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dimanche, 06 février 2011

"Choc et simulacre"

« Choc et Simulacre » par un collectif européen d'auteurs, présenté par Michel Drac

Ex: http://www.polemia.com/

 

choc_et_simulacr_4c4066bcbfea1.gifÉcrit par un collectif d’auteurs dont certains avaient déjà participé à la rédaction du roman d’anticipation politique Eurocalypse et qui ont assimilé l’œuvre de Jean Baudrillard, Choc et Simulacre est un ouvrage dense qui interprète, d’une manière décapante, les grands événements en cours.

Les auteurs s’intéressent à la genèse récente du projet hégémonique des États-Unis. Ils rappellent que, sous la présidence de Bill « Tacheur de robe » Clinton (1993 – 2001), des intellectuels préparaient la domination mondiale de leur pays à travers le Project for a New American Century. Ce programme ambitieux parvint à regrouper « conservateurs réalistes », mondialistes patentés et néo-conservateurs malgré des tensions inhérentes incessantes. Au sein du néo-conservatisme même, le collectif relève que « la base militante […] était à l’origine composée de trois groupes dont les valeurs ne sont pas totalement compatibles, et dont les intérêts divergent largement : le “ big business ”, les milieux pro-Israël, la “ moral majority ” (p. 26) ».

Sommes-nous en présence d’une « entente idéologique » factuelle qui œuvre à la suprématie planétaire de Washington ? Oui, mais sans chef d’orchestre patenté puisqu’il s’y concurrence et s’y affronte divers clivages, d’où les ambiguïtés intrinsèques du « conservatisme étatsunien » au début du XXIe siècle. Le collectif prend pour preuve les études de Samuel Huntington. Son « choc des civilisations » était au départ un article répondant à la thèse de Francis Fukuyama sur la fin de l’histoire et le triomphe final du libéralisme. Certes, Huntington y exprimait une vision étatsunienne du monde en distinguant l’Occident euro-atlantique d’une civilisation européenne orthodoxe et en niant toute particularité à l’Europe. Pourtant, même si son thème du « choc des civilisations » va être instrumentalisé au profit du mondialisme yanqui conquérant, Huntington comprit ensuite, dans son dernier essai, Qui sommes-nous ?, que le « choc des civilisations » atteignait les fondements des États-Unis avec une lente « latino-américanisation » de sa patrie…

Les méandres du pouvoir réel à Washington

Les interventions militaires en Afghanistan (2002) et en Irak (2003) marquent l’apogée du néo-conservatisme et donc le début de son déclin à l’intérieur de la « coalition » dominante. « La fracture entre néo-conservateurs d’une part, mondialistes et conservateurs réalistes d’autre part, continue à perdurer, mais désormais, ce sont à nouveau les conservateurs réalistes qui mènent la danse, ayant récupéré le soutien clair et fort des milieux mondialistes (p. 63). » Par ailleurs, le plan « néo-con » a échoué auprès de la population U.S. qui réagit maintenant par le phénomène du Tea Party. Cette nébuleuse mouvementiste présente de fortes inclinations libertariennes et isolationnistes (mais pas toujours !).

Avec ce retour au réel géopolitique, on assiste au regain d’influence de Zbigniew Kazimierz Brzezinski – que les auteurs désignent par ses initiales Z.K.B. -, qui est probablement le plus talentueux penseur géopolitique des États-Unis vivant. Bien que démocrate, ce conservateur réaliste s’active en faveur d’« un ordre mondial aussi unifié que possible, au sein duquel les élites anglo-saxonnes sont prédominantes (p. 47) ». Z.K.B. réactualise de la sorte les vieux desseins de Cecil Rhodes, de la Fabian Society et de l’« Anglosphère » en partie matérialisée par le système Échelon. Ainsi, « l’objectif de la conquête de l’Asie centrale doit être, selon Z.K.B., d’assurer la victoire non de l’Amérique proprement dite, mais plutôt celle d’un Nouvel Ordre Mondial entièrement dominé par les grandes entreprises multinationales (occidentales principalement). Le Grand Échiquier se présente d’ailleurs comme un véritable hymne aux instances gouvernantes du mondialisme économique (Banque mondiale, F.M.I.). Z.K.B. est le premier patriote du Richistan – un pays en surplomb de tous les autres, où ne vivent que les très, très riches (p. 49) ».

Faut-il ensuite s’étonner d’y rencontrer le chantre des « sociétés ouvertes », le co-directeur de la célèbre O.N.G. bien-pensante Human Rights Watch et l’instigateur occulte des révolutions colorées, Georges Soros ? Il soutient de ses deniers « l’Open Society Fund […qui] est destiné officiellement à “ ouvrir des sociétés fermées ” (en clair : empêcher les États de réguler l’activité des grands prédateurs financiers mondialisés) (p. 55) ». Le collectif évoque une « méthode Soros » qui consiste à « semer le chaos souterrainement pour proposer ensuite la médiation qui rétablit l’ordre (p. 82) ». Il n’y a pourtant ni complot, ni conspiration de la part d’un nouveau S.P.E.C.T.R.E. cher à Ian Fleming et à son héros James Bond…

En analysant la production éditoriale d’outre-Atlantique, les auteurs observent néanmoins une nette « difficulté de la coordination entre le tendances de l’oligarchie fédérée U.S. – une oligarchie qui ne parvient à surmonter son incohérence que par la fuite en avant (p. 77) ». En effet, les différentes tendances de la « coalition hégémoniste » veulent d’abord défendre leurs propres intérêts. Ils rappellent en outre l’importance du lobby israélien aux États-Unis, groupe d’influence qui ne se recoupe pas avec l’emprise de la communauté juive sur le pays. Ils signalent aussi les liens très étroits tissés entre le Mossad et la C.I.A. au point que « la coopération entre les deux appareils de renseignement va si loin qu’on peut parler d’intégration mutuelle (p. 70) ». Via l’A.I.P.A.C. (American Israel Public Affairs Committee) et d’autres cénacles spécialisés dont l’Anti Defamation League, « spécialisée dans le harcèlement des opposants. Elle utilise très largement l’accusation d’antisémitisme et, d’une manière générale, promeut un “ souvenir ” de la Shoah qui ressemble à s’y méprendre à une stratégie d’ingénierie des perceptions visant à développer, dans la population juive, le syndrome de Massada (p. 67) », Israël est bien défendu outre-Atlantique. Or la diplomatie de la canonnière néo-conservatrice des années 2000, en chassant du pouvoir les Talibans et Saddam Hussein, a favorisé l’Iran et affaibli les soutiens arabes traditionnels des États-Unis (Égypte, Arabie Saoudite, Jordanie). Prenant acte de cette nouvelle donne non souhaitée, « il y aurait donc renversement d’alliance latent entre W.A.S.P. conservateurs réalistes de l’appareil d’État U.S., mondialistes financés par la haute finance londonienne et lobby pro-israélien néoconservateur, avec Z.K.B., le mondialiste réaliste, en médiateur (pp. 64 – 65). »

L’heure du « médiaterrorisme »

Il ne faut surtout pas se méprendre : ces conflits internes, inévitables, n’empêchent pas l’unité en cas de nécessité ou de but commun. Par ailleurs, cette « entente » emploie avec aisance le mensonge, la désinformation, l’intox et le truquage qui « est l’imprégnation progressive de la cible (p. 17) ». L’hyper-classe étatsunienne pratique une nouvelle forme de guerre : la guerre de quatrième génération (G4G). « Faisant suite à la guerre des masses en armes, à celle de la puissance de feu et à la Blitzkrieg, cette quatrième génération est définie comme la guerre de l’information, impliquant des populations entières dans tous les domaines (politique, économique, social et culturel). L’objectif de cette guerre est le système mental collectif de l’adversaire. Et par conséquent, le mental des individus qui composent sa collectivité (pp. 13 – 14). »

Selon les circonstances et les modalités d’emploi, cette G4G s’utilise diversement. « Le terrorisme est un moyen, pour un pouvoir occulte, de conserver le contrôle soit en éliminant un adversaire (instrumentalisation de l’assassin politique), soit en perturbant un processus sociopolitique (stratégie de la tension), soit en poussant un groupe assimilable à l’ennemi à commettre un acte odieux (stratégie du renversement des rôles, l’agresseur réel se faisant passer pour l’agressé – cas le plus célèbre : la conspiration des poudres, dès le XVIIe siècle, en Angleterre) (p. 106). » Les États-Unis ne sont pas en reste dans l’application régulière de cette tactique, de l’explosion de leur navire, U.S.S. Maine, dans la rade du port espagnol de La Havane en 1898 au 11 septembre 2001 en passant par le transport clandestin d’armes pour les Britanniques dans les soutes des navires neutres – dont le Lusitania – coulés entre 1915 et 1917 et l’attaque de Pearl Harbor, le 7 décembre 1941, après avoir imposé un blocus pétrolier contre le Japon et décrypter dès 1936 les codes secrets nippons… Cessons d’être naïfs ! Comme l’avait déjà bien perçu le situationniste italien Censor (1), « la manipulation du terrorisme, voire sa fabrication, est une vieille stratégie de l’oligarchie américano-britannique. Quelques exemples : Giuseppe Mazzini, au service de l’Empire britannique, pour déstabiliser l’Autriche; ou encore l’instrumentalisation notoire de la Rote Armee Fraktion par les services anglo-américains; ou encore l’instrumentalisation des Brigades Rouges par les services U.S. pour se débarrasser d’Aldo Moro, qui voulait associer le P.C. italien au gouvernement démocrate-chrétien (p. 105) ». N’oublions pas le financement et l’entraînement d’Oussama Ben Laden et d’Al-Qaïda par la C.I.A. ou bien le téléguidage de certains éléments des Groupes islamiques armés algériens par quelques agents anglo-saxons en mission commandée contre les intérêts français en Afrique du Nord, au Sahara et au Sahel…

Le terrorisme se voit compléter par l’arme médiatique. « Aux U.S.A., le storytelling est en train de devenir non seulement une méthode de gouvernement (ce qu’il était depuis longtemps), mais le gouvernement lui-même, l’acte de gouverner. La révolution amorcée pendant le Watergate vient de s’achever : désormais, la gestion de la communication est au centre de l’acte de gouverner, elle n’est plus chargée d’accompagner l’action politique, elle est l’action politique. Désormais, la politique est l’art de parler non du pays réel, mais de l’imaginaire (pp. 99 – 100, souligné par les auteurs). » Le collectif expose ensuite des cas flagrants de « médiaterrorisme » à partir des exemples irakien, afghan et iranien.

Et là encore, les auteurs apportent un tiers point de vue. Pour eux, « que l’Irak ait possédé des armes de destruction massive ne fait aucun doute, et les Anglo-Américains étaient bien placés pour le savoir : pour l’essentiel, c’est eux qui avaient fourni ces armes à Saddam Hussein. […] Il est possible qu’en franchissant la ligne séparant armes chimiques et armes bactériologiques, Saddam ait outrepassé les autorisations de ses soutiens occidentaux (pp. 91 – 92) », d’où les rétorsions financières, l’incitation suggérée par Washington de s’emparer du Koweït, la guerre du Golfe, le blocus et l’invasion de l’Irak par les gars de Bush fils.

Quant à la situation iranienne, il est clair que « l’Iran inquiète les Américains précisément parce qu’il est en train de réussir ce que les payas arabes sunnites échouent à accomplir : définir une voie musulmane vers la modernité. Les Iraniens sont en train d’entrer dans l’ère du progrès technologique sans pour autant s’occidentaliser en profondeur. La société iranienne se libère, mais pas pour s’américaniser. Téhéran menace de briser l’alternative piégée où l’Occident a jusqu’ici enfermé le monde musulman : s’occidentaliser ou végéter dans l’arriération (p. 121) ». Bref, « l’Iran est un pays musulman qui a des ambitions… et les moyens de ses ambitions (p. 123) ».

Les auteurs dénoncent le détournement médiatique par les Occidentaux des propos du président Ahmadinejad qui n’a jamais parlé de rayer Israël de la carte ! On nuancera en revanche leur appréciation convenue quand ils estiment que « l’Iran n’est pas une démocratie au sens où les pays occidentaux sont démocratiques [sic ! Nos États occidentaux sont-ils vraiment démocratiques ?], mais c’est un État de droit, où le peuple est consulté régulièrement, à défaut d’être reconnu comme pleinement souverain (p. 131) ». Comme si les électeurs français, britanniques, allemands ou espagnols étaient, eux, pleinement souverains ! La Grasse Presse a orchestré un formidable tintamarre autour de la magnifique réélection en juin 2009 d’Ahmadinejad comme elle déplore l’extraordinaire succès populaire du président Loukachenko au Bélarus le 19 décembre 2010. En fait, les premiers tours des présidentielles iranienne et bélarussienne sont plus justes, conformes et légitimes que l’élection de Bush fils en 2000 ou le second tour de la présidentielle française de 2002 ! Ce n’était pas en Iran ou au Bélarus que se déchaînèrent télés serviles et radios soumises aux ordres contre le candidat-surprise du 21 avril !

On aura compris que, dans cette perspective, « avec la G4G, l’armée des U.S.A. avoue donc qu’elle est l’armée du capitalisme globalisé, et que son arme principale est le marketing. Fondamentalement, dans l’esprit de ses promoteurs, la G4G est la guerre de contre-insurrection d’une armée d’occupation planétaire à la solde du capital (p. 14) ».

Un champ de bataille parmi d’autres…

Et la France ? Craignant « le conflit métalocal, c’est-à-dire à la fois totalement local et totalement mondial (p. 8, souligné par les auteurs) » et pensant que « le retour des nations n’est donc pas forcément celui des États-nations : seuls les États-nations cohérents sous l’angle culturel seront cohérents sous l’angle national (p. 37) ». L’État-nation est-il encore un concept pertinent avec une population de plus en plus hétérogène sur les plans ethnique, religieux et cognitif ? Le sort de France préoccupent les auteurs qui insistent fortement sur l’acuité de la question sociale. Ils notent que les fractures françaises deviennent de très larges béances. Ils décèlent dans ce contexte d’angoisse sociale les premières manœuvres de la G4G. « La guerre civile visible, entre groupes au sein de la population, constitue un terrain propice à la conduite souterraine d’une autre guerre, qui l’encourage et l’instrumentalise, c’est-à-dire la guerre des classes dirigeantes contre les peuples. Par ailleurs, avec le trafic de drogues, on a précisément un exemple de contrôle exercé par des forces supérieures sur les quartiers “ ethniques ”. D’où l’inévitable question ? : et où, derrière la constitution en France de “ zones de non-droit ”, il y avait, plus généralement, une stratégie de déstabilisation latente, constitutive du pouvoir de ceux qui peuvent déstabiliser ? (p. 145, souligné par les auteurs). » La G4G emploie des leurres et des simulacres. « Le simulacre, c’est le choc des “ civilisations ”, c’est-à-dire l’affrontement des peuples et familles de peuples. La réalité, c’est le conflit entre le haut et le bas de la structure sociale, et parfois la recherche d’une entente horizontale entre les composantes du haut de cette structure. Le simulacre, c’est presque exactement l’inverse : conflit obligé entre les structures sur une base civilisationnelle, recherche de l’entente verticale au sein de chacune d’elle (p. 152). » Attention toutefois à ne pas tomber dans le piège réductionniste et à se focaliser sur un seul problème comme l’islamisation par exemple. Les auteurs prennent bien soin de ne pas nier les chocs de civilisations qui parcourent l’histoire. Ils se refusent en revanche d’entériner tant sa version néo-conservatrice que dans sa variante angélique. « Énoncer, par exemple, qu’il n’existerait pas d’antagonisme entre populations d’origine européenne et populations d’origine extra-européenne en France serait non seulement dire une contre-vérité manifeste (et se décrédibiliser), mais encore s’inscrire dans la grille de lecture de l’adversaire, qui veut que la question de l’antagonisme soit placé au centre du débat (p. 153). »

Au bord de l’explosion générale, l’Hexagone se retrouve au centre d’une imbrication de luttes d’influence variées. « Les tensions observées en France ne peuvent se comprendre indépendamment de l’action des réseaux d’influence géopolitiques. On citera en particulier l’action des réseaux F.L.N. au sein de la population d’origine algérienne, le poids de l’islam marocain au sein de l’islam “ de France ”, l’influence certaine des services israéliens (Mossad) au sein de la population juive, à quoi il faut sans doute ajouter des influences construites par les services U.S. (pp. 141 – 142) (2) ». Écrit avant la publication des documents diplomatiques par WikiLeaks, les rapports secrets du département d’État des États-Unis prouvent l’incroyable sape des services yankees auprès des médias hexagonaux, du microcosme germano-pratin et dans les banlieues. Sur ce dernier point, Luc Bronner rapporte que « les Américains rappellent la nécessité de “ discrétion ” et de “ tact ” pour mettre en œuvre leur politique de soutien en faveur des minorités (3) ». L’objectif de Washington demeure d’éliminer une puissance gênante… Loin d’être des combattants de l’islam radical, la racaille des périphéries urbaines est plutôt l’auxiliaire zélé de l’américanisme globalitaire ! Ils en ignorent ses richesses métaphysiques et les expériences soufies et singent plutôt les Gangasta Rap yankees : on peut les qualifier sans erreur d’« Islaméricains ».

Que faire alors ? « La réponse adaptée à la guerre de quatrième génération, c’est la guerre de cinquième génération : la guerre faite pour préserver la structure générale du sens (p. 154) », soit élaborer une métapolitique liée au militantisme de terrain sans portée électorale immédiate. Et puis, ajoutent-ils, « fondamentalement, il faut faire un travail de formation (p. 154) ». Que fleurissent mille séminaires discrets d’où écloront les rébellions française et européenne ! Que se développe un ordonnancement réticulaire, polymorphe et viral des milieux de la dissidence régionale, nationale et continentale ! L’heure des hommes providentiels et des sauveurs suprêmes est révolu ! Dorénavant, l’impersonalité active doit être un impératif pour tous les militants ! Choc et Simulacre nous aide dans la juste compréhension des enjeux actuels.

Georges Feltin-Tracol
8 janvier 2011
Europe maxima

Notes :

  1. Alias Gianfranco Sanguinetti. Il publia en 1975, sous ce nom de plume, un Véridique Rapport sur les dernières chances de sauver le capitalisme en Italie, puis en 1980, Du terrorisme et de l’État, la théorie et la pratique du terrorisme divulguées pour la première fois révélant le rôle trouble des services secrets italiens dans les activités des Brigades Rouges.
  2. Il serait bienvenu (un vœu pieu ?) qu’un éditeur traduise en français l’ouvrage récent du journaliste Giovanni Fasanella et du juge anti-terroriste, Rosario Priore, qui, dans Intrigo Internazionale (Chiarelettere éditeur, Milan, 2010), dévoilent la véritable guerre secrète opposant dans les décennies 1970 – 1980 les différents « services » des puissances occidentales et atlantistes. Qui nous dit que les États-Unis ne chercheraient pas à transposer en France ce que l’Italie des « années de plomb » a connu avec une nouvelle « stratégie de la tension », cette fois-ci, activée dans les banlieues ? Par ailleurs, dans une bande dessinée politique intitulée La Droite ! : petites trahisons entre amis (scénario de Pierre Boisserie et Frédéric Ploquin, dessin de Pascal Gros et couleur d’Isabelle Lebeau, Éditions 12 bis, 2010), les auteurs assènent dans une vignette que dans les années 1970, le S.D.E.C.E. (le contre-espionnage extérieur français) était partagé entre les obligés des Anglo-Saxons et les affidés des services israéliens…
  3.  Luc Bronner, Le Monde, 2 décembre 2010. • Collectif européen pour une information libre présenté par Michel Drac, Choc et Simulacre, éditions Le Retour aux Sources, 2010, 164 p.

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samedi, 05 février 2011

Teilung des Sudans - Eine Tragödie ohne Ende?

Teilung des Sudans – Eine Tragödie ohne Ende?

Wolfgang Effenberger

Der Südsudan strebt die Unabhängigkeit vom Zentralstaat an. Er verfügt über große Ölreserven, doch nur der Norden hat die Raffinerien und die dafür notwendige Infrastruktur. Streit scheint vorprogrammiert. Erstaunlicherweise steht die Selbstständigkeit des Südsudans im Weißen Haus ganz oben auf der Tagesordnung. Außenministerin Hillary Clinton forderte den sudanesischen Vizepräsidenten Ali Osman Taha und den politischen Führer des autonomen Südens, Salva Kiir, in Telefonaten auf, das Friedensabkommen umzusetzen.

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/geostrategie/wol...

WikiLeaks, die CIA und die amerikanische Regierung

WikiLeaks, die CIA und die amerikanische Regierung

Webster G. Tarpley

Weltweit wächst die Erkenntnis, dass das absurde Theater von WikiLeaks und Julian Assange keineswegs authentisch, sondern vielmehr eine Psychokriegs-Operation ist. WikiLeaks und sein Chef sind die klassische Form von »Limited Hangout« oder partieller Selbstenthüllung, eine Art von reißerischem Striptease, bei der eine Frontorganisation sorgfältig ausgewählte, oft genug auch getürkte Dokumente veröffentlicht, die ihr vom Geheimdienst überlassen werden, und zwar in der Absicht, nicht etwa der CIA, Großbritannien oder den Israelis Schaden zuzufügen, sondern vielmehr klassischen Vertretern auf der »Feindesliste« der CIA wie beispielsweise Putin, Berlusconi, Karzai, Gaddafi oder Rodriguez de Kirchner. In Tunesien haben von WikiLeaks veröffentlichte Dokumente, in denen sich abfällig über Ex-Präsident Ben Ali geäußert wurde, der CIA in Langley schon zu einem unverhofften Gewinn verholfen, indem sie zum eher seltenen Sturz einer etablierten arabischen Regierung geführt haben.

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/geostrategie/web...

Moscou: des critiques malgré les bombes

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Alexander LATSA:

Des critiques malgré les bombes

Ex: http://fr.rian.ru/

Ainsi l’abominable s’est encore produit. Vers 14h30 lundi dernier, un kamikaze a fait exploser sa bombe dans le hall d’arrivée de l’aéroport international de Domodedovo. L’attentat, qui survient après la visite du président Russe au Proche-Orient et à la veille du sommet mondial de Davos, visait clairement tant à fragiliser le pouvoir russe qu’à inquiéter la communauté internationale, notamment en ciblant des étrangers. Le bilan est lourd, 35 personnes sont mortes et 180 blessées. La Russie apprend-on aurait pu en outre plus mal terminer l’année 2010 puisque le kamikaze de l’aéroport serait lié à une cellule terroriste, en cours d’identification et de démantèlement, qui avait planifié un attentat sur la place rouge le 31 décembre au soir.

Même dans ce moment difficile, la Russie n’a encore eu droit qu’à beaucoup de critiques et peu de soutien. Mention spéciale à la presse française qui s’est encore distinguée. Pour Hélène Blanc sur France-info par exemple, il faut se montrer particulièrement prudent car nous dit-elle en citant la série d’attentats qui avait fait 293 morts en Russie en 1999 : "ces attentats n’étaient pas du tout l’œuvre des Tchétchènes auxquels on les a attribués mais l’œuvre du FSB". Pour Anne Nivat: "Poutine comme Medvedev exploitent l’obsession sécuritaire pour gagner des votes et ils se sont fait élire grâce à leur rhétorique sur la Tchétchénie". Pour le correspondant du Figaro en Russie, Pierre Avril: "le pays serait en proie à une quasi guerre civile". Enfin pour Vincent Jauvert, l’attentat démontrerait "la faillite du système Poutine". Cette affirmation nous a déjà été martelé cet été, lorsque les incendies qui ont frappé la Russie avaient soit disant démontré une faillite d’un hypothétique système Poutine. En outre, ce dernier ajoute: "corrompus et incompétents, les services de sécurité n’ont pas repéré le kamikaze".

Pourtant, bien loin des bureaux des rédactions des quartiers huppés de Moscou ou Paris, sur le terrain, les résultats de la Russie en matière de lutte anti-terrorisme sont assez éloquents. Pour la seule année 2010, dans le Caucase du nord, 301 terroristes ont été abattus et 468 arrêtés, 4.500 raids ont été réalisés, ainsi que 50 opérations antiterroristes d'envergure. 66 attentats ont été déjoués, même si 500 actes terroristes (dont 92 explosions et attentats) ont coûté la vie à plus de 600 personnes. En Russie pour la seule année 2010, plus de 360 policiers russes sont  morts dans l’exercice de leurs fonctions.

Bien sur, le Caucase musulman, Tchétchénie en tête, à longtemps été présenté par les médias occidentaux comme une région du monde occupée par la tyrannique Russie, mais aspirant à l’indépendance et à la liberté. Le terrorisme dans le Caucase serait une sorte de réaction désespérée de peuples opprimés. Les Français, ayant la nostalgie du village Gaulois assiégé par la puissante Rome, et désinformés sur la réalité du terrain, ne pouvaient que se laisser séduire, du moins pour une grande partie d’entre eux. Pourtant, il n’en est rien. Le but des terroristes n’est pas de libérer des peuples opprimés mais de les asservir. Les terroristes du Caucase sont liés à une nébuleuse islamiste sous forte influence étrangère, Wahhabite, reliée elle à une idéologie révolutionnaire et destructrice, qui vise à l’établissement d’un émirat Islamique dans tout la région. Ce noyau Wahhabite a probablement ses racines dans la première guerre de Tchétchénie, lorsque de très nombreux supplétifs étrangers (Arabes, Afghans…) ont rejoint les rangs Tchétchènes, pensant transformer la guerre d’indépendance en un conflit religieux et amener la guerre sainte dans la région. On sait ce qu’il advint, les nationalistes Tchétchènes, s’ils ont perdu la guerre sur  le terrain contre l’armée fédérale, ont au final obtenu pour la Tchétchénie une autonomie très importante, politique et religieuse, mais au sein de la fédération. Les tensions entre caucasiens et étrangers ont même explosé au grand jour, les premiers ne reconnaissant que difficilement les méthodes des seconds et leur radicalité intransigeante, bien loin du soufisme du Caucase, qui s’est quand même un tant soi peu accommodé des traditions locales. Ramzan Kadyrov proclamait d’ailleurs récemment et symboliquement, la défaite du Wahhabisme en Tchétchénie.

La séparation du Caucase et de la Russie comme le souhaitent et les Islamistes Wahhabites et certains intellectuels étrangers ne représenterait en rien une solution. Il semble évident que la conséquence première d’une telle décision serait de livrer la région à des conflits internes avec la probabilité qu’elle ne devienne rapidement un foyer régional de terrorisme. Il faut aussi rappeler que ces régions du sud de la Russie sont pour la plupart russes depuis plus longtemps que Nice n’est définitivement devenue Française. Enfin, de très nombreux Caucasiens musulmans se sentent russes et citoyens à part entière de la fédération, dont ils représentent une des facettes de l’identité multiculturelle.

Il serait appréciable que les commentateurs étrangers concentrent leurs attaques et leur énergie sur les criminels et non sur l’Etat russe. A ce que je sache, de Madrid à Londres ou Moscou, les victimes sont les victimes d’un seul et même terrorisme. Je ne crois pas que lorsque des événements similaires ont frappé d’autres démocraties européennes, comme l’Espagne ou l’Angleterre, en 2004 et 2005, avoir lu de la part de commentateurs russes que les attentats signifiaient un échec des gouvernements de ces pays ou que les services de sécurité n’auraient pas bien fait leur travail. Cela pour la simple et bonne raison qu’il est quasiment impossible d’empêcher tous les attentats terroristes. Les Espagnols, les Israéliens, les Turcs ou les Indiens, dont les pays sont souvent visés par le terrorisme ont depuis longtemps compris la nécessité de mesures de sécurité drastiques pour prévenir au maximum ces attentats, avec plus ou moins de succès. Ces mesures même si elles entravent certaines libertés individuelles sont sans doute essentielles pour que la vie puisse suivre un cours paisible malgré la menace.

Les esprits sont préparés si de nouveaux attentats surviennent, en Russie et peut-être encore dans la capitale, ce qui semble malheureusement inévitable. Le but des terroristes est toujours d’effrayer la population et déstabiliser la société. Mais aucun cas nous ne devons nous citoyens russes et étrangers nous laisser déstabiliser. Bien au contraire, c’est la coordination d’un état volontaire et décidé, et d’une population soudée et attentive qui est le meilleur rempart contre le terrorisme. La Russie a la capacité de surmonter ces épreuves. Comme l’a parfaitement résumé Alexeï Pimanov, le présentateur du programme Chelovek i Zakon (Homme et loi) dans l’émission récente consacrée à ces évènements: "Ceux qui ont spontanément et bénévolement proposé leur aide suite à cet attentat, qui ont transporté gratuitement de l’aéroport au métro des passagers, ceux qui ont donné leur sang ou aidé les secours dans les premiers difficiles moments, ces gens la représentent la vraie Russie".

"Un autre regard sur la Russie": Polémiques vestimentaires

"Un autre regard sur la Russie": Made in Russia

"Un autre regard sur la Russie": Divine Carélie

"Un autre regard sur la Russie": La démographie russe, objet de tous les fantasmes

"Un autre regard sur la Russie": Moscou, capitale de l'Europe?

"Un autre regard sur la Russie": Vladivostok, une ville au bout du monde

"Un autre regard sur la Russie": Rio Grande

"Un autre regard sur la Russie": Mistral gagnant

* Alexandre Latsa, 33 ans, est un blogueur français qui vit en Russie. Diplômé en langue slave, il anime le blog DISSONANCE, destiné à donner un "autre regard sur la Russie".

Krantenkoppen - Februari 2011 (1)

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Krantenkoppen

Februari 2011 (1)

'Meer antisemitisme door secularisering’
Jodenhaat komt ook voort uit de ontkerkelijking van de samenleving, zegt minister Piet Hein Donner (CDA, Binnenlandse Zaken).
Minister Piet Hein Donner, verantwoordelijk voor integratie, deed zijn opmerkelijke uitspraken in een Kamerdebat over bestrijding van antisemitisme. PVV-Kamerlid Joram van Klaveren had daarin gevraagd om een onderzoek naar de samenhang tussen een toename van anti-joodse incidenten en de groei van de islam.
http://www.depers.nl/binnenland/542615/Antisemitisme-door...
 
Statenverkiezingen Program voor verstandelijk gehandicapten
Wij stemmen op de PVV, ‘Jij ook wel denken wij’
VV in Noord Brabant manipuleert volgens deskundigen mensen met een verstandelijke beperking.
http://www.depers.nl/binnenland/542565/PVV-manipuleert-ge...
 
Van der Laan: schudweigering onwenselijk
Burgemeester Eberhard van der Laan gooit ook nog maar eens zijn mening op tafel in de handengate. Hij vindt het “een onwenselijke situatie” dat een docent van de Hogeschool van Amsterdam (HvA) vrouwen geen hand wil geven.
http://www.spitsnieuws.nl/archives/binnenland/2011/02/van...
 
'Verrechtsing samenleving: Wat te doen?'
Fatima Elatik is weer eens in opspraak geraakt. De Amsterdamse PvdA'er, die landelijke bekendheid kreeg door de hoofddoek als emancipatiesymbool te bestempelen en na een miljoenenstrop toch op het pluche van stadsdeel Oost te blijven zitten, gaat een debatavond organiseren over de 'verrechtsing van de samenleving'.
http://www.spitsnieuws.nl/archives/binnenland/2011/02/ver...
 

vendredi, 04 février 2011

Generation Null: Vom Normalbürger zum Wutbürger

Generation Null: Vom Normalbürger zum Wutbürger

Udo Ulfkotte

 

Überall in Europa freuen sich Medienvertreter in diesen Tagen über die Revolutionen in Nordafrika. Man begrüßt die Tage des Zorns und liefert in allen Gazetten gleich einleuchtende Erklärungen für die Umsturzversuche mit: soziale Probleme, hohe Arbeitslosigkeit und eine Jugend ohne Perspektive. Und die Analysen der Journalisten enden häufig mit den Worten: Genug Probleme für eine Revolution. Dummerweise verdrängen jene, die aus ihren europäischen Schreibstuben über die grassierende Unzufriedenheit der jungen Menschen in Nordafrika (und jetzt auch Indien) berichten, dass die Lage vor unseren europäischen Haustüren keinen Deut besser ist.

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Helft huwelijksmigranten na één jaar nog werkloos

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Helft huwelijksmigranten na één jaar nog werkloos (PRESS)

       
BRUSSEL 31/01 (BELGA) = De jongste jaren is het aantal huwelijksmigranten
sterk toegenomen. Een jaar na hun aankomst heeft de helft van hen nog
geen werk. Dat blijkt uit een studie die de KU Leuven (HIVA) en de
Universiteit Antwerpen (CeMIS) uitvoerden in opdracht van de Koning
Boudewijnstichting, schrijft De Morgen maandag.

Gezinshereniging is sinds de migratiestop van 1974 de omvangrijkste
vorm van legale migratie. De helft van alle in België afgeleverde
verblijfsvergunningen heeft volgens de studie betrekking op
gezinshereniging. De meeste huwelijksmigranten zijn afkomstig uit Marokko en

Turkije. Het gaat overwegend om jonge vrouwen, ook al verschilt dat
van regio tot regio.

Volgmigranten hebben het op de arbeidsmarkt niet gemakkelijk, al is
op dat vlak de jongste jaren een positieve evolutie merkbaar. De
helft van de huwelijksmigranten is een jaar na hun aankomst in België
niet aanwezig op de arbeidsmarkt. "In zekere zin is dat logisch. De
partner komt meestal naar België voor een huwelijk en daarvoor
moeten tijdens de eerste maanden van het verblijf tal van administratieve
formaliteiten vervuld worden", zegt Chris Timmerman van de
Universiteit Antwerpen.

Bij gezinshereniging gaan een op de vijf koppels binnen vijf jaar
uit elkaar, blijkt uit de studie. Het gaat hier vooral om partners
van Marokkaanse origine. "Een mogelijke hypothese is dat veel van de
Marokkaanse gezinsherenigingen in meer of mindere mate gearrangeerde
huwelijken zijn, waarin de partners het niet met elkaar kunnen
vinden", aldus Timmerman. "Tegelijk is het best mogelijk dat man en vrouw
al te hoge verwachtingen hebben van de gezinshereniging." TVP/

Immigration: un nécessaire renversement des perspectives politiques et idéologiques

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Immigration : un nécessaire renversement des perspectives politiques et idéologiques

par POLÉMIA (www.polemia.com/)

L’affaire est entendue : l’immigration en France et en Europe pose des problèmes économiques, sociaux, sécuritaires, culturels, civilisationnels de moins en moins admissibles. Il faut donc mettre un terme au processus migratoire. Mais comment ? Des réformettes à la marge ne régleront rien. Ce qu’il faut, c’est changer de paradigmes dominants. Polémia présente ici en douze points l’inventaire des bouleversements nécessaires pour inverser les flux migratoires.

1 – Rétablir la liberté d’expression

Depuis 1972, la loi Pleven, sous couvert de « lutter contre le racisme et l’antisémitisme », réprime la liberté d’expression. Une législation pénale de plus en plus extensive, appliquée lato sensu par des tribunaux politiquement corrects, rend de moins en moins facile la simple analyse de la réalité et a fortiori la possibilité de la faire connaître à l’opinion. Sans liberté d’expression, il n’y a pas de démocratie possible. Et sans diagnostic préalable, il n’y a pas de solution envisageable.

2 – Supprimer le financement des associations immigrationnistes

Les associations « antiracistes » et immigrationnistes vivent à 95% de subventions publiques. Elles se servent de cet argent pour encombrer les tribunaux : — devant les juridictions pénales pour réprimer la liberté d’expression de ceux qui ne pensent pas « bien » et pour exercer un chantage sur les autorités publiques nationales ou locales (« je ne te poursuis pas si tu me subventionnes »); une attitude en elle-même délictuelle; — devant les juridictions judiciaires et administratives pour défendre la cause des étrangers clandestins et des fraudeurs du droit d’asile ; en matière d’immigration, l’État n’a pas d’argent pour payer des avocats pour défendre la cause de la loi… mais il en donne à ceux qui la combattent !

3 – Changer de paradigme moral : retrouver la fierté, rompre avec la repentance

La France – comme l’Europe – souffre d’une idéologie culpabilisante. Jeunes générations et acteurs publics se voient constamment reprocher les malheurs de l’histoire : de la Seconde Guerre mondiale, de la colonisation ou de l’esclavage. Il faut en sortir : abroger les « lois mémorielles » et retrouver la fierté de notre passé.

4 – Changer de paradigme juridique : renoncer à l’idéologie des droits de l’homme et recouvrer la souveraineté française sur les lois françaises

Et pour cela dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme. Une Convention dont l’interprétation par la Cour européenne des droits de l’homme ne protège pas la liberté d’expression mais rend toutes nos lois de protection nationale inefficaces avant même d’être appliquées; une telle dénonciation est possible puisqu’elle est explicitement prévue par l’article 58 de la Convention (avec un préavis de six mois).

5 – Sortir du mondialisme économique et du sans-frontiérisme, revenir au patriotisme économique

L’immigration, c’est-à-dire « les délocalisations à domicile », est le pendant des délocalisations « offshore » : ce qui est à l’œuvre, c’est la même logique du mondialisme économique qui considère les hommes comme de simples marchandises. L’immigration, c’est aussi un moyen de faire baisser les salaires.

La relocalisation, la préférence nationale à l’emploi, le patriotisme économique sont des concepts à faire entrer en résonance pour revitaliser notre économie : « fabriquer français avec des Français. » Le succès des produits « made in local », appuyé sur la notion de circuits courts inhérente au développement durable, illustre la popularité – et donc l’acceptation – potentielle de ce mouvement.

6 – Rétablir de vraies frontières

Les frontières de l’Union européenne sont des passoires. L’Union européenne ne sait d’ailleurs même pas où elle s’arrête.

Or la frontière est une paroi protectrice : elle doit laisser passer ce qui est bon et maintenir à l’extérieur ce qui ne l’est pas. La France peut accueillir des étudiants étrangers à condition qu’ils soient en nombre limité et sérieusement sélectionnés. La France peut accueillir des réfugiés politiques à condition qu’il s’agisse de vrais réfugiés venant d’un tout petit nombre de pays. Pour le reste, la France doit drastiquement limiter les autorisations de séjour qu’elle accorde, ainsi que le nombre des visas attribués aux ressortissants des pays à risque. Il faut établir un contrôle préférentiel aux frontières pour les ressortissants de certains pays. Les pays d’émigration clandestine doivent figurer sur une liste noire. Il faut aussi comme les Suisses expulser tous les délinquants étrangers.

Partout dans le monde, en dehors d’une « sphère occidentale » en repli depuis la crise financière de 2007 – 2008, on assiste à un retour en force de la notion de frontière : la France serait dans son rôle en assumant une fonction d’avant-garde dans le rétablissement, en Europe, de cette condition essentielle à l’exercice des libertés politiques et économiques.

7 – Remettre en vigueur la liberté de préférence, abandonner la lutte contre les « discriminations »

Il faut mettre un terme au racisme anti-français, anti-européen, antichrétien. Il faut aussi redonner vie au beau concept de préférence. C’est une liberté fondamentale que de pouvoir choisir librement ses collaborateurs, ses fournisseurs, ses aides à domicile, ses voisins, ses locataires, l’école de ses enfants. Y compris selon les critères de la nationalité, de la religion, de l’ethnie ou de la civilisation.

8 – Adopter le principe de préférence nationale

Les ressources financières de l’État sont rares, surtout dans un contexte budgétaire marqué par un fort endettement. Il faut donc fermer les robinets des déficits et par là même couper les pompes aspirantes de l’immigration : par la préférence nationale à l’emploi, aux prestations familiales et aux aides sociales.

9 – Valoriser les principes de la civilisation française et refuser les mœurs étrangères

Tout ne se vaut pas et le multiculturalisme est un échec reconnu. La sagesse est d’en revenir à l’identité française, celle des terroirs et des clochers. La France, ce n’est pas une abstraction, c’est une culture, c’est une civilisation, où les mosquées, les minarets, le voile islamique, l’abattage rituel banalisé, la viande de singe et le culte vaudou n’ont pas leur place. A fortiori dans l’espace public.

10 – Réformer le droit de la nationalité

Être français, cela s’hérite ou se mérite. Cela signifie en revenir au jus sanguinis, au droit de la filiation : est français l’enfant né de parents français; peut devenir français l’étranger qui appartient à la civilisation européenne d’expression française par les mœurs, par la culture, par la langue et par l’affectio societatis.

11 – Mettre en œuvre la démocratie directe

Ce n’est pas aux élites de dire ce qui convient au peuple. C’est au peuple de tracer les voies de son avenir : en s’exprimant directement sur les grands sujets par référendum; après des campagnes loyales partageant équitablement l’expression entre les thèses opposées.

12 – Et en attendant ? Développer une attitude dissidente !

Ne nous méprenons pas. Ces changements supposent un bouleversement du monde et le renversement des élites dirigeantes politiques, financières, médiatiques qui gouvernent. En attendant il faut développer une attitude dissidente : dans le choix de l’école de ses enfants, dans l’enseignement qui leur est délivré, dans la sélection de ses fournisseurs, dans l’achat local plutôt que dans l’achat global, dans l’affirmation sans complexes de ses convictions politiques, de sa foi religieuse ou de ses choix philosophiques, de ses préférences culturelles et gastronomiques.

Polémia

• Mis en ligne sur Polémia, le 9 décembre 2010.


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jeudi, 03 février 2011

Ist Zypern der nächste EU-Bankrott-Staat?

Ist Zypern der nächste EU-Bankrott-Staat?

Michael Grandt

 

Noch beachtet niemand die kleine Insel im Mittelmeer, doch sie könnte bald schon in den Mittelpunkt des Interesses rücken, wenn ihr das gleiche Schicksal droht wie Griechenland – der Staatsbankrott.

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Die Rolle der CIA in Ägypten: wer ist Omar Suleiman?

Die Rolle der CIA in Ägypten: wer ist Omar Suleiman?

Redaktion

 

Omar Suleiman ist eine der Personen, die derzeit als mögliche Alternative für die Nachfolge des ägyptischen Präsidenten Hosni Mubarak ins Spiel gebracht werden. Nachdem Mubarak am 28. Januar sein Kabinett entlassen hatte, ernannte er Suleiman zum Vizepräsidenten. Doch wer ist dieser Omar Suleiman?

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/geostrategie/red...

 

 

La Russie dit non à l'invasion migratoire!

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La Russie dit non à l’invasion migratoire !

par Marc ROUSSET

En  matière démographique, les Russes sont moins naïfs que les Européens de l’Ouest déniant les catastrophiques réalités, endoctrinés par la nouvelle religion droit-de-l’hommiste ! Les Occidentaux ont raillé la Russie qui doit faire face  au déclin de sa population, mais s’ils ont effectivement  bien vu  la paille dans l’œil de la Russie, ils ont oublié la poutre de l’immigration extra-européenne qui était dans le leur ! Certes, les Russes vont connaître encore des moments très difficiles, mais suite aux mesures prises par les présidents Poutine et Medvedev, ils font face et vont s’en sortir progressivement, sans compromettre leur avenir et leur identité, alors que les élites dirigeantes de l’Europe de l’Ouest commettent un crime, une trahison inadmissible, celui de porter atteinte à la patrie charnelle des peuples européens, en acceptant des hordes d’immigrés (l’immigration continue derrière les rideaux de fumée médiatiques avec le Président Sarkozy, soit 250 000 personnes par an et une agglomération comme Lille tous les trois ans) pratiquement inassimilables, principalement en provenance de l’Afrique.

Aujourd’hui, les perspectives réelles de l’Europe de l’Ouest, c’est à terme une inéluctable guerre civile comme en ont connu le Liban, la Bosnie, le Kosovo, la Géorgie, les pays africains , Sri Lanka…, si des mesures favorisant la natalité des populations de souche européenne ne sont pas prises immédiatement. A contrario, l’avenir appartient toujours à la Russie, au-delà de  difficultés structurelles, suite en particulier, à la catastrophique décennie de 1990 à 2000 avec une natalité en chute libre et une perte de population de 800 000 individus par an, pendant l’ère de  Boris Eltsine. Le déclin démographique, le mal être, la baisse de la natalité de la Russie avait commencé en fait, dans les années 80, dès les premiers signes de l’essoufflement et de l’implosion à venir  de l’U.R.S.S. En 2007, au moment même où Poutine exposait son projet de stabilisation démographique, la Russie ne comptait déjà plus que 142 millions d’habitants, alors que la population était encore de 150 millions en 1992. Un rapport présenté en Russie en 2007 et largement diffusé par l’agence Novosti illustrait de manière criante l’érosion inéluctable : chaque heure, la Russie perd cent habitants; toutes les vingt-et-une secondes, on enregistre une naissance, mais une mort se produit toutes les quinze secondes… (1).

En Russie, l’opinion publique est hostile à l’immigration. Contrairement aux affabulations de l’Occident, même si le péril jaune est très réel à terme, plus particulièrement en Sibérie et en Extrême-Orient , il y a à ce jour en Russie, un maximum de 400 000 Chinois, selon Zhanna Zayonchkouskaya, chef de laboratoire de migration des populations de l’Institut national de prévision économique de l’Académie des sciences de Russie, et non pas plusieurs millions comme cela a pu être annoncé. Les Russes ont veillé au grain et ont pris des mesures très sévères pour éviter une possible invasion. La seule immigration qui a été favorisée est le rapatriement de Russes établis dans les anciennes républiques soviétiques (Kirghizistan, Kazakhstan, Pays baltes, Turkménistan). Des villes comme Vladivostok, Irkoutsk, Khabarovsk, Krasnoïarsk… et même Blagovetchensk, à la frontière chinoise, sont des villes européennes avec seulement quelques commerçants ou immigrés chinois en nombre très limité. Une invasion aurait pu avoir lieu en Extrême-Orient dans les années 1990, tant la situation s’était dégradée. Il est à remarquer que les migrants chinois de l’époque ont profité du laxisme et de l’anarchie ambiante pour filer à l’Ouest de la Russie. Être clandestin n’est pas aisé aujourd’hui en Extrême-Orient et en Sibérie : la frontière est relativement imperméable; le risque est grand; les hôtels sont sous contrôle étroit; le chaos qui suivit l’éclatement de l’U.R.S.S. est déjà loin.

Quant aux immigrés en Russie de l’Ouest en provenance du Caucase (Géorgie, Arménie, Azerbaïdjan) ou de l’Asie centrale (Tadjikistan), ils sont quelques millions, dont beaucoup de clandestins, mais ne représentent  aucun danger ou aucune menace réelle à ce jour sur le territoire russe tant par leur nombre, que par leur implantation contrôlée d’une façon très étroite par la police et les autorités. La population russe autochtone les perçoit d’une façon très défavorable avec des sentiments nationalistes, comme a pu le montrer l’émeute villageoise pendant plusieurs jours à Kondopoga en Carélie, en septembre 2006, à l’égard de communautés caucasiennes, principalement tchétchènes.

La Russie a réagi à la crise démographique selon le bon sens, en pensant courageusement et d’instinct la natalité à relever. Dès 2003, suite à la proposition du député conservateur Alexandre Tchouev, le Parlement a supprimé la pratique de l’I.V.G. pour raisons sociales; l’avortement n’est autorisé qu’en cas de viol, si la mère est déchue de ses droits parentaux, ou si le père est handicapé. En mai 2006, le président Poutine a confirmé la mise en place d’une politique nataliste. Cette politique permet aux mères de bénéficier d’une « prime de maternité » conséquente (1 250 000 roubles, soit 17 350 euros pour la naissance d’un second enfant et 1 300 000 roubles (18 825 euros pour le troisième). Depuis février 2006, des « certificats de naissance » ont été introduits dans les maternités : remplis lors de la naissance d’un enfant, ils permettent à la mère de toucher sa « prime de maternité » et à la sage-femme de bénéficier d’une « prime d’assistance » de 10 000 roubles (294 euros) pour chaque enfant né dans son service.

La Russie a dû aussi faire face à un véritable drame humanitaire en matière de logement avec l’absence d’espace physique pour l’enfant qui conduisait à l’enfant unique. La construction, en plein essor, devrait contribuer au redressement de la natalité. Le logement, l’éducation, l’agriculture et la santé constituent les quatre « projets nationaux » des perspectives 2020 pour la Russie. Aux États-Unis, le « Baby boom » avait été la conséquence d’une migration de masse des centres-villes vers les banlieues, « vers la terre ».

L’espérance de vie, selon Boris Revitch du Centre de démographie russe, était de 59 ans pendant les années 1990 à la naissance, soit vingt ans de moins qu’en Europe occidentale. Elle est aujourd’hui en 2011, supérieure à 69 ans. Les fléaux que la Russie doit affronter en matière démographique sont les suivants : l’alcoolisme (34 500 morts par an), le tabagisme (500 000 morts par an), les maladies cardio-vasculaires (1,3 millions de morts par an), le cancer (300 000 morts par an), le sida, les accidents de la route (39000 morts par an, soit le plus élevé du monde et trois fois plus qu’en France), les meurtres (36 000 par an), les suicides (46 000 par an), la déficience du système de santé qui faisait la fierté de l’U.R.S.S. et qui est devenue une catastrophe sanitaire. La mortalité infantile (11 pour 1 000 est deux fois plus élevée que dans l’U.E.). Au-delà de la nouvelle législation en place, des progrès doivent encore être faits pour la diminution du nombre d’avortements qui a diminué de 25 % entre 2003 et 2008, mais on recensait tout de même encore 1,234 millions d’avortements en 2008, pour 1,714 million de naissances de la même année ! Par ailleurs, la Russie doit faire face à un effet d’hystérésis, suite à la structure de sa population et à toutes ces années catastrophiques, ce qui a généré  un rétrécissement de la strate de population en âge de procréer.

Le retour aux valeurs traditionnelles, à la religion orthodoxe devrait aussi contribuer à sortir de l’habitude de l’enfant unique. Tout progrès réel repose en fait sur une révolution des mentalités favorisant la famille nombreuse. Il semble que la situation à ce sujet soit moins désespérée en Russie qu’en Allemagne. Le président Medvedev a proposé en 2010, en plus des mesures Poutine ci-dessus mentionnées, une réduction d’impôts de trois mille roubles (72 euros) par mois et par enfant à partir du troisième enfant. Pour les autres familles avec enfants, il s’est déclaré également favorable à une réduction des impôts, sans pour autant donner de chiffres. Un exemple anecdotique, mais hautement symbolique de l’attitude politique russe envers les familles et les naissances, est la campagne officielle « Donnez naissance à un patriote pour la fête de l’Indépendance de la Russie ! », dans la région d’Ulyanovsk située à environ 850 km à l’Est de Moscou, campagne dotée de prix, dont le premier est une voiture !

En 2005, la population avait  décru de 760 000 habitants, ce qui était le record absolu. En 2006, la baisse ne fut que de 520 000 habitants, puis 280 000 habitants en 2007,116 000 habitants en 2008.  La bonne nouvelle, c’est qu’en 2009 avec 1,76 millions de naissances, 1,95 millions de décès, 100 000 émigrants, et 330 000 naturalisations, la population russe a augmenté pour la première fois depuis quinze ans de  50 000 habitants. Le taux de fécondité de 1,9 enfants par femme en 1990, tombé  à 1,1 enfant par femme en 2000, est remonté à 1,56 enfants par femme en 2009, soit un taux similaire à celui de l’U.E. qui était de 1,57 enfants par femme en 2008.

Trois  prévisions démographiques majeures ont été envisagées pour la démographie en Russie en 2010. Selon une prévision estimée mauvaise du ministère russe de la Santé, la population devrait continuer à baisser pour atteindre 139 630 000 habitants en 2016 et 128 000 000 d’habitants en 2030. Le taux d’immigration resterait faible autour de 200 000 personnes par an pour les vingt prochaines années.

Selon une prévision estimée moyenne du même ministère, la population russe devrait légèrement augmenter jusqu’en 2016 pour atteindre 142 160 000 habitants, puis recommencer à légèrement baisser, de 200 000 ou 300 000 habitants dès 2020, pour atteindre 139 372 000 habitants en 2030. Le taux d’immigration serait contenu à une moyenne de 350 000 nouveaux entrants par an, ce qui est à peu près la moyenne de 2009, année durant laquelle 334 500 étrangers et apatrides ont reçu la nationalité russe.

Selon une prévision haute toujours du même ministère de la Santé, la population devrait augmenter à près de 144 000 000 d’habitants en 2016 et continuer à augmenter jusqu’à 148 000 000 en 2030. Le taux d’immigration serait plus élevé dans cette variante, soutenant la hausse de la population et avoisinerait les 475 000 nouveaux entrants par an. D’ici vingt ans, on arriverait à une « immigration » équivalente à 8 % de la population du pays. Celle-ci serait principalement du  Caucase et de la C.E.I., donc de populations post-soviétiques, russophones, dont des communautés sont déjà présentes en Russie et pas foncièrement déstabilisantes.

En conclusion, la hausse de la natalité est le résultat de la politique volontaire de Vladimir Poutine, de Dimitri Medvedev et de leurs gouvernements. La baisse de la natalité dans les pays occidentaux, elle, est  le résultat de la politique volontaire de l’oligarchie mondialiste au pouvoir qui ne tient pas compte des causes qu’elle a créées (déchristianisation, corruption des mœurs, libéralisation de la contraception, de l’avortement, de l’homosexualité, féminisme et travail des femmes, destruction des petits agriculteurs, regroupement des populations dans les métropoles, diminution des allocations familiales  qui ne sont plus réservées aux citoyens français de souche, mais bien au contraire de plus en plus aux populations immigrées, ce qui est le comble de la bêtise et du suicide programmé…), bref, ce qu’on appelle « la culture de mort ». Déjà Emmanuel Le Roy Ladurie, membre de l’Institut, remarquait que la France reste un pays où le pourcentage des avortements (220 000 par an) égale le taux de mortalité des bébés âgés de moins d’un an au temps de Louis XIV. Peut–on vraiment parler de progrès dans ces conditions ? L’oligarchie mondialiste  considère que l’unique remède contre la dénatalité est l’immigration. L’objectif est de fabriquer à l’échelle planétaire, une population d’apatrides et de déracinés opposés les uns aux autres dans une guerre civile mondiale, les peuples devenant des minorités dans leurs propres patries (2).

La Russie  qui fait  face à des difficultés bien plus grandes que l’U.E. a dit non à ces folies occidentales. Elle nous montre le chemin du redressement démographique, du coup d’arrêt à donner à l’immigration, bref le chemin de la survie de  notre civilisation européenne !

Marc Rousset

Notes

1 : Hélène Carrère d’Encausse, La Russie entre deux mondes, Fayard, 2010, p. 64.

2 : cf. Dissonance, le blogue d’Alexandre Latsa.


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Alexander Dugin on the failure of Russian philosophy

Alexander Dugin on the failure of Russian philosophy

Cas Mudde: "Populisme hoeft geen probleem te zijn"

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Ex: http://www.volkskrant.nl/vk/nl/2844/Archief/

'Populisme hoeft geen probleem te zijn'
 

29/01/11, De Volkskrant
>
> Getatoeëerde wetenschappers zijn betrekkelijk zeldzaam, maar Cas Mudde is
> waarschijnlijk uniek. Op zijn rechteronderarm heeft de politicoloog de
> Nederlandse Leeuw, op zijn linker onderarm een gebalde vuist. Op een
> winterse middag in Amsterdam wil hij ze niet ontbloten. Ach, zo interessant
> zijn ze niet, zegt hij, gewoon een herinnering aan zijn tienertijd, toen hij
> skinhead was.
> Cas Mudde is een van de meest vooraanstaande experts op het gebied van het
> populisme in Europa. Hij werkte jarenlang voor de Universiteit van Antwerpen
> en doceert tegenwoordig aan DePauw University in de Amerikaanse staat
> Indiana. Vorige week was hij even in Nederland voor een congres aan de
> Radboud Universiteit in Nijmegen.
>
> 'Ik was skinhead van mijn 15de tot mijn 18de', zegt hij. 'Ik was de enige
> liberale skinhead van Nederland. Althans, ik ben geen andere tegengekomen.'
> Hij hield van de stijl, de mode, de muziek. Ska en oi, een punkvariant. Hij
> stapte eruit toen skinheads steeds meer geassocieerd werden met neonazi's.
> 'Ik ben gestopt in 1983, toen de Antilliaanse Kerwin Duinmeijer door een
> skinhead werd vermoord. Ik woonde toen in Hoofddorp, waar ook veel
> Marokkanen woonden. Het werd toen echt gevaarlijk om een skinhead te zijn.
> Als je bedreigd werd, kon je moeilijk roepen: ja, maar ik ben een liberale
> skinhead.'
>
muddeLivre.jpg> Aanvankelijk bestudeerde Mudde het rechts-extremisme van de jaren tachtig en
> negentig: de Centrumpartij van Janmaat, het Vlaams Blok, de Duitse
> Republikaner. Gaandeweg verschoof zijn aandacht naar het populisme, van de
> PVV tot het Franse Front National en de Oostenrijkse FPÖ van Jörg Haider. In
> wetenschappelijk opzicht heeft zijn skinheadperiode hem zeker beïnvloed.
> 'Toen ik begon, probeerden wetenschappers vooral te bewijzen hoe fout
> extreem-rechts was, door een link met de Tweede Wereldoorlog te leggen. Maar
> anders dan de meeste onderzoekers kende ik radicaal-rechtse mensen', zegt
> hij. 'Ik wist hoe weinig het voorstelde, dat er maar honderd man kwamen bij
> een demonstratie, terwijl de krant schreef dat het er 1.500 waren. Ik wist
> ook dat radicaal-rechtse mensen net zo complex zijn als alle andere. Ik
> kende bijvoorbeeld iemand die een hekel had aan buitenlanders, maar wel ging
> voetballen met Ali. Want Ali was geen Turk, want Ali had werk.'
>
> Zijn oudere broer Tim was actief in de CP '86, speelde in bands als De
> Dietse Patriotten en drijft een nationalistisch postorderbedrijf. Mudde is
> nooit zo bang geweest voor extreem-rechts en later voor het populisme. Voor
> hem waren de aanhangers van radicaal-rechtse partijen geen eendimensionale
> stripfiguren die klaar stonden om de Tweede Wereldoorlog over te doen. In
> zijn wetenschappelijk werk probeert hij de radicaal-rechtse kiezer te
> begrijpen en serieus te nemen. Lange tijd meenden onderzoekers dat je gek,
> bang of werkloos moest zijn om op een rechtse partij te stemmen. De
> aanhangers van Le Pen, Filip de Winter of Pim Fortuyn waren verliezers die
> hun rancune richtten op immigranten. Maar empirisch onderzoek laat iets heel
> anders zien. De verschillen tussen de kiezers van radicaal-rechts en de
> gevestigde partijen zijn helemaal niet zo groot. Aanhangers van Wilders of
> de Deense Volkspartij zijn ook helemaal geen verliezers, blijkt uit
> onderzoek, ook niet als ze wat lager opgeleid zijn. Menige vakman doet het
> beter dan een academicus of hbo'er met een incourante studie.
> Mudde: 'Het onderzoek naar extreem-rechts is sterk beïnvloed door het
> naoorlogse onderzoek naar het fascisme. Een studie als The Authoritarian
> Personality van Adorno heeft een grote rol gespeeld. Er bestond de neiging
> om de rechtse aanhangers te pathologiseren. Ze zijn bang, ze zijn agressief,
> ze kunnen intellectueel niet mee.'
>
> 'Vaak is er wel een klassenverschil tussen populisten en gevestigde
> partijen. Maar dat verschil wordt veel kleiner als een partij meer wordt
> geaccepteerd. De Centrumpartij van Janmaat was een partij voor een
> onderlaag. Maar van een partij die 25 procent van de stemmen trekt, kun je
> niet meer beweren dat ze slechts een klein en specifiek deel van de
> bevolking vertegenwoordigt. Bovendien: als je kijkt naar opvattingen is het
> verschil tussen de kiezers van de populisten en de gevestigde partijen nog
> veel kleiner.'
>
> Mudde wijst op Europees opinie-onderzoek. Tweederde van de Europeanen vindt
> dat er geen immigranten meer bij mogen komen. Bijna 80 procent vindt dat
> jongeren harder aangepakt moeten worden, thuis en op school. Maar liefst 85
> procent vindt de samenleving te tolerant.
> 'Vaak is gezegd dat populisten vijandig staan tegenover de democratische
> westerse waarden, waardoor je niet met ze zou kunnen samenwerken. Maar ze
> bieden slechts een radicale versie van de waarden die in de mainstream van
> de samenleving volop gedeeld worden. Daar is niets pathologisch aan.'
> 'Hij streeft naar een shockeffect. Toch vindt bijna iedereen dat 'we'
> bedreigd worden. We verschillen alleen van mening over de mate waarin.'
> 'Op nationaal niveau zeker. Op het niveau van sommige wijken kun je een heel
> ander verhaal houden. De multiculturele samenleving heeft grote problemen.
> Ik ben net in Schaarbeek bij Brussel geweest, daar word je niet vrolijk van.
> Maar voor mij is niet de islam het probleem.
>
> 'In Nederland wordt de meeste overlast niet veroorzaakt door 'de'
> buitenlanders of 'de' moslims, maar door Marokkaanse jongens, van wie we
> weten dat ze niet zo vaak naar de moskee gaan. Toch blijven we ze als moslim
> beschouwen. En we blijven zoeken: wat zit er in de islam waardoor kinderen
> zich zo gedragen. Daardoor zien we ook de verschillen tussen moslims niet
> meer. Turken veroorzaken minder overlast, Marokkaanse meisjes doen het goed.
> Bovendien: ook niet-moslims zoals Antilliaanse jongens veroorzaken
> problemen.'
>
> 'Ja, dankzij de islam mocht het eindelijk. Wat Nederland altijd heel sterk
> heeft gehad, is het idee: geen tolerantie voor de intoleranten. We hadden
> een buitengewoon sterk anticommunisme. Postbodes werden ontslagen omdat ze
> lid van de CPN waren. Dat ging veel verder dan in de meeste andere landen.
> Toen kwam extreem-rechts, dat waren de nieuwe intoleranten. Die werden ook
> bijna alle rechten ontzegd. Ze mochten bijvoorbeeld bijna nooit
> demonstreren. Nu zijn moslims de nieuwe intoleranten. We hebben een lange
> traditie om datgene wat we als intolerant zien, ook volledig uit te sluiten.
> 'Nederlanders vinden zichzelf ongelooflijk tolerant. Op een bepaalde manier
> zijn we dat ook wel, bijvoorbeeld in de acceptatie van homoseksualiteit. We
> hebben een heel brede mainstream. Maar als je daarbuiten valt, ben je dood.
> Sociaal dood, politiek dood en vaak ook juridisch dood. In de Verenigde
> Staten is dat heel anders. Daar heb je een smalle mainstream. Als je daar
> buiten valt, so be it. Neonazi's bijvoorbeeld. Iedereen is er tegen, maar
> niemand zal naar de rechter lopen om ze te verbieden. Ze mogen daar gewoon
> demonstreren.'
>
> Net als Denemarken en Zweden is Nederland een conformistisch land, zegt
> Mudde. Noord-Europeanen worden zenuwachtig van mensen die er totaal andere
> ideeën op nahouden. Dat valt hem nog meer op sinds hij in Amerika woont, na
> zijn huwelijk met de politicologe Maryann Gallagher.
> 'We geloven dat we heel kritisch zijn. Nederlandse studenten staan erom
> bekend dat ze altijd kritische vragen stellen, ook al hebben ze de boeken
> helemaal niet doorgenomen. Amerikaanse studenten doen dat niet. Ze denken
> ook meer: jij bent de hoogleraar, dus jij zult er wel meer van weten dan ik.
> Terwijl Nederlandse studenten eerder zeggen: jouw mening is ook maar een
> mening.'
>
> Vreemd genoeg gaat die kritische instelling gepaard met een sterke
> eenvormigheid. Iedereen stelt dezelfde kritische vragen. Jarenlang mocht je
> niets negatiefs zeggen over immigranten, nu mag je er niets positiefs over
> zeggen. De publieke opinie zwiept van links naar rechts. De multiculturele
> samenleving was ooit de trots van een natie die zichzelf als ruimdenkend en
> tolerant beschouwde, maar wordt inmiddels door niemand meer verdedigd.
> Mudde: 'Waar ik mij altijd over verbaas: als Nederlanders immigranten
> bekritiseren, zeggen ze er heel vaak bij: maar dat mag je hier niet zeggen.
> Sorry hoor, maar ik hoor al tien jaar niets anders dan islamofobische
> idiotie.'
>
> Sinds hij in 1998 uit Nederland wegging - eerst naar Antwerpen, toen naar
> Amerika - is het populisme in de Nederlandse cultuur sterk toegenomen.
> 'Vroeger zag je op tv hoogleraren het nieuws duiden, nu stappen
> verslaggevers op de man in de straat af. Zo'n programma als Oh Oh Cherso
> illustreert ook de enorme fascinatie met de onderste klasse. Niet met de
> bovenste klasse, die is verdacht.'
> De man in de straat is geëmancipeerd, maar wordt nog altijd gewantrouwd,
> anders dan in Amerika. 'Amerika heeft een grote populistische traditie. Het
> volk is zuiver en goed. In Nederland werd het volk altijd gewantrouwd. De
> democratie werd van bovenaf toegestaan, het electoraat werd heel voorzichtig
> in kleine stapjes uitgebreid. En deep down vertrouwen veel mensen het volk
> nog steeds niet. Net als in Duitsland is dat versterkt door het trauma dat
> Hitler langs democratische weg aan de macht is gekomen.'
>
muddelivre2222.jpg> 'Voor een deel is populisme geen probleem. Kritiek is goed. Het is goed dat
> de bevolking niet meer denkt: die meneer heeft ervoor doorgeleerd, laten we
> het zo maar doen.
> 'Maar als liberaal democraat vind ik wel dat er gevaren zitten aan het
> populisme, vooral in het idee dat 'wij' - 'het volk' - allemaal hetzelfde
> zouden willen. Het volk bestaat uit mensen met verschillende belangen en
> verschillende meningen. Daar moet je een consensus in vinden. Je kunt van
> mening verschillen over de vraag hoe ver je moet gaan met het sluiten van
> compromissen. Maar het idee dat consensus iets slechts is, dat is
> levensgevaarlijk.
>
> 'Populisten geloven in het idee van een 'algemene wil', de wil van de
> meerderheid van het volk, waarbij anderen zich moeten neerleggen. Daarom
> hebben zij grote moeite met constitutionele rechten van minderheden. Niet
> alleen etnische, maar ook religieuze en politieke minderheden. Bovendien
> gaat populisme vaak gepaard met nationalisme en andere vormen van collectief
> denken. Daardoor wordt het individu gereduceerd tot vertegenwoordiger van
> een groep. Als liberaal vind ik dat problematisch.
>
> 'Populisten verzetten zich ook vaak tegen onafhankelijke instanties, zoals
> de rechterlijke macht. Ik vind dat Wilders zich redelijk netjes heeft
> gedragen tijdens zijn proces. Hij heeft wel een paar keer iets gezegd over
> D66-rechters, maar iemand als Berlusconi gaat veel verder. Die zegt tegen
> rechters: ik ben gekozen door het volk, jullie niet, dus ik ben altijd
> hoger. Maar in een rechtsstaat hebben we niet voor niets een scheiding der
> machten.'
> 'Je moet niet de boodschappers bestrijden, maar de onderliggende problemen.
> In Nederland wordt altijd ingehakt op Janmaat, Fortuyn of Wilders. Maar stel
> dat je Wilders wegkrijgt, daarmee heb je het probleem nog niet opgelost.
>
> 'Het Vlaams Belang is over zijn hoogtepunt heen. Maar die kiezers zijn echt
> geen tevreden sociaal-democraten geworden. Ze gaan helemaal niet meer
> stemmen, of kiezen voor andere partijen met populistische trekjes, zoals de
> Lijst Dedecker.'
> 'Ik vind het heel logisch dat VVD en CDA met de PVV regeren. Ze hebben meer
> gemeen met de PVV dan met de PvdA. De PVV ligt helemaal niet zo ver buiten
> de mainstream. Het populisme heeft alleen punten die strijdig zijn met de
> liberale democratie. Die grens moet je bewaken.'
> 'Nee, uit elk onderzoek blijkt dat burgers helemaal niet meer aan politiek
> willen doen. Ze vinden een keer in de vier jaar stemmen al vervelend genoeg.
> De meeste aanhangers van radicaal-rechtse partijen willen vertegenwoordigd
> worden door mensen door wie ze zich begrepen voelen. Pim wist wat de mensen
> bewoog. Laat Pim het ook maar uitvoeren.
>
> 'Kiezers willen politici die voor een visie staan die ze ook op een
> competente manier kunnen uitvoeren. En die zien ze niet. Ik weet niet of
> politici vroeger beter waren. We zagen natuurlijk ook veel minder, omdat de
> media niet zo alomtegenwoordig waren. Maar er waren wel meer politici die
> zeiden: hier sta ik voor. Als je dat niet bevalt, ga je maar naar een
> ander.'
>
> 'Misschien. Misschien kun je tegenwoordig maar vier jaar de macht hebben,
> waarna het voorbij is. Maar wat is het alternatief? Je op de vlakte houden
> en hopen dat je kunt mee hobbelen? Dat leidt ook nergens toe. Partijen
> moeten terug naar hun eigen ideologische kern, als ze die kunnen vinden. Nu
> richten ze zich te veel op Wilders. De PvdA komt met Cohen als de
> anti-Wilders. Maar zo ga je helemaal mee in zijn verhaal. Je hoeft niet zo
> bang te zijn voor Wilders. Laat hem maar 25 procent halen, dan blijft er nog
> altijd 75 procent over.'
>
> De PvdA is voor Mudde hét voorbeeld van hoe het niet moet. 'Ideologisch is
> die partij dood. Sociaal-economisch was ze al dood, door mee te gaan met het
> neo-liberalisme. Nu zijn ze ook sociaal-cultureel dood, omdat ze meegaan in
> het discours dat cultuur en religie de belangrijkste oorzaak van problemen
> zijn', zegt hij.
> Natuurlijk kunnen zulke factoren best een rol spelen, maar een
> sociaal-democratische partij zou de nadruk moeten leggen op solidariteit en
> klassenverschillen, op onderwijs en werk als sleutel tot integratie.
>
> Maar ook als de traditionele partijen zich hervinden, zal het populisme niet
> verdwijnen. Mede door het gestegen opleidingspeil hebben burgers meer
> zelfvertrouwen gekregen, waardoor zij zich niet meer zo gemakkelijk laten
> leiden door een bovenlaag. Wel zullen populistische partijen meer onderhevig
> zijn aan schommelingen, naarmate zij gewoner worden.
>
> 'Journalisten vergeten dat vaak. Ze tellen alleen op, waardoor het lijkt
> alsof de populisten overal winnen. Maar oudere partijen als het Vlaams
> Belang en de Franse partij Front National doen het helemaal niet zo goed',
> aldus Mudde.
> De PVV zit wel in de lift, ook dankzij het politieke meesterschap van Geert
> Wilders, die voor Mudde geen onversneden populist is. 'Bij Wilders is
> islamofobie duidelijk de kern van de zaak. Het populisme is er pas later bij
> gekomen. Wilders voelt zich ook niet zo op zijn gemak onder het volk, heel
> anders dan Fortuyn.
> 'Het knappe van Wilders is dat hij zo veel geduld heeft. Hij denkt op lange
> termijn, daarom liet hij de gemeenteraadsverkiezingen grotendeels aan zich
> voorbijgaan. Vanwege de Eerste Kamer moet hij nu wel meedoen aan de
> Statenverkiezingen.
> 'Het is heel moeilijk om zo snel zo veel goede mensen bij elkaar te krijgen.
> Dat gaat ook mislukken. Normaal gesproken is niemand geïnteresseerd in
> Provinciale Staten. Hoe vaak schrijven de kranten over ruziënde
> Statenfracties? Nooit, behalve als het over de PVV gaat.'

Professor Cas Mudde


 

87838Despite only having been in the United States for a few years, Cas Mudde can rattle off recent election results with the finesse of a network news correspondent. It helps that Mudde, the Nancy Schaenen Visiting Scholar in Ethics and visiting associate professor of political science, is an expert on right-wing politics, especially during the hard-to-starboard shift of the 2010 American midterms.

Mudde came to DePauw this summer from University of Notre Dame's Helen Kellogg Institute for International Studies, where was a visiting fellow for a year. Before arriving stateside in 2008, he spent a decade studying Europe's radical right parties at universities in Belgium, the Czech Republic, Hungary, Scotland and his home in the Netherlands.

He has published widely on topics such as political extremism,
democratization in Eastern Europe, civil society, and Euroskepticism. His most recent book is Populist Radical Right Parties in Europe, which won the Stein Rokkan Prize for Comparative Social Science Research and was named a Choice "Outstanding Academic Title." Among his other publications are the co-edited mini-symposium "The Numbers We Use, The World We See" in Political Research Quarterly; the co-edited special issue "Deviant Democracies: Democratization Against the Odds" of Democratization; and the edited volume Racist Extremism in Central and Eastern Europe.

But Europe doesn't share the United States' political landscape. Students in Mudde's first-year seminar, Radical Right Politics in Europe, learn a political language filled with new directional connotations. Outside of America, what is right and what is left?

For example, Mudde explains, "Europeans had bizarrely favorable views toward Obama. We had Social Democrats and even Greens supporting Obama, whereas in much of Europe he would be considered center-right."

Or, on how the Tea Party movement, formed in the wake of the 2008 election, compares to populist movements overseas: "The idea of a small government really isn't that popular in Europe," Mudde says. "Most populists there actually support a fairly well-developed welfare state. In Europe, the key issue has been nativism. So, you have very different ideologies, even though both can be considered right wing."

Next spring, Mudde will teach a course based on his current research. Liberal democracies often face the dilemma of having to defend themselves from extremism without undermining their core values. Does our Fifth Amendment's Due Process Clause apply to terrorism suspects? How is it possible for a free society such as Germany to ban Nazi paraphernalia? Answers to those questions don't come without debate.

"Some of the actors who have challenged liberal democracies truly are anti-democratic," Mudde says. "They can be violent or non-violent, and some are pro-democratic. Nevertheless, they all  create repression. I want to look at where the boundaries should be."

This semester, Mudde organized Cinema Oi!, a film series about one such group, known globally as skinheads. The films, however, weren't his introduction to skinhead counter-culture – his body is marked with signs of membership.

 

For Mudde, being a skinhead was about being part of a social scene. It meant that you liked a certain type of music – ska or Oi!, a type of street punk – and wore the right clothes. Political beliefs were never the allure, but they would end up pushing Mudde out.

"At a certain point in time, because of developments in the Netherlands, 'skinhead' became associated with 'neo-Nazi,' even though the majority of skinheads were not," Mudde says. "I felt that my struggle to be the last liberal skinhead was not really worth it."

Today, much of what constitutes political discourse affirms Godwin's Law, the observation that the longer something is discussed, the more likely it will end with a comparison to Adolf Hitler or the Nazis. But having been in the presence of radicals who unabashedly carry that banner, Mudde says the rhetoric goes too far.

"Lewis Black called it 'Hitler Tourette's,' and it has gone both ways," Mudde says. "Neither Obama nor Bush is anything like Hitler. If you had a little bit of an education, you'd be ashamed to say that."

Presseschau - Februar 2011 / 01

ZeitungsleserX1.jpg

Presseschau

Februar 2011 / 01

Liebe Angemailte,
na ja, mal eine kleine Presseschau für Januar. Vielleicht interessiert manches den ein oder anderen ja ein kleines bischen.

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Einige Links der Presseschau spezial. Bei Interesse einfach mal anklicken, ansonsten ignorieren.

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US-Truppenabbau
Decision on Europe-based brigades expected early this year
http://www.stripes.com/news/decision-on-europe-based-brig...
(man beachte vor allem die Leserkommentare zur zukünftigen US-Truppenstrategie, z.B. von RedLeg6 !)

Kolumne
Obamas Dilemma
http://www.fr-online.de/politik/meinung/obamas-dilemma/-/...

Kauf von Staatsanleihen
China will Spanien aus Schuldenkrise helfen
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,737506,0...

Aigner warnt wegen Preisauftrieb vor Hungerrevolten
http://www.focus.de/politik/schlagzeilen/nid_62654.html

Mexiko
Polizisten quittieren aus Angst vor Drogendealern den Dienst
http://www.focus.de/politik/weitere-meldungen/mexiko-poli...

«Krieg» zwischen Berlusconi und der Justiz
http://newsticker.sueddeutsche.de/list/id/1102945

Ist Silvio Berlusconi der moderne Machiavelli?
http://www.welt.de/politik/ausland/article12333071/Ist-Si...

Griechenland: Grenzzaun wird kürzer
http://wienerzeitung.at/default.aspx?tabID=3861&alias...

Griechenland klagt für NS-Entschädigung
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Netanjahu: Deutschland soll schneller zahlen
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Stadtwald von Eger
Die Zeit des Kalten Krieges ist vorbei
http://www.sueddeutsche.de/bayern/stadtwald-von-eger-die-...
http://www.oberpfalznetz.de/zeitung/2590432-100-egerer_st...
(auf Seite 2 weiterklicken)

(auch interessant. Solange es um multinationale Kunstgebilde geht setzen sich Studenten auf einmal für den funktionierenden Staat ein…)
Protestmarsch gegen Regierungskrise
Studenten mobilisieren Zehntausende Belgier
http://www.tagesschau.de/ausland/belgien246.html

Ost-Belgien
Dankbarkeit für das, was 66 Jahre danach ist
http://www.st.vith.be/neues/pressespiegel/detailansicht/a...

WikiLeaks: Über das Problem von schmutzigen Wahrheiten
http://www.blauenarzisse.de/index.php/gesichtet/2232-wiki...

BA-Chef Weise glaubt an Vollbeschäftigung
Allerdings gebe es wegen des Fachkräftemangels einen dringenden Zuwanderungsbedarf
http://www.welt.de/print/welt_kompakt/print_wirtschaft/ar...

Siemens: Pierers Erbe
Weniger deutsch, weniger weiß, weniger männlich
http://sueddeutsche.de/wirtschaft/siemens-weniger-deutsch...
(Die Überschrift ist Programm…)

(Linke gegen Schuldenverbot)
Schuldenbremse
Linke erwägt Klage
http://www.hr-online.de/website/rubriken/nachrichten/inde...

(Schwarze Regierung setzt urgrüne Forderungen durch…)
Merkels Ministerinnen streiten über Frauenquote
http://newsticker.sueddeutsche.de/list/id/1103974

Holocaust
Wulff sieht "ewige" Verantwortung der Deutschen
http://www.welt.de/politik/deutschland/article12361622/Wu...
(die Leserkommentare lesen! Sie sprechen eine eindeutige Sprache…)

Jährliches, Allzujährliches
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Aufstand des Infantilismus
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Stéphane Hessels Pamphlet
Empört euch!
Er kämpfte in der französischen Résistance, war später Diplomat und weiß die republikanischen Ideale hochzuhalten. Und seit kurzem ist Stéphane Hessel auch Autor eines schmalen Bestsellers: Auszüge aus seinem Pamphlet „Empört euch!“, das Frankreich bewegt.
http://www.faz.net/s/Rub117C535CDF414415BB243B181B8B60AE/...

bluthilde blog
Weg vom Patriarchat, hin zum Proletariat! – jetzt auch in kultursensibler Sprache
http://bluthilde.wordpress.com/

Die neue Macht am Rhein
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Forscher sehen Sarrazin-Thesen widerlegt
http://www.swp.de/ulm/nachrichten/politik/Forscher-sehen-...
http://www.neues-deutschland.de/artikel/188131.sarrazin-h...
dazu auch noch:
http://www.achgut.com/dadgdx/index.php/dadgd/article/frau...

Psychologie der Sarrazin-Leser
Auch die Unterschicht kauft Thilo
http://www.taz.de/1/politik/deutschland/artikel/1/auch-di...

Mainz
Proteste gegen Sarrazin
http://www.sueddeutsche.de/n5838U/3811529/Proteste-gegen-...

Demo in Mainz gegen „Volksverhetzer“ Sarrazin (Fotostrecke anschauen)
http://www.abendblatt.de/politik/article1744551/Demo-in-M...

Offenbach: Erfolgreiche antifaschistische Demo
http://de.indymedia.org/2011/01/298412.shtml
http://offenbach.blogsport.de/

Nürnberg
Polizeibeamte mit Feuerwerkskörpern angegriffen
http://www.polizei.bayern.de/mittelfranken/news/presse/ak...

Linke Gewaltwelle in Berlin befürchtet
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....
(eindeutige Leserkommentare…)

Berlin Friedrichshain
Häuserräumung: Haftbefehle gegen drei Randalierer
http://www.abendblatt.de/vermischtes/article1773385/Haeus...

(Deutschlandhasser auf Millionärskurs…)
SLIME: Gitarrist bei "Wer wird Millionär"
http://www.in-your-face.de/news/2011-20425/slime-gitarris...

Der Punk mit der Beamtenvariante
http://www.abendblatt.de/hamburg/article1763704/Der-Punk-...
(seine 16.000 Euro hat er bekommen, mehr aber auch nicht)

(und wieder einmal offenbart sich das linke Antifantentum als reines postpubertäres Dekadenzphänomen problembeladener Bürschchen, das sich auflöst, sobald das große Geld lockt)
Jan Delay in der Offenbacher Stadthalle
http://www.op-online.de/nachrichten/kultur/jan-delay-stad...

(ein guter Kommentar zu Jan Delay…)
Kommentar: Schnösel Jan Delay zieht über Offenbach her
http://www.op-online.de/nachrichten/kultur/kommentar-jan-...

(Hervorragender Kommentar…)
Überall Verschwörungen
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Bundesverfassungsgericht: „Ein im Rahmen der Führungsaufsicht für die Dauer von fünf Jahren  erteiltes allgemeines Publikationsverbot für die „Verbreitung
rechtsextremistischen oder nationalsozialistischen Gedankenguts“
ist verfassungswidrig“
http://www.bundesverfassungsgericht.de/pressemitteilungen...

Thomas Brehl gestorben
http://axelreitz.wordpress.com/2011/01/01/thomas-brehl-is...
http://npd-blog.info/2011/01/01/neonazi-thomas-brehl-vers...

Zum Tode des Autoren von “Blutzeugen”, André Busch
http://de.altermedia.info/general/zum-tode-des-autoren-vo...

Pedro Varela in Haft und Martin Humer unter Anklage
http://www.globalfire.tv/nj/11de/verfolgungen/pedro_humer...

Linken-Vorsitzende Lötzsch trifft RAF-Terroristin
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Rosa-Luxemburg-Konferenz: Kritik an Linkspartei-Chefin Lötzsch wächst
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Linksextremisten greifen Opfer des Stalinismus an
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Staatsanwaltschaft ermittelt gegen RAF-Terroristin Viett
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Politischer Eklat in Wiesbaden
Linke als Antisemiten angegriffen
http://www.fr-online.de/rhein-main/linke-als-antisemiten-...
Die Dokumentation:
http://www.petertauber.de/index.php?ka=1&ska=1&id...

Gewalt gegen Burschenschaften
Ein Fall für den Verfassungsschutz
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Ein "taz"-Mitbegründer soll Schüler missbraucht haben
http://www.zeit.de/gesellschaft/zeitgeschehen/2011-01/ode...

Christoph Butterwegge…
Rückwärts immer, vorwärts nimmer
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Linken-Chef Klaus Ernst
Wege zum Kapitalismus
http://www.fr-online.de/politik/wege-zum-kapitalismus/-/1...

Junge Union Thüringen fordert Verbot der Linksjugend
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Thierse ruft zur Blockade des „Trauermarschs“ in Dresden auf
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Fördergelder: Schröder setzt Gruppierungen der Linkspartei auf den Index
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Grüne Alternative Freiburg fordert Beseitigung des Siegesdenkmals
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Ort in Sachsen-Anhalt will Thälmann-Denkmal wieder aufstellen
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Sportverbände, Innen- und Familienministerium planen neue Initiative gegen Rechts / Claudia Roth: „Tarnung ist brandgefährlich!“
http://www.blauenarzisse.de/index.php/aktuelles/2236-spor...

Willfährige Presseartikel zur neuen „Gegen Rechts“-Kampagne, eine Auswahl:
http://www.focus.de/politik/deutschland/rechtsextreme-bra...
http://newsticker.sueddeutsche.de/list/id/1097850
http://www.rp-online.de/politik/deutschland/Neonazis-unte...
http://www.fr-online.de/sport/das-scheitern-von-politik-u...
eher skeptisch…
http://www.zeit.de/sport/2011-01/rassismus-sport-zwanzige...

(Diese Seite wird nach eigenen Angaben gefördert im Rahmen des Bundesprogramms “Vielfalt tut gut. Jugend für Vielfalt, Toleranz und Demokratie“…)
Rechte Publizisten
http://www.koelnganzrechts.de/weitere/publizisten.html

Kapitalismuskritik, die keine ist: Justus Wertmüller, der Nichtraucherschutz und das Verhältnis zum Volk
http://www.blauenarzisse.de/index.php/anstoss/2247-kapita...

Grünen-Politikerin fordert Abschaffung des Begriffs „Integration“
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm....

Nekla Celec – Frankfurt wird islamisch
http://apokalypsenow.wordpress.com/2011/01/18/nekla-celec...

Mit typisch „grünen“ Methoden
Eine Analyse der Reaktion Eskandari-Grünbergs auf die Kritik von Necla Kelek
http://www.freie-waehler-im-roemer.de/index.php?id=44&...

(mit den 25.000 Euro wäre der Afghane zu Hause ein gemachter Mann…)
Straßburg: Richter rügen EU-Asylpolitik
http://www.topnews.de/strassburg-richter-ruegen-eu-asylpo...

Frankfurt am Main
Streit mit Mitarbeiterin
Personaldezernent gegen Burka im Bürgeramt
http://www.faz.net/s/RubFAE83B7DDEFD4F2882ED5B3C15AC43E2/...

Die Frankfurter Burka-Frau im Bürgeramt: Römer-Parteien, besorgt euch Schamtücher!
Die Realität blamiert erneut das "Konzept" des Magistrats
http://www.freie-waehler-im-roemer.de/index.php?id=44&...

Silvester: Polnische Schlägerbande „bereichert“ Görlitz
http://www.nno-tv.de/?p=2950

Wiesbaden
Plädoyers im Messermörderprozess
http://www.welt.de/print/welt_kompakt/vermischtes/article...

Dreieich
Freigelassener Serien-Räuber
Opfer fordern: „Sperrt ihn endlich weg!“
http://www.bild.de/BILD/regional/frankfurt/aktuell/2011/0...

Überfall auf Spielothek in Offenbach
http://www.op-online.de/nachrichten/offenbach/ueberfall-o...

Festnahme nach Überfall auf Goldhändler in Offenbach
http://www.op-online.de/nachrichten/offenbach/goldhaendle...

Streetart
Kulturaktivismus für Anfänger
http://www.blauenarzisse.de/index.php/gesichtet/2213-kult...

Das Internet-Jahr 2010 in Zahlen
107.000.000.000.000 E-Mails, fast alle Spam
http://www.spiegel.de/netzwelt/web/0,1518,740121,00.html

Facebooks lascher Datenschutz
Etappensieg gegen Social Network Facebook
http://www.wallstreet-online.de/nachricht/3088201-faceboo...

Pinkel-Polizistin empört Dresden
http://www.20min.ch/news/kreuz_und_quer/story/Pinkel-Poli...
http://www.bild.de/BILD/regional/dresden/aktuell/2011/01/...

„Die Deutschen sind Ferkel“
Eine Putzfrau aus Polen schreibt in einem Buch, was sie „unter deutschen Betten“ fand.
http://www.tagesanzeiger.ch/ausland/europa/Die-Deutschen-...

älter, aber noch aktuell…
NSDAP-Mitglieder in der Ruhmeshalle des Sports
http://www.welt.de/sport/article1966989/NSDAP_Mitglieder_...

Das Frankfurter Städel arbeitet mit einem Buch seine Rolle in der NS-Zeit auf
http://www.welt.de/print/welt_kompakt/kultur/article12124...

Raubkunst
Das Städel im Nationalsozialismus
http://www.hr-online.de/website/rubriken/kultur/index.jsp...

Zweikaiserdenkmal Guben
http://www.stadtkirchegubin.de/00000198640aab305/03236299...
(Der Leser von heute vernimmt mit Betroffenheit die Töne von Deutschtümelei und Nationalismus, wie sie im Jahr 1914 und nach 1933 in verhängnisvoller Weise das Schicksal des deutschen Volkes bestimmen sollten…)

Humboldtforum
Stadtschloss bekommt Kuppel – wenn Geld da ist
http://www.morgenpost.de/berlin-aktuell/article1500143/St...

Leipzig, neue Hauptstadt der Gründerzeit
http://www.welt.de/print/wams/wirtschaft/article12385980/...

Steuergeldverschwendung in Münster…
Münsters un(v)erkennbare Platzgestaltung
Der Picasso-Platz zeigt Picassos Gesicht - doch leider ist das nur von weit oben zu sehen.
http://www.steuerzahler-nrw.de/Muensters-unverkennbare-Pl...

Gefahr Energetische Sanierung
Altes Stadtbild verschwindet hinter Styropor
http://www.newsclick.de/index.jsp/menuid/2048/artid/13495...

Planungsverfahren
Großprojekte sollen schneller genehmigt werden
http://www.faz.net/s/Rub0E9EEF84AC1E4A389A8DC6C23161FE44/...

Abrissgefahr…
Denkmalschutz in Wien
"Dann müsste auch der Stephansdom abgerissen werden"
http://derstandard.at/1293370410397/Denkmalschutz-in-Wien...

Initiative Denkmalschutz: Wiener Stadtbildpflege am Abstellgleis?
Die vernachlässigte Schutzzonenpolitik fordert zwei weitere Opfer
http://www.initiative-denkmalschutz.at/index.php/meldunge...

Denkmalschutz stimmt zu – Bau einer Elektrotankstelle geplant
Fachwerkhaus muss weichen
http://www.hna.de/nachrichten/kreis-kassel/kaufungen/fach...

Ruinen in Detroit - eine amerikanische Industriestadt im Sterben
http://www.guardian.co.uk/artanddesign/gallery/2011/jan/0...

Detroit: Downsizing einer Großstadt
http://diepresse.com/home/wirtschaft/international/625624...

Leerstand, Verfall und Abrisswahn in Chemnitz
http://www.repage4.de/member/schmalfuss/home.html

Denkmal für „Gustloff“-Versenker Alexander Marinesko in Kaliningrad
http://de.academic.ru/dic.nsf/dewiki/51479

Hadayatullah Hübsch ist gestorben
http://www.welt.de/print/welt_kompakt/kultur/article11997...
http://www.fr-online.de/frankfurt/ein-poet-und-muslim/-/1...

Auch er war unser. 
Von Uve Schmidt
Zum Tode von Hadayatullah Hübsch
http://www.glanzundelend.de/Artikel/abc/h/huebsch.htm

Schneegemälde:
Rembrandts Bildergrüße aus der Eiszeit
http://www.handelsblatt.com/magazin/kultur-lifestyle/schn...

Japanische Forscher wollen Mammut klonen
http://www.handelsblatt.com/technologie/forschung/medienb...

Die Unglaublichen
USA: Selbsternannte Superhelden im Superheldenkostüm machen die Straßen (un)sicher
http://www.heise.de/tp/r4/artikel/33/33983/1.html

Porträt des Facebook-Gründers
Wie Mark Zuckerberg wurde, was er ist
http://www.tagesspiegel.de/medien/wie-mark-zuckerberg-wur...

Mit dem Computer in den Hosentasche entsteht ein neuer öffentlicher Zwischenraum
http://www.heise.de/tp/r4/artikel/33/33977/1.html

Datensammler-Debatte
Kuschelkapitalismus aus dem Netz
http://www.spiegel.de/netzwelt/netzpolitik/0,1518,739027,...

Piloten fordern Verbot von Laserpointern
Luftsicherheit: Piloten werden immer öfter geblendet - Gefahr ist kaum abzuschätzen
http://www.echo-online.de/region/rhein-main/Piloten-forde...

älter, aber man sollte der Sache juristisch nachgehen…
Muss Belgien Vennbahn-Teilstück abtreten?
http://www.rundschau-online.de/html/artikel/1195834768551...

Langhans im Dschungelcamp
Warum diese Verachtung?
KOLUMNE VON JUTTA WINKELMANN
http://www.taz.de/1/debatte/kolumnen/artikel/1/warum-dies...

Langhans im Dschungelcamp
Politik der Ekstase
http://taz.de/1/debatte/kolumnen/artikel/1/politik-der-ek...

(sehr guter Kommentar…)
Harald Martenstein
Von Lust und Ekel
Das Dschungelcamp ist humaner als Fußball, findet unser Kolumnist
http://www.zeit.de/2009/07/Martenstein-07

Dschungelcamp: Sarah-Ära beendet, Langhans fliegt
http://www.abendblatt.de/vermischtes/article1767861/Dschu...

"Tal der Wölfe - Palästina":
Filmstart trotz Antisemitismus-Vorwürfen
http://www.stern.de/kultur/film/tal-der-woelfe-palaestina...

BgA fordert von Cinestar Absetzung des Film "Tal der Wölfe"
http://www.nordhessische.de/news.php?id=1786&c=2

Politik und „Gangsta-Rap“: Über den Sohnemann von Bayerns Innenminister
http://www.blauenarzisse.de/index.php/gesichtet/2230-poli...

SPREU & WEIZEN - Deutsche Passion (Videoclip)
http://www.youtube.com/watch?v=Tshn0nt-mkE&feature=pl...

Frei.Wild verabreicht eine Dosis „Gegengift“ für Mainstream-Gelangweilte
http://www.blauenarzisse.de/index.php/rezension/2218-frei...
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mercredi, 02 février 2011

Bernhard Schaub - Fazit der Bildungsmisere

Bernhard Schaub

Fazit der Bildungsmisere

 

mardi, 01 février 2011

Egypte: Israël roept Washington en Europa op om Moebarak te steunen

mubarak-saidaonline.jpg

Egypte: Israël roept Washington en Europa op om Moebarak te steunen
       
JERUZALEM 31/01 (AFP) = Israël heeft de Verenigde Staten en de Europese landen in een vertrouwelijke boodschap opgeroepen om het Egyptische regime van Hosni Moebarak te steunen. Dat meldt de krant Haaretz maandag.

In de boodschap onderstrepen de Israeliërs dat het in het belang van het Westen en van het hele Midden-Oosten is om de stabiliteit van het regime in Egypte te bewaren en dat er bijgevolg voorzichtiger moet worden omgesprongen met openlijke kritiek op president Moebarak. Volgens de krant is de oproep een vingerwijzing aan het adres van Washington en de Europese landen die hun steun aan het regime hebben
opgezegd. 

Een woordvoerder van de Israëlische premier Benjamin Netanyahu wilde de oproep niet bevestigen of ontkennen.

Tot hiertoe hield Israël zich eerder op de vlakte ten opzichte van de golf van protest in Egypte. Netanyahu zou aan zijn ministers de opdracht hebben gegeven om zich te onthouden van commentaar. Zelf verklaarde hij zondag enkel dat Israël de vrede met Egypte in stand wil houden. "Er is nu al meer dan drie decennia lang vrede met Egypte. Ons doel is om dat zo te houden", luidde het. SVR/WDM/

Dader van aanslag Moskouse luchthaven afkomstig uit Noordelijke Kaukasus

Dader van aanslag Moskouse luchthaven afkomstig uit Noordelijke Kaukasus

       
Attentats-Moscou-e.jpgMOSKOU 29/01 (AFP) = De dader van de dodelijke aanslag op de Moskouse luchthaven Domodedovo, waarbij maandag 35 mensen omkwamen, is afkomstig uit de Noordelijke Kaukasus, de onstabiele regio in het zuiden van Rusland. Dat meldt de commissie die instaat voor het onderzoek zaterdag. 

"We hebben de identiteit vastgesteld van de terrorist, de kamikaze die het explosief tot ontploffing heeft bracht", zo luidt het in een persbericht. "Het gaat om een 20-jarige man afkomstig uit een van de republieken uit de Noordelijke Kaukasus." 

De naam van de dader werd niet bekendgemaakt om zo de "medeplichtigen en verantwoordelijken van deze terroristische daad te kunnen identificeren en arresteren". MPE/(VKB)/

2030: Moslims in Brussel en Antwerpen

mosqBXL.jpg

Ex:

http://www.npdata.be/BuG/139-aantal-moslims/

BuG 139 - Bericht uit het Gewisse 28-01-2011 Printversie (5 p)

In 2030 wonen 29,7% moslims in Brussel en 27,0% in Antwerpen
 

Aandeel Europese moslims constant op 2,7% de komende 20 jaar
  
Evolutie % moslims in de wereld: 19,9% in 1990, 23,4% in 2010, 26,4% in 2030.
Komende 20 jaar is er een afremming van hun beperkte groei op wereldvlak.
Forse daling geboorten per vrouw in moslimlanden en bij Belgische moslims.
Voor België voorspelt PEW groei moslims op 20 jaar tot 10.2% van bevolking.
De update van npdata voorziet in een groei van 5,8% in 2010 tot 9,3% in 2030.
Brussel zal nooit een moslimmeerderheid kennen: 22% in 2010, 29,7% in 2030.
Niet alleen daling geboorten, maar ook moslims sterven als ze oud worden.

Documentatie

Moslims in België per gemeente en nationaliteit: Moslims per gemeente 2010(excel)  Moslims per gemeente 2030 (excel) -  Langs de +-jes krijg je een groter detail per gemeente (rijen) en nationaliteiten (kolommen)

Beschrijving: http://www.npdata.be/BuG/139-aantal-moslims/moslims-2010-klein.jpg                 Beschrijving: http://www.npdata.be/BuG/139-aantal-moslims/moslims-2030-klein.jpg
Aantal moslims 2010                Aantal moslims 2030
%-ges op 2de blad                                               

Pewforum: Artikel aantal moslims 2030 met kaart en tabel  Rapport 2030 (11MB)  Gewogen wereldkaart moslims 2009  Artikel georganiseerdheid fundamentalisme  
Duits onderzoek 2008:  Site Bundesambt fur Migration und Fluchtlinge  Volledig Duits onderzoek (10MB) - Samenvatting in het Duits (6MB) - Samenvatting in het Engels (6MB)
Nederlands onderzoek 2006: Rapport Nederlands onderzoek (0,2MB)
Articles/Artikels Le Soir (pdf): 17-11-2010/1(onderzoek) 17-11-2010/2 (onderzoek) 18-11-2010 (forum krant) Ricardo Gutiérrez antwoordt op vragen 
 
  
Inleiding

De recente publicatie van het PEW-forum over het aantal moslims in de wereld en de berekening van hun aantal binnen 20 jaar, in 2030, rekening houdend met vruchtbaarheid, migratie en andere factoren , geeft stof tot nadenken en tot bijstellen van een aantal (voor)oordelen. Mediadoc titelt bv: "Islam nefast voor overbevolkingsspiraal; geloof in een buitenaards superwezen en lid zijn van een bepaalde godsdienst kan nefast zijn  voor planeet aarde". Vraag is maar of dit soort ideeën niet nefaster zijn voor de aarde en de mensen dan de Islam of het geloof in een god, zeker als men nalaat om het onderzoek zelf eens ter hand te nemen.

Beschrijving: http://www.npdata.be/BuG/139-aantal-moslims/MDII-graphics-webready-05.png

Het PEW forum on religion & public life maakt in ieder geval een oefening op een hoog niveau en daagt in feite alle demografen en wetenschappelijke godsdienstwatchers uit in universiteiten en studiediensten in dit land om eens met hun eigen materiaal te komen. Npdata speelt hierin maar als reserve, bij ontstentenis aan een alternatief, om toch een minimaal idee te geven van aantal moslims en evolutie van hun aantal in het kader van wat Mark Eyskens de 'allochtonisering van België' noemt, een voor hem onontkoombaar en waardevol gegeven in deze veranderende wereld. Best is toch evoluties in te schatten, de impact te voorzien en het potentieel te vatten. Zeker als de wetenschap er eerder op staat om anderen de mond te snoeren dan zelf kennis en visie te ontwikkelen, is deze BuG ook een uitnodiging tot debat. In deze BuG hernemen we de publicatie van het aantal moslims zoals door npdata in Le Soir van 17/11/2010 al is gepubliceerd samen met Ricardo Guiterez, (zie linken in de documentatie hierboven) en situeren we deze resultaten ook tegen de achtergrond van de PEW-studie.

Dubbel zo sterk groeien en toch maar beperkte groei van 3% op 20 jaar.

Moslimbevolking groeit dubbel zo sterk als niet-moslims” geeft de indruk dat zij dubbel zo veel kinderen krijgen of dat hun aandeel binnen de kortste keren verdubbelt, niets is minder waar. Als de niet-moslimvrouw gemiddeld 2,2 kinderen krijgt in haar levensloop en de moslimvrouw 2,4 dan is de aangroei van moslims als gevolg van geboorten dubbel zo hoog bij moslimvrouwen als bij niet-moslimvrouwen ook al is er hier maar een verschil van 0,2 geboorten op een levensloop, juist omdat de ‘aangroei’ van een bevolking maar gebeurt na het 2de kind. Zelfs met die dubbele groeisterkte zal het aandeel van moslims in de wereld op 20 jaar maar met 3% groeien, nl van 23,4% tot 26,4% in 2030. Zo blijft het aandeel van moslims in europa gedurende de komende twee decennia gelijk op 2,7% van alle moslims op wereldvlak. De moeite om de PEW-cfijers zelf eens te exploreren op hun site en er een demografisch bad te nemen met een gans assortiment begeleidende zeepjes en accessoires, zie PEW artikel aantal moslims 2030.
 
Welk is de referentie van de PEW-studie: 6,0% moslims in België in 2010

In de voorliggende PEW-studie wordt verwezen naar de update van de berekening van het aantal moslims in alle landen van de wereld met opgave van de bronnen per land. Voor België is dit de 'volkstelling van 2001, met projecties voor  2010, 2020 and 2030' uitgevoerd door het International Institute for Applied Systems Analysis. In de Pew-publicatie van 2009 werd nog het cijfer aangehaald van 281.000 moslims, of 2,6 %, hierbij voortgaande op de surveyonderzoeken van het Eyripean Social Survey, 2006, waarvan de opmakers (KUL) zelf aanhalen dat deze survey tekort schiet om het aantal moslims in te schatten. Bij de publicatie van het  PEW-rapport 2009 heeft npdata haar onderzoeksresultaten dan ook aan het PEW gesignaleerd: in BuG 100 worden 628.751 moslims of 6,0% van de Belgische bevolking geteld, en het is ditzelfde % waar het IASA ook op uitkomt en dat door het PEW-forum no voor 2010 wordt verrekend. Dat is een knap staaltje van het IASA, of moeten we zeggen van  npdata :-). Alleszins wordt hiermee een appèl gericht naar het centrum van demografie van de VUB en Pascal Deboosere die de gegevens van de volkstelling 2001 beheren, zij zullen allicht op de hoogte zijn van het werk van de IASA op basis van hun cijfers.

Update voor 2010 van de npdata-berekening aantal moslims in België

Zoals Nederland in 2006 en Duitsland in 2008, heeft npdata in 2010 een update gemaakt van haar berekening van aantal moslims in België. In Nederland werd in 2006 de vraag naar godsdienstbeleving eenmalig opgenomen in de huishoudenquête en dit bracht een bijstelling mee van aantal moslims naar onder. In de PEW studie wordt er naar verwezen met een aanpassing van  5,7% naar 5,5%. In Duitsland werd voor het eerst door het Bundesambt fur Migration und Fluchtlinge een enquête op grote schaal gehouden (6.000 eenheden) naar het aantal moslims in de diverse nationaliteitsgroepen/landen met moslimachtergrond. Tot dan toe gingen zij, zoals npdata, voort op de CIA-% percentages moslims in de landen van herkomst. Hierdoor werd in feite geen rekening gehouden met de 'laïcisering' van moslims, dwz het zich niet meer bekennen tot de islam wanneer daarnaar de vraag gesteld wordt. 
 
Laïciseringproces  van moslims in het westen

Voortgaande op het moslimpercentage in het gastland voor Marokko en Turkije komt de oude berekeningsmethode neer op 99% als men van Marokkaanse of turkse afkomst is. Als de vraag gesteld naar toebehoren tot een godsdienst zoals in Duitsland, geeft 88% van de Marokkaanse en Turkse vreemdelingen de islam op (een uitval van 12%) en 74% van de Duits geworden Marokkanen en Turken refereren naar de islam, of een vermindering met 14% tot 3/4 van de populatie. In feite is er, mede door het verblijf in een 'westers' land en doorheen de opvolging van generaties sprake van een 'laïcisering'. 82% van de Algerijnse en Tunesische vreemdelingen bekennen zich tot de islam, en 64% van de Duits geworden Algerijnen en Tunesiërs, Algerijnen en Tunesiërs behoren tot een oudere migratie dan turken en Marokkanen.

Vraag is of de resultaten van deze Duitse enquête kunnen toegepast worden op de Belgische situatie. Bij gebrek aan beter maar ook omdat de 'westerse' context in Duitsland, België of Nederland gelijklopend is, lijkt ons de overname van deze resultaten gerechtvaardigd. In het Forum van Le Soir wordt dat door Professor Jacobs betwist, evenwel zonder dat hij het Duitse onderzoek al geraadpleegd had. De resultaten uit de Nederlandse huishoudenquête Nederlandse huishoudenquete 2006 gaan trouwens in dezelfde zin. 

Gebruikte methode voor de berekening van aantal moslims in België
 
De berekening van aantal moslims in België naar gemeente en nationaliteit gaat voort op twee nieuwe beschikbare gegevens:
 
1. Berekening van het aantal inwoners van vreemde afkomst per gemeente en nationaliteit zoals uitgewerkt in BuG 125. . Hierin begrepen zijn de vreemdelingen, de Belg geworden vreemdeling en het natuurlijk- en migratiesaldo van deze Belg-geworden vreemdelingen na hun Belgwording. Om een zo accuraat mogelijk beeld te geven van de huidige situatie werden de bevolkingsgegevens van 2008 geëxtrapoleerd naar 2010, voortgaande op de gemiddelde evolutie tussen 2003 en 2008. Een opmerkelijke en merkwaardige opinie van Mark Eyskens, onze prof economie in 1969, zet deze 'allochtonisering van België', in het hart van z'n betoog.
2. Resultaten van de Duitse enquête met de vraag "tot welke goddienst behoor je", waarop een aantal godsdiensten genoemd werden. Door de identificatievariabelen kon het onderscheid gemaakt worden tussen  vreemdelingen en Duits-geworden vreemdelingen en nageslacht. Voor methodologie en uitwerking, zie link naar deze studie onder documentatie hierboven. De studie werd door de Duitse overheidsinstantie, bevoegd voor migratie en vluchtelingen, uitgevoerd, daar moet men in België nog niet aan denken. Voor enkele nationaliteiten (Nederland, Frankrijk, ...) geeft de Duitse enquête geen info. Hiervoor gebruiken we nog CIA-gegevens maar enkel voor de vreemdelingen. We gaan er van uit dat een Frans geworden Marokkaan bv die naar België verhuist niet meer de Belgische nationaliteit zal aanvragen. Ook voor de meeste Oost-Europese landen is het aantal moslims niet gekend en moeilijk in te schatten in een evolutie tot 2030. Het betreft hier echter kleine aantallen die slechts een geringe impact hebben op het totale beeld. 
 
Tabel met aantal moslims per gemeente en nationaliteit 01/01/2010
 
Door het % moslims toe te passen op het aantal inwoners van vreemde afkomst per nationaliteit in de verschillende gemeenten kan het beeld geschetst worden van aantal en % moslims in elke gemeente van België. Bijgaande tabel Aantal moslims 2010 naar gemeente en nationaliteit in België is ingeplooid zodat langs de +jes aan de zijkant (tot op het niveau gemeente, arrondissement, provincie, gewest) en vanboven (tot op het niveau van de nationaliteit) de informatie naar het gewenste detail kan open geplooid worden.

 Beschrijving: http://www.npdata.be/BuG/139-aantal-moslims/moslims-2010.jpg

  
Als het 2de plusje bovenaan links wordt aangeklikt komt het % van vreemde afkomst in beeld en het % moslims op het aantal van vreemde afkomst, dwz hoeveel van de inwoners van vreemde afkomst in een gemeente er moslims zijn Dit geeft dan een goed beeld van het aantal moslims binnen het aantal inwoners van vreemde afkomst in een gemeente.

In België worden dus 623.486 moslims berekend of 5,8% van de bevolking, en dat is een lichte aanpassing naar onder gezien de methodologische verfijning. Iedereen kan deze gegevens exploreren, er zijn gedachten of (voor)oordelen op bijstellen of er zijn verbeelding door laten aanspreken.

Wat zegt PEW-forum over 2030

Een toch wel indrukwekkende oefening legt het PEW-forum aan de lezers en geïnteresseerden voor. Voor België gaan zij bv uit van gemiddeld 2,7 kinderen bij de moslimvrouwen in de ganse levensloop, berekend in 2010. Dat aantal zou dalen tot 2,2 in 2030 tegenover 1,7 kinderen bij de niet-moslims zowel in 2010 als in 2030. In 2030 zou er dus (maar) een verschil zijn van 0,5 kind zijn tussen een moslim en niet-moslim vrouw in België. Dat betekent dus een langzame doch een alsmaar verminderende stijging van het aantal moslims langs het aantal geboorten. Het 'natuurlijk saldo' (geboorten - overlijdens) zal bij moslims evenwel hoger liggen omdat er in verhouding met oude Belgen en de oudere migratie de komende decennia minder overlijdens zijn. Maar tegen 2030 zullen naast het verminderend aantal geboorten, het aantal overlijdens stijgen en zal ook de laïcisering zich verder doorzetten. Het PEW-forum houdt ook rekening met de migratie die zij voor België inschatten op gemiddeld 14.000 moslims per jaar, hetgeen overeen zou komen met 30,8% van de immigratie.

Samen met nog enkele andere factoren die kunnen nageslagen worden in de excellente weergave op de PEW-site met het rapport, de grafische voorstelling en de tabel met alle 223 landen, komt het PEW-forum voor België uit op 1.194.000 moslims in België in 2030, of 10,2% van de bevolking, tegenover 638.000 of 6,0% van de bevolking in 2010 in hun berekening.

Wat zegt npdata over 2030.

De berekende cijfers van 2030 liggen al enkele maanden in de schuif van npdata. Een 'simpele' berekening, voortgaande op de cijfers van 2008 waarbij de gemiddelde bevolkingsevolutie tussen 2003 en 2008 all in (migratie, natuurlijk saldo, asiel, regularisatie) wordt doorgetrokken, zonder rekening te houden met een verdere 'laïcisering', geven de resultaten voor 2020 en 2030. Zo komt npdata, vertrekkende van 5,8% of  623.486 moslims in 2010, tot een vooruitzicht van 7,8% of 892.677 moslims in 2020 en 9,3% of 1.116.505 in 2030. In aantal liggen de npdata cijfers dus dicht bij de 1.194.000 van de PEW. De lagere 9,3% voor npdata tegenover 10,2% van de PEW in 2030 komt voort uit de hogere inschatting van de totale bevolkingsevolutie, waarin wij de algemene Belgische prognose volgen, hierdoor verhoogt de noemer en daalt het %.  In tegenstelling tot de PEW wordt de migratiedynamiek sterker maar ook meer gedifferentieerd verrekend door npdata, dus met een grotere instroom van niet-moslims. Dat komt allicht omdat de PEW voortgaat op de volkstelling van 2001 en npdata op de effectieve gemiddelde evolutie van 2003 tot 2008, de laatst gekende gegevens voor België.
 
Brussel zal nooit een 'moslimstad' worden (en dan nog).
 
De doorberekening naar 2030 is voor alle gemeenten en nationaliteiten in België beschikbaar. Daaruit blijkt dat in Brussel er in 2030 29,7% moslims zouden zijn, nog ver van een meerderheid waar nogal wat observatoren, Glenn Audenaert van de federale recherche in Brussel voorop, van uitgaan. Het was Glenn Audenaert die bij Phara op 4 juni 2010 uit de losse pols verklaarde dat "Binnen vijf tot acht jaren, afhankelijk van het onderzoek, er in Brussel een moslimmeerderheid zal zijn". Later gevraagd naar de onderzoeken waarop hij zich baseerde verwees Audenaert naar het onderzoek van npdata van enkele jaren geleden. We dragen deze BuG dan ook aan hem op.
 
Met de grootste wil van de wereld slagen wij er daarbij niet in een meerderheid van moslims in Brussel op langere termijn te berekenen, dus ook niet voor 2040, 2050 of later, we komen hoogstens uit op 35%. Ook moslims gaan dood als ze oud worden. Dat Brussel niet in meerderheid uit moslims zal bestaan is ook logisch te begrijpen. Momenteel is 71,6% van de bevolking in Brussel van vreemde afkomst en 22% van de bevolking is moslim. Om binnen de overblijvende 28,4% van niet-vreemde afkomst een demografische dynamiek te krijgen die volledig door moslims opgevuld wordt is uitgesloten zodat zij de 50% bereiken is uitgesloten. 
 
Antwerpen blijft met 32,1% 'Vlaams' verankerd in 2030, 27% van de bevolking is dan moslim

Ook voor Antwerpen is dat geen realistisch scenario: in 2010 was 42,8% in Antwerpen van vreemde afkomst en 16,8% moslim. In 2030 zou dit 67,9% inwoners van vreemde afkomst zijn in Antwerpen met 27% moslims. De eventuele toekomstig burgemeester van antwerpen, Bart de Wever hoeft dus niet te vrezen dat z'n stad, die toch nog voor 32,1% 'Vlaams' verankerd is in 2030, een moslimmeerderheid zal kennen.

Jan Hertogen, socioloog

America should follow Switzerland on Immigration

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America Should Follow Switzerland on Immigration

December 30, 2010

OK. Let’s start the new year with a politically incorrect column by telling it like it is, for a change. During the last week of November, in Portland Oregon, the F.B.I. arrested a Somali born U.S. resident as he was about to blow up a Christmas tree lighting ceremony in a public square full of mothers and children. Although the authorities were aware of it and had provided the would-be multiple murderer with phony bombs of mass destruction, my question is why was this Somali sub-human in the United States in the first place, and why had he obtained American residence? For once, the F.B. I. acted intelligently. As defense lawyers in cases involving sting operations often accuse the F.B.I. of entrapment, the undercover agents had offered the sub-human – his surname is Mohamud, what else? -  several nonfatal ways to serve his blood lust, like prayer, for example, but he insisted he wanted to kill Americans, and what better place to find the old fashioned Anglo-Saxon type than in Portland, Oregon.

Worse, his family and friends are all over here, and during the next few years we will hear from them what a normal young man Mohamud is, and how well he did in high school. It’s all seditious rubbish, but the liberal media will make sure that by the time the government gets a conviction – if it does – Mohamud will be looked at as someone young led astray by the internet. Led astray by the teachings paid for by Saudi Arabia would be closer to the mark, but the Saudis have oil, hence they are sacrosanct. In fact, we have to kiss their ass even if their money is responsible for Muslim terrorism around the world.

“Isn’t it time our Congressmen and Senators did something about allowing white Europeans in rather than African and Middle Eastern criminals?”

Militant Muslim web sites are now blamed for radicalizing Muslims in America, so my question is why are they allowed to exist? Surely if the government can intercept signals the world over, militant sites should be outlawed on the penalty of life in prison. In September 2009, a 19-year-old Jordanian was arrested after placing a fake bomb at a 60-story Dallas skyscraper. The same month another Muslim was charged with placing a bomb at the federal building in Springfield, Ill. And, in October, a naturalized American Muslim was charged with plotting to bomb the Washington subway. Not to mention the Pakistani, also a naturalized American, who tried to bomb Times Square with a car bomb that failed to detonate.

Which brings me to my original question: Why are Somalis – among the most militant – in particular and Muslims in general allowed to immigrate over here? During the 1990’s a very pretty, well- educated 24-year-old English girl whose finances I had guaranteed was refused a multiple visa for no apparent reason. She had no record and came from a privileged background. When I asked who interviewed her she told me a black female and a Hispanic male. They were almost hostile while turning her visa application down. You don’t have to read between the lines, dear readers. She was white and a Christian, and white Christians are no longer welcome in the United States. It’s as simple as that.

My own wife, on a European passport was harassed by officials at Kennedy airport for absolutely no reason, while our two dogs remained in their cages for hours howling for her to take delivery. Incidentally, my wife is white and a Catholic. She was allowed one telephone call, like a common criminal. There was no apology after her papers were found to be in perfect order.

No wonder 47 percent of Americans think our best days are behind us. Blacks and Hispanics have organized themselves and have been appointed by the powers that be to jobs which arbitrarily select who comes in and who stays out. The only New York Times columnist worth reading, Nicholas Kristof, recently wrote about a prostitution ring in Manhattan comprised solely by Chinese and some Koreans who force young women from mainland China to immigrate to America under the promises of lucrative jobs, then force them into prostitution through fear, torture and threats to their families back home. And as everyone knows, in Texas, all the trafficking of women is controlled by mostly Hispanic immigrants, many of them illegals. Seventy percent of trafficked prostitutes in the U.S. are from Central America, and to the last unfortunate one, controlled by Hispanic pimps.

So I ask again. Are we going to end up like France, Belgium, Britain and Holland, where Muslim immigrants are assigned to live on welfare among their own kind, making those sections no-go areas ? Our jails are full of African-Americans, who at least have every right to commit their crimes in America as their ancestors were forcibly brought to these shores. Must we then bring more Africans over here? More Somali militants? More Yemenis? More Saudi “students”? More Chinese pimps? Isn’t it time our Congressmen and Senators did something about allowing white Europeans in rather than African and Middle Eastern criminals? In Switzerland, where I reside, the Left is seething over a new referendum which will force the expulsion of Swiss naturalized citizens or residents if convicted of a serious crime. Now that is what I call a real country. Switzerland has its citizens’ welfare at heart. Let’s copy Switzerland for a change.

Günter Rehak : Zur eigenen Person und Verschwörungen

Günter Rehak

Zur eigenen Person und Verschwörungen

lundi, 31 janvier 2011

Militaire topman NAVO: het tij is gekeerd in Afghanistan

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Militaire topman Navo: het tij is gekeerd in Afghanistan

       
BRUSSEL 27/01 (BELGA) = Het hoofd van het militair comité bij de NAVO, de admiraal Giampaolo Di Paola, heeft donderdag alles uit de kast gehaald om te onderstrepen dat de internationale troepenmacht in Afghanistan de bovenhand gehaald heeft op de Taliban. "Ik geloof oprecht dat het tij gekeerd is", benadrukte hij na een ontmoeting van de NAVO-stafchefs. De Italiaan schuwde zelfs een vergelijking met de Tweede Wereldoorlog niet.

Tijdens een NAVO-top eind vorig jaar beslisten de NAVO-leiders om de macht in Afghanistan tegen 2014 volledig aan de Afghaanse autoriteiten over te dragen. Deze lente nog moet die evolutie zich al in enkele provincies voltrekken. Niet alle waarnemers geloven echter dat
de Afghaanse veiligheidstroepen daar klaar voor zullen zijn. 

"Het zal niet makkelijk zijn. Het wordt echt geen wandeling door het park, maar de situatie gaat wel degelijk vooruit", onderstreepte Di Paola. Om ook de twijfelaars over de streep te trekken, trok hij vervolgens een vergelijking met de Tweede Wereldoorlog. Zo was de  lucht in 1942 nog "erg donker" voor de geallieerden en werd ook nadien nog hevig gevochten, maar de eindoverwinning werd wel degelijk binnengehaald.

Vraag blijft echter of een vergelijking met het Vietnam van 1957 niet beter opgaat. De eigen veiligheidstroepen vielen toen in nauwelijks enkele weken volledig uit mekaar, waarop een jarenlange uitzichtloze oorlog volgde. "Die parallel gaat niet op", oordeelde admiraal Di Paola. De grote internationale inzet en de intensieve opleiding van Afghaanse troepen maken volgens hem het verschil. KNS/RBR/

Van het konijn en de boa constrictor

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VAN HET KONIJN EN DE BOA CONSTRICTOR

Deze crisis is een crisis van de Vlaamse christendemocratie

De N-VA is geen partij die de staatshervorming echt wil schragen, schrijft
TOM LANOYE . Voor die verantwoordelijkheid past ze. Dat maakt het des te
merkwaardiger dat CD&V zich eraan vastklinkt, want dat is een strategie die
haar nog betekenislozer dreigt te maken dan ze nu al is.

CD&V levert de premier, de minister-president en de Europese president: dat
is slechts de façade van een herenhuis vol zwammen en betonrot

De N-VA heeft de afgelopen zeven maanden nooit onderhandeld om echt een
regering te vormen. Ze is al lang en breed bezig aan wat letterlijk in haar
programma staat: de Belgische staat opdoeken , in plaats van hem te helpen
hervormen - wat het leeuwendeel van de Vlamingen nochtans van haar verwacht.

Maar wie iets hervormt, bevestigt het bestaan ervan. Zover kan de N-VA het
niet laten komen, of ze verliest stemmen op haar radicale rechterflank,
waarin het reservoir van het Vlaams Belang nog steeds aan het leeglopen is.
Zolang België bestaat, verschaft het opzichtig blokkeren ervan al electorale
winst aan de huidige marktleider van 'Belgiekske Niekske'. En moeilijk is
zo'n obstructie niet. Bij ieder bijna-compromis legt Bart De Wever een
nieuwe eis of een hele financieringswet op tafel, om vervolgens over de
grond te rollen van verontwaardiging wanneer er niet wordt ingegaan 'op onze
zo simpele en zo gerechtvaardigde vraag'.

Dit is geen opbod meer. Dit is georganiseerde kanker.

Die malafide tactiek bleek het best uit een interview met Siegfried Bracke
in Knack. Bracke - met Baskische baret op het hoofd, allicht om zijn hipheid
kracht bij te zetten - gunde ons een blik in de psyche van zijn partij.
(Neen, niet Amada, Volksunie of SP, maar het huidige nest van onze meest
ervaren draaideurintellectueel.) Drie jaar geleden zouden zijn partijgenoten
in vreugdedansen zijn uitgebarsten bij de nota-Vande Lanotte. Nu halen ze er
de neus voor op. 'De urgentie is veranderd', verklaarde Bracke in Reyers
Laat.

In drie jaar tijd van vreugdedans naar minachting. Bestaat er dan eigenlijk
wel een urgentie, behalve die van het partijbelang? Zo dramatisch is de
toestand voor de Vlaamse deelstaat dus blijkbaar niet, als de Nieuw-Vlaamse
Elite zich kan permitteren om nu al vier jaar lang te onderhandelen zonder
ook maar één vette vis te aanvaarden. Al die kaakslagen en hete hangijzers:
BHV, de 'schandalige' transfers van Noord naar Zuid (waarvan vooral de
cijfers schandalig worden gemanipuleerd), de verfransing van de Brusselse
Rand ze blijven gewoon voortduren. Ze vormen inmiddels voor de N-VA wat de
Amerikaanse boycot is voor de familie Castro op Cuba. Minder een hinderpaal,
dan wel een uitvlucht om het eigen regime te handhaven. Met inbegrip van de
retoriek van het zelfbeklag.

De N-VA denkt niet slecht te varen bij deze verrottingsstrategie. Waarom
anders blokkeren Vlaamse voorvechters zélf een forse, en tot voor kort
onmogelijk gewaande, vooruitgang? Het risico nemend dat ze het momentum zo
lang oprekken dat het misschien nog eerder verdampt dan de Belgische staat
zelf? Het zou niet de eerste spectaculair gegroeide partij zijn die weer
leegloopt als een ballon. Zeker niet als het in wezen gaat om een
éénmanspartij.

Dat brengt ons bij Bart De Wever. Zijn persoonlijkheid en populariteit
vormen een tweede verklaring voor de negotiërende schizofrenie van deze 'uit
haar pak gegroeide zweeppartij', zoals Bart Sturtewagen in deze krant de
N-VA omschreef. De Wever ís de Nieuw-Vlaamse Elite. Gezicht, instrument,
stem en body. Hij is ook een product van zijn tijd, waarin ideologie op alle
terreinen wordt verdrongen door idolatrie. 'Bart' haakt naar de volksgunst
met inzet van frituur, gewicht, verjaardag en desnoods de eigen kinderen.
Anything goes. Een trotse academicus die, zoals Marc Reynebeau opmerkte,
spot met academici om populistisch te scoren. Zelfs Steve Stevaert, de
vorige tribuun van het anti-intellectualisme, speelde het nooit zo
schijnheilig.

In de cenakels van zijn partij blijft hij ideoloog onder de ideologen, op de
publieke planken speelt hij met zichtbaar plezier het tegendeel. De bullebak
van het gezond verstand en de droge grap, die lak beweert te hebben aan
politieke spelletjes, en verlekkerd is op alle andere. Die zich de liefde
laat welgevallen van desnoods de grootste idioten, en die maar schrik heeft
van één ding. Dat zijn volk hem zou moeten zien opereren in het genadeloze
licht van wat een politicus hoort te doen, ná het winnen van verkiezingen en
opiniepeilingen. En dat is: besturen.

Als historicus weet De Wever alles van alle groten der aarde, hij heeft zich
hun tics en hun woorden eigen gemaakt, hij vertelt met smaak hun anekdotes
na alsof hij ze zelf heeft beleefd. Eén ding durft hij niet met hen te
delen. Hun littekens van leider zijn die de grenzen van de eigen stam of
partij durft te overstijgen. Dat hij zo ook hun medailles en triomfen
misloopt, zal hem een rotzorg zijn. Hij wil invloed zonder
verantwoordelijkheid. Altijd en overal.

Stel dat deze onderhandelingsmarathon alsnog uitdraait op nieuwe
verkiezingen: hoeveel hebben we er dan gehad zónder dat De Wever een ambt
heeft opgenomen? Geen minister onder Verhofstadt III. Geen Schepen in
Antwerpen. Geen Vlaams minister onder Kris Peeters II. En, bij voorbaat,
geen eerste minister bóven Elio Di Rupo Een echte conservatief stroopt zelf
de mouwen op, zou je denken, in plaats van het werk over te laten aan
anderen. Dehaene en Mitterrand, die durfden zelf compromissen door te duwen,
tegen hun achterban in. Hugo Schiltz, Nelson Mandela en Barack Obama: net
zo. En wat zou, omgerekend naar hun land, een Nicolas Sarkozy of een Winston
Churchill niet hebben aangevangen met een overwinning van achthonderdduizend
stemmen? Margaret Thatcher of Mark Rutte - zouden die nog aan het
onderhandelen zijn, na zeven maanden? Of zouden die zo snel mogelijk
regeren, om tijdens hun beleid nog meer trofeeën binnen te halen dan tijdens
de negotiaties?

Vergeleken met al dezen is De Wever een showman en geen staatsman. Een
hedendaagse Hamlet. Boordevol bon mots en tomeloze dadendrang, maar op het
moment van de daad gaat hij lopen.

Dat is wat Bart Sturtewagen volgens mij impliceerde met zijn analyse van de
N-VA als overgroeide zweeppartij. Ze speelt boven haar niveau. Het
vooruitzicht van de macht zelf maakt haar en haar leider nerveus en
paranoïde.

En het maakt onze gedoodverfde machtspartij hoorndol. CD&V, de vroegere
grote kartelzus van de N-VA, zit als een konijn gevangen in de kronkels van
een boa constrictor die ze zelf in het leven heeft geroepen. De kern van
deze hele crisis draait niet eens om de wankele Belgische structuur of de
overmoedige Vlaamse elite, maar om onze stuurloze christendemocraten.

Al sinds het ontstaan van onze staat voelt de christendemocratie zich
geroepen om bestuurders te leveren. Ze doet dat nog steeds, met merkwaardig
groot succes zelfs, gezien haar afgekalfde aanhang. Akkoord, de glans is
eraf. De Vlaamse christendemocratie bestuurt alleen nog in de luwte (Yves
Leterme als eeuwig demissionaire Belgische premier), in de schaduw (Kris
Peeters als eeuwig beloftevolle minister-president van Vlaanderen), of
ergens in den hoge (Herman Van Rompuy als eeuwig gedienstige president van
gans Europa). Niettemin: bestaan er andere partijen in Europa die zo'n
balans kunnen voorleggen?

Tegelijk is dit slechts de mooie façade van een herenhuis vol zwammen en
betonrot, waar de existentiële angst door alle kamers giert. CD&V is intern
verscheurd door gruwelijke twisten, en haar vroegere raison d'être droogt
steeds meer op. Haal u alle Vlaamse partijen voor de geest, en probeer ze
eens te vatten in een paar sleutelwoorden. Waar staat de SP.A voor? Sociale
zekerheid. Open VLD? Meer markt, minder taksen. Groen! Het milieu. N-VA?
Vlaanderen. Vlaams Belang? Islamofobie. LDD? Jean-Marie Dedecker. CD&V? Het
antwoord daarop is te diffuus voor één term.

Op Jean-Marie Dedecker na, bevat CD&V een stukje van alle andere partijen
tegelijk. Vroeger was dat haar kracht, toen de standen zich nog verenigden
onder haar vlag en onder de noemer van een en hetzelfde geloof. Ze kon daar
zelfs anderhalve eeuw lang een hele zuil op uitbouwen. Nu? De kerken liggen
er na de pedofilieschandalen helemaal verlaten bij, de restanten van de
katholieke zuil staan overal onder druk, en zelfs de traditioneelste kiezers
blijken zo volatiel als een vlucht regenwulpen onder een donderwolk. Wat is
er nog zo christelijk aan het ACW? Wat is er nog katholiek aan de
Boerenbond? Andermaal: wat ís die CD&V eigenlijk?

Vroeger: de macht in het centrum. Nu: de herinnering aan die macht, en de
vurige wens ze te bestendigen, ook zonder de vroegere confessionele basis.
De vraag is echter of een partij op lange termijn kan blijven manoeuvreren,
en zelfs voortbestaan, zonder inhoudelijk doel of ideologisch kader. Haar
enige inhoudelijke vernieuwing bestaat er niet voor niets in dat Rik Torfs
zich gaat bezatten in Café De Monk. Al dan niet met zijn onderbroek van De
Slimste Mens nog op zijn kop - het hoeft niet altijd een Baskische baret te
zijn.

CD&V klinkt zich nu, zelfs zonder kartel, toch weer vast aan de N-VA. Dat
lijkt op het eerste gezicht logisch. De vroegere marktleider van de macht
bijt zich vast in zijn concurrent, vast van plan hem niet te lossen. Om in
de metafoor te blijven: het konijn imiteert de slang die hem aan het wurgen
is, in de hoop alsnog de rollen om te draaien. Een beetje potsierlijk is dat
schouwspel wel. De ene partij wil de macht eigenlijk niet, de andere wil ze
koste wat het kost terug. En inmiddels laten ze zich allebei chanteren door
de meest radicale vleugel van een versteende Vlaamse Beweging.

Ik betwijfel of dit alles een goede strategie is voor CD&V, zelfs vanuit een
machiavellistisch oogpunt. Door Bart De Wever na te praten, soms nog vóór
hij iets heeft gezegd, zet ze iedere keer zelf in het licht dat ze maar de
tweede viool speelt. De daaropvolgende complimenten die ze van Bart De Wever
krijgt toegewuifd voor haar 'standvastigheid' zijn helemaal a kiss of death.
Zo spreekt men zijn schoothond toe. Correctie. Zo sprak de CVP haar
coalitiepartners toe, toen de CVP-staat nog bestond.

Als CD&V de politieke poleposition wil heroveren, zal ze juist moeten leren
om Bart De Wever tegen te spreken. Zo niet zal ze zich, als partij zonder
bodem, laten pletten en uiteenrukken. Ze heeft eigenlijk maar één keuze. Met
bravoure het voortouw nemen om de Belgische staat te hervormen, liefst tegen
de N-VA in. Het is dat of verdwijnen. Hetzij in de muil van de tijd, hetzij
in die van de andere partijen.

TOM LANOYE
Wie? Schrijver.
Wat? De N-VA heeft CD&V in de tang.
Waarom? De vroegere marktleider klampt zich vast aan de concurrent, maar
benadrukt zo dat hij tweede viool speelt.

© 2011 Corelio
Publicatie:     De Standaard /
Publicatiedatum:     zaterdag 29 januari 2011

Japan wird herabgestuft

Japan wird herabgestuft

Michael Grandt

Die Finanzkrise trifft jetzt auch den Fernen Osten: Die Ratingagentur Standard & Poors stufte heute die Kreditwürdigkeit von Japan wegen steigender Staatsschulden herab.

Erstmals seit 12 Jahren wurde die Kreditwürdigkeit Japans um eine Note herabgestuft und liegt damit nun bei »AA-«, also bereits drei Stufen unter der Bestnote. Die Agentur schätzt die Aussichten zudem düster ein, denn der Gipfel der Verschuldung werde erst Mitte der 2020er Jahre erreicht werden. Die Märkte reagierten sofort: Der Yen gab nach und die Kosten für die Kreditausfallversicherung stiegen.

Der japanische Wirtschaftsminister Kaoru Yosanu bedauerte die Herabstufung. Bei Experten war dies jedoch schon seit Längerem erwartet worden, denn die Staatsverschuldung summiert sich bereits auf das Doppelte der Wirtschaftsleistung. Damit ist der japanische Schuldenberg so hoch wie in keinem anderen Industrieland der Welt und die Haushaltslage die schlechteste aller Industrienationen.

Finanzminister Yoshihiko Noda wertete die Senkung der Bonitätsnote als Warnung an die Regierung, die endlich aktiv werden müsse, sonst stehe Japan irgendwann vor einem größeren Problem als Europa.

 

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/enthuellungen/mi...

dimanche, 30 janvier 2011

Afghanistan - "Totenacker der Imperien"?

Afghanistan – »Totenacker der Imperien«?

Gedanken zur Verlängerung des Afghanistan-Mandates

Wolfgang Effenberger

 

Mitte Januar 2011 beschloss die Bundesregierung, das Afghanistan-Mandat vorerst bis Ende 2011 zu verlängern. Dann soll der Abzug beginnen, sofern »die Lage dies erlaubt«. Weder dürften die verbleibenden deutschen Soldaten, noch die »Nachhaltigkeit des Übergabeprozesses» gefährdet werden. Die seit Jahren übliche Rhetorik, die üblichen Worthülsen. Diese schwammigen Formulierungen sind eine Farce. Viel wichtiger als der Beginn eines scheinbaren Abzuges – man erinnere sich an den »Abzug« der US-Kampfbrigaden im Irak im Sommer 2010 (1) – ist das definitive Ende mit der Rückkehr des letzten Soldaten. Diesen Mut hat die Sowjetunion bewiesen und den Rückzug aus Afghanistan fest terminiert: Am 15. Februar 1989 überquerte mit General Boris Gromow der letzte sowjetische Soldat die Termez-Brücke am Grenzfluss Amu Darja.

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/deutschland/wolf...

 

 

 

Quelle: http://gesellschaftsspiegel.de/wordpress/wp-content/uploads/brz158.jpg

"La véritable virilité pour les afro-descendants réside dans leur retour en Afrique"

« La véritable virilité pour les afro-descendants réside dans leur retour en Afrique »

Par Stellio Robert, alias Stellio Capo Chichi, alias Kemiour Aarim Shabaz, alias Kemi Seba, « prédicateur panafricain » qui annonce quitter la France pour le Sénégal en mai 2011.

Ex: http://fortune.fdesouche.com/

Face à la discrimination, la véritable virilité pour les afro-descendants réside dans leur retour en Afrique afin de participer à la construction de ce continent, plutôt que dans la mendicité d’une place en France en prônant l’intégration.

Dire que la négrophobie et autres actes racistes se banalisent, se démocratisent en France ne relève plus de l’anecdote mais bien du fait établi voire de l’euphémisme. Habitué aux violences policières de toutes sortes (tabassage dans des fourgons, utilisation mortelle de Taser, évacuation musclée des familles mal-logées, violence en réunion, etc.).

La nouveauté vient du fait que les langues se délient (de plus en plus facilement) aussi bien sur les chaînes grand public (exemple du parfumeur Guerlain) que dans les plus hautes sphères de l’État (Brice Hortefeux, Éric Besson avec le débat sur l’identité nationale, les tests ADN, etc.).

Il est clair que l’ambiance, en France, est délétère, déjà pour les Français dits de souche, au vu de la crise économique et de son lot de délocalisations, de pertes d’emplois, de chômage record, mais aussi et surtout pour la communauté afro-descendante. La précarité, la discrimination à l’embauche comme au logement, ajoutée au stress que créé cette situation sous couvert de crise économique, font que la vie pour cette population est insupportable, intenable.

Et ce ne sont certainement pas les hommes et femmes politiques français, toutes tendances confondues, qui vont remédier à cela en proposant des solutions viables, sérieuses. Ils n’en n’ont pas, et ils le savent très bien. Bien au contraire, ces populations immigrées deviennent de plus en plus les sujets d’enjeux bassement électoralistes.

Face à un tel constat catastrophique, la seule et unique solution pour extirper ces communautés de la lente « clochardisation, » à laquelle certains font déjà face, est de se prendre en main.

Se prendre en main en se disant qu’il vaut mieux être roi chez soi que mendiant chez autrui. L’Afrique est un continent riche qui n’attend que ses enfants… Que ceux qui l’aiment véritablement viennent à elle pour travailler à son développement, plutôt que de continuer à s’émerveiller devant l’occidental allaitement qui nous avilit à travers bon nombres d’oeuvres pseudo-humanitaires.

L’Occident en général, et la France en particulier, n’a plus les moyens d’accueillir décemment les gens sur son territoire. Elle n’a déjà plus rien à s’offrir à elle-même, ce n’est certainement pas à des populations immigrées en difficulté qu’elle offrira quoique se soit. Pour échapper à cette situation de crise, pour ne plus avoir à faire face à des actes racistes, il est préférable de faire retour en Afrique pour construire un chez soi sûr.

Le retour volontaire et définitif en Afrique pour des objectifs clairs, viables est la seule et unique voie pour remédier aux problèmes que rencontrent ces populations d’immigrés en difficulté installées en France. On ne peut se sentir bien là nous où l’on n’est pas désiré, là où il n’y a plus de perspectives d’avenir, là où on n’est pas chez soi.

Tôt ou tard, l’Afrique demandera des comptes à sa diaspora. CONSTRUISONS, et rejoignons Afrikan Mosaïque (qui fait vivre des gens par centaines, à travers les emplois qu’elle a créée, grâce à la construction, toujours en cours, du village).

La Société Afrikan Mosaïque recrute ! Pour les entretiens d’embauche, contactez-les au 07 60 72 65 75

Kemi Seba

(Merci à jean-marc)