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dimanche, 06 juin 2010

Hommage à Bernard Willms

DerStaat.jpgArchives de SYNERGIES EUROPEENNES - 1991

Hommage à Bernard Willms

prononcé par Robert Steuckers à l'occasion du XXIVième Colloque du GRECE (Paris,

24 mars 1991)

 

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, Chers amis et camarades,

 

Si notre ami Alexandre Dou­gui­ne n'a­vait pu parler à cette tri­bune, j'avais été chargé de le remplacer et de pro­noncer une conférence sur les no­tions de «na­tion» et d'«empire», telles que les con­ce­vait l'idéalisme de tradi­tion fich­téenne. Et pour parfaire cette tâche, j'a­vais très peu de temps devant moi. J'ai préparé une allocution au départ de tex­tes é­pars, que j'avais déjà écrits pour di­vers édi­teurs. Parmi ces textes, il y a un hom­mage à un ami qui, comme Pier­re Gri­pari ou Marc Augier dit «Saint-Loup», vient de mourir, le Pro­fesseur Bernard Willms de l'Université de Bo­chum. Ber­nard Willms avait été pres­sen­ti pour participer à notre dernier collo­que mais n'avait pu y venir parce qu'il pré­parait une étude sur la post-mo­der­nité et le po­litique. Cette étude est pa­rue à Berlin, dans la plus grande revue de politologie en Europe, Der Staat, dont il était le co-rédac­teur, no­tamment avec Helmut Qua­ritsch, grand spé­cialiste de Carl Schmitt et l'un des pre­miers Allemands diplômé de l'ENA. Pro­fesseur de philo­sophie po­litique,  Ber­nard Willms était, lui, l'un des plus grand spécia­liste au monde de la pensée de Thomas Hobbes et de cel­le de Fichte. Bon nombre de définitions que j'aurais dû vous administrer aujour­d'hui sont is­sues de son œuvre, encore totalement inconnue du public franco­phone. Ber­nard Willms est mort le 27 février der­nier, à l'âge de 59 ans, lais­sant derrière lui une œuvre impression­nante en quan­tité et en densité. Les thé­matiques de l'idéalisme philosophique, de la na­tion, du politique, de la notion de plan, de post-modernité poli­tique, du nomina­lis­me, du grand espace confédé­ral, ont été, chez lui, approfondies pour plu­sieurs gé­nérations. Je saisis l'occa­sion de ce col­loque pour lui rendre un pre­mier hom­mage public dans l'espace lin­guistique francophone et pour vous dire que son décès prématuré nous in­cite à pour­suivre son œuvre en en fai­sant l'exé­gèse, en l'explicitant, en la tra­dui­sant, en témoi­gnant d'elle. Merci.

 

samedi, 05 juin 2010

Bismarck et l'Afghanistan

Bismarck et l’Afghanistan

 

BismarckArbeitszimmer1886.jpgDans un article pour le “Berliner Morgenpost”, intitulé “Was hätte Bismarck zum Bundeswehr-Einsatz gesagt?” (= “Qu’aurait dit Bismarck sur l’engagement de la Bundeswehr?”), l’écrivain et journaliste israélite Rafael Seligmann apporte une réponse claire et précise à cette question et explique comment l’Allemagne devra dans l’avenir moduler son engagement en Afghanistan. En répondant à cette question cruciale de l’actuelle politique étrangère et de la sécurité de la RFA, Seligmann rappelle l’utilité de se référer à Otto von Bismarck, une utilité que les politiciens allemands actuels n’oseraient jamais évoquer, même s’il en reconnaissent in petto le bien fondé.

 

Le Chancelier impérial, homme plein d’expérience, écrit Seligmann, aurait dit que les Balkans, à son époque, ne valaient pas le sacrifice du moindre mousquetaire poméranien. On peut comparer les Balkans de la fin du 19ème siècle au Moyen Orient actuel. Bismarck aurait ainsi deviné qu’un incendie planétaire pouvait éclater dans le Sud-Est européen déchiré par de multiples conflictualités. C’est pour cette raison qu’il entendait éviter toute intervention militaire allemande.

 

Pendant la campagne électorale qui l’a mené à la Présidence aux Etats-Unis, Barack Obama avait déclaré que l’intervention américaine en Afghanistan était une “guerre juste” qu’il entendait mener jusqu’à son terme et jusqu’à la victoire. Parce qu’il a prononcé ces paroles, Obama, c’est une certitude, n’a jamais médité les tenants et aboutissants de l’histoire afghane, sinon il aurait su que les Russes et les Britanniques y ont toujours connu l’échec. La tentative américaine de conquérir le pays échouera, elle aussi, tôt ou tard. Le pouvoir réel du Président afghan Karzai ne va pas au-delà de la portée des pièces d’artillerie des soldats de l’ISAF. Les aides qu’apporte l’Occident, à coups de milliards, disparaissent dans les poches des membres du gouvernement afghan fantoche et dans celles de leurs alliés et comparses.

 

L’analyse et les conclusions de Seligmann font mouche: il écrit en effet que l’Allemagne ne doit pas se contenter de pleurer ses morts, tombés là-bas dans le lointain Afghanistan; la politique de Berlin, selon lui, devrait surtout viser à imposer à Washington et à l’OTAN un plan de retrait hors d’Afghanistan, rapide et bien coordonné. Seligmann préconise en outre une politique unitaire des puissances occidentales au Pakistan, qui s’avère nécessaire car ce pays est une puissance atomique et constitue dès lors la clef de la stabilité au Moyen Orient.

 

(article anonyme paru dans “DNZ”, Munich, n°21 – 21 mai 2010).

vendredi, 04 juin 2010

G. Maschke: ex-gauchiste, schmittien, pessimiste et amoureux de la vie

Archives de SYNERGIES EUROPEENNES - 1997

Günter Maschke: ex-gauchiste, schmittien, pessimiste et amoureux de la vie

 

maschke.jpgA l'âge de six ans, Günter Maschke, natif d'Erfurt en Thuringe, s'installe dans la ville épiscopale de Trêves, en Rhénanie-Palatinat. En 1960, il adhère à la Deutsche Friedensunion  (l'Union allemande pour la paix) et, plus tard, à la KPD communiste illégale. Deux tentatives pour échapper à l'étroitesse d'esprit de cette ville provinciale. Après des études secondaires et un diplôme de courtier d'assurances, il décide de devenir écrivain. Dans le cercle qui se réunissait autour de Max Bense et de Ludwig Harig, il fait la connaissance de Gudrun Ensslin (future figure de proue de la Bande à Baader) à la Technische Hochschule de Stuttgart. Accompagné de la sœur de Gudrun, Johanna, il va s'installer à Tübingen pour y prendre en charge la rédaction du journal étudiant Notizen, de concert avec le futur terroriste Jörg Lang.

 

En 1964, Maschke met sur pied un “Groupe d'Action Subversive” à Tübingen, une organisation légendaire qui a préfiguré la fameuse SDS gauchiste, à laquelle ont appartenu Rudi Dutschke et Bernd Rabehl. Un an plus tard, Maschke reçoit son ordre de rejoindre la Bundeswehr: il refuse tant le service armé que le service civil. Il prend la fuite et commence un exil qui l'amènera d'abord à Paris puis à Zurich et finalement à Vienne, où il est collaborateur occasionnel de Volksstimme (d'obédience communiste) et du Wiener Tagebuch. Après une manifestation énergique contre la guerre du Vietnam dans la capitale autrichienne, Maschke est arrêté par la police. Il est déclaré “étranger indésirable” et il risque d'être refoulé en Allemagne où l'attend un mandat d'arrêt pour désertion. Après trois semaines de prison, l'ambassade de Cuba lui propose l'asile politique.

 

Il restera à Cuba du début de 1968 à la fin de 1969. Dans le pays de Castro, Maschke est devenu national-révolutionnaire. Les raisons de cette conversion sont sans doute multiples: les conditions déplorables dans lesquelles végétaient ses amis ou les formes spéciales du “stalinisme tropical”... Ami du poète Padilla, un adversaire du régime cubain, il est impliqué dans cette affaire, arrêté par la police de Castro et renvoyé en Allemagne. Il y passera d'abord treize mois dans les prisons de Munich et de Landsberg.

 

C'est là qu'il passera définitivement à “droite”. Mais le camp de la droite a hérité là d'un allié très critique, trop critique aux yeux de bon nombre de conservateurs bon teint. Ses premières avances sont brusquement repoussées. Beaucoup de droitiers et de conservateurs rejettent aveuglément les idées de gauche, un aveuglement que Maschke n'a jamais compris. Avec la gauche radicale, il s'est révolté contre l'américanisme, contre le parlementarisme et a milité en faveur d'une réforme du droit de la propriété. Mais, par ailleurs, il a toujours plaidé, contre une gauche qui ne cesse plus de s'éloigner du marxisme, pour un Etat fort, modérément autoritaire.

 

Dans sa vie privée aujourd'hui, Maschke traduit et édite les textes de l'Espagnol Juan Donoso Cortés et de Carl Schmitt. Sur le plan scientifique, il travaille dur, il est exigeant et méticuleux, mais quand il reçoit ses amis, il est un hôte jovial et généreux, qui aime les bons plats et les bons vins, qui dissimule son pessimisme notoire derrière des blagues hautes en couleurs, derrière un charme exquis, avec une souveraineté bien consciente d'elle-même.

 

Werner OLLES.

(article paru dans Junge Freiheit, n°26/97).

mercredi, 02 juin 2010

Presseschau / Juni 2010 /01

journauxPORTE.jpgPRESSESCHAU

Juni 2010 / 01

Einige Links. Bei Interesse anklicken...

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Krieg gegen Taliban
Britischer Minister drängt auf Rückzug aus Afghanistan
Es wäre eine deutliche Abkehr von der bisherigen Politik Großbritanniens – der neue Verteidigungsminister Fox stellt einen raschen Abzug aus Afghanistan in Aussicht. Begründung: „Wir sind keine Weltpolizei.“ Beim Truppenbesuch wurde der Politiker von Fußballstar Beckham begleitet.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,696333,00.html

Barack Obama investiert 80 Milliarden Dollar in Atomwaffen
In den nächsten zehn Jahren möchte US-Präsident Barack Obama 80 Milliarden Dollar in Atomwaffen investieren. Damit zerstreut er scheinbar die Befürchtungen, mit dem START-Abkommen die Verteidigung der USA geschwächt zu haben.
http://www.focus.de/politik/weitere-meldungen/usa-barack-obama-investiert-80-milliarden-dollar-in-atomwaffen_aid_508000.html

Technik
Neue US-Rakete rast mit fünf Mach durch die Luft
Die US-Luftwaffe hat eine Rakete 200 Sekunden lang mit der fünffachen Schallgeschwindigkeit durch die Luft geschossen. Der technologische Durchbruch soll so groß sein wie der Übergang vom Propeller- zum Triebwerkfliegen. Boeing kann sich schon mal zahlreiche Einsatzmöglichkeiten vorstellen.
http://www.welt.de/wissenschaft/weltraum/article7827366/Neue-US-Rakete-rast-mit-fuenf-Mach-durch-die-Luft.html

Das sollten wir vielleicht auch mal machen ... ;-)
777 Millionen Euro
Rußland reformiert Militär mit Lotterie-Einnahmen
Mit einer Lotterie will Rußland Geld für seine kostspielige Militärreform gewinnen. In den nächsten fünf Jahren sollen auf diesem Weg 777 Millionen Euro eingenommen werden. Die oft noch sowjetisch geprägten Streitkräfte gelten als hoffnungslos veraltet. Das Militär erlebt derzeit seine radikalste Reform seit 150 Jahren.
http://www.welt.de/politik/ausland/article7766156/Russland-reformiert-Militaer-mit-Lotterie-Einnahmen.html

Demographie
Politiker fordern Mütterquote für mehr Kinder
Von T. Heuzeroth und D. Siems
Durch den Geburtenabsturz droht der Kollaps der Sozialsysteme. Doch ist dieser Zusammenbruch überhaupt noch aufzuhalten? Konservative Politiker wollen mit einer „demographischen Offensive“ gegenhalten. Sie fordern eine Mütterquote, also eine Bevorzugung im Arbeitsleben. Ihre Devise: Neue Eltern braucht das Land.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7747024/Politiker-fordern-Muetterquote-fuer-mehr-Kinder.html

„Die Wahrheit und ihr Preis“
Eva Herman, ein Running Gag der Emanzipation
Von Antje Hildebrandt
In ihrem neuen Buch rechnet die ehemalige Tagesschau-Moderatorin Eva Herman mit ihren Gegnern ab. Doch wer gesammelte An- und Entschuldigungen erwartet, liegt falsch. Der Ton, in dem dieses Buch geschrieben ist, ist eher leise und teilweise angenehm selbstironisch. Die Geschichte eines Mißverständnisses.
http://www.welt.de/vermischtes/article7754366/Eva-Herman-ein-Running-Gag-der-Emanzipation.html

Roland Koch kündigt Rückzug aus der Politik an
BERLIN. Hessens Ministerpräsident Roland Koch (CDU) will sich offenbar aus der Politik zurückziehen. Medienberichten zufolge plant Koch, sowohl sein Amt als Ministerpräsident niederzulegen als auch von der Funktion als stellvertretender Bundesvorsitzender der CDU zurückzutreten.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M58554a68f58.0.html

Abgang Koch
Von Karlheinz Weißmann
Der Abgang Roland Kochs hat ein merkwürdig verhaltenes Echo gefunden. Es gibt ein bißchen Triumphgeschrei über das angebliche „Scheitern“, ein bißchen Genugtuung über das Verschwinden eines Intimfeindes von Frank Schirrmacher, aber ansonsten nur die mehr oder weniger überzeugend vorgetragenen guten Wünsche für den weiteren Lebensweg.
Nur ganz am Rande findet sich die obligatorische Klage interessierter Kreise über das Verschwinden des nun wirklich allerletzten Konservativen aus der Führungsriege der CDU. Die FAZ hat für diesen Anlaß schon eine Art ritualisierte Kommentierung im Leitartikel entwickelt, und Jörg Schönbohm sah sich im Interview mit dem Tagesspiegel zu der gleichfalls ritualisierten Feststellung veranlaßt, daß die Union an Kontur verliere und den konservativen „Markenkern“ zu beschädigen drohe.
http://www.sezession.de/14978/abgang-koch.html

CDU verliert unter Merkel fast ein Fünftel der Mitglieder
BERLIN. Die CDU verliert weiter dramatisch an Mitgliedern. Laut Bild-Zeitung haben die Christdemokraten zwischen August 2009 und Februar 2010 rund 5.000 Mitglieder verloren. Dies entspricht einem Rückgang von einem Prozent der Mitglieder.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5161672381d.0.html

Vorbild Schweiz ...
Druck von rechts unten
Von Karlheinz Weißmann
http://www.sezession.de/14885/druck-von-rechts-unten.html

Schweiz: Blocher fordert Ende deutscher Zahlungen
ZÜRICH. Der ehemalige Schweizer Bundesrat und Vizepräsident der Schweizer Volkspartei (SVP), Christoph Blocher, hat Verständnis für den Unmut der Deutschen gezeigt, sich an den Zahlungen für Griechenland zu beteiligen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M52bd8af51b6.0.html

„Acht Prozent wären eine Katastrophe“
Industrieboß warnt vor Inflation
Regierungen und Notenbanken pumpen Billionen in die Märkte – droht nun eine Mega-Inflation? Industrieboß Keitel hat tatsächlich diese Sorge, in einem Interview warnt er vor unkontrolliertem Preisauftrieb. Dagegen helfe nur eins: sparen, sparen, sparen.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/0,1518,696373,00.html

Kommentar
Der Tod des Euro muß nicht das Ende der EU sein
Von Michael Stürmer
Mit Mühe und Not wurde der Euro in der vergangenen Woche gerettet. Aber der Preis für die Rettung ist das Vertrauen der Bürger, ein ökonomischer Nationalismus, wie es ihn lange nicht mehr gab, und der gute Ruf der Europäischen Zentralbank. Drei Szenarien, wie es mit dem Euro jetzt weitergehen könnte.
http://www.welt.de/debatte/article7766638/Der-Tod-des-Euro-muss-nicht-das-Ende-der-EU-sein.html

Euro-Krise
Warum die Rückkehr zur D-Mark nicht unmöglich ist
Der Austritt aus dem Euro-Klub würde zwar große politische Verwerfungen provozieren, technisch wäre er jedoch durchaus machbar. Welche Konsequenzen hätte die Wiedereinführung der D-Mark?
http://www.wiwo.de/finanzen/warum-die-rueckkehr-zur-d-mark-nicht-unmoeglich-ist-430904/

Krisen-Vernebelung
Von Claus Wolfschlag
Die heraufziehende Wirtschaftskrise, die auch eine Systemkrise werden wird, bringt Bewegung in die politische Szenerie. Leute im eigenen Bekanntenkreis, denen bis vor kurzem keine noch so gewichtig vorgetragene Warnung das Wässerchen ihrer Gewißheit vom ewigen Wohlstand und sicheren Fortbestand unserer Gesellschaftsform, vom „unumkehrbaren“ Prozeß der EU-Einigung trüben konnte, fangen auf einmal an, nachdenklich zu werden.
http://www.sezession.de/14851/krisen-vernebelung.html

Überwachungswende
Briten machen Schluß mit Big Brother
Von Frank Patalong
Der rabiateste Überwachungsstaat der westlichen Welt wagt die Kehrtwende. Großbritanniens neue Regierung will die Vorratsdatenspeicherung abschaffen, biometrische Personalausweise einmotten und Netzsperren aufheben.
http://www.spiegel.de/netzwelt/netzpolitik/0,1518,696094,00.html

„Politically Incorrect“: Edathy fordert Beobachtung durch Verfassungsschutz
BERLIN. Der SPD-Politiker Sebastian Edathy hat Bundesinnenminister Thomas de Maizière (CDU) aufgefordert, das Internetportal „Politically Incorrect“ (PI) durch den Verfassungsschutz beobachten zu lassen. Als Grund nannte Edathy die steigende Islamophobie in Deutschland. „Ich beobachte mit Sorge, daß pauschale Verunglimpfungen des Islam zunehmen“, sagte der Bundestagsabgeordnete der Nachrichtenagentur ddp.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M56e91c37d25.0.html

Klicken gegen Rechts
Facebook-Mitglieder demonstrieren gegen Neonazis im Netzwerk
von Alfred Krüger
Online-Demo bei Facebook: Das Netzwerk darf nicht zur Bühne für rechte Propaganda werden, fordert eine Facebook-Gruppe mit 283.000 Mitgliedern. Mit einer digitalen Lichterkette wollte man ein Zeichen setzen. Gut 2.000 Nutzer nahmen an der Demo teil.
http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/25/0,3672,8074553,00.html

Selbstmarketing und Kartoffelkrieg
Von Martin Lichtmesz
Wenn ich etwas an „Endstation Rechts“ bewundere, dann vor allem deren cleveres Marketing. Anderseits kann man immer mit Publicity rechnen, wenn man ins richtige Horn stößt, seien die Einfälle noch so lahm. Mit den Kalauern und Antifasprüchlein des satirischen Modelabels „Storch Heinar“ haben es die Macher jedenfalls schon Ende 2008 auf Spiegel Online geschafft. Zuletzt gab es im Dezember 2009 Schützenhilfe, als der originale „Thor Steinar“ gegen die Parodisten klagte. Nun hat auch noch die taz darüber berichtet.
http://www.sezession.de/14894/selbstmarketing-und-kartoffelkrieg.html

Die alte linke Leider, daß es so etwas wie Völker überhaupt nicht gebe ...
Wir sind kein Volk!
Der israelische Historiker Shlomo Sand kritisiert jüdisch-nationale Mythen und behauptet, daß die Juden kein Volk seien. Seine Gedanken findet er ungeheuer provokant.
von Ivo Bozic
http://jungle-world.com/artikel/2010/20/40971.html

Das anti-antideutsche Lied
http://www.youtube.com/watch?v=or_DphIezus&feature=related

Jelpke jammert und rechtfertigt sich. Ein schöner Erfolg für die JF ...
Selbstentlarvende Kritik
Ein Grußwort an ehemalige Mitarbeiter der Auslandsaufklärung der DDR schlägt Wellen. Stellungnahme einer Linkspolitikerin
Von Ulla Jelpke
Mein zuerst am 18. Mai in der Tageszeitung junge Welt veröffentlichtes Grußwort zur Tagung der ehemaligen Mitarbeiter der Hauptverwaltung Aufklärung (HVA) – dem Auslandsnachrichtendienst der DDR – hat für erheblichen Wirbel gesorgt. Nachdem die extrem rechte Wochenzeitung Junge Freiheit (!) darüber berichtete, griffen auch Medien wie Spiegel online das Thema auf. Seitdem bekomme ich täglich zum Teil Dutzende Haß-E-Mails, bei denen es sich größtenteils einfach um wüste, antikommunistisch motivierte Beschimpfungen handelt, oft genug verbunden mit persönlichen Beleidigungen und sogar Drohungen. Wer wie der Generalsekretär der CDU Brandenburg, Dieter Dombrowski, ausgerechnet im Interview mit der antidemokratischen Wochenzeitschrift Junge Freiheit das Grußwort einen „Schlag ins Gesicht aller Demokraten“ nennt, entlarvt sich nur selbst. Da allerdings auch eine ganze Reihe von Mitgliedern und Sympathisanten der Partei DIE LINKE mit Fragen an mich herangetreten sind, möchte ich hier noch einmal Stellung nehmen.
http://www.jungewelt.de/2010/05-28/024.php

Jelpke verteidigt Grußwort an ehemalige Stasi-Spione
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5686d908293.0.html

Königin Silvia von Schweden äußerte sich in einer Fernsehsendung über die NSDAP-Mitgliedschaft ihres Vaters ...
Königliche Freiheit
Von Baal Müller
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M557006e4346.0.html

Litauen: Gericht erklärt Hakenkreuz zum Kulturerbe
http://derstandard.at/1271377035180/Gericht-erklaert-Hakenkreuz-zum--Kulturerbe
http://de.rian.ru/society/20100520/126385663.html

Sudetendeutsche
Das große Tauwetter zwischen Prag und München
Von Gernot Facius
Horst Seehofer reist als erster bayerischer Regierungschef nach Prag; das tschechische Fernsehen zeigt einen Film über Massaker an Deutschen zur besten Sendezeit: Es tut sich etwas in der durch Krieg und Vertreibung immer noch virulenten „Sudetenfrage“. Die Signale stehen auf Versöhnung.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7766274/Das-grosse-Tauwetter-zwischen-Prag-und-Muenchen.html

Die BILD-Zeitung liefert in ihrer Berichterstattung die volkspädagogisch erwünschte (vermeintliche) Rechtfertigung tschechischer Verbrechen an Deutschen gleich mit. Die insbesondere mit Blick auf die Verhältnisse in Böhmen und Mähren historisch komplett falsche Darstellung ist an Infamie kaum zu übertreffen ...
Neues Filmmaterial zeigt Hinrichtung deutscher Vertreibungs-Opfer
Von HANS-JÖRG VEHLEWALD
Flucht und Vertreibung – Millionen deutsche Zivilisten zogen nach Kriegsende im Mai 1945 Richtung Westen, flohen vor der russischen Armee oder wurden als Besatzer verjagt von Polen, Tschechen und Slowaken.
Allein aus der Tschechoslowakei wurden über drei Millionen Deutsche vertrieben, viele starben auf den langen Trecks nach Westen, an Hunger, Kälte, Seuchen. Doch viele wurden auch grausam ermordet, erschlagen, erschossen – aus Rache für die gräßlichen Verbrechen der Nazis an den sogenannten „minderwertigen Slawenvölkern“ im Osten Europas.
http://www.bild.de/BILD/politik/2010/05/26/neue-dokumentation-brutale-rache-akte-an-deutschen/fluechtlingen-im-zweiten-weltkrieg.html
http://kress.de/kresskoepfe/kopf/profil/15046-hans-joerg-vehlewald.html

Die verlorene Liebe der Gudrun Ensslin
„Wer wenn nicht wir“ oder die Urszene der RAF: Der Dokumentarist Andres Veiel dreht seinen ersten Spielfilm. Ein Setbesuch.
http://www.tagesspiegel.de/kultur/kino/die-verlorene-liebe-der-gudrun-ensslin/1845938.html

Mehr Zuwanderer kommen nach Deutschland
WIESBADEN. Im vergangenen Jahr kamen wieder mehr Zuwanderer nach Deutschland. Wie das Statistische Bundesamt am Mittwoch mitteilte, sind 2009 nach vorläufigen Ergebnissen 721.000 Personen zugezogen. Das waren 39.000 Zuzüge oder sechs Prozent mehr als im Jahr 2008.
Der Großteil der Zuwanderer kam aus Polen (123.000), Rumänien (56.000), den Vereinigten Staaten (30.000), der Türkei (30.000) und Bulgarien (29.000). Die Zugewanderten ließen sich vor allem in Nordrhein-Westfalen (146.000), Baden-Württemberg (122.000) und Bayern (122.000) nieder.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M51a1f3677ee.0.html

Gespräch mit Ruprecht Polenz
„Unsere Werte sind mit dem Islam kompatibel“
Ruprecht Polenz ist CDU-Abgeordneter im Bundestag, Vorsitzender des Auswärtigen Ausschusses und Autor des Buches „Besser für beide. Die Türkei gehört in die EU“. Europa wolle keinen Kampf der Kulturen, sagt er im Interview der Sonntagszeitung.
http://www.faz.net/s/Rub99C3EECA60D84C08AD6B3E60C4EA807F/Doc~E75E24518DAFF4221B7C47B6A32714FAF~ATpl~Ecommon~Scontent.html
http://www.pi-news.net/2010/05/polenz-tuerkei-gehoert-in-die-eu/

Der Tritt von Europa
http://www.pi-news.net/wp/uploads/2010/05/mohamed4.jpg

EU-Kommission will Visumspflicht für Bosnier und Albaner aufheben
BRÜSSEL. Bosnier und Albaner sollen künftig ohne Visum in die Staaten der Europäischen Union (EU) einreisen dürfen. Dies sieht ein Vorschlag der EU-Kommission vor, den Innenkommissarin Cecilia Malmström am Donnerstag vorgestellt hat.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M57123eeb600.0.html

Ohne Migranten geht die Welt zugrunde
In einem weinerlichen Artikel erzählt uns die WELT, daß es ohne Migranten als Azubis nicht mehr geht. Als Beispiel dafür, wie schwer die es haben, dient Mustafa Cakir, der ganze zwei Bewerbungen schreiben mußte, um einen Ausbildungsplatz als Gebäudereiniger zu bekommen. Nur mit wem man Ausbildungsplätze besetzt, die höhere Anforderungen an Schulabschluß und Intelligenz stellen, sagt die WELT uns nicht.
http://www.pi-news.net/2010/05/ohne-migranten-geht-die-welt-zugrunde/#more-138367

Hierzulande dürfte es wohl kaum anders sein ...
Niederlande: 7,2 Milliarden Euro jährlich für Immigration
Laut einer Studie des wissenschaftlichen Institutes Nyfer im Auftrag des Rechtspolitikers Geert Wilders müssen die Niederlande jährlich 7,2 Milliarden Euro für Ausländer aus nicht-westlichen Staaten aufwenden. Diese Studie könnte die kommende Parlamentswahl entscheidend beeinflussen.
Die Studie wurde in Auftrag gegeben, weil sich die niederländische Regierung geweigert hatte, offizielle Zahlen dazu zu veröffentlichen. Im Jahre 2003 gab die Regierung noch sechs Milliarden Euro Immigrationskosten an.
Wilders nannte das Ergebnis „schockierend“ und sieht sich in seiner Forderung bestätigt, die Einwanderung aus bestimmten Ländern befristet einzufrieren bzw. zu erschweren. Ebenso sollen neue Immigranten zehn Jahre keinen Anspruch auf Sozialhilfe haben.
http://www.shortnews.de/id/832626/Niederlande-7-2-Milliarden-Euro-jaehrlich-fuer-Immigration

Unter Verdacht
Polizei-Ausländerbeauftragter in Haft
Ein Ausländerbeauftragter der Polizei in Offenbach sitzt in Untersuchungshaft. Er soll Daten aus dem Polizeicomputer weitergegeben haben. Die Grünen fordern Aufklärung – die sie laut Ministerium längst erhalten haben.
Oberstaatsanwältin Annette von Schmiedeberg bestätigte gegenüber hr-online Recherchen der „Frankfurter Rundschau“. Der Zeitung zufolge steht der Deutsch-Marokkaner im Verdacht, Informationen aus der Polizei-Datenbank an Verdächtige weitergegeben zu haben. Er arbeitet als einer von drei Ausländerbeauftragten der Polizei in Offenbach.
Von Schmiedebach sagte, der Mann sei kein Polizeibeamter, sondern Angestellter. Er wurde vergangenen Freitag festgenommen, seit Samstag sitzt er in Untersuchungshaft. Die Ermittlungen stünden am Anfang und bezögen sich auf die letzten zwei Jahre, sagte die Staatsanwältin. Details nannte sie mit Verweis auf die laufenden Ermittlungen nicht. Der Beschuldigte besitzt einen deutschen Paß.
http://www.hr-online.de/website/rubriken/nachrichten/indexhessen34938.jsp?rubrik=36082&key=standard_document_39196441

PI feiert erfolgreiche Abwehr eines Raubüberfalls ...
Köln: Death Wish?
Hat Köln jetzt einen Charles Bronson, der nach bewährter Methode Sicherheit für die Bürger schafft, die Politik und Behörden ihnen verweigern? Ein geheimnisvoller Unbekannter, ganz in schwarz gekleidet, bereitete drei Straßenräubern unbekannten Hintergrundes eine unangenehme Überraschung zu früher Stunde.
http://www.pi-news.net/2010/05/koeln-death-wish/#more-137323

„Kölner Expreß“ hat Mitleid mit den Angreifern ...
21jähriger in Lebensgefahr
Notwehr? Mann stach auf Räuber ein
Köln – Drama in der Kölner Innenstadt: Drei Räuber (18, 18, 21) wollten einen Mann ausrauben. Der zückte ein Messer und stach auf den 21jährigen ein. Der 21jährige wurde schwer verletzt und mußte einer Notoperation unterzogen werden. Er kämpft im Krankenhaus um sein Leben.
Zusammen mit seinen Komplizen hatte er in der Nacht zu Samstag zuvor versucht, einen bislang Unbekannten zu berauben. Gegen 1.50 Uhr war es an der Poststraße/Ecke Agrippastraße zur Konfrontation zwischen dem Trio und einem circa 30- bis 40jährigen, komplett schwarz gekleideten Mann gekommen.
Eine Streifenwagenbesatzung traf kurz darauf die beiden Heranwachsenden und ihren schwerverletzten Begleiter an. Der mutmaßliche Angreifer war nicht mehr vor Ort.
In ihrer Vernehmung räumten die beiden 18jährigen ein, daß die Aggression von ihnen ausgegangen sei. Um an Geld zu kommen, „wollten wir ein paar Leute abziehen“, so einer der beiden gegenüber den Ermittlern.
Gemeinsam hätten sie den etwa 1,80 Meter großen athletischen Mann, der eine schwarze Sporttasche mitführte, angegangen, um ihn zu berauben. Unter anderem hätten sie ihr Opfer mit einer Bierflasche auf den Kopf geschlagen. Letztlich habe der Angegriffene mit einem Messer dem 21jährigen in die Brust gestochen und sei geflüchtet.
Die beiden 18jährigen wurden festgenommen. Bis dahin waren sie polizeilich noch nicht einschlägig in Erscheinung getreten. Im Gegensatz zu dem Verletzten, der bereits mehrfach mit Körperverletzungs- und Raubdelikten auffällig geworden ist. Gegen das Trio wird nun wegen versuchten schweren Raubes ermittelt.
http://www.express.de/regional/koeln/notwehr--mann-stach-auf-raeuber-ein/-/2856/3456606/-/index.html

Hamburg: Gruppenvergewaltigung nach Disco-Flirt
Türsteher fallen über Mädchen (18) her
Es war eine besondere Bekanntschaft, eine aufregende Verabredung – und ein Albtraum! Ein 18jähriges Mädchen soll von drei Männern vergewaltigt worden sein. Jetzt stehen die mutmaßlichen Peiniger vor Gericht.
Laut Anklage traf sich Nicole D. (Name geändert) am Nachmittag des 18. Januar am Hauptbahnhof mit Bakri El H. (22). Die beiden hatten sich auf dem Kiez kennengelernt. Der Libanese arbeitete dort als Türsteher, unter anderem im angesagten „D-Club“ (ehemals „Docks“).
Zum Treffen soll H. allerdings Mohamad Z. (25, ebenfalls Libanese, Türsteher) mitgebracht haben, angeblich ein Cousin. Die beiden Männer fuhren mit Nicole zu einer Wohnung an der Vierlandenstraße. Dort wartete bereits der dritte nun angeklagte Mann: Hamade Adel A. (21) – Syrer, Türsteher.
In der Wohnung der Übergriff! Dem Ankläger zufolge riß Nicoles Bekanntschaft ihr von hinten Top und BH vom Leib und sagte: „Ich habe Druck.“ Während der wegen Körperverletzung vorbestrafte Komplize Z. die junge Frau an den Haaren festhielt, habe H. sie mißbraucht.
Dann, so der Vorwurf, verging sich A. an dem Mädchen, ehe Nicole, die sich heftig wehrte, den eher schmächtigen Mann wegdrücken konnte. Doch ihr Martyrium war damit nicht vorbei: Der kräftige H. soll sie erneut vergewaltigt haben. „Danach brachten die Männer das Opfer zurück zum Hauptbahnhof“, so der Staatsanwalt.
Am 3. Juni wird der Prozeß fortgesetzt, dann wollen die Angeklagten aussagen.
http://www.bild.de/BILD/regional/hamburg/aktuell/2010/05/27/gruppen-vergewaltigung-nach-disco-flirt/tuersteher-fallen-ueber-maedchen-her.html

Hamburg ringt um Fassung
Von Sverre Schacht
Nur die Opfer kriegen lebenslänglich“, hat ein Passant auf die Säule im Hamburger U-Bahnhof Jungfernstieg geschrieben – es ist die jetzt von Blumen und Kerzen umringte Säule, an der Mel D. (19) am Wochenende nach Himmelfahrt von fünf Jugendlichen angepöbelt und dann von dem 16 Jahre alten Deutsch-Afghanen Elias mit einem Messerstich ins Herz getötet wurde.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5a5e9b2c5a4.0.html

„Star-Anwalt“ will hoch aggressiven Messerstecher aus dem Knast holen
http://www.bild.de/BILD/regional/hamburg/aktuell/2010/05/21/s-bahn-killer/star-anwalt-will-ihn-aus-dem-knast-holen.html

Haftbefehl gegen Messerstecher außer Vollzug
http://www.bild.de/BILD/sport/fussball/bundesliga/vereine/wolfsburg/2010/05/21/andre-lenz/tuersteher-gesteht-messerattacke-im-disco-streit.html

André-Lenz-Stecher auf freiem Fuß
Der Messerstecher des Wolfsburger Ersatztorwartes André Lenz ist gegen Auflagen wieder unterwegs. Der Mann mit türkischem Migrationshintergrund, Emin K., konnte nicht anders, als auf einen Unschuldigen einstechen. Sein jüngerer Bruder Yussuf war zuvor schwer verletzt worden. Da haben wir natürlich Verständnis.
http://www.pi-news.net/2010/05/andre-lenz-stecher-auf-freiem-fuss/
http://www.bild.de/BILD/sport/fussball/bundesliga/vereine/wolfsburg/2010/05/21/andre-lenz/tuersteher-gesteht-messerattacke-im-disco-streit.html

Eine Berliner Richterin am Ende der Geduld
Mit ihrem „Neuköllner Modell“ sorgte Kirsten Heisig bundesweit für Aufsehen. Nun hat die Berliner Richterin ein Buch geschrieben und analysiert darin schonungslos die „Jugendkriminalität“. Sie warnt: Wird jetzt nicht schnell und konsequent gegen junge Straftäter vorgegangen, verliert nicht nur Berlin den Kampf gegen die Gewalt.
http://www.morgenpost.de/berlin/article1313125/Eine-Berliner-Richterin-am-Ende-der-Geduld.html

Frankfurt: Frau von „Südländern“ vor U-Bahn gestoßen
Heute wurde eine 20jährige Frau in Frankfurt von einer Gruppe „Jugendlicher“ brutal geschlagen und auf die U-Bahn Gleise gestoßen. Sie konnte nur mit Glück rechtzeitig gerettet werden. Die Polizei sucht nach den mit der U-Bahn geflüchteten Tätern. Auf der Polizeiwebseite erfahren wir auch nähere Details über die Unbekannten, die in den Medien verschwiegen werden: „Die Polizei fahndet in diesem Zusammenhang nach sechs bis sieben Personen, bei denen es sich nach Angaben der jungen Frau um 18 bis 25 Jahre alte Nordafrikaner gehandelt haben soll.“ Islam ist Frieden und dies ein weiterer „Einzelfall“.
http://www.pi-news.net/2010/05/frau-von-suedlaendern-vor-u-bahn-gestossen/

Konstablerwache: Junge Frau auf U-Bahngleise gestoßen
Frankfurt (ots) – Bislang unbekannte Täter sollen am frühen Pfingstsonntagmorgen in der C-Ebene der Konstablerwache eine 20jährige Frau grundlos auf den Gleiskörper der U-Bahn gestoßen haben. Gerade noch rechtzeitig bevor eine U 3 in den Bahnhof einfuhr konnte die junge Frau von Mitarbeitern eines Sicherheitsdienstes aus dem Gleisbett gezogen werden.
Nach Angaben der Geschädigten befand sie sich gegen 04.20 Uhr in Begleitung einer Freundin am Bahnsteig, als eine sechs bis siebenköpfige Männegruppe auf sie zukam und einer aus der Gruppe unvermittelt gegen die 22jährige tätlich wurde. Der Täter schlug der Frau ins Gesicht und stieß sie anschließend ins Gleisbett der U-Bahn. Nach der Rettungsaktion der Sicherheitsdienstmitarbeiter begab sich die Geschädigte, die über Schmerzen im Kinnbereich und am Rücken klagte, in ärztliche Behandlung. Die Täter flüchteten mit einer U-Bahn vom Tatort.
Die Polizei fahndet in diesem Zusammenhang nach sechs bis sieben Personen, bei denen es sich nach Angaben der jungen Frau um 18 bis 25 Jahre alte Nordafrikaner gehandelt haben soll. (Karlheinz Wagner/069/755-82115)
http://www.presseportal.de/polizeipresse/pm/4970/1618920/polizeipraesidium_frankfurt_am_main

Frankfurt am Main
Mann stößt junge Frau auf U-Bahn-Gleis
Berichte mit Zensur der Täterherkunft:
http://www.focus.de/panorama/vermischtes/frankfurt-am-main-mann-stoesst-junge-frau-auf-u-bahn-gleis_aid_511661.html
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/frankfurt/2679628_Konstablerwache-20-Jaehrige-von-Unbekanntem-auf-Gleise-gestossen.html
http://www.welt.de/die-welt/regionales/article7771686/20-Jaehrige-auf-Gleis-gestossen.html
http://www.bild.de/BILD/Newsticker/news-ticker/2010/05/24/24-14-u-bahn.html

Bericht ohne Zensur und mit Nennung der Täterherkunft:
http://www.fnp.de/fnp/region/lokales/junge-frau-vor-ubahn-gestossen_rmn01.c.7727158.de.html

20jährige in Frankfurt brutal auf die Gleise gestoßen
Seid ihr krank im Kopf, ihr U-Bahn-Schubser?
Brutal prügelt der Schläger am Bahnsteig auf das Mädchen ein. Dann stößt er es mit Gewalt auf die Gleise. Der Zug rollt ein ...!
Die Fotos sind Dokumente eines unfaßbaren Verbrechens. Es geschah nachts um 4.20 Uhr an der U-Bahn-Station Frankfurt-Konstablerwache. Tanja G.* (20) wartete dort mit einer Freundin auf die U 5.
Plötzlich kamen sechs Männer auf sie zu, Nordafrikaner. Erst pöbelten, dann griffen sie die Mädchen an. Tanja bekam mehrere Faustschläge ins Gesicht!
Die ganze Zeit lief die Überwachungskamera im U-Bahn-Tunnel.
Sie zeichnete auch die schreckliche Tat auf: Ein Täter (wahrscheinlich Marokkaner, 18 bis 25 Jahre alt) stieß das Mädchen auf die Gleise. Dann rannten er und seine Kumpel einfach weg.
Polizeisprecher Kalli Wagner: „Gerade noch rechtzeitig, bevor die U 5 einfuhr, konnten Mitarbeiter des Sicherheitsdienstes die Frau aus dem Gleisbett ziehen.“ Das Opfer erlitt einen Schock, außerdem Verletzungen im Gesicht und am Rücken.
BILD wurden die Fotos des feigen Angriffs zugespielt. Die Polizei versucht seit sechs Tagen, die Täter zu fassen.
http://www.bild.de/BILD/news/2010/05/29/u-bahn-schubser-frankfurt-am-main/sie-stiessen-eine-20-jaehrige-brutal-auf-die-gleise.html

Frankfurt
Schwerverletzter im Bahnhofsviertel
Die „Frankfurter Rundschau“ zensiert die Herkunft der vermutlichen Täter ...
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/frankfurt/2684908_Polizei-Schwerverletzter-im-Bahnhofsviertel.html

Die „Welt“ nennt sie hingegen ...
http://www.welt.de/die-welt/regionales/article7786906/Schwer-verletzt-gefunden.html

Berlin
Unbekannte prügeln mit Holzlatten auf dunkelhäutigen Mann ein
Im Berliner Stadtteil Prenzlauer Berg ist ein dunkelhäutiger Mann von Unbekannten überfallen und verprügelt worden. Nach Angaben der Polizei schlugen die zehn Männer und Frauen mit Holzlatten auf ihr Opfer ein.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,696391,00.html

Hochzeitsfeier endet mit blutiger Messerstecherei
Taufkirchen – Kritik an einem Kaffee soll der Auslöser gewesen sein: In eine Eskalation blutiger Gewalt mündete am Sontagabend eine Hochzeitsfeier in Taufkirchen. Die Mordkommission ermittelt nun.
Überall Blaulicht, uniformierte Einsatzkräfte, Absperrungen und die Landung eines Rettungshubschraubers sowie Blut auf dem Boden: Gewaltig aus dem Ruder gelaufen ist am Sonntagabend eine Hochzeitsfeier im Ritter-Hilprand-Hof in Taufkirchen. Zwischen den überwiegend ausländischen Gästen und Angestellten der Gaststätte kam es laut Polizei zu einem Streit, der gegen 19.45 Uhr eskalierte. Es entwickelte sich eine Massenschlägerei mit rund 300 Beteiligten, in deren Verlauf auch Messer gezückt und als Waffe benutzt wurden, weshalb die Mordkommission der Münchner Polizei ermittelt. Traurige Bilanz der Gewalttätigkeiten: Zwei Personen wurden schwer verletzt ins Krankenhaus eingeliefert, vier weitere erlitten leichte Verletzungen. Gegen 2.40 Uhr in der Nacht zum Montag, so vermeldet die mit einem massiven Aufgebot angerückte Polizei, war der Spuk beendet. Fünf Tatverdächtige sind bislang festgenommen worden.
(...)
Taufkirchens Bürgermeister Jörg Pötke war persönlich zunächst bis gegen 19 Uhr bei der Hochzeitsfeier anwesend. „Alles war wunderbar friedlich und wirkte wie eine große Familienfeier unter Sinti und Roma. Es waren ja auch viele hochschwangere Frauen und kleine Kinder dort.“ Anlaß für die blutige Auseinandersetzung soll laut Pötke gewesen sein, „daß irgend etwas mit einem Kaffee nicht stimmte“. Ein nichtiger Anlaß als Funke für eine Explosion, weshalb Pötke mutmaßt, „daß vielleicht ganz andere Beweggründe dahinterstecken. Mir fällt es schwer, die Verbindung zwischen der Unzufriedenheit über einen Kaffee und diesem Gewaltexzeß zu sehen.“ Dem Vernehmen nach sollen einige Hochzeitsgäste in die Restaurantküche eingedrungen sein, um sich dort mit Messern zu bewaffnen.
Taufkirchen steht unter Schock, die Polizei ermittelt mit Hochdruck, was bei rund 300 Tatbeteiligten aber nicht einfach ist. Und der Ritter-Hilprand-Hof gleicht einem Schlachtfeld, so Pötke: „Es ist viel Blut geflossen. Die Gaststätte und die Küche sind total verwüstet.“
http://www.merkur-online.de/lokales/nachrichten/hochzeitsfeier-endet-blutiger-messerstecherei-776612.html?cmp=defrss

Polizei nimmt nach Mord an Obdachlosem vier Verdächtige fest
DUISBURG. Nach der Ermordung eines Obdachlosen im nordrhein-westfälischen Kamp-Lintfort hat die Polizei vier Jugendliche im Alter von 16 und 17 Jahren festgenommen. Sie stehen nach Behördenangaben „im dringenden Verdacht, an der Ermordung des Obdachlosen Klaus B. am Pappelsee in Kamp-Lintfort beteiligt gewesen zu sein“. Ihnen seien Finger- und Schuhsohlenspuren zuzuordnen. Der Mordkommission liegen Teilgeständnisse der vier Schüler vor.
Der zuständige Richter am Amtsgericht Moers erließ am Freitagabend Haftbefehle gegen den aus dem ehemaligen Jugoslawien stammenden 16 Jahre alten Haupttäter und seinen gleichaltrigen Komplizen. Die beiden 17jährigen wurden ihren Eltern übergeben, weil sie nicht direkt an der Tat beteiligt gewesen sein sollen. Sie müssen mit einer Strafanzeige wegen Nötigung und Sachbeschädigung rechnen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M51fb822887a.0.html

Geplantes Atommüllager Gorleben
Diskussion über Sicherheitsanforderungen entbrannt
Werden die Sicherheitsanforderungen im geplanten Atommüllager Gorleben laxer? Nach den bisherigen Regeln sollte der Strahlenmüll auch nach 500 Jahren noch geborgen werden können. Nun soll dieser Passus entfallen, berichtet die ARD. Das Umweltministerium sagt hingegen: Noch ist nichts entschieden.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/technik/0,1518,697244,00.html

Heiligenhäuschen ist Autos im Weg
http://www.op-online.de/nachrichten/rodgau/heiligenhaeuschen-autos-780257.html

Angekündigte Katastrophe
Pilz gefährdet Weizenernte weltweit
In Afrika ist ein Pilz mutiert, der sich jetzt ausbreitet. Er bedrohe die globale Weizenernte, warnen Experten. Vor allem dicht besiedelte Gebiete Asiens seien gefährdet – und damit die Nahrungsgrundlage von Milliarden von Menschen.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/natur/0,1518,696999,00.html

Afrikanische Verhältnisse in der US-Hauptstadt ...
Kampf gegen Aids
Washington fördert Frauenkondome
Mit Kunststoffschläuchen gegen HIV: Washington will mit Frauenkondomen die rapide Ausbreitung von Aids in der US-Hauptstadt stoppen. Die Behörden werben mit Niedrigpreisen und Innovationen. So soll das neue Frauenkondom leiser sein als das Vorgängermodell.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,697018,00.html

Garten-Inventur
Vogelzähler sehen Spatzen auf dem Rückzug
Gründliche Inventur in Deutschlands Gärten und Parks: 40.000 Freiwillige haben am zweiten Maiwochenende mehr als 800.000 Vögel gezählt. Die meisten Arten haben den kalten Winter gut überstanden – doch manche sind auf dem Rückzug.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/natur/0,1518,697072,00.html

Fund aus dem Dreißigjährigen Krieg
Massengrab in Stralsunder Altstadt entdeckt
Spektakuläre Entdeckung in Stralsund: Mitten in der Altstadt haben Archäologen ein Massengrab aus dem Dreißigjährigen Krieg ausgegraben. Doch die Merkmale der Toten sind nicht typisch für Soldaten. Jetzt rätseln Archäologen, woran diese Menschen einst starben.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,695825,00.html

dimanche, 30 mai 2010

Drang nach? La scelta geopolitica di Berlino

Drang nach? La scelta geopolitica di Berlino

di Ernst Sultanov

Fonte: eurasia [scheda fonte]

Tante altre notizie su www.ariannaeditrice.it

 

Drang nach? La scelta geopolitica di Berlino

Il “si” di Berlino al fondo (che ammonta in complessivo a 750 bilioni di Euro) creato per salvare le economie europee è tentativo di guadagnare tempo. Tutti guardano la Germania in quanto paese più forte e più ricco dell’Europa. Però la decisione che verrà presa, pur nascendo nell’ambito economico, avrà impatto fondamentale anche sulla strategia geopolitica del governo federale.

L’elite tedesca ha sostanzialmente due opzioni. La prima prevede come obiettivo la rianimazione di una specie di Sacro Romano Impero Germanico. Cioè Berlino dovrà di nuovo prendere la responsabilità dell’Europa. Questo significherebbe anche che la Germania dovrà prendere le redini del potere che con la fine della seconda guerra mondiale sono sempre state nelle mani francesi.

La seconda può essere definita “Drang nach Osten” in quanto prevede una sorta di espansione “soft” verso l’Oriente o in altri termini rianimazione di vecchia alleanza con la Russia. La logica di questa strategia è molto chiara: c’è perfetta simbiosi geoeconomica che permette di mollare facilmente il fardello “europeo”.  Rispetto alla maggior parte dei paesi europei (puri parassiti dal punto di vista dello scambio commerciale) la Russia produce anche le materie prime, di cui ha bisogno la Germania. A sua volta la Russia è un mercato rilevante per l’industria tedesca. Questo spiega perché il rapporto tra Berlino e Mosca è rimasto stabile nonostante variazioni di governi sia da una che dall’altra parte perfino negli anni più turbolenti. La Germania ha dato il suo appoggio ai progetti di gasdotti lanciati da Mosca e nella stessa Gasprom c’è la partecipazione tedesca.

La difficoltà di portare avanti il progetto di “Pax Germanica” è dovuta a vari fattori, fra questi anche l’eredità del dopoguerra. I tedeschi sono stati considerati e istruiti come i semplici lavoratori che oltre tutto devono  portare la colpa di qunto accaduto sotto il governo di Hitler. Infatti le proteste in Grecia puntavano molto sul parallelo tra la politica del Terzo Reich e l’approccio molto rigido dell’attuale governo della Repubblica Federale. Dietro questa campagna c’è una forte resistenza da parte della Francia che cerca di spiegare la crisi puntando il dito contro gli speculatori – gli autentici colpevoli  della crisi. Intorno a Parigi si sono riuniti gli alleati di nuova “Entente” che già hanno bloccato il modesto tentativo tedesco di mettere in ordine le finanze europee.

Senza superare il Rubicone in una o in altra direzione Berlino rischia di essere trascinata dal degrado dell’attuale UE. Oltre agli “speculatori” esiste problema dei paesi che non producano. Però la tentazione di lasciare le cose come sono è molto forte soprattutto se dietro ci sono gli interessi e le pressioni finanziarie e politiche. La stessa Germania è molto esposta verso il sistema globale: dai fondi pensionistici che investivano in debito greco alla Deutsche bank che dal punto di vista operativo è più rappresentata da New York e Londra che da Francoforte.

L’immobilità di Berlino in questo caso potrebbe essere non solo pericolosa, ma addirittura micidiale. Per sostenere il “welfare europeo” ci vuole molto di più rispetto al risanamento della Germania dell’Est, che è stata già un impresa poco facile. In questo caso la Germania rischia di avere la “lieta” fine dell’URSS che fino all’ultimo stava mantenendo i paesi del “Blocco Socialista” diventati oggi i membri del club europeo.

* Ernst Sultanov è redattore di Eurasia

vendredi, 28 mai 2010

Wenn Migranten Migranten hassen

Wenn Migranten Migranten hassen: Afrikaner nach Türken-Angriff in Berlin geistig behindert

Udo Ulfkotte

Ex: http://info.kopp-verlag.de/

Würden zwei Deutsche in der Bundeshauptstadt aus rassistischen Gründen einen Afrikaner angreifen und so zusammenschlagen, dass er bis an sein Lebensende behindert bliebe, Sie würden das natürlich sofort in allen Zeitungen lesen. Die Empörung wäre zu Recht groß. Zwei arbeitslose Türken haben aus rassistischen Gründen in Berlin einen armen Afrikaner angegriffen. Und die Medien schauten wieder einmal vereint politisch korrekt weg, weil die Täter nicht blond sind und auch keine Springerstiefel trugen. Wenn Migranten Migranten hassen, dann schweigen die deutschen Systemmedien.

Nach dem lebensgefährlichen Angriff von zwei Türken auf einen Afrikaner hat das Berliner Landgericht nun die arbeitslosen Täter zur Zahlung von 240.000 Euro Schmerzensgeld an den aus Burkina Faso stammenden Mann verurteilt. Die Türken hatten im Juni 2007 auf einem Neuköllner U-Bahnhof aus rein rassistischen Gründen immer wieder brutal auf ihr Opfer eingeschlagen. Nach einem Karatesprung eines Türken gegen den Afrikaner stürzte dieser mit dem Kopf auf den Bahnsteig und brach sich dabei den Schädel. Das heute 38 Jahre alte Opfer ist seit dem Türken-Angriff körperlich und geistig schwer behindert. Er wird wohl bis an das Ende seines Lebens auf Betreuung angewiesen sein. Der Mann hat allerdings seit rund zwei Jahren weder von Politik noch von Medien oder Verbänden irgendeine Unterstützung oder Aufmerksamkeit bekommen. Auch die großen Türkenverbände, die den Deutschen sonst gern pauschal »Rassismus« vorwerfen, haben sich um das afrikanische Türken-Opfer bislang nicht gekümmert. Da die türkischen Straftäter arbeits- und mittelllos sind, wird das Opfer wohl keinen Cent vom zugesprochenen Schmerzensgeld sehen. Und der Steuerzahler muss für die Verfahrenskosten und für die Betreuung des armen Afrikaners aufkommen.

 

Donnerstag, 20.05.2010

© Das Copyright dieser Seite liegt, wenn nicht anders vermerkt, beim Kopp Verlag, Rottenburg


Dieser Beitrag stellt ausschließlich die Meinung des Verfassers dar. Er muß nicht zwangsläufig die Meinung des Verlags oder die Meinung anderer Autoren dieser Seiten wiedergeben.

Sur le Pacte germano-soviétique

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Archives de SYNERGIES EUROPEENNES - 1990

Sur le Pacte germano-soviétique

 

Ingeborg FLEISCHHAUER, Der Pakt. Hitler, Stalin und die Initiative der deutschen Diplomatie 1938/39,  Ull­stein, Berlin, 1990, 552 S., DM 48, ISBN 3-550-07655-X.

 

Parmi les publications et prises de position à l'occasion du cinquantième anniversaire du fa­meux traité germano-soviétique de l'été 1939, peu ont mis l'accent sur les prémisses de ce «pacte dia­bolique». L'historienne Ingeborg Fleischauer (Université de Bonn), spécialiste des relations germano-russes, a été la première Occidentale à pouvoir consulter certaines archives et pièces ori­ginales soviétiques. Ce qui lui a permis de retracer plus minutieusement que ses prédécesseurs la gé­néalogie du «pacte». Elle en déduit que l'initiative de renouer de bonnes relations entre le Reich et la Russie venait surtout d'Allemagne et principale­ment dans la période qui a suivi Munich. Outre les archives russes, Ingeborg Fleischhauer a aussi compulsé un maximum de sources occidentales et interrogé les derniers témoins. Parmi les docu­ments analysés pour la première fois, il y a la cor­respondance privée du dernier ambassadeur alle­mand à Moscou, le Comte Friedrich Werner von der Schulenburg, dont le rôle n'a pas encore été évalué à sa juste mesure. La thèse personnelle d'Ingeborg Fleischhauer est de dire que l'initiative provient, non pas de Hitler ou de Staline, mais des milieux professionnels de la diplomatie allemande. L'historienne compte quatre étapes dans la gesta­tion du «pacte»: 1) d'octobre 1938 à fin janvier 1939, où l'on assiste à un renforcement des rela­tions commerciales bilatérales entre les deux puis­sances; 2) de février 39 au 10 mai 39, où les rela­tions bilatérales cessent d'être strictement com­merciales et se politisent lentement, malgré la désapprobation soviétique (surtout Litvinov) de l'occupation de la Bohème par les troupes de Hit­ler. Malgré l'annexion de ce territoire slave, une nouvelle génération de diplomates soviétiques ac­cepte le fait accompli qui contribue à déconstruire le cordon sanitaire occidental, mis en place pour tenir et l'Allemagne et l'URSS en échec; 3) de mai 39 au 20 août; les initiatives allemandes, quali­fiées de néo-bismarckiennes, se multiplient, jus­qu'à l'offre du pacte de non-agression du 17 août; 4) du 20 au 23 août 1939, avec le voyage de Rib­bentrop à Moscou et la signature du «pacte».

 

En bref, un ouvrage d'une exceptionnelle minutie que doivent posséder et lire tous ceux qui veulent comprendre la dynamique de notre siècle.

 

mercredi, 26 mai 2010

Presseschau - Mai 2010 / 04

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Mai 2010 / 04

Einige Links. Bei Bedarf anklicken...

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Seit dem Mittelalter hat sich im Abendland die Vorstellung von sieben „Kardinaltugenden“ durchgesetzt, die man noch in die theologischen (Glaube, Liebe, Hoffnung) und die weltlichen (Klugheit, Gerechtigkeit, Tapferkeit und Maß) unterteilte. Wichtig ist dabei, daß die Klugheit als „Mutter der Tugenden“ (Thomas von Aquin) gilt, was bedeutet, daß keine Tugend ohne Klugheit zu bestehen vermag. Diesen Kardinaltugenden können Sekundärtugenden nachgeordnet werden wie Pünktlichkeit, Höflichkeit, Sauberkeit und so weiter.
Es ist als Verfallsform der Tugendethik anzusehen, daß der Begriff seit dem 18. Jahrhundert zuerst gegen die tradierte Ordnung gestellt und dann unter bürgerlichem Einfluß auf den Aspekt der Sexualität beschränkt wurde und unter einem „tugendhaften“ Leben nur ein keusches verstanden wurde. Noch problematischer war allerdings die Tendenz, den Bezug auf die Tugend durch einen Bezug auf „Werte“ zu ersetzen. Das hängt vor allem mit der Unverbindlichkeit solcher Werte zusammen, deren Proklamation keine strenge Verpflichtung zum richtigen Tun bedeutet.

(Staatspolitisches Handbuch, hrsg. v. Erik Lehnert und Karlheinz Weißmann, Band 1: Leitbegriffe, verfaßt von Karlheinz Weißmann, Schnellroda 2009, S. 146)

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Studie über Südafrika
Pünktlich in die Vorbereitungsphase der Nationalmannschaft auf die Fußball-Weltmeisterschaft hinein erscheint die Studie 16 des IfS Südafrika. Vom Scheitern eines multiethnischen Experiments. Diese Studie ist eines der wenigen Gegengewichte zu einer „Verschwörung der Schönredner“ und befaßt sich mit dem Scheitern des Landes, das einmal als das „power house“ des Kontinents galt.
http://www.sezession.de/14792/studie-ueber-suedafrika.html

Versenktes Kriegsschiff
Südkorea wirft Norden tödliche Torpedoattacke vor
Der Konflikt zwischen Nord- und Südkorea erreicht einen Höhepunkt. Südkorea hat jetzt nach eigenen Angaben Beweise dafür, daß der Norden ein 1200-Tonnen-Kriegsschiff per Torpedo versenkte – 46 Menschen starben. Das Regime in Pjöngjang droht im Fall von Vergeltung mit „totalem Krieg“.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,695764,00.html

Nordkoreanische Kriegsdrohungen
Südkorea setzt auf Deeskalation
Säbelrasseln in Pjöngjang, Bedachtsamkeit in Seoul: Südkorea mahnt nach den Kriegsdrohungen Nordkoreas zur Vorsicht. Zwischen beiden Ländern ist wegen eines mutmaßlichen Torpedoangriffs auf ein Schiff die Lage gespannt. Auch die USA wollen sich nun in den Konflikt einschalten.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,696135,00.html

Panzerhaubitzen auf dem Weg nach Afghanistan
http://www.youtube.com/watch?v=WcDiMuYqsLA

KSK-Kommandeur Ammon im Gespräch
Töten gehört zum Auftrag
(RP)  Brigadegeneral Hans-Christoph Ammon, Kommandeur des Kommandos Spezialkräfte (KSK) der Bundeswehr in Calw, zur kritischen Lage in Afghanistan, zur Geheimhaltung bei Einsätzen, zum Problem des Tötens, zur schwierigen Nachwuchsgewinnung, zum Idealbild des Kämpfers und zu Frauen als Kommandosoldaten.
http://www.rp-online.de/politik/deutschland/Toeten-gehoert-zum-Auftrag_aid_860016.html

Die Tour funktioniert leider immer wieder ...
Online-Spionage
Die schöne Facebook-Freundin der Elitesoldaten
Von Sarah Stricker, Tel Aviv
Eine bezaubernde junge Frau freundet sich auf Facebook mit israelischen Militärs an – und entlockt ihnen Geheimnisse. Laut einem Pressebericht tappten 200 Elitesoldaten in die Falle. Dahinter steckt vermutlich die libanesische Schiitenmiliz Hisbollah.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,694582,00.html

Der Hauptfeind des Liberalen
Von Martin Lichtmesz
Mitte Juni ist die nächste Staffel der Kaplaken lieferbar, darunter eine Neuauflage des klassischen, unvermindert aktuellen Essays „Gegen die Liberalen“ von Armin Mohler aus dem Jahr 1988. Eine der zentralen, wohl zum Teil von Alain de Benoist („Die entscheidenden Jahre“, 1982) inspirierten Thesen des Aufsatzes ist, daß der Hauptfeind des Rechten nicht der Kommunist (resp. der Linke) sei, sondern der Liberale, denn dieser sei ein „Feind, der bereits innerhalb der Burg agiert und unsere Abwehr so weich macht, daß der äußere Feind eindringen kann.“
http://www.sezession.de/14803/der-hauptfeind-des-liberalen.html

Thorsten Hinz
Der Staatsstreich
Der Brüsseler Staatsstreich vom vorvergangenen Wochenende kam nicht aus heiterem Himmel. Er hat notifiziert, was sich seit langem schleichend vollzog. Er steht für den virtuellen Charakter unserer real existierenden Demokratie. Der noch gefährlichere Angriff zielt gegen Recht und Gesetz.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5d849f2a8c9.0.html

Essay
Zurück zur EWG
Von Leon de Winter
Ein Plädoyer für die Abschaffung des Euro
http://www.spiegel.de/spiegel/0,1518,695157,00.html

Endzeit
Es mutet fast unwirklich an.
Während andere Pläne schmieden, um durch eine Transferunion auf deutsche Kosten das Datum ihres Bankrotts hinauszuschieben, feiert die Bundeskanzlerin in Moskau die Niederlage des eigenen Volkes, als wäre sie die Nachfolgerin Ulbrichts, nicht Adenauers.
Im Bundestag wird über die Zahlung ungeheurer Summen abgestimmt, die auch unabsehbare Folgen nach sich ziehen mögen, auf jeden Fall aber die Geldmenge aufblähen und so das uns auferlegte Zahlungsmittel entwerten.
Raubmörder läßt man einfach frei herumlaufen, weil eine Richterin nicht rechtzeitig aus dem Urlaub zurückgekehrt ist.
Wäre dies ein Traum, ich bräuchte mich nur zu kneifen, um zu erwachen. Wäre es aber wirklich, dann müßte doch ein Aufschrei im Lande zu vernehmen sein.
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=22541

Kampf gegen die Euro-Krise
Merkel verspricht Spekulanten-Bremse
„Scheitert der Euro, dann scheitert Europa“: Kanzlerin Merkel sieht in der Währungskrise eine existentielle Bedrohung – nun will sie die Märkte schärfer regulieren, notfalls im nationalen Alleingang. Der SPD reicht diese Ankündigung nicht aus, sie verlangt „schwarz auf weiß“ konkrete Zusagen.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,695542,00.html

EU-Finanzkrise
Bundestag und Bundesrat winken Rettungspaket durch
Der deutsche Beitrag zum milliardenschweren Euro-Rettungspaket steht. Nach dem Bundestag billigte am Freitag auch der Bundesrat die größte Hilfsaktion in der Geschichte des gemeinsamen Währungsraumes – auf Deutschland könnten Kreditgarantien in Höhe von bis zu 148 Milliarden Euro zukommen.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,696245,00.html

„Die Reißleine zieht man, wenn man im freien Fall ist“
Die Einführung des Euro war verfrüht, kritisierte der Wirtschaftswissenschaftler Manfred J. Neumann schon 1998. Für ihn war damals schon klar, daß in Staaten wie Griechenland die notwendige Haushaltsdisziplin fehlt, mit der die Währung der Gemeinschaft stabil bliebe.
Dennoch hält der renommierte Ökonom heute nichts von einer Panikmache und nennt Überlegungen zum Austritt aus der Euro-Zone unrealistisch. Im folgenden bringen wir die ausführlichere Version des Interviews aus der JUNGEN FREIHEIT (21/10)
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5dff3f6f687.0.html

Euro-Debatte
Warum die Angst vor Inflation unbegründet ist
Ein Gastkommentar von Gustav A. Horn
Viele Finanzexperten warnen vor Inflation, dabei spricht derzeit nichts für eine schnellere Geldentwertung. Daran ändern auch die milliardenschweren Rettungsprogramme für Banken und Euro nichts. Im Gegenteil – Europa steht ein deutlich schlimmeres Szenario bevor: fallende Preise.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/0,1518,694875,00.html

Mehr Geld für EU-Parlamentarier
http://oe1.orf.at/artikel/244124

Niederlande
Politiker wollen sämtliche Drogen legalisieren
http://www.welt.de/politik/ausland/article7696828/Politiker-wollen-saemtliche-Drogen-legalisieren.html

Kokain gegen die Krise? Wahlstreit in den Niederlanden
http://www.nachrichten.at/nachrichten/politik/aussenpolitik/art391,395474

Nordrhein-Westfalen
SPD lehnt Linkspakt ab – Gespräche mit CDU
Fünf Stunden sprachen sie miteinander, dann stand das Scheitern fest. Rot-Grün und die Linkspartei werden in Nordrhein-Westfalen keine Koalition eingehen. SPD-Landeschefin Kraft teilte am Abend mit: „Es macht keinen Sinn“ – jetzt will sie die CDU zu Gesprächen über eine Große Koalition einladen.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,696026,00.html

Koalitionspoker in Nordrhein-Westfalen
Kraft startet Plan B
Von Veit Medick
Spektakulär ließ Hannelore Kraft die Gespräche mit der Linken scheitern – ein Modell auch für die Sondierung mit Jürgen Rüttgers und seiner CDU? Eine Große Koalition ist in der SPD extrem unbeliebt. Jetzt wird über zwei Notoptionen spekuliert.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,696281,00.html

Verfahren gegen Wolfgang Thierse wird eingestellt
http://www.welt.de/die-welt/politik/article7724571/Verfahren-gegen-Wolfgang-Thierse-wird-eingestellt.html

Grußwort an Ex-Auslandsspitzel
Linken-Abgeordnete preist Stasi-Agenten
Wie geht die Linke mit der DDR-Vergangenheit um? Auch an dieser Frage will Rot-Grün in NRW die Partei messen – jetzt wird bekannt: Ulla Jelpke, prominente Abgeordnete aus dem Bundesland, hat ein Grußwort an Ex-Stasi-Auslandsagenten verfaßt. Unter anderem lobt sie sie für ihren „mutigen Einsatz“.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,695759,00.html

Stasi-Lob: CDU-Politiker droht Jelpke mit parlamentarischem Nachspiel
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5b74cf34252.0.html

Ulla Jelpke
Stasi-Grußwort empört Union
http://www.focus.de/politik/weitere-meldungen/cdu-linke-stasi-grusswort-empoert-union_aid_510235.html

Zeitgeschichte
So trickreich entsorgte die SED ihre Vergangenheit
Von S. F. Kellerhoff und U. Müller
Vor 20 Jahren gelobte die PDS, die zuvor SED hieß, „verantwortungsbewußt“ an der Erneuerung der Gesellschaft mitzuwirken. Das jedoch hielt sie nicht davon ab, die Mitgliederkartei der SED zu vernichten. Bis heute wird darüber geschwiegen, doch WELT-ONLINE-Recherchen belegen, wie trickreich die Partei vorging.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7663752/So-trickreich-entsorgte-die-SED-ihre-Vergangenheit.html

Statt Blumen
von Nils Wegner
Ja, ich gebe es zu – auch ich lese die FAZ. Zumindest teilweise. Unter der Woche, morgens vor dem Aufbruch gen Universität, schnuppere ich gern bei einer Tasse Tee in den Feuilleton hinein und informiere mich über den liberal-konservativen Blick auf zeitgeistige Ereignisse.
Am Mittwoch, dem 5. Mai dieses Jahres, zog jedoch nicht der Bericht über Daniel Cohn-Bendits Opposition gegenüber der israelischen Siedlungspolitik meinen Blick auf sich, und auch den Bericht über eine neue Ausstellung auf der Wewelsburg bemerkte ich erst später. Was zuallererst meine Aufmerksamkeit erregte, war – eine Gedenkanzeige.
http://www.sezession.de/14784/statt-blumen.html#more-14784

„Netz gegen Nazis“ über RCQT ...
Woran man sie erkennt
T-Shirt-Motive von „Reconquista reloaded“ – Haßrätsel für die Szene
Seit kurzem ist die Kleidermarke „Reconquista“ (rcqt) zur Freude größerer Teile der rechten Szene unter dem Motto „Reconquista reloaded“ wieder in Produktion und käuflich erwerbbar. Die T-Shirts verpacken Rassismus, Antisemitismus oder Islamfeindlichkeit modern und mehr oder weniger verrätselt – und dürften sowohl Anhängern der „neuen Rechten“ wie auch den „Autonomen Nationalisten“ gefallen.
http://www.netz-gegen-nazis.de/artikel/t-shirt-motive-von-reconquista-relaoded-hassraetsel-fuer-die-szene-9987

Linke Pädagogen in Aufregung ...
Rechtsextremismus unter Migranten:
http://www.lehrer-online.de/836107.php

Mord am Jungfernstieg
19jähriger wollte in Todesangst noch fliehen
Von André Zand-Vakili
Nach der tödlichen Messerstecherei hat die Hamburger Polizei das Überwachungsvideo ausgewertet: Die Bilder zeigen, daß der etwa 17 Jahre alte Täter sein Opfer gezielt attackierte. Zuvor hatte er bereits mit Freunden wahllos Leute provoziert. Als der Streit eskalierte, wollte der 19jährige noch fliehen.
http://www.welt.de/vermischtes/article7655571/19-Jaehriger-wollte-in-Todesangst-noch-fliehen.html

Mit dem ethnischen Hintergrund der Täter und Haß auf Deutsche hat die Tat natürlich nichts zu tun ...
Tödliche S-Bahn-Attacke
Polizei nimmt minderjährigen Intensivtäter fest
Drei Tage nach dem tödlichen Angriff auf einen 19jährigen in Hamburg hat die Polizei vier Tatverdächtige festgenommen, darunter einen erst 16 Jahre alten Intensivtäter. Auslöser des tödlichen Konflikts sei die Frage „Was guckst du, was ist hier los?“ gewesen, erklärte ein Polizeisprecher.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,695202,00.html#ref=nldt

Furchtbare Juristen ...
Keine Mordanklage für Elias A.
Der Mörder des 19jährigen Hamburgers Mel D., der Afghane Elias A. (Foto), wird nicht wegen Mordes angeklagt. Von den Mordmerkmalen niedere Beweggründe (Mordlust, sexuelle Motive, Habgier), Heimtücke (Tötung eines arglosen Opfers), Grausamkeit, gemeingefährliche Mittel (etwa Sprengstoff) und die Ermöglichung oder Verdeckung einer anderen Straftat, sieht der Staatsanwalt keins gegeben.
Die nächste Ohrfeige für die Hinterbliebenen ist seine Begründung: „Weil es vor der Tat offenbar Streit zwischen Tatverdächtigem und Opfer gegeben hat, kann von einer Arg- oder Wehrlosigkeit des Opfers nicht ausgegangen werden.“
http://www.pi-news.net/2010/05/keine-mord-anklage-fuer-elias-a/#more-137024

Hamburg
20-Cent-Killer aus der U-Haft entlassen
[Schuld ist die Aschewolke ...]
http://www.bild.de/BILD/news/2010/05/18/wegen-20-cent-erschlagen/taeter-aus-u-haft-entlassen.html
http://www.welt.de/die-welt/vermischtes/hamburg/article7693766/Haftentlassung-im-20-Cent-Prozess.html

Im Metronom
Schaffnerin bespuckt, geschlagen und belästigt
Brutale Attacke auf eine Zugbegleiterin im Metronom: Vier junge Männer haben eine Schaffnerin auf der Fahrt nach Bremen bespuckt und verprügelt. Zudem hat sich einer der Männer die Hose runtergezogen und die Schaffnerin sexuell belästigt. Die 38jährige hatte das Quartett beim Schwarzfahren erwischt.
[Bei den Tätern soll es sich um zwei Kolumbianer, einen Dominikaner und einen „Deutschen“ handeln ...]
http://www.welt.de/vermischtes/article7730355/Schaffnerin-bespuckt-geschlagen-und-belaestigt.html

Integration: Forscher sehen Deutschland auf einem guten Weg
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M542a56da301.0.html

Islamkritik
GEW will nicht mit Irmer sprechen
http://www.hr-online.de/website/rubriken/nachrichten/indexhessen34938.jsp?rubrik=34954&key=standard_document_39155361

FRANKREICH
Burka-Verbot von französischem Kabinett abgesegnet vor 10 Stunden
http://www.dcrs.de/frankreich-burka-verbot-von-franzoesischem-kabinett-abgesegnet,371502

Frankreich
Popanz Burka
http://www.sueddeutsche.de/politik/390/511496/text/

Was für Idioten ...
Stadtallendorf
Prozeß
Moschee-Brandstifter verurteilt
http://www.hr-online.de/website/rubriken/nachrichten/indexhessen34938.jsp?rubrik=36090&key=standard_document_39152859
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/hessen/2661712_Brandstifter-verurteilt.html

Familienfreundliches Sachsen
Von Ellen Kositza
http://www.sezession.de/14796/familienfreundliches-sachsen.html

Hadid, Gehry & Co
Albert Speer jr. hadert mit den Star-Architekten
Von Andreas Rosenfelder
Derzeit arbeitet Albert Speer jr. an einem Masterplan für die Kölner Innenstadt. Doch mit vielem, was gefeierte Star-Architekten entwickeln, kann er wenig anfangen. Im Interview auf WELT ONLINE geht Speer mit Zaha Hadid und Frank Gehry hart ins Gericht: „Das sind nur Ideenwolken“.
http://www.welt.de/kultur/article7600198/Albert-Speer-jr-hadert-mit-den-Star-Architekten.html

Für Hartgesottene ...
Vergleichsbilder der Fachwerkstadt Hildesheim, vor dem Bombenkrieg und nach 60 Jahren BRD
http://www.hildesheimernatur.de/Hildesheim_Startseite.htm

Stadtgestaltung
Siegen packt seinen Fluß aus
Siegen. Gäbe es Idar-Oberstein nicht, wäre Siegen in architektonischer Hinsicht in weitem Umkreis einzigartig. So allerdings müssen sich die beiden Städte ein Merkmal mit zweifelhaftem Charme teilen: Beide haben die Flüsse in ihrer Mitte überdacht. Idar-Oberstein baute eine Straße über die Nahe, und Siegen setzte Ende der 60er Jahre eine Parkpalette für mehr als 150 Autos über die Sieg. Der Fluß, nachdem die Stadt benannt ist, verschwand dadurch in der City weitgehend aus dem Blickfeld.
http://www.derwesten.de/wr/westfalen/Siegen-packt-seinen-Fluss-aus-id2983927.html

Knöchelverletzung
Ballack fällt für die WM aus
Der Traum von der WM in Südafrika ist für Michael Ballack geplatzt. Der Kapitän der deutschen Nationalmannschaft ist so schwer verletzt, daß er nicht am Turnier teilnehmen kann, erklärte der DFB. Ballack war im englischen Pokalfinale von dem Negermischling Kevin-Prince Boateng brutal gefoult worden. [Es wird von Vorsatz ausgegangen!]
http://www.spiegel.de/sport/fussball/0,1518,695133,00.html

WM 2010
Boateng wollte Ballack ausschalten
Vor dem WM-Hintergrund wird das rüde Foul von Kevin-Prince Boateng gegen Michael Ballack im englischen Pokalfinale pikant. Man kann Absicht unterstellen. Von FOCUS-Online-Redakteur O. Völkl
http://www.focus.de/sport/fussball/wm-2010/wm-2010-boateng-wollte-ballack-ausschalten_aid_508871.html

vendredi, 21 mai 2010

Gender mainstreaming ganz praktisch

Ellen KOSITZA:

Gender mainstreaming ganz praktisch

Ex: http://www.sezession.de/

[1]In den Schulklassen meiner Töchter gibt es keine extravaganten Typen, die ich  in meiner Jugend durchaus kannte. Damit meine ich Jugendliche, die sich optisch und habituell von den anderen hervorhoben. Sei es als Trendsetter, die irgendwelche Accessoires oder Haltungen schon mit sich trugen, bevor sie Monate oder Jahre später irgendwie volkstümlich wurden; oder als selbstsichere Außenseiter, die sich den Moden verweigerten, indem sie entweder den Stil einer entlegenen Subkultur sich anverwandelten oder ein ganz eigenes „Selbstkonzept“ kreierten.

Anscheinend ist es heute so, daß Moden erstens mit rasender Zeit globalisiert werden (die dämliche Jungmännerhaarmode mit schräg und weich in die Stirn fallendem Pony hielt ich vor Jahren so lange für ein Dorf-Ossi-Syndrom, bis ich endlich feststellte, daß man diesen Softie-Look genauso in Berlin trägt)  und zudem ein Ausbrechen aus Konventionen schwieriger ist.

Jemand mit grünen Haaren oder einem Ring in der Lippe wurde zu meiner Zeit als kraß provokativ angesehen, heute ruft dergleichen nicht mal mehr ein Schulterzucken hervor. Die Möglichkeiten der Selbstdarstellung sind heute breiter aufgefächert, allerdings innerhalb eines Hauptstroms, der umso reißender ist. (Außenseiter gibt´s natürlich immer noch, das sind die extrem Dicken und ein paar Introvertierte, an denen die Züge der Zeit haltlos vorbeirasen.)

Ein paar Details der relativ gleichförmigen „Jugendkultur“ jenseits des Offensichtlichen sind mir bis vor kurzem völlig entgangen: das Ausmaß des Hypes um Justin Bieber, gewisse Manga-Trends sowie Stufen der Pornographisierung.

Über Justin Bieber, den 16jährigen Pop-Helden aus den Vereinigten Staaten, las ich vergangene Woche in der FAZ, daß der in einem Interview nicht gewußt habe, was „german“ bedeute. Die Existenz eines Landes „Germany“ ist anscheinend nie zu seinen Ohren gedrungen. Ist Justin Bieber besonders wichtig? Für Millionen Teenager anscheinend ja. Meine Tochter berichtete von einem „Psychotest“, der wohl in der Bravo zur Verfügung gestellt wurde und den Probanden Antwort auf die Frage gab: „Wieviel Justin Bieber steckt in deinem Freund?“ „Alle schwärmen für Justin Bieber“, erzählt die Tochter, „ganz extrem sogar“, und natürlich habe jede diesen Test gemacht, auch ohne eigenen Freund. In der Tat ist ausgerechnet dieser Bub, der stark an Heintje, den Schwarm unserer Mütter erinnert, zu einem Sexsymbol selbst für Frauen meines Alters avanciert. Ein Video [2], das ich mir bei youtube anschaute, hatte außer mir noch 25 Millionen Zuschauerinnen. Ja, ein netter, niedlicher, gaanz lieber Kerl! Nur, worauf verweist gerade die Inthronisation dieses schmächtigen Schmachters als Traummann Nr. 1?

Zur Manga-Sache: Anscheinend sind Shonen Ai [3]-Manga derzeit bei Mädchen voll im Trend. Ein paar Freundinnen meiner Töchter zeichnen selbst enthusiastisch Comics in jenem japanischen Stil und stehen als Konsumentinnen besonders auf Shonen Ai, das von deutschen Verlagen auch unter der Rubrik Boys Love geführt wird. Darin geht es um phantastische Liebesbeziehungen (auch erotischer, vorwiegend aber emotionalener Art) zwischen Knaben. Im Börsenblatt des Deutschen Buchhandels las ich, daß jenes Genre der gezeichneten Schwulen-Liebesgeschichte derzeit das erfolgreichste im Manga-Bereich ist – Zielgruppe sind wohlgemerkt nicht Homosexuelle, sondern Mädchen.  Ein einigermaßen befremdlicher Trend.

Zuletzt: Johannes Gernets hervorragendem Buch Generation Porno [4]entnahm ich, daß bereits 15jährige, egal welchen Geschlechts, heute nahezu durchgehend mit Hardcore-Pornographie konfrontiert worden seien. Eine Behauptung, die ich doch für leicht übertrieben hielt! Nachfrage bei den Töchtern, 12 und 13: Klar, Vergewaltigungsvideos oder andere bestialische Sequenzen haben viele Jungs aus ihren Klassen auf den Handies, in den Pausen werde so was unter großen „Boah“ und „hohoho“ laufend rumgezeigt.

Justin Biebers zarte Stimme, gefühlige Schwulencomics einerseits und die Popularisierung der ganz harten Tour andererseits – wie das wohl zusammenpaßt? Anscheinend ganz gut.


Article printed from Sezession im Netz: http://www.sezession.de

URL to article: http://www.sezession.de/14608/gender-mainstreaming-ganz-praktisch.html

URLs in this post:

[1] Image: http://www.sezession.de/14608/gender-mainstreaming-ganz-praktisch.html/selten-so-geweint-2

[2] Video: http://www.youtube.com/watch?v=i1zuN17t51A

[3] Shonen Ai : http://www.shonen-ai.net/sites/startseite.html

[4] Generation Porno : http://sachbuch.fackeltraeger-verlag.de/4160/Software/Buecher/Generation-Porno.jsp

mardi, 18 mai 2010

Presseschau - Mai 2010 / 03

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Presseschau

Mai 2010 / 03

Heute Presseschau mit Links zum Anklicken bei Interesse. Es sind diesmal sehr viele interessante Artikel darunter, bunt gemischt...

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Die Spezies der Politiker bildet eine negative Auswahl aus der Bevölkerung. Weil die Politiker aus den Kreisen derer rekrutiert werden, die sich von Jugend auf in den Parteien bewährt haben, derer, die den zermürbenden Hürdenlauf einer Parteikarriere schon aufgenommen haben, bevor sie überhaupt eine eigene politische Meinung entwickeln konnten, ergibt sich eine ungünstige Selektion.

Sibylle Tönnies

(Zitiert im Staatspolitischen Handbuch, hrsg. v. Erik Lehnert und Karlheinz Weißmann, Band 1: Leitbegriffe, verfaßt von Karlheinz Weißmann, Schnellroda 2009, S. 41)

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Mit Unterstützung der USA
Bundeswehr erhöht Kampfkraft in Nordafghanistan
Verteidigungsminister Karl-Theodor zu Guttenberg hat auf die zunehmende Kritik an der mangelnden Ausrüstung der Bundeswehr in Afghanistan reagiert. Da es seit Monaten Probleme mit dem europäischen Kampfhubschrauber „Tiger“ gibt, werden ab Juni US-Hubschrauber die deutschen Soldaten unterstützen.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7649738/Bundeswehr-erhoeht-Kampfkraft-in-Nordafghanistan.html

Leipzig soll zentrale Ermittlungsstelle bei Auslandseinsätzen werden
LEIPZIG. Die Bundesregierung will Leipzig zur zentralen Ermittlungsstelle für Verfahren gegen Bundeswehrsoldaten in Auslandseinsätzen machen. Ein entsprechender Gesetzentwurf sei bereits fertiggestellt und könnte noch vor der parlamentarischen Sommerpause vom Kabinett beschlossen werden, sagte der Parlamentarische Staatssekretär im Bundesjustizministerium, Max Stadler (FDP), der Mitteldeutschen Zeitung.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5ddee9887c2.0.html

Soldaten der Bielefelder Uni zeigen Solidarität: Antifa = „Linke Faschos“
http://www.blauenarzisse.de/v3/index.php/gesichtet/1614-soldaten-der-bielefelder-uni-zeigen-solidaritaet-antifa-linke-faschos

Nahost-Debatte
Fernsehen raus aus dem Heiligen Land!
Darf man als Deutscher Israel kritisieren? Diese Frage diskutieren die SPIEGEL-Autoren Erich Follath und Henryk M. Broder in einem streitfreudigen Briefwechsel. Wie aber stehen die beiden zum Palästina-Konflikt? Höchste Zeit für einen Friedensplan, der aggressive Schritte erfordert.
http://www.spiegel.de/kultur/gesellschaft/0,1518,694168,00.html

Artikel aus dem Jahr 2005 ...
Essay
Gebt den Juden Schleswig-Holstein!
Von Henryk M. Broder
Der Vorschlag des iranischen Staatspräsidenten Mahmud Ahmadinedschad, Israel nach Deutschland zu verlegen, ist nicht so absurd, wie er klingt. Betrachtet man die Idee vorurteilsfrei, zeigt sich dahinter eine historische Bodenreform zum Nutzen aller beteiligten Parteien.
http://www.spiegel.de/kultur/gesellschaft/0,1518,389472,00.html

Blutige Unruhen in Thailand
Bangkok droht der Bürgerkrieg
Aus Bangkok berichtet Thilo Thielke
Das Militär schießt auf unbewaffnete Zivilisten. Nicht einmal Sanitäter sind sicher. Kriegsartige Zustände in Bangkok: Bei Zusammenstößen zwischen der thailändischen Armee und den oppositionellen Rothemden sind mindestens 22 Menschen getötet worden - und die Lage spitzt sich zu.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,694972,00.html

Klage gegen Griechen-Hilfe
Angriff der Anti-Euro-Senioren
Von Dietmar Hipp, Karlsruhe
Der Bundestag hat Milliardenhilfen für Griechenland beschlossen – und damit nach Ansicht von fünf Professoren gegen das Grundgesetz verstoßen. Sollte sich das Verfassungsgericht auf eine Prüfung einlassen, stehen die Chancen der Kläger gar nicht mal schlecht.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,693681,00.html

Professoren-Klage
Karlsruhe macht Weg für Griechenland-Hilfe frei
Das Bundesverfassungsgericht hat den Eilantrag für einen Stopp der Griechenland-Hilfe abgelehnt. Das Gericht begründete dies am Samstag damit, daß ein Verschieben der deutschen Hilfen bis zu einem endgültigen Urteil über die Klage das Rettungspaket insgesamt gefährden könne.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,693745,00.html

„Mister Dax“
Börsen-Experte sieht konzertierten Angriff auf Euro
Von Michael Höfling
Dirk Müller ist für viele Fernsehzuschauer das Gesicht der Deutschen Börse, der „Mr. Dax“. Der Börsenmakler vermutet keinen Tippfehler als Ursache für den Crash an der Wall Street. Er geht von einem konzertierten Angriff auf den Euro aus und glaubt auch keineswegs an einen Zufall.
http://www.welt.de/finanzen/article7532255/Boersen-Experte-sieht-konzertierten-Angriff-auf-Euro.html

Haushaltsmisere
Wirtschaftsexperten warnen vor Euro-Absturz
Europa versinkt in der Schuldenkrise – mit möglicherweise dramatischen Folgen für den Euro. Manager und Ökonomen fürchten einen rapiden Wertverlust der Gemeinschaftswährung. In Deutschland steigt bereits die Angst vor einer Inflation.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,693802,00.html

Fonds gegen Spekulanten
EU beschließt Multi-Milliarden-Stütze für den Euro
Die EU hat sich auf ein beispielloses Rettungspaket geeinigt: Ein bis zu 750 Milliarden Euro schwerer Fonds für Euro-Wackelkandidaten soll Spekulanten abschrecken und die Währung schützen. Die Finanzminister beschlossen das Paket in einer dramatischen Nachtsitzung, die Börse in Tokio reagiert positiv.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,693899,00.html

Euro-Rettung
Kabinett billigt Milliardenhilfe für Athen
Die Bundesregierung hat den deutschen Beitrag für das Euro-Rettungspaket auf den Weg gebracht. In einer Sondersitzung stimmte das Kabinett einer Staatsgarantie in Höhe von mindestens 123 Milliarden zu. An den Märkten kehrt schon Ernüchterung ein, der Kurs der Gemeinschaftswährung fällt.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,694152,00.html

Putsch in Brüssel
Von Michael Paulwitz
Deutschland hat kapituliert. An diesem Montag sind die Deutschen in einem neuen Europa aufgewacht: mit einer keiner demokratischen Kontrolle unterworfenen Wirtschaftsregierung à la française, einer zum Lakaien politischer Manipulationen degradierten Europäischen Zentralbank und einer zum baldigen Untergang verurteilten schlappen Inflations-Weichwährung namens Euro.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M53d54a3efc2.0.html

Bankrott eines Kulturraums
Von Thorsten Hinz
Die gegenwärtige Krise bedeutet nicht das Ende der Europäischen Union, wohl noch nicht einmal das formale Ende des Euro. Dennoch haben die Ereignisse einen finalen Charakter, weil sie den Kern des Projekts herausschälen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5593255097c.0.html

Streit um Rettungspaket
Sarkozy soll Merkel Euro-Austritt angedroht haben
Harter Schlagabtausch: Frankreichs Präsident Nicolas Sarkozy soll Bundeskanzlerin Angela Merkel bei den Verhandlungen um das Rettungspaket für Griechenland mit einer Drohung unter Druck gesetzt haben: Ihr Ja zu den Finanzhilfen oder der Rückzug Frankreichs aus der Euro-Zone.
http://www.welt.de/politik/article7624051/Sarkozy-soll-Merkel-Euro-Austritt-angedroht-haben.html

Haushaltsmisere im Vergleich
Amerika schlittert in die Schulden-Katastrophe
Von Marc Pitzke, New York
Europa kämpft mit Milliarden gegen die Schuldenkrise – dabei sind die Finanzprobleme der Euro-Länder geradezu harmlos im Vergleich zur Lage in den USA. Auf fast 13 Billionen Dollar summiert sich Amerikas Staatsverschuldung. Wenn sie nicht bald reduziert wird, droht der Kollaps.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,694153,00.html

Kommunen vor Finanzkollaps
Städtetag befürchtet für 2010 insgesamt 15 Milliarden Euro Defizit
http://www.jungewelt.de/2010/05-15/054.php

Niemand wird Rüttgers vermissen
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5e5197dc542.0.html

Wählerhasser, Volksverächter
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M59f13f9d33b.0.html

Google-Street View
Deutschlands Datenschutz-Desaster: Offenbacher attackieren Google-Auto
http://www.extratipp.com/nachrichten/regionales/aufreger/deutschlands-datenschutz-desaster-offenbacher-attackieren-google-auto-751940.html

Der Tag der Pressefreiheit
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M511bbdec034.0.html

Das Wort „undemokratisch“ wird mittlerweile für jede Entscheidung benutzt, die einem nicht paßt ...
Scharfe Kritik an „kurzsichtiger Prioritätensetzung“
Schüler verurteilen die Sparpläne des Ministerpräsidenten (Roland Koch) – „Im höchsten Maße undemokratisch“
http://lsv-hessen.de/content/view/335/71/

Autodiebstahl
Offene Grenze nach Osten hilft Autodieben
Erstmals seit 1993 steigt die Zahl der gestohlenen Wagen wieder - Berlin und Sachsen besonders betroffen.
http://www.sueddeutsche.de/automobil/689/509817/text/

Predigt bei Kirchentag
Käßmann wirbt in katholischem Dom für Geburtenkontrolle
Drei Monate nahm sie eine Auszeit – jetzt meldet sich Margot Käßmann zurück. Ausgerechnet in der katholischen Münchner Frauenkirche lobte die evangelische Ex-Bischöfin die Pille als „Geschenk Gottes“. Und äußerte Verständnis für Menschen, die sich gegen ein Leben mit Kindern entscheiden.
http://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/0,1518,694693,00.html

Papst-Entscheidung
Kardinal Lehmann begrüßt Absetzung Mixas
Der Papst hat Walter Mixas Rücktrittsgesuch als Bischof von Augsburg angenommen, unüblich schnell für katholische Verhältnisse. Der frühere Vorsitzende der Bischofskonferenz Kardinal Lehmann ist erleichtert – und gesteht, schon früher von Gerüchten über Mixas Lebenswandel gehört zu haben.
http://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/0,1518,693797,00.html

Mixa: kein Mißbrauch
Die Ermittlungen gegen Walter Mixa wegen sexuellen Mißbrauchs sind eingestellt worden
http://www.stern.de/panorama/ex-bischof-walter-mixa-kein-missbrauch-aber-ein-neuer-pruegelfall-1566389.html
http://www.abendblatt.de/politik/deutschland/article1496165/Missbrauchs-Ermittlungen-gegen-Bischof-Mixa-eingestellt.html

Sexueller Mißbrauch:
Staatsanwaltschaft zweifelt an Vorwürfen gegen Mixa
http://www.stern.de/panorama/sexueller-missbrauch-staatsanwaltschaft-zweifelt-an-vorwuerfen-gegen-mixa-1565713.html

Nackter Papst soll aus Konstanz verschwinden
Große Aufregung um eine Steinfigur im Bahnhof
http://www.nzz.ch/nachrichten/panorama/nackter_papst_soll_aus_konstanz_verschwinden_1.5710749.html

Rückzug der Juso-Chefin
Franziska Drohsel, die radikale Gefühlssozialistin
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7601135/Franziska-Drohsel-die-radikale-Gefuehlssozialistin.html

Linksextremisten bekennen sich zu Brandanschlag
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5e0e231a5c2.0.html

Polizei ermittelt gegen FDJ-Mitglieder
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M58dbe42b9b7.0.html

Jung, wohlhabend, gewalttätig
Die Fun-Autonomen von Berlin und Hamburg
Von F. Hanauer und A. Zand-Vakili
Spaß an der Gewalt ist ihr Motiv: Eine politische Botschaft haben die jungen Täter nicht, die in Berlin und Hamburg randalieren und Autos anzünden. Inzwischen sind auch die Alt-Autonomen ratlos.
http://www.welt.de/politik/article7533754/Die-Fun-Autonomen-von-Berlin-und-Hamburg.html

Walpurgisnacht in Friedrichshain
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M525f01e17bd.0.htm

Episodenfilm „Berlin – 1. Mai“
Zwischen Gefühlen und Gewalt
http://www.maerkischeallgemeine.de/cms/beitrag/11798583/63369/Zwischen-Gefuehlen-und-Gewalt.html

BILD mal wieder extrem geistreich ...
Wiesbaden-Erbenheim
Nazis trampeln in SS-Shirts über jüdische Gedenksteine
http://www.bild.de/BILD/regional/frankfurt/aktuell/2010/05/14/nazis-in-ss-shirts/trampeln-ueber-juedische-gedenksteine.html

Nazis kriegen keine Schnitte
1500 demonstrieren in Wiesbaden gegen Rechtsradikalen-Aufmarsch
http://www.welt.de/die-welt/regionales/article7557361/Nazis-kriegen-keine-Schnitte.html

Rund 1500 Menschen demonstrieren gegen NPD-Umzug
Anwohner über Aufmarsch der Rechten empört – Polizei riegelt Erbenheim ab
http://www.nh24.de/index.php?option=com_content&task=view&id=32304&Itemid=59&show=1

8. Mai nicht nazifrei
Aufmärsche und rechte Gewalt am Wochenende
http://www.neues-deutschland.de/artikel/170729.8-mai-nicht-nazifrei.html

8. Mai 1945 – Die deutsche Tragödie
Ein Gastbeitrag von Walter Hueck
http://www.sezession.de/14565/8-mai-1945-die-deutsche-tragoedie.html#more-14565

Stalin-Kult in Rußland
„Sieger verurteilt man nicht“
Stalin steht in Rußland wieder hoch im Kurs – gerade am Gedenktag des Sieges über Hitler-Deutschland. Im Gespräch mit SPIEGEL ONLINE spricht der Medwedew-Biograf Nikolai Swanidse über den befremdlichen Kult um einen Massenmörder – und diagnostiziert eine Mitschuld des Westens.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,693567,00.html

Merkel in Moskau
Von Karlheinz Weißmann
Neben Landtagswahl und Griechenlandkrise konnte sich der „8. Mai“ nicht behaupten. Das erklärt auch, warum die Reise der Bundeskanzlerin nach Moskau fast unbemerkt blieb. Erst als man sie in den Fernsehberichten über den „Tag des Sieges“ gelöst mit Medwedjew auf der Ehrentribüne plaudern sah, wurde der Vorgang ins Bewußtsein gerückt, und damit auch, daß etwas, das einmal als gänzlich ausgeschlossen galt, dann von einem Linken als Provokation gemeint war, nun zu den Selbstverständlichkeiten gehört: (...)
http://www.sezession.de/14616/merkel-in-moskau.html#more-14616

Merkels Schande
Von Anni Mursula
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5ff5420421e.0.html

Russen protestieren gegen Schmierereien am Ehrenmal
BERLIN. Nach den Schmierereien am sowjetischen Ehrenmal für den unbekannten Soldaten in Berlin hat das russische Außenministerium die deutschen Behörden scharf kritisiert. Es sei bedauerlich, daß die „böswillige Provokation, die die historische Aussöhnung der Völker von Rußland und Deutschland überschattet habe“, nicht verhindert wurde, heißt es in einer Meldung der russischen Nachrichtenagentur RIA Novosti.
Unbekannte hatten in der Nacht zum 8. Mai mit roter Farbe „Mörder“ auf das Ehrenmal im Berliner Tiergarten geschrieben. Die Schmierereien waren vom Wachschutz gegen 4.30 Uhr entdeckt worden. Während der Kranzniederlegung am 8. Mai waren sie mit einer schwarzen Folie verdeckt worden.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5e69d80762c.0.html

Unglaublich, was für ein historisches Zerrbild da gezeichnet wird. Die typische Springer-Propaganda von Berthold Seewald (siehe Artikel) und Michael Stürmer (siehe Video). Möchtegern-Mitsieger und Hardcore-Atlantiker im Wahn ...
Mythos
Der Blitzkrieg war nur ein Taschenspielertrick
Von Berthold Seewald
Vor 70 Jahren attackierte die Wehrmacht den Westen und revolutionierte den Krieg. Wie der Wettergott Thor einst seine Feinde mit dem Hammer zerschmetterte, sollte der „Blitz“ die nationalsozialistische Weltherrschaft begründen. Das Gegenteil trat ein. Der Mythos vom „Blitzkrieg“ führte Deutschland in den Untergang.
http://www.welt.de/kultur/article7567855/Der-Blitzkrieg-war-nur-ein-Taschenspielertrick.html

42 Tote ...
Von Karlheinz Weißmann
…, das ist ein verschwindend kleiner Teil der Opfer, die Kriegsende und Nachkrieg unter den Deutschen forderten. Die Männer und Frauen wurden als Angehörige der deutschen Volksgruppe in Prag aufgegriffen, erschossen und dann von einem Lastwagen überrollt.
Auch dieser Vorgang ist nicht ungewöhnlich, sondern paßt in den Rahmen der zahllosen Massaker und Grausamkeiten, die Tschechen 1945 nach ihrer Befreiung an Deutschen begingen.
Was den Fall so außergewöhnlich macht, ist, daß er dokumentiert wurde, nicht in einem Schriftstück oder – was selten genug vorkam – auf Fotos, sondern in einem Film. (...)
http://www.sezession.de/14592/42-tote.html

Tschechisches Fernsehen zeigt Massaker an Deutschen
PRAG. Ein Dokumentarfilm über ein Massaker an Deutschen im Mai 1945 in Prag sorgt in Tschechien derzeit für Aufsehen. In der vom tschechischen Fernsehen ausgestrahlten Dokumentation „Töten auf tschechische Art“ des Regisseurs David Vondráček wird die Ermordung deutscher Zivilisten in böhmischen Städten und Gemeinden kurz nach dem Ende des Zweiten Weltkrieges behandelt.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M56a9d0c964f.0.html

Die Toten von Paris
Von Claus Wolfschlag
Als ich vorletzte Woche in Paris war, wurde mir wieder einmal bewußt, wie unempfindlich ich gegenüber den Forderungen und Inszenierungen des NS-Schuldkultes bin. Ich bemerkte aber, daß das keinesfalls an generell mangelnder Empathie oder Pietät liegt oder an Mißachtung der Opfer jener grausamen Jahre; es liegt vielmehr schlicht an der Ungleichheit des Gedenkens, im ungleichen Umgang mit dem Tod, in der Wertung der Opfer.
http://www.sezession.de/14497/die-toten-von-paris.html

Lehrer über Iris Berben: „Sie paßt in keine Gemeinschaft“ (das hatten sie offenbar gut erkannt ...)
Iris Berben und der Riß in der Vita
Iris Berben gehört zur ersten Garde deutscher Schauspielerinnen und wurde mit Preisen wie Bambis, dem Bayerischen Verdienstorden sowie zwei Bundesverdienstkreuzen überhäuft. Und doch empfindet sie bis heute in ihrer Biografie einen gravierenden Makel.
http://www.spiegel.de/panorama/leute/0,1518,694324,00.html
http://www.sueddeutsche.de/leben/860/510974/text/

Rußland
Mann lebt seit 66 Jahren mit Kugel im Kopf
Der russische Kriegsveteran Iwan Nikulin lebt seit 66 Jahren mit einer Kugel im Kopf – mit einer „faschistischen“ Kugel, wie der 86jährige sagt. 1944 habe ein deutscher General in Warschau auf ihn geschossen, sagte Nikulin der Zeitung „Komsomolskaja Prawda“. Ärzte hielten eine Operation für zu gefährlich. „Der Krieg wird immer in meinem Kopf bleiben“, sagt der ehemalige Rotarmist, der aus dem sibirischen Tschita stammt.
http://www.welt.de/die-welt/vermischtes/article7592713/Mann-lebt-seit-66-Jahren-mit-Kugel-im-Kopf.html

Spanien
Richter Garzon muß auf die Anklagebank
http://www.wienerzeitung.at/default.aspx?tabID=3861&alias=wzo&cob=493076

Politischer Druck auf „Tyrannenjäger“
Garzón suspendiert
http://www.n-tv.de/politik/Garz-n-suspendiert-article870176.html

Wirbel um Spaniens Starjuristen Garzón
Der Richter und seine Henker
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,690418,00.html

Garzón
Spaniens berühmtester Richter ist vom Amt suspendiert
http://www.welt.de/die-welt/politik/article7637187/Spaniens-beruehmtester-Richter-ist-vom-Amt-suspendiert.html

Empörung über Suspendierung von Richter Garzón
http://www.zeit.de/newsticker/2010/5/15/iptc-bdt-20100515-104-24849324xml

Der Fall Garzón
„Franco ist auferstanden“
Sieg der Ewiggestrigen: Spaniens Starrichter Garzón ist suspendiert, aber der Kampf um Aufarbeitung der Verbrechen des Franco-Regimes geht weiter.
http://www.zeit.de/politik/ausland/2010-05/garzon-spanien-protest

Deutschland
Fast jedes vierte Baby hat ausländische Eltern
In Deutschland wächst der Anteil der Kinder mit ausländischen Eltern. Im Jahr 2008 hatten nach Angaben des Statistischen Bundesamtes 23 Prozent der Neugeborenen hierzulande eine Mutter oder einen Vater ohne deutschen Paß – oder beides. Zehn Jahre zuvor hatte der Anteil noch um einiges niedriger gelegen.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7580711/Fast-jedes-vierte-Baby-hat-auslaendische-Eltern.html

„150 Jahre Immigration haben Paris getötet“
In Paris feiern die linken Gutmenschen die 150jährige Migrantengeschichte der Stadt seit 1860. Etwa 50 Mitglieder der „Identitären“ haben sich deswegen beim Pariser Rathaus versammelt, um gegen die selbstmörderische Dhimmitude mit einem „Trauerzug“ für die verstorbene Stadt zu demonstrieren. Auf einem Spruchband stand geschrieben: „Während 150 Jahren hat mich die Immigration getötet“ unterzeichnet mit Paris.
Anschließend legten die Identitären Blumen am Grab der verstorbenen Stadt nieder, die auf dem Multikulti-Altar der Migration, der Islamisierung und der Gewalt getötet wurde. Auf dem Grabstein steht „Ci-Gît Paris – Victime de l’Immigration“ (Hier ruht Paris – Opfer der Immigration). Trotz der Trauer endete die Aktion mit einem Hoffnungsschimmer: Paris ist tot, aber sie kann immer noch zu neuem Leben auferstehen.
http://www.pi-news.net/2010/05/150-jahre-immigration-haben-paris-getoetet/#more-135086

Orientalische Bereicherung in Berlin ...
Türken schubsen deutsche Ordnungshüter und vereiteln eine Amtshandlung
http://www.youtube.com/watch?v=lbJYxE-Vi0s

Vorwurf Vergewaltigung: Klassenfahrt endet im Londoner Knast
Auf einer Klassenfahrt in London sollen zwei Lübecker Schüler eine 15jährige zum Oralsex gezwungen haben. Am Mittwoch entscheidet ein Gericht, ob die beiden in U-Haft bleiben müssen. Von Cornelia Fuchs und Manuela Pfohl
Sie hatte sich eigentlich auf eine fröhliche Klassenfahrt gefreut. Ziel: London. Doch für eine 15jährige Realschülerin aus der Nähe von Bremen wurde daraus ein Horrortrip. Azad E. und Arman P., zwei 19jährige Berufsschüler aus Lübeck, sollen sie in der vergangenen Woche in einem Londoner Jugendhotel zum Oralsex gezwungen haben. Ein schwerer Vorwurf, den die Metropolitan Police in der britischen Hauptstadt aber offenbar sehr ernst nimmt.
http://www.stern.de/panorama/vorwurf-vergewaltigung-klassenfahrt-endet-im-londoner-knast-1565550.html

19jähriger in Hamburg ermordet
Am S-Bahnhof Jungfernstieg in der Hamburger Altstadt ist in der vergangenen Nacht ein 19jähriger, der mit einem Freund auf einer Bank sitzend auf seinen Zug wartete, von einer 5köpfigen Immigrantenbande angefallen und mit Messerstichen ermordet worden.
http://www.pi-news.net/2010/05/19-jaehriger-in-hamburg-ermordet/#more-136116

Hamburger Polizei fahndet nach S-Bahn-Mörder
Die Polizei fahndet öffentlich nach dem Mörder eines 19jährigen Deutschen, der am Freitagabend auf einem S-Bahnsteig in der Hamburger Innenstadt seiner tödlichen Stichverletzung erlag. Laut Polizeibericht soll es sich bei mindestens zwei der Tatverdächtigen „vermutlich“ um „Südländer“ handeln.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M57da12064a0.0.html

So berichtet SPIEGEL-Online darüber ...
Messerattacke in Hamburg
Jugendlicher auf S-Bahnsteig erstochen
Brutale Gewaltattacke in Hamburgs Innenstadt: Bei einem Streit zwischen Jugendlichen ist ein 19jähriger auf einem S-Bahnsteig erstochen worden. Die mutmaßlichen Täter flüchteten, während ihr Opfer starb. Die Polizei hat Videoaufnahmen von der Tat.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,694980,00.html

Und so WELT-Online ...
Hamburg
19jähriger auf S-Bahnsteig nach Streit erstochen
Tödliche Attacke in einem Hamburger S-Bahnhof: Ein junger Mann ist auf dem Bahngleis Jungfernstieg nach einem Streit erstochen worden. Der 19jährige starb nach einem Stich in den Oberkörper. Überwachungskameras haben die Tat gefilmt. Die Polizei sucht nun nach einer Gruppe Jugendlicher.
http://www.welt.de/vermischtes/article7643233/19-Jaehriger-auf-S-Bahnsteig-nach-Streit-erstochen.html?page=6#article_readcomments

Rhein-Main
Viereinhalb Jahre Haft für Attacke
(dpa). Nach einer lebensgefährlichen Attacke mit einem Schraubenzieher ist ein türkischer Gebäudereiniger vom Landgericht Frankfurt zu viereinhalb Jahren Haft verurteilt worden. Der Angeklagte hatte 2009 während der Nachtschicht mit dem spitzen Werkzeug 24 Mal auf einen Kollegen eingestochen, der ihn zuvor offenbar wegen seiner Religion beleidigt hatte. Anschließend alarmierte der Täter jedoch die Polizei und den Notarzt, was zur Rettung des Opfers führte. Die Schwurgerichtskammer verurteilte den 41jährigen lediglich wegen gefährlicher Körperverletzung und nicht wegen Mord- oder Totschlagsversuchs. Der „Rücktritt vom Versuch“ müsse strafbefreiend gewertet werden, stellte das Gericht gestern fest.
http://www.wiesbadener-kurier.de/region/rhein-main/8885871.htm

Hilfe für bedrängte Frauen
Wenn Zivilcourage tödlich endet
Von Julia Jüttner
Der Nigerianer Emeka Okoronkwo sah, wie Männer [aus Eritrea] zwei Frauen belästigten. Der 21jährige schritt ein – immerhin hatte er Seminare für Streitschlichtung besucht. Seine Zivilcourage bezahlte er mit dem Leben.
http://www.spiegel.de/panorama/0,1518,693644,00.html

Prozeß in Wiesbaden: Türke erstach Ex-Frau
http://www.op-online.de/nachrichten/frankfurt-rhein-main/prozess-tuerke-ersticht-exfrau-762120.html

Wie schön ...
Dietzenbach
Quilling setzt sich für Khateebs ein
Der Landrat des Kreises Offenbach, Oliver Quilling (CDU), hat sich gestern bei einer Kundgebung vor dem Dietzenbacher Kreishaus dafür ausgesprochen, daß die von Abschiebung bedrohte Dietzenbacher Familie Khateeb hierbleiben darf.
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/kreis_offenbach/2638533_Dietzenbach-Quilling-setzt-sich-fuer-Khateebs-ein.html

Sozialministerin ...
CDU-Ministerin
TNT-Betriebsrat droht Özkan mit rechtlichen Schritten
Niedersachsens Sozialministerin Özkan droht neuer Ärger. Der Betriebsrat des Briefzustellers TNT Post will nach SPIEGEL-Informationen rechtlich gegen sie vorgehen: Vor zwei Jahren hat sie als Managerin Arbeitsverträge ausgehandelt, die unter dem Branchen-Mindestlohn lagen.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,693789,00.html

Künftig sechs Mohammedaner im NRW-Landtag
http://www.pi-news.net/2010/05/kuenftig-sechs-mohammedaner-im-nrw-landtag/#more-135613

Frankfurt
Umstrittener Imam
Neue Moschee mit „Haßprediger“?
In Frankfurt bahnt sich ein neuer Moscheen-Streit an: Ein afghanischer Kulturverein plant den Bau eines Gemeindezentrums. Doch der Vorbeter des Vereins wird bei hessischen Behörden als „Haßprediger“ gehandelt.
http://www.hr-online.de/website/rubriken/nachrichten/indexhessen34938.jsp?rubrik=36082&key=standard_document_39136349

Moslems greifen Mohammed-Karikaturisten Vilks an
STOCKHOLM. Der schwedische Mohammed-Karikaturist Lars Vilks ist während eines Vortrages an der Universität von Uppsala von mehreren Moslems angegriffen worden. Einer der Angreifer schlug Vilks dabei ins Gesicht, worauf der Karikaturist seine Brille verlor. Mehrere sichtlich aufgebrachte Moslems drohten mit ihren Fäusten und riefen „Allah ist groß“.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5d2dc75e3e6.0.html

Angriff auf Lars Vilks: Neues Video aufgetaucht
Zum tätlichen Angriff eines Mohammedaners auf den schwedischen Karikaturisten Lars Vilks während eines Vortrags in der Universität von Uppsala ist jetzt auf Liveleak ein neues, deutlich längeres Video als das bislang veröffentlichte aufgetaucht.
http://www.pi-news.net/2010/05/angriff-auf-lars-vilks-neues-video-aufgetaucht/

Muslime sehen „Arroganz der Macht“
Zweiter großer Verband fehlt in Islamkonferenz
http://www.tagesspiegel.de/politik/muslime-sehen-arroganz-der-macht-zweiter-grosser-verband/1838046.html

ZDM sagt Teilnahme an Islamkonferenz ab:
„Islamfeindlichkeit wird nicht angemessen behandelt“
http://www.stern.de/panorama/zdm-sagt-teilnahme-an-islamkonferenz-ab-islamfeindlichkeit-wird-nicht-angemessen-behandelt-1565952.html

Böse Buben
„Wohlfühl-Kuschel-Pädagogik geht Jungs gewaltig auf die Nerven“
Hinter den Mädchen bleiben Jungen schulisch deutlich zurück. Sind sie Bildungsversager mit Gewaltneigung? In Kindergärten wie Schulen dominiere ein verhuscht-weibliches Klima, sagt Kinderpsychologe Wolfgang Bergmann im Interview – und sieht Jungs trotzdem im Vorteil.
http://www.spiegel.de/schulspiegel/wissen/0,1518,545037,00.html

Psychologie
Sie will reden, er will Sex – Schuld ist das Gehirn
Niemand kennt die biologischen Unterschiede von Frauen und Männern so gut wie die Neurobiologin Louann Brizendine. Die Professorin für Neuropsychatrie an der University of California in San Francisco forscht daran, wie das männliche Gehirn funktioniert. WELT ONLINE sprach mit ihr über Testosteron, Karriere und ihren eigenen Sohn.
http://www.welt.de/wissenschaft/psychologie/article7601971/Sie-will-reden-er-will-Sex-Schuld-ist-das-Gehirn.html

Psychologie
Wie man Schlaf gezielt einsetzen kann
Im Schlaf erlebt man nicht nur teils bizarre Träume – man kann ihn sich auch zunutze machen. Im Interview mit „Zeit Wissen“ erklärt der Psychologe Jan Born, wie man im Schlummer sein Gedächtnis stärken und traumatische Erlebnisse vergessen kann.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,693661,00.html

Umwelt
Hessischem Wald droht tödliche Maikäfer-Invasion
Von Jürgen Oeder
Wer stirbt zuerst: Der Maikäfer oder der Wald? Experten sprechen von einem Großversuch der Natur und fürchten eine ökologische Katastrophe: Den hessischen Wäldern droht ein radikaler Kahlfraß durch Milliarden Maikäfer. Im Erdreich wimmelt es von gefräßigen Engerlingen und die leisten schon jetzt ganze Arbeit.
http://www.welt.de/wissenschaft/umwelt/article7559783/Hessischem-Wald-droht-toedliche-Maikaefer-Invasion.html

Schwindler oder Wunder?
Der Mann, der seit 70 Jahren fastet
http://www.fr-online.de/in_und_ausland/panorama/2611994_Der-Mann-der-seit-70-Jahren-fastet.html

Musikvideo:
German Power/Deutsche Stärke: Eisbrecher – This is Deutsch
http://www.youtube.com/watch?v=1HULuSPnP_8&feature=related

Pays-Bas, 1945: Opération "Black Tulip"

Willem De Prater / “’ t Pallieterke”

Pays-Bas, 1945: Opération “Black Tulip”

 

timbres-nl.jpgLe soixante-cinquième anniversaire de la libération des Pays-Bas a été un peu particulier cette année. La journée de la “libération nationale”, commémorant le jour où les Allemands ont capitulé en Hollande, soit le 5 mai 1945, a été un jour férié officiel en 2010. Ce n’est le cas que tous les cinq ans mais la loi qui régit l’ouverture des magasins permet toutefois que ceux-ci demeurent ouverts. En maints endroits ce ne fut pourtant pas le cas. Bref, cela fit désordre. De surcroît, il y avait partout des “fêtes de la libération” où l’on pouvait danser, boire et bouffer tant et si bien que certaines villes comme Utrecht et Zwolle ont failli disparaître dans un chaos indescriptible. Pour couronner le tout, il y eut ce fameux incident sur le “Dam”, où il fut une fois de plus prouvé que les Néerlandais “si sobres et si sérieux” sont des forts en gueule mais prennent la poudre d’escampette sitôt que quelque chose pète. Ce fut aussi le cas en mai 1940; et la fuite peu glorieuse des troupes néerlandaises lors de l’entrée des Serbes à Srebrenica demeure une plaie ouverte dans la conscience de soi des Néerlandais. Pourtant, rendons-leur justice, les Néerlandais, fiers d’eux-mêmes, savent aussi fort bien pratiquer l’auto-critique. Ce n’est donc pas un hasard s’il m’a fallu attendre cette “fête de la libération” pour apprendre quelque chose sur l’opération “Black Tulip”. Celle-ci a consisté en une volonté d’épuration ethnique, celle de purger les Pays-Bas de tous les ressortissants allemands qui y résidaient.

 

Après l’hiver 1944-45, qui fut marqué par une famine éprouvante pour la population néerlandaise, surtout dans les grandes villes de l’Ouest, la volonté de se venger tenaillait la plupart des Hollandais. Tous estimaient que les Allemands allaient devoir payer pour les maux qu’ils avaient fait subir. Le gouvernement néerlandais commença par établir une facture délirante. Officiellement, il exigea la rétrocession d’un territoire allemand de 6000 km2 pour n’en obtenir finalement que 69, qui furent rendus ultérieurement. Le gouvernement néerlandais exigea ensuite des dommages et intérêts s’élevant à la somme astronomique de 25 milliards de florins. Cette somme correspond à dix fois le volume du dommage infligé, car on connaît bien l’esprit mercantile de nos amis du Nord. Les Britanniques, qui occupaient le territoire allemand jouxtant les Pays-Bas, haussèrent les épaules. Mais ils cessèrent de sourire lorsqu’ils apprirent que les Néerlandais avaient l’intention de chasser du pays tous ceux qui possédaient encore la nationalité allemande. Ils craignaient que tous les autres pays occidentaux allaient imiter les Hollandais et venir déposer leurs Allemands ethniques dans leur zone d’occupation marquée par les destructions et réduite à la plus effroyable des pauvretés. Les Britanniques étaient d’accord, certes, pour récupérer les Allemands de souche qui, pendant la guerre, auraient appuyé avec trop de zèle leurs compatriotes occupants. Ce sont donc les Britanniques qui ont baptisé l’opération prévue par le gouvernement néerlandais d’ “Operation Black Tulip”.

 

Le gouvernement néerlandais n’a pas tout de suite compris les réticences britanniques. Il fit dresser dans chaque commune des listes noires où figuraient les noms de personnes, voire de familles entières, qui possédaient encore la nationalité allemande; au total, il y avait quelque 25.000 citoyens allemands résidant aux Pays-Bas au lendemain de la seconde guerre mondiale. Bien évidemment, parmi ces 25.000 personnes, il y en avait très peu qui étaient arrivées après 1940. Parmi elles, au contraire, beaucoup de mineurs, venus à l’appel des gouvernements néerlandais d’avant-guerre. Une bonne partie de ces Allemands étaient de surcroît des réfugiés politiques qui s’étaient établis en Hollande après la prise du pouvoir par Hitler. De plus, il y avait un bon nombre de Juifs parmi eux. La plupart de ces Allemands étaient de simples ouvriers ou des servantes venus aux Pays-Bas après l’effondrement du Reich en 1918 et suite à l’inflation calamiteuse qui avait sévi en Allemagne au début des années 20 ou qui avaient été recrutés par des Néerlandais pour pallier au manque d’ouvriers ou de personnel domestique. La plupart d’entre eux s’étaient d’ailleurs mariés à des hommes ou des femmes de nationalité néerlandaise, parlaient le néerlandais à la maison avec leurs enfants (les enfants nés d’un père allemand demeuraient automatiquement allemands, même s’ils ne connaissaient plus la langue allemande). Ces gens ne possédaient donc pas la nationalité néerlandaise, tout simplement parce qu’à l’époque on ne la distribuait par encore gratuitement. Le processus de naturalisation était long et pénible: il fallait remplir une flopée de documents et cela coûtait beaucoup d’argent.

 

En septembre 1946, environ un an et demi après la fin de la guerre, les opérations d’explusion commencèrent. Les Allemands pouvaient demander à recevoir une “déclaration de non inimitié”, qu’ils recevaient s’ils pouvaient prouver avoir appartenu à un groupe de résistance. Le bon sens, appuyé par des protestations souvent véhémentes, fit que les Juifs allemands aussi purent rester. Cependant le ministre catholique de la justice ne se soucia guère de la démarche entreprise par le Cardinal de Jong, qui réclamait clémence et mansuétude: il fallait que les Allemands quittent le pays (“Duitsers raus”), à commencer par ceux qui étaient le plus récemment venus aux Pays-Bas. Plus l’établissement de la personne dans le pays était récente, plus vite devait-elle être expulsée. Mais les Pays-Bas ne seraient pas les Pays-Bas, s’il n’y avait cet esprit pragmatique et mercantile chez leurs ressortissants. Tous les Allemands qui exerçaient une profession utile et nécessaire pouvaient rester mais tous ceux qui n’avaient pas bénéficié d’une longue scolarité ou étaient peu qualifiés professionnellement devaient partir. La police se présentait au milieu de la nuit et emmenait hommes, femmes et enfants. Les déportés pouvaient emporter cinquante kilos de bagages et une somme de 100 florins. Tout devait se passer “vite, très vite” car la police craignait la réaction de voisins néerlandais furieux qui savaient que ces Allemands étaient parfaitement innocents. Les meubles ou objets que les déportés ne pouvaient emporter étaient chargés sur des camions et déposés dans des remises appartenant au “Nederlands Beheersinstituut” (“Institut Néerlandais de Gestion”). Celui-ci vendait le tout car il s’agissait de “propriétés de sujets ennemis”.

 

La police néerlandaise conduisait les personnes arrêtées dans toutes sortes de camps situés le long de la frontière néerlandaise. Parfois, les policiers les emmenaient au-delà de la frontière et les déposaient dans la première rue venue. Les Britanniques exigèrent alors des Néerlandais qu’ils n’expulsent vers leur zone d’occupation que les seuls Allemands possédant encore un logement en Allemagne. En guise de représailles, les Anglais arrêtèrent quelques Néerlandais vivant dans leur zone et les déposèrent au-delà de la frontière sur le territoire des Pays-Bas. A la suite de cette mesure de rétorsion, les Néerlandais n’expulsèrent plus qu’une infime minorité de citoyens allemands mais le choix des victimes n’en fut que plus arbitraire. Les curés et les pasteurs organisèrent des comités de voisins qui résistèrent de plus en plus efficacement à la police et au gouvernement. L’opération cessa en 1950. Au total, 3691 Allemands résidant aux Pays-Bas furent effectivement expulsés.

 

Wille De Prater.

(article paru dans “ ’ t Pallieterke”, Anvers, 12 mai 2010).

 

mardi, 11 mai 2010

Presseschau Mai 2010/02

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Presseschau

Mai 2010 / 02

Einige Links. Bei Interesse anklicken...

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Die Behauptung, daß es während der Kämpfe in der Normandie mehr deutsche als alliierte Kriegsverbrechen gab, darf man getrost bezweifeln …

Schreie in der Kraterlandschaft
Der D-Day war die größte Landungsaktion der Geschichte, nun sind neue, blutige Details der Aktion bekanntgeworden: Ein britischer Autor hat die Invasion in der Normandie von 1944 rekonstruiert und ist dabei auf zahlreiche Kriegsverbrechen gestoßen – auch durch die Alliierten Von Klaus Wiegrefe
http://einestages.spiegel.de/external/ShowTopicAlbumBackground/a7901/l8/l0/F.html#featuredEntry

Passend zu obenstehender Artikelempfehlung von letzter Woche ein etwas längerer Auszug aus Teil 2 der Lebenserinnerungen von Wolfgang Venohr über die Kampfverhältnisse an der Invasionsfront im Juni und Juli 1944:

Am 15. Juni [1944] melden Lindenhahn und ich uns in Caen auf dem Divisionsgefechtsstand der HJ-Division bei Panzermeyer, unserem alten Abteilungskommandeur. Er ist inzwischen Standartenführer (Oberst) und hat am Tag zuvor die HJ-Division übernommen, anstelle von Brigadeführer Witt, der gefallen ist. Wir treffen ihn in einem gefleckten Kampfanzug, aus dem oben das Ritterkreuz mit Eichenlaub herausschaut, wie er gerade Hauptsturmführer Olboetter etwas zuruft, der in einem Schwimmwagen durch wahnsinniges Feuer feindlicher Schiffsartillerie am Gefechtsstand vorbeijagt. Wir fühlen uns sofort heimisch.
Die HJ-Division, so erfahren wir, steht schon seit zehn Tagen in schwersten Abwehrkämpfen gegen Briten, Polen und Kanadier. Obersturmführer Meitzel, Ordonnanzoffizier bei der HJ-Division, erzählt Lindenhahn, daß sie schon zwanzig Prozent der Gefechtsstärke an Toten und Verwundeten abbuchen müssen. Die Angloamerikaner werden bei der HJ-Division sehr negativ beurteilt. Gleich am 6. Juni haben amerikanische Luftlandetruppen dreihundert deutsche Kriegsgefangene ermordet. Das hat sich mit Windeseile von den Franzosen zu unseren Leuten herumgesprochen. Auch die Melder des Divisionsstabes sprechen verbittert über die britischen und kanadischen Gegner: „Die haben schon mehrere unserer Jungens, Verwundete und Gefangene, massakriert! Darin sind sie groß.“ Ich muß an Panzermeyers Ansprache vor einem Jahr in Charkow denken, über den angeblich so ritterlichen Gegner im Westen.
Wir richten uns direkt neben dem Divisonsgefechtsstand ein. Merkwürdig ist, daß meine Gedanken oft nach Osten in die Ukraine wandern. Es ist erst ein Jahr her, daß wir uns zur großen Panzerschlacht bei Kursk bereitstellten, daß wir am Donez entlangfuhren, daß wir in Stalino glaubten, es ginge wieder Richtung Stalingrad. Und nun stehen wir dreitausend Kilometer westlich in der Hauptstadt der Normandie! Ja, wir bewegen uns auf einem riesigen Bogen rund um das Reich; mal im Osten, mal im Süden, mal im Westen. Es gilt, die Heimat nach allen Seiten zu schirmen.
In den nächsten vier Wochen sind Lindenhahn, sein Fahrer Wessel und ich mit unserem Schwimmwagen im Einsatzraum der „Hitlerjugend“-Division wie auch der 21. Panzerdivision des Heeres unterwegs. Und zwar Tag und Nacht: zur Verbindungsaufnahme, zur Koordination, zur Befehlsübermittlung, zur Aufklärung, Erkundung und Berichterstattung. Wir bekommen einen tiefen Einblick in die Kampfverhältnisse an der Invasionsfront. Schon nach wenigen Tagen ist uns unbegreiflich, wie die deutsche Abwehrfront angesichts der verheerenden feindlichen Luftüberlegenheit überhaupt existieren kann. Über sämtlichen Gefechtsabschnitten kreisen von morgens bis abends feindliche Jabos und stürzen sich mit vernichtender Wirkung auf jedes Fahrzeug, auf jeden Mann, eben auf jedes „Objekt“, das sich am Tage außerhalb einer Deckung bewegt. Tausende feindlicher Flugzeuge beherrschen den Luftraum. Von deutscher Seite sehen wir in diesen Tagen zwei Jäger vom Typ Me 109, die im Tiefflug über die Hecken der Normandie springen.
Am Tage ist das Gelände wie ausgestorben; größere taktische Bewegungen, Verstärkungen, Ablösungen und Nachschubzuführungen finden nur nachts statt. Unser Fahrzeug allerdings ist auch am Tage ständig unterwegs, und ich entwickle mich notgedrungen zu einem perfekten Luftbeobachter. Nicht ein einziges Mal erwischen uns die feindlichen Jabos. Sobald ich „Anflug“ schreie, ist unser Fahrer schon mit dem Schwimmer in der nächsten Hecke, und zwei Sekunden später liegen wir zu dritt bereits „in voller Deckung“.
Zum pausenlosen Luftterror der Jabos kommt das Vernichtungsfeuer schwerster feindlicher Schiffsartillerie. Aber daran gewöhnen wir uns schnell. Hat man ein Panzerdeckungsloch erreicht, ist es einem ziemlich egal, welche Kaliber rundherum in den Boden wuchten, läßt man sich selbst von 38-cm-Granaten wenig beeindrucken. Auch ein Großangriff feindlicher Viermot-Bomber auf den Raum Caen, bei dem die Erde zu bersten scheint, bewirkt nichts. Ich hocke in meinem Panzerdeckungsloch, blinzle zum Himmel hoch und versuche die „silbernen Vögel“ zu zählen. (Später heißt es, es seien etwa 1.200 Bomber gewesen.) Mein 1,50 Meter tiefes Loch schaukelt bei den serienweisen Bombenabwürfen wie die Koje eines Schiffes, das sich auf hoher See in einem Sturmtief befindet. Ich habe aber nie das Gefühl, daß es mich „erwischen“ könnte. Die Jabos mit ihren Bordwaffen bleiben unsere Hauptsorge. Sie jagen selbst einzelne Meldegänger, die von Hecke zu Hecke springen.
Unter solchen Bedingungen erscheint der verbissene Abwehrkampf der 18jährigen HJ-Grenadiere wie ein Wunder. Diese jungen Soldaten, gegen die ich mir mit meinen 19 Jahren wie ein Veteran vorkomme, übertreffen alles an Verteidigungswillen, was es je gegeben hat. Hier bei Caen kämpfen sie für die Heimat, für Deutschland. Niemals hört man von ihnen ein Meckern oder Mosern über die aussichtslosen Kampfbedingungen. Obwohl sie alle blasse, schmale Gesichter mit tiefschwarzen Augenrändern haben und der Erschöpfung nahe sind, brennen sie vor Kampf- und Einsatzwillen. Alles hier erinnert mich an meine Zeit in der Hitlerjugend, im Deutschen Jungvolk, und auf unseren Erkundungsfahrten treffen wir immer wieder Offiziere des Heeres, die sich als ehemalige HJ-Führer zur 12. SS-Panzerdivision „Hitlerjugend“ versetzen ließen und nun mit ihren Jungens die Trümmer der normannischen Dörfer buchstäblich bis zur letzten Patrone verteidigen.

(Wolfgang Venohr: Die Abwehrschlacht. Jugenderinnerungen 1940–1955, Berlin 2002, S. 127–130)

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Neue Machtzentren
Ohne die Türkei versinkt die EU im Mittelmaß
Nur mit vereinten Kräften wird die EU neben den Machtzentren USA und China bestehen können. Deshalb muß sie die Türkei aufnehmen und Rußland assoziieren, schreibt Altkanzler Gerhard Schröder auf WELT ONLINE. Geschehe das nicht, würde sich die EU langfristig in eine fatale Abhängigkeit begeben.
http://www.welt.de/debatte/kommentare/article7436815/Ohne-die-Tuerkei-versinkt-die-EU-im-Mittelmass.html

Chef des OIC warnt den Westen
Der Generalsekretär der Organisation der Islamischen Konferenz (OIC), Ekmeleddin Ihsanoglu (Foto), hat den Westen vor einer Konfrontation mit den dort lebenden Moslems gewarnt. Jede Kritik ist eine Form von Islamfeindlichkeit und treibe die trotzdem hier ausharrenden Moslems auf „Kollisionskurs“. Wie friedlich das klingt!
http://www.pi-news.net/2010/05/chef-des-oic-warnt-den-westen/#more-134526

Times-Square-Bombe
Festnahme nach Anschlagsversuch in New York
Drei Tage nach dem vereitelten Autobombenanschlag am New Yorker Times Square haben die US-Behörden einen Verdächtigen festgenommen. Nach Informationen aus Sicherheitskreisen sei der gesuchte Mann gefaßt worden, als er das Land verlassen wollte. Es soll sich um einen US-Bürger pakistanischer Abstammung handeln.
http://www.welt.de/politik/ausland/article7462108/Festnahme-nach-Anschlagsversuch-in-New-York.html

New York: Attentäter festgenommen
http://www.hintergrund.de/20100506876/globales/terrorismus/new-york-attentaeter-festgenommen.html

UN-Konferenz
Ahmadinedschad provoziert Eklat mit Haßrede
Dieser Auftritt war offenbar wohlkalkuliert: Mahmud Ahmadinedschad hat auf der UN-Konferenz zum Atomwaffensperrvertrag gegen die USA und Israel gehetzt. Mehrere Delegierte verließen daraufhin den Sitzungssaal. Der iranische Präsident versicherte gleichzeitig, daß sein Land Atomenergie nur zu friedlichen Zwecken nutzen wolle.
http://www.welt.de/politik/ausland/article7456294/Ahmadinedschad-provoziert-Eklat-mit-Hass-Rede.html

Eklat auf Abrüstungskonferenz
Ahmadinedschad brüskiert USA mit Atom-Tirade
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,692801,00.html

Schlammschlacht
Erdogan wehrt sich gegen Hitler-Vergleiche
Von Boris Kálnoky
In der Türkei haben die Beratungen über weitreichende Verfassungsänderungen begonnen. Der Streit zwischen der Erdogan-Regierung und der Opposition hat mittlerweile den Charakter einer politischen Schlammschlacht. Das beliebteste Stilmittel: Vergleiche mit Hitler und Nazi-Deutschland.
http://www.welt.de/politik/ausland/article7451945/Erdogan-wehrt-sich-gegen-Hitler-Vergleiche.html

Solidarität mit unseren Soldaten und ihren Familien
http://www.solidaritaet-mit-soldaten.de/

Geheime Kriegspropaganda der CIA
http://www.spiegel.de/video/video-1062154.html

„Originaldokument“ auf WikiLeaks:
http://file.wikileaks.org/file/cia-afghanistan.pdf

Taxi-Streit in Johannesburg
Verhaßte Busse
Wenige Wochen vor dem Anpfiff der Fußball-WM in Südafrika eskaliert der Streit zwischen Taxifahrern und städtischen Bussen in Johannesburg. Acht Menschen wurden angeschossen.
http://www.sueddeutsche.de/panorama/892/510017/text/

Griechenland-Hilfen
Bundestag segnet Merkels Milliarden-Nothilfe ab
Mit deutlicher Mehrheit hat der Bundestag den deutschen Griechenland-Hilfen zugestimmt. Damit können in den kommenden drei Jahren Kredite in Höhe von mehr als 22 Milliarden Euro nach Athen fließen. Die SPD enthielt sich allerdings mehrheitlich. Beim Verfassungsgericht ging eine Klage gegen das Gesetz ein.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,693507,00.html

Bundesverfassungsgericht
Euro-Skeptiker wollen Griechenland-Hilfe stoppen
Von Dorothea Siems
Die Gegner der Hellas-Hilfe hoffen auf Karlsruhe. Am Freitag wollen der berühmte Euro-Skeptiker Joachim Starbatty und weitere Professoren die Griechenland-Hilfe gerichtlich stoppen. Sie verstoße gegen das EU-Recht und das deutsche Grundgesetz. „Deutschlands Finanzen werden unkalkulierbar“, warnt der Ökonom.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7455070/Euro-Skeptiker-wollen-Griechenland-Hilfe-stoppen.html

Koch-Mehrin liegt voll daneben
Die Steuersenkungspartei FDP hat offensichtlich Probleme mit dem wahren Ausmaß der Schulden im Lande. In der ARD-Sendung „hart aber fair“ zum Thema Steuern antwortete die FDP-Politikerin Silvana Koch-Mehrin auf die Frage, um wieviel die Schulden des Landes während der Sendung wohl gestiegen sind: „Ich würde jetzt mal tippen: 6000 Euro.“ Moderator Frank Plasberg riet der Vizepräsidentin des Europäischen Parlaments und Vertreterin der Partei mit der angeblich höchsten Wirtschaftskompetenz daraufhin dringend vom Amt einer Finanzministerin ab: „Sie liegen dramatisch daneben.“ Tatsächlich ist die Staatsverschuldung während der 75minütigen Sendung um rund 20 Millionen Euro gestiegen. Dpa
http://www.morgenweb.de/nachrichten/politik/20100507_srv0000005791576.html

Spanien: Besonders bei den Jungen ist der Frust groß
http://www.welt.de/die-welt/politik/article7428963/.html

Enttäuschte Liebe
Warum uns Griechenlands Absturz so schmerzt
Von Berthold Seewald
Die Deutschen sind wütend auf die griechischen Demonstranten. Denn anders als wir kommen sie noch in den Genuß des ausufernden Sozialstaats. Die Wut resultiert aber auch aus dem Gefühl der enttäuschten Liebe. Denn eigentlich wollten wir immer so sein wie sie: Geistes-Heroen und Gründer der Demokratie.
http://www.welt.de/debatte/kommentare/article7451334/Warum-uns-Griechenlands-Absturz-so-schmerzt.html

„Wir müssen uns hart schinden“
Von Dieter Stein
BERLIN: Von der jüngst beschlossenen Griechenland-Hilfe sind die Deutschen wenig begeistert. Wie sieht man dies im Empfänger-Land? Ein Gespräch von JF-Chefredakteur Dieter Stein mit Panajotis Doumas von der nationalkonservativen Wochenzeitung „Eleutheros Kosmos“.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M576e5f9fb7e.0.html

Jürgen Elsässer: Der Angriff des angloamerikanischen Finanzkapitals
http://archiv.rummelsdorf.org/cgi-bin/full.cgi?key=flv&page=0&id=86694bffb9ab55f73c95232be57b8c8f

Interne Wall-Street-E-Mails
„Jetzt wird’s schmutzig“
Interne Mails belegen das zynische Geschäftsgebaren der Finanzmanager.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/0,1518,692247,00.html
http://www.spiegel.de/flash/flash-23270.html

Geldanlage nach ethischen Gesichtspunkten
http://www.ethische-geld-anlage.de/

Patt-Situation
Die Linke könnte über NRW-Wahl entscheiden
Die CDU/FDP-Koalition und die SPD/Grünen-Opposition liefern sich eine Woche vor der NRW-Wahl ein Kopf-an-Kopf-Rennen. Sie kommen jeweils auf 45 Prozent. Somit könnte die Linke mit 5,5 Prozent über den Wahlausgang entscheiden. Auch die möglichen Regierungschefs, Hannelore Kraft und Jürgen Rüttgers, liegen gleichauf.
http://www.welt.de/politik/nrw-wahl/article7405429/Die-Linke-koennte-ueber-NRW-Wahl-entscheiden.html

Dany gibt den Experten ...
Cohn-Bendit über das Krisenmanagement
„Sonst ist alles futsch, tschüß Euro“
Erst im letzten Moment haben die Euro-Staaten Griechenland mit Milliarden gerettet. Ein Debakel, wettert Daniel Cohn-Bendit im SPIEGEL-ONLINE-Interview – und warnt Merkel, Sarkozy und Co. vor „ökonomischem Nationalismus“. Sonst sei der gesamte Euro-Raum in akuter Gefahr.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,693585,00.html

Anti-Neonazi-Protest
Thierse drohen Sanktionen wegen Sitzblockade
Als die Neonazis kamen, setzte er sich auf die Straße – jetzt drohen Bundestagsvizepräsident Wolfgang Thierse rechtliche Konsequenzen wegen seiner Blockadeaktion am Maifeiertag. Die Polizeigewerkschaft empört sich, sogar Berlins Innensenator Körting greift seinen SPD-Parteifreund an.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,692543,00.html

,,Würdelos‘‘: Thierse brach laut Polizeigewerkschaft das Gesetz
Die Gewerkschaft der Polizei (GdP) hat Bundestagsvizepräsident Wolfgang Thierse (SPD) für seinen Protest gegen eine Demonstration von Rechtsextremen in Berlin scharf kritisiert. Das Verhalten Thierses sei „würdelos“, erklärte die Gewerkschaft.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7434421/Thierse-brach-laut-Polizeigewerkschaft-das-Gesetz.html#vote_7430251

Nach Sitzblockade am 1. Mai
Polizeigewerkschaft verlangt Thierses Rücktritt
Daß er am 1. Mai an einer Sitzblockade gegen rechtsextreme Demonstranten teilnahm, bringt Bundestagsvizepräsident Thierse immer mehr Ärger ein. Jetzt fordert die Deutsche Polizeigewerkschaft seinen Rücktritt. Der SPD-Politiker sei „die personifizierte Ansehensschädigung des deutschen Parlaments“.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7445634/Polizeigewerkschaft-verlangt-Thierses-Ruecktritt.html

Thierse verteidigt Sitzblockade
http://www.zeit.de/newsticker/2010/5/6/iptc-hfk-20100506-86-24753690xml

Wowereit verteidigt Thierse
http://www.sueddeutsche.de/95N38c/3340946/Wowereit-verteidigt-Thierse.html

Thierse immun gegen Kritik
http://www.ostpreussen.de/zeitung/nachrichten/artikel/thierse-immun-gegen-kritik.html

Wolfgang Thierse: Der Bundestagspräsident und der Feuerwehrmann
Von Martin Lichtmesz
Am letzten Wochenende nahmen zwei Mitglieder der SPD an Demonstrationen zum 1. Mai teil. Der eine von beiden ist der Bundestagspräsident Wolfgang Thierse, der sich in Berlin in eine Demonstrations-Blockade „gegen Nazis“ einreihte. Laut einem Bericht der „Süddeutschen Zeitung“ stellten sich 10.000 (!) Zivilcouragierte, darunter eine erkleckliche Anzahl von Autonomen und Linksextremisten, einem Bataillon (SZ: „Aufmarsch“) von 500 (!) rechtsextremen Demonstranten entgegen.
http://www.sezession.de/14526/der-bundestagspraesident-und-der-feuerwehrmann.html


Im aktuellen Spiegel (nicht frei zugänglich) ...
ZEITGESCHICHTE – Brüder im Geiste: Ende 1989 trafen sich Gregor Gysi und François Mitterrand. Einem neuen Dokument zufolge bedauerte Mitterrand den Niedergang der DDR, Gysi haderte mit dem Mauerfall.
http://www.spiegel.de/spiegel/print/index-2010-18.html

Berlin
„Topographie des Terrors“ eröffnet
Ein grauer Palast der Erinnerung
http://www.faz.net/s/Rub117C535CDF414415BB243B181B8B60AE/Doc~EFBF270F30E27452983006553217C5AE4~ATpl~Ecommon~Scontent.html

Neu-Isenburg
Gunter Demnig verlegt eine Stolperschwelle vor der Gedenkstätte.
Als Mahnung für die Lebenden
http://www.op-online.de/nachrichten/neu-isenburg/mahnung-lebenden-750797.html

Rödermark
Steinerner Stern der Erinnerung
Gedenkstätte für ermordete und vertriebene Juden ist jetzt fertig / „Sie haben einfach dazugehört“
http://www.op-online.de/nachrichten/roedermark/steinener-stern-erinnerung-750592.html

Britische Verhältnisse ...
Wenn Kinder zu Mördern werden
Von Thomas Kielinger
Ende März wurde der 15jährige Schüler Sofyen Belamouadden an der Londoner Victoria Station von anderen Jugendlichen überfallen und erstochen. Der Vorfall ist in Großbritannien zu einem zentralen Wahlkampfthema geworden: Wieviel Gewalt kann eine Gesellschaft aushalten?
http://www.welt.de/die-welt/vermischtes/article7442530/Wenn-Kinder-zu-Moerdern-werden.html

Video-Lektion: Der alltägliche Straßen-Jihad
Im folgenden Video wird ein BNP-Kandidat mit ein paar Mann Unterstützung angegriffen. Das Video gibt einige Grundlektionen für eine solche Situation her, deshalb hier eine kurze Besprechung. (...)
http://www.pi-news.net/2010/05/video-lektion-der-alltaegliche-strassen-jihad/#more-134577

Massenproteste in USA gegen Einwanderungsgesetz in Arizona
Aus Protest gegen die Verschärfung des Einwanderungsrechts im US-Bundesstaat Arizona sind in den USA Zehntausende Menschen auf die Straße gegangen. Nach Angaben der Feuerwehr forderten allein in Los Angeles rund 60.000 Menschen die Abschaffung des umstrittenen neuen Gesetzes. Zu den Protesten in insgesamt mehr als 70 US-Städten hatten vor allem hispanische Organisationen aufgerufen.
http://de.news.yahoo.com/2/20100502/twl-massenproteste-in-usa-gegen-einwande-4bdc673.html
http://www.welt.de/politik/ausland/article7433001/Massenprotest-gegen-Arizonas-Illegalen-Gesetz.html

Gesellschaftliche Stabilität dürfte wohl wichtiger sein als dem Kurzzeitdenken folgende ökonomische Partikularinteressen ...
Zuwanderung
Australien entwickelt neue Hürden für Ausländer
Von Barbara Bierach
Seit mehr als 200 Jahren lebt Australien von und mit seinen Zuwanderern. Doch jetzt steigt der Widerstand der Einheimischen – und die Regierung knickt ein. Wer einwandern möchte, stößt neuerdings auf kaum überwindbare bürokratische Hürden. Die wirtschaftlichen Folgen für das Land könnten dramatisch sein. [Was für ein Blödsinn ...]
http://www.welt.de/wirtschaft/article7431030/Australien-entwickelt-neue-Huerden-fuer-Auslaender.html

BNP will Rückkehrprämie für Zuwanderer einführen
LONDON. Die rechtsradikale British National Party (BNP) hat angekündigt, bei einem Wahlsieg am Donnerstag eine Rückkehrprämie von 50.000 Pfund für Zuwanderer auszuloben. Das Geld sei für rund 180.000 Personen pro Jahr gedacht, „die zurückkehren und dabei helfen könnten, ihr eigenes Land aufzubauen“, sagte BNP-Chef Nick Griffin in einem Gespräch mit BBC Radio 4.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5a54199b6cd.0.html

Integration
Berlin will Migranten per Gesetz bevorzugen
Von Joachim Fahrun
Die rot-rote Regierung in Berlin plant ein „Integrations- und Partizipationsgesetz", das Migranten bei der Einstellung im öffentlichen Dienst bevorzugen soll. Auf diese Weise will Berlin seine „Rolle als Schrittmacher in der Integrationspolitik unterstreichen“. Rechtliche Hürden will die Stadt umgehen.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7464856/Berlin-will-Migranten-per-Gesetz-bevorzugen.html

Cloppenburg
Betrunkener [Litauer] rast in Gruppe von Mai-Wanderern
Ihn störten die Feiernden auf der Straße, also trat er aufs Gaspedal: Im Landkreis Cloppenburg hat ein junger Mann seinen Wagen mutwillig in eine Gruppe gelenkt, die auf dem Weg zu einem Volksfest war. Mehrere Menschen wurden teils schwer verletzt.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,692492,00.html

Frankfurt
Bahnhofsviertel
Streitschlichter mit Messer erstochen
Frankfurt/Main. Ein 21 Jahre alter Mann ist am frühen Sonntag morgen bei einem Streit im Frankfurter Bahnhofsviertel erstochen worden.
Nach Mitteilung der Polizei starb der Mann in einem Krankenhaus, nachdem er gegen 6.40 Uhr in der Münchener Straße einen Streit zwischen zwei Frauen und zwei Männern zu schlichten versucht hatte. Einer der Männer stach dabei mit einem Messer auf seinen Oberkörper ein.
Der Täter und sein Kompagnon flüchteten in Richtung Moselstraße. Sie sollen ostafrikanischer Herkunft, zwischen 30 und 40 Jahre alt und 1,75 bis 1,80 Meter groß sein. Die Mordkommission der Polizei ermittelt. (ddp)
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/frankfurt/2605108_Streitschlichter-mit-Messer-erstochen.html
http://www.welt.de/die-welt/regionales/article7442344/21-Jaehriger-erstochen.html

Hamburg-Horn
17jähriger läuft nach Messerstecherei vor Auto
n der Horner Rennbahn waren zwei Gruppen in der Nacht aneinandergeraten. Zwei Männer wurden verletzt. Jetzt ermittelt die Mordkommission.
http://www.abendblatt.de/hamburg/polizeimeldungen/article1475480/17-Jaehriger-laeuft-nach-Messerstecherei-vor-Auto.html

Hier erfährt man mehr ...
Selbstjustiz nach Messerattacke auf 34jährigen
Im Streit sticht ein Jugendlicher einen 34 Jahre alten Mann nieder. Anscheinend ohne Grund. Dessen Freund nimmt anschließend Rache.
Hamburg. Mit einem Schädelbruch liegt Jalal H. derzeit auf der Intensivstation eines Hamburger Krankenhauses, versorgt von Ärzten und bewacht von Polizisten. Die Polizei befürchtet, der 17jährige könnte sich aus dem Staub machen, sobald er dazu gesundheitlich in der Lage sein wird. Jalal H. hatte gestern am späten Abend einen 34jährigen in Horn niedergestochen und lebensgefährlich verletzt. Anscheinend ohne Grund. Mindestens dreimal und ohne Ankündigung hatte der Heranwachsende nach einem einfachen Wortgefecht zwischen ihm und seinem Opfer das Messer erhoben und zugestochen.
Womit der 17jährige wohl nicht gerechnet hatte: Nach der Tat nimmt ein Begleiter des Opfers die Verfolgung auf. Er stellt Jalal H. und verletzt ihn mit einer Holzlatte schwer. Die Mordkommission des Landeskriminalamts (LKA) hat die Ermittlungen aufgenommen. Kurz vor 23 Uhr begegnen sich beide Männer, die in kleinen Gruppen unterwegs sind, nahe der Kreuzung Rennbahnstraße/Hermannstal am U-Bahnhof Horner Rennbahn.
Böse Blicke werden ausgetauscht. Sie machen Witze. Provokante Sprüche fliegen hin und her. Unvermittelt zieht Jalal, der Deutsche mit türkischen Wurzeln (sic!), der bereits wegen Raubes polizeibekannt ist, ein breites Klappmesser. Sein türkisches Gegenüber trifft er am Bein, am Bauch und am Kopf. Die Klinge durchstößt auch den Schädelknochen von Volkan K., der auf der Straße zusammenbricht. Jalal H. flüchtet.
Abrahim D., 26, ein Freund des Opfers, sprintet hinter ihm her. Auf dem Weg sammelt er eine robuste Holzlatte auf. Am Pagenfelder Platz, knapp einen halben Kilometer vom Tatort entfernt, kann er den Messerstecher stellen.
Jalal H., völlig außer Atem, ahnt wohl schon, was ihn erwartet. Mit letzter Kraft versucht er ein Auto anzuhalten, das an ihm vorbeifährt. Als der Fahrer nicht hält, klammert er sich ans Heck. Er kann sich nicht halten, rutscht ab und stürzt auf die Straße.
In diesem Moment kommt der 26jährige auf ihn zu und holt aus. Immer wieder trifft die lange schwere Holzlatte auf Jalal H., der sich auf dem Boden krümmt. Wenige Minuten später werden beide Männer festgenommen. Wie sein Opfer erleidet der 17jährige lebensgefährliche Verletzungen. Ob sie ausschließlich von den Schlägen mit der Holzlatte stammen oder ob sich Jalal H. bereits beim Sturz vom Auto schwer verletzte, untersuchen derzeit die Ermittler.
Mit Rettungswagen werden der 17jährige und sein 34 Jahre altes Opfer in die Asklepios-Kliniken Wandsbek und Barmbek gebracht. Volkan K. muß aufgrund seiner massiven inneren Blutungen sofort notoperiert werden.
Die Ermittler der Mordkommission suchen jetzt nach Zeugen der Auseinandersetzung. Wer die beiden Taten beobachtet hat, möge sich bitte unter Telefon 428 65 67 89 bei der Polizei melden. Erst vor einem Monat waren zwei 17 und 19 Jahre alte Heranwachsende durch Messerstiche lebensgefährlich verletzt worden, als zwei Gruppen vor einem Tanzlokal an der Wilstorfer Straße in Harburg aneinandergerieten. Die Täter waren zwei Männer, 29 und 30 Jahre alt.
http://www.abendblatt.de/hamburg/polizeimeldungen/article1476805/Selbstjustiz-nach-Messerattacke-auf-34-Jaehrigen.html

Berliner Schloß
Lesehilfe für ein Ding ohne Namen
Das Berliner Schloß befindet sich in der Krise: Der Bundesbauminister will die Barockfassaden nicht finanzieren, der Schloßverein kann es nicht. Wird hier ein steinernes Zeichen des Scheiterns gesetzt?
http://www.faz.net/s/RubEBED639C476B407798B1CE808F1F6632/Doc~E7AD0CB0FA58347EAA3E103C56A013D2F~ATpl~Ecommon~Scontent.html

Hebammen für Deutschland
Eine Initiative zum Erhalt des Berufsstandes
http://www.hebammenfuerdeutschland.de/

Gesundheit
An der Unfruchtbarkeit ist oft Mutti schuld
Von Jörg Zittlau
In Deutschland gibt es immer weniger Kinder. Etwa 600.000 Paare bleiben ungewollt kinderlos. Früher hat die Medizin die Ursachen dafür vor allem bei den Frauen vermutet, doch inzwischen richtet sich ihr Blick zunehmend auf den Mann. Forscher glauben jetzt, den Grund für die Unfruchtbarkeit gefunden zu haben.
http://www.welt.de/wissenschaft/medizin/article7443997/An-der-Unfruchtbarkeit-ist-oft-Mutti-schuld.html

Erbgut entschlüsselt
Wir sind alle ein bißchen Neandertaler
Von Cinthia Briseño
Ein zentrales Rätsel in der Evolution des Menschen ist gelüftet: Im Erbgut des modernen Menschen finden sich Spuren des Neandertalers – die beiden Arten haben sich vor Jahrtausenden tatsächlich gepaart. Anthropologen erhoffen sich von der nun veröffentlichten Genomsequenz neue Erkenntnisse.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,692855,00.html

Sachsen
Archäologen finden älteste Holznägel der Welt
Heimwerker gab es schon in der Jungsteinzeit. Archäologen haben nahe Leipzig die bisher ältesten Holznägel der Welt ausgegraben. Sie waren Teil einer rund 7000 Jahre alten Brunnenkonstruktion, die noch weitere spannende Funde verbarg.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,693600,00.html

US-Ölkatastrophe
Mit Gift gegen Gift
Aus New Orleans berichtet Marc Pitzke
Bisher gibt es nur eine Waffe im Kampf gegen die Ölpest im Golf von Mexiko: eine Chemikalie namens Corexit, die das Öl zersetzt. Rund eine Million Liter wurden bereits ins Meer gekippt. Doch Experten befürchten, daß die Flüssigkeit für die Umwelt schlimmer sein könnte als das Öl selbst.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/natur/0,1518,693566,00.html

Satellitenbild der Woche
Eyjafjallajökull ist wieder heiß wie ein Vulkan
Islands Vulkan Eyjafjallajökull findet zu alter Explosivität zurück: Nach einer Phase relativer Ruhe strömt wieder mehr Gletscherwasser in den Krater und führt zu heftigen Eruptionen. Ein Satellitenbild zeigt, wie die Aschewolke erneut zu riesiger Größe anschwillt.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/natur/0,1518,693563,00.html

„Survival“-Nahrung für Hartgesottene. Bear Grylls in Aktion ... ;-)
Man vs. Wild –Eating Giant Larva
http://www.youtube.com/watch?v=QuB3kr3ckYE

Neue Plattenbauten
http://www.sezession.de/14155/neue-plattenbauten.html

Griechisches Faß ohne Boden
http://www.sezession.de/14441/griechisches-fass-ohne-boden.html

Best of Netz gegen Nazis (Fundstücke 10)
http://www.sezession.de/14383/best-of-netz-gegen-nazis-fundstuecke-10.html

Michail Bulgakow: Hundeherz
http://www.sezession.de/13943/michail-bulgakow-hundeherz.html

lundi, 10 mai 2010

After the Reich...

after.jpgEx: http://www.italiasociale.org/

After the Reich: The Brutal History of the Allied Occupation

di Giles MacDonogh, edito da Basic Books nel 2007, ristampato nel febbraio 2009, pagine 656, lingua inglese, ISBN: 978-0465003389

Recensione pubblicata nel numero di Primavera 2009 dal “The Journal of Social, Political and Economic Studies”, pagine 95-110.

 

 

L’indomani della “Guerra buona”: una revisione. La verità che riaffiora dall’oceano del mito. (1)

di Dwight D. Murphey, già docente di diritto commerciale alla Wichita State University dal 1967 al 2003 (2)

Chi narra con onestà gli eventi umani, odierni o remoti, appartiene ad una stipe tanto rara quanto onorabile. Dovremmo senz’altro elevarli nel pantheon degli dei terreni. Allo stesso modo, indubbiamente, vi dovremmo annoverare anche coloro che, non già per disaffezione verso l’Occidente o gli Stati Uniti o il suo popolo, bensì per sete di verità, portano alla luce gli spaventosi avvenimenti che furono conseguenza della Seconda Guerra mondiale (così come le enormità commesse come parte del modo in cui la guerra fu combattuta contro le popolazioni civili, sebbene questo non sia argomento che vogliamo investigare in questa sede). Quella Guerra gli americani la conoscono come “the good war” (3) e coloro che la combatterono sono noti come “the greatest generation” (4). Ma adesso, lentamente, veniamo colpiti da realtà così banali rispetto alla complessa esistenza umana: tanto vi fu che non era affatto “buono” e, insieme all’abnegazione ed agli intenti elevati, ci furono molta venalità e brutalità. Queste realtà vengono a galla perché esistono degli studiosi che, quantomeno, sono consapevoli che un oceano di propaganda bellica genera un mito che resta per vari decenni, e che hanno una dedizione per la verità che travolge le molte lusinghe di conformità al mito. Questo articolo inizia come una semplice recensione del libro di Giles MacDonogh(5), libro che appartiene per larga parte al genere di trasgressione al mito che ho appena elogiato. Tuttavia, poiché esiste materiale supplementare di grande valore di cui non posso non far parola, l’ho ampliato per comprendervi altre informazioni ed autori, benché esso rimanga soprattutto una recensione di After the Reich. Quello di MacDonogh è un libro sconcertante, al tempo stesso coraggioso e vile, per lo più (ma non del tutto) meritevole del grande elogio che si deve agli studiosi incorruttibili. Come già abbiamo osservato, il pubblico americano ha pensato a lungo allo sforzo bellico alleato nella Seconda Guerra mondiale come ad una “grande crociata” che opponeva il bene e la giustizia al male nazionalsocialista (6). Perfino dopo tutti questi anni è probabile che l’ultima cosa che il pubblico vuole è di apprendere che, sia gli alleati occidentali, che l’Unione Sovietica commisero enormi e indicibili torti durante la guerra e dopo. Sfida questa riluttanza MacDonogh che racconta la “storia brutale” per esteso. Questa propensione è encomiabile per il coraggio intellettuale che dimostra. Alla luce di ciò sconcerta che, nel momento stesso in cui lo fa, maschera la storia, proseguendo in parte, nella sostanza, nell’insabbiamento di pezzi di storia instaurato dall’incombere della propaganda bellica, per quasi due terzi del secolo. Perciò il grande valore del suo libro non è da ricercare nella sua completezza o nella rigorosa imparzialità, bensì nel fatto che fornisce una sorta di passaggio – quasi esauriente – che può avviare dei lettori scrupolosi verso una ulteriore ricerca su un argomento d’immensa importanza. Per questo articolo, sarà intanto significativo iniziare riassumendo la storia narrata da MacDonogh, aggiungendoci parecchio. Soltanto dopo averlo fatto esamineremo quanto MacDonogh occulta. Tutto ciò ci condurrà quindi ad alcune riflessioni conclusive. Nella sua prefazione, MacDonogh dichiara che il suo proposito è di “mostrare come gli alleati vittoriosi trattarono il nemico al momento della pace, in quanto nella maggior parte dei casi non si trattò di criminali che furono stuprati, affamati, torturati o bastonati a morte ma di donne, bambini e vecchi”. Sebbene ciò lasci intendere che il tono del libro è sdegnato, la narrazione è nel complesso informativa piuttosto che polemica. La produzione accademica di MacDonogh comprende vari libri di storia tedesca e francese e delle biografie (oltre a quattro testi sul vino). (7)

Le espulsioni (oggi definite "pulizia etnica").

MacDonogh ci racconta che, al termine della guerra “sedici milioni e mezzo di tedeschi furono cacciati dalle proprie case”. Nove milioni e trecentomila vennero espulsi dalla parte orientale della Germania, diventata Polonia. (Sia il confine orientale che quello occidentale della Polonia furono drasticamente spostati verso ovest per accordo fra gli alleati, con la Polonia che si prendeva una fetta importante della Germania e l’Unione Sovietica che afferrava la Polonia orientale). Gli altri sette milioni e duecentomila furono strappati dalle proprie terre ancestrali dell’Europa Centrale dove vivevano da generazioni. Questa espulsione di massa fu stabilita nell’accordo di Potsdam di metà 1945(8), anche se tale accordo prevedeva esplicitamente che la pulizia etnica avesse luogo “nel modo più umano possibile”. Churchill fu fra quelli che lo sostennero, in quanto avrebbe condotto “ad una pace durevole”. In realtà, questa operazione fu talmente inumana da equivalere ad una delle più grandi atrocità della storia. MacDonogh riferisce che “circa due milioni e duecentocinquantamila persone sarebbero morte durante le espulsioni”. Questa è la stima minima, in un intervallo che va da due milioni e centomila a sei milioni, se prendiamo in considerazione soltanto gli espulsi. Konrad Adenauer, troppo amico dell’occidente, riuscì a dire che fra gli espulsi “sono morti, spacciati, sei milioni di tedeschi”.(9) Vedremo il racconto di MacDonogh della fame e dell’esposizione al freddo estremo cui fu soggetta la popolazione della Germania nel dopoguerra, ed a questo punto vale la pena di menzionare (anche se va al di là dell’argomento espulsioni) ciò che dice lo storico James Bacque (10): “il confronto fra i censimenti ci rivela che fra l’ottobre del 1946 [un anno e mezzo dopo la fine della guerra] e il settembre del 1950 sono scomparse in Germania circa 5 milioni e settecentomila persone”.(11) Ciò che MacDonogh chiama “la più grande tragedia marittima di tutti i tempi” accadde quando la nave Wilhelm Gustloff (12), che trasportava i tedeschi da Danzica nel gennaio del 1945, fu affondata con “oltre 9.000 persone, fra cui molti bambini”. A metà del 1946 “delle foto mostrano alcuni dei 586.000 tedeschi di Boemia pigiati in delle auto come sardine”. In un altro passaggio MacDonogh ci racconta come “i rifugiati erano spesso così ammucchiati da non potersi muovere per defecare e così spuntavano dai veicoli coperti di escrementi. Molti, all’arrivo, erano morti”. [Questo ci richiama alla mente le scene descritte così vivacemente da Solzenicyn nel primo volume di “Arcipelago Gulag” (13)]. In Slesia, “fiumane di civili furono strappati dalle proprie case sotto la minaccia delle armi da fuoco”. Un sacerdote stimò che un quarto della popolazione tedesca di una città della Bassa Slesia si uccise, dato che intere famiglie si suicidarono insieme.

La condizione della popolazione tedesca: fame e freddo estremo.

I tedeschi parlano del 1947 come dell’Hungerjahr, l’ “anno della fame”, ma MacDonogh afferma che “perfino nel 1948 non si era posto rimedio al problema”. La gente mangiò cani, gatti, topi, rane, serpenti, ortica, ghiande, radici dei denti di leone (14) e funghi non ancora maturi in un frenetico tentativo di sopravvivere. Nel 1946 le calorie fornite nella “U.S. Zone” (15) in Germania calarono a 1.313 del 18 marzo dalle già scarse 1.550 precedenti. Victor Gollancz (16), uno scrittore ed editore inglese, ebreo, obiettava “stiamo affamando i tedeschi”.(17) Ciò concorda con la dichiarazione del senatore dell’Indiana Homer Capehart (18) in un discorso al Senato statunitense del 5 febbraio 1946: “Finora, per nove mesi, questa amministrazione ha portato deliberatamente avanti una politica per ridurre le masse alla fame”. (19) MacDonogh ci narra che la Croce Rossa, i Quaccheri, i Mennoniti ed altri volevano far entrare del cibo ma “nell’inverno del 1945 le donazioni furono respinte con la raccomandazione di utilizzarle in altre zone d’Europa straziate dalla guerra”. Nella zona americana (20) di Berlino “la politica statunitense era che nulla dovesse essere distribuito e tutto, al contrario, gettato via. Così le donne tedesche che lavoravano per gli americani erano fantasticamente ben nutrite ma non potevano portar nulla alle proprie famiglie ed ai bambini”. Bacque afferma che “alle agenzie di soccorso straniere fu impedito di inviare cibo dall’estero; i treni coi viveri della Croce Rossa vennero rimandati in Svizzera; a tutti i governi stranieri fu negata l’autorizzazione di mandare alimenti ai civili tedeschi; la produzione di fertilizzanti fu bruscamente ridotta. La flotta da pesca fu tenuta nei porti mentre la gente moriva di fame”. (21) Sotto l’occupazione russa della Prussica orientale, MacDonogh ravvisa “impressionanti analogie” con la “deliberata riduzione alla fame dei kulaki ucraini nei primi anni ‘30” ad opera di Stalin. Come era accaduto in Ucraina “furono riferiti casi di cannibalismo, con la gente che mangiava la carne dei propri figli morti”. La sofferenza per il freddo gelido unita alla fame per creare strazio e un elevato numero di morti. Anche se l’inverno 1945-’46 fu nella norma “la terribile penuria di carbone e di cibo furono sentiti intensamente”. Si abbatterono poi due inverni freddi in maniera anomala , nel 1946-’47 “forse il più freddo a memoria d’uomo” (22) e quello del 1948-’49. Nella sola Berlino si stima siano morte 60.000 persone nei primi dieci mesi dopo la fine della guerra e “l’inverno successivo si calcola ne abbia sterminate altre 12.000”. La gente viveva nelle buche fra le rovine e “alcuni tedeschi –in particolare rifugiati dall’Est- praticamente nudi”. Nel suo libro “Gruesome Harvest: The Allies' Postwar War Against The German People” (23) Ralph Franklin Keeling menziona una affermazione di un “famoso pastore tedesco”: “Migliaia di corpi sono appesi agli alberi nei boschi intorno a Berlino e nessuno si prende la briga di tirarli giù. Migliaia di corpi li portano nel mare l’Oder e l’Elba, non li si nota nemmeno più. Migliaia e migliaia muoiono di fame sulle strade. Bambini vagano da soli per le strade”. (24) Alfred-Maurice de Zayas (25), nel suo “The German Expellees: Victims in War and Peace” (26) raccontava come, in Yugoslavia, il maresciallo Tito usasse i campi come centri di sterminio per far morire di fame i tedeschi.(27)

Stupri di massa, cui si deve aggiungere il “sesso spontaneo” ottenuto dalle donne affamate.

Gli stupri furiosi delle truppe d’invasione russe sono, ovviamente, infami. In Austra, nella zona russa, “lo stupro fece parte della vita quotidiana fino al 1947 e molte donne contrassero delle malattie veneree e non ebbero i mezzi per curarsi”. MacDonogh scrive che “stime prudenziali collocano il numero delle donne violentate a Berlino a 20.000”. Quando gli inglesi arrivarono a Berlino, “gli ufficiali, in seguito, rievocavano la violenta emozione provata nel vedere i laghi della prospera zona occidentale pieni di corpi di donne che si erano suicidate dopo esser state violentate”. L’età delle vittime non faceva alcuna differenza: le donne stuprate avevano da 12 a 75 anni. Fra queste, infermiere e suore (alcune violentate anche cinquanta volte). “I russi erano particolarmente crudeli coi nobili, incendiavano le loro ville e violentavano o ammazzavano gli abitanti”. Benché “la maggior parte degli indesiderati figli dei russi venissero abortiti”, MacDonogh scrive che “si stima che da 150.000 a 200.000 ‘neonati russi’ siano comunque sopravvissuti”. I russi violentavano ovunque andassero, tanto che non furono soltanto le tedesche ad essere stuprate, ma anche donne ungheresi, bulgare, ucraine ed anche jugoslave, sebbene quest’ultime fossero dalla stessa parte. Esisteva una linea di condotta ufficiale contro la violenza carnale, ma era, solitamente, a tal punto ignorata che “fu solo nel 1949 che furono realizzate concrete azioni dissuasive nei confronti dei soldati russi”. Fino ad allora “furono incitati da [Ilya] Ehrenburg (28) e da altri propagandisti sovietici che vedevano lo stupro come espressione dell’odio”. Sebbene vi fosse una “incidenza molto estesa di stupri commessi da soldati americani”, esisteva anche una politica militare coercitiva contro di essi, con “diversi soldati americani giustiziati” per questo. I capi d’imputazione per stupro “salirono costantemente” durante gli ultimi mesi di guerra, ma calarono nettamente in seguito. Ciò che invece continuò fu probabilmente quasi peggiore: lo sfruttamento sessuale di donne affamate le quali vendevano “volontariamente” i propri corpi in cambio di cibo. In “Gruesome Harvest”, Keeling cita da un articolo apparso sul Christian Century (29) del 5 dicembre 1945: “Il comandante della Polizia Militare americana ha dichiarato che la violenza carnale non rappresenta un problema per loro in quanto ‘un po’ di cibo, una barretta di cioccolata o un pezzo di sapone rendono inutile lo stupro’ “. (30) Le dimensioni del fenomeno sono dimostrate dalla cifra che MacDonogh fornisce, di “94.000 Besatzungskinder (31) o ‘bambini dell’occupazione’, stimati, [che] nacquero nella zona americana”. Egli scrive che nel 1945-’46 “molte ragazzine ricorsero alla prostituzione per sopravvivere. Ed anche i ragazzi assolsero lo stesso compito per i soldati alleati”. Keeling, scrivendo nel 1947 per la pubblicazione del proprio libro [in tal modo si spiega l’uso del presente nella frase], diceva che c’era “una impennata di malattie veneree tale da raggiungere proporzioni epidemiche” e proseguiva scrivendo che “una larga parte dell’infezione è stata originata dalle truppe americane di colore che noi abbiamo collocato in gran numero in Germania e fra le quali la percentuale di infezioni veneree è molte volte più alta che non fra le truppe bianche”. Nel luglio del 1946, aggiunge, la percentuale annua per i soldati bianchi ammonta al 19%, per i neri sale al 77,1%. Ripete quindi ciò che noi stiamo qui dimostrando, quando mette in evidenza “lo stretto legame fra il tasso di malattie veneree e la disponibilità di cibo”. (32) Se MacDonogh menziona stupri commessi da soldati britannici, a me è sfuggito. Egli però racconta di violenze carnali di polacchi, francesi, partigiani di Tito e profughi. A Danzica “i polacchi si comportarono tanto duramente quanto i russi. Furono i polacchi a liberare (33) la città di Teschen (34), nel nord [della Cecoslovacchia] il 10 di maggio. Per cinque giorni essi stuprarono, saccheggiarono, incendiarono e uccisero”. Scrive del “comportamento dei soldati francesi a Stoccarda, dove forse 3.700 donne ed otto uomini furono violentati” ed aggiunge che “altre 500 donne [furono] stuprate a Vahingen(35) e riferisce dei “tre giorni di uccisioni, saccheggi, incendi e stupri” avvenuti a Freundenstadt.(36) Sui fuggiaschi dice che “c’erano circa due milioni di prigionieri di guerra e lavoratori coatti provenienti dalla Russia che avevano costituito delle bande che rubavano e violentavano in tutta l’Europa centrale”.

Trattamento dei prigionieri di guerra.

In tutto, ci furono approssimativamente undici milioni di pionieri di guerra tedeschi. Un milione e mezzo non tornarono mai a casa. Qui MacDonogh esprime il proprio giusto sdegno: “Fu scandaloso trattarli con così scarsa cura che un milione e mezzo di loro morirono”. La Croce Rossa non ebbe alcun incontro faccia a faccia con quelli che erano detenuti dai russi, in quanto l’Unione Sovietica non aveva firmato la Convenzione di Ginevra. MacDonogh afferma che i russi non facevano alcuna distinzione fra civili e prigionieri di guerra tedeschi, anche se sappiamo che un rapporto del KGB li selezionava per mandarli a morte o per altri scopi. Alla fine della guerra, i russi ne detenevano da quattro a cinque milioni in Russia (e qui, di nuovo, gli archivi del KGB vale la pena di consultarli, come ha fatto lo storico James Bacque; essi registrano la cifra di 2.389.560 prigionieri). Un gran numero fu detenuto per oltre dieci anni, e furono rimandati in Germania soltanto dopo la la visita di Konrad Adenauer a Mosca nel 1956.(37) Ciononostante, nel 1979 –34 anni dopo la fine della guerra!- “si riteneva ci fossero 72.000 prigionieri ancora in vita, principalmente in Russia”. A Stalingrado furono catturati circa 90.000 soldati tedeschi, ma soltanto 5.000 fecero ritorno a casa. Gli americani fecero una distinzione fra i quattro milioni e duecentomila soldati catturati durante la guerra, cui le Convenzioni de L’Aia e di Ginevra davano diritto alla protezione ed ai mezzi di sussistenza, ed i tre milioni e quattrocentomila catturati in Occidente alla fine della guerra. MacDonogh dice che questi ultimi furono classificati come “Surrendered Enemy Persons" (SEP) o come "Disarmed Enemy Persons" (DEP), (38) cui furono negate le tutele delle due Convenzioni. Non fornisce la cifra totale di quelli che morirono mentre erano in custodia americana, dicendo “non è chiaro quanti soldati tedeschi morirono di fame”. Rivela, comunque, varie situazioni: “I più famigerati campi americani per prigionieri di guerra erano i cosiddetti Rheinwiesenlager”. (39) Qui gli americani, lasciarono che “oltre 40.000 soldati tedeschi morissero di fame abbandonati nei fangosi pantani del Reno”. Scrive che “qualsiasi tentativo della popolazione civile tedesca di dar da mangiare ai prigionieri era punito con la morte”. Sebbene la Croce Rossa fosse autorizzata alle ispezioni, “il filo spinato che circondava i campi dei SEP e dei DEP era impenetrabile”. Altrove, alle “caserme del Genio di Worms c’erano 30-40.000 prigionieri seduti nel cortile, che si spingevano per farsi spazio, senza alcuna protezione dalla pioggia che li gelava”. I prigionieri morivano di fame a Langwasser (40) e nel “famigerato campo” di Zuffenhausen (41) dove “per mesi il pranzo consisté in zuppa di rape, con mezza patata per cena”. Sarebbe un errore ritenere che una carenza mondiale di cibo fosse all’origine dell’impossibilità statunitense di dar da mangiare ai prigionieri. Bacque scrive che “il capitano Lee Berwick del 424° Fanteria, che comandava le sentinelle del campo di Bretzenheim (42), mi disse che ‘il cibo era accatastato tutto intorno alla recinzione del campo’. I prigionieri vedevano le casse impilate ‘alte come case’ ”. (43) Uno dei 19 campi di concentramento americani sul Reno, l’A2 di Remagen in Renania-Palatinato, a fine aprile 1945. Si nota bene l’assenza di baracche o altri ricoveri (che la democrazia non ne conosca l’uso?). Ciò che ci dice MacDonogh sul trattamento dei prigionieri di guerra da parte degli inglesi appare discordante. In Gran Bretagna c’erano 391.880 prigionieri al lavoro nel 1946 ed un totale di 600 campi nel 1948. Egli scrive che “il regime non era così duro e in termini percentuali il numero di uomini che morirono mentre erano in prigionia britannica è sorprendemente basso rispetto a quello degli altri alleati”. Tuttavia altrove racconta come “gli inglesi riuscirono ad eludere [le clausole della Convenzione di Ginevra] che prevedeva di fornire da 2.000 a 3.000 calorie al giorno”, così che “per la maggior parte del tempo il livello scese sotto le 1.500 calorie”. Gli inglesi avevano un campo di prigionia in Belgio che “era noto per essere particolarmente massacrante”. Laggiù “si riferisce che le condizioni dei 130.000 prigionieri non fossero ‘molto meglio di quelle di Belsen’. (44) Quando il campo fu ispezionato nell’aprile del 1947 si trovarono appena quattro lampadine funzionanti; non c’era combustibile, né pagliericci e neppure cibo, a parte la ‘minestra d’acqua’”. Un servizio della Reuters del dicembre 2005 aggiunge una significativa dimensione: “Secondo il Guardian, gli inglesi gestirono un carcere segreto in Germania per due anni dopo la fine della Seconda Guerra mondiale dove i reclusi, compresi membri del Partito Naz(ionalsocial)ista, furono torturati e fatti morire di fame.(45) Citando dei dossier del Foreign Office, resi pubblici in seguito ad una richiesta ai sensi del Freedom of Information Act (46), il quotidiano scrive che la Gran Bretagna ha detenuto uomini e donne [sic] in una prigione di Bad Nenndorf fino al luglio del 1947. Il giornale riferisce di ‘Minacce di giustiziare i prigionieri, oppure di arrestare, torturare e uccidere le loro mogli e i loro figli erano considerate “del tutto appropriate” in quanto mai furono attuate’”. (47) I francesi pretesero lavoratori tedeschi per ricostruire il paese, ed a questo scopo inglesi ed americani cedettero loro circa un milione di soldati tedeschi. MacDonogh dice che “il loro trattamento fu particolarmente brutale”. Non molto tempo dopo la fine della guerra, secondo la Croce Rossa, 200.000 prigionieri morivano di fame. Siamo informati di un campo “nella Sarthe [dove] i prigionieri dovevano sopravvivere con 900 calorie al giorno”. (48)

Il saccheggio dell’economia tedesca (49).

I capi alleati non erano d’accordo fra loro sul Piano Morghentau (50) per spogliare la Germania del suo patrimonio industriale e trasformarla in un paese agricolo. L’opposizione di alcuni e l’esitazione di altri, tuttavia, non impedì che de facto il piano venisse attuato. Quando la confisca fu conclusa, la Germania era in larga misura priva di mezzi produttivi. MacDonogh afferma che sotto i russi “Berlino perdette circa l’85% della propria capacità industriale”. Da Vienna venne portata via ogni macchina. Dal Danubio fu sottratto il naviglio e “una delle priorità sovietiche fu la confisca di qualsiasi importante opera d’arte trovata nella capitale [Vienna]. Questa fu un’operazione totalmente pianificata”. Però “peggiore del completo trasferimento della base industriale fu il rapimento di uomini e donne per sviluppare l’industria in Unione Sovietica”. Sotto gli americani, lo smantellamento dei siti industriali proseguì finché il generale Lucius Clay (51) non lo fermò un anno dopo la fine della guerra. Fino all’azione di Clay, il Piano Morghentau era incarnato dalla Disposizione n. 6 dell’Ordine 1067 (529 del Joint Chiefs of Staff (53). MacDonogh dice che dove “il furto degli ufficiali americani fu perpetrato su scala massiccia” fu nel “sequestrare scienziati ed impadronirsi di attrezzature scientifiche”. Gli inglesi presero molto per se e passarono altro patrimonio industriale agli “stati clienti” come la Grecia e la Jugoslavia. La famiglia reale britannica ricevette lo yacht di Goering (54) e la zona britannica della Germania fu spogliata degli “stabilimenti che potevano in seguito entrare in competizione con le industrie britanniche”. MacDonogh scrive che “gli inglesi ebbero la propria tipologia di furto organizzato con la [cosiddetta] T-Force, che cercava di racimolare qualsiasi ingegno industriale”. (55) Da parte loro i francesi sostennero “il diritto alla razzia”. “La Francia non esitò ad appropriarsi di un’azienda di clorati a Rheinfelden, una di viscosa a Rottweil, delle miniere Preussag e dei gruppi chimici Rhodia”, e di molto altro ancora. (56) Se il Piano fosse stato realizzato del tutto per un lungo periodo di tempo, gli effetti sarebbero equivalsi ad una calamità. Keeling, in “Gruesome Harvest”, scrive che tentare “la distruzione permanente del cuore industriale tedesco” avrebbe avuto come “conseguenza ineluttabile la morte per fame e malattia di milioni, decine di milioni di tedeschi”. (57)

Il rimpatrio forzato dei russi per Stalin.(58)

Il libro di MacDonogh si limita all’occupazione alleata, però ci sono, naturalmente, molti altri aspetti del dopoguerra che meritano d’esser menzionati, anche se qui ci limiteremo ad uno solo di questi. (Anche MacDonogh ne fornisce alcuni dettagli). Riguarda il rimpatrio alleato in Unione Sovietica dei Russi catturati. Nel suo “The Secret Betrayal” (59) Nikolai Tolstoy racconta come, fra il 1943 ed il 1947, furono “restituiti” un totale di 2.272.000 Russi. I sovietici ne raccolsero altri 2.946.000 in varie parti d’Europa conquistate dall’Armata Rossa. Quelli mandati in Unione Sovietica dalle democrazie occidentali comprendevano migliaia di zaristi (60) emigrati che non avevano mai vissuto sotto il regime sovietico. (61) Tolstoy scrive che, anche se erano in molti quelli che volevano davvero tornare in Russia (mentre molti altri si opponevano disperatamente e ci furono mandati, in effetti, fra le violenze e le grida), tutti, senza distinzione, vennero trattati brutalmente, giustiziati, violentati o resi schiavi. Alcuni dei rimpatriati erano russi che avevano combattuto per la Germania da volontari contro l’Unione Sovietica, comandati dal generale Vlasov.(62) Il Generale Vlasov nel 1943 Alcuni erano Cosacchi, molti dei quali non erano neppure cittadini sovietici. (63) Il violento rimpatrio ebbe inizio nell’agosto 1945. Tolstoy narra come, per obbligarli al trasferimento, siano stati impiegati l’inganno, le bastonate, le baionette e perfino la minaccia di usare un carro lanciafiamme. (64)

La giustizia dei vincitori.

Quando la guerra terminò c’era unanimità fra i capi alleati sul fatto che i capi Naz(ionalsocial)isti fossero messi a morte. Alcuni volevano una esecuzione immediata, altri “una corte marziale straordinaria”. Ci fu un inaspettato vantaggio nell’insistenza degli inglesi a seguire le “formalità legali”, come fu poi deciso. Il risultato fu una serie di processi coi trabocchetti dei normali procedimenti giudiziari, che però furono di fatto una parodia dal punto di vista del “principio della legalità”, mancando sia dello spirito che dei particolari del “giusto processo”. In due capitoli, MacDonogh fornisce un resoconto del principale processo di Norimberga e della serie di processi che si ebbero in seguito, per anni. Fra questi, gli americani celebrarono vari processi a Norimberga, dopo il principale; davanti ai “tribunali per la denazificazione” (65) furono giudicate migliaia di cause; dopo la loro entrata in funzione i tribunali tedeschi continuarono i processi e, naturalmente, sappiamo del processo in Israele e dell’eseczione di Eichmann. (66) Vi sono molti motivi per chiamarla “giustizia dei vincitori”. Perché se fosse stato altrimenti, un tribunale veramente imparziale avrebbe dovuto essere convocato in qualche parte del mondo (ammesso che una cosa simile fosse stata possibile subito dopo una guerra mondiale) ed avrebbe dovuto procedere contro i crimini di guerra commessi da tutte le parti combattenti. Ma ovviamente sappiamo che una forma di giustizia tanto imparziale non era neppure contemplata. Nell’atto d’incriminazione di Norimberga i Naz(ionalsocial)isti erano accusati del massacro del corpo ufficiali polacchi della foresta di Katyn, imputazione che fu discretamente (e con grande disonestà intellettuale e “giudiziaria”) tralasciata nel giudizio finale, dopo che era divenuto chiaro a tutti che erano i sovietici ad aver commesso la strage. (67) Un altro dei molti altri esempi possibili sarebbe quello relativo alle deportazioni Naz(ionalsocial)iste addebitate a Norimberga sia come crimine di guerra che come crimine contro l’umanità. Per converso, nessuno fu mai “assicurato alla giustizia” per l’espulsione alleata dei milioni di tedeschi dalle loro terre ancestrali dell’Europa centrale.

Una fonte che i lettori troveranno istruttiva.

Per la credibilità della fonte, il resoconto dell’ex-maggiore dell’aeronautica militare statunitense Arthur D. Jacobs nel suo libro “The Prison Called Hohenasperg” (68) sarà utile ai lettori quanto lo è assimilare (e valutare) le informazioni contenute nel libro di MacDonogh e quelle degli altri autori cui abbiamo qui rinviato. E’ prezioso sia come storia della brutalità che della compassione americane. Jacobs prestò servizio in aeronautica per ventidue anni, si congedò nel 1973 ed in seguito insegnò alla Arizona State University per altri vent’anni. (69) Il libro racconta la sua storia personale: i suoi genitori, tedeschi, emigrarono negli Stati Uniti nel 1928 e nel 1929. Ebbero due figli, nati a Brooklyn (perciò cittadini statunitensi) e uno di loro era Arthur Jacobs. I ragazzi vissero i loro primi anni a Brooklyn, dove frequentarono la scuola elementare. La famiglia fu presa e trattenuta ad Ellis Island (70) verso la fine della guerra e fu quindi detenuta per sette mesi nel campo d’internamento di Crystal City, in Texas (71), dove fu trattata bene. Poi furono “rimpatriati volontariamente” in Germania (dopo esser stati minacciati di deportazione) nell’ottobre del 1945, vari mesi dopo la resa tedesca. Quando arrivarono in Germania la madre di Jacobs fu inviata in un campo, il padre ed i due figli in un altro. Questi ultimi raggiunsero un campo d’internamento a Hohenasperg (72), dopo un viaggio di 92 ore rinchiusi in un carro merci con un freddo glaciale, insieme a donne e bambini e, soprattutto, a pane e acqua e “senza calore, senza coperte e senza gabinetti a parte un fetido bugliolo all’aperto”. Jacobs stesso aveva dodici anni e compì il tredicesimo nella settimana in cui era a Hohenasperg, prima di essere mandato in un altro campo a Ludwigsburg. (73) Nel carcere di Hohenasperg fu sottoposto ad una severa disciplina come un qualunque prigioniero e le guardie lo minacciarono ripetutamente di impiccarlo se avesse disobbedito. Il campo di Ludwigsburg in effetti era un centro di detenzione in attesa del rilascio. E’ istruttivo quanto Jacobs ci racconta della misera dieta: “A colazione ci davano un bicchiere di latte ‘grigio’ e una fetta di pane scuro. A mezzogiorno non c’era pasto”. A cena “ognuno riceveva una scodella di minestra…, per lo più acqua aromatizzata col dado. Nessuna seconda porzione. Sentivo sempre i morsi della fame”. Mentre erano internati a Ludwigsburg, lui ed i suoi fratelli erano costretti a guardare dei film sui “campi di sterminio” (74) tedeschi. La madre, il padre ed i fratelli furono rilasciati dai rispettivi campi a metà marzo del 1946 ed andarono a vivere coi nonni di Jacobs nella zona sotto controllo britannico. Non erano i benvenuti fra i tedeschi che incontravano, in quanto “eravamo altre quattro bocche da sfamare”. Jacobs vide che “la Germania era logorata dalla guerra e affamata”. Fu aiutato da un soldato americano che gli trovò un lavoro al “Graves Registration” (75). Perse il lavoro quando quel soldato fu trasferito ed iniziò una lotta per “vivere nel periodo in cui si moriva di fame, l’inverno del 1946-1947”. Dopo molto girare, ebbe un altro lavoro con l’Esercito americano, stavolta nella flotta militare. A lui si interessò una donna americana che conosceva una coppia in una fattoria del Kansas sud-occidentale che li avrebbe condotti in America a vivere con loro. Pertanto, Jacobs e suo fratello partirono per gli Stati Uniti nell’ottobre del 1947. Erano stati in Germania per 21 mesi. Trascorsero undici anni prima che Jacobs potesse rivedere i genitori. Tirò avanti e, come abbiamo detto, riuscì a diventare ufficiale di carriera nell’aeronautica militare statunitense. Dopo aver conseguito l’MBA (76) all’Università Statale dell’Arizona, divenne ingegnere industriale e più tardi docente della stessa Università.

Se MacDonogh ha scritto tutto ciò che abbiamo riferito (ed altro ancora) del suo libro, come si può sostenere che egli prosegue in modo significativo nell’occultamento di tali orrori, un occultamento che dal 1945 li ha consegnati al dimenticatoio? Questa domanda ci conduce ai difetti del libro, che sono di una natura tale da dare ai lettori una comprensione ridotta delle dimensioni delle atrocità e dei loro responsabili. Ciò che passa di più il segno è il trattamento che MacDonogh riserva al lavoro dello storico canadese James Bacque, autore di “Other Losses” (77) e “Crimes and Mercies”. Quando rimanda al primo di questi libri, dice che Bacque “asseriva che i francesi e gli americani avessero ucciso un milione di prigionieri di guerra”, una affermazione che “fu definita un lavoro di ‘mostruosa speculazione’ e fu rigettata da uno storico americano come una ‘tesi assurda’”. Secondo MacDonogh “da allora è stato provato che Bacque fraintese, nei documenti alleati, le parole ‘other losses’ e ne intese avessero il significato di ‘deaths’”. (78) Perciò parla di “falsa pista di Bacque”. Egli respinge tanto decisamente la tesi di Bacque che nella pagina sulle ulteriori letture consigliate, alla fine del libro, MacDonogh apparentemente si scorda del tutto di Bacque, dicendo che “sul trattamento dei prigionieri di guerra non esiste niente in inglese e il principale esperto americano –Arthur L. Smith- pubblica in tedesco”. (79) Pensavo fosse giusto chiedere a Bacque cosa rispondeva al rigetto di MacDonogh. Bacque mi ha risposto che “la speculazione sulle parole rappresenta bene i miei critici, perché loro non sono stati in tutti i maggiori archivi e non hanno intervistato le migliaia di sopravvissuti che hanno scritto ai giornali, ai giornalisti televisivi e ad altri scrittori sulle loro esperienze vicine alla morte nei campi degli americani, dei francesi e dei russi”. Lungi dall’ammettere di aver mal interpretato la categoria delle “other losses”, Bacque afferma che “il significato del termine mi fu chiarito dal colonnello Philip S. Lauben, dell’esercito degli Stati Uniti, responsabile dei movimenti dei prigionieri per lo SHAEF nel 1945. (80) Ho l’intervista su nastro e la firma di Lauben su una lettera di conferma. Lauben non ha mai negato ciò che mi riferì”. In seguito Lauben dichiarò alla BBC che “si era sbagliato”, però la probabilità di un errore è esile dal momento che era l’ufficiale responsabile fin dall’inizio e vide sia i campi che i documenti. La differenza fra il trattamento che riservano MacDonogh e Bacque alla questione dei prigionieri di guerra tedeschi in mani americane è solo apparente, non appena si confronta l’interesse che ognuno riserva alla limitazione del cibo. MacDonogh riferisce in un passaggio che “qualsiasi tentativo della popolazione civile tedesca di dar da mangiare ai prigionieri era punito con la morte”. Ciò è sbalorditivo di per se e certamente non ha bisogno di spiegazioni. Bacque ci racconta parecchio di più: “Il generale Eisenhower inviò un ‘corriere urgente’ per tutta la vasta area ai suoi ordini dichiarando che per i civili tedeschi era un reato punibile con la morte dar da mangiare ai prigionieri. Ed era un reato da pena di morte anche accumulare del cibo in qualche luogo per portarlo ai prigionieri”. Scrive che “l’ordine fu inviato in Germania ai governi provinciali, con l’ordine di trasmetterlo immediatamente alle amministrazioni locali. Copie dell’ordine sono state recentemente scoperte in vari villaggi nei pressi del Reno”. (81) Alle pagine 42-43 di “Crimes and Mercies” Bacque pubblica una copia in tedesco e in inglese di una lettera datata 9 maggio 1945, in cui viene notificata tale proibizione agli ufficiali del distretto. Bacque fornisce prove come quella del professor Martin Brech di Mahopac, all’estrema periferia di New York, che fu guardiano del campo americano di Aldernach in Germania (82). Brech racconta che “passò alcune fette di pane attraverso il filo spinato, ma l’ufficiale suo superiore gli disse ‘Non dargli da mangiare. La nostra politica è che questi uomini non mangino’”. “Dopo, la notte, Brech portò di nascosto un altro po’ di cibo nel campo e l’ufficiale gli disse ‘Se lo fai ancora, ti faccio fucilare’”. Così troviamo in Bacque una descrizione più nitida e una maggiore attribuzione di responsabilità che non in MacDonogh. Alla luce dell’enorme quantità di dettagli forniti dal libro di MacDonogh, ciò sarebbe perdonabile se non fosse per il suo tentativo di cancellare il lavoro di uno studioso di grande importanza che ha analizzato l’argomento in maniera esauriente. Una soppressione del genere riduce la comprensione del lettore di altri importanti argomenti che MacDonogh tratta con tale brevità che il lettore può a stento farsi un’idea completa. Per esempio, MacDonogh racconta di come, durante l’esecuzione di Joachim von Ribbentrop a Norimberga (83) “il boia pasticciò l’esecuzione e la corda strangolò l’ex-ministro degli esteri per venti lunghi venti minuti prima che spirasse”. Nel suo libro “Nuremberg: The Last Battle” (84), lo storico David Irving racconta parecchio di più, compreso il fatto che la forca era stata progettata in modo da permettere alla botola di ruotare all’indietro e spezzare “qualsiasi osso” dei visi di Keitel, Jodl e Frick. Dice ancora che il corpo di Goering (dopo che si era suicidato assumendo del veleno) “fu trascinato nella stanza dell’esecuzione [dove] i medici militari [fecero] frenetici tentativi di rianimarlo perché lo si potesse impiccare”. Ci sono un gran numero di punti in cui MacDonogh dice la metà di qualcosa d’importante, solo per lasciare l’argomento incompleto. Abbiamo già rilevato il suo accenno ai “30-40.000 prigionieri seduti nel cortile [alle caserme del Genio di Worms], che si spingevano per farsi spazio, senza alcuna protezione dalla pioggia che li gelava”. Ci lascia solo indovinare le conseguenze del congelamento. In un altro punto, riferisce che “gli americani mantennero in piedi campi per oltre un milione e mezzo di Naz(ionalsocialisti)isti o membri della SS”. Questa è la sua unica menzione in merito a questi campi, che si può supporre fossero perfino maggiormente punitivi degli altri. MacDonogh era troppo oberato da altri dettagli per proseguire ulteriormente su tale argomento? Non è che si astiene deliberatamente dall’esplorare certe cose? O forse l’omissione è dovuta a come i dettagli venivano fuori, frammentari come la scarica di un fucile a pallettoni? Al lettore occorrerà valutare fino a che punto “After the Reich” sia il lavoro di uno studioso eminente oppure un racconto di narrativa popolare. (85) Il libro di MacDonogh annovera molte pagine di note finali e cita un gran numero di fonti. Di rado si esprime criticamente su una data fonte. Ma nella maggior parte dei casi accoglie qualsiasi cosa una certa fonte abbia da dire. Al libro avrebbe giovato molto un saggio bibliografico in cui l’autore valutasse le fonti principali, condividendo col lettore una analisi accurata della base probatoria per la sua narrazione. Un esempio in cui è essenziale una valutazione critica è nel suo rimando a quel che ha da dire Ilse Koch (86) sui “paralumi e i trofei realizzati con pelle e organi umani”: MacDonogh dice che lo psicologo Saul Padover afferma gli sono stati mostrati. (87) Vorremmo sapere cosa concluderebbe MacDonogh se dovesse valutare la contro-prova che proclama la collezione di paralumi una “leggenda”. Altrettanto dicasi per le molte citazioni di MacDonogh del libro di Raul Hilberg “The Destruction of the European Jews”. (88) Esiste una vasta letteratura accademica che contesta ogni aspetto dell’“Olocausto”. (89) Leggendo MacDonogh non si verrebbe mai a sapere che esiste quella letteratura, o perché lui non la conosce oppure perché trova più prudente, come molti fanno, non menzionarla. Nonostante le sue limitazioni, “After the Reich” realizza molto, laddove fornisce un ulteriore collegamento nella catena delle rivelazioni che, nel tempo, consentono ai lettori scrupolosi una comprensione più completa della storia moderna. Il fatto che, all’epoca dei fatti e per così tanti decenni successivi, mostruosità della più grande importanza siano state lavate via dalla propaganda suggerisce che vi siano delle implicazioni molto al di là degli eventi stessi. Il primo ministro britannico Benjamin Disraeli (90) osservava che “tutti i grandi eventi sono stati distorti, la maggior parte delle cause importanti occultate” e proseguiva dicendo che “Se la storia d’Inghilterra sarà mai scritta da qualcuno che abbia consapevolezza e coraggio, il mondo ne rimarrà sbalordito”(91). Le implicazioni suggeriscono domande profonde di cui sarebbe negligenza non far menzione: Com’è che una certa versione della realtà può, su così tante materie, avere un dominio quasi totale, mentre le voci di milioni di persone e di un buon numero di studiosi seri vengono emarginate nel nulla? (Fortunatamente, per quanto interessa il lavoro di Bacque, esso è reperibile in dodici lingue e in tredici paesi, sebbene a lungo non sia stato disponibile negli Stati Uniti). Sappiamo davvero la verità su molte cose? Oppure sono innumerevoli gli argomenti celati in un miasma di omissioni e travisamenti? Dove sono i nostri storici accademici? Alla maggior parte di loro piace fornirci miti gradevoli, che è ciò che ci aspetta da loro, e per questo essi sono ricompensati con medaglie, premi e vendite elevate dei loro libri. Quanto è pervasiva una viltà che pone pressoché tutto avanti alla ricerca della verità? Al genere umano importa davvero profondamente della verità? Fino a che punto una società o un’epoca sono “democratiche” se le menti dei propri cittadini sono piene di fantasmi, cosicché la maggior parte dei loro giudizi sono o sciocchi o manovrati? E fino a che punto sono “democratiche” se quei cittadini non hanno neppure voce in capitolo nelle decisioni della più grave importanza? (92) E’ significativo ciò che scrive Keeling: “nella storia moderna nessun popolo di nessuna nazione, noi compresi, ha mai avuto una voce rilevante nel prendere le grandi decisioni, e sull’andare in guerra, e sul comporre gli accordi di pace”(93).

Traduzione a cura di Fabrizio Rinaldini.

Sull'argomento della "liberazione" tedesca ricordo questi testi fondamentali:

- Hans Deichelmann "Ho visto morire Königsberg. 1945-1948: memorie di un medico tedesco" Edizioni Mursia, 2010

- Gianantonio Valli, "Il prezzo della disfatta. Massacri e saccheggi nell'Europa 'liberata' ", Effepi, Genova 2008

- Ernesto Zucconi "Il rovescio della medaglia. I crimini dei vincitori" Novantico, Pinerolo, 2004

- John Sack "Occhio per occhio" Baldini e Castoldi, Milano, 1995

- Marco Picone Chiodo "E malediranno l'ora in cui partorirono. L'odissea tedesca tra il 1944 e il 1949" Mursia, Milano, 1988

- James Bacque "Gli altri lager I prigionieri tedeschi nei campi alleati in Europa dopo la Seconda Guerra Mondiale" Mursia, Milano 1993

- James Bacque Crimes and Mercies: The Fate Of German Civilians Under Allied Occupation, 1944-1950, Little Brown & Company, Boston, 2003

- Sito dello storico  http://www.jamesbacque.com/

- Opere a carattere storico (Deutsche als Opfer/I tedeschi come vittime) del pittore Smagon http://www.art-smagon.com/

- David Irving "Il piano Morgenthau. 19944-45 un genocidio mancato" Settimo Sigillo, Roma 2003

- J. Robert Lilly "Stupri di guerra – Le violenze commesse dai soldati americani in Gran Bretagna, Francia e Germania 1942-1945" Mursia, Milano, 2004.

 

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1 (NdT) Link alla recensione: http://www.gnosticliberationfront.com/book_review_article.htm

2 (NdT) Per maggiori informazioni sul professor Dwight D. Murphey, autore della recensione, vedi:

http://www.dwightmurphey-collectedwritings.info/InfoReDDM.htm

3 (NdT) “La Guerra Buona”. Col libro "The Good War: An Oral History of World War Two" lo scrittore ed attore ebreo americano Louis "Studs" Terkel (1912 – 2008) ha vinto il Premio Pulitzer nel 1985.

4 (NdT) “La generazione più grande”.

5 (NdT) Per maggiori informazioni sull’autore di “After the Reich”, Giles MacDonogh, vedi:

http://www.macdonogh.co.uk/experience.htm

6 (NdT) “Nazi” nell’originale. Il traduttore – per principio - non usa la parola “nazista”.

7 (NdT) Vedi: http://www.macdonogh.co.uk/experience-books.htm...

8 (NdT) L'accordo (Potsdam Agreement) fra Gran Bretagna, Stati Uniti ed Unione Sovietica fu stipulato durante la Conferenza di Potsdam del 17 luglio-2 agosto 1945 e fu firmato dai "soliti" Winston Churchill, Harry Truman e Josef Stalin. Chi lo desidera può consultare il bestiale diktat in lingua inglese al sito: http://www.pbs.org/wgbh/amex/truman/psources/ps_potsdam.h... 

9 Adenauer è citato in James Bacque, "Crimes and Mercies: The Fate of German Civilians Under Allied Occupation, 1944-1950" (Boston, Little, Brown and Company (Canada) Limited, 1997), pag. 119. I lettori possono consultare anche Theodore Schieder (a cura di), "The Expulsion of the German Population from the Territories East of the Oder-Neisse-Line" (Bonn, Ministero Federale degli Espulsi, Rifugiati e Vittime di Guerra

vendredi, 07 mai 2010

Wird Europa am Hindukusch verteidigt? EU verkommt zum Superzahlmeister

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Wird Europa am Hindukusch verteidigt? – EU verkommt zum Superzahlmeister

Ex: http://www.andreas-moelzer.at/

(Alb)Traum europäische Armee 

Die ersten frühen Anfänge einer europäischen Armee in den 50-er Jahren scheiterten an der Furcht der Franzosen vor einer deutschen Wiederaufrüstung. Mit dem blutigen Zerfall Jugoslawiens in den 90ern und dem immer wieder aufflackernden Kosovo-Konflikt sah die EU schließlich Handlungsbedarf und baute seit 1992 sukzessive eine europäische Sicherheits- und Verteidigungspolitik (ESVP) als Teil der Gemeinsamen Außen- und Sicherheitspolitik auf.

Die ESVP basiert auf einer Zusammenarbeit von EU und NATO mit Operationen im Rahmen der „Petersberg-Aufgaben“ (humanitäre Aufgaben und Rettungseinsätze, friedenserhaltende Aufgaben sowie Kampfeinsätze bei der Krisenbewältigung einschließlich friedensschaffender Maßnahmen). Dafür wurden eigene multinationale „schnelle Eingreiftruppen“, Eurokorps bzw. Battlegroups, bestehend aus jeweils 1.500 bis 2.000 Soldaten gegründet und eine Europäische Verteidigungsagentur eingerichtet.
 


Weltweite Kampfeinsätze

Europäische Soldaten werden zu sogenannten „Friedensoperationen“ nach Afghanistan, Bosnien-Herzegowina, Dafur, Georgien, Guinea-Bissau, Indonesien, Mazedonien, in den Gazastreifen, den Irak, den Kongo, den Tschad oder die Zentralafrikanische Republik geschickt.

Der Balkan liegt vor Europas Türen, Einsätze zur Stabilisierung dieser Region können mit sicherheitspolitischen Interessen der EU erklärt werden. Wenn jedoch EU-Staaten an der Seite Washingtons am Afghanistan-Krieg teilnehmen, ist mehr als zweifelhaft, ob Europa am Hindukusch verteidigt wird.


Die Weichen für ein Aufgehen in der NATO sind gestellt

Bis heute nicht vollständig geklärt ist das Verhältnis zwischen EU bzw. ESVP auf der einen, und der NATO auf der anderen Seite. Jedoch gibt es eine Reihe von Indizien, die darauf hindeuten, daß die europäischen Verteidigungskapazitäten in die Dienste der NATO und damit der USA gestellt werden sollen. In einem im Jänner des Vorjahres im außenpolitischen Ausschuß des Europäischen Parlaments angenommenen Berichts des französischen EU-Abgeordneten finnischer Nationalität, Ari Vatanen  über die „Rolle der NATO im Rahmen der Sicherheitsarchitektur der EU“ wird festgehalten, daß „die NATO den Kern der europäischen Sicherheit bildet und die EU über ein ausreichendes Potential verfügt, um ihre Aktivitäten zu unterstützen, so daß eine Stärkung der europäischen Verteidigungskapazitäten und eine Vertiefung der Zusammenarbeit beiden Organisationen nutzen wird“. Zudem wird ausdrücklich darauf hingewiesen, daß „94 Prozent der EU-Bevölkerung Bürger von NATO-Mitgliedstaaten sind, 21 von 27 EU-Mitgliedstaaten Verbündete der NATO, 21 von 26 NATO-Staaten EU-Mitgliedstaaten sind“. Und auch die Türkei bleibt als „langjähriger NATO-Verbündeter“ und EU-Beitrittskandidat nicht ohne Erwähnung. Eine engere Verschränkung von Nordatlantikpakt und Europäischer Union würde die Aufnahme Ankaras somit weiter beschleunigen.

Konkret ist vorgesehen, daß die EU künftig verstärkt Einsätze außerhalb Europas („out of area“) durchführt. In Art. 43 des Vertrags von Lissabon werden beispielsweise Einsätze zur Bekämpfung des Terrorismus erwähnt, die auch in Drittländern auf deren Hoheitsgebiet stattfinden können. Begründet wird die Ermächtigung zu Interventionen mit „humanitären“ Erwägungen: Schließlich gelte es, „aktiv massenhaft begangene Greueltaten und regionale Konflikte, unter denen die Menschen nach wie vor stark leiden, zu verhüten oder entsprechende Maßnahmen zu treffen“. Auffallend häufig finden regionale Konflikte und damit verbundene Greueltaten in Ländern statt, wo Bodenschätze locken (Sudan oder Kongo) oder in für den Rohstofftransport bedeutenden Regionen (z.B. Kaukasus) statt.


Weltpolizist und Superzahlmeister Brüssel

Mit der beabsichtigten Ausbildung zum Weltpolizisten kommt Brüssel einerseits der Aufforderung Washingtons nach, sich stärker militärisch zu engagieren, und andererseits deckt sich dieses Vorhaben mit Plänen des US-Verteidigungsbündnisses, die NATO zu einem weltweit tätigen Bündnis auszubauen. Der Einsatz in Afghanistan, an dem ein Großteil der EU-Mitglieder teilnimmt, ist ein Vorgeschmack dessen, wohin die Reise gehen soll. Schließlich gibt es keine Anzeichen dafür, daß der Nahe und Mittlere Osten in absehbarer Zeit zur Ruhe kommen wird, und in Afrika sowie in Zentralasien gibt es eine Reihe von politisch instabilen Staaten, die eines Tages ein „humanitäres Eingreifen“ erforderlich machen könnten.

Zudem wird die beabsichtigte Militärisierung wird die Steuerzahler noch teuer zu stehen kommen. Schließlich verpflichtet der Vertrag von Lissabon die EU-Staaten zur „schrittweisen Verbesserung ihrer militärischen Fähigkeiten“, also zur Aufrüstung. Im Vatanen-Bericht des EU-Parlaments werden „höhere Investitionen in die Verteidigung auf der Ebene der EU-Mitgliedstaaten“ und die Schaffung eines“ operationellen EU-Hauptquartiers“ gefordert.
 


Steuermillionen zur Aufrüstung

Dass eine „Friedensmission“ mit Toten und hohen Kosten verbunden ist, bringt dem deutschen Afghanistan-Einsatz viel Kritik. Wenn nun in Zeiten der Finanzkrise und des milliardenschweren griechischen Hilfspakets fast 65 Mio. für Spezialausrüstung aufgebracht werden sollen, ist dafür keine Akzeptanz bei den Bürgern vorhanden.

Ebenso wenig verständlich ist, dass das österreichische Heer, das immerhin allein im kommenden Jahr 80 Mio. einsparen soll, gleichzeitig 350 Soldaten für EU-Battlegroups verspricht. Während der Treibstoff für Heeresfahrzeuge knapp wird, Soldaten in uralten Uniformen und maroden Kasernen Dienst leisten und für die Wartung der milliardenteuren Eurofighter das Geld fehlt, werden die spärlichen Mittel für Auslandsmissionen verpulvert – Auslandseinsätze statt Heimatsicherung also.


Die geplante Unterordnung unter US-amerikanische geopolitische Interessen fällt in Washington naturgemäß auf Wohlgefallen. Aber das war nicht immer so. Als sich wegen der Hilflosigkeit Europas in den Balkankriegen in den 90er Jahren – nicht zuletzt ermuntert durch den damaligen US-Präsidenten Bill Clinton – die Europäer aufmachten, ihre sicherheitspolitischen und militärischen Kapazitäten zu verbessern, läuteten in den USA bald die Alarmglocken. Der ehemalige Vize-Außenminister Strobe Talbott befürchtete, daß eine EU-Armee „erst innerhalb der NATO zu existieren beginnt und dann zum Konkurrenten der NATO wird“. Bei einer sicherheitspolitischen Emanzipation Europas hätten die USA jedenfalls viel zu verlieren. Denn die NATO bindet, wie Zbignew Brzezinski, Nationaler Sicherheitsberater unter Jimmy Carter einmal zugab, „die produktivsten und einflußreichsten Staaten an Amerika und verleiht den Vereinigten Staaten selbst in innereuropäischen Angelegenheiten eine wichtige Stimme.“


Vor den US-Kriegskarren gespannt 

Wenn es um internationale Hilfsleistungen geht, ist die EU willkommen, ansonsten spielt sie oft nur eine Statistenrolle. Dann wird versucht, außenpolitische Ohnmacht mit Großzügigkeit zu kompensieren. Immer wieder lässt sich die Europäische Union in US-Kriege wie in Afghanistan hineinziehen. Damit läuft sie Gefahr, Geld und Ressourcen zu verlieren, die anderswo gebraucht werden. Schwerpunkt von Auslandseinsätzen sollte die Peripherie Europas sein.


Bedeutungslose EU

Das Interesse der USA beschränkt sich darauf, im Namen der Terrorbekämpfung Passagierdaten und finanzielle Ressourcen aus der EU zu pressen. Die Nichtteilnahme Barack Obamans am EU/USA-Gipfel im Mai hat – allen Träumen vom „Global Player“ zum Trotz – die weltpolitische Bedeutungslosigkeit der Europäischen Union erneut unterstrichen. Der verunglückte Vertrag von Lissabon hat nur den Weg zu einem zentralistischen Bundesstaat geebnet und die Stellung Europas in der Welt geschwächt


Nach sorgfältigem Für und Wider könnten noch Einsätze außerhalb Europas geführt werden, die etwa aus Gründen der Energie- und Rohstoffversorgung im Interesse der EU liegen. Es kann aber nicht Ziel der EU sein, US-Wirtschaftsinteressen zu verteidigen oder für amerikanische Angriffskriege den Zahlmeister zu spielen.
 

Caspar von Schrenck-Notzing, rénovateur du conservatisme

Archives de SYNERGIES EUROPEENNES - 1997

Portrait de Caspar von Schrenck-Notzing, éditeur de “Criticón”, rénovateur du conservatisme

 

schrenck.jpgSon pseudonyme est “Critilo”: ce qui a une signification profonde. En effet, “Critilo” est une figure du roman El Criticón (1651-57) de Bal­tasar Gracián. Le titre de ce roman, Caspar von Schrenck-Notzing l'a repris pour le donner à sa célèbre revue d'inspiration conservatrice, Criticón. A travers tout le roman El Criticón,  Baltasar Gracián déve­loppe une théorie du regard, où “voir” signifie réceptionner le monde avec étonnement, mais cette réception par les yeux est une toute autre chose que l'opinion du vulgum pecus: elle vise bien plu­tôt à aller dénicher, avec méfiance, les vrais visages qui se ca­chent derrière les masques, à mettre au grand jour les cœurs qui se dissi­mulent derrière les vêtements d'apparat. Ces principes d'El Criticón  sont les fils con­ducteurs qui nous permettent de juger l'œuvre pu­blicistique du Ba­ron Caspar von Schrenck-Notzing.

 

Celui-ci est publiciste, éditeur, rédacteur, maquettiste, correcteur, archiviste, excellent commentateur de l'actualité et éditorialiste dans sa revue. Depuis plus de trois décennies, Caspar von Schrenck-Notzing se consacre à mettre sur pied un réseau conservateur. Car il faut promouvoir, dit-il, la cause du conservatisme en publiant des revues, en introduisant publications et articles d'inspiration conser­vatrice dans les circuits de diffusion et dans les organes qui font l'o­pinion. Il faut promouvoir le conservatisme en créant des acadé­mies privées et des bibliothèques, des maisons d'édition, des radios, des télévisions et des agences de presse, sinon il n'y aura jamais de “renversement des opinions” en faveur d'un néo-conser­vatisme moderne. Jusqu'ici, les mouvements conservateurs ont été marqués par de longues suites de disputes entre profes­seurs sans chaires, discutant interminablement autour de chopes de bière dans leurs bistrots favoris. Rien de constructif n'en est évidemment ressorti. Aucune coopération raisonnable ne peut s'ensuivre.

 

L'œuvre de Schrenck-Notzing est surtout dirigée contre la dictature de l'opinion collective. Les contre-courants culturels, les personna­lités originales voire marginalisées et les “partisans” en marge des grandes idéologies dominantes le fascinent. Infatigable, pendant toute sa vie, Schrenck-Notzing a lutté contre la machinerie journa­listique qui jette de la poudre aux yeux, qui noie le réel derrière un écran de fumée idéologique. Ses livres, tels Charakterwäsche (1965), Zukunftsmacher (1968) et Honorationendämmerung (1973) sont devenus des classiques de la littérature conservatrice et sont... con­testataires justement parce qu'ils sont conservateurs. L'an passé, il a édité un ouvra­ge de référence essentiel, le Lexikon des Konser­vatismus (1996), excellent panorama des multiples facettes de cette mouvance con­servatrice.

 

En s'appuyant sur les écrits de Baltasar Gracián, Schrenck-Notzing nous dit: «Si, comme au XVIIième siècle, la communauté ne peut plus maîtriser le chaos, mais, au contraire, l'incarne, alors l'homme ne peut plus opposer au conformisme aveugle que la raison déchif­frante; la condition humaine se reflète bien, dans ce cas, dans la si­tuation du temps, car l'obligation de faire fonctionner son intelli­gence est en l'homme, chaotique par nature, comme un diamant au beau milieu d'un plat de méchants légumes et de vilains navets».

 

Schrenck-Notzing est né le 23 juin 1927 à Munich. Il est le fils d'un champion hippique, qui, pendant un certain temps, dirigea l'écurie des chevaux de course de l'armée. Il est aussi le petit-fils du méde­cin pionnier de la parapsychologie, Albert von Schrenck-Notzing. Et l'arrière-petit-fils de Ludwig Ganghofer.

 

Peter D. RICHARD.

(article paru dans Junge Freiheit  n°26/97).

 

mardi, 04 mai 2010

Presseschau - Mai 2010 / 01

journaux-newspapers.jpgPresseschau

Mai 2010 / 01

Einige diesmal sehr bunt gemischte Links, die bei Interesse gerne angeklickt sein möchten...

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Siegfried Gerlich im Gespräch mit Ernst Nolte (Auszug aus dem Antaios-Gesprächsband):

Gerlich: Auch Menschen einer jüngeren Generation, die es nicht eigentlich wissen können, erinnern die NPD-Aufmärsche an diejenigen der SA. Sie haben letztere in Ihrer Jugend noch erlebt. Sehen Sie Gemeinsamkeiten?

Nolte: Die SA-Männer hatten nicht den Charakter, der von vornherein abstoßend wirkte wie derjenige der NPD-Leute von heute. Die wenigsten hatten ein Aussehen, das den Bürger erschreckte; es waren Menschen, die vom allgemeinen Bild nicht allzusehr abwichen. Die braunen Uniformen dürften zwar schon wegen der Farbe manchen unangenehm berührt haben, aber unter den braunen Mützen waren doch im großen und ganzen normale deutsche Gesichter zu sehen.
Ich erinnere mich, daß ein bekannter Historiker zu mir sagte: „Wenn ein Lastwagen vorbeikam, der mit SA-Leuten besetzt war, nachdem zuvor ein Wagen voller Rotfrontkämpfer vorbeigefahren war, fühlte man sich beschützt.“ Eine der wichtigsten Ursachen für den Erfolg des Nationalsozialismus war gerade dies, daß weder die SA- noch die SS-Männer als Außenseiter oder Barbaren auftraten wie die Glatzköpfe heute. Denn zu behaupten, eine von Anfang an als verbrecherisch erkennbare Bewegung hätte in freien Wahlen die Hälfte der Stimmen eines großen Volkes gewinnen können, das noch dreißig Jahre vorher als die wissenschaftlich führende Weltmacht galt, ist absurd. Dann müßte man schon das ganze deutsche Volk als verbrecherisch bezeichnen, und das wäre in meinen Augen grotesk. Die Deutschen konnten nur unter ganz bestimmten Umständen dazu kommen, einer erst auf den zweiten oder dritten Blick als verbrecherisch erkennbaren Bewegung ihre Zustimmung zu geben. Ich bin in der Tat nicht gewillt, meine Eltern und die zahllosen Menschen ihresgleichen in einer Weise zu bekämpfen, wie das eine jüngere Generation gegenüber einer älteren Generation von Deutschen getan hat. Insofern habe ich tatsächlich von Anfang an eine Gegenposition zu der aufkommenden und dann geradezu als Generationserfahrung sich erweisenden deutschen- und nationalstaatsfeindlichen Haltung eingenommen. (...)

(Siegfried Gerlich: Im Gespräch mit Ernst Nolte. Einblick in ein Gesamtwerk, Schnellroda 2005, S. 126 ff.)

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Fettleibigkeit in den USA
Militärs fürchten um Zukunft der Armee
Zwei ehemalige US-Militärkommandeure haben ein Gesetz für gesündere Schulkost gefordert – um den Nachwuchs für die Armee zu sichern. Sie argumentieren, daß die hohe Zahl fettleibiger Kinder die Zukunft des Heers gefährde. Denn immer mehr Bewerber scheitern an Fitneßtests.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,692444,00.html

„Bombodrom“
Bundeswehr verzichtet ganz auf Truppenübungsplatz
http://www.focus.de/politik/weitere-meldungen/bombodrom-bundeswehr-verzichtet-ganz-auf-truppenuebungsplatz_aid_500865.html

Ausbildung somalischer Soldaten
Erst zur EU-Schulung, dann zu den Piraten
Von Hans-Jürgen Schlamp, Brüssel
Heikle Mission am Horn von Afrika: Die EU will 2000 somalische Soldaten ausbilden, doch viele Absolventen früherer Trainings kämpfen inzwischen für Terrormilizen oder kapern Schiffe. Sold aus US-Kassen soll die Rekruten bei der Fahne halten. Aber: Der Gegner zahlt besser.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,690914,00.html

Krieg per Mausklick
Völkerrechtler geißeln US-Drohnenangriffe
US-Drohnen töten regelmäßig Terroristen, aber auch Zivilisten in Pakistan. Bei einer Anhörung in Washington kritisierten amerikanische Völkerrechtler den Krieg per Mausklick. Die verantwortlichen CIA-Mitarbeiter könnten anderswo verhaftet und wegen Mordes angeklagt werden.
[Trifft in diesem Fall einmal doch der Satz „Soldaten sind Mörder“? Wohl eher: (CIA-)Mörder sind keine Soldaten! – Und zwar nicht allein aufgrund der fehlenden Rechtsgrundlage, sondern wegen des heimtückischen Charakters und des für die Akteure fast komplett fehlenden persönlichen Risikos dieser Tötungspraxis.]
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,691956,00.html

Apropos „persönliches Risiko“: Dieser Artikel über einen Vorfall Ende vergangenen Jahres (gewissermaßen die Ausnahme von der Regel) spricht hingegen dafür, die CIA-Mitarbeiter unter Vorbehalt doch als Kombattanten in den „neuen Kriegen“ anzuerkennen. Oder anders betrachtet: Mördermethoden werden mit Mördermethoden beantwortet (von beiden Seiten!) …
Selbstmordanschlag auf CIA-Basis
Der Attentäter kam in Uniform
Der Mann trug afghanische Armeeuniform und erregte offenbar keinen Verdacht. Dann sprengte er sich mitten im Fitneßraum einer US-Basis im Süden des Landes in die Luft. Acht Amerikaner starben – sieben von ihnen waren bei der CIA. Afghanen beklagen unterdessen zivile Opfer.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,669680,00.html

Online-Versandhandel
Amazon vertreibt Anleitungen zum Bombenbau
Von Florian Flade
Es geht um Handbücher der US-Armee. Darin werden die Funktionsweise, Herstellung und Verwendung von improvisierten Bomben, Minen, kleinen Raketen und Granaten detailliert erläutert. Diese Bücher werden vom Online-Buchhandel Amazon vertrieben. Auch Privatverkäufer bieten über Amazon brisantes Material an.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7412871/Amazon-vertreibt-Anleitungen-zum-Bombenbau.html

Libyens Staatschef
Gaddafi wirft der Schweiz Mafia-Methoden vor
Muammar al-Gaddafi setzt seinen Verbalfeldzug gegen die Schweiz fort: Im SPIEGEL-Interview warf er den Eidgenossen Terrorismus und Beihilfe zum Selbstmord vor. Lobende Worte fand er für Kanzlerin Merkel: Sie sei eine starke Persönlichkeit – aber „eher ein Mann als eine Frau“.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,692397,00.html

Jetzt auch noch Scheherazade: Zensurkampagne in Kairo
http://www.welt.de/die-welt/kultur/article7405421/Jetzt-auch-noch-Scheherazade-Zensurkampagne-in-Kairo.html

Drohende Staatspleite
CSU legt Griechenland Austritt aus Europäischer Währungsunion nahe
Die Debatte über die von Griechenland beantragte Nothilfe in Milliardenhöhe spitzt sich zu: Die CSU hat jetzt den Austritt des Landes aus der Europäischen Währungsunion angeregt. Ein solcher Schritt dürfe „nicht zum Tabu erklärt werden“, sagte CSU-Landesgruppenchef Friedrich dem SPIEGEL.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,690987,00.html

Staat vor dem Bankrott
Griechenland braucht noch mehr Geld
Es könnte alles noch schlimmer kommen: Griechenland wird mehr Geld benötigen als das Milliarden-Euro-Paket der Euroländer und des IWF. Und selbst das ist noch nicht gesichert – Finanzminister Schäuble hat Bedenken angemeldet.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,691083,00.html

Professoren wollen gegen Griechenland-Hilfe klagen
BERLIN. Mehrere Professoren haben angekündigt, vor das Bundesverfassungsgericht zu ziehen, sollte der Bundestag ein Gesetz zur Finanzhilfe für Griechenland beschließen. Eine entsprechende Klageschrift werde derzeit vorbereitet, teilte Karl Albrecht Schachtschneider, emeritierter Professor für Öffentliches Recht in Erlangen, mit.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5a0a43bd1e4.0.html

Härte vor der Wahl
Von Karl Albrecht Schachtschneider
Griechenland wird geholfen – wirklich? Nicht wegen der neugriechischen Art von Wahrheiten, aber doch wegen Griechenland überhaupt, der Wiege der Demokratie, und noch mehr wegen der Währungsunion. Wenn die Zahlungsunfähigkeit der Griechen nicht abgewandt werde, sieht man Gemeinschaftsgeld in Gefahr. Der Euro steht für „Europa“ wie einst die DM für Deutschland.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5f49098f5d1.0.html

Spanien & Co.
Volkswirte fürchten 600-Milliarden-Euro-Rechnung
Was passiert eigentlich, wenn auch Spanien, Portugal und Irland keine Kredite mehr aufnehmen können? Volkswirte haben dieses Szenario durchgerechnet – und kommen auf eine erschreckende Zahl: 600 Milliarden Euro müßten die reichen Euro-Länder für eine Rettung auf den Tisch legen. Die Experten warnen vor einer „Krisendynamik“.
http://www.welt.de/wirtschaft/article7404901/Volkswirte-fuerchten-600-Milliarden-Euro-Rechnung.html

Versailles ohne Krieg
Von Michael Paulwitz
Wo immer man anfängt, das Euro-Rettungs-Desaster zu betrachten, man landet bei jenem genial-brutal-aufrichtigen französischen Zeitungskommentar aus dem Jahr 1992: „Maastricht: „Das ist der Versailler Vertrag ohne Krieg“.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M57ace417273.0.html

Zur Kenntnisnahme (wir werden sehen, ob‘s stimmt) …
Gerald Celente sagt Finanz-Chrash für 2010 voraus
Great 2010 Crash is looming
http://www.youtube.com/watch?v=L3eJ9YpJeEI&feature=player_embedded#!

12. Januar 2010:
http://www.youtube.com/watch?v=rEZXLwAAur0&feature=channel

Gerald Celente Predicts Economic Armageddon by 2012
http://www.youtube.com/watch?v=Q2qDW34Fr64&feature=related

Gerald Celente: ,,The Greatest Depression is still to come‘‘
18 Mar 2009:
http://www.youtube.com/watch?v=F4zL8l0NTe4&feature=related

Celente: ,,We are at the early stages of a revolution‘‘
,,U.S. is a two headed one party system‘‘
,,There is no recovery, It's all a coverup‘‘
,,We are going into the greatest depression‘‘
http://www.youtube.com/watch?v=JhaEc_4zuFI&feature=channel

Gerald Celente über den Obama-Betrug
(Gerald Celente on the Obama Deception)
http://www.youtube.com/watch?v=We__qsABkpM&feature=related

Über Gerald Celente:
http://en.wikipedia.org/wiki/Gerald_Celente

Celente sagte u.a. folgende Ereignisse entweder unmittelbar oder sogar mehrere Jahre zuvor voraus:
1987: Kollaps der Sowjetunion (1991)
1987: Börsencrash von 1987
März 1997: 1997 beginnende Asienkrise
2003 (einen Monat vor Kriegsbeginn): Der Irak-Krieg wird fehlschlagen
2004: 2007 beginnende Rezession
2007: Finanzkrise (Panik) von 2008
2009: Real Estate Kollaps (2010)
http://www.trendsresearch.com/forecast.html


„Liberale Scheißer“…
Von Michael Paulwitz
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M59f9f0e8239.0.html

Bildungswerk der NPD: Der Kampf um die Köpfe und die Bescheidenheit der „Dresdner Schule“
Von Felix Menzel
„Kampf um die Parlamente“, „Kampf um die Straße“, Kampf um die Köpfe“: Dieses Drei-Säulen-Konzept der NPD bedeutete letztes Wochenende: Landesparteitag in Sachsen-Anhalt zur Vorbereitung der Wahl 2011, Demo gegen den „Elbe Day“ in Torgau und das erste Jugendseminar des Bildungswerkes für Heimat und nationale Identität im tiefen Erzgebirge. BlaueNarzisse.de hat das Seminar der parteinahen Stiftung besucht und weiß nun, was es mit der „Dresdner Schule“ auf sich hat.
Wer das Geschehen rund um die NPD nur über die etablierten Medien mitverfolgt, der dürfte nicht besonders viel Lust auf eine persönliche Begegnung mit den „Nazis“ haben. Doch dann kommt alles ganz anders: An der Tür macht ein recht dürrer, 30jähriger junger Mann in blauen Jeans auf. Keine Begrüßung mit dem Hitler-Gruß, dafür gibt es erstmal einen Kaffee und dann noch einen zweiten, weil die Hälfte der Seminarteilnehmer zu spät kommt.
http://www.blauenarzisse.de/v3/index.php/gesichtet/1565-bildungswerk-der-npd-der-kampf-um-die-koepfe-und-die-bescheidenheit-der-dresdner-schuleq

Demokratische Bürgermeisterwahl fällt in Anklam leider aus
Dafür findet am 25.April eine Ersatzveranstaltung auf DDR-Art statt.
http://www.npd-mv.de/index.php?com=news&view=article&id=1900&mid=7

Staatlich gefördertes Denunziantentum …
Meldeformular, über das die ARUG – Arbeitsstelle Rechtsextremismus und Gewalt, vielfach gefördert im Bundesprogramm „Vielfalt tut gut“, anonym über „rechtsextreme Aktivitäten“ informiert werden kann – Denunziation im Hier und Heute ...
http://arug.de/melden.php

Da werden wohl einige Mafiabosse in der Vergangenheit ein mildes Urteil erhalten haben ...
Ukraine
Richterin schmeißt 400.000 Euro teure Party
http://www.spiegel.de/panorama/0,1518,690899,00.html

Berlin droht Wochenende der Gewalt
BERLIN. Der deutschen Hauptstadt steht ein dramatisches Wochenende bevor. Rund 6.000 Polizisten aus mehreren Bundesländern sind zusammengezogen worden, um am 1. Mai gegen gewalttätige Demonstranten vor allem aus dem linksextremen Spektrum vorzugehen.
Berlins Innensenator Ehrhart Körting (SPD) räumte ein, es bestehe das Risiko von Gewaltexzessen, die denen des Jahres 2009 ähnelten. Dennoch bekräftigte der Senator im RBB-Inforadio, die Sicherheitskräfte seien „gut aufgestellt“.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M56045d4c071.0.html

Mai-Randale: Polizeigewerkschaft warnt vor Tötung von Beamten
http://www.spiegel.de/video/video-1062142.html

Schwere Krawalle befürchtet
1. Mai – Berlin zittert vor Linksautonomen und Nazis
Von Joachim Fahrun
Erstmals seit fünf Jahren wollen nicht nur Links-Autonome, sondern auch etwa 3000 gewaltbereite Neonazis wieder am Tag der Arbeit durch Berlin marschieren. Innensenator Ehrhart Körting (SPD) erwartet „gewalttätige Auseinandersetzungen.“ Die Polizeigewerkschaften fürchten sogar Tote.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7396524/1-Mai-Berlin-zittert-vor-Linksautonomen-und-Nazis.html

Ortstermin
Deutschland im Mai
Von Wiebke Hollersen
In Berlin erklärt eine Stadtführung ausländischen Besuchern den Sinn der jährlichen Randale.
http://www.spiegel.de/spiegel/0,1518,691360,00.html

Walpurgisnacht extrem
Verletzte bei Ausschreitungen im Schanzenviertel
Im Hamburger Schanzenviertel sind in der Nacht zum 1. Mai bei Ausschreitungen mindestens 13 Polizisten und ein Passant verletzt worden. In Berlin blieb es vorerst friedlich, dort erwartet man allerdings heute Krawalle. Am Vormittag sollen bis zu 3000 Rechtsextreme auf noch viel mehr Gegendemonstranten treffen.
http://www.welt.de/politik/article7418888/Verletzte-bei-Ausschreitungen-im-Schanzenviertel.html

Proteste am 1. Mai
Randalierer attackieren Polizei in Hamburg
Brennende Barrikaden, 18 verletzte Polizisten, Festnahmen – in der Nacht zum 1. Mai kam es in Hamburg zu Krawallen. Gespannt ist die Lage in Berlin: Tausende Beamte versuchen seit dem Vormittag, Rechtsextremisten und linke Gegendemonstranten zu trennen.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,692411,00.html

Kritik an Homosexuellen: Konservative schließen Kandidaten aus
LONDON. Die britischen Konservativen (Tories) haben einen ihrer Kandidaten für die anstehenden Parlamentswahlen aus der Partei ausgeschlossen, weil er Homosexualität nicht für normal hält.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5ebfdcf1793.0.html

Slowakei
Chef der Nationalpartei hält Homosexualität für eine Krankheit
Gesellschaftlich inakzeptabel, ein unerwünschtes Element: Der Chef der slowakischen Nationalpartei geht mit harten Worten gegen Homosexuelle an. Jetzt hat die Partei angekündigt, eine geplante Homosexuellenparade boykottieren zu wollen. Die Drohungen sind bizarr.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,692451,00.html

Grüne fordern Adoptionsrecht für Homosexuelle
BERLIN. Die Bundestagsfraktion der Grünen hat eine Ausweitung des Adoptionsrechts auf homosexuelle Paare gefordert. Ein entsprechender Gesetzesentwurf soll die angebliche „Diskriminierung“ aufheben. „Lesben und Schwule sind genauso verantwortliche Eltern wie andere Menschen auch“, heißt es in der Begründung.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5e26cfe67e0.0.html

ZDF-Film
Historische Fakten im „Dutschke“-Drama gefälscht
Von Sven Felix Kellerhoff
Rudi Dutschke war ein umstrittener Mann – von der 68er-Generation geliebt, von den Konservativen gehaßt. Das ZDF zeigt nun mit langer Verspätung sein Dokudrama „Dutschke“. Der Film ist nicht nur wegen seines Inhalts umstritten, denn die Macher haben auch historische Fakten nachweisbar manipuliert.
http://www.welt.de/fernsehen/article7340948/Historische-Fakten-im-Dutschke-Drama-gefaelscht.html

In der Birthler-Behörde findet eine großangelegte Unterlagenvernichtung statt. Kritiker bezweifeln, daß das entsorgte Stasi-Material wirklich unbrauchbar ist.
von Jeanette Tust
http://jungle-world.com/artikel/2010/16/40775.html

Speziallager
Als Stalins Terror nach Deutschland kam
Von Christian Hacke
Nach Ende des Zweiten Weltkriegs ließ Diktator Josef Stalin in der Sowjetisch Besetzten Zone Tausende in Speziallager stecken. An deren Schicksal erinnert Bettina Greiner in ihrem Buch „Verdrängter Terror“. Obwohl es Unterschiede zu Hitlers KZs gab, waren die Konsequenzen für die Häftlinge ähnlich grausam.
http://www.welt.de/kultur/literarischewelt/article7409302/Als-Stalins-Terror-nach-Deutschland-kam.html

Lesenswerte Rezension (schon ein etwas älterer Artikel) …
Stefan Scheil über Churchill
Vor einer Woche bekam ich Stefan Scheils neuste Studie in der Reihe „Zeitgeschichtliche Forschungen“: Churchill, Hitler und der Antisemitismus. Die ruhigen Abende meines Kurzurlaubs nutzte ich und habe bereits angefangen zu lesen. Für mich besonders faszinierend ist darin die Beschreibung des Netzwerks „Focus“: Eine Gruppierung, die ab 1936 mit Hilfe von parlamentarischem und öffentlichem Druck einen Politikwechsel in England erzwingen will – weg von [vermeintlichem] „Appeasement“ hin zu Churchill.
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=10121

Landung in der Normandie
Als die US-Army an der Waffen-SS fast verzweifelte
Von Jacques Schuster
Im Juni 1944 war Frankreich die Großmetzgerei des Zweiten Weltkriegs. In seinem Buch „D-Day“ beschreibt Historiker Antony Beevor die Landung der Alliierten in der Normandie äußerst kenntnisreich und zeigt: Die alten Kämpen der Waffen-SS machten es den jungen US-Soldaten äußerst schwer [nicht nur die alten, sondern gerade auch die ganz jungen der Division „Hitlerjugend“ …].
http://www.welt.de/kultur/article7373643/Als-die-US-Army-an-der-Waffen-SS-fast-verzweifelte.html

Ein WELT-Leser schreibt treffend:
Also gut, wenn mein Hinweis wegzensiert wird, die Angehörigen der 12. SS-Panzerdivision „Hitlerjugend“ hätten sich hauptsächlich aus dem Jahrgang 1926 rekrutiert und diese Division sei in der Normandie zentral gewesen (etwa bei der Schlacht um Caen, wo sie den Alliierten herbe Verluste beibrachte), deswegen könne man nicht per se von „alten Kämpen“ sprechen, dann stelle ich jetzt ausdrücklich und für die heilige Geschichtsinqui.... ähhh den Zensor deutlich erkennbar fest: ich widerrufe und bekenne: 18jährige sind alte Kämpen!

Die Behauptung, daß es während der Kämpfe in der Normandie mehr deutsche als alliierte Kriegsverbrechen gab, darf man getrost bezweifeln …
Schreie in der Kraterlandschaft
Der D-Day war die größte Landungsaktion der Geschichte, nun sind neue, blutige Details der Aktion bekanntgeworden: Ein britischer Autor hat die Invasion in der Normandie von 1944 rekonstruiert und ist dabei auf zahlreiche Kriegsverbrechen gestoßen – auch durch die Alliierten. Von Klaus Wiegrefe
http://einestages.spiegel.de/external/ShowTopicAlbumBackground/a7901/l8/l0/F.html#featuredEntry

Sehenswerte private Filmaufnahmen eines deutschen Gebirgsjägers aus dem Zweiten Weltkrieg:
Kameraden unterm Edelweiß
http://www.youtube.com/watch?v=QC5hVvlB_D4&feature=related

Bei der Vertreibung von ca. 12 bis 15 Millionen Deutschen aus den Ostgebieten und den deutschen Siedlungsgebieten in Ost- und Südosteuropa starben etwa 2,5 Millionen von ihnen. Viele Familien verloren dadurch ihre Angehörigen. Zudem wurden viele Familienangehörige voneinander getrennt, so daß noch die Möglichkeit bestand, daß sich Angehörige wiederfinden konnten.
Hier einige bewegende Filmaufnahmen, in denen sich die Kinder kurz vorstellten konnten, die ohne Eltern aufgefunden wurden. „Kinder suchen ihre Eltern“.
http://www.youtube.com/watch?v=qEnETcyntjQ&feature=player_embedded

STUDIE ZUM WELTKRIEG
Finnen kooperierten enger mit Nazis als gedacht
http://www.welt.de/kultur/article4583940/Finnen-kooperierten-enger-mit-Nazis-als-gedacht.html

Bisher größte Ausstellung zu Zwangsarbeit
http://www.neues-deutschland.de/artikel/170192.bisher-groesste-ausstellung-zu-zwangsarbeit.html

10 Jahre Stiftung „Erinnerung, Verantwortung und Zukunft“
Stiftung EVZ fördert die bislang umfassendste Dokumentation zur NS-Zwangsarbeit
http://www.juedische.at/TCgi/_v2/TCgi.cgi?target=home&Param_Kat=3&Param_RB=4&Param_Red=12983

Hanau
„Stolpersteine“ sollen auf Steinheimer Gehwegen an ermordete Juden erinnern
Messing des Anstoßes
http://www.op-online.de/nachrichten/hanau/messing-anstosses-729795.html

Hanau
Namenstafeln der im Nationalsozialismus ermordeten Hanauer sollen offiziell eröffnet werden
Mahnmal nimmt Gestalt an
[Diese Initiative geht übrigens auf die örtliche CDU zurück]
http://www.op-online.de/nachrichten/hanau/mahnmal-nimmt-gestalt-729796.html

ABSCHLIESSENDER BEFUND
Hitler war nicht geisteskrank – medizinisch gesehen
http://www.welt.de/kultur/article5402073/Hitler-war-nicht-geisteskrank-medizinisch-gesehen.html

KOMMENTIERTE AUSGABE
Adolf Hitlers „Mein Kampf“ wird wieder erscheinen
http://www.welt.de/kultur/article6242188/Adolf-Hitlers-Mein-Kampf-wird-wieder-erscheinen.html

Künftige Sozialministerin Niedersachsens
Aygül Özkan gegen Türkei-Kurs der CDU
Am Dienstag wird Aygül Özkan (CDU) als Sozialministerin von Niedersachsen vereidigt. Schon vorher bezieht die erste muslimische Ministerin Deutschlands deutlich Stellung: Özkan ist gegen Kruzifixe und Kopftücher an Schulen und weicht vom Türkei-Kurs ihrer Partei und der Kanzlerin deutlich ab.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7315058/Ayguel-Oezkan-gegen-Tuerkei-Kurs-der-CDU.html

Neue türkischstämmige Ministerin
Özkan löst Kruzifix-Streit in der Union aus
Aygül Özkan ist gegen das Kruzifix an staatlichen Schulen – Parteifreunde laufen deshalb Sturm gegen die künftige niedersächsische Ministerin. Die Muslimin solle sich überlegen, ob sie in der richtigen Partei sei. Auch Niedersachsens Ministerpräsident Wulff distanziert sich von seinem Shooting-Star.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,691140,00.html

Designierte CDU-Ministerin eckt an – und „entschuldigt“ sich
HANNOVER. Die designierte niedersächsische Sozialministerin Aygül Özkan (CDU) hat sich für ihre Aussage, wonach christliche Symbole nicht in öffentliche Schulen gehörten, entschuldigt. Ein entsprechendes Interview sei von ihr „voreilig und ohne ausreichende Kenntnisse des Landes Niedersachsen gegeben“ worden, berichtete Welt Online.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M50d9b06ff8f.0.html

Kruzifix-Streit
Wulff distanziert sich von Neu-Ministerin Özkan
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7331188/Wulff-distanziert-sich-von-Neu-Ministerin-Oezkan.html

Islamkritik sorgt für Proteste im Hessischen Landtag
WIESBADEN. Islamkritische Äußerungen des stellvertretenden CDU- Fraktionschefs im Hessischen Landtag, Hans-Jürgen Irmer, haben heftige Reaktionen ausgelöst. Die Koalitionsparteien CDU und FDP distanzierten sich „sehr klar und deutlich und geschlossen“ von Irmers Aussagen, zitiert die Frankfurter Allgemeine Zeitung den CDU-Fraktionsvorsitzenden Christean Wagner.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5e7e990cd11.0.html

CDU-Abgeordneter
Landtag mißbilligt Irmers Islam-Diffamierung einmütig
http://www.faz.net/s/Rub5785324EF29440359B02AF69CB1BB8CC/Doc~E9CA56E35E4634375BB1FEE333BAB7967~ATpl~Ecommon~Scontent.html

CDU-Rechtspopulist Irmer
Über das Ziel hinaus
http://www.faz.net/s/Rub594835B672714A1DB1A121534F010EE1/Doc~E940512EBBE104AECB27843C7192ECEFC~ATpl~Ecommon~Scontent.html

Ausländerbeiräte: „Irmer entschärfen“
http://www.wiesbadener-kurier.de/region/rhein-main/8829653.htm

Nun auch bereits politisch korrekt ...
Piratenpartei Hessen fordert Ordnungsmaßnahmen gegen Irmer
http://www.bad-vilbeler-events.de/Article17476.html

NRW-Wahl
Migranten und Muslime treten mit Protestpartei an
Von Till-Reimer Stoldt
Bei der Landtagswahl in NRW tritt mit dem „Bündnis für Innovation und Gerechtigkeit“ (BIG) die bundesweit erste Migrantenpartei an. Altparteien schimpfen, damit werde der Integration geschadet. Die Mitglieder hingegen sehen sich als integrationspolitische Helfer, erklärt Parteichef Haluk Yildiz.
http://www.welt.de/politik/nrw-wahl/article7413829/Migranten-und-Muslime-treten-mit-Protestpartei-an.html

Südländischer Rocker von den Hells Angels Turkey verletzt Passanten, der ihn „falsch angesehen“ hatte, mit dem Messer …
Streit an roter Ampel
Hells Angels Rocker sticht Fußgänger nieder
Berlin – Jetzt ist es passiert. Ein Berliner Gewalt-Rocker (23) stach einen harmlosen Fußgänger (27) nieder. Ein nichtiger Streit an einer roten Ampel, der blutig eskalierte.
Erst sah es aus wie eine neue Runde im Krieg der Rocker. Denn seit Monaten liefern sich Hells Angels und Bandidos in Berlin ihre Machtkämpfe. Es gibt viele Verletzte und sogar einen Toten.
Aber dieses Opfer jetzt hat nichts mit der Szene zu tun. Der Mann stand einfach nur mit einem Freund am Platz der Stadt Hof (Neukölln) an einer roten Ampel. Sie guckten bewundernd auf die glänzenden Maschinen der anrollenden Rocker, als einer gleich durchdrehte.
„Was guckst du so“, brüllte er. Dem Fußgänger war der Spruch zu blöde, er winkte nur ab. Da zog der streitsüchtige Höllenengel ein Messer. Der Neuköllner hatte Glück und wurde nur am Arm verletzt.
Die Polizei schnappte in einem Großeinsatz den Blut-Rocker an der Joachimsthaler Straße (KURIER berichtete). Er ist einer der Ex-Bandidos, die Anfang Februar zu den Feinden übergelaufen waren. Die Männer gelten als unkontrollierbar und aggressiv, gehören jetzt zur südländischen Untergruppe Hells Angels Turkey. Der Stecher kam vor den Haftrichter.
http://www.berlinonline.de/berliner-kurier/berlin/hells_angels_rocker_sticht_fussgaenger_nieder_berlin/293285.php

Verkehrsrowdy gefaßt
AUGSBURG/INNENSTADT – Gestern abend gegen 19.00 Uhr parkte ein türkischer Verkehrsteilnehmer verbotswidrig im Halteverbot im Bereich einer Bushaltestelle.
Ein heranfahrender Linienbus wollte in die Bushaltestelle einfahren, um Fahrgäste aussteigen zu lassen. Obwohl der Busfahrer den Falschparker ansprach, zeigte dieser keine Reaktion. Der Geschädigte wollte sich daraufhin dessen Kennzeichen notieren. Der Pkw-Fahrer gab plötzlich Gas und fuhr den Omnibusfahrer an, wodurch dieser leicht am Knie verletzt wurde. Der Unfallfahrer setzte seine Fahrt fort, ohne sich um den Verletzten zu kümmern. Die herbeigerufenen Polizeibeamten konnten den 37jährigen Täter ausfindig machen.
Ihn erwartet nun ein Strafverfahren wegen gefährlicher Körperverletzung und einem gefährlichen Eingriff in den Straßenverkehr.
http://www.polizei.bayern.de/schwaben/news/presse/aktuell/index.html/114590

Und das macht die „Augsburger Allgemeine“ daraus …
Falschparker fährt Busfahrer an
Ein 37jähriger hat am Donnerstagabend in der Augsburger Innenstadt mit seinem Pkw einen Busfahrer angefahren und sich aus dem Staub gemacht. Der Verkehrsrowdy parkte zuvor laut Polizei verkehrswidrig an einer Bushaltestelle.
Obwohl der Busfahrer den Falschparker ansprach, zeigte dieser keine Reaktion. Der Geschädigte wollte sich daraufhin dessen Kennzeichen notieren. Der Pkw-Fahrer gab plötzlich Gas und fuhr den Omnibusfahrer an, wodurch dieser leicht am Knie verletzt wurde.
Der Unfallfahrer setzte seine Fahrt fort, ohne sich um den Verletzten zu kümmern. Die herbeigerufenen Polizeibeamten konnten den 37jährigen Täter ausfindig machen. Ihn erwartet nun ein Strafverfahren wegen gefährlicher Körperverletzung und einem gefährlichen Eingriff in den Straßenverkehr. AZ
http://www.augsburger-allgemeine.de/Home/Lokales/Augsburg-Stadt/Lokalnews/Artikel,-Mit-Absicht-Busfahrer-angefahren-_arid,2128391_regid,2_puid,2_pageid,4490.html

Sport soll einfach Sport bleiben!
Ist das Bernsteinbad Ückeritz ein Hort von „Gewalt und Rassismus“?
http://www.npd-mv.de/index.php?com=news&view=article&id=1906&mid=7

Multi-Kultopia in Kleingärten
http://www.npd-mv.de/index.php?com=news&view=article&id=1897&mid=7

Schläger attackiert 64jährige in U-Bahn – keiner hilft
Eschersheim. Am gestrigen Montag mittag ist eine Frau Opfer eines U-Bahn-Schlägers geworden. Das Schockierende: Keiner der zahlreichen Fahrgäste versuchte, der bedrängten Frau beizustehen.
Die Seniorin war an der Haltestelle „Am Lindenbaum“ in die Bahn der Linie U1 eingestiegen und hatte sich auf den freien Platz neben einen jugendlichen Fahrgast gesetzt. Dabei trat sie dem Mann versehentlich gegen den Fuß. Obwohl sich die Frau sofort entschuldigte, reagierte der Fahrgast extrem aggressiv und beschimpfte die 64jährige auf das übelste. An der Haltestelle „Hügelstraße“ schlug er, bevor er ausstieg, der Frau auch noch mit der flachen Hand ins Gesicht.
Durch die Wucht des Schlages fiel die Brille der Frau auf den Boden. Die Frau erlitt einen Schock und mußte ambulant behandelt werden. Keiner der Fahrgäste in der U-Bahn war eingeschritten, um der Frau zu helfen oder wenigstens die Polizei zu alarmieren.
Der Schläger wird als etwa 18 Jahre alt und 170 cm groß beschrieben. Er hatte schwarze kurze Haare, dunklen Teint und war mit einer schwarzen Bomberjacke und einer hellen Hose bekleidet.
http://www.fnp.de/fnp/region/lokales/schlaeger-attackiert-64jaehrige-in-ubahn-keiner-hilft_rmn01.c.7618149.de.html

In die Flucht geschrien
Dietzenbach (cz) ‐ Der laute Schrei einer 51jährigen hat am späten Dienstagabend einen jungen Mann in die Flucht geschlagen.
Der etwa 20jährige, bei dem es sich laut Polizei um einen schlanken Südländer gehandelt haben soll, hatte die Dietzenbacherin kurz vor Mitternacht ab der S-Bahn-Station Mitte verfolgt. Im Gustav-Heinemann-Ring drückte er sie gegen ein Auto und versuchte, den Rucksack zu öffnen und dann zu entreißen. Als die Frau um Hilfe rief, rannte der Täter wieder in Richtung S-Bahnhof. Bekleidet war der 1,75 Meter große Mann mit einer hellen „Schlabberhose“ und einem gelben Kapuzenshirt mit Aufnäher auf der Rückseite; zudem trug er eine dunkle Umhängetasche.
http://www.op-online.de/nachrichten/dietzenbach/flucht-geschrien-737805.html

Jung, männlich, südländisch
Von Anni Mursula
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M52008f5981e.0.html

Da wüßte man gerne mehr …
Frankreich
Schüler (13) rammt Lehrer Messer in den Bauch
http://www.saarbruecker-zeitung.de/aufmacher/saarland-ticker/saarlorlux/Aumetz-Thionville-lehrer-schueler-heft-messer-bausch-couteau-%E9cole-%E9l%E8ve-h%F4pital;art239497,3276203

Belgien verbietet Vollverschleierung muslimischer Frauen
http://www.tagesschau.de/multimedia/video/video696730.html

„Mobiles Gefängnis“
Koch-Mehrin will europaweites Burka-Verbot
Auch in Deutschland sollen Burkas verboten werden, zumindest nach Ansicht der FDP-Politikerin Silvana Koch-Mehrin. Die Vizepräsidentin des europäischen Parlaments fordert ein Verbot des Ganzkörperschleiers in ganz Europa. Die vollständige Verhüllung sei ein aufdringliches Bekenntnis zu Werten, die man in Europa nicht teile.
http://www.welt.de/politik/article7419075/Koch-Mehrin-will-europaweites-Burka-Verbot.html

Die Europäer wären untröstlich …
Wegen Burka-Verbot
Prediger fordern Muslime zur Auswanderung auf
Unter islamischen Geistlichen stoßen die Pläne Frankreichs und Belgiens für ein Verbot der Burka auf Unverständnis. Prediger in konservativen arabischen Staaten sprechen von mangelnder Toleranz. Ein saudischer Prediger forderte die Betroffenen auf, sie sollten „das Land des Unglaubens verlassen“.
http://www.welt.de/politik/article7412544/Prediger-fordern-Muslime-zur-Auswanderung-auf.html

Für den „Spiegel“ sind BNP-Wähler „Ratten“ …
Wahlkampf in Londoner Arbeiterviertel
Angriff der Rattenfänger
Von Carsten Volkery, London
Jahrzehntelanger Labour-Klüngel, hohe Einwanderung und Wohnungsmangel sorgen im Londoner Arbeiterbezirk Dagenham für miese Stimmung. Erstmals könnte dort die rechtsradikale British National Party die Macht übernehmen – auch wegen der Fehler der Labour-Partei.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,690678,00.html

Rechtsradikale punkten in England
STOKE-ON-TRENT (alm) In Stoke-on-Trent sind Großbritanniens Rechtsextremisten auf dem Vormarsch. In der einst für ihre Keramik- und Porzellanprodukte berühmten Stadt mit 240.000 Einwohnern tobt ein erbitterter Kampf zwischen der schwachen Labour-Partei und der erstarkenden „British National Party“ (BNP).
http://nachrichten.rp-online.de/wissen/rechtsradikale-punkten-in-england-1.73839

Wahlkampf in Großbritannien
Mutlos in Luton – die Kompaßnadel zittert
http://www.faz.net/s/RubDDBDABB9457A437BAA85A49C26FB23A0/Doc~E2866575ADF2B48AC80D583091E1A5430~ATpl~Ecommon~Scontent.html

Großbritannien
Browns Patzer könnte Labour die Wahl kosten
Von Thomas Kielinger
Nur noch eine Woche bleibt dem britischen Premier Gordon Brown, um die Wähler auf seine Seite zu holen. Seine Labour-Partei steht in Umfragen nicht gut da, jetzt hat Brown auch noch eine Wählerin beschimpft. Das gibt womöglich den Ausschlag dafür, daß es bei der Wahl für Labour noch schlimmer kommt als gedacht.
http://www.welt.de/politik/ausland/article7398900/Browns-Patzer-koennte-Labour-die-Wahl-kosten.html

Ein deutsches Geheimnis
Ulrich Raulffs „Kreis ohne Meister“ folgt Stefan Georges Spuren bis in die suspekt gewordenen protestantischen Eliten
http://www.freitag.de/kultur/1015-ein-deutsches-geheimnis

Türkei
Dreijährige von Schülern vergewaltigt und ertränkt
Acht Schuljungen sollen in der Türkei eine Dreijährige vergewaltigt und ermordet haben. Die Polizei ermittelt gegen die 13- und 14jährigen außerdem im Fall eines Zweijährigen, der verschleppt, mißbraucht und schwer verletzt wurde.
[Was sind das nur für Menschen? Taten einzelner Perverser kommen natürlich überall vor. Aber so etwas?]
http://www.faz.net/s/Rub77CAECAE94D7431F9EACD163751D4CFD/Doc~EEA0C16F230B84502B13497092279EC25~ATpl~Ecommon~Scontent.html

Golf von Mexiko
US-Regierung erklärt Ölpest zur nationalen Katastrophe
Von Jens Lubbadeh
Das Umweltdesaster im Golf von Mexiko nimmt bedrohliche Ausmaße an: Fünfmal schneller als bislang bekannt strömt das Öl ins Meer. An den Küsten droht Tausenden Tieren schon bald der Tod. Die US-Regierung will die Katastrophe mit allen Mitteln bekämpfen.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/natur/0,1518,692085,00.html

Explodierte Ölplattform
Bohren bis zum Bruch
Aus New Orleans berichtet Philip Bethge
War ein Ventil defekt, haben Ölarbeiter bei Probebohrungen versagt? Experten streiten über die Ursachen für die Umweltkatastrophe im Golf von Mexiko. Die Risiken bei den Arbeiten waren bekannt, immer wieder kommt es zu schweren Unglücken – doch die Industrie hat die Probleme verdrängt.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/natur/0,1518,692427,00.html

Warnung von Astro-Physiker Hawking
Sprecht bloß nicht mit den Aliens!
Die Außerirdischen sind da draußen, darüber ist sich der an den Rollstuhl gefesselte Physiker Stephen Hawking sicher. Doch er warnt vor Euphorie: Die Menschheit solle sich besser still verhalten. Denn Aliens könnten uns Menschen allzu ähnlich sein – und kommen, um zu plündern und zu zerstören.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/weltall/0,1518,691115,00.html

Satellitenbild der Woche
Vulkanische Zeugen der Spaltung Afrikas
Unter Afrika wütet ein Schneidbrenner: Brodelndes Magma spaltet den Kontinent vom Roten Meer bis nach Mosambik, Vulkane künden vom Auseinanderbrechen des Landes. Fotos aus der Satellitenperspektive zeigen die Narben der Erde.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/natur/0,1518,692341,00.html

Negativ-Preis
Verbraucher küren Monte-Drink zum dreistesten Werbelügner
http://www.spiegel.de/wirtschaft/service/0,1518,690753,00.html

Arbeiter legen doch bisweilen eine liebenswerte Respektlosigkeit an den Tag …
Putz-Faux-Pas in Melbourne
Stadtreinigung übermalt Banksy-Graffito
http://www.spiegel.de/panorama/0,1518,691837,00.html

RCQT wieder da!
Das jungkonservative Modelabel RCQT ist wieder da. Zwar hat der Betreiber gewechselt, aber das hat dem ganzen Projekt nur gut getan. Neben vielen alten bekannten Motiven wie „Ritzen gegen rechts“ gibt es auch einige Neuheiten. Sehr ansprechend ist zum Beispiel das T-Shirt „Umgevolkt“.
Das Projekt RCQT bietet provokative Mode für ein konservatives bis rechtes Spektrum an. Im Jahr 2008 gab es den ersten Versuch, die Marke zu etablieren. Der damalige Spreadshirt-Laden wurde allerdings wegen angeblicher Verletzungen der Ethikrichtlinien geschlossen. Spreadshirt sagte damals, man wolle „politisch brisante Motive wie im rcqt-Shop, die versuchen inakzeptablen Extremismus zu kommunizieren“, nicht unterstützen.
Nun steht RCQT auf eigenen Beinen und möchte nach eigener Aussage mobil machen.
http://www.blauenarzisse.de/blog/998/rcqt-wieder-da.html

Neues „rechtes“ Modelabel ...
Ansgar-Aryan
http://www.ansgar-aryan.com/shop/

Und schon läuft die Bande der Gutmenschen wieder Amok ...
http://www.plastic-bomb.eu/cms/index.php/artikelkolumnen/aus-dem-leben/549-ansgar-aryan
http://www.netz-gegen-nazis.de/category/lexikon/ansgar-aryan
http://www.endstation-rechts.de/index.php?option=com_k2&view=item&id=1354:konkurrenz-f%C3%BCr-%E2%80%9Ethor-steinar%E2%80%9C?-modelabel-%E2%80%9Eansgar-aryan%E2%80%9C-wirbt-auf-rechtsextremem-internetportal&Itemid=406
http://joschuacohen.wordpress.com/2009/08/12/asgar-aryan-proud-to-be/
http://www.freies-wort.de/nachrichten/thueringen/seite3thueringenfw/art2402,1006353
http://forum.links-lang.de/viewtopic.php?t=1411
http://www.agst.antifa.net/index.php?menu=news&aid=311

Politisch Unkorrektes zur Überfremdungsproblematik bei „South Park“ …
Eric Cartman – Minorities in my Waterpark
http://www.youtube.com/watch?v=pXb6ikI1WJY&playnext_from=TL&videos=fg_BoVI85EE&feature=rec-LGOUT-exp_stronger_r2-2r-6-HM

Hier noch einmal zum Mitlesen und in besserer Tonqualität …
Cartman Minorities – Lyrics
http://www.youtube.com/watch?v=BvJdr_HHwYM&feature=related
http://www.youtube.com/watch?v=gAUlaI96VtU&feature=related

Sehenswertes Video mit Von-Thronstahl-Untermalung …
Vorwärts, Vorwärts
http://www.youtube.com/watch?v=NkNwk9QCQPQ

jeudi, 29 avril 2010

Presseschau - April 2010/04

germany266.jpgPresseschau

April 04/2010

Einige Links. Bei Interesse anklicken...

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(...)
Im Jahre 1966 sahen die Dinge noch anders aus. Wenn irgendein einflußreicher Deutscher für sich in Anspruch nehmen konnte, eine kritische Überprüfung und insofern eine Schwächung des überlieferten deutschen Nationalbewußtseins für unumgänglich zu halten, dann war es Konrad Adenauer. Aber als er 1966 einen Besuch in Israel machte und an einem von dem Ministerpräsidenten Eschkol zu seinen Ehren gegebenen Empfang teilnahm, brachte Eschkol wie selbstverständlich und ohne feindselige Absicht ganz Ähnliches zum Ausdruck, wie es der Denkmalplan und das Buch von Daniel Jonah Goldhagen taten, denn er artikulierte am Ende die Überzeugung, daß das deutsche Volk unter Adenauers weiser Führung den Weg zurück in die Familie der Kulturnationen finden werde. Da erhob sich Adenauer und sagte: „Ich fliege gleich zurück, Sie haben das deutsche Volk beleidigt.“
Adenauer war offenbar der Meinung, daß das deutsche Volk auch unter dem Nationalsozialismus und vermutlich sogar unter Einschluß zahlreicher Mitglieder der NSDAP eine „Kulturnation“ geblieben sei, obwohl Hitler und seine nächsten Gefolgsleute im Schatten des Krieges, aber ohne jede Einwirkungsmöglichkeit der großen Mehrheit des Volkes, ein ungeheuerliches Verbrechen begangen hatten. Der erschrockene Eschkol entschuldigte sich, und die Angelegenheit war bereinigt: Schwächung, kritische, ja schmerzliche Überprüfung des überlieferten Geschichtsbewußtseins, aber nicht dessen Vernichtung war nach Adenauers und dann wohl auch Eschkols Meinung das zu erstrebende, der Sache adäquate Ziel.

(Ernst Nolte: Historische Existenz. Zwischen Anfang und Ende der Geschichte?, München 1998, S. 658)

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Ein Opfer für das Vaterland
Von Karlheinz Weißmann
„Ein Opfer für das Vaterland“, mit diesen Worten beginnt die Todesanzeige für Nils Bruns, am letzten Wochenende im „Göttinger Tageblatt“ abgedruckt. Bruns war einer der deutschen Soldaten, die am Karfreitag in Afghanistan gefallen sind. Die Anzeige hat die Mutter in Auftrag gegeben, ein langer selbstformulierter Text, in einem unendlich traurigen, undeutlich-vorwurfsvollen Ton, unterlegt mit einer untergehenden Sonne über dem Meer.
Die Anzeige ist allerdings nicht nur ein Dokument individueller Verzweiflung angesichts des Schicksalsschlags, sondern auch der Hilflosigkeit, einer Hilflosigkeit, die im privaten wie im öffentlichen Raum greifbar wird, jedesmal wenn das Sterben unserer Männer in Afghanistan erklärt werden soll. Es mag die Zeit vorbei sein, in der von „stolzer Trauer“, „Heldentod“, dem „süßen“ Sterben für das Vaterland gesprochen wurde. Aber so wie sich das offizielle Berlin scheute, den Krieg Krieg zu nennen und von „Gefallenen“ zu reden, so fehlen ihm die angemessenen Worte, die Gesten, die Form, in der man denen Respekt erweist, die im Einsatz getötet wurden.
Diese Feststellung ist unabhängig von der Frage, wie man die Bundeswehrpräsenz in Afghanistan überhaupt beurteilt. Immerhin hat sie die Deutschen dahingehend belehrt, daß Soldaten eben keinen „Beruf wie andere auch“ ausüben; und wenn man das Interview mit Hauptfeldwebel Daniel Seibert in der letzten Ausgabe der FAS liest, die ruhige Besonnenheit, mit der er das schwere Gefecht gegen die Taliban schildert, das, was der Ernstfall dem militärischen Führer abverlangt und wie wenig ihm die Verleihung des Tapferkeitsordens bedeutet, angesichts der Mißachtung, die den Soldaten zu Hause entgegenschlägt, dann kann man nur überrascht und dankbar feststellen, daß unser Volk immer noch in der Lage ist, solche Männer hervorzubringen.
http://www.sezession.de/14095/ein-opfer-fuer-das-vaterland.html

Gedenken an die Gefallenen und Getöteten der Bundeswehr
http://soldatengedenken.de/

Kunduz-Affäre
Bundeswehr feiert Oberst Kleins Entlastung
Von Ulrike Demmer, Termez
Erleichterung in der Truppe: Die Bundeswehr hofft nach der Entlastung von Oberst Klein auf mehr Rechtssicherheit im Einsatz. Auch die Regierung atmet auf. Die Entscheidung der Bundesanwaltschaft hilft Guttenberg und Co. im Kunduz-Untersuchungsausschuß.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,689957,00.html
http://www.welt.de/debatte/kommentare/article7307767/Absurdistan-im-Kundus-Untersuchungsausschuss.html

Guttenberg: „Das ist eine sehr gute Nachricht, nicht nur für die betroffenen Soldaten, sondern für unsere Soldaten generell.“
Bundesanwaltschaft stellt Ermittlungsverfahren gegen Oberst Klein ein
http://www.tagesschau.de/multimedia/video/video689802.html

Luftschlag von Kundus
Oberst Georg Klein benötigt Personenschutz
Der für den Luftschlag von Kundus verantwortliche Oberst Klein wird bedroht und genießt deshalb Personenschutz. „Klein ist persönlich gefährdet“, sagte sein Anwalt Bernd Müssig. Wer Klein bedrohte, wollte Müssig nicht sagen. Am Montag erklärte die Bundesanwaltschaft, daß der Kundus-Angriff völkerrechtlich zulässig war.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7268914/Oberst-Georg-Klein-benoetigt-Personenschutz.html

Besuch des Isaf-Kommandeurs
General McChrystal traut den Afghanen zuviel zu
Von Thorsten Jungholt
Der Isaf-Befehlshaber in Afghanistan, US-General McChrystal, will für seine Strategie der Zusammenarbeit mit den Afghanen werben. Doch die Bundeswehr ist skeptisch. Die Soldaten haben kein Zutrauen zu ihren afghanischen Kameraden. Die meisten sind Analphabeten, viele unzuverlässig, manche gar kriminell.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7262842/General-McChrystal-traut-den-Afghanen-zuviel-zu.html

Türkischer Botschafter will Einreise erleichtern
„Weg mit der Visumpflicht“, fordert der türkische Botschafter Ali Ahmet Acet. Denn er will türkischen Bürgern die Einreise nach Deutschland erleichtern. Die bisherigen Bestimmungen entsprächen nicht dem Geist einer „privilegierten Partnerschaft“.
http://www.derwesten.de/nachrichten/Tuerkischer-Botschafter-will-Einreise-erleichtern-id2889729.html

Nordzypern
Nationalist Eroglu gewinnt Präsidentenwahlen
Bei den Präsidentenwahlen im türkischen Nordzypern hat sich der nationalistische Hardliner Eroglu gegen Amtsinhaber Talat durchgesetzt. Mit dem Sieg Eroglus schwinden die Hoffnungen auf eine Wiedervereinigung Zyperns – die Beziehungen der Türkei zur EU werden belastet.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,689706,00.html

Britische Studie
Deutschland ist das beliebteste Land auf der Welt
Von Daniel-Dylan Böhmer
Großes Lob für Deutschland. In einer von der BBC initiierten Umfrage geben die Befragten weltweit Deutschland die besten Noten. Die größte Zuneigung genießt Deutschland bei den französischen Nachbarn und in Südkorea. Die wenigsten Freunde haben die Deutschen in Pakistan, Indien und der Türkei.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7247146/Deutschland-ist-das-beliebteste-Land-auf-der-Welt.html#reqRSS

Schmutzige Bomben
Alptraum aller Abrüster
Von Markus Becker
Experten warnen vor Anschlägen mit der schmutzigen Bombe: Ein konventioneller Sprengsatz, bei dessen Explosion nukleares Material verbreitet wird, hätte verheerende Folgen. Wirksame Gegenmaßnahmen gibt es kaum – auch weil viele Regierungen die Gefahr unterschätzen.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/technik/0,1518,688443,00.html

Experimentalflug
US-Militär schickt unbemanntes Mini-Shuttle ins All
Von Markus Becker
Das US-Militär startet in eine neue Ära: Erstmals will die Luftwaffe ein unbemanntes Raumschiff in die Umlaufbahn schicken und dann vollautomatisch landen lassen. Was die „X-37B“ an Bord hat, ist geheim – Kritiker befürchten, daß sie den Beginn der Weltraumrüstung markiert.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/weltall/0,1518,690577,00.html


Google-Statistik
Wie Deutschland zum Zensur-Vizeweltmeister wurde
Sperren, löschen, Personen identifizieren: Google macht jetzt erstmals öffentlich, welche Staaten solche Anfragen stellen. Bei der Entfernung von Videos, Blogeinträgen und Suchtreffern landet Deutschland auf Platz zwei hinter Brasilien – die Gründe sind überraschend banal.
http://www.spiegel.de/netzwelt/netzpolitik/0,1518,690278,00.html

Kriminalitätsatlas
Straftäter [angeblich] auf dem Rückzug
Berlin wird sicherer, sagt der Polizeipräsident. In den letzten zehn Jahren ist die Zahl der Straftaten um 12,5 Prozent gefallen. Aber Linksextreme, Internet-Gauner und ausländische Straftäter belasten die Bilanz.
http://www.tagesspiegel.de/berlin/polizei-justiz/straftaeter-auf-dem-rueckzug/1804682.html

Belgien
Streit um Wahlrecht stürzt Regierung in die Krise
Der Konflikt zwischen Flamen und Wallonen in Belgien hat die Regierung zerbrechen lassen. Die Liberalen traten aus der Koalition aus – nach nur fünf Monaten. Regierungschef Leterme reichte seinen Rücktritt ein. Beide Volksgruppen streiten über eine Reform des Wahlrechts.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,690544,00.html

Angst vor Schuldenberg
Griechen plündern ihre Konten
Die Angst vor einer griechischen Staatspleite wächst: Laut einer Commerzbank-Studie haben die Hellenen mehrere Milliarden Euro von ihren Sparkonten abgehoben. Die Aufschläge auf Regierungsanleihen sind auf ein neues Rekordhoch geschnellt – der Euro fällt und fällt.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/0,1518,687554,00.html

Drohende Staatspleite
Griechenland bittet Euro-Länder um Finanzspritze
Jetzt ist es soweit, Griechenland kapituliert vor den Finanzmärkten: Die Regierung in Athen hat bei ihren Euro-Partnern und beim Internationalen Währungsfonds einen Antrag auf Milliardenkredite gestellt. Auch auf Deutschland kommen nun hohe Kosten zu.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,690771,00.html

Nach Griechenland-Krise
Bundesbank-Chef warnt EU vor Ansteckungsgefahr
Von A. Ettel, M. Greive, T. Kaiser und C. Schiltz
Bundesbank-Chef Axel Weber schlägt Alarm: Nach Griechenland könnten sich auch noch weitere Staaten mit dem Schulden-Virus anstecken. Das Land hatte an die EU und den Internationalen Währungsfonds appelliert und finanzielle Unterstützung verlangt. Das ruft Skeptiker auf den Plan.
http://www.welt.de/wirtschaft/article7309646/Bundesbank-Chef-warnt-EU-vor-Ansteckungsgefahr.html

Geldnote
Warum die Mafia auf den 500-Euro-Schein abfährt
Ob Bestechung, Steuerhinterziehung oder Geldwäsche – die organisierte Kriminalität setzt auf den 500-Euro-Schein. Denn der läßt sich gut transportieren. Eine Million Euro wiegen dank ihm nur rund zwei Kilo. Zum Vergleich: Eine Million US-Dollar bringen es auf zehn Kilo. Kritiker wollen den Schein deswegen am liebsten abschaffen.
http://www.welt.de/finanzen/article7280386/Warum-die-Mafia-auf-den-500-Euro-Schein-abfaehrt.html

Der freieste Staat unserer Geschichte …
Chemnitz
Amts-Mißbrauch: Neonazis werben in der ARGE
Dreiste rechtsradikale Propaganda ausgerechnet im ehemaligen „Sturm 34“-Zentrum Mittweida: Ungeniert läßt die NPD in der ARGE ihre Hetzblätter auslegen – und wird nicht daran gehindert. Das Rathaus protestiert.
http://www.sz-online.de/Nachrichten/Chemnitz/Amts-Missbrauch_Neonazis_werben_in_der_ARGE/articleid-2442495

Nicht immer die schlechteste Lösung angesichts des gegenwärtigen Politpersonals ...
US-Kleinstadt wählt Toten zum Bürgermeister
http://www.stern.de/panorama/makaberer-protest-us-kleinstadt-waehlt-toten-zum-buergermeister-1559015.html

Hexen, Jäger und Exorzisten
Von Martin Lichtmesz
Für die aktuelle Ausgabe der „Jungen Freiheit“ habe ich einen Leitartikel über Eva Hermans neues Buch „Die Wahrheit und ihr Preis“ geschrieben. Dies geschah auf Anfrage der Redaktion, und sonst hätte ich mich mit dem Fall auch nicht weiter beschäftigt. Unerwarteterweise hat mich das Buch völlig umgehauen, und mein Respekt für Eva Herman ist seither ins schier Unermeßliche gewachsen.
http://www.sezession.de/14255/hexen-jaeger-und-exorzisten.html

Nach langem Schweigen rechnet Eva Herman mit den Medien ab.
http://www.pi-news.net/wp/uploads/2010/04/Focus15_10.pdf

Linkspartei-Politikern droht Anklage
DRESDEN. Führenden Politikern der Linkspartei droht eine Anklage wegen Verstoßes gegen das Versammlungsgesetz. Hintergrund ist ihre Beteiligung an der rechtswidrigen Blockade einer genehmigten Demonstration am 13. Februar in Dresden.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M546254a6b00.0.html

Auch so etwas gibt es …
Ex-NPD-Vorstandsmitglied
Linke streitet über früheren Rechtsextremisten in eigenen Reihen
Von Björn Hengst
Er gehörte zum Führungszirkel der NPD, unterstützte die inzwischen verbotene Neonazi-Truppe „Skinheads Sächsische Schweiz“ – dann wechselte Gregor Janik zur damaligen PDS. Die braune Vergangenheit des Juristen wird jetzt zum Konfliktfall bei den Genossen.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,690650,00.html

Nach der Stadtratssitzung in Arnstadt
CDU und FDP in Arnstadt wollen keine Abwahl des „Pro-Deutschland“- Bürgermeisters, der Toleranz für Rechtsextremisten praktiziert …
http://www.hagalil.com/archiv/2010/04/17/arnstadt-2/

Antisemitischer „Kommunisten-Rap“ aus Gütersloh
Der Rapper „Makss Damage“ aus Gütersloh, der sich selbst als kommunistischen Musiker bezeichnet, hat Anfang des Jahres ein weiteres Album veröffentlicht. „Makssismuss 2010“ heißt die neue Platte, deren menschenverachtender Inhalt vor allem im Internet Jugendliche erreicht. Dem zuständigen Staatsschutz war der Haß-Rapper bislang „nicht bekannt“, sie werde nun jedoch die strafrechtliche Relevanz prüfen …
http://www.hagalil.com/archiv/2010/04/20/makss-damage/

VS: Gefahr von Linken und Mohammedanern
Der Jahresbericht des niedersächsischen Verfassungsschutzes bestätigt, was besorgte Bürger bei PI schon lange erkannt haben: Die größten Gefahren für unsere Demokratie kommen von Linken und Mohammedanern. Am rechten Rand zeigen sich dagegen „Ausfransungen“. Sollte das ein Erfolg des langjährigen Kampfes gegen Rechts sein, wäre es an der Zeit, die zur Verfügung stehenden Mittel jetzt verstärkt im Kampf gegen Links und im Kampf gegen den Islam einzusetzen.
http://www.pi-news.net/2010/04/vs-gefahr-von-linken-und-mohammedanern/

virtual reality aus Offenbach
Gespräch über Nazistrukturen in Offenbach
Neonazis mit getarnter Symbolik
[Man beachte die Leserdiskussion!]
http://www.op-online.de/nachrichten/offenbach/neonazis-getarnter-symbolik-724187.html

Beschäftigte der Ausländerbehörde nicht bedient
Café Kabale setzt Beamtin der Stadt vor die Tür
Das Café Kabale hat einer Frau ein Frühstück verweigert und sie rausgeschmissen, weil sie Mitarbeiterin der Göttinger Ausländerbehörde ist. Die Stadt sieht darin einen „Verstoß gegen das Anti-Diskriminierungsgesetz“, der zum Entzug der Gaststättenlizenz führen könnte.
http://www.goettinger-tageblatt.de/Nachrichten/Goettingen/Uebersicht/Cafe-Kabale-setzt-Beamtin-der-Stadt-vor-die-Tuer

Antirassistische Comics
Von Martin Lichtmesz
http://www.sezession.de/13977/antirassistische-comics.html

Kolonialgeschichte
Das Kanonenboot, das über die Berge kam
Kaiser Wilhelms letztes Kanonenboot wurde einst, in 5000 Kisten verpackt, nach Afrika geschafft. Fast hundert Jahre später fährt das heruntergekommene, rostige Schiff immer noch auf dem Tanganjika-See. Das Land Niedersachsen will es jetzt retten. Von Clemens Höges
http://einestages.spiegel.de/static/topicalbumbackground/7501/ritt_auf_dem_kanonenboot.html

Mariam Lau identifiziert in einem vor Dummheit und Unwissenheit strotzenden Kommentar auf Seite 1 der Druckausgabe der „Welt“ früheres deutsches Soldatentum mit „Sadismus und Herrenmenschentum“ (wohl zuviel „Inglourious Basterds“ geschaut). Aber in der Bundeswehr ist ja jetzt alles besser. Da gelingt sogar die Integration weiblicher, weicher Werte in das soldatische Selbstverständnis. Nach Ansicht von Militärexperten wie Merkel und Lau zumindest …

Kommentar
Die neuen Soldaten
Von Mariam Lau
Afghanistan rückt näher, machen wir uns nichts vor. Lange Zeit gab es eine unausgesprochene Arbeitsteilung zwischen der Bundesregierung und ihrem Volk: Die einen wollten nichts sagen, die anderen nichts hören. Die Soldaten standen dazwischen in einem Niemandsland der Sinnstiftung; ein paar Medaillen hier, ein paar aufmunternde Worte dort, aber sonst durchweg sterile Isolation. Wenn sie etwas „Echtes“ wollten, mußten sie nach amerikanischen Serien greifen.
Seit Kundus ist Leben in die Debatte gekommen. Der Tod in Afghanistan war nie so präsent in Deutschland. Bis in die Sprache der Bundeskanzlerin bei ihrer gestrigen Regierungserklärung zeigt sich: Einmal mehr in ihrer Nachkriegsgeschichte betritt die Bundesrepublik geistig-moralisches Neuland. Plötzlich ist der „soldatische Mann“ wieder da – aber er ist eben ganz anders als seine Vorgänger. Sadismus und Herrenmenschentum sind aus seinem Auftritt verschwunden; dafür gehören jetzt Verwundbarkeit, aber auch staatsbürgerliches Selbstbewußtsein, Kampfgeist und Neugier dazu. „Tapferkeit ist ohne Verletzbarkeit nicht denkbar“, hat die Kanzlerin ihnen zugerufen und vor dem Bundestag den Eid wiederholt, den jeder von ihnen sprechen muß. „Ich schwöre, der Bundesrepublik treu zu dienen“ – so hatte sie es selbst 2005 gesagt, als sie ihr Amt antrat. Das Trauern um gefallene afghanische Soldaten gehört für Merkel auch dazu.
http://www.welt.de/die-welt/politik/article7297895/Die-neuen-Soldaten.html
http://www.welt.de/debatte/kommentare/article7292709/Die-neue-Strategie-wird-noch-viele-Tote-fordern.html

Mariam Lau
http://de.wikipedia.org/wiki/Mariam_Lau

Sehenswerte Filmaufnahmen …
Amateuraufnahmen aus dem Zweiten Weltkrieg
http://www.sondereinheiten.de/forum/viewtopic.php?f=12&t=17199

Jüdischer Gottesdienst auf Hitlers Kanzel
April 1945: Militärrabbiner betete mit jüdischen Kriegsgefangenen aus Palästina und US-Soldaten am NS-Reichsparteitagsgelände …
http://www.hagalil.com/archiv/2010/04/21/reichsparteitagsgelaende/

humannews über Claus Hant: Rettung durch Erlöser? Nein danke - all we need is love
Hitler als Sucher – ein neues Buch, nur in England ...
http://www.humannews.de/beitrag.html?&tx_ttnews%5Btt_news%5D=5599&tx_ttnews%5BbackPid%5D=181&cHash=6cf16e79ca

Türken schneiden im Integrationsvergleich schlecht ab
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M51052b5a0ff.0.html

Türkei begeistert über Berufung von Özkan zur Ministerin
Die Türkei hat die Berufung der Juristin Aygül Özkan zur ersten türkischstämmigen Ministerin in Deutschland am Dienstag begrüßt. Für die in Deutschland lebenden Türken sei dies ein gutes Beispiel, daß sie es bis in höchste Positionen schaffen könnten, sagte der türkische Außenpolitiker Yasar Yakis von der islamisch-konservativen Regierungspartei AKP am Dienstag. Özkan ist in Niedersachsen neue Sozial- und Integrationsministerin. Viele Türken spürten in der deutschen Gesellschaft Fremdenfeindlichkeit, so Yakis. Sie registrierten nun aber auch, daß es diese im politischen System nicht gebe. Türkische Zeitungen berichteten gestern über die Berufung mit der Schlagzeile „Erste türkische Ministerin“. dpa
http://www.welt.de/die-welt/politik/article7268595/Tuerkei-begeistert-ueber-Berufung-von-Oezkan-zur-Ministerin.html
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,689857,00.html

Wahlkampf in NRW
SPD umwirbt Migranten
Von Lars Geiges, Köln
Sigmar Gabriel tourt durch Moscheen, Hannelore Kraft diskutiert über Integration: Die SPD in Nordrhein-Westfalen müht sich vor der Wahl verstärkt um Bürger mit Migrationshintergrund. Im bevölkerungsreichsten Bundesland sind zwei Millionen von ihnen wahlberechtigt – sie könnten den Ausschlag geben.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,689235,00.html

Nigerianische Auswanderungspolitik
http://www.pi-news.net/2010/04/nigeria-verschweizt-seine-verbrecher/

Baunatal
Streit mit Vermieter: Nur ausländische Mieter dürfen Satellitenschüssel nutzen
http://www.hna.de/nachrichten/kreis-kassel/baunatal/streit-vermieter-baunataler-will-seine-satellitenschuessel-behalten-716422.html

Überfall auf dem Bahnsteig
Jugendliche schlagen Polizisten zusammen
Von Jörg Diehl
Attacke in einem Bahnhof: Ein 16jähriger und ein 21jähriger sollen im niederrheinischen Wesel einen Bundespolizisten zusammengeschlagen haben. Der Beamte in Zivil hatte nach SPIEGEL-ONLINE-Informationen einen der Täter zuvor auf das Rauchverbot in Zügen aufmerksam gemacht.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,689871,00.html

Polizei Hamburg
Messerstecherei wegen 50 Cent: Beide Täter gefaßt
INGA HÖLTMANN
Die Tat machte sprachlos: Weil sie im Restaurant „Vagueira“ an der Langen Reihe 50 Cent für die Toilettennutzung bezahlen sollten, stachen zwei junge Männer den Kellner (23) nieder (mopo.de berichtete).
Unmittelbar nach der Tat veröffentlichte die Polizei Phantombilder der beiden Täter. Jetzt konnte sie zwei Verdächtige ermitteln: Adam C. (25) und Mohammed S. (29).
http://archiv.mopo.de/archiv/2010/20100416/hamburg/panorama/messerstecherei_wegen_50_cent_beide_taeter_gefasst.html

Offenbach
Messerstecherei in Bieber. Opfer schwer verletzt, aber nicht in Lebensgefahr
http://www.op-online.de/nachrichten/offenbach/opfer-schwer-verletzt-aber-nicht-lebensgefahr-724194.html

Der tiefe Fall des „Obama von Altona“ …
Ex-Freundin belastet Bülent Ciftlik schwer
Von Per Hinrichs
Nicole D. gesteht ihre Schuld im Scheinehe-Prozeß. Anwälte des SPD-Politikers legen Mandat nieder
Die Fallhöhe der Person Bülent Ciftlik machte der Staatsanwalt gleich zu Beginn seiner Anklage klar. Als Angeklagter sei der „Bürgerschaftsabgeordnete Bülent Ciftlik“ anwesend, verlas er dessen Beruf, und dahinter verbirgt sich schon die Geschichte des SPD-Politikers: Ein Ex-Hoffnungsträger, Ex-Parteisprecher, Noch-Abgeordneter saß gestern um 9 Uhr vor Richter Lutz Wegerich, Strafkammer 940, Saal 1.01 im Amtsgericht St. Georg. Die Staatsanwaltschaft legt dem 36jährigen zur Last, 2008 eine Scheinehe zwischen seiner damaligen Freundin Nicole D. und dem Türken Kenan T. angestiftet zu haben. Wenn sich vor Gericht kleine Dramen abspielen, dann war der erste Tag des Ciftlik-Prozesses der Auftakt zu einer Groteske.
http://www.welt.de/die-welt/vermischtes/hamburg/article7220610/Ex-Freundin-belastet-Buelent-Ciftlik-schwer.html

SPD drängt Ex-Sprecher Bülent Ciftlik zum Parteiaustritt
Am Montag gegen 21.30 Uhr ging Bülent Ciftlik aus dem Saal. An der Abstimmung seiner Parteigenossen im Ortsverein Flottbek-Othmarschen wollte er sich nicht beteiligen. Es ging um die Frage, ob ihm per Brief ein freiwilliger Parteiaustritt nahegelegt werden sollte. Von 28 Mitgliedern votierten 20 mit Ja, acht enthielten sich. Wenn es also nach der Parteibasis ginge, wäre Ciftlik bald nicht mehr Sozialdemokrat. „Wir wollen ihn nicht mehr“, sagt der neue Distriktsvorsitzende Andreas Bernau, der erst im März zu Ciftliks Nachfolger im Amt gewählt wurde. „Er behindert uns mit seinen Eskapaden nur noch in unserer politischen Arbeit“, sagte Bernau.
http://www.welt.de/die-welt/vermischtes/hamburg/article7283695/SPD-draengt-Ex-Sprecher-Buelent-Ciftlik-zum-Parteiaustritt.html

Hamburger Scheinehen-Affäre
Weiterer SPD-Politiker gerät ins Zwielicht
Von Gunther Latsch
Die Scheinehe-Vorwürfe gegen den früheren Hamburger SPD-Sprecher Bülent Ciftlik ziehen Kreise: Ermittlungsakten legen den Verdacht nahe, daß ein weiterer sozialdemokratischer Bürgerschaftsabgeordneter [türkischer Herkunft] in den Fall verwickelt sein könnte.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,690662,00.html

Geschlechterrollen
Trotz „Girls' Day“ – Mädchen wollen Sekretärin sein
Von Dorothea Siems
Die Regierung will mit Aktionen wie dem „Girls' Day“ traditionelle Geschlechterrollen aufbrechen. Doch bislang scheitert sie an den Vorlieben von Mädchen und Jungen. Die einen wollen Sekretärin, Verkäuferin oder Friseurin sein, die anderen etwas „mit Computern“ machen – und das mit großer Konstanz.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article7277226/Trotz-Girls-Day-Maedchen-wollen-Sekretaerin-sein.html

Frei von allen Klischees
Von Ellen Kositza
Das Frühjahr ist die Zeit der Frauenfeste. In heidnischen Gefilden feierte man die obskur bleibende Frühlingsgöttin Ostara und etwas später das keltische Kultfest Beltane, weithin als Walpurgisnacht bekannt. Die Christenheit begeht den Mai als Marienmonat, und auch die säkulare Gedenktagsschreibung kapriziert sich in puncto Weiblichkeitshuldigung auf die Frühlingsmonate.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M54915d9915e.0.html

Schwarz-Grün in Hamburg
Bürgerschreck von Beust
Von Florian Gathmann
Hamburgs schwarz-grüne Regierung taumelt: Der Senat muß sich wegen Rekordschulden verantworten, im Sommer steht der Volksentscheid zur Schulreform an – und nun gibt es heftigen Widerstand gegen die Erhöhung der Kita-Gebühren. Die Reaktion der Beust-Truppe? Ein trotziges „Weiter so“.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,690164,00.html

Der richtige Papst
Nur Benedikt XVI. kann die Kirche noch retten
Vor fünf Jahren wurde Joseph Ratzinger zum Oberhaupt der katholischen Kirche gewählt. Vom Mißbrauchsskandal erschüttert, erlebt sie nun die größte Krise ihrer Geschichte. Ist Benedikt gescheitert? Der Schriftsteller Martin Mosebach glaubt das Gegenteil: Der Papst, schreibt er, sei der richtige Mann am richtigen Ort.
http://www.welt.de/kultur/literarischewelt/article7245392/Nur-Benedikt-XVI-kann-die-Kirche-noch-retten.html

Mißbrauch
„Eier-Bazi“ im Odenwald
Von Hannelore Crolly
Anbaggern auf der Klassenfahrt, wecken mit „Eier-Bazi“ und Analverkehr mit Elfjährigen: Auf einer Podiumsdiskussion offenbarten prominente, ehemalige Schüler der Odenwaldschule schockierende Details aus dem Alltag des reformpädagogischen Internats. Wir dokumentieren in Auszügen.
http://www.welt.de/debatte/article7289927/Eier-Bazi-im-Odenwald.html

Der Übervater der Reformpädagogik
Päderastie aus dem Geist Stefan Georges?
http://www.faz.net/s/RubBE163169B4324E24BA92AAEB5BDEF0DA/Doc~E3B1278E540884513AD945BBE39DB7849~ATpl~Ecommon~Scontent.html

Statistik
Warum Deutschland wieder verwaldet
Von Walter Schmidt
„Deutschlands Waldfläche wächst weiter“, verkündet das Statistische Bundesamt aus Wiesbaden – jedes Jahr um eine Fläche von der Größe der Stadt Karlsruhe. Doch wie kommt es nun zu dem überraschenden Flächenzuwachs? Waren die vielen Hiobsbotschaften vom großen Baumsterben in Deutschland nur leeres Gerede?
http://www.welt.de/wissenschaft/article7275307/Warum-Deutschland-wieder-verwaldet.html

Nordamerika
Gefährlicher Pilz breitet sich in Oregon aus
Ein gefährlicher Hefepilz bereitet den amerikanischen Gesundheitsbehörden Sorgen: Im Nordwesten der USA breitet sich derzeit eine Variante aus, die Forschern bisher unbekannt war. Die Sterblichkeit unter den Infizierten ist erschreckend hoch.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/medizin/0,1518,690757,00.html

Sprachphänomen
Ausländer verändern Deutsch
Die deutsche Sprache verändert sich immer mehr durch den Einfluß von Migranten. Türkisch und Arabisch fließen in den Wortschatz ein.
http://www.focus.de/wissen/bildung/rechtschreibung/sprachphaenomen_aid_125274.html

Ein Kind ist kein Kind
Gisele Bündchen setzt auf Großfamilie: Die Brasilianerin will um jeden Preis Geschwister für ihren vier Monate alten Sohn Benjamin. Die für ein Model nicht gerade verlockenden Nebenwirkungen von Mehrfachschwangerschaften nimmt sie dafür gern in Kauf – „das ist mir vollkommen egal“.
http://www.spiegel.de/panorama/leute/0,1518,689963,00.html

Après Katyn: vers un axe Berlin-Varsovie-Moscou?

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Après Katyn : vers un axe Berlin-Varsovie-Moscou ?

Entretien avec Michel Drac par Jean-Michel Vernochet

Ex: http://www.geopolintel.fr/

Jean-Michel Vernochet - Quelles conséquences le tragique accident aérien de Katyn qui a couté la vie à l’élite polonaise d’obédience atlantiste, auront-elles sur les relations russo-polonaises ?

Michel Drac – À mon humble avis, ce n’est qu’une péripétie. L’évolution géopolitique de la Pologne, comme celle de n’importe quel État, est prédéterminée, en amont par des décisions gouvernementales relatives à un ensemble de contraintes économiques et stratégiques. Disons que le renouvellement forcé des élites polonaises va probablement accélérer les mutations futures du positionnement polonais, mais l’évolution de fond sera peu affectée. Ce n’est qu’une question de tempo.

JMV - Dans quel contexte faut-il interpréter l’amorce de rapprochement russo-polonais perceptible à Katyn ?

M.D - Depuis la chute de l’URSS, la stratégie atlantiste vise à encercler la Russie. Pour l’Alliance euratlantique il n’y a qu’un seul rival économique potentiel, la Chine, et une seule puissance géopolitique capable, en s’alliant avec Pékin, de définir un pôle de puissance rival de la puissance anglo-américaine au sein de la future gouvernance globale : la Russie. Il est donc essentiel, pour les élites de Washington (et de Londres) d’empêcher la Russie d’occuper une position centrale au sein d’une future économie continentale eurasiatique. Le point coaxial de cette grande stratégie atlantiste se trouve en Asie centrale (d’où la priorité accordée par Obama à l’Afghanistan), mais il existe une multitude de terrains secondaires (jusqu’au face-à-face Colombie – Venezuela). Une nouvelle guerre « très froide » oppose ainsi l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) à l’OTAN, l’un des champs de bataille secondaires de cette nouvelle « guerre froide » étant bien entendu l’ancien glacis soviétique.

Là, il faut empêcher la Russie de reconstituer, sous des formes nouvelles, la zone d’influence moscovite (Ukraine, Biélorussie, Pays Baltes, Pologne, Balkans et Europe danubienne). Depuis la « libération » de l’Europe de l’Est, cette stratégie s’est développée suivant trois axes principaux : instrumentaliser un nouveau « Drang nach Osten » allemand vers l’Europe danubienne ; susciter des conflits dans les Balkans en réveillant des antagonismes ancestraux et ce afin de justifier une présence militaire OTAN désormais permanente ; mettre sous contrôle les ex-républiques soviétiques, soit par une colonisation économique et une mise en endettement systématique (Pays Baltes), soit par des « révolutions colorées » fabriquées par les réseaux Soros comme en Ukraine. Tout cela n’a d’ailleurs rien de vraiment original : c’est écrit en toutes lettres dans le Grand Échiquier (1997) de Zbigniew Brzezinski, tout comme dans les travaux du Project for a New American Century (1)…

Le centre de gravité de ce dispositif est-européen était jusqu’à présent la Pologne, allié des É-U. Varsovie, à la chute du mur de Berlin en 1989, a hérité d’un impressionnant passif historique. La Russie puis l’Union soviétique ont en effet mis la Pologne sous leur talon de fer. L’alliance russe, pour Varsovie, était à ce titre impensable jusqu’à présent. Symétriquement, l’entente avec Berlin est tout aussi difficile. Même si le parti des expulsés n’existe plus depuis longtemps au Bundestag (2), il reste le souvenir de l’épouvantable occupation 1939-1944. Varsovie a donc joué, sans aucun complexe et jusqu’à présent, depuis l’effondrement soviétique de 1991, la carte américaine : intégration dans l’OTAN, bouclier anti-missiles, et cætera…

En somme, deux histoires se superposent. Il y a d’un côté l’histoire contemporaine, celle où se livre une nouvelle guerre froide, structurée par les concepts-clefs de « guerre de quatrième génération » (guerre de l’information) et de « soft power », la méthode Soros. Une guerre froide qui oppose un empire en déclin, mais agressif (l’anglosphère), à une nouvelle nation, la Russie post-soviétique encore très fragile et dont le destin reste à écrire. Et il y a d’un autre côté le souvenir d’une histoire passée, celle de la Pologne, un pays martyr. Il semble qu’en allant à Katyn, Poutine ait voulu faire passer un message aux Polonais. Ce message, c’était : la nouvelle histoire n’est pas l’ancienne histoire, la nouvelle Moscou n’est pas l’ancienne Moscou, n’ayez pas une lutte anti-impérialiste de retard. À en juger par les réactions polonaises, le message a été reçu. Varsovie vient de comprendre que dans cette « nouvelle histoire » Moscou ne sera plus forcément le prédateur, notamment parce que l’influence au sens fort (le soft power, le pouvoir invisible), a remplacé la domination comme instrument prioritaire dans le cadre de la grande stratégie hégémonique des États-Unis.

JMV - Vous faites le lien à propos de l’évolution des rapports russo-polonais avec l’intensification des relations Berlin - Moscou…

M.D - L’Allemagne pratique, depuis sa défaite en 1945, une habile politique de « suivisme » : entre 1946 et 1962, elle devient l’usine modèle du Plan Marshall. Entre 1962 et 1968, elle joue la bascule entre De Gaulle et les Américains, avec le conflit soigneusement agencé, au sein même de la droite d’affaires, entre Ludwig Erhard et Franz-Josef Strauss. Après 68, elle prend acte de l’échec gaulliste et se transforme en poste avancé de la stratégie de détente initiée par les États-Unis pour piéger l’URSS. Après 1989, Berlin se laisse encore une fois instrumenter par les É-U en se faisant déléguer – sous-traiter dirait-on aujourd’hui – par son protecteur américain, la tâche de coloniser économiquement l’Europe centrale et danubienne. Mais à partir du « sacre » de Poutine à Moscou, une nouvelle ère commence. Pendant qu’en façade, Berlin reste le protectorat soumis de la puissance anglo-saxonne, dans les coulisses, le patronat allemand s’active. Tandis que l’économie ultra-financiarisée anglo-saxonne implose, un « groupe de travail stratégique germano-russe » lancé par Vladimir Poutine et Gerhard Schröder, accompagne le travail logistique de l’industrie allemande. Là encore, il s’agit de résumer des informations disponibles par ailleurs : les statistiques du commerce et de l’investissement allemand en Russie et dans les zone d’influence russe sont éloquentes, en Biélorussie, en Asie Centrale et ailleurs. L’arrivée au pouvoir de la très atlantiste Angela Merkel n’y a pas sur le fond changé grand-chose. Pour l’instant, le développement des liens germano-russes se poursuit dans l’ambiguïté et la pénombre médiatique. Difficile à dire jusqu’à quel point ce mariage morganatique sera toléré par les Atlantistes, lesquels comptent en profiter pour introduire le cheval de Troie allemand dans une économie russe bien verrouillée par le Kremlin, ou si, tout simplement, les intérêts économiques bien compris du patronat allemand, autrement dit un pur pragmatisme, l’emportent sur toutes autres considérations. Il faut observer ce mouvement avec attention, sachant qu’il peut avoir deux significations opposées, et que le Diable sera dans les détails… ou n’y sera pas. De ce point de vue, il n’est pas surprenant que Berlin laisse Moscou pousser ses pions en Pologne. Moscou, de son côté, a laissé le patronat allemand s’implanter largement en Biélorussie. L’Allemagne, dont l’économie a été reconfigurée depuis dix ans pour s’intégrer dans celle des pays émergents, est en train de s’intégrer structurellement au projet eurasiatique. L’économie mène ici la géopolitique… La péripétie polonaise n’est de fait qu’un épisode dans un mouvement d’ensemble. L’Eurasie s’organise pour pouvoir se passer outre les exigences de la thalassocratie anglo-américaine. C’est dans cette tendance lourde que Poutine a voulu inscrire les Polonais, dissipant les fantômes d’une autre histoire, dont les enseignements sont désormais caducs. En arrière-plan, la question du gazoduc baltique, bien sûr.

JMV -Pour nous Français, il s’agit d’une bonne ou d’une mauvaise nouvelle ?

M.D - Les deux. Bonne nouvelle, parce qu’avec un axe Berlin – Moscou, via Varsovie, en construction, l’étau où l’alliance germano-américaine nous avait enfermés depuis vingt ans se desserre. En tout cas une position d’atlantisme inconditionnel sera de plus en plus difficile à tenir pour Berlin, il lui faudra tôt ou tard faire des choix. Mauvaise nouvelle, parce que l’Allemagne se met en situation de renégocier à son avantage les rapports de force au sein de l’Union Européenne. Mais le bon l’emporte tout de même. Si le rééquilibrage allemand entre atlantisme et eurasisme doit se confirmer, une fois Merkel passée de mode, nos dirigeants retrouveront sans doute une marge de manœuvre. Reste à savoir s’ils l’utiliseront. Les électeurs français feraient bien d’y réfléchir, dans l’hypothèse où les élections présidentielles opposeraient Strauss-Kahn à Villepin, en 2012.

(1) Le Project for a New American Century (PNAC) était un think-tank néoconservateur, actif dans les années 90-2000, financé pour l’essentiel par les industries américaines de l’armement et qui regroupa, sous la présidence William Clinton, les hommes qui devaient constituer l’épine dorsale de la future Administration Bush. Le PNAC recommandait en particulier le renforcement de la présence militaire étatsunienne en Europe de l’Est et du Sud-Est, à la charnière de deux théâtres d’opération : face à la Russie (préoccupation des mondialistes) et face au monde musulman (préoccupation des pro-israéliens). (2) Le parti des expulsés a représenté, jusque dans les années 60, la dizaine de millions d’Allemands chassés de Prusse, Poméranie, Silésie et Sudètes, lors de la gigantesque épuration ethnique – aujourd’hui totalement oubliée - planifiée par les soviétiques avec la collaboration du 10 Downing street dans la foulée de leur victoire en 1945.

Michel Drac est économiste, auteur de « Crise ou coup d’Etat ? » et « Crise économique ou crise du sens ? », deux ouvrages qui analysent la dépression contemporaine comme le contrecoup de l’implosion occidentale.

Jean Michel Vernochet pour Geopolintel

mercredi, 28 avril 2010

Carl Schmitt: Auf den Punkt gedacht

Carl Schmitt: Auf den Punkt gedacht

Christoph Rothämel  

http://www.blauenarzisse.de 

 

Carl_Schmitt.jpgMan möchte meinen, Carl Schmitt ist als Autor heute weniger wegen seiner Liaison mit dem Nationalsozialismus als wegen der Klarheit seiner Schriften unbeliebt. Seine unermüdliche juristische und philosophische Grundlagenarbeit, mit einem kühlen Kopf den Wörtern ihren Sinn zurückzugeben, hat sich in ein reichhaltiges Reservoir deutscher Denkkraft verwandelt. Dies erhellt dem Nachdenkenden die Struktur der modernen politischen Ideologien, sofern sie mit Begriffen wie Demokratie, Parlamentarismus, Diktatur, Souveränität, Menschheit hantieren. Der Begriff des Politischen und Die geistesgeschichtliche Lage des heutigen Parlamentarismus sind nun bei Duncker & Humblot in neuer Auflage erschienen.

 

Die Lüftung des Schleiers über der Jakobinerlogik

Wenn Schmitt die Demokratie erklärt, wird deutlich, dass ein Parlament dafür keine notwendige Voraussetzung ist. Dass die Existenz eines Parlaments von fast allen Demokraten für den Staat dennoch als solche betrachtet wird, beruht auf dem gemeinsamen historischen Siegeszug von demokratischen Idealen und liberalen Ideen und der damit verbundenen denkerischen Fehlleistung einer automatischen Verknüpfung von Demokratie und Liberalismus. Demokratie selbst hat aber zunächst keinen politischen Inhalt, sondern stellt lediglich eine Organisationsform dar.

Ihr Kerninhalt bleibt das Dogma, dass alle politischen Entscheidungen nur für die Entscheidenden gelten sollen, die Identität von Herrscher und Beherrschten. Die überstimmte Minderheit muss ignoriert werden, was aber nicht schwer fällt, da ja nach Rousseau der Wille der überstimmten Minderheit in Wahrheit mit dem der Mehrheit übereinstimmt. Auch John Locke ist der festen Überzeugung, dass in der Demokratie der Bürger auch dem Gesetz zustimmt, das nicht seinem Willen entspricht. Letztlich ist das Gesetz identisch mit der volonté générale. Und weil - ganz rousseauistisch – der Generalwille der wahren Freiheit entspricht, war der Überstimmte nicht frei.

Da jederzeit die Möglichkeit besteht, dass das Volk mithilfe von Suggestionen betrogen wurde, kann der radikale Demokrat auch die Herrschaft der Minderheit über die Mehrheit rechtfertigen, wie sie exemplarisch in den Erziehungsdiktaturen der sozialistischen Revolutionen zutage trat. Der echte Demokrat bleibt, weil er an die Demokratie als eigenen Wert glaubt, weiter Demokrat, muss aber, weil die Regierten noch nicht „reif“ sind, die Demokratie praktisch zeitweilig suspendieren ohne sie theoretisch aufzugeben. Der Kernsatz Schmitts dazu lautet: „Es scheint also das Schicksal der Demokratie zu sein, sich im Problem der Willensbildung selbst aufzuheben.“

Da das Volk, das sich zur Willensbildung nicht mehr an der Dorflinde zum Thing treffen kann, auf Ausschüsse zur Repräsentation angewiesen ist, bleibt die Frage, ob nicht auch ein einziger Vertreter den wirklichen Willen des ganzen Volkes in den Händen halten kann? Bejaht man dies, muss man Adolf Hitler als Demokrat und Diktator anerkennen. Er beanspruchte jedenfalls den Willen des Volkes zu kennen und zur Ausführung zu bringen. Auch die DDR war demnach – ganz ihrem Namen nach - ein grundsätzlich demokratischer Staat. Lediglich für oder gegen die Regierung stimmen zu dürfen ist nicht etwa undemokratisch, es ist illiberal! Das Wahlsystem der DDR war genau genommen plebiszitär. Und ein Plebiszit ist nicht undemokratisch. Die Diktatur ist eben nicht der Gegenbegriff zur Demokratie.

Parlamentarismus

Der Parlamentarismus als Ausprägung einer liberalen Auffassung von Demokratie hat Diskussion und Öffentlichkeit zur Voraussetzung. Das Parlament soll Ausschuss des Volkes sein, in dem die überall verteilten Funken der Vernunft über die Diskussion zu einer politischen Willensbildung führen. Dass dieses Konzept durch die Massendemokratie mit all ihren Konsequenzen in Frage gestellt wird, stellt Schmitt meisterhaft heraus. Weder sind die parlamentarischen Diskussionen wirklich öffentlich, noch ermutigt das politische Personal den Wähler dazu, eine gehaltvolle Diskussion neben den Partikularinteressen der Protagonisten überhaupt noch für möglich zu halten. Es ist für den heutigen Leser leicht einsichtig, dass nach den unnormalen Wiederaufbauleistungen nach dem Zweiten Weltkrieg diese Erschlaffungstendenzen des Parlamentarismus, die Carl Schmitt in der Weimarer Republik beobachte, zurückkehren.

Die Darlegungen Schmitts gehen aber noch viel weiter. Grundlegend zu wissen ist, dass Demokratie immer eine hinreichende Homogenität voraussetzt. Die zunehmende Gleichsetzung von Staat und Volk mit dem Siegeszug der Demokraten ist mithin kein Zufall, sondern die notwendige Bedingung für die Herstellung handlungsfähiger politischer Einheiten auf demokratischer Basis. Man muss daher zwingend den Schluss ziehen, dass die Demokratie durch die Heterogenisierung des Staatsvolkes, wie wir sie gegenwärtig erleben, erheblichen Gefahren ausgesetzt ist.

Unüberbietbar ist seine Feststellung, dass die Krisis des modernen Staates darauf beruht, dass eine Massen- und Menschheitsdemokratie keine Staatsform, auch keinen demokratischen Staat zu realisieren vermag. In Bezug darauf sind die Selbsttäuschungen der Gegenwart wieder enorm angewachsen.

Politische Theologie und Souveränität

Der Glaube, dass alle Gewalt vom Volke kommt, erhält in der Demokratie eine ähnliche Bedeutung wie der Glaube in der Monarchie, dass alle obrigkeitliche Gewalt von Gott kommt. Dieses Phänomen beschreibt Schmitt in einer gleichnamigen Schrift als Politische Theologie. Für ihn deutet sich an, dass das jeweils vorherrschende Weltbild und die Ausprägung der Staatsform in einem Zusammenhang stehen.

Damit verbunden finden sich die Begriffe Souveränität, als die Fähigkeit über den (politischen) Ausnahmezustand zu entscheiden, und das Politische, als die Fähigkeit Freund und Feind zu unterscheiden, wieder. Denn alles dies mündet zwangsläufig auch in die Politische Theologie, insofern das Weltbild maßgeblich die Erkenntnis der Normalität wie die Freund-Feind-Scheidungen determiniert. Angesichts eines offiziellen Kampfes gegen Rechts ist der Standardvorwurf gegenüber Schmittianern, unbilligerweise an Freund-Feind-Denkweisen festzuhalten, eine einzige an Idiotie grenzende Groteske, seitens derer, die als politischen Feind den Nazi samt seinen Wegbereitern überall zu sehen glauben.

Intellektuelle Vorwegnahme der Bundesrepublik Deutschland

Neben den grundsätzlichen Begriffsklärungen, finden sich im Gesamtwerk Schmitts auch Deutungsmuster juristischer Gestaltung imperialer Politik. Am Beispiel der besetzten Rheinlande („Die Rheinlande als Objekt internationaler Politik“ in Positionen und Begriffe, 3. Aufl., D&H) erläutert er, warum Annexionen und Protektoratsbildungen veraltete Mittel der imperialen Machtausübung sind, und wie es dem eingreifenden Staat mithilfe von unbestimmten Rechtsbegriffen wie Schutz fremder Interessen, Schutz der Unabhängigkeit, öffentliche Ordnung und Sicherheit, Einhaltung internationaler Verträge undsoweiter gelingt, die politische Existenz eines vordergründig in die Souveränität entlassenen Staates weiterhin in den Händen zu behalten.

Die herrschende Macht schafft internationale Vertragswerke, deren Auslegung sie kraft ihres Machtstatus letztendlich selbst bestimmen kann. Carl Schmitt hat damit auch die babylonische Gefangenschaft Deutschlands in ihrer heutigen Form lange vorweggenommen. Ein unerschöpflicher Fundus für alle: aber unverzichtbar für Politik- und Jurastudenten.

 

Carl Schmitt: Der Begriff des Politischen. Text von 1932 mit einem Vorwort und drei Corollarien. Broschiert. Duncker & Humblot 2009. 116 Seiten. 22 Euro.

Ders.: Die geistesgeschichtliche Lage des heutigen Parlamentarismus. Broschiert. Duncker & Humblot 2010. 90 Seiten. 18 Euro.

mardi, 27 avril 2010

Ibntroduccion a los "Dialogos sobre el poder" de Carl Schmitt

Los alemanes de ahora tienen muy poco tiempo, deben leer necesariamente Kafka,

se deben fatigar y estar siempre listos para convalecer de tanto Kafka.

Carl Schmitt a Ernst Jünger, carta del 23.01.1955 


Introducción a los Diálogos sobre el poder de Carl Schmitt

Giovanni B. Krähe / Ex: http://geviert.wordpress.com/

Recientemente se han publicado dos nuevas traducciones de las obras de Carl Schmitt: Las memorias durante la prisión luego de la Segunda Guerra, publicadas con el título Ex captivitate salus y los Diálogos sobre el poder. La primera traducción ha sido publicada por la editorial española Trotta, que tiene en su catálogo también una nueva traducción de la Teología política. El segundo libro ha sido editado por  el Fondo de Cultura Económica. Se trata de la traducción de la obra de Carl Schmitt Gespräch über die Macht und den Zugang zum Machthaber. El título de la edición castellana es: diálogos sobre el poder y el acceso al poderoso. No hace mucho estos diálogos han sido republicados también en Alemania por la editorial Klett-Cotta. Quisiéramos ocuparnos sobre este segunda novedad editorial, los diálogos sobre el poder.

Schmitt publicó  este breve libro en 1954 con el editor Neske a partir de la transcripción de un diálogo radiofónico imaginario que creó para la ocasión. La propuesta original era, en realidad, un diálogo (que no se concretizó) con el politólogo y sociólogo Raymond Aron sobre el concepto de poder. Otros posibles invitados serían los sociológos Helmut Schelsky y Arnold Gehlen. Schmitt pensó que el diálogo sobre el tema con tales invitados hubiese sido demasiado sofisticado para la idea que tenía en mente, motivo que lo llevó a decidirse por un guión de diálogo para ser  leído por dos interlocutores cualquiera, uno anciano y el otro joven. El guión original fue transmitido finalmente en una programa radial con el título “principios del poder”, el 22.06.1954. De ese guión nace el presente libro. Se trata de una obra entre la teoría política realista, la ironía sutil, y el estilo del diálogo apodíptico sobre el concepto de Poder (Macht). La teología política schmittiana está en el fondo del diálogo. Al inicio del post se puede ver la imagen de la primera edición del libro con el editor Neske (a la izquierda la edición del FCE). En la biografía de nuestro autor, los diálogos es un texto simbólico clave, porque significa el inicio de la influencia intelectual de Schmitt – desde el silencio en su casa de Plettenberg – en la reconstrucción constitucional-liberal de Alemania (se lea bien), luego de la Segunda Guerra. En efecto, algo que voluntariamente omiten los críticos, apologistas y demás engañamuchachos al paso de Carl Schmitt, cuando relatan pedagógicamente sobre la biografía o la obra del autor, es su influencia en el fortalecimiento constitucional de la Grundgesetz (la ley fundamental, la actual constitución alemana), entre otras constituciones por el mundo (la constitución israelí por ejemplo). Conceptos schmittianos claves y decisivos en la actual politología alemana – por ejemplo el concepto de konstruktives Misstrauenvotum, moción constructiva de censura* - , o en la doctrina constitucional – por ejemplo el concepto de Verfassungswirklichkeit, realidad (fáctica, material) de la Constitución -, fueron conceptos (ambos típicamente liberal-garantistas), introducidos por Schmitt en el debate especializado de la época. Ambas categorías son válidas hasta el día de hoy.

(*) Sobre el concepto de moción constructiva, la (cada vez peor) enciclopedia online Wikipedia  menciona el nombre de Schmitt curiosamente mal escrito.

Los Diálogos

Dada la importancia de este breve libro para entender el concepto y la teoría del poder que Schmitt maneja en el resto de su obra, quisiéramos proponer una breve nota introductoria a partir de una revisión nuestra, comentada, de la traducción de este libro de Schmitt, a partir de la edición original alemana.  No tenemos acceso a la nueva edición del FCE, por lo tanto vamos a revisar la traducción castellana aparecida en la Revista de Estudios Políticos, 1954, 52, Nr. 78, p. 3-20 (descargable aquí). La revista no lo menciona, pero es probable que esta primera versión española haya sido traducida por Anima Schmitt, la hija del autor. El lector que posea la nueva edición de la FCE puede comentar comparativamente la pertinencia de la versión crítica que proponemos. Al mismo tiempo nos podrá comentar si la edición del FCE es efectivamente nueva o simplemente es una copia de la versión de Estudios políticos. Esperamos que, en este caso, la gente del FCE al menos cite, dados los precedentes con la (mala) introducción al  libro Teología política.

A continuación la traducción revisada. Se tome suma atención a la versión que proponemos, puesto que notamos que las versiones castellanas (al menos esta que revisamos) no toman en cuenta las peculiaridades de la versión alemana. Ya hemos notado lo mismo con Heidegger (se medite). Se trata de (aparentes) formalismos que influyen en la compresión final del texto, a nuestro parecer. Iremos publicando poco a poco las revisiones. Siendo un guión radiofónico, al final intentaremos presentar una versión grabada del diálogo entre miembros del Geviert-Kreis.

Texto original: Carl Schmitt: Gespräch über die Macht und den Zugang zum Machthaber, Pfullingen: Neske,1954 (1).

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¿Vosotros sois felices?

¡Nosotros somos poderosos!

LORD BYRON

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PROTAGONISTAS DEL DIÁLOGO:

E.- (un joven estudiante pregunta) (2)

C. S.- (responde)

El Intermezzo puede ser leído por una tercera persona.

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E.-Antes de que hable Usted sobre el poder, tengo que preguntarle una cosa.

C. S.- Dígame, por favor, Señor E.

E.- ¿Usted mismo tiene algún poder o no tiene Usted ninguno?

C. S.- Esta pregunta es muy pertinente y justificada. Quien hable del poder debería decir previamente en que situación de poder se encuentra él mismo (3).

E.- ¡Aja! Pues bien entonces, ¿tiene Usted poder o no lo tiene?

C. S.- Yo no tengo poder. Soy de los que carecen de poder.

E.- Esto es sospechoso.

C. S.- ¿Por qué?

E.- Porque entonces probablemente estará Usted predispuesto contra el poder. Disgusto, amargura y resentimiento son peligrosas fuentes de errores.

C. S.- ¿Y si yo perteneciera a los que tienen poder?

E.- Entonces, probablemente, estaría usted predispuesto a favor del poder. También el interés por el propio poder y su mantenimiento son, naturalmente, fuente de errores.

C. S.- ¿Quién, entonces, tiene derecho a hablar sobre el poder?

E.- ¡Esto debería decírmelo Usted! (4).

C. S.- Yo diría que quizá existe aún otra posición: la de la observación y descripción desinteresadas.

E.- ¿Este sería entonces el papel del tercer hombre o de la inteligencia flotando libremente? [N.d.T. freischwebende Inteligenz] (5)

C. S.- ¡Y dale con la inteligencia! Es mejor que no empecemos con tales subsunciones. Intentemos enfocar más bien primeramente con precisión un fenómeno histórico que todos podamos vivir o padecer. El resultado se mostrará por sí mismo.

1.

E.- Hablamos, entonces, del poder que ejercen los hombres sobre los otros hombres. ¿De dónde procede realmente el inmenso poder que, pongamos por caso, Stalin, Roosevelt o cualquier otro que pueda citarse, han ejercido sobre millones de hombres?

C. S.-En tiempos pasados se hubiese podido responder: el poder procede de la naturaleza o de Dios.

E.-Me temo que hoy en día el poder ya no nos parece algo natural.

C. S.-Eso me lo temo yo también. Frente a la naturaleza nos sentimos hoy muy superiores. Ya no la tememos. Cuando nos resulta molesta, ya sea como enfermedad o como catástrofe natural, tenemos la esperanza de vencerla pronto. El hombre -por naturaleza un ser viviente débil- se ha elevado poderosamente sobre cuanto le rodea con ayuda de la técnica. Se ha hecho el señor de la naturaleza y de todos los seres vivientes de este mundo. La barrera que sensiblemente le oponía, en otros tiempos, la naturaleza -con fríos y calores, con hambres y carestías, con animales salvajes y peligros de toda índole- empieza a ceder visiblemente.

E.-Es cierto. Hoy en día no tenemos que temer a ningún animal salvaje.

C.S.-Las hazañas de Hércules nos parecen hoy poca cosa; y si hoy un león o un lobo aparecen en una gran ciudad moderna, constituiría, todo lo más, un entorpecimiento de la circulación, y apenas se asustarían los niños. Frente a la naturaleza, el hombre se siente hoy tan superior, que se permite el lujo de instalar parques protegidos.

E.-¿Y qué sucede con Dios?

C. S.-En lo que respecta a Dios, el hombre moderno -aludo al típico habitante de la gran ciudad- tiene también el sentimiento de que Dios retrocede o que se ha retirado de nosotros. Cuando surge hoy el nombre de Dios, el hombre de cultura media de nuestros días cita automáticamente la frase de Nietzsche: Dios ha muerto. Otros, aún mejor informados, citan una frase del socialista francés Proudhon, que precede de cuarenta años a la frase de Nietzsche y que afirma: Quién dice Dios quiere engañar.

E.-Si el poder no procede ni de la naturaleza ni de Dios, ¿de dónde proviene entonces?

C. S.-Entonces solo nos queda una posibilidad: el poder que un hombre ejerce sobre otros hombres procede del hombre mismo.

E.- ¡Ah! bueno, eso está mejor. Hombres lo somos evidentemente todos finalmente. También Stalin fue un hombre; también Roosevelt o quienquiera se nos ocurra citar aquí.

C. S.-Claro, eso suena realmente tranquilizador. Si el poder que un hombre ejerce sobre otros procede de la naturaleza, entonces es, o bien el poder del progenitor sobre su prole, o la supremacía de los colmillos, de los cuernos, garras, pezuñas, vejigas ponzoñosas y otras armas naturales. Pienso que podemos prescindir aquí del poder del progenitor sobre su prole. Nos queda, pues, el poder del lobo sobre el cordero. Un hombre que tiene poder sería un lobo frente al hombre que no tiene poder. Quien no tiene poder se siente como cordero hasta que, por su parte, alcanza la situación de poderoso y desempeña el papel del lobo. Esto lo confirma el adagio latino Homo homini lupus. En castellano: el hombre es un lobo para el hombre.

E.-¡Pero qué horror! ¿Y si el poder procede de Dios?

C. S.-Entonces, el que lo ejerce es posesor de una cualidad divina. Con su poder adquiere algo divino que mantiene consigo. Algo que se debería venerar, si no a él mismo, sí al poder de Dios que se da en el posesor. Esto lo confirma el adagio latino Homo homini Deus. En castellano: el hombre es un Dios para el hombre.

E.-¡Oh! ¡Esto sí que es demasiado!

C. S.- Pero si el poder no procede entonces ni de la naturaleza ni de Dios, todo lo que se refiere al poder y a su ejercicio acontece exclusivamente entre hombres. Entonces estamos los hombres entre nosotros mismos. Los posesores de poder están frente a los sin poder, los potentes frente a los impotentes. Sencillamente, hombres frente a hombres.

E.-Así es. El hombre es un hombre para el hombre.

C. S.- En efecto, lo confirma el adagio latino Homo homini homo (6).

(sigue)

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Comentarios

(1) El alemán Machthaber indica una separación entre la naturaleza del poder (Macht) y aquel que lo posee o lo representa: el detentador, el posesor (Haber) del poder. El adjetivo castellano poderoso (cfr. RAE) tiene connotaciones psicológicas (colmo, magnífico, excelente, virtuoso)  que el término alemán no posee (tampoco el término correspondiente mächtig, poderoso). Machthaber sin embargo (cfr. WAHRIG), tiene una connotación negativa en el alemán actual, relativo al poder dictatorial. Esta distinción entre el poder, su esencia, su naturaleza por un lado,  y su posesor por el otro, es muy importante para entender lo que Schmitt explicará durante todo el breve tratado sobre el poder en sus diferentes dimensiones (tres específicas, se vea más adelante). Una distinción similar se puede encontrar en el término alemán Inhaber. Este particular del término Machthaber se puede notar también en una carta del 1954 al editor Neske.  En esta carta, Schmitt comenta los posibles títulos para su breve texto. Dos títulos posibles le propone al editor: 1) Der Zugang zur Macht (el acceso al poder) 2) Raum und Vorraum menschlicher Macht (espacio y antesala del poder humano). Se note la importancia del significado espacial, local que Schmitt quiere darle al título (Zugang, acceso a ; Raum, Vorraum, lugar, espacio, antesala). Tenemos, entonces, un tercer elemento: el poder, el representante y el lugar donde esta unión se da concretamente (se vaya reflexionando las implicaciones para la teoría de la representación política). En aquella carta, Schmitt preferirá provisoriamente una combinación de las dos opciones con el siguiente título posible: Der Zugang zur Macht. Ein Gespräch über den Raum und über den Vorraum menschlicher Macht (El acceso al poder. Una diálogo sobre el espacio y la antesala del poder humano).

(2) En la edición alemana el interlocutor de Schmitt es un Jugend, un joven. Para la preparación del primer manuscrito, Schmitt grabó el diálogo con su hija Anima en una cinta magnetofónica. En aquel periodo Anima Schmitt estudiaba en Heidelberg. La idea detrás del rol de un interlocutor primerizo es poner a la prueba al jovencito de la nueva generación de posguerra (los futuros verdes, 68 y demás subculturas) que, para su gran desgracia, se pregunta y tiene que opinar sobre política (se adapte el rol al prurito posmoderno, siempre actual, del intelectual desencantado (des)comprometido).

(3) Se nos permita extender la moraleja al debate en otros posts sobre el argumento, es decir: quien tanto se llena la boca en Latinoamérica con el término ideología, análisis ideológico, poderes fácticos y demás, debería ser el primero en presentar un claro auto-análisis ideológico de sí mismo para que el lector sepa al menos desde qué lugar está analizando las relaciones de poder. Nada. Medio siglo de análisis ideológicos para ocultar la buena ideología. Si el analista no lo hace, el lector puede deducir rápidamente  con qué tipo de prestidigitadores está tratando.

(4) Usted en cursivo. Se note cómo Schmitt considera la posesión y la falta de poder, por igual, como fuentes de error (estar a favor o en contra del poder) para la compresión de la naturaleza del poder (¡genitivo subjetivo!). El poder tiene su propria dimensión, que deberá ser delimitada debidamente en el resto del texto, a partir del análisis del acceso a ella de parte del posesor. Al final, Schmitt pone puntualmente el acento con ese Usted para referirse a aquel que está planteando el problema sobre el poder ahora, es decir el joven que ha iniciado la interrogación determinando la pregunta y que ahora exige una respuesta. Se note en el texto la sutil paradoja que Schmitt (que es también el mismo joven) no responde expresamente.

(5) En el texto alemán no hay referencias a esta línea oscura. En castellano tampoco quiere decir nada por sí misma, traducida literalmente. Es muy probable que Schmitt se esté refiriendo irónicamente con esa “inteligencia flotante” al autor de Ideología y utopía, el sociólogo marxista Karl Mannheim que introduce precisamente el concepto de “freischwebende Intelligenz”. Este concepto es una especie de curiosa epoché teórica que permite al analista marxista evitar la paradoja de no ser ideológico mientras aplica su método de análisis ideológico. De esta manera puede neutralizar fácilmente a sus enemigos políticos. Sobre el “tercer hombre” es probable (por ahora una mera suposición) que Schmitt se esté refiriendo irónicamente a la obra de Graham Greene: “The Third Man” (título de un famosa película filmada en Austria, después de la Segunda Guerra).

(6) Tres tipos de genealogía del poder: Homo homini lupus, homo homini Deus y homo homini homo. Se note que Schmitt está relacionando la fenomenología del poder a partir de tres precisas dimensiones bien distintas, ya notas durante el medioevo: Dios, hombre, naturaleza (en este orden, con el hombre en medio). Se recuerde la nota al inicio del post, sobre la importancia del significado locativo en la definición de poder. Este particular también es importante para la compresión del término Nomos. A partir de estas tres precisas dimensiones Schmitt observa tres relaciones diferentes de poder: 1) en relación a Dios (poder divino), 2) en relación a otros hombres (obediencia y autoridad), 3) en relación a la naturaleza (poder técnico). Mientras que las formas de ejercer el poder en relación a la primera y a la última dimensión (aparentemente) se pierden con la modernidad, la dimensión intermedia se expresa todavía claramente bajo la forma de la protección y la obediencia. Esto no quiere decir, sin embargo, que las mencionadas dos dimensiones laterales desaparezcan sin más, atención. Precisamente es lo que hará, por ejemplo, el maestro de Schmitt, Max Weber, recuperando para nosotros el concepto de Carisma.

Arnold Gehlen et l'anthropologie philosophique

Gehlen.jpgArnold Gehlen et l'anthropologie philosophique

Ex: http://metapoinfos.hautetfort.com/

Les éditions de la Maison des sciences de l'homme viennent de publier Essais d'anthropologie philosophique,un recueil de texte du philosophe allemand Arnold Gehlen. Fondateur de l'anthropologie philosophique, sa réflexion porte sur l'homme en tant qu'"animal inachevé" (Nietzsche) mais "ouvert au monde". Considéré comme un des intellectuels conservateurs les plus importants  de XXème siècle, son oeuvre a été, jusqu'à présent, très peu traduite en français et donc largement ignorée de ce côté-ci du Rhin. Seules les éditions PUF ont publié, il y a tout juste vingt ans, un de ses ouvrages, un recueil de textes intitulé Anthropologie et psychologie sociale. Il convient aussi de noter que la revue Krisis d'Alain de Benoist a traduit un texte de Gehlen, Problèmes psychosociologiques de la société industrielle, dans son numéro consacré à la technique (n°24, novembre 2000).

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"Le premier article de ce recueil définit l'anthropologie philosophique comme la science de l'être humain, de concert avec la morphologie, la physiologie, la psychologie, la linguistique, la sociologie, etc. Science philosophique systématique et interdisciplinaire, elle est fondée sur des hypothèses exemptes de toute « métaphysique ». L’homme. Sa nature et sa position dans le monde (1940) présente les plus fondamentales. Deux articles publiés en 1951 et en 1968 leur ajoutent des éléments du pragmatisme anglo-américain et des éléments de la psychanalyse freudienne. L’idée essentielle de Gehlen est que « l’action et les transformations prévues du monde, dont la quintessence porte le nom de "culture", font partie de l’"essence" de l’être humain, et [que], à partir du point d’approche que constitue l’action, on peut en construire une science globale ».

Influencé par Kant, Herder et Fichte, mettant ses pas dans ceux de Jakob von Uexküll et de Konrad Lorenz, l’homme est selon lui une créature qui se maintient en vie par la transformation et l’amélioration permanente des données de la nature. Sa défectuosité biologique est compensée par l’invention technique. Dépourvu de « niche écologique », il s’adapte à tous les milieux, il est capable en dépit d’une pression intérieure immédiate d’ajourner son action ; cette espèce d’hiatus lui permet de la planifier, d’anticiper l’avenir.
Ces thèses ont nourri la réflexion de Jürgen Habermas, Hans Blumenberg, Ernst Tugendhat, Theodor Adorno.

Quand les pollutions, le dérèglement climatique, etc., menacent l’avenir de l’humanité, mais quand aussi s’expriment partout le souci de sa préservation, alors il est temps de découvrir l’anthropologie d’Arnold Gehlen."

The Lesson of Carl Schmitt

cs1.jpgThe Lesson of Carl Schmitt

Translated by Greg Johnson

Ex: http://www.toqonline.com/

We met Carl Schmitt in the village of Plettenberg, the place of his birth and retirement. For four remarkable hours we conversed with the man who remains unquestionably the greatest political and legal thinker of our time. “We have been put out to pasture,” said Schmitt. “We are like domestic animals who enjoy the benefits of the closed field we are allotted. Space is conquered. The borders are fixed. There is nothing more to discover. It is the reign of the status quo . . .”

Schmitt always warned against this frozen order, which extends over the Earth and ruins political sovereignties. Already in 1928, in The Concept of the Political,[1] he detects in the universalist ideologies, those “of Rights, or Humanity, or Order, or Peace,” the project of transforming the planet into a kind of depoliticized economic aggregate which he compares to a “bus with its passengers” or a “building with its tenants.” And in this premonition of a world of the death of nations and cultures, the culprit is not Marxism but the liberal and commercial democracies. Thus Schmitt offers one of the most acute and perspicacious criticisms of liberalism, far more profound and original than the “anti-democrats” of the old reactionary right.

He also continues the “realist” manner of analyzing of politics and the state, in the tradition of Bodin, Hobbes, and Machiavelli. Equally removed from liberalism and modern totalitarian theories (Bolshevism and fascisms), the depth and the modernity of his views make him the most important contemporary political and constitutional legal theorist. This is why we can follow him, while of course trying to go beyond some of his analyses, as his French disciple Julien Freund, at the height of his powers, has already done.[2]

The intellectual journey of the Rhenish political theorist began with reflections on law and practical politics to which he devoted two works, in 1912 and 1914,[3] at the end of its academic studies in Strasbourg. After the war, having become a law professor at the universities of Berlin and Bonn, his thoughts were focused on political science. Schmitt, against the liberal philosophies of the Right, refused to separate it from politics.

His first work of political theory, Political Romanticism (1919),[4] is devoted to a critique of political romanticism which he opposes to realism. To Schmitt, the millennialist ideals of the revolutionary Communists and the völkisch reveries of the reactionaries seemed equally unsuitable to the government of the people. His second great theoretical work, Die Diktatur [Dictatorship] (1921),[5] constitutes, as Julien Freund writes, “one of the most complete and most relevant studies of this concept, whose history is analyzed from the Roman epoch up to Machiavelli and Marx.”[6]

Schmitt distinguishes “dictatorship” from oppressive “tyranny.” Dictatorship appears as a method of government intended to face emergencies. In the Roman tradition, the dictator’s function was to confront exceptional conditions. But Machiavelli introduces a different practice; he helps to envision “the modern State,” founded on rationalism, technology, and the powerful role of a complex executive: this executive no longer relies upon the sole sovereign.

Schmitt shows that with the French jurist Jean Bodin, dictatorship takes to the form of a “practice of the commissars” which arose in the sixteen and seventeenth centuries. The “commissars” are omnipotent delegates of the central power. Royal absolutism, established on its subordinates, like the Rousseauist model of the social contract which delegates absolute power to the holders of the “general will” set up by the French revolution, constitutes the foundation of contemporary forms of dictatorship.

From this point of view, modern dictatorship is not connected with any particular political ideology. Contrary to the analyses of today’s constitutionalists, especially Maurice Duverger, “democracy” is no more free of dictatorship than is any other form of state power. Democrats are simply deceiving themselves to think that they are immune to recourse to dictatorship and that they reconcile real executive power with pragmatism and the transactions of the parliamentary systems.

In a fundamental study on parliamentarism, The Crisis of Parliamentary Democracy (1923),[7] Schmitt ponders the identification of democracy and parliamentarism. To him, democracy seems to be an ideological and abstract principle that masks specific modalities of power, a position close to those of Vilfredo Pareto and Gaetano Mosca. The exercise of power in “democracy” is subject to a rationalist conception of the state which justified, for example, the idea of the separation of powers, the supposedly harmonious dialogue between parties, and ideological pluralism. It is also the rationality of history that founds the dictatorship of the proletariat. Against the democratic and parliamentarian currents, Schmitt places the “irrationalist” currents, particularly Georges Sorel and his theory of violence, as well as all non-Marxist critiques of bourgeois society, for example Max Weber.

This liberal bourgeois ideology deceives everyone by viewing all political activity according to the categories of ethics and economics. This illusion, moreover, is shared by liberal or Marxist socialist ideologies: the function of public power is no longer anything but economic and social. Spiritual, historical, and military values are no longer legitimate. Only the economy is moral, which makes it possible to validate commercial individualism and at the same time invoke humane ideals: the Bible and business. This moralization of politics not only destroys all true morals but transforms political unity into neutralized “society” where the sovereign function is no longer able to defend the people for whom it is responsible.

By contrast, Schmitt’s approach consists in analyzing the political phenomenon independently of all moral presuppositions. Like Machiavelli  and Hobbes, with whom he is often compared, Schmitt renounces appeals to the finer feelings and the soteriology of final ends. His philosophy is as opposed to the ideology of the Enlightenment  (Locke, Hume, Montesquieu, Rousseau, etc.) and the various Marxian socialisms as it is to Christian political humanism. For him, these ideologies are utopian in their wariness of power and tend to empty out the political by identifying it with evil, even if it is allowed temporarily—as in the case of Marxism.

But the essence of Schmitt’s critique relates to liberalism and humanism, which he accuses of deception and hypocrisy. These theories view the activity of public power as purely routine administration dedicated to realizing individual happiness and social harmony. They are premised on the ultimate disappearance of politics as such and the end of history. They wish to make collective life purely prosaic but manage only to create social jungles dominated by economic exploitation and incapable of mastering unforeseen circumstances.

Governments subject to this type of liberalism are always frustrated in their dreams of transforming politics into peaceful administration: other states, motivated by hostile intentions, or internal sources of political subversion, always emerge at unforeseen moments. When a state, through idealism or misunderstood moralism, no longer places its sovereign political will above all else, preferring instead economic rationality or the defense of abstracted ideals, it also gives up its independence and its survival.

Schmitt does not believe in the disappearance of the political. Any type of activity can take on a political dimension. The political is a fundamental concept of collective anthropology. As such, political activity can be described as substantial, essential, enduring through time. The state, on the other hand, enjoys only conditional authority, i.e., a contingent form of sovereignty. Thus the state can disappear or be depoliticized by being deprived of the political, but the political—as substantial—does not disappear.

The state cannot survive unless it maintains a political monopoly, i.e., the sole power to define the values and ideals for which the citizens will agree to give their lives or to legally kill their neighbors—the power to declare war. Otherwise partisans will assume political activity and try to constitute a new legitimacy. This risk particularly threatens the bureaucratic states of modern liberal social democracies in which civil war is prevented only by the enervating influence of consumer society.

These ideas are expressed in The Concept of the Political, Schmitt’s most fundamental work, first published in 1928, revised in 1932, and clarified in 1963 by its corollary Theory of the Partisan.[8] Political activity is defined there as the product of a polarization around a relation of hostility. One of the fundamental criteria of a political act is its ability to mobilize a population by designating its enemy, which can apply to a party as well as a state. To omit such a designation, particularly through idealism, is to renounce the political. Thus the task of a serious state is to prevent partisans from seizing the power to designate enemies within the community, and even the state itself.

Under no circumstances can politics be based on the administration of things or renounce its polemical dimension. All sovereignty, like all authority, is forced to designate an enemy in order to succeed in its projects; here Schmitt’s ideas meet the research of ethologists on innate human behavior, particularly Konrad Lorenz.

Because of his “classical” and Machiavellian conception of the political, Schmitt endured persecution and threats under the Nazis, for whom the political was on the contrary the designation of the “comrade” (Volksgenosse).

The Schmittian definition of the political enables us to understand that contemporary political debate is depoliticized and connected with electoral sideshows. What is really political is the value for which one is ready to sacrifice one’s life; it can quite well be one’s language or culture. Schmitt writes in this connection that “a system of social organization directed only towards the progress of civilization” does not have “a program, ideal, standard, or finality that can confer the right to dispose of the physical life of others.” Liberal society, founded on mass consumption, cannot require that one die or kill for it. It rests on an apolitical form of domination: “It is precisely when it remains apolitical,” Schmitt writes, “that a domination of men resting on an economic basis, by avoiding any political appearance and responsibility, proves to be a terrible imposture.”

Liberal economism and “pluralism” mask the negligence of the state, the domination of the commercial castes, and the destruction of nations anchored in a culture and a history. Along with Sorel, Schmitt pleads for a form of power that does not renounce its full exercise, that displays its political authority by the normal means that belong to it: power, constraint, and, in exceptional cases, violence. By ignoring these principles the Weimar Republic allowed the rise of Hitler; the techno-economic totalitarianism of modern capitalism also rests on the ideological rejection of the idea of state power; this totalitarianism is impossible to avoid because it is proclaimed humane and is also based on the double idea of social pluralism and individualism, which put the nations at the mercy of technocratic domination.

The Schmittian critique of internal pluralism as conceived by Montequieu, Locke, Laski, Cole, and the whole Anglo-Saxon liberal school, aims at defending the political unity of nations, which is the sole guarantor of civic protection and liberties. Internal pluralism leads to latent or open civil war, the fierce competition of economic interest groups and factions, and ultimately the reintroduction within society of the friend-enemy distinction which European states since Bodin and Hobbes had displaced outwards.

Such a system naturally appeals to the idea of “Humanity” to get rid of political unities.  “Humanity is not a political concept,” writes Schmitt, who adds:

The idea of Humanity in doctrines based on liberal and individualistic doctrines of natural Right is an ideal social construction of universal nature, encompassing all men on earth. . . . which will not be realized until any genuine possibility of combat is eliminated, making any grouping in terms of friends and enemies impossible. This universal society will no longer know nations. . . . The concept of Humanity is an ideological instrument particularly useful for imperialistic expansion, and in its ethical and humane form, it is specifically a vehicle of economic imperialism. . . . Such a sublime name entails certain consequences for one who carries it. Indeed, to speak in the name of Humanity, to invoke it, to monopolize it, displays a shocking pretense: to deny the humanity of the enemy, to declare him outside the law and outside of Humanity, and thus ultimately to push war to the extremes of inhumanity.[9]

To define politics in terms of the category of the enemy, to refuse humanitarian egalitarianism, does not necessarily lead to contempt for man or racism. Quite the contrary. To recognize the polemical dimension of human relations and man as “a dynamic and dangerous being,” guarantees respect for  any adversary conceived as the Other whose cause no less legitimate than one’s own.

This idea often recurs in Schmitt’s thought: modern ideologies that claim universal truth and consequently consider the enemy as absolute, as an “absolute non-value,” lead to genocide. They are, moreover, inspired by monotheism (and Schmitt is a Christian pacifist and convert). Schmitt claims with good reason that the conventional European conception that validated the existence of the enemy and admitted the legitimacy of war—not for the defense of a “just” cause but as eternally necessitated by human relations—caused fewer wars and induced respect for the enemy considered as adversary (as hostis and not inimicus).

Schmitt’s followers, extending and refining his thought, have with Rüdiger Altmann coined the concept of the Ernstfall (emergency case), which constitutes another fundamental criterion of the political. Political sovereignty and the credibility of a new political authority is based on the capacity to face and solve emergency cases. The dominant political ideologies, thoroughly steeped in hedonism and the desire for security, want to ignore the emergency, the blow of fate, the unforeseen. Politics worthy of the name—and this idea pulverizes the abstract ideological categories of “right” and “left”—is that which, secretly, answers the challenge of the emergency case, saves the community from unforeseen trials and tempests, and thereby authorizes the total mobilization of the people and an intensification of its values.

Liberal conceptions of politics see the Ernstfall merely as the exception and “legal normality” as the rule. This vision of things, inspired by Hegel’s teleological philosophy of history, corresponds to the domination of the bourgeoisie, who prefer safety to historical dynamism and the destiny of the people. On the contrary, according to Schmitt, the function of the sovereign is his capacity to decide the state of the exception, which by no means constitutes an anomaly but a permanent possibility. This aspect of Schmitt’s thought reflects his primarily French and Spanish inspirations (Bonald, Donoso Cortès, Bodin, Maistre, etc.) and makes it possible to locate him, along with Machiavelli, in the grand Latin tradition of political science.

In Legality and Legitimacy (1932),[10] Schmitt, as a disciple of Hobbes, suggests that legitimacy precedes the abstract concept of legality. A power is legitimate if it can protect the community in its care by force.  Schmitt accuses the idealistic and “juridical” conception of legality for authorizing Hitler to come to power. Legalism leads to the renunciation of power, which Schmitt calls the “politics of non-politics” (Politik des Unpolitischen), politics that does not live up to its responsibilities, that does not formulate a choice concerning the collective destiny. “He who does not have the power to protect anyone,” Schmitt writes in The Concept of the Political, “also does not have the right to require obedience. And conversely, he who seeks and accepts power does not have the right to refuse obedience.”

This dialectic of power and obedience is denied by social dualism, which arbitrarily opposes society and the sovereign function and imagines, contrary to all experience, that exploitation and domination are the political effects of “power” whereas they much more often arise from economic dependency.

Thus Schmitt elaborates a critique of the dualistic State of the nineteenth century based on the conceptions of John Locke and Montesquieu aiming at a separation between the sphere of the State and the private sphere. In fact, modern technocracies, historically resulting from the institutions of parliamentary representation, experience interpenetrations and oppositions between the private and public, as shown by Jürgen Habermas. Such a situation destabilizes the individual and weakens the State.

According to Schmitt, it is this weakness of the democracies that allowed the establishment of one party regimes, as he explains in Staat, Bewegung, Volk [State, Movement, People].[11] This type of regime constitutes the institutional revolution of the twentieth century; in fact, it is today the most widespread regime in the world. Only Western Europe and North America preserved the pluralist structure of traditional democracy, but merely as a fiction, since the true power is economic and technical.

The one party state tries to reconstitute the political unity of the nation, according to a threefold structure: the state proper includes civil servants and the army; the people are not a statistical population but an entity that is politicized and strongly organized in intermediate institutions; the party puts this ensemble in motion (Bewegung) and constitutes a portal of communication between the state and the people.

Schmitt, who returns again and again to Nazism, Stalinism, theocracies, and humanitarian totalitarianisms, obviously does not endorse the one party state. He does not advocate any specific “regime.” In the old Latin realist tradition inherited from Rome, Schmitt wants an executive who is both powerful and legitimate, who does not “ideologize” the enemy and can, in actual cases make use of force, who can make the state the “self-organization of society.”

War thus becomes a subject of political theory. Schmitt is interested in geopolitics as a natural extension of politics. For him, true politics, great politics, is foreign policy, which culminates in diplomacy. In The Nomos of the Earth (1951),[12] he shows that the state follows the European conception of politics since the sixteenth century. But Europe has become decadent: the bureaucratic state has been depoliticized and no longer allows the preservation of the history of the European people; the jus publicium europaeum which decided inter-state relations is declining in favor of globalist and pacifist ideologies that are incapable of founding an effective international law. The ideology of human rights and the vaunted humanitarianism of international institutions are paradoxically preparing a world where force comes before law. Conversely, a realistic conception of the relations between states, which allows and normalizes conflict, which recognizes the legitimacy of will to power, tends to civilize the relationship between nations.

Schmitt is, along with Mao Tse-Tung, the greatest modern theorist of revolutionary war and of the enigmatic figure of the partisan who, in this era of the depoliticization of states, assumes the responsibility of the political, “illegally” designates his enemies, and indeed blurs the distinction between war and peace.[13]

Such “a false pacifism” is part of a world where political authorities and independent sovereignties are erased by a world civilization more alienating than any tyranny. Schmitt, who influenced the constitution of the Fifth French Republic—the French constitution that is most intelligent, most political, and the least inspired by the idealism of the Enlightenment—gives us this message: liberty, humanity, peace are only chimeras leading to invisible oppressions. The only liberties that count—whether of nations or individuals—are those guaranteed by the legitimate force of a political authority that creates law and order.

Carl Schmitt does not define the values that mobilize the political and legitimate the designation of the enemy. These values must not be defined by ideologies—always abstract and gateways to totalitarianism—but by mythologies. In this sense, the functioning of government, the purely political, is not enough. It is necessary to add the “religious” dimension of the first function, as it is defined in Indo-European tripartition. It seems to us that this is the way one must complete Schmitt’s political theory. Because if Schmitt builds a bridge between anthropology and politics, one still needs to build another between politics and history.


[1] Carl Schmitt, The Concept of the Political, trans. George Schwab, expanded edition (Chicago: University of Chicago Press, 2007)—trans.

 

[2] Cf. Julien Freund, L’Essence du politique (Paris: Sirey, 1965), and La Fin de la Renaissance (Paris: PUF, 1980).

[3] Carl Schmitt, Gesetz und Urteil. Eine Untersuchung zum Problem der Rechtspraxis [Law and Judgment: An Investigation into the Problem of Legal Practice] [1912] (Munich: C. H. Beck, 1968) and Der Wert des Staates und die Bedeutung des Einzelnen [The Value of the State and the Meaning of the Individual] (Tübingen: J. C. B. Mohr [Paul Siebeck], 1914)—trans.

[4] Carl Schmitt, Political Romanticism, trans. Guy Oakes (Cambridge, Mass: The MIT Press, 1985).—trans.

[5] Carl Schmitt, Die Diktaur: Von den Anfängen des modernen Souveränitätsgedankens bis zum proletarischen Klassenkampf [The Dictator: From the Origins of Modern Theories of Sovereignty to Proletarian Class Struggle] (Berlin: Duncker & Humblot, 1921)—trans.

[6] In his Preface to the French edition of The Concept of the Political: Carl Schmitt, La notion de politique (Paris: Calmann-Lévy, 1972).

[7] Carl Schmitt, The Crisis of Parliamentary Democracy, trans. Ellen Kennedy (Cambridge, Mass.: The MIT Press, 1986). See also Carl Schmitt, Political Theology: Four Chapters on the Theory of Sovereignty [1922], trans. George Schwab (Cambridge, Mass.: The MIT Press, 1986)—trans.

[8] Carl Schmitt, Theory of the Partisan: Intermediate Commentary on the Concept of the Political, trans. G. L. Ulmen (New York: Telos Press, 2007)—trans.

[9] Cf. The Concept of the Political, 53–54—trans.

[10] Carl Schmitt, Legality and Legitimacy, trans. Jeffrey Seitzer (Durham, N.C.: Duke University Press, 2004)—trans.

[11] Staat, Bewegung, Volk: Die Dreigleiderung der politischen Einheit [State, Movement, People: The Three Organs of Political Unity] (Hamburg: Hanseatische Verlagsanstalt, 1934)—trans. It concerns a series of studies on one-party states, primarily Marxist, that appeared in 1932.

[12] Carl Schmitt, The Nomos of the Earth in the International Law of Jus Publicum Europaeum, trans. G. L. Ulmen (New York: Telos Press, 2006)—trans.

[13] Cf. “The Era of Neutralizations and Depoliticizations” [1929], trans. Matthias Konzett and John P. McCormick, in the expanded edition of The Concept of the Political—trans.

An interest in Carl Schmitt

Carl_Schmitt_thumb.jpgAn interest in Carl Schmitt

Ex: http://majorityrights.com/

Last month I put up a brief post titled Leviathan Rising.  It speculated on the general policy direction by which the transformation to a Leviathan superstate might be effected.  Of course, the times would be characterised by trauma injury to European societies made raceless, and therefore loveless and powerless - for without love between the people there can be no strength in them.

The approach of this condition we can all surmise from the evidence about us.  We read and write about it every day.  But let’s venture beyond.

In my post I argued that the “detachment into domestic policy blandness and irrelevance, and the shift to action abroad” would be the sign that the totalitarian Rubicon had finally been crossed.  But actually, I’ve just come across a better formulation from Leo Strauss in writings about his teacher, the great German jurist Carl Schmitt: “[It] would be a world of entertainment without politics and the possibility of struggle.” Recognise that?

Now, sixty-three years after the extinction of the system he helped to theorise, Schmitt is still the pre-eminent authority on matters of total dominion?  Addressing the riddle of how to despatch liberal democracy without triggering what Habermas has termed “the legitimation crisis”, he formulated a legal and philosophical legitimisation for dictatorship.  This he did through a number of influential works in the years up to 1933, when he finally joined the Nazi Party.  His thought, however, reduces to four core concepts:-

1. The concept of “Exception” from the normal restraints on state power in the absence of order.

2. The concept of “The Political”, as the dominion or theatre of action for the state (and the state alone).

3. The concept of “friend/enemy”.  In the racial sense applying in National Socialist Germany, this could be seen as the division into in-group/out-group from the standpoint of the state.  In our age, the “enemy” is European Man.  But it need not be racial, of course, and indeed is really just a means of defining the activism of “The Political” (or the interests of the elite).

4. “Nomos” or the historic dynamic out of which grew the European Age or Global Order of the 18th and 19th centuries, which Schmitt idealised and at the summit of which placed the development of the sovereign state.

It should be no surprise that for well over a decade now Carl Schmitt has been an object of study and fascination both on the liberal-left and the Straussian right.  I will explore some of his ideas in greater depth later on.  But to give you a flavour of the man I’m going to end this post with the transcripts from his interrogations at Nuremberg.

He was arrested by the Russians in Berlin in April 1945, interrogated and then released.  But six months later he was arrested by the Americans at the instigation of German Jews in OMGUS (Office of Military Government, United States), and interned until March 1947.  He was then interrogated by a prosecutor for the War Crimes Trials, Robert M. W. Kempner, on three occasions.  Here are the full transcripts of those interviews:-

Kempner: You do not have to testify, Professor Schmitt, if you do not want to, and if you think you are incriminating yourself. But if you do testify, then I would be grateful if you would be absolutely truthful, would neither conceal nor add anything.  Is that your wish?
Schmitt: Yes, of course.
Kempner: And if I come to something you might find self-incriminating, you can simply say you prefer to remain silent.
Schmitt: I have already been interrogated by the C.I.C. [U.S. Army counter-intelligence] and in the camp.  I would be glad to tell you all I know.  However, I would like to know what I am being blamed with. All previous interrogations ultimately ended in academic discussions.
Kempner: I do not know why anyone else has questioned you.  I will tell you quite candidly what I am interested in: your participation, direct and indirect, in the planning of wars of aggression, of war crimes and of crimes against humanity.
Schmitt: Planning wars of aggression is a new and very broad concept.
Kempner: I take it for granted that, as a professor of public law, you know exactly what a war of aggression is.  Do you agree with me on the fact that Poland, Norway, France, Russian, Denmark, Holland were invaded? Yes or no?
Schmitt: Of course.
Kempner: Did you not provide the ideological foundation for those kinds of things?
Schmitt: No.
Kempner: Could your writings be so interpreted?
Schmitt: I do not think so - not by anyone who has read them.
Kempner: Did you seek to achieve a new international legal order in accordance with Hitlerian ideas?
Schmitt: Not in accordance with Hitlerian ideas and not sought to achieve but diagnosed.
Kempner: What is your attitude toward the Jewish Question, in general, and how it was handled by the Third Reich?
Schmitt: It was a great misfortune and, indeed, from the very beginning.
Kempner: Did you consider the influence of your Jewish colleagues, who were teachers of international law, a misfortune?
Schmitt: With the exception of Erich Kaufmann, there were no Jewish legal scholars there [in Nazi Germany].  He was a belligerent militarist.  He originally coined the phrase “The social ideal is the victorious war,” in “Die Clausula rebus sic stantibus.”
Kempner: Now, however, Erich Kaufmann is not here, but you are.
Schmitt: I do not want to incriminate him.  I also would not like to create the impression of incriminating this man.
Kempner: Would you say there was a definite discussion between international and constitutional law influenced by Jews and that which you taught and advocated?
Schmitt: The standpoint of Jewish colleagues was not sufficiently homogeneous for that.
Kempner: Have you ever written such things?
Schmitt: I wrote only once that Jewish theorists have no understanding of this territorial theory.
Kempner: Where did you write that?
Schmitt: In a little essay in the Zeitschrift fur Raum-Forschung, 1940-41.
Kempner: What was that essay called?
Schmitt: I cannot recollect the title.
Kempner: Who published the journal?
Schmitt: The Reich Office for Raum Research.
Kempner: How long is the essay?
Schmitt: Volkerrechtliche Grossramordnung had 50 large octavo pages.
Kempner: How many editions?
Schmitt: I believe 5 or 6.  The essay was reprinted there from the Zeitschrift fur deutsche Raumforschung, published by Deutscher Rechtsverlag, a press of the National Socialist League of Jurists.
Kempner: It had a swastika on its publisher’s insignia?
Schmitt: Yes, of course.
Kempner: Reading your writings creates a completely different impression from the one you are now providing.
Schmitt: If one reads them completely, they have very little to do with the Jewish Question.
Kempner: You admit, however, that it [Volkerrechtliche Grossramordnung] is clearly an international legal theory of Lebensraum?
Schmitt: I call it Grossraum.
Kempner: Hitler was also for Grossraum.
Schmitt: All of them were probably for it, including the citizens of other countries.
Kempner: A reading of this essay shows it was written in the purest Hitler syle.
Schmitt: No.  I am proud of the fact that since 1936 I had nothing to do with that.
Kempner: Previously, therefore, you wrote in the Hitlerian style.
Schmitt: No, I did not say that.  Until 1936 I considered it possible to give meaning to these catchwords.
Kempner: You assumed the editorship of various journals, which previously you had not.  Die deutsche Juristenzeitung, for example?
Schmitt: From 1934 to 1936.
Kempner: Would it not have been better to have avoided becoming involved with that?
Schmitt: Yes, now one can say that.
Kempner: The accused is confronted with his publication Volkerrechtliche Grossramordnung, 4th Edition, and the following passage from page 63 is read to him: “The Jewish authors had, of course, as little to do with the previous development of Raum theory as they had with the creation of anything else.  They were also here an important cause of the dissolution of concretely-determined territorial orders.” Do you deny that this passage is in the purest Goebbels-style?  Yes or no?
Schmitt: I do deny that the content and form of that is in Goebbels’ style.  I would like to emphasize that the serious scholarly context of that passage should be taken into consideration.  In its intent, method, and formulation it is a pure diagnosis.
Kempner: Do you want to say anything else?
Schmitt: I am here as what?  As a defendent?
Kempner: That remains to be determined.
Schmitt: Everything I stated, in particular this passage, was intended as scholarship, as a scholarly thesis I would defend before any scholarly body in the world.
Kempner: Here, however, we are before a criminal court.  You were the directing, one of the leading jurists of the Third Reich.
Schmitt: Someone who in 1936 was publicly defamed in Das Schwarze Korps [the S.S. journal] cannot be described in that fashion.
Kempner: How does your interpretation fit with the fact that, after 1936, you delivered lectures financed by the Nazi Reich in Budapest, Bucharest, Salamanca and Barcelona; in the notorious espionage and propaganda institute, “The German Instiute in Paris,” and other places.  Did you deliver lectures?  Yes or no?
Schmitt: Yes, I did deliver lectures.  They were not paid for.
Kempner: Who paid for the trip?
Schmitt: Part [was paid] by the inviting societies, part by German agencies.
Kempner: Therefore: the Nazi Reich.
Schmitt: That was a forum for me; I had no other.
Kempner: You see that there is in this fact of your defamation, on the one hand, and your lectures, on the other, a certain contradiction very difficult for me to comprehend.
Schmitt: If you are interested in an explanation, I would be pleased to give you one.  This is the first conversation I have had about it since 1933.  I would like to discuss that.
Kempner: It is related to what extent you provided the scholarly foundation for war crimes, crimes against humanity, the forceful expansion and widening of Grossraum.  We are of the opinion that the executing agencies in the administration, the economy and the military are not more important than the men who conceived the theory and the plans for the entire affair.  Maybe you would like to write down what you have to say.  To what extent did you provide the theoretical foundation for Hitlerian Grossraum policy?
Schmitt: I will write it down.  This is thus the question to be answered.

(2)
Kempner: Were you so kind to write your answers?
Schmitt: It took a long time, because I was given a table so late.  May I give it to you?
Kempner: I must, of course, read through this later.  Who invited you to the German Institute in Paris?
Schmitt: The director, Dr. Epting, on the suggestion of certain gentlemen whom he knew.  The lecture was a pretext for the trip.  I was accompanied by Pierre Linn, a Jewish friend and his wife.
Kempner: I am interested in the German Institute.
Schmitt: I had very little to do with that.  The director was Epting.  The motivating force behind my invitation was Dr. Bremer.  He had many friends, including Frenchmen such as Alfred Fabre-Luce.
Kempner: Would you be so good as to sign the pages with your initials C.S.?  Are all the facts correct?  Then please write: The truth of the above statements is pledged on my word of honour.
Schmitt: Yes.  May I ask something else?
Kempner: What questions do you still have?
Schmitt: You wanted to lend me Volkerrechtliche Grossramordnung.
Kempner: You still have not received it?
Schmitt: No, I still have no answer from my wife.  May I request that my wife send me the manuscript of the lecture on the “Lage der europaischen Rechtswissenschaft”?  The manuscript is still with the publisher.  The lecture was basically intended for a Fetschrift for Popitz.  I have not said anything that is not contained in the manuscript.  That provides perhaps the best account of the remarks I made in Bucharest, Budapest, Madrid, Barcelona Coimbra.
Kempner: Have you now been able to reconcile yourself in any way to the role you played in the Third Reich and in the preparation of criminal offenses, as I interpret them?
Schmitt: Here we are not really disputing facts.  I accept them.  It is a question of interpretation and legal evaluation.  As a long-standing professor of jurisprudence, I cannot stop thinking.
Kempner: Nor should you.  To clarify again what the theory of the public prosecutor is: Did you participate in the preparation, etc. of wars of aggression and in other punishable offenses related to these at the point of decision-making?  What is your answer to that?  Could you state it concisely in a single sentence?
Schmitt: I neither served in a decision-making capacity, nor did I participate in the preparation of wars of aggression.
Kempner: Our theory about the term “point of decision-making” is as follows: is not one of the leading university professors in this field as least as important in the decision-making-process as other high state or party officials?
Schmitt: Also in a totalitarian state?
Kempner: Yes, particularly in a totalitarian system.  And furthermore: what we understand by wars of aggression is very clearly expressed in the decision of the IMT [International Military Tribunal in Nuremberg], with which you are familiar.
Schmitt: Yes, it would be good if I could have the complete text.  I have no material at all.  I have one final question, which is not connected with the preceding.  You mentioned the name Radbruch.  I hardly know him.  If you want to inquire about my activity as a professor during the last 10 years, I would request that you question colleagues who really have known me.
Kempner: Who, for example?
Schmitt: Carl Brinkmann.  He was in Berlin until 1944 and is now in Erlangen.
Kempner: I will be glad to question him.  Was he a party member?
Schmitt: No, otherwise he would not now be a professor in Erlangen.  I do not believe he was a party member.  It may not be pleasant for him to do that.  The Dr. Carl Schmitt myth is pure myth.  Carl Schmitt is quite a peculiar individual, not just a professor; he is also a composite of various other individuals.  I observed this when I was interrogated by Dr. Flechtheim.  You can inquire about that.
Kempner: I have my sources.
Schmitt: Radbruch is a politician.  He sees things in a particular way and does not understand that a person can sit quietly at a desk.
Kempner: Did Rousseau leave his desk?
Schmitt: No.
Kempner: Who else did not leave his desk?
Schmitt: Thomas Hobbes.
Kempner: It is very difficult to render a criminal judgment.
Schmitt: May I speak frankly?  I have now been in solitary confinement for 3 weeks ...
Kempner: You do not want to be alone?
Schmitt: I would like to be even more alone.  All possible questions were asked of me at the time I was placed under arrest.  I said then only: I would like to be able to speak about my case from my own perspective.  I desire only to clarify things to myself.  But my name, my physiognomy is too famous for me to be left alone.  I had hundreds of students in all countries, thousands of listeners.
Kempner: To the extent that it relates to audience, your reputation vacillates in history.
Schmitt: That will always be the case when someone takes a position in such situations.  I am an intellectual adventurer.
Kempner: You have the blood of an intellectual adventurer?
Schmitt: Yes, that is how thoughts and knowledge develop.  I assume the risk.  I have always accepted the consequences of my actions.  I have never tried to avoid paying my bills.
Kempner: If, however, what you call the pursuit of knowledge results in the murder of millions of people?
Schmitt: Christianity also resulted in the murder of millions of people.  One does not know unless one has experienced it oneself.  I by no means feel, as do many others, an innocent victim to whom something horrible has happened.
Kempner: But this is no comparison.  And is it not, simply stated, a criminal investigation of your personal make-up?
Schmitt: I can tell you a great deal about that.  If I were asked, I would be glad to express my honest opinion.
Kempner: I would like to ask you something without touching on your own matters.  Let us for a moment consider a case from another area.  You are familiar with Mr. Lammers and, as a constitutional lawyer, his position.  You know what a Reich Minister is?
Schmitt: Personally, I have only seen him once, in 1936.  He was Chief of the Reich Chancellery, where everything was concentrated.
Kempner: How do you explain psychologically that a man like Lammers, as an old professional civil servant, signed hundreds of horrible things?
Schmitt: I do not understand that.  I have not done that.
Kempner: That does not relate to you, you avoided such things?  How do you explain that a diplomat like von Weizsacker, as a state secretary, signed hundreds of such things?
Schmitt: I would like to give you a nice answer.  The question has great significance, a distinguished man like von Weizsacker… Only I must protect myself…
Kempner: This theme could get us into constitutional matters.  At present, I am not questioning you about Lammers personally, but about the position of Chief of the Reich Chancellery in a totalitarian state.  I am asking you neither as a defendent nor as someone accused or as a witness, but as a constitutional lawyer.  I am asking you here purely as an expert, why this position is more important than that of another Reich Minister?
Schmitt: Perhaps Bormann was more important.
Kempner: That is not completely correct.  The position of Bormann first became important in 41-42.
Schmitt: I would like to formulate this for you as best as possible in writing.
Kempner: In the Bismarckian Reich I would have stated: Lammers had the key to lawmaking in his hand.  In the dictatorship he had more in his hand: the handle to the door of the dictator.  Does this explain the significance of his position?
Schmitt: Yes.
Kempner: Write that up in a small essay.

(3)
Kempner: How are you, Professor Schmitt?  Have you written something?
Schmitt: Yes.  I have brought along both written elaborations and have signed them.  I no longer recall the exact wording of your question: “Did you participate in the preparation of wars of aggression, etc.”
Kempner: Do you pledge the accuracy of your statements on your word of honour?
Schmitt: On my word of honour I pledge the accuracy of the statements from pages 1-17.  That is a written elaboration, a legal opinion.
Kempner: Please write at the end of your elaboration: I pledge that I have given the above legal opinion according to the best of my knowledge and conscience.
Schmitt: Yes.  The legal opinion is on pages 1-15.
Kempner: I will examine this very closely.
Schmitt: I am happy to have found a reader once again.  In general, my writings have been read very poorly.  I fear the superficial reader.
Kempner: I will read through it not only form the standpoint of criminal law, but also from the standpoint of constitutional law.
Schmitt: I have written it with great interest.  Can it be indicated that I did not do that on my own initiative?
Kempner: Professor Carl Schmitt made the assessment of the constitutional position of the Reich minister and chief of the Reich chancellery at the instigation of the interrogator.  Are you afraid of doing that on your own initiative?
Schmitt: Not that.  Maybe it is improper in my circumstances.
Kempner: Prof. Carl Schmitt submits, in addition, his own comments on the subject of participating in wars of aggression.  Were you a member of the SS?
Schmitt: No.
Kempner: To what extent did you participate in the ideological preparation of SS ideology?
Schmitt: Not at all.  I was an opponent of the SS.  I was publicly assaulted and defamed in Das Schwarze Korps.
Kempner: Do you know Gottlob Berger?
Schmitt: I have never seen him.
Kempner: Were you not the idol of SS professors such as Boehm, etc.?
Schmitt: When a state concillor in a totalitarian system is publicly spat at by the Schwarze Korps, that cannot be said.
Kempner: After you were spat at, did you not travel to Salamanca, Paris, Madrid, etc.?
Schmitt: That occurred in 1943 on special invitation from the faculties.
Kempner: You had nothing to do with the SS?
Schmitt: I was strongly opposed to it.  I was secretly observed and controlled by the SS.
Kempner: Did you state that German legislation and the German administration of justice must be carried out in the spirit of National Socialism?  Yes or no?  Did you state that between 1933 and 1936?
Schmitt: Yes.  I was from 1935 to 1936 head of the professional organization.  I felt superior at that time.  I wanted to give the term National Socialism my own meaning.
Kempner: Hitler had a National Socialism and you had a National Socialism.
Schmitt: I felt superior.
Kempner: You felt superior to Adolf Hitler?
Schmitt: Intellectually, of course.  He was to me so uninteresting that I do not want to talk about that at all.
Kempner: When did you renounce the devil?
Schmitt: 1936.
Kempner: Are you not ashamed to have written these kinds of things at that time, such as, for example, that the administration of justice should be National Socialist.
Schmitt: I wrote that in 1933.
Kempner: Do you deserve good or poor grades for that?
Schmitt: It was a thesis.  The National Socialist League of German Jurists extracted it, so to speak, from my mouth.  At that time there was a dictatorship with which I was not yet familiar.
Kempner: You were not familiar with any dictatorship.
Schmitt: No.  This total dictatorship was actually something new.  Hitler’s method was new.  There was only one parallel, Lenin’s Bolshevik dictatorship.
Kempner: Was that something new?
Schmitt: Yes, certainly.
Kempner: In your own library you have writings about totalitarian dictatorship.
Schmitt: Not totalitarian.
Kempner: Are you not ashamed that you wrote these kinds of things at that time?
Schmitt: Today, of course.  I do not consider it appropriate to continue to rummage around in the disgrace we suffered at that time.
Kempner: I do not want to rummage around.
Schmitt: Without question, it was unspeakable.  There are no words to describe it.
Kempner: I consider it better if we converse about such matters outside, not here in custody.
Schmitt: That would be agreeable to me for reasons of health.  I also consider it better in the interest of the case.  This professional opinion suffers from this situation.
Kempner: I want to see that you return home.
Schmitt: My wife gave up the apartment in Berlin.  We have no other lodging than with my sisters in Westphalia.  Could you see that I go there and not automatically be sent to Berlin?
Kempner: That will be taken care of today.
Schmitt: I would appreciate it.

lundi, 26 avril 2010

25 anos después: pensar a Carl Schmitt como método

El varón consumado, sabio en dichos, cuerdo en hechos,
es admitido y aun deseado del singular comercio de los discretos.

Baltasar Gracián, Oráculo manual y arte de la prudencia, 6, 1647

25 años después: pensar a Carl Schmitt como método

Giovanni B. Krähe / http://geviert.wordpress.com/

A modo de introducción

schmittlivreflamm.jpgHoy se cumplen 25 años de la muerte de Carl Schmitt. ¿Qué se puede decir sobre el interés por Schmitt a 25 años de su muerte? Compartimos algunas reflexiones “prácticas” para un “buen” uso de la obra del jurista, de manera que siga resistiendo al tiempo como lo ha hecho hasta ahora.

Todo lector interesado en conocer las implicaciones prácticas del pensamiento schmittiano sabe que debe abandonar, en primer lugar, la mera lectura en perspectiva histórica de la obra del jurista (ese Schmitt “de Weimar”). Esta lectura histórica debe ser siempre preliminar y necesaria, por lo mismo debe saber que se limita a un esfuerzo interpretativo-descriptivo que no irá más allá de la narración de eventos del pasado. Se trata de una estrategia  hermenéutica que, si no es hábil en organizar y ponderar bien su recursos heurísticos, su propia pregunta, su análisis final, termina entonces simplemente en un docto anacronismo. En segundo lugar, para recuperar un Schmitt más práctico y actual, referido al presente que nos ocupa, digámoslo así, se debe abandonar también la lectura monotemática y  circular de las obras de Schmitt: se trata de esa lectura trivial (porque retórica, vieja y no sustancial) de ese Schmitt “de la dictadura”, el Schmitt teórico “de la excepción” y demás combinaciones con la primera perspectiva mencionada.

Leer a Carl Schmitt o a autores alemanes afines (Heidegger por ejemplo), significa dejar ese vicioso prurito bibliófilo de los temas intelectuales favoritos de café. Significa, en otras palabras, abandonar ese mito inmóvil, porque completamente incapacitante (la metáfora es de Tarchi-Benoist), alrededor del pensamiento “reaccionario”. Se trata de esa adolescente hagiografía “tradicional” de pensadores conservadores, “monárquicos”, todos seguidores de reyes muertos sin nombre ni espada. ¿Para qué es necesario superar este voluntario mito incapacitante?Para pretender una clara y robusta perspectiva realista de método y aplicación, de programa político si se quiere, donde la mirada hacia el pasado se convierte siempre en la justa medida de algo que será aplicado en el presente puntual. Este es, después de todo, el significado del pensamiento conservador: un pensamiento completamente arrojado en el presente fáctico.

Frente a esta necesidad, todo lo bueno que las dos perspectivas mencionadas sobre Schmitt (la histórica y la monotemática) pueden aún darnos sobre la vida, la obra y el pensamiento del autor a 25 años de su muerte, se demuestra como un ejercicio preliminar que debe dirigirse hacia el método, hacia el método schmittiano. Si conocemos el método, podemos prescindir completamente del autor-Schmitt, de cualquier autor (y purgarnos de nuestro vicio bibliófilo de paso). Podemos liberarnos de los temas intelectuales recurrentes y dialogar con el autor frente a frente a partir de la pregunta que nos plantea. Una pregunta  que puede mantenerse válida más allá de su autor. Este es el verdadero significado de estos 25 años para nosotros. Se reflexione bien que no se trata de una metáfora hermenéutica al estilo de cualquier otro manierismo postmoderno. Para lograr este objetivo práctico-aplicativo de la obra del jurista, en este post intentaremos una lectura de la Teología política como método. Esto quiere decir que no nos limitaremos a la enésima exégesis del libro (que ya hay muchas buenas). Este ejercicio partirá más bien desde el libro como instrumento y como medio, no como fin.

El método de la politische Theologie: la analogía

El método que denominaremos método político-teológico es desarrollado por Schmitt en el tercer capítulo de su Politische Theologie I (de ahora en adelante abreviado con PT I). Un ejemplo aplicativo de este método se encuentra en el texto de Schmitt sobre Donoso cortés. Para poder colocar el método que vamos a presentar sumariamente, es necesaria la lectura de los dos textos mencionados.

El principio a la base del método político-teológico que Schmitt nos presenta en el tercer capítulo de su PT I parte preliminarmente del principio jurídico de la analogía. Como sabemos, la analogía ocupa un lugar preciso en la doctrina jurídica. La analogía “atribuye a un caso o a una materia que no encuentra una reglamentación expresa en el ordenamiento jurídico, la misma disciplina prevista por el legislador para un caso y para una materia similar” (Bobbio). El objetivo es evitar la la laguna, el “vacío” del derecho en un caso no previsto. La analogía adquiere evidencia y aplicabilidad únicamente en el ámbito de la ratio juris. Con esto queremos decir que la analogía jurídica no va entendida en los términos filosóficos de la analogia entis, o según la perspectiva lingüistico-cultural de la analogía lógico-semántica. La analogía en Schmitt va entendida preliminarmente en términos lógico-jurídicos, (recht-logisch). Si queremos hacernos una idea de este tipo de analogía lógico-jurídica, deberemos pensar en sus ámbitos aplicativos y los límites de la misma, por ejemplo en el caso de la analogia legis (ampliación del alcance de una norma o parte de ella) o la misma analogía juris (aplicación de toda la norma a un caso no previsto. Este tipo de analogía generalmente está prohibido en el derecho penal por ejemplo). El ámbito aplicativo de este tipo de analogía lógico-jurídica que Schmitt utiliza en su método, prescribe un determinado ámbito de validez y un vínculo material inmediato que incluye en su interior a la analogía lógico-semántica. Tengamos en mente esto último. Observaremos a continuación cómo Schmitt aplica el principio de la analogía a su teología política.

Analogía jurídica e isomorfismo material político-teológico: la estructura esférica

La analogía jurídica presupone la unidad y la coherencia del orden jurídico. Aquella no cubre una “laguna” o un “vacío” en sentido general o dogmático (de lo contrario el orden jurídico no sería unitario y coherente), más bien aplica técnicamente una determinada norma a dos hechos A y B (Sachverhalt) que son plausibles de comparación en su aspecto material (Sachzusammenhang). La similitud o la diferencia entre los dos hechos sigue un criterio (el tertium comparationis) que no se basa en la relación meramente lógica entre los dos supuestos materiales. El caso (Sachverhalt) al cual debemos aplicar la analogía, no representa un vacío para el sistema en sentido estricto, sino un hecho (Tatbestand) que exige una extensión o aplicación analógico-jurídica.

¿Para qué nos sirve comprender la analogía jurídica? para lo siguiente: la analogía político-teológica de Schmitt presupone una unidad coherente entre un orden político-jurídico y un orden político-religioso cualquiera, más allá de la formas históricas que ambos  órdenes posean: se trata de una unidad entre un vínculo material y un vínculo espiritual, un vínculo que adquiere únicamente diferentes formas históricas en el tiempo. No se trata de una unidad “ontológico-metafísica”, o una nueva “filosofía de la historia”, puesto que el vínculo de esta unidad material-espiritual está permanentemente expuesto a la contingencia. Se trata, en la teoría schmittiana, de la figura del enemigo y del caso excepcional (ver más adelante). Es precisamente esta componente de permanente y contingente apertura de la mencionada unidad hacia lo impredecible (en sentido realista), hacia aquello que puede poner en juego su integridad, lo que permite ver dicha unidad material-espiritual de ambos órdenes como una identidad, una identidad ontológico-política.

Para ver esta unidad con más claridad, Schmitt  primero radicaliza ideal-típicamente (en el sentido de llevar a la raíz) la  componente material de los conceptos jurídicos, con el objetivo de mostrarnos el fundamento político-decisorio “detrás” de ellos en el tiempo. Según Schmitt, este nexo entre la analogía y su vínculo político-decisorio se puede observar si analizamos con atención, en el tiempo, la formas últimas de los conceptos jurídicos, es decir,  la relación entre el vínculo político-material que introduce una norma y el vínculo ideo-lógico que la vuelve legitima en el tiempo como orden social precisamente.

Se trata de un método hermenéutico ideal-típico que puede aplicarse a cualquier periodo histórico y que ha sido desarrollado con éxito (por el lado histórico-semántico) por un alumno de Schmitt, Reinhart Koselleck.  En el fondo se puede notar un concepto muy peculiar de ideo-logía, de análisis ideo-lógico. Se trata de un análisis que no es marxista, si vemos bien (pre-marxista más bien): entre dos hechos A y B, como en el caso de la analogía ordinaria mencionada, la analogía schmittiana no observa dos ordenamientos que se relacionan causalmente (una estructura económica y una superestructura “cultural”, digamos ilustrativamente), sino dos “estructuras” instituidas, dos concretos status quo A y B, uno material y el otro espiritual (no sólo cultural), que se relacionan isomorficamente y se conservan en el tiempo a través del permanente superamiento del vacío de la excepción y la exclusión del enemigo (Katechon). Contingencia, isomorfismo y mantenimiento entonces, o en los términos de Niklas Luhmann si se quiere: variación, selección, estabilidad (1). Veamos un ejemplo gráfico para poder ser más claros. El gráfico se refiere al tercer capítulo de la PT I (material interno del Geviert-Kreis):


Del cristal de Hobbes a la esferas de Schmitt

Podemos observar dos esferas unidas horizontalmente por un vínculo de identidad analógico entre ellas (analogische Identitat). El vínculo es horizontalmente analógico porque determina dos identidades homogéneas cada una con el propio fundamento institutivo, ordenador. En el ejemplo, se pueden ver dos realidades espirituales: la axiomática, referida a la lógica clásica, fundamento de la epistemología moderna (Axiomatik), y el dogma cristiano. Se note que, desde el método Schmittiano, ambas realidades son complementarias (tarea para los que creen todavía weltanschaulich en la separación entre religión y ciencia). Pero observemos primero la relación externa a las esferas. Podemos notar que este vínculo horizontal de identidad analógica está fundado en un vínculo material vertical que es la existencia política concreta (konkret-politisches Dasein). Se note que el vínculo material es exterior a las esferas. Esta existencia es concreta porque se basa en una decisión (Entscheidung) a partir de un espacio territorial determinado (Erde). El momento decisorio (Entscheidung) tiene  una función axial precisa que permite la re-producción permanente de la decisiones colectivas vinculantes erga omnes en el tiempo, ya sea verticalmente como re-presentación política (Repraesentation), que horizontalmente como autoridad (politisches Symbole). A esta dinámica virtuosa se añade la legitimidad, que es legitimidad procedural, técnica (Technik). Esta triple dinámica alrededor del eje decisorio, entre el símbolo político, la técnica y la representación política (ver rectángulo inferior),  está a la base misma del vínculo de identidad analógico entre las dos esferas superiores (ver flecha central). Se note ahora a la izquierda, completamente externo a la triple dinámica axial,  al enemigo (Feind). El enemigo es el posesor del poder contingente, aquel que determina esta triple dinámica decisoria en su estricto y unívoco sentido político-ontológico: el enemigo determina, desde la contingencia, la existencia misma de toda la relación dinámica mencionada, convirtiendo el vínculo analógico identitario entre las esferas, en un vínculo político-ontológico concreto. Veamos ahora la relación isomórfica, esférica, que se crea a partir de este vínculo político-ontológico.

Observemos ahora el interior de las esferas. Un determinado orden histórico-político o status quo (por ejemplo la monarquía o la liberal-democracia) determina siempre, como fundamento de su mantenimiento en el tiempo, un isomorfismo entre un aspecto material y un aspecto espiritual. Esto quiere decir que un determinado status quo político-social (la monarquía, la democracia liberal) y un orden metafísico-teológico (Dios en la monarquía; el individuo o sujeto abstracto en el deismo liberal neo-humanista respectivamente) se fundan entre sí especularmente de manera autológica y autoreferencial (Spiegelindetitat). Se trata de dos realidades concretas en relación isomórfica en dos momentos históricos diferentes, no se da una “base” o “estructura” y una “sobre”estructura entre ambos. Se note además que estamos al interior de la esfera: tanto el lado material (el ordenamiento político-jurídico, material, la juristische Gestaltung)  como el espiritual (los conceptos y categorías jurídico-teológicas, die lezte jur. Begrifffe) son relacionalmente lo mismo finalmente. Estamos lejos de cualquier “teoría del reflejo” o concepto de ideología marxista. Estamos mucho más cerca, sin duda, de los primeros idéologues franceses (destutt de Tracy), que veían un nexo orgánico y concreto entre las ideas, los contenidos ideacionales y un determinado orden político-social. Justamente por este nexo orgánico entre lo espiritual y lo material, pensamos que la representación adecuada para esta lectura de Schmitt sea una esfera.

Resumiendo: 1) dos esferas o identidades espirituales perfectamente isomórficas (geistliche Identität 1 y 2). En nuestra interpretación, una de ellas se funda (Grund), por ejemplo, en el dogma y la otra en la axiomática lógico-racional clásica (Aristóteles, Descartes). 2) al interior de cada esfera espiritual encontramos un principio de identidad y causa estrictamente especular (Spiegelindentität) entre dos concepciones, aparentemente distintas. Se trata de esa aparente dualidad completamente moderna, por lo tanto espuria, entre una “esfera material” y una “esfera espiritual” que  se fundan y se auto-legitiman en la negación de la otra y viceversa. En el esquema vemos los ejemplos que introduce Schmitt, es decir, la realidad histórico-política con su “base” económico-social (la “estructura” marxiana) y su respectiva “sobreestructura” ideológica. La lucha aquí es aparente. 3) Tales analogías de caracter autoreferente y autológico se representan recursivamente y permanentemente en la historia al interior de cada esfera, cuyo isomorfismo fundamental (dogma religioso y lógica clásica) es inmóvil. La inmovilidad no se funda en un principio abstracto, sino en la forma precisa de una causa agente que modifica o introduce tal estado, en nuestro caso, la decisión (Entscheidung). La representación del acto decisorio se da en un lugar preciso, su ordenamiento (la tierra, die Erde). Instrumentos de este orden son la técnica y el simbolismo político-religioso (la  re-presentación). La decisión determina el equilibrio isomórfico entre las dos esferas. Este es el tertium comparationis de Schmitt entre un momento histórico y el otro, lo que le permite observar similitudes y diferencias en dos momentos históricos: la decisión. El ámbito de la decisión es el ámbito de la existencia concreta, que es ortogonal a las dos esferas y siempre expuesto al enemigo.

En otro post veremos más de cerca un ejemplo concreto a partir del mencionado texto sobre Donoso.

Nota

(1) Ver Gesellschaft der Gesellschaft de N. Luhmann.  Como en el caso de la teoría luhmaniana, se notará una implícita perspectiva neo-evolucionista detrás de este método schmittiano, muy afín al actual análisis de la evolucionary economics (pero que Schmitt extiende originalmente al campo de los contenidos ideacionales (Mannheim), en sentido  ideo-lógico no-marxista) y la teoría político-institucional de la Path dependence.

Jakob Wilhelm Hauer (1881-1962)

Hauer.jpgJakob Wilhelm Hauer (1881-1962): le philosophe de la rénovation religieuse

 

La trajectoire de Jakob Wilhelm Hauer est peut-être la plus étonnante en ce siècle de bouleversements et d'horreurs guerrières, de bagarres idéologiques et d'aplatissement culturel. Né dans un milieu pié­tiste à Ditzingen-Bompelhof en Souabe, dans une famille de paysans et d'artisans jadis émigrés d'Autriche vers la Forêt Noire, au temps où la monarchie des Habsbourg tolérait mal les protestants dans ses états. La famille Hauer est très pauvre, la vie est dure et tragique à Ditzingen: deux jeunes sœurs meurent le même jour lors d'une épidémie de scarlatine; Jakob Wilhelm, fort affaibli, survit. Dès son jeune âge, il doit aider son père à gagner maigrement sa vie. Mais cette rude expérience, cette jeu­nesse triste, lui livre un trésor incomparable: il expérimente et intériorise la solidarité entre les membres d'une communauté de sang. Jamais ce sens de la solidarité n'a fléchi chez lui. Cet exemple familial est à la base du principal concept que Hauer théorisera, avec son ami Martin Buber:  Das Gemeinsame, la communauté. Devant les cadavres de leurs deux petites fillettes, les parents de Hauer avaient formulé un vœu: si le garçon survit, il devra être au service de Dieu. Dieu a exaucé le malheu­reux couple: Hauer, en dépit de toutes les difficultés matérielles, deviendra pasteur et missionnaire; il fréquentera le lointain Gymnasium  et il étudiera la théologie, avec l'aide du pasteur de Ditzingen, qui lui donne des cours particuliers d'une telle qualité qu'en entrant à l'école des missionnaires à dix-huit ans, le jeune Hauer est plus calé que ses condisciples. En 1900, il part à pied à Bâle pour entrer au sé­minaire des missionnaires. Il y est un élève modèle, un “bûcheur” hors ligne, mais qui lit, à l'insu de ses supérieurs, des livres prohibés, “païens”: l'Edda, Goethe, Schiller, Nietzsche, la Divine Comédie  de Dante, et surtout Das Wesen des Christentums  de Harnack. Sa foi chrétienne est fort ébranlée, mais il le cache, car il a vraiment envie d'être missionnaire, de quitter l'Europe et de partir à l'aventure dans un pays lointain, exotique. On lui réserve un poste en Inde, sur la côte de Malabar. Mais auparavant, il doit connaître l'anglais. La mission lui paie un stage à Edimbourg en Ecosse.

 

Il effectuera sa première mission en Inde à Palghat, où il entre en contact avec la civilisation et la cul­ture indiennes. C'est là, au fond, que tout va basculer: Hauer ne convertira aucun Indien. C'est l'Inde qui va le convertir, qui va lui faire découvrir sa propre “indo-européanité”. Après un premier séjour là-bas, de 1908 à 1909, il étudie à Oxford de 1910 à 1915, avec juste une interruption: un séjour dans un camp de concentration anglais, réservé aux “alien ennemies”. Mais il peut retourner à l'université, avec la promesse de ne pas s'évader. C'est à Oxford que Hauer approfondit ses connaissances de l'Inde et surtout des techniques du Yoga. Ses travaux le rendent éminemment suspect aux yeux des supérieurs du séminaire des missionnaires de Bâle. La rupture avec le christianisme est irrémédiable. Elle est con­sommée en 1920, où Hauer devient Privatdozent  en histoire des religions, attaché à l'Université de Tübingen. Mais la routine de l'université l'ennuie. Il cherche à poursuivre sa vocation de missionnaire, non plus au service d'un protestantisme fortement teinté de piétisme, non plus sous des cieux exo­tiques, mais au profit d'une vision religieuse ancrée dans la nature, dans les paysages, axée sur la cha­rité communautaire, sur l'esprit de solidarité avec les siens, sur l'ascèse et la discipline intérieure qu'enseigne le Yoga indien, et, enfin, sur ce sentiment, encore diffus chez lui, d'une fibre religieuse commune à tous les Indo-Européens, de l'Islande au Gange. Pour enseigner cette vision religieuse sur­plombant tout ce qui est établi, bousculant toutes les conventions universitaires, il faut un terrain vierge. Et qu'offre l'Allemagne d'après 1918 comme “terrain vierge”, sinon les mouvements de jeu­nesse alternatifs, issus du Wandervogel d'avant 1914? Il fréquentera d'abord le groupe Die Neuen, animé par un pasteur, Rudolf Daur, qui commence, lui aussi, à s'émanciper des dogmes chrétiens, puis fonde une véritable école alternative, organisée sur le modèle des ligues de jeunesse: le Bund der Köngener,  dont il devient automatiquement le premier “chancelier”.

 

Ce Bund der Köngener  est trop peu connu; pourtant, il fut le théâtre de débats inimaginables au­jourd'hui, où tout est contingenté, politisé, dogmatisé, hyper-simplifié et médiatisé. Les tenants des idéologies ou des confessions les plus diverses et, apparemment, les plus contradictoires, ont pris la pa­role à cette tribune alternative, y ont confronté leurs points de vue et ceux qui avaient vraiment abjuré toute forme de dogmatisme stérilisant y ont enrichi leur bagage religieux, théologique ou philoso­phique. Le Bund der Köngener  est sans nul doute le meilleur exemple d'anti-dogmatisme en ce siècle où des millions d'hommes se sont écharpés pour ne pas s'être écoutés. Martin Buber y a présenté son humanisme et son “enracinement” juifs, de même qu'une vision du Reich (allemand) reposant sur les traditions juives, où le peuple serait éduqué et discipliné dans son intériorité et non pas par le truche­ment d'un appareil d'Etat coercitif; Karl Otto Paetel, rédacteur du Manifeste national-bolchevique, qui partira s'engager dans les Brigades Internationales et connaîtra l'exil à New York après la défaite de l'Espagne républicaine, y a défendu son idéal du paysan-soldat; Ernst Krieck, le pédagogue allemand, membre de la NSDAP et grand pourfendeur de Heidegger, y a pris la parole; des communistes, des protestants, des catholiques y ont dialogué. Mais les passions politiques faisaient rage dans cette Allemagne au bord de la guerre civile, où SA et SS étaient prêts fondre sur leurs homologues des ligues communistes et du Reichsbanner social-démocrate. Des propagandistes nazis obtus décrètent que le Bund der Köngener est “enjuivé” par la présence de Buber; les chrétiens déplorent la présence de non-chrétiens; les “rouges” refusent de dialoguer avec Krieck et Bäumler (spécialiste du matriarcat de Bachofen, de Nietzsche et du “romantisme tellurique”; membre de la NSDAP); etc. Hauer et Buber ten­tent de maintenir la sérénité du débat, y parviennent, mais réduisent automatiquement le nombre de participants et ne bénéficient plus d'aucune publicité.

 

L'idéal des Köngener était de créer une sorte de solidarité interconfessionnelle entre tous ceux qui, sur la Terre, souhaitaient sauver l'essentiel des messages religieux, le sens des communautés, devant le raz-de-marée de la modernité désaxante, déracinante, individualisante. Leurs adversaires disaient d'eux qu'ils voulaient créer une “religion-esperanto”... Reproche infondé dans le sens où la qualité des interventions et des intervenants éloignait leurs démarches de tout affadissement ou aplatissement de style “espérantiste”. A partir de 1933, quand le pouvoir change de mains à Berlin, le Bund der Köngener, dont le statut est celui d'un mouvement de jeunesse, change de nom et d'objectifs pour ne pas devoir se dissoudre dans les jeunesses hitlériennes. Finalement, Hauer fonde la Deutsche Glaubensbewegung, à laquelle se joint toute une série d'autres associations de recherches religieuses (qui mériteraient aussi d'être analysées plus en profondeur). L'association doit faire les concessions d'usage au nouveau parti totalitaire pour pouvoir continuer à exister en toute indépendance. Hauer et ses amis souhaitent surtout que les recherches religieuses demeurent indépendantes, n'aient pas à s'aligner sur les diktats d'un parti ou à s'inféoder à une église ou à un “christianisme germanique”. En 1935, Hauer et le Comte Ernst zu Reventlow remplissent le Palais des Sports de Berlin, pour parler de religion et de métaphysique! La puissance de ce mouvement patriotique mais alternatif, de ces tenants d'une révolution intérieure (Buber!), devient suspecte. Les attaques ne cessent plus: c'est dans le parti et non pas dans une “association extérieure” qu'on réalisera la révolution (même la révolution intérieure); on interdit aux membres de la jeunesse hitlérienne de faire partie de la DGB; finalement, Heydrich en devient membre pour mieux la contrôler. La présence du chef de la police fait perdre au mouvement tout son aura. Hauer est contraint d'adhérer aux différentes instances du parti, afin de conserver ses chaires. Buber se réfugie en Palestine. Mais les modestes nominations de Hauer le compromettront après 1945. L'indéfectible amitié de Martin Buber, émigré en Palestine en 1938 après la “Nuit de Cristal”, le tirera d'affaire. Et la grande aventure de ces deux formidables complices pourra continuer jusqu'à la mort de Hauer en 1962. Les associations qu'ils ont fondées ou patronnées dans les années 50 continuent de travailler aujourd'hui.

 

Les années 30 sont aussi l'occasion pour Hauer d'approfondir ses connaissances de la religiosité in­dienne, de développer sa critique des dogmatismes, de réfléchir sur la métaphysique indo-aryenne du combat et de l'action, de poursuivire une quête mystique germanique en tentant, à la suite de Maître Eckart, de dégager une vision thioise du divin et de la foi (dont un texte paraîtra en français en 1935: «Le mouvement de la foi germanique», in Revue des vivants. Organe de la génération de la Guerre, IX, 1935, pp. 1491-1504). Parallèlement à cette triple recherche, Hauer tente une réflexion en profondeur sur les assises physiques et somatiques des religiosités enracinées et sur les questions impassables de la mort et de l'immortalité. En 1937, paraît un livre qui reprend l'essentiel de ses recherches en indologie, Glaubensgeschichte der Indogermanen. Dans la préface à cette anthologie, Hauer insiste sur le carac­tère nécessairement “proche de la vie” et “ancré dans un peuple précis” de toute religiosité vraie, du­rable et authentique. Il y livre aussi, de façon très concise, ses méthodes de recherche et ses conclu­sions. Notamment la différence entre foi (Glaube)  et religion (Religion).  «Par “religion”, j'entends le monde des formes religieuses, qui, en tant que partie de la culture globale d'un peuple, est soumis aux lois du devenir et de la disparition. La foi, en revanche, est l'expérience originelle de la réalité ultime et le domaine des forces intérieures, vivantes dans les tréfonds de l'âme des peuples et des races. C'est de l'interaction de ces forces que nait le monde des formes religieuses. Celles-ci sont symboles, indices, de ce domaine de l'intériorité. Voilà pourquoi on ne peut pas écrire d'histoire de la foi sans d'abord écrire une histoire de la religion. Les faits relevant de l'histoire de la religion doivent nous guider, de façon à ce que nous puissions aller à la rencontre de cette vie intérieure et que nous puissions en saisir le sens, créativement. Ainsi jaillira la connaissance sur base de laquelle nous pourrons oser une histoire de la foi. Mais nous ne serons saisis par ce sens que si ce sens est apparenté à notre propre essence».

 

La religiosité indo-européenne est une religiosité de l'action, notamment de l'action guerrière. Pendant toute sa vie, Hauer s'est insurgé contre un a priori sur le Yoga, considéré comme un exercice purement contemplatif. A priori évidemment faux, car, écrit-il dans la préface de Glaubensgeschichte der Indogermanen, une forme particulière du Yoga, dans la tradition zen du bouddhisme japonais, est le pilier porteur d'une noblesse guerrière, les Samouraïs, qui ont fait l'Empire nippon. «Ma conviction est qu'il est impossible de comprendre la civilisation indo-aryenne sans comprendre le Yoga, tout comme il est impossible de comprendre l'hellenité en excluant l'orphisme ou le platonisme, ou de comprendre la germanité, si on ôte la mystique de son patrimoine (ici, j'entends “mystique” au sens totalement posi­tif de “voie vers l'intériorité”. Sans cette voie vers l'intériorité, dans quelque forme que ce soit, il n'y a pas d'indo-européanité, ni même de germanité). L'homme indo-européen déploie certes une puissance d'action hors mesure et fait montre d'une volonté indomptée d'agir sur le monde; mais il sent instincti­vement qu'il court un grand danger, si cet agir sur le monde extérieur n'est pas compensé par un re­tour aux tréfonds de l'âme et un rassemblement des forces qui y résident, pour les opposer ensuite au monde extérieur. La religiosité indo-européenne tourne donc autour de deux pôles: d'une part, une pulsion qui la conduit à plonger dans les tréfonds de l'âme pour y découvrir ses lois et, d'autre part, une foi active en Dieu et dans le destin, impliquant un sens très austère et très sérieux de sa responsabilité dans le monde. Dans la tension qui résulte de cette opposition, jaillit la formidable dynamique de l'histoire de la foi indo-européenne, cette dynamique qui lui donne son élan constant».

 

En conséquence, la tradition indienne et le yoga ne peuvent pas être considérés comme des fuites hors du monde: «... Au contraire, c'est ici une joie d'être dans le monde qui est à l'œuvre, un sens d'être abrité dans le monde (Weltgeborgenheit) qui donne le ton». Le monde n'est donc pas dépourvu d'essence (divine), il n'est pas opposé à Dieu ou aux dieux (gottwidrig). Il n'est pas nié au profit d'un espoir de voir advenir un monde “tout-autre”, parfait, où le tragique n'aurait plus sa place. Au contraire, le monde et ses conditions, ses tragédies et ses deuils, est accepté comme tel et opposé à une intériorité inconditionnée, qui est présente dans le monde, qui peut arraisonner ce monde, que les esprits les plus lucides et les plus clairvoyants ont la faculté de saisir.

 

Revenons aux événements du XXième siècle. La tension qui a existé entre les autorités du Troisième Reich et la Deutsche Glaubensbewegung  est indéniable. Mais en 1945, qu'est-ce qui a incité les autori­tés anglo-saxonnes à ostraciser Hauer, à le suspecter de collaboration avec le régime, au-delà des titres honorifiques ou autres que lui avaient octroyés des fonctionnaires zélés et propagandistes? La dernière activité de Hauer pendant la guerre a été de mettre sur pied un “Institut Indien” à l'Université de Tübingen. Pour mener cette tâche à bien, il collabore avec le leader des indépendantistes indiens, Subha Chandra Bose, allié de l'Axe et des Japonais, pour qui il recrute des troupes. Ni les Américains ni les Anglais ne peuvent avaliser cette politique, qui aurait pu sérieusement ébranler la puissance des Anglo-Saxons pendant le conflit et qui a jeté les premières bases de l'indépendance indienne de 1947. Hauer paiera cher cette collaboration somme toute bien innocente avec Subha Chandra Bose. Il est ar­rêté le 3 mai 1945 et interné dans un camp de concentration allié. En 1947, il est relâché. Très vite, il remonte son institut indépendant d'études religieuses, qui devient l'Arbeitsgemeinschaft für freie Religionsforschungen und Philosophie. Plus tard, en 1957, avec les Prof. Heller, Brachmann et Berger, Hauer participe à la création de la Freie Akademie. Il en restera le président jusqu'à sa mort. La Freie Akademie poursuit toujours ses travaux aujourd'hui.

 

A partir de 1950, dans une ambiance plus sereine, sans arrière-fond de guerre civile, Hauer poursuit ses travaux et élargit l'éventail de ses préoccupations: réflexions sur la crise religieuse contemporaine, notion de destin, mythes et cultes des peuples primitifs, religiosité de l'“homme occidental”, réflexions sur la tolérance, étude sur le matriarcat, etc. Il meurt le 18 février 1962.

 

Trois grandes leçons doivent être tirées de l'œuvre de Hauer. D'abord, c'est toujours ce fameux “facteur X”, soit la “réalité intérieure”, qui détermine la vie religieuse et l'histoire de chaque peuple. Ce “facteur X” peut se retirer du monde, replonger dans les tréfonds de l'âme, pour revenir fortifié et agir sur la trame des événements. L'Europe finira donc par retrouver sa vision tragique du monde, cette tension fructueuse entre intériorité et arraisonnement du monde. Ensuite, la notion, partagée avec Martin Buber, de “communauté”, plus exactement, Das Gemeinsame. Tous les représentants d'un même peuple partagent une variante bien précise de l'idée (platonicienne) de “communauté”. C'est leur épine dorsale religieuse et historique. Sans cette notion, un peuple dépérit. Mais comment empê­cher ce sentiment de la communauté d'être étouffé par l'idéologie dominante, rationaliste, matérialiste et individualiste? Par la tolérance. Et la tolérance selon Hauer et Buber est la troisième grande leçon que nous devons retenir. La tolérance, ce n'est pas tout accepter indistinctement, c'est au contraire se hisser largement au-dessus des opinions idéologiques conventionnelles, pharisiennes et mesquines. De ce fait, la tolérance selon Hauer n'est pas un facteur de dissolution, mais un principe qui permet de dé­gager l'essentiel et d'unir les hommes sur la base de cet essentiel et, ainsi, de mettre un terme à des que­relles stériles, comme celles qui ont ensanglanté ce XXième siècle. Cette tolérance-là il faut la graver dans son cœur et dans son cerveau. Pour rester fidèle aux deux seuls hommes qui ont su rester haut au-dessus de la mêlée: Hauer et Buber.

 

Detlev BAUMANN.

SOURCE: Margarete DIERKS, Jakob Wilhelm Hauer (1881-1962). Leben. Werk. Wirkung, Verlag Lambert Schneider, Heidelberg, 1986, 607 p., DM 88, ISBN 3-7953-0510-1 (Bibliographie très complète, livres, articles et recensions). Précisons que les éditions Lambert Schneider sont celles qui éditent les œuvres complètes de Martin Buber. Dans la politique éditoriale de la maison, les deux amis restent donc unis, par-delà la mort.

 

Sur la Deutsche Glaubensbewegung: Ulrich NANKO, Die Deutsche Glaubensbewegung. Eine historische und soziologische Untersuchung, Diagonal-Verlag, Marburg, 1993, 372 p., DM 39,80, ISBN 3-927165-16-6.