minacce e in virtù dell’espansione dell’Ue, della riduzione dei bilanci è - secondo la Albright - necessario evitare di dividere o duplicare le attività della Nato e dell’Unione europea. A questo punto il responsabile del team di esperti ha lanciato i suoi strali contro la Russia affermando che è solo un partner della Nato e non ha lezioni da dare. Dal canto suo il servizio stampa dell’Assemblea di Strasburgo ha riportato testualmente le parole dell’ex segretario che ha dichiarato: “La Russia è un partner tra i tanti, e non sarà a lei a insegnare a una vecchia scimmia a fare le smorfie”.
Proseguendo nel suo intervento l’ex segretario americano ha ricordato che il team di esperti da lei guidato sta proseguendo il suo lavoro per elaborare un documento sulla strategia della Nato per il XXI secolo, che sarà pronto prima del vertice di Lisbona del novembre prossimo, quando dovrà essere adottato da tutti i membri dell’Alleanza Atlantica.


30 Gennaio 2010 12:00:00 - http://www.rinascita.eu/index.php?action=news&id=554

La main invisible des Etats-Unis

Bernhard TOMASCHITZ :

La main invisible des Etats-Unis

 

Sur les instruments indirects de la puissance politique américaine : « USAID », « Freedom House » et « National Endowment for Democracy »

 

usaid_seal_blue.jpgPour répandre la « démocratie libérale » dans le monde et, simultanément, pour étayer leur position hégémonique, les Etats-Unis ne se contentent pas de faire des guerres mais se servent aussi d’un bon nombre d’organisations et d’institutions. Parmi celles-ci, il y en a une, l’ « United States Agency for International Development », ou, en abrégé « USAID », qui occupe une place particulièrement importante. Les activités de cette agence indépendante, dont le siège se trouve dans l’immeuble Ronald Reagan à Washington, ne se limitent pas aux seules régions habituelles, qui ont besoin d’une aide au développement, comme, par exemple, pour construire des routes ou des hôpitaux. Elle soutient aussi, comme elle le signale elle-même, « les objectifs de la politique extérieure américaine en apportant une aide aux partenaires locaux des Etats-Unis, afin de pouvoir rétablir dans les pays cibles ravagés par la guerre la paix et la démocratie ». Son objectif principal semble être de favoriser des « changements politiques » dans des pays récalcitrants, qui refusent de suivre l’exemple de « la Cité lumineuse sur la colline », c’est-à-dire les Etats-Unis, comme ils aiment à se décrire eux-mêmes. Car, comme l’affirme tout de go la ministre américaine des affaires étrangères Hillary Clinton, avec un sentiment de supériorité bien yankee, « le monde a besoin d’une direction ».

 

Les choses ont le mérite d’être claires : le renforcement constant de la position hégémonique est le leitmotiv permanent de la politique étrangère des Etats-Unis, indépendamment du fait que le président en place est un démocrate ou un républicain. Il n’y a de différences que dans la manière de faire valoir les intérêts américains : si les républicains, comme sous la présidence de George W. Bush, recourent à des moyens généralement militaires (la guerre contre l’Irak l’a prouvé de manière emblématique), les démocrates cherchent à agir de manière plus douce sur l’échiquier international, en camouflant plus habilement leurs intentions.

 

Quand il s’agit de maintenir et d’étendre le rôle hégémonique de l’Amérique dans le monde, alors les Etats-Unis n’hésitent pas à débourser des sommes d’argent considérables. En cette année 2009, le budget de l’USAID s’élève à quelque 54 milliards de dollars. L’organisation consacre dans ce contexte des sommes énormes, des dizaines voire des centaines de millions de dollars, à des Etats qui ne sont pas, à proprement parler, des pays en voie de développement. Ainsi, le Kosovo recevra en cette année 2010 une centaine de millions de dollars pour garantir son indépendance, qu’il a proclamée unilatéralement voici deux ans contre la Serbie. Car, c’est, paraît-il, un « défi urgent », de mettre sur pied, dans cette province sécessionniste de la Serbie méridionale, des structures administratives en état de fonctionner, cas c’est une condition essentielle « pour intégrer le Kosovo dans les structures ouest-européennes et transatlantiques ». De même, devront aussi être tôt ou tard intégrés dans les « structures transatlantiques », c’est-à-dire dans l’OTAN, des pays comme la Bosnie-Herzégovine et même la Serbie, l’alliée traditionnelle de la Russie dans les Balkans, contre laquelle le pacte militaire animé par Washington avait déclenché une guerre en 1999.

 

L’USAID soutient également des organisations américaines non étatiques dont les objectifs sont tournés vers l’extérieur et qui se donnent pour but de répandre la « démocratie libérale ». Parmi celles-ci, nous avons avant tout la « National Endowment for Democracy » (NED), fondée en 1983 par le Président Ronald Reagan. La NED a reçu récemment 100 millions de dollars. Cette « fondation pour la démocratie » se présente elle-même comme « animée par la croyance que la paix est un objectif humain qui peut se réaliser par le développement d’institutions, de procédés et de valeurs démocratiques » mais, en réalité, elle est un volet civil et pratique du service secret américain actif en dehors des Etats-Unis, la CIA. En effet, la NED a été fondée quand les services ont appris que beaucoup de groupes d’opposition en dehors des Etats-Unis d’Amérique, que la CIA avait soutenu activement, étaient tombés en discrédit lorsqu’on avait appris le rôle des services américains dans leur émergence et développement. Il y a quelques années à peine, un ancien directeur de la NED, Allen Weinstein, reconnaissait sans circonlocutions inutiles : « Beaucoup d’actions que nous menons actuellement, la CIA les faisait en secret il y a vingt-cinq ans ». 

 

Les activités actuelles de la NED sont tout à la fois remarquables et surprenantes : dans les années 80 du 20ème siècle, le gros des activités de l’organisation était dirigé vers l’Amérique centrale, où le mouvement sandiniste, étiqueté « marxiste », recrutait des adeptes bien au-delà du Nicaragua ; depuis la fin de la guerre froide, le gros des activités s’est déplacé vers l’Europe orientale, avec, pour mission, d’inclure dans la sphère d’influence américaine les Etats qui s’étaient débarrassé du joug communiste soviétique. Ainsi, la NED a été partie prenante quand il s’est agi de lancer une campagne internationale contre le premier ministre slovaque Vladimir Meciar, considéré comme « nationaliste ». Ensuite, la NED a participé aux troubles qui ont agité la Serbie, la Géorgie et l’Ukraine. Le 7 décembre 2004, à la veille de la « révolution orange » à Kiev, Ron Paul, député républicain à la Chambre des représentants, déclare devant la commission des relations internationales de cette même chambre : « Il est établi qu’une forte somme en dollars, payés par la contribuable américain, s’en est allée en Ukraine, pour soutenir l’un des candidats (ndlr : l’actuel président ukrainien Victor Iouchtchenko). Posons-nous dès lors la question : que ressentirions-nous si la gouvernement chinois essayait de soutenir l’un des candidats à la présidence aux Etats-Unis ? Un tel financement étranger serait considéré à juste titre comme illégal. Or c’est justement ce que nous faisons à l’étranger. Mais ce que nous ne savons pas, c’est le montant exact de la somme, prélevée sur nos deniers publics, qui s’en est allée pour influencer le résultat final du scrutin en Ukraine ».

 

democrassy.jpgL’Ukraine cependant demeure la cible principale des activités de la NED sur le continent européen. L’USAID, organisation américaine destinée à l’aide au développement, maintient son point de vue : il faut créer une Ukraine démocratique, prospère et sûre qui « pourra alors être entièrement intégrée dans la communauté euro-atlantique ». L’hégémonie américaine en Europe s’étendrait alors jusqu’aux frontières de la Russie. Ensuite, il faut aussi retourner la « Serbie récalcitrante » et faire de Belgrade une capitale sagement soumise aux volontés américaines. Pour atteindre cet objectif, le « National Democratic Institute » (NDI) a obtenu le soutien de l’USAID afin de soutenir les « partis politiques favorables aux réformes », comme on peut le lire sur internet, de façon à « augmenter leurs chances lors d’élections ». par « favorables aux réformes », on entend toutes les forces politiques prêtes à soumettre tous les intérêts nationaux légitimes de la Serbie aux ukases de Washington et de l’eurocratie bruxelloise. Dans ce cadre, ces forces politiques, pour bénéficier de la générosité américaine doivent reconnaître notamment l’indépendance du Kosovo. Dans cette province sécessionniste, Washington entretient depuis 1999 une base militaire gigantesque de 386 hectares, le « Camp Bondsteel », destiné à devenir l’un des principaux points d’appui des forces américaines dans le Sud-Est de l’Europe. 

 

Le NDI est une organisation proche du parti démocrate, qui « entend procurer aux dirigeants civils et politiques une aide au développement des valeurs, pratiques et institutions démocratiques ». La présidente de cette organisation n’est personne d’autre que Madeleine Albright, qui était ministre des affaires étrangères aux Etats-Unis lorsque l’OTAN menait la guerre contre la Serbie.

 

Depuis des années déjà, le point focal sur lequel se concentrent les multiples organisations propagandistes et lobbies américains, c’est la Russie. Alors qu’au moment de l’effondrement de l’Union Soviétique, il s’agissait principalement de former une nouvelle « élite » pro-occidentale, aujourd’hui, il s’agit plutôt de lutter contre des « tendances autoritaires ». Car la situation s’est modifiée depuis les « temps bénis » de la présidence de Boris Eltsine ; Moscou a retrouvé confiance en elle-même et s’est redonné une politique étrangère active. Les Russes entendent récupérer leur sphère d’influence perdue en Europe orientale et en Asie centrale et ne plus abandonner ces régions sans résister. Ce dynamisme contrecarre bien entendu les projets de Washington de vouloir dominer sans partage la masse continentale eurasiatique.

 

Conséquence de cette nouvelle confrontation Est/Ouest : dans les publications de tous ces organismes américains, qui font semblant de vouloir répandre la paix et la démocratie dans le monde, on trouve à foison des tirades très hostiles à l’endroit de la Russie, comme nous le montre, par exemple, un rapport de la « Freedom House ». Cet organisme, financé aux deux tiers par l’Etat américain, a été fondé en 1941 et, parmi ses membres fondateurs, nous trouvons notamment Eleanor Roosevelt, épouse du Président Franklin Delano Roosevelt, franc-maçon de haut grade. En mars 2003, la « Freedom House », qui coopère également avec la fondation « Open Society » du milliardaire George Soros, a soutenu l’attaque américaine contre l’Irak. Dans une déclaration de la « Freedom House », on peut lire : « Du fond du cœur nous espérons que cet effort de guerre, où sont engagé les forces armées américaines, connaîtra un bon aboutissement et que la tyrannie de Saddam Hussein tombera avec un minimum de pertes en vies humaines ».

 

Dans un rapport de la « Freedom House » daté de juin 2009 et intitulé significativement « Russie – capitalisme sélectif et cleptocratie », la Russie est dépeinte comme un croquemitaine qui oppresse ses citoyens et constitue un danger croissant pour la paix dans le monde. Ce rapport critique le fait « que le Kremlin s’immisce partout dans les anciennes républiques de l’ex-URSS, dans leurs affaires intérieures et financières, dans leurs approvisionnements énergétiques et dans leurs communications stratégiques ». Le rapport ne mentionne pas, bien entendu, que les Etats-Unis font exactement la même chose ! La NED, en effet, soutient toute une série d’ONG russes, dont beaucoup, comme par hasard, s’activent dans la région septentrionale du Caucase, talon d’Achille de l’actuelle Fédération de Russie. Ainsi, au début de l’année, le « Caucasus Institute Foundation » (CIF) a reçu des subsides pour un total de 49.000 dollars ; quant au « Comité tchétchène de sauvegarde nationale », il a reçu 75.000 dollars ; la « Société pour l’amitié russo-tchétchène », elle, a dû se contenter de 25.000 dollars. Les services russes de sécurité reprochent à ces organisations soutenues par les Etats-Unis d’exciter encore davantage les esprits dans une région comme le Caucase du Nord, où la situation est déjà explosive ; l’objectif, ici, est d’obliger la Russie à mobiliser toutes ses ressources dans la pacification de son flanc sud.

 

La nouvelle politique étrangère de la Russie du tandem Medvedev/Poutine et la renaissance de la conscience géopolitique russe qui l’accompagne dérangent Washington mais il a plus dérangeant encore : la Russie, en dressant des barrières administratives contre les ONG financées et soutenues par l’étranger, impose de ce fait un verrou solide aux immixtions américaines. L’américanosphère riposte dès lors sur le front de la propagande : depuis des années, les écrits de la « Freedom House » dénoncent le soi-disant ressac en Russie des libertés démocratiques et prêchent pour que celle-ci soit dorénavant rangée dans la catégorie des « Etats voyous ». Très récemment, à la mi-janvier 2010, on peut lire dans un des rapports de la « Freedom House » : « Des Etats autoritaires comme l’Iran, la Russie, le Venezuela et le Vietnam ont renforcé récemment leur arsenal répressif ». En 2008, la « Freedom House » avait comparé l’état de la démocratie en Russie avec celui de la Libye et de la Corée du Nord ».

 

Bernhard TOMASCHITZ.

(article paru dans « zur Zeit », Vienne, n°3/2010 ; trad.. franç. : Robert Steuckers).

mardi, 26 janvier 2010

L'escroquerie monétaire mondiale

L’escroquerie monétaire mondiale

Par Eberhard Hamer (N.B. : cet article date de 2005)

La manipulation actuelle des systèmes de la monnaie et des changes constitue le scandale le plus important et aux conséquences les plus marquées de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie monétaire atteint des dimensions mondiales, car elle a lieu sur toute la planète, elle ne peut plus être contrôlée, arrêtée ou empêchée par aucun gouvernement et elle a même lieu de manière formellement légale, conformément à des lois nationales désuètes.

Toutefois, il est certain que l’escroquerie monétaire, comme toute autre escroquerie, ne peut pas enrichir à long terme les malfaiteurs par l’appauvrissement de leurs victimes, puisque l’on ne peut abuser d’aucun système monétaire libéral à long terme.

Selon la théorie financière, la monnaie est un moyen d’échange légalisé, qui conserve de surplus sa valeur. C’est pourquoi elle était jadis un monopole de l’État (droit de battre monnaie). Les pièces d’or, d’argent et de cuivre qui circulaient comme monnaie étaient battues par l’État. Celui-ci garantissait aussi la pureté du métal et le poids des monnaies, de sorte que l’on savait à tout moment, dans le pays comme à l’étranger, quelle était la valeur de chaque pièce. Ainsi, les pièces de monnaie étaient simultanément moyen d’échange et valeur durable.

• Mais pour battre monnaie, l’État doit avoir de l’or et de l’argent. Il était donc important qu’il disposât de mines d’argent, par exemple (Rammelsberg près Goslar), ce qui lui permettait de battre des monnaies supplémentaires en argent. Inversement, les citoyens savaient que l’État ne pouvait battre monnaie que dans la mesure où il disposait des métaux précieux correspondants. L’approvisionnement en métaux précieux était donc la base de la monnaie de métal précieux en circulation (monnaie d’or en circulation).

De la monnaie réelle à la monnaie fiduciaire

Cependant, des princes ont toujours tenté de se procurer davantage de monnaie qu’ils n’avaient de métal précieux, en réduisant la part des métaux précieux dans l’alliage des pièces. Il en est résulté que les marchands et bourgeois ont cédé la mauvaise monnaie, mais gardé la bonne jusqu’au moment où, tous étant au courant, il a fallu refondre la mauvaise monnaie. Des pièces d’or ont circulé jusqu’à la Première Guerre mondiale.

• Une monnaie d’or en circulation a, cependant, l’inconvénient que l’augmentation de l’or n’atteint pas la croissance économique, de sorte qu’un manque d’or déflationniste peut empêcher une forte croissance économique. C’est pourquoi de nombreux États sont passés à une monnaie d’or indirecte : ils disposaient d’un trésor d’or d’un certain montant en or, à partir duquel ont été émis des billets de banque qu’il était plus aisé de transporter, de compter et de détenir en grande quantité. Leur valeur résultait de la faculté de présenter à tout moment les billets à la banque centrale et de les y échanger contre la quantité correspondante d’or ou d’argent (billets convertibles en métal précieux). De cette manière, l’État pouvait émettre davantage de monnaie fiduciaire qu’il ne possédait de métal précieux, peu de détenteurs de monnaie insistant d’habitude sur l’échange de billets en or. Normalement, un volume de moins de 10% d’or suffisait à un volume de billets de 90%.

• Le système fonctionnait dans le monde entier. En effet, des pays dépourvus d’or garantissaient aux détenteurs de leurs billets un cours fixe de change, par rapport aux monnaies convertibles en or. Tant que cette garantie de change existait, les bourgeois étaient certains de pouvoir échanger – à vrai dire, par le biais d’un double échange (étalon de change-or) – leur monnaie fiduciaire contre des pièces de métal précieux et avaient ainsi, tout au moins, une garantie indirecte de la valeur de leur monnaie.

De la monnaie d’État à la monnaie privée

L’étape décisive menant à l’abandon de la monnaie d’État a été la fondation, en 1913, du Système fédéral de réserve des États-Unis. Bien que la constitution américaine ne prévoie que l’or et l’argent comme monnaies légales, un cartel fondé par des banques privées et dirigé par les deux grands groupes financiers, Rothschild et Rockefeller, a créé une banque centrale privée ayant droit d’émettre sa propre monnaie, devenue moyen légal de paiement et garantie, initialement, par le gouvernement des États-Unis. Après la Première Guerre mondiale, cette banque privée a racheté les réserves d’or mondiales. Il en est résulté que de nombreuses autres monnaies n’ont plus pu maintenir leur étalon-or et ont sombré dans la déflation (première crise économique mondiale).

• A la fin de la Deuxième Guerre mondiale, l’instauration d’un nouvel étalon dollar-or a été donc décidée en 1944, à Bretton Woods. Pendant la guerre mondiale, les États-Unis ont exigé des belligérants le paiement d’armements en or. L’or de l’Allemagne a dû être remis comme butin. Ainsi, plus de 30000 tonnes d’or, venant du monde entier, se sont accumulées aux États-Unis, soit davantage que dans tous les autres pays réunis. Cet or a servi de couverture au dollar. Mais comme les banques centrales du monde détenaient une grande partie des dollars à titre de réserves monétaires, les États-Unis ont pu émettre davantage de monnaie que leur quantité d’or. L’étranger avait en effet besoin de dollars pour acheter les matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu, toujours davantage, une réserve monétaire des autres banques centrales. Le règne du dollar sur le monde avait commencé.

• En 1971, le président des États-Unis, Richard Nixon, a supprimé l’obligation de convertir le dollar en or (étalon dollar-or) et, simultanément, la responsabilité de l’État à propos du cours du dollar. Depuis lors, la devise américaine n’est plus couverte, ni par de l’or, ni par la garantie de l’État, mais demeure la monnaie privée libre du Système fédéral de réserve (la Fed). Le dollar et toutes les autres monnaies du monde ne conservent, par conséquent, plus de valeur, mais sont de simples moyens de paiement imprimés et légalisés.

• Si la loi peut obliger à accepter une monnaie non couverte comme moyen d’échange, il ne peut en faire de même comme moyen de conservation de la valeur. Dans ce cas, la confiance du détenteur de billets, [en le fait] que la valeur de sa monnaie est assurée à long terme, est nécessaire. A son tour, le cours à long terme – la confiance – d’une monnaie flexible, dépend uniquement de la rareté de cette monnaie, ou du volume de la masse monétaire. Le problème est que la masse des biens n’a que quadruplé durant les trente dernières années, alors que la masse monétaire s’est multipliée par quarante.

• Or, une augmentation de la masse monétaire implique toujours de l’inflation. Et l’inflation entraîne une dévalorisation de la monnaie. On a recouru à trois solutions pour résoudre ce problème :

Dès la fondation de la Banque fédérale d’Allemagne, la science financière allemande avait exigé l’établissement d’un «quatrième pouvoir» en faveur de l’institut d’émission, pour permettre à celui-ci de résister aux pressions visant à un excès de masse monétaire et, partant, de se fier au maintien de la valeur monétaire. En fait, la Banque fédérale était tenue, de par la loi, de préserver la valeur du mark (théorie de la monnaie neutre) et était indépendante de l’État dans une forte mesure. Dans ces conditions, le mark, monnaie la plus stable du monde, a été utilisé, toujours davantage, comme monnaie de réserve et monnaie de placement.

La plupart des autres États ont préféré une monnaie axée sur la quantité. Ils ont obligé leurs banques centrales à déterminer leurs masses monétaires d’après certains objectifs, tels la croissance économique ou le plein-emploi. La politique nationale a profité de cette évolution pour exercer son influence sur la banque centrale et sur la monnaie, ce qui a régulièrement entraîné une inflation de la masse monétaire (exemples : France, Italie, Espagne).

En revanche, la plupart des dictatures des pays en voie de développement, et la Fed, ont préféré une «monnaie quantitativement libre», c’est-à-dire une monnaie dont les excès, par la politique ou les propriétaires privés du Système de réserve, ne sont pas limités par la loi. Une «monnaie quantitativement libre» a toujours signifié «monnaie dont on peut abuser librement» et n’a jamais fonctionné à long terme.

Point essentiel, il ne faut pas sous-estimer les tensions auxquelles sont soumis les cours des changes, lorsque évoluent parallèlement des monnaies, tel le mark, dont les banques d’État émettrices préservent la valeur, et des monnaies de banques d’État assujetties, voire de banques privées, qui sont manipulées selon les objectifs de l’émetteur : comme la Banque fédérale d’Allemagne a maintenu la valeur du mark relativement stable et que celle d’autres monnaies importantes a diminué, toujours plus fortement, en raison de l’augmentation de la masse monétaire et de l’inflation, les détenteurs de monnaie se sont efforcés, tout naturellement, d’investir à long terme en monnaies fortes et d’éviter les monnaies faibles.

• Depuis lors, aucune monnaie du monde n’a plus quelque base de valeur que ce soit, la monnaie mondiale s’est détachée de toute valeur réelle, les billets sont imprimés sans arrêt et leur valeur diminue continuellement, en raison de leur augmentation constante. Si les gens croient toujours que le papier-monnaie qu’ils détiennent a une valeur fixe, cela résulte de manipulations habiles des changes, donnant l’illusion d’un rapport de valeurs. De fait, les changes sont manipulés par les groupes qui engendrent aussi l’augmentation de la masse monétaire.

• Pratiquement, le Système fédéral de réserve privé, guidé par la haute finance des États-Unis et appartenant à celle-ci, a atteint l’importance d’un système de monnaie mondiale :

Le dollar, monnaie privée de la Fed, domine déjà le monde, de par sa masse monétaire. Plus de 75% de la monnaie mondiale sont des dollars.

La haute finance des États-Unis a obligé aussi les marchés des matières premières, qu’elle contrôle, à ne vendre leurs produits qu’en dollars. Qui ne vend pas son pétrole contre des dollars sans valeur, est déclaré terroriste (Saddam).

Les banques centrales des autres pays ont été également forcées d’accepter des dollars comme réserves monétaires, dans des proportions croissantes (plus de 90% dans le cas de la Banque centrale européenne). La valeur des autres monnaies – tel l’euro – découle donc, à raison de plus de 90%, de billets en dollars sans valeur, ne reposant que sur la puissance et la volonté de la haute finance américaine.

Les banques centrales étrangères ont été amenées, avec ou sans douceur (Suisse), à céder ou à «prêter» leurs réserves d’or contre des dollars. Ainsi, l’or du monde s’est de nouveau concentré, comme avant la première crise économique mondiale, chez les propriétaires de la Fed, de sorte qu’un système de l’étalon-or ne pourrait être réinstauré que conformément à leur volonté et qu’ils feraient l’affaire du siècle, du simple fait d’une réforme monétaire entraînant une nouvelle fixation du prix de l’or (Greenspan : «peut-être jusqu’à 6000 dollars»).

La haute finance des États-Unis détermine donc, par l’intermédiaire de la Fed, qui lui appartient, la monnaie et les changes du monde entier. Le dollar est la monnaie privée de cette haute finance. Il n’est garanti par personne d’autre, mais est maltraité autant que faire se peut, accru et modelé en instrument de sa domination sur le monde et du vol de toutes les matières premières et valeurs réelles importantes.

• En augmentant sans scrupules la masse des dollars, la haute finance des États-Unis s’est procuré des liquidités illimitées, qui lui permettent d’acheter le monde entier. Par cette émission, l’État américain peut émettre davantage de dollars qu’il n’en reçoit (endettement débridé). Aussi bien la haute finance dominatrice des États-Unis, que le gouvernement qu’elle domine, profitent donc de l’augmentation de la masse monétaire. Par conséquent, le volume des dollars s’est accru toujours plus vite, ces dix dernières années.

• De même, les dettes de l’État ont augmenté considérablement envers l’étranger. Le gouvernement des États-Unis commande donc de plus en plus de biens réels à l’étranger, qu’il paie par des billets sans valeur – la forme moderne du tribut.

• Il faut attribuer à une mise en scène et à un chantage habiles, le fait que cet accroissement sans limite des dollars n’a pas entraîné depuis longtemps la chute de cette monnaie et le refus des clients de l’accepter : la haute finance et le gouvernement des États-Unis forcent économiquement et politiquement, depuis des années, les principales banques centrales du monde (Banque centrale européenne, Banque du Japon, Banque de Chine, etc.) à garder des dollars sans valeur, accumulés lors d’exportations ou d’achats de valeurs réelles, et à les détenir comme réserves de devises constituant soi-disant de la valeur. Cela signifie, pratiquement, que les banques centrales de Chine, du Japon et d’Europe accumulent en quantités toujours plus fortes, comme réserves monétaires prétendument de valeur, les dollars sans valeur leur parvenant à la suite des livraisons de biens de leurs ressortissants. La monnaie des États satellites est donc déjà garantie par des dollars, dont la valeur diminue toujours davantage ; elle a aussi perdu pratiquement sa valeur. Ainsi, toutes ces monnaies naviguent sur le même bateau de la dévaluation, les promoteurs de l’augmentation de la masse monétaire, à New York et Washington, ainsi que leurs aides, augmentant la masse monétaire dans les banques centrales des États satellites.

• Toutefois, le débiteur que sont les États-Unis décide, lui-même, dans quelle mesure il plumera finalement ses financiers, par une dévaluation officielle du dollar et se débarrassera de son endettement à leurs frais. L’étranger, qui détient 80% des dollars, subira surtout les effets de la dévaluation de cette monnaie. Le débiteur a toute latitude pour déterminer dans quelles proportions il dévaluera ses dettes et dépouillera ainsi ses créanciers.

• Cependant, la manipulation des cours fait croire au public que les monnaies, manipulées et accrues sans limite, ont toujours un cours solide.

• Si les détenteurs de monnaies savaient qu’ils n’ont au fond que du papier en mains, mais que tout dépend des manipulations, des abus, de la puissance et des objectifs de la haute finance des États-Unis, la vitesse de circulation de la monnaie augmenterait davantage, en raison du refus d’accepter la monnaie ; une fuite dans les valeurs réelles aurait lieu, il s’ensuivrait une inflation s’accélérant dramatiquement, voire galopant, la dévalorisation accomplie depuis longtemps des investissements en valeur nominale (papiers monétaires, obligations, fonds de placement, etc.) entraînerait un deuxième krach, la dévalorisation entraînerait la ruine du secteur financier, qui devrait faire face à des procès en dommages-intérêts, si bien qu’une réforme monétaire deviendrait inévitable.

Malgré une dévalorisation dramatique, l’illusion de la valeur de la monnaie est encore maintenue, artificiellement, par l’obligation de considérer les billets comme moyens de paiement légaux. Les profiteurs de ce système sont non seulement la haute finance des États-Unis qui, par sa Fed, place dans le monde des masses de dollars toujours plus considérables, mais aussi des banques centrales menant le même jeu, telles la Banque centrale européenne (BCE) et la Banque du Japon. Les directions de ces instituts savent fort bien à quel point le dollar a perdu toute valeur, mais confortent toujours l’illusion du dollar moyen de paiement légal, se sont tues pour des raisons politiques et ont couvert leur propre monnaie par des réserves monétaires libellées en dollars sans valeur. Si une réforme monétaire avait lieu, la BCE notamment serait dépourvue de valeurs. La présence de l’or se limite, vraisemblablement, à une simple créance et ne consiste donc plus en or réel. La plupart du temps, il est prêté, prétendument en nature, à la Fed, qui le prête à son tour, si bien qu’il n’est plus saisissable en cas d’effondrement. Le système repose sur le fait qu’un abus n’est, ni discuté, ni ne fait l’objet d’une publication.

• Fait n°1 : Les masses monétaires mondiales ont été tellement accrues et ont une base si fragile (dollars, euros, yens, etc.), que les monnaies correspondantes n’exercent plus de véritable fonction de conservation de la valeur, si importante aux yeux du citoyen.

• Fait n°2 : Seules la manipulation et la tromperie, à propos d’une valeur de la monnaie qui n’existe plus, préservent artificiellement la fonction d’échange des monnaies.

• Fait n°3 : Le dollar, monnaie privée de la haute finance américaine, a rompu depuis longtemps tous ses liens avec une valeur réelle (l’or) ou avec une masse monétaire déterminée. Il a donc, non seulement, perdu sa fonction de conservation de la valeur, mais ne trompe plus le monde, à propos d’une valeur d’échange prétendue de la monnaie privée, dévalorisée par une augmentation sans limite, que par des manipulations de cours sur l’ensemble de la planète. Seules cette tromperie, et la puissance de la haute finance des États-Unis, alimentent encore une «confiance» artificielle dans le dollar. En revanche, si les participants au marché savaient qu’ils n’ont en main, avec la valeur nominale du billet, que la promesse sans valeur de particuliers dans lesquels ont ne peut depuis longtemps plus avoir confiance, qui abusent constamment de leur pouvoir de manipuler la valeur de la monnaie, cette confiance se serait effondrée depuis longtemps.

• Il en va des actions comme de la monnaie. La plupart de ces titres n’ont plus de substance et ne recèlent que de l’espoir. Celui qui a cru avoir beaucoup gagné lors de la hausse fulgurante des actions a appris, par le krach, que l’action ne comporte, outre la valeur du papier, que de l’espoir, mais que celui-ci peut disparaître facilement. Le gain ou la perte, dans le jeu de la Bourse, sont de simples espérances et non des valeurs réelles. Tel est aussi le cas de la monnaie. La seule valeur réelle est celle du papier. Le reste est une confiance dans des puissances financières mondiales corrompues, mais fortes.

La mainmise sur les valeurs réelles au moyen d’une monnaie-fiction

Si les participants au marché savaient que notre système monétaire repose finalement sur la monnaie privée qu’est le dollar, et que cette monnaie dépend uniquement des souhaits de manipulation et d’abus de l’oligarchie financière, ils perdraient confiance dans la monnaie, ne considéreraient plus celle-ci comme moyen de conservation de la valeur, mais tenteraient d’échapper à la dévalorisation constante de la monnaie en se réfugiant dans les valeurs réelles.

• Or telle est l’action de ceux qui, cachés derrière la Fed, procèdent à la plus forte augmentation de la masse monétaire de tous les temps. Depuis des décennies, ils achètent, avec une monnaie perdant de plus en plus de sa valeur, toutes les valeurs réelles qu’ils trouvent : stocks de matières premières, complexes industriels, immeubles et presque chaque société financière étrangère à peu près intacte, par une reprise amicale ou hostile, à presque n’importe quel prix. Non seulement la haute finance des États-Unis accumule les valeurs réelles mondiales, mais aussi l’État importe depuis des années, contre de la monnaie de papier au fond sans valeur, davantage de valeurs réelles du monde qu’il n’en peut payer et s’endette ainsi, sans limite, envers l’étranger – tant que les créanciers étrangers croient encore à la valeur du dollar ou peuvent être obligés, par chantage politique, de prendre comme réserves monétaires ces dollars pourris.

Monopoles formés grâce aux valeurs réelles

De cette manière, la haute finance qui se cache derrière la Fed a acquis, contre ses dollars pourris, grâce à une politique ciblée de valeurs réelles, des secteurs entiers du marché et a constitué ainsi des monopoles ou oligopoles, dans les domaines suivants : diamants, or, cuivre, zinc, uranium, télécommunications, presse et télévision, denrées alimentaires (Nestlé, Coca-Cola), de grandes parties de l’industrie de l’armement et de l’espace, etc.

• Actuellement, une tentative de monopole tente de contrôler le secteur de la génétique. Les animaux et plantes qui ont subi des manipulations génétiques sont stériles. Si l’on peut donc manipuler les gènes de toute une région, les paysans ne peuvent plus utiliser les céréales qu’ils ont récoltées et doivent acheter les semences d’une entreprise au prix qu’elle fixe.

Une autre monopolisation a lieu actuellement sur le marché du sucre : le marché du sucre de l’UE est régi de manière à préserver aux paysans leur production de sucre de betteraves, qui est d’une nécessité vitale pour nombre d’entre eux. Or, le sucre de betteraves est plus cher que le sucre de canne du cartel américain, qui croît sous les tropiques. Nestlé et Coca-Cola, qui appartiennent à la haute finance des États-Unis, exigent maintenant, de concert avec les scientifiques et politiciens qui en dépendent, une «libéralisation du marché du sucre» et la revendiquent dans les instances internationales (GATT, Mercosur). Dès que cette libéralisation sera imposée, le sucre de betteraves cher ne pourra plus se maintenir face au sucre de canne bon marché, la production européenne de sucre s’effondrera définitivement et le marché du sucre – tout d’abord bon marché, puis cher – sera inondé par le cartel du sucre de canne, contrôlé par la haute finance des États-Unis.

• Le cas Primacom démontre par quelles méthodes la haute finance des États-Unis accapare des branches entières : cet exploitant de réseaux par câble a une situation très lucrative, mais est, depuis longtemps, dans le collimateur de la haute finance des États-Unis (monopolisation des télécommunications). Celle-ci s’est infiltrée, depuis longtemps, dans le management de Primacom, puis lui a accordé un prêt, à un taux d’intérêt dépassant 30%. Par conséquent, cette entreprise florissante a connu des difficultés et est devenue, aux yeux de la banque américaine, propre à une OPA très bon marché. Le jeu traverse actuellement sa dernière phase.

• L’émissaire de la haute finance américaine, Ron Sommer, a tenté de se livrer à un jeu analogue avec Deutsche Telekom. La haute finance des États-Unis accumule les sociétés du secteur des télécommunications, pour créer un monopole mondial. Pour ce faire, l’émissaire Sommer lui a acheté une petite entreprise du secteur des télécommunications, à un prix (30 milliards de dollars) supérieur de trente fois à sa valeur, afin que cette haute finance puisse racheter Telekom avec son propre patrimoine. La deuxième étape consistait à rendre les actions Telekom si bon marché, que l’investisseur américain puisse les acheter à bas prix. Sur ce point, Ron Sommer a échoué. Toutefois, cet échec ne fera que retarder, sans les empêcher, les plans de reprise de la haute finance américaine. La privatisation et le rachat d’entreprises des télécommunications continuent, conformément aux plans dressés.

• Un jeu analogue se déroule sur le marché mondial de l’énergie. En Allemagne, EON et RWE y participent visiblement, la haute finance des États-Unis ayant déjà envoyé ses hommes de confiance dans les banques et managements décisifs pour les candidats à la reprise. En 20 ans, elle veut aussi monopoliser l’eau du monde, selon les indications de son représentant Brzezinski.

La réforme monétaire et les valeurs réelles

Une interprétation correcte des plans de la haute finance mondiale aboutit à la conclusion que la masse monétaire doit être accrue et dévalorisée, jusqu’à ce que toutes les valeurs réelles importantes du monde soient achetées et monopolisées. La haute finance sait bien que son accroissement de la masse monétaire ne saurait passer inaperçu et que, à un moment donné, la confiance en un dollar inflationniste disparaîtra. L’éclatement d’une crise de confiance fera de l’inflation encore contrôlée, une inflation galopante, qui aboutira forcément à une réforme monétaire.

• Or, il s’agit d’un avantage dont bénéficiera aussi bien la haute finance que les États-Unis :

Préalablement, la haute finance a acheté assez de valeurs réelles avec des dollars pourris, et ces valeurs réelles ne seront pas touchées par la réforme. La haute finance aura ainsi converti à temps de l’argent pourri en patrimoine de valeur. Comme elle a constitué des monopoles mondiaux dans de nombreux domaines, elle peut imposer des prélèvements à tout moment au monde, grâce à des prix de monopole. Les dominateurs du monde auront donc, comme revenu, non plus des impôts, mais des revenus de monopoles. Personne ne pourra empêcher la haute finance de relever de 10, 20 ou 30% les prix de l’or, des diamants, du cuivre, du zinc, de l’eau, des semences ou de l’énergie et d’imposer ainsi des prélèvements spéciaux à l’ensemble de la population mondiale. Il n’y a encore jamais eu de telle puissance financière dans le monde, ayant constitué un tel péril pour l’ensemble de la population.

Rusée, la haute finance des États-Unis a principalement déversé ses dollars pourris à l’étranger. Plus des trois quarts des dollars ne sont plus aux États-Unis, mais se trouvent dans les États créanciers de ce pays. En effet, les États-Unis se sont de plus en plus endettés envers l’étranger, ces dernières années. L’étranger a livré des produits et reçu, en échange, des dollars sans valeur. Toutes les banques centrales étrangères sont remplies de dollars pourris. Si ceux-ci sont subitement dévalués, plus des trois quarts du dommage toucheront les banques centrales, les banques, les États et les opérateurs hors des États-Unis. Les banques centrales européennes pourront alors regretter d’avoir échangé leur or contre des dollars pourris et d’avoir constitué de la monnaie formelle comme base (réserves monétaires) de leur propre monnaie, tels le yen et l’euro. Si le cours de la monnaie-clé, le dollar, s’effondre, celui des monnaies satellites subira le même sort, sa seule base étant un montant en dollars pourris. En d’autres termes : la réforme monétaire qui se prépare, déclenchera forcément une réforme de toutes les monnaies mondiales, dont le dollar pourri constitue encore la principale réserve monétaire.

Le fait que tout accroissement continuel d’une monnaie privée – le dollar – par le Système fédéral de réserve appartenant à la haute finance des États-Unis, doive forcément entraîner un pourrissement du dollar, une inflation de plus en plus forte et, finalement, une réforme monétaire, est une certitude fondamentale de la science financière, et même Greenspan et ses collaborateurs devraient en être conscients.

De la réforme monétaire à la monnaie mondiale

Imprudemment, Greenspan a indiqué dans un discours «qu’une correction fondamentale du dollar aurait lieu d’ici 2007 et que l’on pourrait fondre, à cette fin, le dollar et l’euro en euro-dollar, une nouvelle monnaie mondiale.» Cette vue est conforme aux besoins de la haute finance américaine, car l’abus du dollar ne peut se poursuivre que jusqu’en 2007, au pire. En effet, la confiance du monde dans cette monnaie privée, accrue sans trêve, perdant de plus en plus de sa valeur et maintenue artificiellement, devrait alors avoir disparu. Le dollar subira donc une transformation ces prochains temps. Si une fusion avec l’euro avait lieu, la haute finance des États-Unis atteindrait des objectifs importants :

Une nouvelle monnaie permettrait de dévaloriser les anciennes dettes monétaires et, partant, de spolier les créanciers détenant encore de cette monnaie. Si le nouvel euro-dollar vaut 20 anciens dollars ou 15 euros, les anciennes monnaies sont dévaluées en conséquence, les créanciers détenteurs d’ancienne monnaie spoliés, le jeu a profité aux émetteurs de monnaie privée.

L’État fédéral américain, surtout, se débarrasserait ainsi de ses dettes : l’endettement envers l’étranger, qui atteint actuellement 5200 milliards de dollars, ne se chiffrerait alors qu’à 2600 milliards d’euro-dollars, soit une dévaluation de 50%.

Les détenteurs d’anciens dollars seraient les principales victimes, les montants qu’ils détiennent étant dévalués de 50, voire de 90%. Les banques centrales de Chine, du Japon et d’Europe, qui détiennent d’importantes réserves monétaires en dollars, en pâtiraient particulièrement.

Toutefois, le but principal de la haute finance américaine est d’établir ainsi une monnaie mondiale, qu’elle contrôlerait. Sous un régime d’euro-dollars, le Système fédéral de réserve, appartenant à la haute finance des États-Unis, aurait forcément une majorité. Cette haute finance contrôlerait alors la majorité du système. A cette fin, la haute finance des États-Unis a choisi la BRI (Banque des règlements internationaux), une organisation privée dont elle a déjà acquis secrètement la majorité des parts. Si la BRI devenait la banque centrale émettant les euro-dollars, les mêmes propriétaires privés seraient, par hasard, les principaux propriétaires de la nouvelle banque centrale, qui étaient auparavant les propriétaires de la Fed. Ils pourraient jouer le jeu consistant à émettre de la monnaie à leur gré, à un niveau supérieur, qu’ils ont joué jusqu’à maintenant avec le Système fédéral de réserve – et bénéficier de surcroît de la diminution de leur endettement due à la réforme monétaire. L’augmentation de la masse monétaire mondiale qui a eu lieu jusqu’à maintenant, cette grande escroquerie monétaire, serait effacée par la réforme monétaire. Les vieux malfaiteurs bénéficieraient d’un nouveau système, d’une nouvelle monnaie, qui leur permettrait d’utiliser aux mêmes fins la monnaie mondiale euro-dollar, durant les 20 à 30 prochaines années.

Ce faisant, la haute finance des États-Unis aurait donc monopolisé, par escroquerie, les valeurs réelles mondiales – parmi lesquelles figurent des biens aussi essentiels que les semences, les denrées alimentaires, l’eau, l’énergie et les métaux, mais aurait aussi bâti, de nouveau, un monopole monétaire à sa disposition, qu’elle pourrait utiliser à son gré – une machine d’accroissement monétaire, tel l’âne aux ducats de la légende.

• Même la publication de ce système d’escroquerie ne provoquera pas de cris dans le monde. On parlera de «théorie du complot», d’«antiaméricanisme», voire d’«antisémitisme» (Rothschild), ou s’efforcera d’empêcher de telles publications, une partie essentielle des médias imprimés et électroniques mondiaux appartenant à la haute finance des États-Unis.

• Il est important que ceux qui pourraient subir des pertes, comprennent ce jeu. Celui qui possède un patrimoine financier, devrait donc écouter, ou plutôt lire.

• Les perdants du grand jeu de l’oligarchie financière sont les participants au marché mondial, qui accordent trop de confiance à la monnaie, qui croient toujours que celle-ci n’a pas une simple fonction d’échange, mais qu’elle sert encore de préservateur de la valeur. Les hommes n’ont visiblement pas tiré de leçon de la dévalorisation constante de la monnaie de ces 40 dernières années. Celle-ci s’accélérera ces prochaines années, avant la catastrophe finale, car elle sert uniquement aux manipulateurs. Celui qui attache donc de l’importance au maintien de la valeur à long terme de son patrimoine, ne peut pas continuer à avoir des placements en valeurs monétaires, en polices d’assurances, en obligations ou en espèces, il doit investir en valeurs réelles, comme la haute finance lui en donne l’exemple.

Objectif stratégique de l’escroquerie monétaire mondiale

Pour autant que l’on puisse en juger de l’extérieur, la haute finance des États-Unis a eu pour seul objectif initialement de contrôler la monnaie du pays et, partant, de manipuler le marché des États-Unis à son gré. La Fed privée servait à réaliser cet objectif. Lorsque le président Kennedy a proposé une loi visant à étatiser ce système financier privé, il est décédé subitement. Toute personne en contact avec les possibilités de monnaie privée, a perdu son patrimoine ou sa vie.

• Depuis lors, les objectifs stratégiques de la haute finance américaine ont dépassé le cadre national. Elle a pour but un système monétaire privé mondial, qu’elle a assuré par son dollar privé, imposé comme principale monnaie de réserve dans le monde entier, et qu’elle ne doit plus formaliser que par une monnaie mondiale, l’euro-dollar.

• Si nous voulons empêcher un deuxième abus du système monétaire mondial en faveur d’une haute finance privée et l’abus des masses monétaires, chaque monnaie doit être protégée contre tout abus public ou privé, contre toute manipulation déflationniste ou inflationniste.

• Ce but ne peut certainement pas être atteint, si l’on abandonne les changes à la haute finance privée. Celle-ci profitera toujours des possibilités d’abus, en spoliant et exploitant le monde par un accroissement de la masse monétaire.

• Cependant, l’expérience a montré aussi que la plupart des gouvernements abusent également de leur monnaie, s’ils peuvent influer sur la banque centrale et sa politique de la masse monétaire.

• Il convient donc d’empêcher les abus que les pouvoirs publics et la haute finance privée exercent sur les monnaies.

• Il est certain qu’une monnaie basée sur l’or ne peut pas être manipulée aussi facilement qu’une simple monnaie formelle. Toutefois, les problèmes d’une monnaie basée sur l’or découlent de la disponibilité de l’or, la haute finance ayant accaparé la plus grande partie des réserves d’or. Ainsi, elle redeviendrait gagnante et accapareuse de toute sorte de monnaie basée sur l’or.

• La seule solution est donc celle d’une monnaie formelle. Cependant, cette monnaie ne doit pas être librement, arbitrairement déterminable, mais doit être axée sur un objectif de monnaie neutre. La masse monétaire ne doit donc pas croître davantage que celle des biens. Le secteur monétaire ne doit plus exercer d’effets inflationnistes ou déflationnistes sur les monnaies et l’économie mondiale.

• Cet objectif ne peut être atteint que par des banques centrales strictement neutres et si indépendantes qu’elles constituent un «quatrième pouvoir», ne sont pas dans les mains de particuliers et ne peuvent pas être influencées par leurs gouvernements. Avant sa castration par la Banque centrale européenne, la Banque fédérale d’Allemagne était très proche de cette indépendance.

• La prochaine réforme monétaire offre une chance unique de dénoncer les coupables, leurs manipulations monétaires et leurs abus, ainsi que de susciter l’approbation générale d’un système de banques centrales sur lequel ni la haute finance, ni les gouvernements n’exerceraient d’influence. Il s’agit d’une chance exceptionnelle.

• La haute finance surtout, qui, par son organe la BRI, s’est déjà préparée à s’emparer du prochain système de banques centrales et de monnaies, pourrait empêcher la création d’un système indépendant. Il convient donc d’informer, d’expliquer à la population, à l’économie et aux politiciens, les dangers qu’une économie monopoliste fait courir, non seulement à la monnaie actuelle, mais aussi à un nouveau système monétaire.

Source : Horizons et débats, numéro 31, juin 2005

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Opinie: "De moderne mens is lui, verwend en ingeslapen"

Opinie: “De moderne mens is lui, verwend en ingeslapen”

Wanneer ik nog eens het internet afspeurde op zoek naar teksten e.d. van ideologische tegenstanders (ook die moet men immers lezen), viel mijn oog op de volgende tekst. Het is de geschreven versie van een toespraak die door de voorzitter van de noord-Nederlandse JOVD is gegeven naar aanleiding van het nieuwe jaar: http://www.jovd.nl/news/387/15/Nieuwjaarstoespraak-Landelijk-Voorzitter-Martijn-Jonk/. De titel hiervan is “De moderne student is lui, verwend en ingeslapen.“ Na het lezen hiervan had ik, uiteraard want wat had u anders verwacht, enige bedenkingen hierbij die ik hier even neertyp. Voor het gemak heb ik enkele citaten uit de toespraak gehaald die ik individueel zal becommentariëren:

Wij verkeren in een positie waar wij verworven vrijheden te snel voor lief nemen. Vrijheid maakt lui. Voor ons zijn vrije en eerlijke verkiezingen haast zo vanzelfsprekend als de ochtend na de nacht.

Gelukkig hoeven wij in Nederland niet meer te strijden voor deze basale vrijheden. Hier kiezen wij onze leiders, en hopelijk -ja, hopelijk- kiezen wij dit jaar nog voor nieuwe.

Democratie beschouw ik als een keuze tussen verschillende visies op de maatschappij. Zo ken men in vroegere tijden, als is het nog niet eens zolang geleden, nog kiezen tussen radicaal verschillende visies op de maatschappij. Men had royalisten, regionalisten, communisten, socialisten, liberalen, liberaal-democraten, katholieken, etc… En al ben ik niet rouwig om het feit dat politieke milities geen vuurgevechten meer houden in de straten, de democratie heeft ook een deel van haar eigenheid verloren in de teloorgang van de ideologieën.

Vandaag de dag kan men niet stellen dat de vrijheid van verkiezingen echt geldt aangezien men een sociale moord pleegt op een deel van de politieke meningen. En dan heb ik het niet over de verachting van mensen voor een partij van pedofielen, dat is immers geen ideologie, maar een perversie, maar over het uitsluiten over bijna gans Europa van radicaal-rechtse nationalisten. Zeker wanneer die partijen een andere richting voorstellen dan het bestaande vormen zij een gevaar, net omdat zij een deel uitmaken van de eigenheid van de democratie: een bestaand systeem en een alternatief daarvoor. Nu kiest men enkel voor een bepaalde fractie binnenin de liberale parlementaire burgerlijke staat. En dat beschouw ik niet als een democratische verwezenlijking, maar een verarming voor de democratie.

Daarom moet mij als kersvers landelijk voorzitter van het hart dat de moderne student lui, verwend en ingeslapen is. Niet om het bepalen van studieresultaten, het nastreven van toekomstambities of het respecteren van de rechtstaat, maar wel als het gaat om liberale principes. De wereld van de snelle successen, de Wall Street mentaliteit waar snelle winsten en korte termijn visie prevaleren boven een lange termijnvisie, hebben immateriële kernwaarden op de achtergrond gedrukt.

Het liberale principe stoelt zich, maar verbeter mij gerust als ik fout ben, op de vrijheid van het individu om te kiezen aan welke gemeenschap(pen) hij zich verbindt op vrijwillige basis, maar ook op het recht om nergens voor te streven. Een gevolg van het liberalisme is ook de huidige maatschappij waar materiële, hieronder meer over dit onderwerp, en financiële verwezenlijkingen als het hoogste worden geacht. De Wall Street mentaliteit met snelle winsten en korte termijn visie is trouwens ook een liberaal verschijnsel vanwege de maatschappelijke gevolgen van deze ideologie. Als de mensen enkel hun eigen belang moeten nastreven, is het in hun belang om zoveel mogelijk winst te maken. Elk systeem in de menselijke geschiedenis en van menselijke oorsprong is immers onderhevig aan een herhalende en wederkerende cyclus van opbouw, toppunt en verval. Het is dan ook vanuit deze ideologie bekeken logisch dat men in de eerste twee fases zoveel mogelijk materieel en financieel kapitaal verzamelt om de derde fase te overleven. Nadat men ze ironisch genoeg zelf in gang heeft gezet.

Immateriële waarden zijn trouwens enkel massaal aanwezig in maatschappijen die niet de overvloed hebben die wij vandaag de dag kennen. Of in wereldvisies waar de kern net ligt in een hoger iets zoals een volk of een traditie. Traditionalisten en volksnationalisten zijn bv. vanuit hun kern anti-liberaal (en evenzeer anti-marxistisch). Iedereen die het tegenovergestelde beweert, beseft de gevolgen van zijn ideologie niet of verwart volksnationalisme met anarcho-nationalisme en het naïeve geloof in autonome gemeenschappen.

We zullen altijd voor blijven liggen op deze twee landen met betrekking tot menserechten, liberale vrijheden zoals de waarde van het individu.

De liberale vrijheid van het individu is meestal de misdaad van de ontworteling. Het liberale individualisme trekt de mens los uit zijn gemeenschap en uit de ketting van de culturele traditie die de mens met het verleden en de toekomst verbindt. Ook het modernistische concept van dé vrijheid is een onnodige veralgemening aangezien ze niet bestaat. Elk individu heeft zijn eigen vrijheid nodig, waarbij de ene al meer nood (bewust en onbewust) zal hebben aan een identiteitsbeleving in het collectief/de gemeenschap. Het is dan ook eerder nodig om in plaats van dé vrijheid te strijden voor de vrijheden.

Maar het draait niet alleen om geld, banen en economie. Wij moeten blijven waken voor liberale waarden in Nederland.[...] Daarnaast zullen we vroeg of laat moeten accepteren dat een open en vrije samenleving risico’s met zich meebrengt. Leven is niet zonder risico, en er bestaat niet zoiets als absolute veiligheid. Politici die dit beweren, liegen. Voor liberalen is deze keuze eenvoudig: wij nemen het risico om vrij te zijn.

Liberale waarden houden in dat men een sociale mobiliteit bereikt wordt door een economische vrijheid. Door die twee aan elkaar te koppelen, en het eerste te laten afhangen van het tweede, wordt de mens ontdaan van hogere idealen en bezigheden. Zo zijn filosofen niet meer nuttig omdat zij geen economische meerwaarde brengen aan de mens en verwordt de natuur tot niets meer dan een productiefactor. Het leven mag dan wel niet zonder risico’s zijn, dit mag op geen enkel moment een vergoeilijking zijn van de enorme sociale wantoestanden die de eerste industriële revolutie met zich meebracht. Enkel door staatsinterventie zijn die problemen opgelost, niet omdat de bedrijfseigenaars vanuit één of andere liberale visie opeens besloten dat het hen beter uitkwam om hun arbeiders te behandelen als mensen.

Vrijheid heeft zijn risico’s en ik geloof niet in de politiestaat. Noch geloof ik dat dingen als een luchthaven volledig te beveiligen zijn. Maar het stellen dat men het risico neemt om vrij te zijn, heeft op meer toepassing dan de (vaak overdreven) veiligheidsmaatregelen op luchthavens.

Naast Iran zijn er meer plaatsen in de wereld waar vrijheid en bescherming nog alles behalve realiteit zijn. Bijvoorbeeld in Afghanistan. Nederlandse soldaten werken mee aan een zwaar en moeilijk proces. Voor de veiligheid van ons en de Afghanen hebben 21 Nederlandse soldaten hun leven gegeven, en de missie is een aanslag op Nederlands militair materieel. Toch pleit de JOVD voor verlenging.[...] Wij vechten tegen een maatschappij waarin Islamitische fundamentalisten je stenigen als je het gebed mist. Afghanistan is dat cruciale slagveld tegen die militante en fundamentalistische islam.

Iran is waarschijnlijk één van de meest democratische landen in het Nabije Oosten en de islamitische wereld. Kan men zich inbeelden dat dergelijk straatprotest zou plaatsvinden in Jordanië of Egypte of Saudie-Arabië? Afghanistan wordt dan weer gekenmerkt door een opeenstapeling van cultureel wanbegrip van de kant van de NAVO toe. Een recent voorbeeld is het Amerikaanse idee om 100% vrouwelijke gevechtseenheden te laten patrouilleren. In een maatschappij van mannen en vaak volgens tribale of clanlijnen moet dit toch wel het meest idiote idee zijn dat ze daar in de laatste jaren hebben gehad. Wanneer een stamhoofd en/of -oudste wordt afgeblafd door een vrouwelijke soldaat, dan leg je de kiemen voor een nog grotere terugkeer van de Taliban.

Natuurlijk is het een goed recht om in Afghanistan te gaan pleiten voor de emancipatie van de vrouw, maar als men het op deze manier wilt doen, vergeet men ook de eigen geschiedenis. Hier is de vrouwenemancipatie ook niet van dag één op dag twee gebeurd. Laten we bv. de rol van WOII met de vrouwen in de fabrieken niet vergeten toen bleek dat vrouwen dezelfde arbeid als mannen aankonden. Het is enkel door het verwerven van een economische macht dat men een maatschappelijk en politiek gevolg duurzaam tot stand kan doen komen. Afghanistan is trouwens ook niet het ene cruciale slagveld tegen de militante islam. Het heeft een grote symboolwaarde, dat is waar. Maar de strijd wordt ook in Yemen gevoerd, in Somalië en het noorden van centraal-Afrika. En uiteraard ook in de moslimgemeenschappen van Europa waar nu terroristen “van eigen grond” uit voortkomen.

Tot zover mijn korte bedenkingen bij deze tekst. Uiteraard heb ik een vriendelijk e-postbericht gestuurd naar de voorzitter van de JOVD om hem op de hoogte te brengen van deze tekst. Hoogstens kan er een beschaafde en interessante discussie uit voortvloeien.

lundi, 25 janvier 2010

La crise a changé la consommation des Européens

La crise a changé la consommation des Européens

Près de deux Européens sur trois (64%) estiment que la crise a changé « durablement » leur façon de consommer, les ménages privilégiant désormais les produits bio et d’occasion, selon une étude de l’Observatoire Cetelem.

Cette enquête, réalisée en décembre 2009 auprès de 8.000 personnes dans douze pays d’Europe, montre également que 34% d’entre eux souhaitent augmenter leur épargne au cours des douze prochains mois, contre 22% un an plus tôt. C’est un niveau qui n’avait plus été atteint depuis 2005, selon l’étude.

« L’heure est au mieux-vivre. Le mieux consommer est préférable au tout consommer (…) La crise affirme le besoin de retrouver le juste prix et la qualité, » souligne l’enquête. Ainsi, près de deux Européens sur trois (64%), et trois Français sur quatre (73%), entendent changer « durablement » leur façon de consommer.

« Dans le détail, les Français sont plutôt hésitants. Ils prévoient un niveau d’épargne (30%) similaire à celui de leurs dépenses (31%). A l’exception de l’Europe de l’Est, il y a une forte volonté en Europe de reconstituer une épargne de précaution. Les ménages souhaitent mettre de l’argent de côté pour des éventuels coups durs, » commente Flavien Neuvy, responsable de l’Observatoire, dans l’étude.

Ce nouveau comportement fait ressortir deux tendances principales. Plus d’un tiers des Européens (38%) achètent ou consomment fréquemment des aliments bio. En France, ils sont 37% à déclarer consommer régulièrement des produits bio.

Cet engouement est dû au fait qu’il y a de plus en plus d’offre. Outre les magasins estampillés bio, les grandes enseignes et supermarchés traditionnels proposent de plus en plus des rayons verts, selon l’étude.

La crise a également favorisé l’essor d’un autre phénomène: le marché des produits d’occasion, montre l’étude. Près de la moitié (47%) des ménages européens jugent nécessaire d’acheter des produits d’occasion.

64% d’Européens ont acheté au moins une fois une voiture d’occasion, 60% des produits culturels (livres, CD, films, jeux vidéos…), 43% du textile (vêtements), et 33% des jouets pour enfants.

Ce sont les ménages allemands qui achètent le plus les produits d’occasion (72%) mais c’est en France que ceux-ci rencontrent le plus un écho favorable. Seuls 10% des Français jugent un achat d’occasion dévalorisant. A l’inverse 51% de Portugais s’en méfient.

A l’inverse, seuls 10% des Européens affirment acheter « fréquemment » des produits équitables ou achats responsables, parce que ceux-ci sont « chers » et l’offre n’est pas assez développée, d’après l’enquête. Le Royaume-Uni est le premier marché mondial du commerce équitable, avec 28% de consommateurs réguliers, contre beaucoup moins en France (9%) par exemple.

L’enquête a été réalisée en Allemagne, Belgique, Espagne, France, Hongrie, Italie, Pologne, Portugal, République tchèque, Royaume-Uni, Russie et Slovaquie.

Boursorama

00:25 Publié dans Economie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : crise, économie, finances, consommation, sociologie, actualité | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Presseschau 5/Januar 2010

journaux.jpgPRESSESCHAU

5/Januar 2010

Interessante Links. Das eine oder andere dürfte anklickwert sein...

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Von seinen Waffen   weiche niemand
Einen Schritt im freien Feld:
Niemand weiß   unterwegs, wie bald
Er seines Speers bedarf.

(Havamal/Edda)

[Die Edda. Götterlieder, Heldenlieder und Spruchweisheiten der Germanen. Vollständige Text-Ausgabe in der Übersetzung von Karl Simrock, hrsg. von Manfred Stange, Augsburg 1995]

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Aussiedlerbeauftragter lehnt Minderheitenstatus für Polen ab
BERLIN. Der Beauftragte der Bundesregierung für Aussiedlerfragen, Christoph Bergner (CDU), hat sich gegen einen Minderheitenstatus für Polen in Deutschland ausgesprochen. „Nach unserem Verständnis gab es zwar in den Reichsgrenzen von 1937 eine polnische Minderheit, nicht aber in den heutigen Staatsgrenzen der Bundesrepublik“, sagte Bergner im Gespräch mit der „Berliner Zeitung“.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5ad6eba7367.0.html

Ein deutscher Soldat berichtet
„Wenn es knallt, dann ist es wie im Krieg“
Weit weg von der Debatte in Berlin tun jeden Tag deutsche Soldaten in Nordafghanistan Dienst. Auf WELT ONLINE berichtet der deutsche Hauptmann Falko R. von seinen Erlebnissen. Seit ein paar Wochen, sagt er, verbessere sich die Lage. Vor einem schnellen Abzug warnt er dennoch eindringlich.
http://www.welt.de/politik/ausland/article5880374/Wenn-es-knallt-dann-ist-es-wie-im-Krieg.html

Afghanische „Zivilisten“
Von Martin Böcker
„Bundeswehr erschießt Zivilisten in Afghanistan.“ Eine tolle Meldung, bei der sich der Laie fragt: Wen soll sie denn sonst erschießen? Geht man davon aus, daß jeder Afghane, der Zivilbekleidung trägt, auch deshalb „Zivilist“ ist, dann müßten also deutsche Soldaten entweder auf die Afghanische Nationalarmee (ANA) schießen – oder eben auf „Zivilisten“. Die ANA bekämpfen wir natürlich nicht. Die bilden wir ja aus.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M53baf428fa3.0.html

Video: Gefechtsübung im Einsatz
Immer wieder befinden sich deutsche Soldaten in Feuergefechten mit Aufständischen in Nordafghanistan. Um auf diese kritischen Situationen vorbereitet zu sein, üben sie den Ernstfall – auch im Einsatzland.
http://www.bundeswehr.de/portal/a/bwde/kcxml/04_Sj9SPykssy0xPLMnMz0vM0Y_QjzKLd443DnQHSYGZASH6kTCxoJRUfW99X4_83FT9AP2C3IhyR0dFRQCsXOUq/delta/base64xml/L2dJQSEvUUt3QS80SVVFLzZfQ18yVk1I?yw_contentURL=%2FC1256EF4002AED30%2FW27ZUFVB806INFODE%2Fcontent.jsp

Wie in Afrika (traurig, aber wahr) ...
Sicherheitslage in Haiti
Polizei setzt Tränengas gegen Plünderer ein
In Port-au-Prince schlägt die Verzweiflung immer häufiger in Gewalt um. Die Zahl der Plünderungen steigt – Anwohner wehren sich mit Lynchjustiz dagegen. Präsident Preval hat den Ausnahmezustand verhängt. Er bat die USA, für Sicherheit zu sorgen. Die EU erwägt, Polizisten auf die zerstörte Insel zu schicken.
http://www.spiegel.de/panorama/0,1518,672422,00.html
http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/1/0,3672,8013633,00.html

Haiti
„Da draußen tobt ein Krieg“
http://www.faz.net/s/RubB08CD9E6B08746679EDCF370F87A4512/Doc~EC7987F37714C44AB9B6B992A3245CD11~ATpl~Ecommon~Sspezial.html

BILD-Reporter Bauernebel:
„Ich bin in einem sterbenden Land“
Überall Leichen, Elend und Gewalt – schlimmer kann auch die Hölle nicht sein
http://www.bild.de/BILD/news/2010/01/19/erdbeben-haiti-bild-reporter/herbert-bauernebel-berichtet-aus-dem-katastrophen-gebiet-port-au-prince.html

Wer will schon autonom sein
Guayana und Martinique stimmen gegen mehr Unabhängigkeit von Frankreich – Angst vor Versiegen der Finanzhilfen aus Paris
http://www.welt.de/die-welt/politik/article5815089/Wer-will-schon-autonom-sein.html

Brüsseler Institutionen
„Die EU schadet der Europa-Idee“
Von Roman Herzog, Frits Boltkestein und Lüder Gerken
http://www.faz.net/s/RubDDBDABB9457A437BAA85A49C26FB23A0/Doc~EC34E29B107D74E889CDBF2E9E184CED0~ATpl~Ecommon~Scontent.html

CDU-Chefin Merkel
Die Kanzlerin findet sich „ziemlich konservativ“
Von Robin Alexander
Zum Ende der CDU-Vorstandsklausur hat Kanzlerin Merkel ihren Modernisierungskurs verteidigt. Die Partei müsse „ein Angebot für jeden in der Gesellschaft machen“, nicht nur für ihre Stammwähler. Die Debatte um das schlechteste Bundestagswahl-Ergebnis seit 1949 unterdrückte die Parteichefin geschickt.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5863972/Die-Kanzlerin-findet-sich-ziemlich-konservativ.html

Das Wort „konservativ“ wird mehr und mehr zur Leerformel ...
CDU-Klausur
Merkel-Kritiker Mohring schlägt versöhnliche Töne an
Die Kritik „hat sich ausgezahlt“: Merkel-Kritiker Mike Mohring ist zufrieden mit dem Ergebnis der CDU-Bundesspitze. Der Thüringer Fraktionschef lobte die „Berliner Erklärung“ als Signal für ein konservativeres Profil – und mahnt an, den Worten auch Taten folgen zu lassen.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,672246,00.html

Merkel-Fan und Nationalstolz-Schwätzer (ganz „verfassungspatriotisch“ natürlich) ...
Interview für „Junge Freiheit“: Thüringens CDU-Fraktionschef will mehr Nationalstolz
Thüringens CDU-Fraktionschef Mike Mohring hat zu mehr Nationalstolz aufgerufen. Die Integration der immer heterogeneren Gesellschaft werde besser gelingen, „wenn wir dem Stolz auf unser Land mehr Raum geben. Es muß erstrebenswert sein, dazuzugehören“, sagte Mohring in einem Interview für die neue Ausgabe der rechtskonservativen Wochenzeitung „Junge Freiheit“.
http://www.stern.de/politik/deutschland/interview-fuer-junge-freiheit-thueringens-cdu-fraktionschef-will-mehr-nationalstolz-1535792.html

Extremismus
Kristina Köhler bricht ihr erstes Versprechen
Von Robin Alexander
Familienministerin Köhler verändert die Ausrichtung der Extremismusbekämpfung doch nicht. Entgegen ihrer Ankündigung, die Mittel der Regierung auch zum Kampf gegen den Linksextremismus und gegen islamische Extremisten einzusetzen, geht das Geld weiter einseitig in Programme gegen „rechts“.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5897874/Kristina-Koehler-bricht-ihr-erstes-Versprechen.html

Wir Rassisten
Von Ellen Kositza
„Kristina Köhler bricht ihr erstes Versprechen“, verkündete die Welt gestern. Denn: Im aktuellen Haushaltsentwurf des Familienministeriums sind wie im Vorjahr wiederum 24 Millionen Euro für Programme gegen sogenannten Rechtsextremismus vorgesehen. Und Köhler (auf die zahlreiche Konservative Hoffnungen setzten, allein schon, weil sie so ein „hübsch´ Mädel“ ist) hatte doch versprochen, sich ungefähr gleichermaßen den Gefahren zu widmen, die von links und von Islamisten drohen!
http://www.sezession.de/10893/wir-rassisten.html#more-10893

Burschenschaftliche Blätter: Fragen & Antworten zur NPD. Eine Diskussion mit Verbandsbruder Arne Schimmer (MdL)
http://www.burschenschaftliche-blaetter.de/netzversion/detailansicht/meldung/402/fragen-ant.html

Staatsverschuldung
Euro im Abwärtssog der griechischen Tragödie
Von Frank Stocker
Die riesige Staatsverschuldung Griechenlands, aber auch die großen Defizite in Italien und Portugal setzen den Euro unter Druck. Noch nie gab es innerhalb einer gemeinsamen Währungszone solch krasse Unterschiede. Experten beginnen, an der Konstruktion der Gemeinschaftswährung zu zweifeln.
http://www.welt.de/finanzen/article5923345/Euro-im-Abwaertssog-der-griechischen-Tragoedie.html

Vermögensverteilung
Beamte sind die heimlichen Reichen
Von Michael Kröger
Die Deutschen verfügen über ein oft vergessenes, gewaltiges Vermögen: ihre Rentenansprüche. Zur Zeit summieren die sich auf mehr als 4,6 Billionen Euro. Das Geld ist aber ungleich verteilt. Es macht vor allem Beamte zu wohlhabenden Menschen – und vergrößert auf Sicht die Schere zwischen Arm und Reich.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,672492,00.html#ref=nldt

Zwischen Naivität, Gutmenschentum und historischer Unkenntnis. Verzerrter Blickwinkel sowohl bei Käßmann als auch bei Fleischhauer ...
Käßmanns kleine Geschichtsstunde
Ein Kommentar von Jan Fleischhauer
Ihre Kritik am Afghanistan-Einsatz sorgte für Aufregung. Dabei wurde fast übersehen, daß die EKD-Vorsitzende Käßmann unlängst auch eine moralische Neubewertung des Zweiten Weltkriegs vornahm. Und die ist fast noch interessanter als ihre Analyse der Lage am Hindukusch.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,672176,00.html

Sehr lesenswerter Artikel zur Schändung des Ehrenmals der Bundeswehr durch "antideutsche" Spinner ...
Vermeintliche Friedensliebe
Von Fabian Schmidt-Ahmad
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M551d90d112f.0.html

Staatsrechtler zu Stiftungsstreit
„Gute Klagechancen für Steinbach“
Darf die Bundesregierung verhindern, daß Vertriebenen-Präsidentin Erika Steinbach in die Stiftung einzieht? Nein, findet Staatsrechtler Eckart Klein – und warnt im Interview mit SPIEGEL ONLINE vor einer gerichtlichen Auseinandersetzung.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,672352,00.html#ref=nldt

6. Montagsdemo: „Es geht um unser Land“
Unter dem Motto „Es geht um unser Land!“ ruft die Bürgerinitiative „Politik für die Mitte“ für den 18. Januar 2010 erneut zu einer friedlichen Demonstration in Potsdam gegen die gegenwärtige rot-rote Regierung auf. [Bericht von der Montagsdemo unten im Volltxt!]
http://www.pi-news.net/2010/01/6-montagsdemo-es-geht-um-unser-land/#more-112886

Karriere eines „Antideutschen“
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5577110e824.0.html

Greifswalder Namensstreit
Jetzt wird’s Ernst
Von Steffen Eggebrecht
Für manche ist er ein Regionalheiliger, für andere ein Judenhasser und Franzosenfresser: Ernst Moritz Arndt, Literat und bisher Namenspatron der Greifswalder Uni. Eine Studenteninitiative will Arndt loswerden, hat aber eine derbe Schlappe erlitten –  eine knappe Mehrheit votierte pro Arndt.
http://www.spiegel.de/unispiegel/studium/0,1518,672400,00.html#ref=nldt

In diesem Artikel soll uns wohl suggeriert werden, daß auch das Kaiserreich quasi ein „Unrechtsstaat“ war. Der zur Einordnung der damaligen Praxis notwendige Vergleich mit anderen Ländern wird leider nicht angestellt ...
Zum Henker mit ihm!
Im Kaiserreich galt ein Leben nicht viel, ohne Zögern verhängten Gerichte die Todesstrafe. Dann reisten Scharfrichter wie Lorenz Schwietz mit dem Beil an, um ihr blutiges Handwerk zu erledigen. Neu ausgewertete Akten zeigen, daß die Henker seiner Majestät weit mehr Menschen köpften als vermutet. Von Stefan Appelius
http://einestages.spiegel.de/static/topicalbumbackground/5916/zum_henker_mit_ihm.html

So sieht die Flitzpiepe aus, die obigen Artikel verfaßt hat. Auf der Seite erfährt man auch noch einiges mehr über die sonstigen Schwerpunkte seines antideutschen „Schaffens“ ...
http://www.appelius.de/vita.html

Heute ist alles besser ...
Kindesmißbrauch
Entlassener Sextäter Uwe K. erneut verhaftet
Trotz Überwachung soll der Serientäter Uwe K. rückfällig geworden und wieder Kinder mißbraucht haben. Nun sitzt der Sexualstraftäter aus Berlin in Untersuchungshaft. Der wegen Vergewaltigung Minderjähriger verurteilte Uwe K. kam aus der Sicherheitsverwahrung frei, obwohl er als „tickende Zeitbombe“ galt.
http://www.welt.de/vermischtes/article5928782/Entlassener-Sextaeter-Uwe-K-erneut-verhaftet.html

NS-Verbrechen
Justiz ermittelt gegen Ex-Bundesbeamten wegen Holocaust-Verdacht
In Deutschland könnte sich ein spektakulärer Holocaust-Prozeß anbahnen. Samuel K. soll im Vernichtungslager Belzec an der Ermordung von rund 430.000 Juden mitgewirkt haben. Später arbeitete er in einem Bundesministerium – nach SPIEGEL-Informationen prüft die Staatsanwaltschaft eine Anklage.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,672265,00.html

Local Holocaust Museums Grow Amid Worries About Future
„The Generation That Gives Money Is Moving On“ Said One Expert
http://www.forward.com/articles/121688/

Peinliche Panne
9Live zeigt Hakenkreuzworträtsel
Wie ungeschickt: Der Quizsender 9Live hat am Wochenende ein Kreuzworträtsel gezeigt, das stark an das Hakenkreuz-Symbol der Nazis erinnert. Eine Sprecherin des Senders gibt sich zwar arglos – gelobt aber dennoch Besserung.
http://www.spiegel.de/kultur/tv/0,1518,672523,00.html#ref=nldt

Hanau
Ausstellung im Puppenmuseum hinterfragt die Werte der schönen heilen Spielzeugwelt
Blondchen am Herd
http://www.op-online.de/nachrichten/hanau/blondchen-herd-592932.html

„Blöde Kuh“? Augen zu!
Von Michael Paulwitz
Letztes Jahr, da ist was Seltsames passiert: Das wirkliche Leben ist für einen Augenblick in die heile Multikulti-Welt des Berliner SPD-Chefs Michael Müller eingebrochen. Im Gespräch mit der „Berliner zeitung“ hat er’s ausgeplaudert ...
http://www.sezession.de/10863/bloede-kuh-augen-zu.html

Alle Vergewaltigungen in Oslo durch Zuwanderer
Und noch etwas begleitet Multikulti: Die Vergewaltigung einheimischer Frauen, worüber allerdings ein Mantel des Schweigens zu breiten ist. In Oslo wurde jetzt bekannt, daß im Jahre 2009 alle Vergewaltigungen durch Moslems und/oder Afrikaner verübt wurden, die Opfer aber in neun von zehn Fällen ethnische Nowegerinnen waren. Darf man das sagen oder rückt einen das in rechte Schmuddelecken?
http://www.pi-news.net/2010/01/alle-vergewaltigungen-in-oslo-durch-zuwanderer/

Revierkämpfe
Politiker und Gewerkschafter werden nicht müde, die positive Situation und das friedliche Zusammenleben rund um die Duisburger Großmoschee zu loben. So ist es kein Wunder, daß die örtliche Polizei zunächst an eine Störung des legendären Friedens durch ungläubige Rocker dachte, als sich 40 Männer mit Baseballschlägern vor einer friedlichen Begegnungsstätte von Rechtgläubigen versammelten und mit angemessener Mannstärke zum Ort des Geschehens eilte.
http://www.pi-news.net/2010/01/revierkaempfe/#more-113088

Dumm gelaufen
Schüler vor den Augen der Polizei auf Raubzug
Düsseldorf – Das war wirklich dümmer als die Polizei erlaubt: Drei Schüler (14, 15, 15) versuchten sich vor den Augen zweier Streifenwagen als Räuber.
„Wir wollten es machen wie im Fernsehen“, gaben sie am Montag vor Gericht zu. Doch wie in den Krimis wurden auch sie geschnappt.
Onur K. (heute 16), Kaan A. (15) und Ibrahim S. (16) sind für die Justiz keine unbeschriebenen Blätter. Der Jüngste von ihnen soll Klamotten geklaut und ein Handy im Schwimmbad mitgehen lassen haben. Ibrahim S. hat bereits ein Verfahren wegen Körperverletzung hinter sich.
http://www.express.de/regional/duesseldorf/schueler-vor-den-augen-der-polizei-auf-raubzug/-/2858/1158734/-/index.html#

Islamkritiker vor Gericht
Niederlande machen Politprovokateur Wilders den Prozeß
Volksverhetzer oder Freiheitskämpfer? In Amsterdam hat die Gerichtsverhandlung gegen den niederländischen Rechtspopulisten Geert Wilders begonnen. Die Anklage wirft ihm Anstachelung zum Haß gegen Muslime vor. Egal wie der Prozeß ausgeht – dem islamfeindlichen Lager nutzt er auf jeden Fall.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,672951,00.html

Auch der eine oder andere Linke wacht langsam auf ...
Kommentar von taz-Leser Dennis Hannemann:
„Meine Freundin wurde jetzt schon viermal seit wir nach Hamburg gezogen sind in der S-Bahn sexuell belästigt. Ausschließlich von türkischen evtl. auch kurdischen Jugendlichen. Man hat ihr zwischen die Beine gegriffen und sie bei zwei der vier Vorfälle als deutsche Schlampe bzw. Hure beschimpft.
Ich habe immer grün gewählt und Moslems verteidigt. Ich muß ehrlich sein. Diesen Luxus kann man sich nur leisten, wenn man mit der Wiklichkeit in den Großstädten noch nicht konfrontiert wurde. Ich hätte nie gedacht, daß ich das mal schreiben würde, aber ich wünsche Wilders alles Gute. Unsere Freiheit steht auf dem Spiel!“

PI hat die Geschichte hier aufgegriffen ...
„Ich habe immer grün gewählt“
In den Redaktionsstuben der taz wird der große Kummer ausbrechen. Da hat man nun mit soviel Mühe pädagogisch auf das Volk eingewirkt und dann reagieren die Leser einfach auf die Realität, wie der ehemalige Grünen-Wähler Dennis Hannemann zu diesem Artikel über den fiesen Geert und niedliche Gangsterrapper, die ihm mit Ermordung drohen (selbst schuld!), in dem obigen Leserbrief vom 20.01.2010 um 13:51 Uhr schreibt. Wollen wir hoffen, daß noch viele GrünInnen-Wähler seinem Beispiel folgen werden.
http://www.pi-news.net/2010/01/ich-habe-immer-gruen-gewaehlt/

„Ehrenmord“
Syrer zu 14 Jahren Haft verurteilt
http://www.focus.de/panorama/vermischtes/ehrenmord-syrer-zu-14-jahren-haft-verurteilt_aid_472090.html
http://www.pi-news.net/2010/01/14-jahre-sie-haben-sein-leben-kaputt-gemacht/

Schwarzafrikaner auf Wohnungssuche diskriminiert: Schmerzensgeld
Paar bekommt 5000 Euro zugestanden
Wir vermieten nicht an „Neger, äh, Schwarzafrikaner oder Türken“ – wegen dieser Äußerung seiner Hausmeisterin muß ein Immobilienmakler aus Aachen einem schwarzafrikanischen Paar Schadensersatz und Schmerzensgeld zahlen: 5.056 Euro.
http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/22/0,3672,8014326,00.html

Haitis Waisenkinder
„Das Risiko von Entführungen steigt“
Das Beben hat viele Kinder in Haiti zu Waisen gemacht. Ärzte und Medikamente für ihre Versorgung fehlen, dazu kommt die Gefahr von Entführungen und Mißbrauch: Im Interview mit SPIEGEL ONLINE spricht ein Experte von Terre des Hommes über die Risiken – und warnt davor, jetzt das Heil in Adoptionen zu suchen. [Recht vernünftige Position in dem Artikel, wobei das Gesagte noch nicht weit genug geht. Schließlich schaden die adoptionswütigen Gutmenschen letztlich beiden Seiten: Sie entreißen Kinder ihrer Herkunftskultur und tragen in Europa zur Zerstörung des ethnischen Profils und der Identität ihrer eigenen Völker bei, die ihnen ganz offensichtlich am Allerwertesten vorbeigehen. Auslandsadoptionen aus ethnisch-kulturell fernen Regionen gehören deshalb am besten komplett verboten. Wer notleidenden Menschen helfen will, sollte sie vor Ort unterstützen.]
http://www.spiegel.de/panorama/0,1518,672800,00.html#ref=nldt

Kinder unter Erfolgsdruck
Very Important Babys
Von Klaus Werle
Chinesisch für Babys, Managerkurse für Kleinkinder, Yoga in der Krippe: Wenn Erziehungsunsicherheit von Eltern in Panik umschlägt, droht dem Nachwuchs eine Lern-Orgie. Dabei ist es fatal, daß simple Förderung zur Konkurrenz um Zukunftschancen eskaliert – von der vor allem Bildungskonzerne profitieren.
http://www.spiegel.de/unispiegel/jobundberuf/0,1518,672174,00.html#ref=nldt

Reportage-Fotografie
„Armut beherrscht nicht den Alltag“
Der norwegische Magnum-Fotograf Jonas Bendiksen wohnte für sein Projekt „Die Slums des 21. Jahrhunderts“ selbst wochenlang in Elendsvierteln und erkannte: Wie wir in Oslo oder Berlin leben, ist die Ausnahme.
http://www.zeit.de/kultur/kunst/2010-01/jonas-bendiksen-slums?page=1

Da käme einiges auf uns zu ...
Erdbeben-Gefahr in Istanbul
Nach dem Jahrhundert-Beben von Haiti warnt das Geoforschungszentrum Potsdam vor einem ebenfalls schweren Erdbeben in der türkischen Metropole Istanbul (ca. 13 Mio. Einwohner).
http://www.bild.de/BILD/news/2010/01/19/istanbul/erdbeben-gefahr.html

Musik: Triarii
http://www.myspace.com/triariiheadquarters

Musik: Puissance
http://www.myspace.com/puissanceneoklassik

Musik: Arditi
http://www.myspace.com/arditisweden

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Bericht von den Montagsdemos der Gegenwart in Potsdam:

NIE WIEDER SOZIALISMUS!
6. Montags-Demonstration in Potsdam gegen Stasi-Schergen in der Landesregierung

Am 18. Januar 2010 demonstrierten etwa 150 Bürger zum 6. Mal in der Innenstadt von Potsdam gegen die BLUTROT-ROTE Landesregierung unter Beteiligung von Stasi-Funktionären und Spitzeln. Die Vorsitzende der GRÜNEN, Frau von Halem, hielt eine gute Ansprache, setzte allerdings eine Reue bei den LINKEN Denunzianmten voraus, die überhaupt nicht vorhanden ist. Die Bürgerrechtlerin Vera Lengsfeld, in der DDR-Diktatur selbst von ihrem Mann für die Stasi bespitzelt, spielte ein beeindruckendes Lied vor: „Wo sind die Milliarden hin ..." Die ehemalige GRÜNE und CDU-Bundestagsabgeordnete machte darauf aufmerksam, daß die SED-Verbrecher 45 Milliarden Mark beiseite geschafft haben und nur ein geringer Teil dieses den Bürgern der DDR vorenthaltene Staatsvermögen bisher wieder aufgetaucht ist. Der aktuelle Landtag Brandenburg besteht aus 10% Stasi-Leuten, die DDR hatte dagegen nur 1%. Die Fraktion der SED/PDS/LINKE besteht derzeit zu 25% aus Denunzianten und Verrätern aus den Reihen des MfS und seiner Zuträger (IM).
Ministerpräsident Platzeck (SPD) scheint wie weiland Otto Grotewohl (SPD) das Zusammengehen mit den Kommunisten opportun. Der Ruf wurde laut: „Wer hat uns verraten – Sozialdemokraten!“ Ein Repräsentant der Opfer des Stalinismus, der das Lager Sachsenhausen und das NKWD-Gefängnis in der Potsdamer Leistikowstraße erlitt, richtete mahnende Worte an die Potsdamer, eine Diktatur der Proleten nicht wieder zuzulassen.
„Stasi raus aus dem Landtag!“ Die Unverfrorenheit der Täter gegenüber den Opfern kennt scheinbar keine Grenze, schon wieder wollen sie über Brandenburg regieren. Stasi-IM Stolpe als ehemaliger Ministerpräsident hat ihnen in seiner „Kleinen DDR“ den Weg geebnet.
Mit den Sprechchören „Stazis Raus!“, „Platzeck = Grotewohl!“ und „Schließt Euch an!“ ging man vom Nauener Tor über die Friedrich-Ebert-Straße zum Platz der Einheit, der seinen Namen wie die Glienicker „Brücke der Einheit“ seit dem ersten Zusammengehen von KPD
und SPD im Jahr 1946 unter Pieck und Grotewohl trägt. Ein CDU-Antrag in der Stadtverordnetenversammlung, den Platz im Zentrum der Landeshauptstadt (der bis 1946 „Wilhelmsplatz“ hieß) in „Platz der DEUTSCHEN Einheit“ umzubenennen, um damit die deutsche Teilwiedervereinigung von BRD und DDR 1989/90 zu würdigen, wurde als „deutschtümelnd“ kritisiert. Peinlich für die „CD“U, daß sie diesen Antrag hierauf zurückgezogen hat. Einknicken und Nachgeben ist nicht mehr gefragt. Der Schoß ist fruchtbar noch. NIE WIEDER SOZIALISMUS!
Weder ein nationaler noch ein internationaler oder ein aktuell herrschender anti-nationaler Sozialismus ist erstrebenswert!
Ein Feigling warf eine Wasserbombe. Ein „Gesicht zeigen!“ erschall ihm entgegen. Zwei DDR-Apologeten am Straßenrand bauten sich auf und schrien, daß sie in der DDR hätten studieren dürfen. Als Protagonisten, Privilegierte, charakterarme Mitläufer und als Duckmäuser eckt man natürlich in keiner Diktatur an.
Vor der katholischen Kirche St. Peter und Paul legte man eine Gedenkminute für die Opfer des Sozialismus ein und hielt unter theologischem Beistand eine Andacht.
Am nächsten Montag (25.1.2010) trifft man sich zum Protest gegen die Stasi-Seilschaften in Brandenburg wieder am Nauener Tor!
Es lebe die Freiheit!

Peter Hild


jeudi, 21 janvier 2010

Presseschau 04/januar 2010

Kertesz-Newspapers.jpgPRESSESCHAU

04/Januar 2010

Einige Links. Bei Interesse anklicken...

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Der elementare Zusammenhang von Demokratie und Nation beruht auf der Annahme, daß der demos eine identifizierbare Größe ist – die Nation –, deren Willensäußerung ihre Einheit voraussetzt, die am ehesten durch ihre Homogenität verbürgt erscheint. Die Tatsache, daß die europäischen Nationen nicht nur als fiktive Abstammungsgemeinschaften zu betrachten sind, sondern tatsächlich auf gemeinsamer ethnischer Herkunft beruhen und über sehr lange Zeiträume Heiratsgemeinschaften bildeten, hat diesem Aspekt und dem daraus resultierenden Zusammengehörigkeitsgefühl außerordentliche Stabilität verliehen.
Umgekehrt führte die Masseneinwanderung zu einem Verlust an Homogenität, der nicht ein Mehr an individueller Freiheit zur Konsequenz hatte – wie von Befürwortern des „Multikulturalismus“ behauptet –, sondern einen Substanzabbau, der die Existenz der europäischen Nationen ebenso wie die der Demokratie in Frage stellt.

(Staatspolitisches Handbuch, hrsg. v. Erik Lehnert und Karlheinz Weißmann, Band 1: Leitbegriffe, verfaßt von Karlheinz Weißmann, Schnellroda 2009, S. 81)

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Neuer Waffentest
China fordert mit Raketenabwehr die Welt heraus
Von Markus Becker
China geht militärtechnisch in die Offensive: Erstmals hat Peking offiziell verkündet, ein System zur Abwehr ballistischer Raketen zu entwickeln. Der erste Test soll erfolgreich gewesen sein. Experten deuten den radikalen Kurswechsel als ein Signal an die Rivalen USA, Rußland und Indien.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,671456,00.html

Und Westerwelle argumentiert auch noch mit dem „nationalen Interesse“ Deutschlands ...
EU-Beitritt
CDU folgt Westerwelles Werben um die Türkei
Von T. Jungholt und M. Lau
Außenminister Westerwelle (FDP) begrüßt einen EU-Beitritt der Türkei. Bisher war die CDU strikt dagegen und konnte sich allenfalls eine privilegierte Partnerschaft vorstellen. Das hat sich seit Westerwelles Auftritt in Ankara geändert. Nun ist von „ergebnisoffenen Verhandlungen mit dem Ziel des Beitritts“ die Rede.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5781270/CDU-folgt-Westerwelles-Werben-um-die-Tuerkei.html#vote_5762216
http://www.pi-news.net/2010/01/cdu-folgt-westerwelles-tuerkei-schmusekurs/#more-110725

PI verweist in dem Zusammenhang auf eine ältere Wortmeldung ...
Giscard: Türkei-Aufnahme wäre Ende der EU
Der frühere französische Präsident Giscard D’Estaing hat vor einer EU-Aufnahme der Türkei gewarnt. Gegenüber „Le Monde“ sagte er, eine Mitgliedschaft würde „das Ende der Europäischen Union“ bedeuten. Die Türkei sei kein europäisches Land. „Ihre Hauptstadt liegt nicht in Europa. 95 Prozent ihrer Bevölkerung leben außerhalb Europas“, so Giscard. Diejenigen, die einen Türkei-Beitritt befürworteten, seien „Gegner der EU“.
http://www.pi-news.net/2010/01/giscard-tuerkei-aufnahme-waere-ende-der-eu/

Afghanistan
Zahl toter Zivilisten stieg 2009 auf Höchststand
Der Anti-Terror-Krieg in Afghanistan hat im Jahr 2009 mehr zivile Opfer gefordert als je zuvor. Nach UN-Angaben starben deutlich mehr Zivilisten durch Angriffe der Taliban und anderer Aufständischer als durch Militäroperationen. Auch für die internationalen Truppen war 2009 ein besonders tödliches Jahr.
http://www.welt.de/politik/ausland/article5828405/Zahl-toter-Zivilisten-stieg-2009-auf-Hoechststand.html

Video: Rund um Kunduz
Der Winter für die deutschen Soldaten in Afghanistan verläuft meist ohne größere Zwischenfälle. Das war zumindest in den vergangenen Jahren so – doch dieser Winter ist ganz anders. Im Raum Kunduz konzentrieren sich die Angriffe der Aufständischen. Bwtv-Reporter Michael Kalz war mit Soldaten im Raum Kunduz unterwegs.
http://www.bundeswehr.de/portal/a/bwde/kcxml/04_Sj9SPykssy0xPLMnMz0vM0Y_QjzKLd443CvP1AMmB2MaBAfqREEYgXCwgBCIGVujrkZ-bqh-UkqrvrR-gX5AbGlHu6KgIACK2i4A!/delta/base64xml/L2dJQSEvUUt3QS80SVVFLzZfQ18yVk1I?yw_contentURL=%2FC1256EF4002AED30%2FW27ZHEUS700INFODE%2Fcontent.jsp#par4

Dubai: Engländerin vergewaltigt und verhaftet
Eine 23jährige Engländerin aus London hatte sich gerade frisch verlobt und begoß das Ereignis mit ihrem Freund (44) mit ein paar Drinks im „Dubai Marine Hotel“. Auf der Toilette wurde die Britin von einem Kellner angefallen und vergewaltigt. Als die junge Frau den Kellner daraufhin anzeigte, wurde jedoch nicht der Täter, sondern sie selbst verhaftet, weil sie sich mit dem Freund das Hotelzimmer teilte, ohne mit ihm verheiratet zu sein und zu allem Übel auch noch Alkohol getrunken hatte.
http://www.pi-news.net/2010/01/dubai-englaenderin-vergewaltigt-und-verhaftet/#more-110877

Botschafter einbestellt
Israel rächt sich für hetzerische TV-Serie
Von Michael Borgstede
Seit einiger Zeit versuchen Israels Handels- und Verteidigungsminister, die angeschlagenen Beziehungen zur Türkei wieder zu verbessern. Eine andere Straegie verfolgt Außenminister Avigdor Lieberman. Er bestellte den türkischen Botschafter ein – und ließ diesen nach Strich und Faden demütigen.
http://www.welt.de/politik/ausland/article5823458/Israel-raecht-sich-fuer-hetzerische-TV-Serie.html

Diplomatische Verstimmung
Türkischer Präsident stellt Israel ein Ultimatum
Die Spannungen zwischen Israel und der Türkei drohen zu eskalieren. Nachdem Vize-Außenminister Ajalon den türkischen Botschafter öffentlich gedemütigt hat, fordert Präsident Abdullah Gül eine Entschuldigung. Sonst will er die diplomatischen Beziehungen abbrechen. Ajalons bisherige Stellungsnahme sei unzureichend.
http://www.welt.de/politik/ausland/article5834107/Tuerkischer-Praesident-stellt-Israel-ein-Ultimatum.html

Da sieht man mal, wie man mit den Türken richtig umgeht ...
Streit beendet
Türkei akzeptiert israelische Entschuldigung
Der jüngste Streit zwischen der Türkei und Israel ist beendet. Die Regierung in Ankara akzeptierte eine Entschuldigung von israelischer Seite. Sie hatte sich zuvor heftig über die Behandlung ihres Botschafters in Tel Aviv empört. Der hatte unter anderem auf einem besonders niedrigen Stuhl Platz nehmen müssen.
http://www.welt.de/politik/ausland/article5843411/Tuerkei-akzeptiert-israelische-Entschuldigung.html

Israels Staatsfeind Nr. 1 erneut in Haft
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5857577da53.0.html

Attacke auf Google
Wie Hacker mit verseuchten PDFs spionieren
Von Frank Patalong
Google beschwert sich über Hacker-Angriffe aus China – und schweigt zu den Details. Experten zufolge liegt der Verdacht nahe, daß die Attacken mit Hilfe infizierter PDF-Dateien geführt wurden: Einmal geöffnet, laden sie Schad- und Schnüffelprogramme herunter. SPIEGEL ONLINE geht auf Spurensuche.
http://www.spiegel.de/netzwelt/netzpolitik/0,1518,671639,00.html

Neue Nationalstolz-Debatte
Kritik an Mohring-Interview
Ein Interview von CDU-Fraktionschef Mike Mohring in der rechtskonservativen Wochenzeitung „Junge Freiheit“ sorgt in Thüringen für Zwist. Mohring hatte in dem Blatt für mehr Nationalstolz plädiert. Die Integration der immer heterogeneren Gesellschaft werde besser gelingen, „wenn wir dem Stolz auf unser Land mehr Raum geben. Es muß erstrebenswert sein, dazuzugehören.“ Er sehe darin einen Weg, um die Bildung von Parallelgesellschaften zu verhindern. Dazu müsse auch über den Begriff Nation neu nachgedacht werden.
http://www.mdr.de/thueringen/7010581.html

Parteien
CDU-Politiker Mohring fordert mehr Nationalstolz
Solche Aussagen hat man in der CDU lange nicht mehr gehört. Nach Ansicht des CDU-Fraktionschefs in Thüringen, Mike Mohring, sollen die Deutschen dem Stolz auf ihr Land „mehr Raum geben“. Das diene der Integration und verhindere Parallelgesellschaften. Mit Angela Merkel hat er diese Position sicher nicht abgestimmt.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5848391/CDU-Politiker-Mohring-fordert-mehr-Nationalstolz.html

Empörung in Thüringen
CDU-Politiker verheddert sich in Nationalstolz-Debatte
Thüringens CDU-Fraktionschef Mohring wirbt für ein Nachdenken über „unsere Nation“ – ausgerechnet in der rechtslastigen Zeitung „Junge Freiheit“. Opposition und Koalitionspartner SPD sind entsetzt. Die Ministerpräsidentin müsse Mohring „zurückpfeifen“.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,672039,00.html

Partei der Prinzipienlosigkeit und des Opportunismus ...
Modernisierungskurs
Merkel brüskiert den konservativen Wählerstamm
Von Robin Alexander
Die CDU setzt mit ihrer „Berliner Erklärung“ auf einen Modernisierungskurs. Künftig soll die Partei nicht mehr konservativ und katholisch sein, sondern als soziale, multikulturelle CDU neue Stimmen anlocken. Von enttäuschten Stammwählern ist gar nicht erst die Rede.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5848494/Merkel-brueskiert-den-konservativen-Waehlerstamm.html

Unicef-Studie
Die Angst der jungen Deutschen vor ihrer Zukunft
Von Simone Meyer
In keinem anderen Industrieland sind junge Menschen so pessimistisch wie in Deutschland, heißt es in einer Unicef-Studie. Möglicherweise wird diese Haltung als Teil der gesellschaftlichen Kultur vermittelt. In Deutschland dominiere die Gefahr des Scheiterns das Denken. Dabei ist das Lebensumfeld beispielhaft gut.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5847607/Die-Angst-der-jungen-Deutschen-vor-ihrer-Zukunft.html

2010 wird …
Eine Umfrage bei Gegengift-Autoren
Was werden uns die nächsten 365 Tage bringen? Werden die Pessimisten recht behalten? Werden sich die Dinge zum Schlechteren hin entwickeln, aber was bedeutet das Schlechtere in diesen bewegten Zeiten konkret? Oder werden am Ende die Optimisten gewonnen haben, die meinen, sehr viel schlechter könne es ohnehin nicht mehr werden, also müsse es zwangsläufig bergauf gehen? Und wie sieht es mit den Realisten aus? Zukunftsprognosen haben so ihre Tücken und vielleicht sagen sie mehr über die Grundhaltung des Schreibenden aus als so manche Kommentare, die für das hier & jetzt verfaßt wurden. Auf jeden Fall sind die phantasievollen Ausflüge ins neue Jahr immer wieder kurzweilig zu lesen.
http://cms.gegengift-verlag.de/index.php?option=com_content&task=view&id=557&Itemid=26

Überblick – Die Wahlen 2010
http://gesamtrechts.wordpress.com/2010/01/02/wahlen-2010/

„MadMax“-Nationalismus und das Leiden der deutschen Rechten
http://gesamtrechts.wordpress.com/2010/01/08/mad-max-nationalismus-endzeitdystopien-statt-harter-politischer-arbeit/

Tücken der Technik
Warum bei Schnee und Eis die Bahnen versagen
Von Nikolaus Doll
Es gab eine Zeit, da galten die Züge der Deutschen Bahn als wetterfest. „Alle reden vom Wetter. Wir nicht“, so warb die Bahn. Heute stört nicht allein Schnee-Chaos wie im Sturmtief Daisy den Schienenverkehr. Moderne Bahnen sind zu empfindlich. Das gilt nicht nur für die staatliche DB und ihre ICE-Züge.
http://www.welt.de/wirtschaft/article5790215/Warum-bei-Schnee-und-Eis-die-Bahnen-versagen.html

Kriegsgegner feiern, wenn deutsche Soldaten fallen
Von Christin Ilgner
Auf ihrer Internetseite fordern Bundeswehr-Gegner dazu auf, am Ehrenmal in Berlin ein Saufgelage zu veranstalten, sobald ein deutscher Soldat in Afghanistan ums Leben kommt. Die Staatsanwaltschaft soll nun klären, ob es sich bei diesem offenen Brief im Netz um Volksverhetzung handelt.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5851146/Kriegsgegner-feiern-wenn-deutsche-Soldaten-fallen.html

FAZ nimmt auf Konservative Aktion Stuttgart Bezug ...
„Zentrum gegen Vertreibungen“
Westerwelles Welt
Von Berthold Kohler
11. Januar 2010 Den Ehrentitel „polnischer Außenminister“ hört Guido Westerwelle immer noch nicht gerne. Die Anhänger Erika Steinbachs, die ihn auf dem Dreikönigstreffen der FDP entsprechend begrüßten, rückte er an den „rechten Rand“. Dieses Urteil kommt in Deutschland der politischen Höchststrafe nahe. Dabei hätte der gestrenge Richter, wenn er sich schon nicht für befangen erklären wollte, mindestens mildernde Umstände anerkennen müssen. Kein zweites Regierungsmitglied hat so gebetsmühlenhaft betont, wie sehr ihm die deutsch-polnischen Beziehungen am Herzen liegen. Und kein zweiter deutscher Minister machte sich in diesem Streit die polnischen Positionen, auch nur vermutete, so nahtlos zu eigen wie Westerwelle.
http://www.faz.net/s/Rub7FC5BF30C45B402F96E964EF8CE790E1/Doc~EE184CCF438634CDDA5BF46B9979EB96D~ATpl~Ecommon~Scontent.html
http://www.blauenarzisse.de/blog/213/ist-das-keine.html

Zentrum gegen Vertreibungen
Die Deutschen haben sich vom Osten abgewandt
Von Thomas Schmid
Es steckt eine eigentümliche Kälte in der Haltung der Gesellschaft zur Vertreibung. Warum ist der Schmerz, den viele Deutsche empfinden, der Mehrheit offensichtlich lästig? Warum ahnt sie nichts von seiner nagenden Kraft? Sicher hat es mit der Ostabwendung zu tun, die die Geschichte der Bundesrepublik begleitete.
[An sich ein lesens- und bedenkenswerter Text. Nur sobald er auf das Thema Holocaust kommt, dreht WELT-Chefredakteur Thomas Schmid wie gewohnt vollkommen ab und redet einer vermeintlichen Kollektivschuld der Deutschen das Wort.]
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5789379/Die-Deutschen-haben-sich-vom-Osten-abgewandt.html

Mal wieder Broder...
Steinbach-Debatte
Finca statt Feldzug
Die Vertriebenen werden auf ihren Opferstatus nicht verzichten, und die Politik möchte sie einbinden, um peinliche Alleingänge zu verhindern. Dabei sind die Deutschen längst weiter: Sie träumen vom Häuschen im Süden, nicht von der Herrschaft über Pommern. Ein Kommentar von Henryk M. Broder
http://www.spiegel.de/kultur/gesellschaft/0,1518,670786,00.html#ref=nldt

Es war eine Entscheidung für Deutschland, Herr Kellerhoff ...
Drittes Reich
Das Saarland war der größte Wahlerfolg der NSDAP
Von Sven Felix Kellerhoff
Vor 75 Jahren entschieden sich 90 Prozent der Saarländer für die Rückkehr ins Deutsche Reich. Es war der deutlichste Sieg, den die Nazis bei einer freien Wahl erlangten. Der Abstimmung war eine heftige Propagandakampagne vorangegangen. Das Ergebnis wurde zur Wegmarke für die Außenpolitik des Dritten Reiches.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5830109/Das-Saarland-war-der-groesste-Wahlerfolg-der-NSDAP.html

Zufälliges Fundstück VB
Ein Beispiel für viele und dafür, wie extrem die Gehirnwäsche an deutschen Schulen mittlerweile geworden ist. Man betrachte einmal das einseitige Ausflugsprogramm der Gymnasiasten, inkl. Kunstunterricht und Vorträge – Yad Vashem, Buchenwald, Auschwitz, Lidice ...
Jahresprogramm 2008 des Maximilian Kolbe-Gymnasiums in Köln-Porz
http://www.mkg-koeln.de/
http://www.mkg-koeln.de/sources/archiv/2008/archiv.htm

Kabarettist verharmlost Gewalt von links ...
Hagen Rether zu rechter und linker Gewalt
http://www.youtube.com/watch?v=c-ZaFtqvuLA&feature=player_embedded

Bülent Ciftlik, bekannt geworden als „Obama von Altona“ ...
Hamburger SPD
Olafs schwieriger Junge
Von Gunther Latsch
Die Anklage gegen einen SPD-Bürgerschaftsabgeordneten bringt die Partei in Not. Der Verdächtige ist ein politischer Ziehsohn von Landeschef Olaf Scholz.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,670933,00.html#ref=nldt

Xenophobie als Gesundheitsprophylaxe
Von Ellen Kositza
http://www.sezession.de/10676/xenophobie-als-gesundheitsprophylaxe.html#more-10676

NPD-Strategiepapier zur Islamisierung veröffentlicht
http://npd.de/html/714/artikel/detail/1092

2000 Euro Belohnung
Für Hinweise, die zur Ergreifung einer fünfköpfigen Migrantenbande führen, die am Weihnachtsmorgen einen jungen Deutschen zusammenschlugen, ist jetzt von dessen Vater eine Belohnung ausgelobt worden, die von dessen Arbeitgeber auf 2000 Euro aufgestockt wurde.
http://www.pi-news.net/2010/01/2000-euro-belohnung/#more-111248

Messerattacke gegen Stadtkewitz-Neffe
Seit Jahren berichten wir über die zunehmende Gewalt und Brutalität in allen Ballungsgebieten. Die Täter sind meist Türken oder Araber oder deren Nachkommen, die hier Aufenthaltsrecht genießen, den Freiheitsbegriff jedoch anders verstehen. Immer wieder kommt es zu brutalen Überfällen, mit erheblichen Verletzungen. Nun hat es den Sohn der Schwester des Berliner Abgeordneten René Stadtkewitz getroffen (Foto).
http://www.pi-news.net/2010/01/berlin-messerattacke-gegen-stadtkewitz-neffe/

Blutige Krawalle in Italien
Kalabresen und illegale Einwanderer gehen aufeinander los
http://www.welt.de/die-welt/politik/article5792733/Blutige-Krawalle-in-Italien.html

Wien: Schüsse auf 27jährigen Polzeibeamten
Im Rahmen einer Verkehrskontrolle nach einem Bagatelldelikt wurde auf einen 27jährigen Polizeibeamten in Wien mehrfach geschossen. Der Familienvater wurde im Oberkörper sowie Oberschenkel getroffen und schwer verletzt. Als Tatverdächtigen hat die Polizei den 33jährigen Serben Mihailo Vasic ermittelt [mehr zu seinem ethnischen Hintergrund siehe Foto!]. Auf den abgelehnten sowie bereits abgeschobenen Asylbewerber, der schon wegen Betrugs, Einbruchs und Körperverletzung vor Gericht stand, ist eine Belohnung von 10.000 Euro ausgesetzt.
http://www.pi-news.net/2010/01/wien-schuesse-auf-27-jaehrigen-polizeibeamten/

Die Quoten-Omma...
Integrationsbeauftragte Böhmer
Öffentlicher Dienst soll Migrantenquote bekommen
Jeder fünfte Mensch in Deutschland hat nach Angaben der Integrationsbeauftragten der Bundesregierung einen Migrationshintergrund. Dies sollte sich im öffentlichen Dienst widerspiegeln, meint Maria Böhmer. 20 Prozent der Beschäftigten sollten künftig aus Zuwandererfamilien kommen – vor allem Lehrer und Erzieher.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5841868/Oeffentlicher-Dienst-soll-Migrantenquote-bekommen.html

Mut zur Differenz
Von Karlheinz Weißmann
Ein Tabu hat die soziale Funktion, einen bestimmten – zentralen – Sachverhalt vor den Augen der Vielen zu verbergen, indem man die Berührung oder Nennung des Tabuierten verbietet. Das zentrale Tabu der deutschen Bildungspolitik ist der Begriff „Auslese“. Er darf nicht benutzt werden – oder bloß im negativen Sinn, wenn er hinreichend stark mit Darwinismus oder der Rampe von Auschwitz zu assoziieren ist. Ansonsten gilt das für Tabus übliche Erwähnungsverbot.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M56d73e96a37.0.html

Schulreform
Aktionsbündnis gegen zweigliedriges Schulsystem
Kaum hat die Schulreform den Bildungsausschuss des Abgeordnetenhauses passiert, schon formiert sich eine neue Widerstandsgruppe. Die neue Bürgerbewegung richtet sich gegen ein Schulsystem, in dem es künftig nur noch Gymnasien und Sekundarschulen geben wird. Es will die Realschulen erhalten.
http://www.welt.de/berlin/article5782229/Aktionsbuendnis-gegen-zweigliedriges-Schulsystem.html

Aktionsbündnis gegliedertes Schulwesen Berlin/Brandenburg
http://www.gegliedertes-schulwesen-berlin-brandenburg.de/GSwBB/Willkommen.html

Mythos und Faszination
Warum wird die Preußenkönigin Luise so verehrt?
Von Eckhard Fuhr
Sie starb, sehr jung noch, vor 200 Jahren. An ihrem Totenbett knieten zwei Knaben, zwei künftige Könige. In diesem Jahr wird die Preußenkönigin Luise vielfältig geehrt – und Besuchermassen anziehen. Was macht die Faszination dieser Frau aus, die als „Königin der Herzen“ galt und gilt?
http://www.welt.de/kultur/article5783419/Warum-wird-die-Preussenkoenigin-Luise-so-verehrt.html

Der Feminismus frißt seine Schwestern
Von Sophie Dannenberg
Was will das Weib? lautet die berühmte Frage von Sigmund Freud, auf die er nie eine Antwort gab. Man darf annehmen, daß es ihm nicht um die Antwort ging, sondern um sein Frauenbild. Denn allein die Frage entwirft das Bild eines unberechenbaren, faszinierenden Wesens, an dem man ein Leben lang rätselt, und das so anders ist, daß kein Mann es durchschaut – aber dafür um so mehr begehrt.
http://www.dradio.de/dkultur/sendungen/politischesfeuilleton/608550/

Psychologie
Wenn sich der Schrecken im Erbgut festsetzt
Von Silvia von der Weiden
Körperliche Züchtigungen, Mißbrauch oder emotionale Vernachlässigung: Traumatische Erlebnisse in früher Kindheit können die Gene auf Dauer verändern, behaupten deutsche Forscher. Depressionen seien dann vorprogrammiert. Die Erkenntnisse bringen die Lehrmeinung der Biologie ins Wanken.
http://www.welt.de/wissenschaft/article5835490/Wenn-sich-der-Schrecken-im-Erbgut-festsetzt.html

Protest auf der Grünen Woche
Kartoffel-Angriff im Dirndl auf Ministerin Aigner
Von Claudia Ehrenstein
Eigentlich sollten nur Journalisten anwesend sein, als Ilse Aigner einen ersten Rundgang auf der Grünen Woche begann. Doch zwei Aktivistinnen von Greenpeace hatten sich eingeschmuggelt. Als Protest gegen genmanipulierte Pflanzen kippten sie vor der Landwirtschaftsministerin einen Korb voller Kartoffeln aus. [Vielleicht könnte man ja bei passender Gelegenheit analog dazu etwa Herrn Kolat und Frau Böhmer mit stinkenden Dönern bewerfen ...]
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5846468/Kartoffel-Angriff-im-Dirndl-auf-Ministerin-Aigner.html

Thema: Vegetarismus
Ethik in der Ernährung
Nicht Fisch! Nicht Fleisch!
http://www.sueddeutsche.de/leben/264/499540/text/

SZ-Autor Georg Diez interpretiert Spam-Mails als Gegenwartsroman
http://jetzt.sueddeutsche.de/texte/anzeigen/494500

Afrika-Cup:
Togo trauert, Südafrika teilt aus
http://www.stern.de/sport/fussball/afrika-cup-togo-trauert-suedafrika-teilt-aus-1534695.html

Angola
Zwei Festnahmen nach Anschlag auf Togos Nationalteam
http://www.focus.de/politik/ausland/angola-zwei-festnahmen-nach-anschlag-auf-togos-nationalteam_aid_469708.html

FÜHRERscheinkontrolle: Nicht so viel GAS geben
Ein Fundstück von Youtube. Seit 1945 ist es ziemlich schwierig, sich auf deutsch zu verständigen.
Von Felix Menzel
http://www.blauenarzisse.de/blog/218/fuehrerscheinkontrolle-nicht-so-viel-gas-geben.html

Amateur-Kabarettist spielt Merkel-Karikatur ...
Buchheimer Merkel-Satire mit Neujahrsansprache 2010
http://www.youtube.com/watch?v=hke0uqV8WlA

mercredi, 20 janvier 2010

Haiti: ?Asistencia o invasion?

Haití: ¿Asistencia o invasión?

Imagen de Haití: ¿Asistencia o invasión?

A medida que pasan los días Haití necesita con mayor urgencia comida, agua potable, bomberos, medicamentos, médicos, carpas y tiendas de campaña. Sin embargo, Washington no sólo priorizó el envío de 10 mil soldados, sino que además monopoliza la distribución de la ayuda. Brasil y Francia son sólo dos de los países más disgustados con la actitud estadounidense. Las potencias mueven sus fichas en vistas a las millonarias sumas en juego para reconstruir al país. Mientras tanto, el hambre y la sed desesperan y bajo los escombros todavía hay gente con vida.

Varios aviones cargados con equipos médicos no han podido aterrizar en el aeropuerto de Puerto Príncipe, ya que de facto la prioridad la tienen las naves norteamericanas.

Las quejas formales por parte de Francia, la Unión Europea y Brasil ya han sido presentadas en Washington, que alega la falta de coordinación, la violencia armada y que aun se debe restablecer el orden para poder continuar con la ayuda humanitaria.

RESURGIMIENTO ARMADO
La consecuencia esperable del hambre, la muerte y la desesperación luego de casi una semana son los saqueos de comercios y casas. La gente armada roba lo que puede, para luego venderlo o canjearlo por comida. La policía local trabaja a la par de los policías extranjeros que habían sido enviados por la ONU para detener el caos y que la violencia no agrave la trágica situación.

Además, la fuga de unos 3.000 presos de la cárcel más importante del país contribuye al resurgimiento de guerrillas, debido a que gran parte de los cautivos pertenecían a grupos armados que defendían el regreso del derrocado presidente Jean-Bertrand Aristide, que se encuentra exiliado en Sudáfrica.

Varios fugitivos ingresaron a las ruinas del edificio del Ministerio del Interior el fin de semana y quemaron los archivos que los incriminan en acciones delictivas.

Cité Soleil, un populoso barrio marginal de Puerto Príncipe, fue siempre el punto de apoyo más fuerte de Aristide. Desde allí se organizaban las bandas armadas que combatían a las guerrillas entrenadas por Estados Unidos y Francia luego del golpe de 2004. Con la ayuda de la ONU, el presidente René Preval logró reducirlas.

Sin embargo, al reinar la anarquía actual, varios cronistas aseguran que las mafias se han vuelto a adueñar de Cité Soleil, con el objetivo de imponer su ley y lanzar ataques en todo Puerto Príncipe.

OCUPACIÓN Y PRESIÓN ECONÓMICA
Ante la toma de la capital por parte de fuerzas norteamericanas, el presidente francés Nicolás Sarkozy se quejó de que el aeropuerto de Puerto Príncipe se haya convertido en un “anexo de Estados Unidos”. Asimismo, Brasil, que lidera el contingente de la ONU con 1.700 soldados, anunció que no va a ceder su mandato a ningún otro país.

La toma del aeropuerto y la excesiva cantidad de armas y de soldados enviados por Washington no hace otra cosa que demostrar que existe una carrera por imponer las condiciones de la reconstrucción frente a las potencias competidoras. El negocio del resurgimiento implica que los Estados donan o prestan dinero a Haití para que comience a reconstruir su economía, pero para hacerlo son imprescindibles las inversiones externas.

La antigua metrópoli, Francia, teme perder el protagonismo de la reconstrucción, mientras que Brasil, que mantenía un prestigio mundial por encabezar la misión de la ONU en Haití, también se ve desplazado. De esta manera, los inversores privados norteamericanos pueden cosechar a mediano y largo plazo los frutos de las donaciones de los distintos países y organizaciones.

Existe el temor de que se repita la experiencia de Afganistán. Las tropas estadounidenses y europeas desplegadas en el país asiático desde 2001, se centraron solamente en combatir a los talibanes y casi no han contribuido a la reconstrucción del país.

Un artículo del diario británico The Nation anuncia el préstamo de 100 millones de dólares por parte del FMI a Haití. A cambio, el organismo de crédito solicita congelar los salarios, mantener baja la inflación e incrementar las tarifas de electricidad, que es provista por compañías privadas extranjeras. Este no es tiempo de hablar de créditos, sino de donaciones.

La periodista canadiense Naomi Klein denunció que varias organizaciones no gubernamentales (ONG) o think tanks situados en Estados Unidos, ya han empezado a actuar en Haití, asesorando al presidente Obama y a la comisión de ayuda que encabezan los ex presidentes Bush y Clinton.

Klein menciona como implicada a la ONG Heritage Foundation, que tuvo un papel preponderante en la reconstrucción de Nueva Orleans mediante recetas neoliberales tras el paso del huracán Katrina en 2005 y que fue consultado por varios presidentes norteamericanos.

LA CUMBRE
La reunión convocada por el presidente de la República Dominicana, Leonel Fernández, es el preludio a la cumbre mundial por Haití que se celebrará el 25 de enero en Montreal, Canadá.

Fernández anunció que Haití necesitará unos 10 mil millones de dólares para su reconstrucción. Pero, el presidente haitiano, que se encontraba presente en la reunión manifestó que no alcanza con el dinero, sino que además hay que fortalecer las instituciones y la democracia.

El Club de París anunció que condonará la deuda contraída por Haití y creará un fondo que se iría engrosando con el pago de la deuda a este organismo por parte de los países latinoamericanos hasta alcanzar la cifra mencionada por el presidente dominicano. Por lo tanto, las potencias acreedoras, que fueron los principales responsables de la miseria haitiana, evitan donar directamente parte del dinero, ya que éste va a provenir de los países del continente.

Ya se empieza a vislumbrar que la reconstrucción final de Haití no va a depender de los rescatistas, ni de las ayudas materiales provenientes de todo el mundo, sino de las condiciones impuestas por los organismos de crédito y por la numerosa presencia militar estadounidense.

Maximiliano Sbarbi Osuna

Observadorglobal.com

mardi, 19 janvier 2010

Does Immigration Limitation Require a Police State?

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Does Immigration Limitation Require a Police State?

Says one of my critics:

“…my problem with Keith Preston’s approach is not that he suggests identifying and allying with criminalized, marginalized, or lumpen people. My problem is, first, that he has what I consider a disastrously selective view of whose criminalization and marginalization counts as legitimate libertarian concern (=). And, secondly, that he has the wrong idea about what the process of building such an alliance, and the terms on which allies might ally themselves with each other, looks like.

(=) Hence, for example, his bizarre efforts coddle pseudo-populist Right-wingers who support the immigration police state and the mass criminalization of people without papers. Whereas on my view, if you’re concerned about identifying with the most criminalized, marginalized, exploited and oppressed, it would be harder to find a better place to start than with standing up for the rights of “illegal alien” workers confronting the border Stasi without government papers.”

The first problem here is the fact that the Stasi were oriented towards keeping people inside the German Democratic Republic, rather than keeping immigrants out, and repressing political dissent among East Germany’s captive native population. Beyond that, however, is the wider question of whether immigration limitation by itself requires a police state. No doubt there are plenty of anti-immigration enthusiasts who would like nothing better than a police state hunt-down of suspected illegal immigrants. No doubt the militarization of U.S. law enforcement generated by the various “Wars on…” (pick one) drugs, crime, guns, gangs, terrorism, vice, cults, racism, sexism, poverty, urban blight, child abuse, animal abuse, et. al. ad nauseum has at times included police state tactics in immigration enforcement as well (see the shenanigans of Uber-PIG Joe Arpaio).

But is a fascist police state essential to the restriction or limitation of immigration? Iceland  and Switzerland are among the most restrictive of the European nations concerning their immigration policies. Yet both of these are widely considered to be among the most progressive and libertarian of all nations anywhere. Iceland has no standing army, and bars nuclear weapons from its territory. Neither of them maintains the death penalty, and neither will extradite fugitives to the U.S. who may face capital punishment. Some years ago, an Icelandic court refused to extradite a fugitive to the U.S. because of the conditions found in U.S prisons. Switzerland is one of the world’s most non-belligerent nations. There are certainly no signs of fascism here.

Does immigration restriction even require a state of any kind? If the Spanish anarchist militias had been triumphant in the civil war, could they not have proceeded to safeguard the borders of the Spanish territory following victory? The Hezbollah militia of Lebanon is a non-state entity, yet it is an effective fighting force. Hezbollah is not only capable of guarding the Lebanese border, but of repelling an actual Israeli occupation. Likewise, the Armed Forces of the Colombian Revolution are a non-state entity, yet they have at times successfully held substantial portions of Colombian territory. Could not the FARC also safeguard its territorial boundaries?

What about all of the different kinds of territories within the United States itself where entry is restricted? These include industrial parks, office complexes, shopping centers, schools and universities, recreational facilities, country clubs, gated communities, stadiums, private neighborhoods, airports, bars and nightclubs, and private homes. All of these territories impose at least some degree of limitations on who may or may not enter. Those who do not buy a ticket are forbidden from entering theaters and stadiums. Those who do not pay a cover charge or have an ID are refused admission to bars. Those without a membership are denied entry to private clubs. Entry into schools is typically restricted to students, parents, employees, and others with authorized business. Even ordinary commercial facilities impose some minimal requirements for entry: “Shirts and Shoes Required”; “No Smoking”; “No Playing Loud Music”; “No Pets or Animals”; “No Rude or Aggressive Behavior.”

Of course, it might be argued that all of the aforementioned are private or semi-private institutions and organizations, as opposed to public streets, sidewalks, thoroughfares, lands, waterways, and airways. Yet most of these things are currently owned not by “the public” but by the state, which anarchists and the most radical libertarians ostensibly consider to be illegitimate. If the state were to disappear, into whose hands would such “public” areas fall? The anarcho-capitalist solution is to place these in the hands of private landowners, whether individual or collective in nature. The geo-anarchists prefer land trusts. Left-anarchists and libertarian-municipalists would prefer community control on the basis of some kind of Athenian model “direct democracy.” Syndicalists might prefer that all public services be put under “workers’ control,” meaning that, for instance, public streets and highways would be under the management of the highway workers’ and street maintenance workers’ unions. Mutualists might prefer “consumer control,” meaning, for instance, airports might be managed by, say, associations of frequent flyers or consumers of airline services. Whatever model or combination of models one prefers, it is quite possible that at least some of these kinds of entities would enact entry requirements at least as restrictive as those currently in existence.

There are other possibilities. Upon the demise of the state, perhaps all public properties and areas could be ceded to “squatters’ rights.” The first person to show up and pitch a tent on a piece of land in Yellowstone Park gets to keep the lot. Perhaps all public areas could simply be declared “No Man’s Lands” akin to present day Antarctica or remote desert or mountainous regions. Perhaps these might be areas where everything is a free-for-all, and where even ordinary criminal laws do not apply. I confess that if such a proposal came up for vote in a national referendum, the nihilist in me might well take over and I might not be able to resist the impulse to vote in favor of it. But how many people really think this would be a desirable state of affairs?

Either way, from where can the principle be deduced that a stateless or near-stateless society, nation, or territory would necessarily maintain unrestricted entry? Even if public areas were “No Man’s Lands” could not a xenophobic militia simply organize and drive away unwanted migrants? In contemporary Western-model societies, much of the mass immigration we presently observe is not simply occurring according to natural patterns of population movement, but is actively encouraged, promoted, and subsidized by the state. See here and here for some examples of how this works. I suspect this trend could be reversed if the support given to mass immigration by state and corporate policies was simply ended. Much of this immigration is economic in nature. Take away the economic incentives, and the overall amount of immigration should diminish. Indeed, there are some signs that the present economic situation is having such an effect.

I’m not going to go into the problems with allowing mass immigration from the Third World into the West. I’ve already written about that in the past and have really said all I have to say about the matter. See here and here. Critics already understand the potentially rather severe consequences of this. Proponents of mass immigration generally make it clear that they don’t care about the consequences. But when Islamic revolutionary parties start becoming competitive in European elections, and there’s a replay of the Mexican War complete with good old fashioned ethnic cleansing in the U.S. Southwest, don’t say us dirty, rotten, fascist, racist, nationalist, right-wing, reactionary, xenophobic bigots didn’t warn you. 

Some interesting articles on immigration:

lundi, 18 janvier 2010

Caucaso, la frontiera instabile d'Europa

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Caucaso, la frontiera instabile d`Europa

 

Fabrizio Fiorini

L’espressione geografica “Caucaso” ha subito nel corso degli anni una trasposizione per cui, dall’originale denominazione della catena montuosa estesa dal Mar Nero al Mar Caspio, è passata a indicare una vasta area comprendente diversi Paesi e numerose etnie. Fondamentale distinzione d’obbligo è quella tra Transcaucasia e Ciscaucasia: la prima si estende sulle repubbliche post-sovietiche di Georgia, Armenia e Azerbaidžan, nonché sulle neo-indipendenti repubbliche di Abchazija e Ossetija meridionale; la seconda compresa all’interno dei confini meridionali della Federazione Russa e comprendente le repubbliche autonome di Adigezia, Karacai-Cerkessk, Kabarda-Balkarija, Ossetija settentrionale, Cecenia, Ingušcetija e Dagestan.
Non si può stabilire con esattezza il periodo di inizio di una “questione caucasica”, dato che l’area è costantemente stata terreno di scontro politico e religioso, di revanscismo etnico e di istanze indipendentiste nazionali. Le stesse macchinose ma funzionali regole dell’ingegneria istituzionale sovietica difficilmente riuscirono a venire a capo delle questione e a pacificare l’area in modo stabile. Nella sua opera Il marxismo e la questione nazionale e coloniale, Stalin pose le basi del legame tra etnia e territorio; nonostante ciò, l’ordinamento istituzionale dell’Urss (Stato che, tra repubbliche federate, repubbliche autonome, regioni autonome e territori contava ben cinquantatre divisioni amministrative ma in cui le etnie censite erano più del doppio) dovette giocoforza adeguarsi a dei criteri standardizzati al fine della ripartizione amministrativo-territoriale dell’Unione. Tali criteri furono: a) la maggioranza linguistica e culturale di una data regione; b) la necessità di scongiurare il separatismo a favore di Stati confinanti; c) la necessità di dividere al proprio interno etnie che in epoca pre-rivoluzionaria avevano sviluppato un’identità più marcata, al fine di tutelare l’autonomia dello Stato centrale e di assicurare il funzionamento lineare dell’amministrazione periferica1. L’Unione Sovietica, quindi, lontana dal configurarsi come un melting-pot, fu piuttosto una incubatrice di Stati indipendenti che tuttavia si portarono dietro le imperfezioni che caratterizzavano lo stesso sistema che li avrebbe generati.
Tornando al Caucaso dell’epoca sovietica, infatti, alcune contingenze storiche andarono a intaccare la meticolosa prassi amministrativa di Mosca. Una di queste fu, ad esempio, all’indomani della rivoluzione d’ottobre, la ricerca di un alleanza coi turchi: tale asse bolscevico-kemalista, infatti, fece spostare l’ago della bilancia, nella tuttora irrisolta questione dell’Alto Karabakh, a favore dell’Azerbaidžan etnicamente affine e politicamente vicino ai turchi; Stalin in persona si prodigò in tal senso. Un’ulteriore destabilizzazione si ebbe durante il secondo conflitto mondiale quando, per reprimere e punire i popoli che avevano boicottato la guerra sovietica propugnando istanze indipendentiste in nome della propria identità islamica o in nome di una alleanza col Terzo Reich nazionalsocialista2, intere unità amministrative vennero sciolte o degradate a un rango di autonomia inferiore; centinaia di migliaia di cittadini vennero inoltre colpiti dalle deportazioni. Per tutto il secondo dopoguerra, fino allo scioglimento dell’Urss, la questione Caucaso rimase latente e ‘anestetizzata’ dalla classe dirigente locale del Partito. Ma la tensione nelle stanze del potere restava alta, e gli echi dei giochi caucasici di sentivano fino a Mosca, fino a ripercuotersi nel politburo e nel Comitato Centrale.
Poi il disastro dell’era elciniana, con la Federazione Russa che continuava inesorabilmente a disgregarsi sia al proprio interno (tracollo dell’autorità dello Stato, rottura di ogni vincolo sociale tra cittadini e tra questi e il potere, violenta crisi finanziaria, perdita di ogni parvenza di sovranità economica in favore di potentati non autoctoni, declino della produzione industriale, sbandamento delle forze armate e crescita esponenziale della criminalità), sia nel suo ruolo di potenza internazionale e sia sui propri confini meridionali – e segnatamente caucasici – con la disfatta cecena e con la destabilizzazione del Dagestan. Nelle tre repubbliche transcaucasiche, svincolatesi da Mosca, tornavano a bruciare le polveri. Ma il Karabakh (etnicamente armeno ma interno ai confini dell’Azerbaidžan) riusciva a difendersi e a tutelare la propria autonomia; in Georgia fallivano i tentativi del governo di Tbilisi di sottomettere l’Abchazija e l’Ossetija del sud che, da regioni autonome, passarono a conseguire un’indipendenza di fatto; nonostante la difficile situazione in cui si trovava, la Russia fu determinante per l’intermediazione e il mantenimento della pace nella regione per parecchi anni, anche attraverso la conduzione di una missione militare della neo costituita Comunità degli Stati Indipendenti.
Alla riedificazione della Russia e alla riaffermazione della stessa come superpotenza, conseguentemente alla elezione di Putin a guida della Federazione nel 2000, seguì primariamente il ribaltamento della situazione cecena attraverso una serrata campagna militare che permise di ripristinare nella disgraziata repubblica caucasica l’autorità dello Stato e una pur precaria sicurezza civile, a tutt’oggi in fase di consolidamento. Il risultato politico della vicenda aumenta la propria incidenza se si considera il foraggiamento e il sostegno su cui la guerriglia poteva contare dall’estero: dall’appoggio logistico georgiano alle manovre “diplomatiche” di Londra.
Fuori dai confini della Federazione, in Transcaucasia, la situazione era invece ancora lontana dal poter fare ipotizzare una stabilizzazione e una pacificazione. La causa di ciò è da ricercarsi nella - pur contestuale al ripristino dell’azione politica russa - interferenza sempre più marcata degli Stati Uniti nella regione. Interferenza sia di natura politica (accerchiamento della Russia, conquista dello spazio centroasiatico, allargamento del Patto Atlantico, rivoluzioni colorate, ONG, sostegno al separatismo) che di natura economica, riconducibile sostanzialmente alla politica degli oleo-gasdotti. In base a tale politica le vie di transito energetiche sarebbero dovute transitare al di fuori dei confini della Russia e dell’Iran (e dell’Armenia, che con questi ha conservato una vicinanza strategica); esempio ne è stato la costruzione dell’oleodotto Baku-Tbilisi-Cheyan, che riesce quindi a unire il mar Caspio al Mediterraneo transitando solo sul territorio di Paesi politicamente vicini a Washington3.
L’apice del coinvolgimento occidentale nelle vicende caucasiche si è registrato la scorsa estate con il sostegno attribuito alla Georgia nella brutale aggressione della repubblica separatista dell’Ossetija del sud, politicamente vicina a Mosca ed etnicamente affine all’omologa repubblica settentrionale interna ai confini della Federazione Russa. In tale spregiudicata e sprovveduta mossa politica - esasperata dai tamburi della propaganda e dalle armi di Tel Aviv – però, come spesso accade, “i pifferi di montagna andarono per sonare, ma furono sonati”. Non solo: la Russia non si è limitata alla difesa della Repubblica di Ossetija del sud e della sua popolazione, vittima della sproporzionata violenza di Tbilisi, ma ne ha riconosciuta l’indipendenza, unitamente a quella della Repubblica di Abchazija. Verosimilmente Mosca sarebbe stata molto più incline al pragmatismo, almeno fino alla rottura degli schemi internazionali conseguenti l’indipendenza del Kosovo. Verosimilmente avrebbe preferito un governo amico a Tbilisi piuttosto che l’indipendenza forzata dell’Ossetija. Insomma, avrebbe messo in atto la normale, normalissima politica di una superpotenza consapevole del suo peso internazionale, che non si è mai sognata il diritto divino di “esportare la democrazia”. Ma – sembra questo il motto che ha animato l’agenda politica del Cremlino – “dove non vale più la forza della ragione valgano le ragioni della forza”.


16 Novembre 2009 12:00:00 - http://www.rinascita.eu/index.php?action=news&id=8