Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 25 novembre 2009

Avraham Burg: du sionisme au post-sionisme

avraham-burg-lenfant-terrible-judaisme-L-2.pngAvraham Burg : du sionisme au post-sionisme

 

Le père d’Avraham Burg, Josef Burg (1909-1999), a participé à la plupart des gouvernements israéliens depuis l’émergence de l’Etat hébreu sur la scène politique internationale jusqu’à sa retraite en 1986. Il appartenait à un courant religieux du sionisme, l’idéologie fondatrice d’Israël. Son fils, Avraham Burg, a, lui aussi, toujours été un pilier de l’Etat hébreu. En 1995, il est devenu président de la « Jewish Agency », qui réglait les questions d’immigration en Israël, puis de la « World Zionist Organization ». Jusqu’en 2003, il a été le porte-paroles de la Knesseth. Aujourd’hui, cet homme, trempé depuis sa plus tendre enfance dans l’ambiance sioniste militante, est devenu l’enfant terrible d’Israël, le symbole d’une intelligentsia juive critique à l’endroit de ce sionisme fondateur. Ses critiques sont parues récemment en Allemagne, dans un ouvrage au titre volontairement provocateur : Hitler besiegen – Warum Israel sich endlich vom Holocaust lösen muss (= « Vaincre Hitler – Pourquoi Israël doit enfin se détacher de l’Holocauste ») et dans un entretien accordé à la revue juive indépendante d’Allemagne, Semit – Unabhängiges jüdische Zeitschrift, publiée par Abraham Melzer. John Mearsheimer, qui avait co-publié naguère un ouvrage qui analysait en profondeur les arcanes du lobby pro-Israël, écrit : « Tous ceux qui se soucient de l’avenir d’Israël, doivent lire ce livre ». Qu’en est-il ? Le DNZ de Munich nous en parle. En voici une version française :

 

Le livre d’Avraham Burg, ancien porte-paroles de la Knesseth, vient de paraître et s’intitule Hitler besiegen. Fils de Josef Burg, qui fut longtemps ministre de l’intérieur en Israël, Avraham Burg prend désormais ses distances par rapport au sionisme et remet ses thèses fondamentales en question.

 

Comme son père, qui avait quitté Dresde en 1939 pour émigrer vers la Palestine, Avraham Burg, né à Jérusalem en 1955, est un homme qui a joué un rôle important dans la représentation de l’Etat hébreu et dans la défense des intérêts israéliens. De 1999 à 2003, Avraham Burg a été le porte-paroles du parlement d’Israël. En coopération avec Israel Singer, à l’époque directeur du « World Jewish Congress », et avec Edgar Bronfman, alors président de ce même WJC, c’est lui qui a dirigé les négociations, assez tendues, avec les banques suisses, pour récupérer les sommes qui auraient été, dit-on, retenues par ces dernières, au détriment de clients juifs. En évoquant cette affaire, Avraham Burg écrit aujourd’hui : « Cette campagne a eu plus de succès qu’on ne l’avait escompté et a une fois de plus justifié l’existence du WJC, qui en est sorti renforcé ». Rappelons également qu’Avraham Burg a servi son pays comme officier dans une brigade parachutiste, mais après son service militaire s’est engagé dans le mouvement pacifiste « Peace Now ».

Regarder l’avenir et non se retourner vers le passé

 

hitlerbeseigen.jpgSon nouveau livre (280 pages, 22,90 euro, Campus Verlag, Frankfurt a. M.) révèle toutefois une certaine déchirure. D’une part, Avraham Burg est très fier de nous dire « qu’Israël est devenu la construction étatique juive la plus puissante de tous les temps » mais, d’autre part, il craint que le fait d’avoir systématiquement dépossédé les Arabes de leurs droits menace la paix et pourrait avoir des conséquences effroyables. Il pense que les exagérations du pouvoir israélien et la démesure des agressions qu’il perpète finiront tôt ou tard par avoir des effets menaçant pour l’existence même d’Israël. Pour Burg, Israël est désormais un Etat solidement établi et puissant mais semble nier cette réalité ; Burg écrit, à ce propos : « [Israël] dissimule cette gloire derrière de perpétuelles lamentations, parce que jadis nous avons subi un holocauste. Sans cesse, à cause de la Shoah, nous voulons une armée de plus en plus performante ; nous voulons davantage de moyens, que les contribuables d’autres pays doivent nous fournir et, de plus, nous exigeons le pardon automatique pour tous nos excès. Nous voulons être hissés au-dessus de toute critique et tout cela parce qu’un Hitler a régné jadis pendant douze ans ». Burg réclame pour ses concitoyens israéliens une voie vers l’avenir plutôt qu’un regard en permanence tourné vers le passé : il veut qu’ils se décident pour un monde meilleur.  Dans certains segments du judaïsme orthodoxe, pour autant qu’ils soient liés au nationalisme israélien, notre auteur voit une menace pour la paix mondiale.

 

En Israël, une véritable « industrie de la Shoah » s’est développée et la « shoahisation » serait, d’après Burg, devenue la seconde nature des Israéliens. Là, l’ancien porte-paroles de la Knesseth reconnaît : « Je rêve de la paix et je suis prêt à payer un prix élevé pour qu’elle advienne, et j’espère ardemment que mon pays cessera un jour de fouler aux pieds toutes les valeurs pour lesquelles nous nous étions engagés lorsque nous étions une minorité persécutée ».

 

Avraham Burg plaide pour que justice soit faite au peuple allemand. L’Allemagne, nous dit-il, a vécu un véritable traumatisme national : « … à cause de l’humiliation que les puissances victorieuses de la première guerre mondiale ont infligée à l’Allemagne, un pays qui n’avait pas réussi à sortir avec succès de la compétition entre les grandes puissances impérialistes d’Europe. L’Allemagne est ainsi devenue la nation la plus blessée et le plus humiliée d’Europe ». 

Le rituel de Yad Vashem

 

Dans ce livre, qui fourmille d’informations inédites et intéressantes, nous percevons le doute angoissant de l’auteur quand il analyse la situation politique actuelle. La politique de l’Etat israélien aujourd’hui n’est certes pas responsable de l’antisémitisme mais a contribué à faire augmenter partout la haine des juifs. Burg tient pour acquis que la Shoah revêt une importance capitale dans la mémoire de la nation, mais il nie l’hégémonie qu’elle exerce sur tous les aspects de la vie quotidienne juive, et si cette hégémonie n’existait pas, les Juifs eux aussi transformeraient ce souvenir sacré, et qui devrait en tous les cas de figure demeurer sacré, en objet de moqueries sacrilèges. Plus Israël reste ancré dans le passé marqué par Auschwitz, plus il éprouvera des difficultés à s’en libérer.

 

Avraham Burg décrit ensuite l’obligation qu’ont tous à aller visiter le sanctuaire de Yad Vashem : « Nous avons là un lieu du souvenir pour toutes les victimes, pour nous tous, et tous les visiteurs doivent y venir et prendre le deuil avec nous. C’est un rituel de la nouvelle religion israélienne. Les hôtes de l’Etat atterrissent à l’aéroport Ben Gourion, se rendent rapidement à leur hôtel, pour s’y rafraîchir, pour mettre un costume noir, se nouer une cravate ou se coiffer d’une kippa de velours comme un rabbin ou un cardinal, avant qu’on les amène illico à Yad Vashem à Jérusalem. Ils prennent des mines compassées, ils sont là un bouquet à la main et ils baissent la tête. Un chantre entonne la prière pour les morts, ‘Dieu plein de miséricorde’. Ils font trois pas en arrière puis s’engouffrent à nouveau dans leurs limousines et reviennent à la réalité, l’objet de leur visite, à la politique et à la diplomatie ».

 

Plus de soixante ans après sa mort, Hitler exerce toujours une influence sur les juifs américains : « Israël joue le rôle d’un cowboy et les juifs américains lui offrent une aide stratégique, dans le mesure où ils forcent chaque gouvernement américain à soutenir Israël. Et pour cette raison, Israël soutient le gouvernement américain, s’il est à son tour soutenu par les organisations juives, qui, elles, soutiennent Israël et reçoivent en retour un soutien de l’Etat hébreu ».

Des racines allemandes et libérales

 

A l’évidence, l’auteur est issu d’une famille juive allemande et libérale. On l’aperçoit clairement à la lecture de phrases comme celle-ci : « Otto von Bismarck a été le père fondateur du IIème Reich allemand. Au début des années 70 du 19ème siècle, il a pu réaliser un rêve qu’il caressait depuis plus de vingt ans. En quelques mois, il a vaincu l’armée de Napoléon III et a fondé l’Empire allemand à Versailles en France. Par cet acte, il a hissé l’Allemagne au même rang que les autres puissances européennes. La plupart des Allemands, y compris ceux qui étaient de confession juive, ont perçu l’unification des pays allemands comme un acte de libération historique, à valeur quasi messianique ».

 

Lorsqu’Avraham Burg présenta sa future femme à son père, alors ministre de l’intérieur de l’Etat d’Israël, celui-ci se fâcha : « Comment ça ! Tu m’as dit qu’elle était française ! Mais ce n’est pas vrai, elle est des nôtres ! Elle est d’Alsace ! Bismarck nous a rendu l’Alsace et la Lorraine en 1871 ! Strasbourg nous appartient ! ».

 

La critique générale de Burg porte en fait sur la « double morale » : « Au lieu de nous conduire comme une grande puissance, lorsque nous attaquons, et comme un petit pays fragile, lorsque nous sommes attaqués ou critiqués, nous nous présentons toujours comme une superpuissance. Konrad Adenauer, le premier chancelier de l’Allemagne d’après-guerre, a dit un jour, que le judaïsme mondial était une grande puissance… Nous, les Israéliens juifs, nous sommes le noyau de la puissance juive dans le monde ».  

Les exagérations nuisent à la cause d’Israël

 

vaincrehitler.jpgAvraham Burg craint surtout les nuisances que les exagérations peuvent entrainer : « Nous avons fait de la Shoah un moyen au service du peuple juif. Nous en avons même fait une arme, qui est plus puissante que les forces armées israéliennes ».  Et, plus loin : « L’holocauste nous appartient, et tous les autres crimes du monde sont des maux normaux, ne relèvent pas d’un holocauste. Et comme ils ne relèvent pas de l’holocauste, dit le juif, ils ne me concernent pas ».

 

Ce type de parti-pris unilatéral met notre auteur en colère : « Israël et le peuple juif nient tous les autres assassinats de masse, car nous nous sommes emparé de la Shoah et nous l’avons monopolisée. Ce refus d’empathie participe du moyen que nous sommes donné : tous les autres assassinats de masse en viennent à être minimisés, nous les posons comme dépourvus de signification et nous les ignorons ». Israël, conclut Burg, doit abandonner Auschwitz. Et, pour finir : si Israël se libère de son obsession de la Shoah et de son exclusivisme, alors le monde tout entier sera plus libre.

 

(article paru dans DNZ, Munich, n°44/2009). 

mardi, 24 novembre 2009

Entretien avec Bernd Rabehl: Chute du Mur, l'Allemagne a fêté son américanisation!

G_MD009b.jpg

 

 

Entretien avec Bernd RABEHL:

 

Chute du Mur: l’Allemagne a fêté son américanisation!

 

Bernd Rabehl, ancien professeur de sociologie, animateur de la contestation étudiante autour de Rudy Dutschke en 1967-68, nous transmet ses réflexions vingt ans après la chute du Mur et la mort de la RDA. Pour lui, ces vingt années ont fait disparaître les valeurs authentiquement allemandes.

 

Q.: Professeur Rabehl, il y a vingt ans, le Mur de Berlin tombait. Quelles mutations l’Allemagne a-t-elle connue depuis lors?

 

Bernd_Rabehl_2009.jpgBR: L’Allemagne s’est transformée à grande vitesse! D’abord, la “RDA” a été totalement démantelée; son industrie, dans une large mesure, a été délibérément détruite, ce qui a fait naître des zones dés-industrialisées en Allemagne. Ensuite, un tiers de sa population, surtout les diplômés universitaires et la main-d’oeuvre qualifiée, a quitté les nouveaux Länder de l’Est pour ceux de l’Ouest ou, même, pour les Etats-Unis ou l’Australie. Certes, on doit aussi dire qu’une petite part de cette industrie s’est maintenue et développée mais, quoi qu’il en soit, on ne peut pas parler d’une parité entre les nouveaux Länder de l’Est et les anciens Länder de l’Ouest.

 

Q.: Quel héritage l’ancienne “RDA” a-t-elle finalement apporté à la République Fédérale après la réunification?

 

BR: Votre question est intéressante parce que la politique de la SED (ndt: le parti du pouvoir en RDA, rassemblant les partis communiste et socialiste) se référait toujours à des traditions allemandes et surtout à des traditions prussiennes. Dans cette optique, la politique de la RDA restait dans le cadre de la tradition politique allemande, alors que l’Allemagne de l’Ouest s’en était détachée depuis longtemps.

 

Q.: Si l’Allemagne de l’Ouest s’était détachée de l’ancienne tradition, l’unité allemande, qui résulte du processus de réunification, peut-elle être considérée, en quelque sorte, comme un “accident de l’histoire”?

 

BR: Les partis politiques de l’Allemagne de l’Ouest ne voulaient pas la réunification, et Helmut Kohl non plus, parce que la CDU (ndt: le puissant parti démocrate-chrétien) partait du principe qu’il devait y avoir désormais deux Etats allemands. Ensuite, personne, à l’Ouest, n’avait imaginé que la RDA pouvait subitement s’effondrer: on avait donc admis, comme fait acquis, cette dualité étatique allemande et, qui plus est, on ne voulait plus rien avoir à faire avec l’ancienne Allemagne, avec la tradition politique allemande. C’est l’Union Soviétique qui a mis en branle le processus de la réunification allemande, parce que l’Europe de l’Est toute entière menaçait de s’écrouler. Dans ce contexte, les élites du KGB, qui entouraient Gorbatchev, savaient que cela pouvait entraîner une révolution ou même une guerre parce que l’Armée Rouge et ses généraux n’étaiernt pas prêts à assumer l’effondrement de leur appareil militaire et de leur Etat. Voilà pourquoi on a préparé l’affaire à Moscou deux ou trois ans auparavant et mis tout en oeuvre pour que la réunification ait lieu de manière pacifique: Kohl a donc reçu entre les mains une réunification clef sur porte. Le président américain de l’époque, Bush Senior, et Gorbatchev ont donc négocié entre eux la réunification et ont dit ensuite à l’Allemand Kohl: “Tu peux y aller, la réunification est possible”. Et lorsque les grandes manifestations de Leipzig, Berlin-Est et Rostock ont eu lieu, il était clair que la RDA ne pouvait plus se maintenir parce que les Russes n’étaient plus prêts à la soutenir en tant qu’Etat.

 

Q: Dans quelle mesure, ce que vous appelez en Allemagne le “consensus antifasciste de base” (“Antifaschistischer Grundkonsens”), qui était l’idéologie fondatrice de la RDA,  est-il devenu après la réunification un dogme politique général, y compris dans les anciens Länder de l’Ouest?

 

BR: L’antifascisme en RDA désignait l’ennemi, tous les ennemis. Etaient considérés comme “fascistes”, tous ceux qui n’adhéraient pas au système. Parmi eux, il y avait des sociaux-démocrates, des libéraux, des gauchistes et bien entendu des conservateurs et des réactionnaires. Le “fascisme”, ainsi entendu, était un concept de lutte, extensible à l’infini, tout comme l’antifascisme d’ailleurs. Au moment où la République Fédérale a perdu son ennemie la RDA, il s’est opéré un glissement: en RFA, c’était auparavant le contraire, ce n’était pas le fascisme que l’on désignait comme ennemi principal, c’était le communisme, c’était lui le grand ennemi et c’était la subversion communiste qu’il fallait combattre. Le support étatique allemand du communisme allemand a donc disparu et, par voie de conséquence, l’antifascisme a été repris et utilisé dans l’Allemagne réunifiée, cette fois contre la tradition politique nationale, contre ce qu’il restait de la “prussianité”, contre toutes les volontés de changement, contre tous ceux qui récriminent contre les empiètements de l’Union Européenne, etc. Dans ce contexte, il est significatif de constater que les partis d’Allemagne de l’Ouest, bien avant 1990, et sur le modèle américain, ont mis en avant les droits de l’homme et les “libertés” individuelles et n’ont plus mis l’accent sur l’importance de maintenir intactes les assises de la culture allemande, de la langue allemande, des valeurs spécifiquement allemandes et surtout ont abandonné progressivement toutes les traditions politiques et étatiques allemandes.

 

Q.: Si les valeurs allemandes n’ont plus aucune importance, que célèbre-t-on alors en République Fédérale réunifiée?

 

bruecke_BM_Be_473190k.jpgBR: Dans le fond, ce que l’on célèbre, ce dont on se réjouit, c’est du fait qu’il n’y a pas eu de révolutions, ni à l’Est ni à l’Ouest. A l’Est, les gens sont descendus dans les rues et ont hurlé “Nous sommes un seul peuple!”, mais on les a amadoués par une réforme monétaire et par des oboles de quelques centaines de marks données gratuitement pour leur souhaiter la bienvenue à l’Ouest. C’est ainsi qu’ils ont perdu leur identité politique. Aussi parce qu’ils étaient très faiblement organisés auparavant et parce qu’il n’y avait aucune continuité pour leurs protestations dans l’opposition. Ce que l’on célèbre, maintenant, vingt ans après, c’est le fait que la Constitution, la Loi Fondamentale, et les structures de la République Fédérale ont été implantées sans peine dans les provinces qui formaient la RDA. Et c’est ainsi qu’il n’est rien resté de la RDA. Donc, dans le fonds, ce que l’on célèbre, c’est l’américanisation totale de toutes les Allemagnes.

 

Q.: N’est-il pas remarquable que vingt ans après la chute du Mur de Berlin, le Traité de Lisbonne consacre la “dés-étatisation” de l’Allemagne et des autres Etats membres de l’UE?

 

BR: On “dés-étatise” effectivement tous les Etats nationaux et donc aussi l’Etat allemand. L’UE acquiert dans ce processus une souveraineté supra-étatique et devient ainsi un “Super-Etat”. Mais l’Europe n’en devient pas pour autant une grande puissance: elle ne le peut parce qu’elle est liée aux Etats-Unis, par les traités qui régissent l’OTAN et par les accords en matière de sécurité. On a certes fait quelques timides efforts pour accéder au statut de grande puissance mais, au début de l’année 2003, les Etats-Unis sont intevenus pour enrayer le processus et ont bien fait comprendre aux Européens que les Etats-Unis seuls, ou éventuellement l’ONU, décidaient de la guerre ou de la paix, tant et si bien que le “Super-Etat” européen n’avait pas à trancher dans cette question ô combien cruciale. Or tout Etat qui ne peut décider par lui-même de la guerre ou de la paix n’est pas un Etat souverain!

 

Q.: Quelles forces se profilent-elles derrière cette évolution, quelles forces poussent-elles en avant la “dés-étatisation” des Etats nationaux européens?

 

BR: Indubitablement, ce sont les Etats-Unis qui, depuis 1945, cherchent systématiquement à imposer à l’Europe leur propre système politique. Lorsque l’on songe aux partis, alors nous constatons que ne gouvernent généralement que deux partis, soit par le biais d’une coalition, comme en Allemagne, soit par alternance comme aux Etats-Unis, où c’est tantôt l’un tantôt l’autre parti qui fournit le président. Ce système politique, que je qualifie de “libéralisme matériel”, a pris pied en Allemagne. Dans le passé, l’Etat primait toujours: ce furent tour à tour l’Etat monarchiste ou l’Etat de l’administration ou de la fonction publique indépendantes, qui s’opposèrent à l’Etat partitocratique, à l’Etat perverti par les machines politiciennes et partisanes. Après 1945, l’Etat est devenu le jouet des intérêts politiciens et partisans. Comme on le dit vulgairement aujourd’hui, l’Etat a dégénéré en une “auberge” sans structure, où les intérêts partisans cherchent à glaner le maximum de prébendes et d’avantages. Et cela, c’est typiquement américain.

 

Q.: A quoi l’Allemagne va-t-elle ressembler d’ici vingt ans, à votre avis, le jour où l’on fêtera les quarante ans de la chute du Mur?

 

BR: Cela dépendra des conséquences qu’aura, dans la vie politique de la nation, la sélection à rebours que systématisent nos pseudo-élites, une sélection négative que favorisent les partis et qui produit un personnel politique toujours plus médiocre. Si la corruption s’impose partout, si les intérêts privés des groupes et des lobbies finissent par dominer à l’intérieur des partis et de la machine étatique elle-même, alors nous sombrerons dans la paralysie politique. L’Etat et les gouvernements seront dans l’incapacité d’agir, situation dont nous percevons déjà les signes avant-coureurs, une involution que nous apercevions déjà du temps de Kohl, qui est visible chez Merkel. Tout gouvernement affecté d’une telle paralysie, qui élude les problèmes ou qui réagit différemment selon les situations, se révélera incapable de maîtriser les crises qui surviendront; par conséquent, de tels gouvernements ne pourront pas résoudre les conflits sociaux ni éliminer ni piloter les contradictions au sein de la société. J’oserais alors affirmer que les peuples et les nations d’Europe, à un certain moment, entreront en résistance, que les classes sociales, que je n’exclus pas du processus d’insurrection potentiel, se dresseront elles aussi contre cette inaction fatale, parce que tous diront, tout simplement, “ça ne va plus, ça ne peut plus continuer ainsi!”. Si Angela Merkel ne trouve aucune solution pour Opel, les ouvriers risquent bien de descendre dans la rue, de taper sur la table et d’exiger que l’on trouve des solutions. Et quand les autres nations d’Europe, à leur tour, se sentiront grugées, alors, elles aussi, entreront en résistance.

 

(propos recueillis par Bernhard Tomaschitz pour l’hebdomadaire viennois “zur Zeit”, n°46/2009; trad. franç.:  Robert Steuckers).

 

 

Les origines de l'ostalgie

gdr_shirts1.jpg

 

Les origines de l'ostalgie

Ex: http://unitepopulaire.org/

« Le débat sur la RDA est resté au point mort ou, plus exactement, qu’il a été étranglé par l’unité allemande. La vie de presque tous les Allemands de l’Est ayant été de ce fait bouleversée de fond en comble, débattre de “l’autre époque” eût été un grand luxe. Il fallait d’abord souscrire les bonnes assurances, se former aux entretiens d’embauche, apprendre ce qu’était un propriétaire bailleur. La vie après la chute du Mur a été, pour de nombreux Allemands de l’Est, tellement dévorée par ces aspects peu romantiques que tout regard en arrière aurait été contre-productif. Je me suis mis à la sociologie pour en finir une bonne fois pour toutes avec ce que Neues Deutschland [l’organe du Parti] m’avait inculqué. Seuls ceux qui ne trouvaient pas leur place dans la nouvelle société, trop étrangère, pouvaient se permettre de penser à la RDA – un pays où tous les problèmes que l’on ne parvient pas à résoudre aujourd’hui n’existaient pas. C’est là que la nostalgie de la RDA a fait son apparition et s’est répandue comme une traînée de poudre, tant étaient nombreux ceux qui n’avaient pas pu s’adapter et menaient une vie insatisfaisante. Il y en avait bien plus qu’on ne le supposait à l’Ouest. Et ce n’étaient pas seulement des anciens de la Stasi et autre vermine de l’appareil d’Etat.

Le photographe Joachim Liebe a retrouvé, des années plus tard, les gens qui étaient passés par hasard devant son objectif à l’automne 1989 et il a parlé avec eux. Sur les dix personnes photographiées qui ont accepté de s’exprimer, une seule a déclaré avoir réussi sa vie. Les autres font comme ils peuvent, se débrouillent, serrent les dents. Et, je le souligne encore, ce n’étaient pas des gens démis de leurs fonctions, mais des manifestants qui avaient précipité la chute de la RDA. Il est évident que, sur tous les Allemands de l’Est que nous sommes, un seul pouvait devenir chancelier, mais l’unité aurait dû nous offrir un meilleur taux de réussite que celui de un sur dix.» 

 

Thomas Brussig, sociologue, Cicero (Allemagne), octobre 2009

00:30 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : allemagne, rda, actualité, sociologie | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

lundi, 23 novembre 2009

Meltdown

meltdown.jpgMeltdown

February 19, 2009

By Joe Priestly / http://bnp.org.uk

It seems like every day brings with it a new and significant development and always more evidence of the conspiracies and cock-ups of Brown and co. It’s impossible to keep pace with events – this feels like meltdown. Nothing works and nothing makes sense; reality is catching up with the liblabcon fantasy.

Over the past sixty years or so the liblabcons have been spinning a web of lies to justify the destruction of British culture and the genocide of the British people. Their common purpose is to remake Britain as a society consisting of peoples and cultures from every corner of the earth. The responsibility for putting in place the final pieces of this multicultural jigsaw fell to the New Labour government, ably supported of course by the ‘opposition’. The economy was the key. It was essential that people had money to spend on the latest distractions. Hence the government-sponsored credit boom; it was a smokescreen behind which they hid our demise.

They didn’t want us to trouble ourselves with concerns about immigration, Islam, asylum, education, crime, the EU… just in case we came to the wrong conclusion. So they gave us easy credit and unbridled consumerism and added the big match and the soaps to stop us thinking about what really matters.

But a financial storm blew away their easy-money smokescreen and left the liblabcons with nowhere to hide. People are now counting their pennies and thinking less about hi-tech toys and the latest Big Brother controversy and more about the state of the nation and its impact on their lives and futures. They’re waking up to the mess that the liblabcons have made of this country.

The establishment is ideology-led and has convinced itself that nature can be moulded to fit its plan. And it’s this thinking that’s brought Britain to its sorry state. But perhaps it had to come to this. Maybe nothing short of crisis would have woken us from our slumber – that is the British way isn’t it? It seems to me though that we’re waking up now. What’s that they say about the problem being the catalyst for its own solution? And we can see it in action in the increasing number of people who are making the connection between the ideology and its manifestations.

The establishment is founded on a lie so monumentally absurd that it’s spent all its life lurking between the lines and only ever appearing as hint and suggestion. Stripped of all its camouflage the bare-faced lie is that the genocide of the British people is good for the British people – little wonder they had to sugar-coat it with a billions tending towards trillions credit boom.

But that alone wasn’t enough. It was necessary also for them to rework every aspect of society to discourage dissent and to encourage the British people’s acquiescence in their own genocide. It worked for a long time and that and the booming economy encouraged the liblabcons to think that the good times would last forever and that their transformation of Britain would proceed unnoticed.

That was then; the party finished a while back. Post party, in the cold light of a looming depression, the changes imposed on Britain are not all that their liblabcon architects had painted them to be. What they said would be utopia looks increasingly like chaos – and that’s before the lights start going out. The consequences of the lie are beginning to be felt and it’s dawning on British people that the reality of the lie is their destruction.

And as Nazi Propaganda Minister Goebbels* observed, “The lie can be maintained only for such time as the state can shield the people from the political (and) economic… consequences of the lie.” And he should know. The British political and media establishment used the credit boom to soften the impact of its ideology on the population; they encouraged people to focus on personal gain while they got on with the job of creating 21st century multiracial multicultural Britain. But the boom has turned to bust and their lie is there for all to see.

Politicians, power brokers, celebrities, and mainstream media-types have staked their reputations (read fortunes) on their sick lie and its bastard child multiracial multicultural Britain. The maintenance of the lie is all that separates them from ruin; without it they’d be irrelevant. They are the status quo and everything they do is aimed at holding that position; they have no choice but to maintain the lie. But now the spend fest is over. The cupboard is bare and winter approaches; the liblabcons have run out of the means to shield the British people from the consequences of the lie. The reality of mass third world immigration is upon us.

If we take fact as truth then a lie is a deliberate distortion of fact. In respect of mass immigration and its impact on British society the establishment distorts the facts so as to paint a positive picture of its creation the multiracial multicultural society. But the nearer a disaster looms the more it is recognised for what it is, irrespective of official explanations. Ignoring facts doesn’t make them go away nor does it diminish their truth.

The establishment lost the argument years ago and their position now is entirely dependant upon those members of the population that remain indifferent to politics and politicians until they impact on them personally. But the collapse of consumerism and the maturation of the multiracial multicultural society is encouraging even the formerly indifferent to pay attention to the shenanigans of people in power. The establishment sold out for short term advantage and the short term is almost up; the theft of a nation from under the noses of its people isn’t something that can go unnoticed forever. The British people are waking up to the liblabcons’ crimes.

Having distorted the facts for six decades the British establishment is in no position to face them. Facing facts will expose the lie and their world will come crashing down. Britain is a multiracial multicultural society because the establishment ignored the facts; in spite of the fact of the chaos of third world multiracial multicultural societies, Britain’s political and media elite facilitated the importation of millions of third world aliens into our midst as part of a plan to make Britain into such a society. Now the predictable is happening; multiracial multicultural chaos is playing on our streets.

Of course they never would have predicted it. Their world view, their equality dogma, prohibits any such prediction. And whereas a growing number of the rest of us are coming to believe that the liblabcons were negligent in failing to anticipate the chaos that would accompany mass third world immigration, the liblabcons continue the charade of the multiracial multicultural society as utopia – in the face of growing evidence to the contrary. You’ve got to laugh.

The liblabcons put me in mind of a kind of circus act that I saw on TV years ago but haven’t seen since. I don’t know what it’s called but it involved spinning plates (crockery) on canes. Those that know what I’m talking about please hum along for a moment while I explain for those that don’t… A number of canes (at a guess about 50) is set vertically and fixed at the lower point, the ‘artist’ gyrates each cane in turn and sets a plate spinning on the upper point so that it balances under its own momentum, he does the same with each cane until each has a plate spinning on it. He then attempts to maintain this equilibrium by moving from one cane to another to tend to those plates in danger of slowing beyond the critical and crashing to the floor. In a short while his movement has become a rush from one cane to another as the plates lose momentum faster than he can maintain it. And then the inevitable happens. First one plate then another and another until almost in unison the rest crash to the floor.

Their situation is analogous to that of the circus artist upon the realization that the inevitable is, well, inevitable. The plates haven’t yet all crashed to the floor but they’re going to. Like the circus artist the liblabcons have created something that can’t be maintained but unlike him they can’t just throw up their hands and walk away from the crashing plates; they’ve got far too much invested in keeping things spinning for as long as possible.

But in a meltdown everything goes wrong. And the liblabcons’ frantic effort to keep their metaphorical plates spinning merely draws attention to the illogic of setting them spinning that way in the first place. Our economy and our society aren’t working because they’re founded on an ideological fallacy, universal equality and the theory of the interchangeability of man. Yet the liblabcons’ solutions to the problems caused by their way of thinking is yet more of the same; they’re trying to solve society’s problems with the same thinking that created them. And they’re beginning to look ridiculous because of it; every time they open their mouths they contradict themselves. Their world view is in meltdown, and yet it looked so good on paper – or so they used to say.

To paraphrase Karl Marx, Marxism is collapsing under the weight of its own contradictions. There’s so much going wrong now in this country that our establishment and its idiotic thinking are permanently under the spotlight and both are being revealed as barrels of contradiction. That’s why no liblabcon type will ever stand his ground – they haven’t got a coherent argument so they avoid argument. It’s a variation on the no-platform theme. Even establishment media persons are shuffling their feet away from liblabcon egalitarianism. The lie is being found out and every time an establishment mouthpiece attempts a cover up they succeed only in shoving their foot further down their throat. Everything they do is founded on a lie and the lie is being undone by its own contradictions.

British society today is a manifestation of liblabcon equality ideology. The alienation that we feel is a consequence of society following the incoherent ideology of egalitarianism, which quite literally doesn’t make sense. It is smoke and mirrors and it’s survived to this point, since WWII, on a combination of bullying, bullshit, and brass neck. It’s bullied, bullshit, and brass necked its way to intimidating the rest of us into going along with its world view. But in spite of the power of its ‘followers’, equality ideology has never convinced more than a committed few. Tolerance of its ‘inherent contradictions’ requires a dedication far beyond the means of most people; the majority of those that go along with equality ideology do so because it’s the direction of least resistance.

The reality is that equality ideology has a fundamental weakness; it lacks continuity. Its argument is riddled with inconsistencies and so its proponents always seek refuge in vagueness. These people need plenty of room for manoeuvre.

Yet their room for manoeuvre is shrinking. It’s becoming clearer by the hour that the problem is the liblabcons and their equality thinking – the logical conclusion of which is the state of Britain today, economically, socially, and spiritually. Having created this mess, the establishment is now in the unfortunate position of not only having to defend it but to promote it as well. And so naturally incoherence features in every aspect of everything that the establishment does and says. Whatever the policy, whatever the department, whatever the statement, you know it won’t make sense. There are countless examples of the idiocy of liblabcon thought in action; three which immediately come to mind are free movement of labour, the incarceration of immigrants, and the Afghanistan ‘war’.

In their blind pursuit of ‘equality’ the liblabcons sanctioned the free movement of labour and in so doing signed away this country’s right to favour its own workers on its own soil over foreign workers on its soil – surely the most treasonable act ever committed. I wonder if they think they’re going to get away with that one forever. And as if that wasn’t bad enough, from the liblabcons’ long term health point of view that is, by severing their commitment to their own population they sort of compound their problems by effectively making themselves redundant. If they’re not there to represent our interests what exactly are they for? Is that what they mean by an unintended consequence, or was it intended and part of a conspiracy of extreme subtlety? I can never work out whether their determination to have us see them as lying, idiotic, thieving, hypocritical, treacherous cowards is due to incompetence or whether it’s part of a cunning plot that’s beyond my wit to understand.

It seems to me they’re paying the price of living a lie and the lie is coming back to haunt them.

Having said that, I’m sure I could put the case for the liblabcons better than they do. Consider the gaga they offer in explanation for the statistical over-representation of ethnic minorities in prisons and in secure mental health institutions. You don’t need me to tell you what it is – they parrot the Marxist line, that these inequalities of outcome are a consequence of the racism of the criminal justice and mental health systems. Any other explanation would set in motion a train of thought that leads back to the source of the problem, equality dogma and its application; the Marxists’ intention is to set the train of thought on a wild goose chase after whites as the cause of the problem. It’s the easy option and it’s the only one that doesn’t question their insane world view.

But there’s a nice irony in this; their explanation is a perfect example of the inconsistency it was intended to disguise. For them the problem is not the equality idea but opposition to the idea. And so every explanation they offer for any of society’s problems must always be tailored to protect the easily bruised equality idea. It’s this that has them tripping over their own feet.

Ethnic minorities are over-represented in prisons and mental hospitals either because they’re more inclined to criminality and mental health problems or because they’re not treated the same as the majority population. If it’s not one it’s the other. And that’s a no brainer for the establishment whose equality dogma dictates that ethnic minorities can never be the cause of any problem. The problem therefore is the majority population. It’s that catch-all again, racism, the only explanation that doesn’t question the equality idea.

But it’s here they get their wires crossed. According to them the criminal justice system is racist because it treats ethnic minorities differently from ethnic Britons, and the mental health system is racist because it treats ethnic minorities the same as ethnic Britons and fails to take into account cultural and ethnic difference in behaviour when diagnosing mental illness. Doesn’t that just sum up these gibbering liblabcon wrecks? The criminal justice system is racist because it discriminates; the mental health system is racist because it doesn’t discriminate.

They’re less concerned with the soundness of their argument than they are with arriving at the right conclusion; equality ideology must never be seen to be a problem. All their roads lead to racism.

The “racism” accusation began as a tactic, it developed into a strategy, and now it looks increasingly like a last ditch effort. You can tell they’re no longer comfortable with it, it’s like they’re suddenly aware that British people are sick to death with the accusation and contemptuous of its argument. But when liblabcon backs are against the door – it’s either racism or the admission that their thinking has been wrong all along.

Nothing they say makes sense because their argument is founded not on hard facts but on wishful thinking. Their explanations run contrary to the facts and as the facts become clearer so do the holes in the explanations. That’s what’s happening now; the reality of the multiracial multicultural society is hitting home and the liblabcons’ equality/diversity sweet talk is at such odds with the facts that it’s encouraging the scepticism it’s designed to stop.

Consider the conflict in Afghanistan: The establishment is putting our soldiers’ lives on the line in Afghanistan allegedly to protect Britain from terrorism yet at the same time it keeps Britain’s borders open to any Tom, Dick, or Harry who cares to cross them. Anybody else see the contradiction here? Yet the liblabcons don’t get it – their idiotic ideology won’t allow them to.

 They’re in denial. It’s a common response to overwhelming collapse. They’re taking the only option open to them, they’re burying their faces in their comfort blankets and singing nursery rhymes about joy and diversity. Liblabcon thought is reaching its logical conclusion – illogicality. They’re in meltdown.

dimanche, 22 novembre 2009

Obama: l'uomo della Provvidenza?

Obama: l’uomo della Provvidenza?




di Marco Aurelio Casalino / ex: http://augustomovimento.blogspot.com/


L’elezione di Barack Obama ha scatenato momenti di entusiasmo prossimi al delirio collettivo, un’esaltazione quasi messianica per il primo uomo di colore che ha avuto accesso alla Casa Bianca. In Europa, e nel Mondo, la frenesia ha attraversato tutti gli ambiti sociali, suscitando atti di ritrovata fede nelle virtù (virtù?) della democrazia (democrazia?) statunitense e ubriacature condite da forti dosi di propaganda etnicista per il baldo Obama. Ora, passato qualche mese dall’evento, è venuta l’ora di riconsiderarlo con maggiore attenzione politica e spogliandosi di emotività. È vero, sì, che gli abitanti degli Stati Uniti sono soliti eleggere un uomo politico come fosse una rock star carismatica, tutto stile glamour, molto people, e tutto frasi fatte e propaganda d’impatto (una sintesi fra Fonzie e il Principe di Bel-Air…) ma noi, che dovremmo essere diversi nei giudizi, conoscendo gli uomini, la politica e la storia, avremo un’altra luce nel vedere la realtà per come essenzialmente è (non nutro molte speranze in questo, in quanto è arrivata anche da noi questa sorta di politica daavanspettacolo”, tutta slogan e niente idee… ma almeno ci spero).

Un semplice colpo d’occhio alla squadra che ha gestito e finanziato la campagna del candidato Obama, con una raccolta di biografie delle persone “cruciali”, e tutto torna normale. Infatti, l’importante per le “vere” classi dirigenti statunitensi non è il partito di questo o di quel governo, ma il partito che, pur cambiando, è in grado di assicurare il potere già esistente nello Stato, cioè quel complesso di lobbies militare-industriale-finanziario (cioè politico…) che, apparentemente ma solo spettacolarmente, dà l’impressione di corrispondere alle aspirazioni delle masse, ma realmente continua nel suo “progetto”, fatto di interessi finanziari, simbolici e, quindi, politici. «Bisogna che tutto cambi perché tutto rimanga come prima» diceva Orwell. Il capitalismo più avanzato e, quindi, più potente è quello apparentemente più tollerante, cioè quello aperto a qualsiasi tipo di partito (democratico ovviamente), a qualsiasi sfaccettatura della amata globalizzazione, quindi socializzazione, sessualizzazione, destra repubblicana, sinistra democratica, ateismo, omosessualità, travestiti, lesbiche, negri, ispanici, cinesi, coreani, ebrei, amerindi ecc. Non esiste origine etnica, né discriminazione politica o culturale, a patto che tutto queste realtà non mettano in discussione il “Potere”. Si tratta di una “positività” estremamente vincente (anche se talvolta scade nel grottesco o nel politically correct), creando una miscela di differenze (innocue) nella quale si dà vita ad un collage, il cosiddetto «Melting pot», dove quella che chiamiamo «società» o «Stato» non è altro che un’accozzaglia di razze, culture, popoli, spersonificati a dovere e amalgamati tutti insieme, come per azzerarli, annientarli, massificarli, come avviene nella sfera della merce e dei prodotti (vedi «l’uomo massa» di Marx).

Da questa realtà profondamente malefica proviene Obama e la sua elezione, e solo i soliti ingenui e ciechi (anche se imbardati di lauree e titoli…) possono non considerarla per quello che è: una grande operazione di marketing politico. Questi dovrebbero sapere, prima di adulare, che lo Stato capitalista che dirige e domina la grande economia (e quindi la politica mondiale), avente come ideologia cardine il “Dio Denaro” e la sacralizzazione quasi mistica della ricchezza (da cui scaturiscono ovviamente povertà e schiavitù per i restanti 2/3 del mondo…), mai avrebbe e mai ha accettato, approvato od anche solo tollerato una forza autenticamente popolare, se Obama in questo l’hanno confuso. Ogni realtà che ha messo o anche solo provato a mettere in discussione l’equilibrio dei Poteri, la distribuzione del denaro (ehm, scusate Dio…) e delle proprietà, è stato schiacciato, senza margini di negoziato, con un gioco “democratico” molto abile. È la storia che parla, non io. Allora, come è andata davvero?

Quattro anni fa Barack Obama non era che un giovane senatore dell’Illinois, eletto da poco, e anche sconosciuto. Due anni fa dichiarò la sua candidatura alla presidenza. Tenendo conto che non è un esperto mestierante della politica come la sua rivale Hillary Clinton, non poteva fare appello a dinastie potenti come Roosevelt o a famiglie cattoliche ricchissime come Kennedy, non ha mai svolto ruoli di primo piano in campo militare come l’altro suo rivale McCain, non ha la preparazione culturale del suo idolo Lincoln, allora c’è davvero da chiedersi: come diavolo (e forse il diavolo ne sa qualcosa…) ha fatto a diventare Presidente di una delle prime potenze mondiali?! Sarà bastato un semplice «Yes, we can!»?! Oppure sarà bastato essere di colore? Per quanto mi riguarda, il valore politico di un uomo non è dato dal suo colore della pelle, anzi, a tutti i suoi buonisti, moralisti e zelanti-simpatizzanti, rispondo che è in realtà una maniera molto razzista e semplicistica di giudicare, quasi che la grande politica sia questione di razza, e non di idee.

Partiamo dal punto cardine che Barack Obama, fin dal momento della sua candidatura, ricevette immediatamente somme considerevoli. E, se mi avete seguito fino ad ora, avrete capito che il “Sistema” non consente mai l’emergere di una candidatura imprevista. Insomma, parliamoci chiaramente: il caro Obama ha giocato il gioco dei padroni della Finanza Mondiale, e il sostegno senza riserve che gli hanno accordato George Soros (in foto) e Warren Buffet (chi sono?... INFORMATEVI!!!) la dice lunga sulle sue relazioni con il capitalismo finanziario e sul suo non essere il “nuovo Messia”. Gli Stati Uniti non sono solo il paese più odiato al mondo, ma anche quello che, a furia di speculazioni da parte dell’alta Finanza Mondiale sui popoli, trascina il Pianeta intero nel suo naufragio economico, nonché culturale. Sono in stato di recessione avanzata, oggetto di speculazioni massicce. Per non perdere il sostegno necessario a proseguire la loro politica imperiale, se non si voleva che il Paese diventasse ingovernabile, bisognava proporre qualcosa di nuovo, una nuova immagine, senza intaccare il potere economico e politico: lavorare sull’immagine come fosse un simulacro. Una scelta di facciata che superasse la solita classe politica che esiste da tre decenni e creare l’uomo della provvidenza. «Creare», ho detto. E Obama coincide perfettamente con quest’immagine: giovane, rinnovato, apparentemente non compromesso con la vecchia guardia politicante, uomo di colore sposato con donna di colore, buon padre di famiglia, sorridente e che, in un periodo di crisi mondiale, dice: «sì, possiamo farcela!». Meglio di così? Ecco costruita l’immagine perfetta, con la speranza di cambiare per il popolo ma senza che il Potere voglia farlo davvero.

Ed ecco un modo fruttuoso per consolidare quest’immagine perfetta. Togliamoci un piccolo sassolino dalla scarpa. Il vincitore del festival di Sanremo non è sempre il miglior cantante, così come chi si aggiudica l’Oscar non è per forza il miglior attore. È solo spettacolo. Ma almeno il premio Nobel (per la pace poi!) dovrebbe essere tutt’altro che spettacolo, dovrebbe essere un esempio, un punto di riferimento. Non è così. È solo spettacolo (ahi noi…). L’assegnazione è spiccatamente pilotata dalle potenti lobbies politiche e dai media a loro asserviti. Ma tutto, nella vita, va dimostrato. Il vincitore del premio Nobel per la pace è Barack Obama, per «i suoi straordinari sforzi nel rafforzare la diplomazia internazionale e la cooperazione fra i popoli». Una scelta quantomeno criticabile e discutibile (per i più) e assolutamente ridicola (per me), in quanto il Presidente USA mantiene ancora schierate le sue truppe in Iraq, prosegue (e come!) la guerra in Afghanistan, anzi coinvolgendo nei raid anche il Pakistan, prosegue le azioni militari in Somalia, mentre soldati USA combattono nelle Filippine. Forse qualcuno («i più», citati poc’anzi) non è ancora soddisfatto. Allora, continuo a rendere ancora più stravagante questo Nobel per la pace: ha piazzato Consiglieri e addestratori militari Usa nel sud della Thailandia, contro i separatisti islamici di Pattani, anche loro accusati di legami con Al-Qaida (rimane ancora oscuro ed inspiegabile nonché invisibile questo “terrorismo” di Al-Qaida…); in Georgia, contro i separatisti osseti e abkhazi sostenuti dalla Russia; in Colombia, contro i guerriglieri delle FARC; in Niger, Mali e Tunisia, contro le cellule locali di Al-Qaida nel Maghreb Islamico (ancora con questo Al-Qaida…); in Yemen contro le milizie di Al-Qaida (!) nella penisola Araba. Ecco il valore di un Nobel per la pace. Sarei curioso di sapere cosa pensano di questa assegnazione tutte le mamme dei militari uccisi (americani e non), o tutte quelle persone che hanno visto massacrati e trucidati i loro cari od anche dei semplici “esseri umani” (non dimentichiamoci che questo siamo…) davanti ai loro occhi, in nome della democrazia e, appunto, della pace (!). Ecco lo «straordinario sforzo» di quest’uomo, ecco la «cooperazione tra i popoli». E mi sto limitando alla semplice amministrazione Obama. Non vorrei andare a ritroso nei precedenti Nobel per la pace. Ora, per il 2010, aspettiamo il Nobel per la “Fisica” a Fabrizio Corona.

Infine, per avere un quadro della situazione veramente completo, farò anche qualche nome sul gadget dei “salvatori”, cioè su coloro che rappresentano gli Stati Uniti d’America, e quindi il suo Presidente: Zbigniew Brzezinski (autore di un libro dove parla di dominio imperiale, dal titolo La grande scacchiera) come dirigente degli Affari Esteri, Bill Gates (non ha bisogno di presentazioni e non fa certo parte del “popolo”…), come Segretario al Tesoro c’è Timothy Geithner (Presidente della FED di New York, anch’essa non proprio attenta ai bisogni del popolo), o anche Lawrence Summers al Consiglio Nazionale Economico (è l’ex presidente di Harvard ed è stato già Segretario al Tesoro con Bill Clinton…). Quanta bella gente, e nuova soprattutto. Ops, dimenticavo: c’è Rahm Israel Emanuel, l’espertissimo lobbista di Washington (già consigliere di Freddie Mae, oggi in fallimento!), l’uomo che fu volontario nell’esercito israeliano durante la guerra del Golfo e che ora predica la guerra contro l’Iran ed un sostegno incondizionato sempre a Israele (ma Obama non era pacifista?).

Se, a mo’ di conclusione, le élites statunitensi avessero voluto davvero mostrare al paese e al mondo un cambiamento simbolico reale e forte (non parlo di un cambiamento di Sistema, che soltanto una rivoluzione potrebbe suscitare), non avrebbero scelto un meticcio il cui padre non era nemmeno un discendente di schiavi. Avrebbero, invece, scelto un indiano, un pellerossa. I neri sono, malgrado loro, il prodotto della conquista del potere bianco negli Stati Uniti. Nonostante siano da sempre stati vittime di un duro e ostentato razzismo da parte dei bianchi, hanno partecipato nondimeno da soldati americani alla conquista del West, senza preoccuparsi troppo della sorte genocida riservata agli Amerindi. E questo è solo un esempio, perché i neri hanno, ormai da secoli, sempre cercato di sopportare questo celato razzismo pur di vivere nell’American dream da
schiavi e scomunicati ma comunque americani. Schiavi sì, ma del loro stesso destino, che loro stessi hanno scelto.

Gli Indiani d’America tutti, invece, pur avendo subìto uno sterminio totale (si parla di circa 70 milioni di persone!), hanno sempre combattuto con indomito coraggio ed infinito onore contro l’invasione bianca, coprendosi di gloria per sempre.
Se l’élite avesse desiderato dare un simbolo forte di un’America che riconosceva il debito con gli autoctoni che i suoi padri hanno spogliato delle loro terre, della loro dignità, cultura e delle loro credenze, avrebbero dovuto promuovere al posto supremo un indiano. Io, personalmente, l’avrei comunque vissuta come un’ennesima presa in giro (prima ti stermino, poi ti metto al comando, tanto comando sempre io…) ma almeno una presa in giro che tiene conto della storia. Ma non poteva farlo, non poteva agire così, avrebbe implicitamente ma automaticamente provato l’illegittimità del potere bianco sui popoli autoctoni. E tutte quelle guerre poi? Non sarebbero state più giuste e democratiche! Allora, meglio Obama. E togliamoci il pensiero.

00:15 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : actualité, politique internationale, etats-unis, obama | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

vendredi, 20 novembre 2009

Türkische Charmeoffensive

turkey-syria-2009-9-16-11-41-57.jpg

 

Türkische Charmeoffensive

Erdogan umwirbt Araber und verteidigt das iranische Atom-Programm

Ex: http://www.ostpreussen.de/

In der türkischen Politik hat sich in den letzten Jahren ein deutlicher Wandel vollzogen – hin zu mehr Islam und pan-islamischer Solidarität. Jüngstes Anzeichen dafür war der Staatsbesuch von Ministerpräsident Recep Tayyip Erdogan im Iran. Dabei verteidigte Erdogan das iranische Atom-Programm, verurteilte Sanktionen und kündigte eine verstärkte türkisch-iranische Zusammenarbeit in Wirtschaft und Sicherheit an.

Die früher ausschließliche Westorientierung der Türkei, zu der auch die enge militärische Partnerschaft mit Israel gehört, geht im wesentlichen auf Kemal Atatürk zurück und wurde im Kalten Krieg durch den Beitritt zum Europarat 1949 und zur Nato 1952 verfestigt. In weiten Teilen der Bevölkerung, keineswegs nur in „bildungsfernen Schichten“, hat sich allerdings ein Umdenkprozess vollzogen, der schließlich in den Wahlsieg von Erdogans AKP 2002 mündete.

Die Ursachen sind vielfältig, haben aber primär mit der Behandlung muslimischer Staaten und Völker durch den Westen zu tun – Stichwörter Palästina, Irak, Afghanistan und Pakistan. Dazu kommt nun auch Frust über Widerstände in der EU gegen eine Aufnahme der Türkei. Aber bereits der Irak-Boykott ab 1992 hatte die Osttürkei auch wirtschaftlich schwer getroffen. Und Erdogan sieht sich durch Israel sogar persönlich mehrfach hintergangen: Vor allem durch den israelischen Luftangriff auf eine vermutete Atomanlage in Syrien 2007, der über die Türkei hinweg erfolgte, und den jüngsten Gaza-Krieg, den der damalige Premier Olmert einen Tag nach seinem Besuch bei Erdogan startete.

Die neue Linie wird von manchen Kommentatoren auch als „neo-osmanisch“ bezeichnet, weil sie im Unterschied zu dem auf die Turkvölker Asiens fixierten Pan-Turanismus „aufgeklärter“ türkischer Ultranationalisten nicht in diesem Ausmaß auf Sprache und „Türkentum“ ausgerichtet ist, sondern eben eher auf die „Umma“, die „Gemeinschaft der Gläubigen“ – sowie auf Gebiete, die einst zum Osmanischen Reich gehörten. Das erklärt etwa auch die vorsichtige Auflockerung in den Beziehungen mit dem christlichen Armenien.

Das erklärt ebenso das besondere Engagement am Balkan, nicht nur in Bosnien und Kosovo, und an verstärkter Zusammenarbeit mit Syrien und dem Irak. Nicht zu vergessen, dass der Sultan als Kalif auch Hüter der heiligen Stätten in Palästina war und dass die Anteilnahme an der Unterdrückung der Palästinenser, weil unterschwellig auf Nostalgie beruhend, sehr emotional ist. Man sah dies an den jüngsten Demonstrationen gegen die USA, als diese von ihrer Forderung nach einem israelischen Siedlungsstopp abrückten.

Die verstärkte Zusammenarbeit mit dem Iran ist angesichts der westlichen Drohungen mit einer Verschärfung des Boykotts bis hin zu Militäraktionen besonders brisant. Der bilaterale Handel, 2008 im Volumen von sieben Milliarden Dollar, soll ausgebaut und auf die Landeswährungen umgestellt werden. Die Türkei kündigte außerdem Investitionen von 3,5 bis vier Milliarden Dollar zur Erschließung des iranischen Erdgasfelds South Pars an und will iranisches Gas teils selbst konsumieren, teils über die geplante Gasleitung Nabucco nach Europa weiterliefern.

Bei der Zusammenarbeit in Sicherheitsfragen geht es nicht um Militärabkommen, sondern um den Kampf gegen gemeinsame innere Feinde. Das sind aufständische Kurden sowie sunnitische Extremisten, die vom Westen vereinfachend unter Al-Kaida zusammengefasst werden. Deren Terroranschläge waren in beiden Ländern lange Zeit ebenfalls gerne den nationalen Minderheiten zugerechnet worden, also den Kurden und im Iran auch den Belutschen – eine Propagandalüge, die sich nicht aufrechterhalten lässt.

In der Kurdenfrage hat Erdogan bereits einige bemerkenswerte Schritte gesetzt: Ein kurdisches Fernsehprogramm wurde zugelassen. Mit dem seit 1999 auf der Gefängnisinsel Imrali inhaftierten PKK-Führer Abdullah Öcalan gibt es indirekte Verhandlungen, und nun soll er sogar aus der Einzelhaft „erlöst“ werden: Er bekommt Mitgefangene. Der türkische Außenminister besuchte Erbil, was eine formelle Anerkennung der kurdischen Regierung im Nordirak bedeutet. Kurdenpräsident Masud Barzani lobte dafür Erdogan in den höchsten Tönen – was wie eine Absage an die türkischen Kurden aussieht. Umso größer ist daher das iranische Interesse, dass nun auch die iranischen Kurden nicht mehr auf Unterstützung von den Nachbarn hoffen können.    

RGK

Veröffentlicht am 12.11.2009

Les Etats-Unis: la "puissance intelligente" au service de la guerre

Les États-Unis : la «puissance intelligente » au service de la guerre

Ex: http://polemia.com/

Les derniers événements entourant le déroulement des guerres d’invasion en Asie centrale nous permettent de saisir quelques-uns des éléments de la stratégie des États-Unis et les différentes manœuvres diplomatiques et médiatiques visant à faire basculer l’opinion des Étatsuniens en faveur d’une poursuite de leurs opérations guerrières dans cette région.

La « réintronisation » orchestrée de Hamid Karzaï et l’envoi de renforts de troupes


La « réintronisation » de Hamid Karzaï à la tête du gouvernement fantoche de Kaboul a été orchestrée pour que le climat politique qui a prévalu depuis 2001 se maintienne avec la présence d’un allié acquis aux intérêts des conquérants. Les mots sont difficiles à trouver pour qualifier le caractère légitime de la «victoire» de H. Karzaï. On s’évertue à essayer de rendre maintenant son élection valide alors que la plupart des intervenants, depuis le 20 août dernier, ont discrédité le processus électoral et mis en doute ses résultats.

unifiedmap_sm.jpg

En même temps, l’administration Obama et les stratèges du Pentagone ont fait semblant de tergiverser concernant l’envoi ou non de renforts alors que cette manœuvre avait vraisemblablement un double objectif. Le premier celui de jauger le potentiel de troupes additionnelles pouvant être offert par les membres de la coalition et le second, celui de disposer du temps nécessaire pour mesurer le degré de résistance des insurgés et des Talibans au Pakistan. Ainsi, elle a ordonné à l’armée nationale pakistanaise de livrer une guerre sans merci contre les Talibans et les insurgés dans le territoire du Sud-Waziristan. Ce faisant, les États-Unis pourraient peu à peu faire valoir que les efforts de guerre du Pakistan devraient être confortés par des forces militaires additionnelles en Afghanistan afin de faire face à la résistance pouvant éventuellement trouver refuge dans ce territoire. L’administration Obama serait ainsi en mesure de justifier les renforts qu’elle se propose de déployer.

Il est primordial pour cette administration qu’elle donne suite aux pressions exercées par la droite américaine qui réclame une intensification de l’effort de guerre en Afghanistan tout en emmenant l’opinion publique à accepter la décision d’ajouter un contingent important de soldats (on a mentionné des chiffres allant de 40 000 à 60 000). Peu à peu les guerres de l’Afghanistan et du Pakistan pourraient se fondre en un seul et même conflit et il serait alors plus facile de démontrer qu’il est crucial d’augmenter globalement les forces militaires dans cet ensemble, étant donné les menaces grandissantes posées par la résistance tant en Afghanistan qu’au Pakistan. Les États-Unis feront valoir qu’après huit années de guerre un «petit» effort supplémentaire serait nécessaire afin de ne pas revivre un autre Viêtnam.


Obama, une diplomatie de ralliement pour la conquête du monde par la guerre ?

Depuis leur arrivée à la Maison-Blanche le président Obama et sa secrétaire d’État, Hillary Clinton, ont parcouru le monde pour faire entendre le message renouvelé de l’Empire américain. Une rhétorique nouvelle faisant la promotion du modèle bien connu de domination et d’intervention sur tous les continents, modèle basé sur le plan du commandement unifié des États-Unis (voir l’image illustrant l’article NDLR). Ce plan de commandement «a été mis à jour par le Département de la Défense et s’avère un document stratégique clé qui définit les missions, les responsabilités et les aires géographiques de responsabilité pour les commandants en charge des commandements de combattants» étatsuniens et alliés à travers le monde. La totalité de la surface terrestre est encore, dans les faits, le champ de bataille des Étatsuniens et, sous la nouvelle administration, aucune modification substantielle n’a été apportée à ce plan en vue d’en réduire la portée sur l’ensemble des pays du monde.

Les itinéraires suivis par les responsables de la diplomatie étatsusienne leur ont permis de vérifier sur le terrain le taux de solidité de leurs alliances et le degré de fidélité de leurs partenaires et alliés traditionnels et aussi d’identifier et circonscrire les éléments discordants et hostiles. Ainsi, il leur est permis ensuite d’ajuster les orientations de même que l’intensité des opérations qui s’imposent.

La secrétaire d’État s’est même permis de se faire la protectrice des droits humains lors de son séjour à Moscou : «Toutes ces questions - emprisonnements, détentions, coups, meurtres - sont douloureuses à regarder de l'extérieur", a déclaré Mme Clinton, au deuxième jour de sa visite en Russie, sur la radio Echo de Moscou ». Il est difficile de croire que de tels propos puissent être tenus par la responsable de la diplomatie américaine quand on se rappelle les menaces d’oblitération totale qu’elle a proférées contre l’Iran au cours de la campagne présidentielle . Il importe aussi de rappeler que son pays détenait en 2005 la population carcérale la plus élevée au monde avec 2 186 230 prisonniers (25% du total mondial) et que le taux de détention par 100 000 habitants était également le plus élevé avec 737.6 résidents. De plus, «la Peine de mort aux États-Unis est appliquée au niveau fédéral et dans trente-cinq États fédérés sur cinquante que comptent les États-Unis. Aujourd'hui les États-Unis font partie du cercle restreint des démocraties libérales qui appliquent la peine de mort» (Wikipedia). Il est à espérer que la secrétaire d’État trouve aussi douloureuse cette situation qui prévaut dans son pays.

Mes intentions profondes sont les mêmes

Enfin, il convient d’ajouter que les guerres de l’Asie centrale se poursuivent dans la plus grande impunité et que la torture continue d’être pratiquée dans les prisons «secrètes». S’il s’agit là des manifestations des nouveaux concepts proposés en janvier dernier de la «puissance intelligente» et de la «responsabilité» il y a lieu de s’interroger, car il nous semble plutôt que les propos de la diplomatie étatusienne viennent tout simplement voiler le visage de l’impérialisme. Je suis un acteur qui pense maintenant autrement, mais mes intentions profondes sont les mêmes. En réalité, le concept de la «guerre permanente» reste le guide suprême de mon approche diplomatique qui se veut à géométrie variable en fonction des intérêts qu’il me faut sauvegarder. (Les deux pilliers de la nouvelle diplomatie américaine).

Conclusion

Pour la diplomatie étatsunienne il importe de conserver l’appui des plus puissants malgré certains irritants majeurs, car elle pourrait avoir besoin d’eux quand se produira l’effondrement annoncé de l’économie et l’implosion sociale qui en sera la résultante inéluctable. Faire la guerre pourrait devenir trop lourd pour la société et des mandataires capables de le faire seront alors invités à «donner» davantage pour permettre à l’Empire de survivre encore un certain temps. Cette consigne est sans doute celle qui a été transmise aux pays alliés. Ceux-ci, cependant, bien malgré eux, pourraient être entraînés éventuellement avec lui dans sa chute.

Jules Dufour
Mondialisation.ca,
04/11/ 2009

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=15926

Références
AFP. 2009. Hillary Clinton avocate des droits de l'Homme à Moscou. RTBF Info. Le 14 octobre 2009. En ligne :
http://www.rtbf.be/info/economie/hillary-clinton-avocate-des-droits-de-lhomme-a-moscou-150876

AFP. 2009. L'OTAN adopte une nouvelle stratégie en Afghanistan. Cyberpresse. Le 23 octobre 2009. En ligne :
http://www.cyberpresse.ca/international/moyen-orient/200910/23/01-914285-lotan-adopte-une-nouvelle-strategie-en-afghanistan.php

BEAUCHEMIN, Malorie. 2009. Obama lance un ultimatum à l'Iran. La Presse. Le 25 septembre 2009. En ligne :
http://www.cyberpresse.ca/international/etats-unis/200909/25/01-905686-obama-lance-un-ultimatum-a-liran.php

COURMONT, Barthélémy et contre-feux.com. 2009. Les deux piliers de la nouvelle diplomatie américaine. ilovepolitics. Le 19 mars 2009. En ligne :
http://www.ilovepolitics.info/Les-deux-piliers-de-la-nouvelle-diplomatie-americaine_a1371.html

DUFOUR, Jules. 2007. Le réseau mondial des bases militaires américaines. Les fondements de la terreur des peuples ou les maillons d'un filet qui emprisonne l'humanité. Centre de recherche sur la mondialisation (CRM). Le 10 avril 2007.
En ligne:
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=DUF20070409&articleId=5314

DUFOUR, Jules. 2009. Le grand réarmement planétaire. Montréal, Centre de recherche sur la mondialisation (CRM). Le 5 mai 2009. En ligne:
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=13162

DUFOUR, Jules. 2009. Pakistan: un territoire stratégique pour les guerres de l’Occident en Asie Centrale. Montréal, Centre de recherche sur la mondialisation (CRM). Le 10 août 2009. En ligne:
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=14719

DUFOUR, Jules. 2009. Afghanistan: des élections pour l'imposition de la «démocratie»? Montréal, Centre de recherche sur la mondialisation (CRM). Le 21 août 2009. En ligne:
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=14871

KAY, Joe. 2008. Hillary Clinton menace d’ ‘effacer' l'Iran de la carte! Alter Info. Le 24 avril 2008. En ligne :
http://www.alterinfo.net/Hillary-Clinton-menace-d-effacer-l-Iran-de-la-carte!_a19103.html

Nombre de prisonniers dans le monde, par pays. PopulationData.net:
http://www.populationdata.net/chiffres/monde-prisonniers-2006.php

Peine de mort aux Etats-Unis :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Peine_de_mort_aux_%C3%89tats-Unis

Jules Dufour, Ph.D., est président de l'Association canadienne pour les Nations Unies (ACNU) /Section Saguenay-Lac-Saint-Jean, professeur émérite à l'Université du Québec à Chicoutimi,   membre du cercle universel des Ambassadeurs de la Paix, membre chevalier de l'Ordre national du Québec.



Correspondance Polémia
08/11/2009

Image : Le Plan du commandement unifié des États-Unis
 

Jules Dufour

jeudi, 19 novembre 2009

Presseschau (III)

kranten-digitaal-3834.jpgPRESSESCHAU (3)
Einige Links. Bei Interesse anklicken...

###

Luftangriff bei Kundus
Guttenberg: „Militärisch angemessen“
Verteidigungsminister Karl-Theodor zu Guttenberg (CSU) hat den vom deutschen Oberst Georg Klein angeordneten Luftangriff auf zwei von Taliban gekaperte Tanklastwagen im afghanischen Kundus als „militärisch angemessen“ bezeichnet und als notwendig dargestellt. Er hege keine Zweifel an der Einschätzung des Generalinspekteurs, General Schneiderhan, wonach „die Militärschläge und die Luftschläge vor dem Gesamtbedrohungshintergrund als militärisch angemessen zu sehen sind“.
[Man beachte auch das Video zum Artikel der „Frankfurter Rundschau“ (siehe zweiter Link!)]
http://www.faz.net/s/RubDDBDABB9457A437BAA85A49C26FB23A0/Doc~EC07EA426C5E64971B2E13551ECF11745~ATpl~Ecommon~Sspezial.html
http://www.fr-online.de/in_und_ausland/politik/dossiers/spezial_afghanistan/aktuell/?em_cnt=2064918

Nach Luftangriff in Afghanistan
Regierung plant zentrales Gericht für Soldaten
Der Luftangriff auf zwei gekaperte Tanklastzüge hat weitreichende Folgen. In Potsdam soll für solche Fälle eine zentrale Gerichtsbarkeit geschaffen werden. Außerdem will die Regierung die völkerrechtlichen Grundlagen für den Afghanistan-Einsatz nachbessern. Es handele sich um eine „kriegerische Auseinandersetzung mit Aufständischen“.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5116876/Regierung-plant-zentrales-Gericht-fuer-Soldaten.html

Spezialeinsatz in Bundeswehrgebiet
US-Militär startet brachiale Taliban-Jagd in Kunduz
Aus Kunduz berichten Matthias Gebauer und Shoib Najafizada
Es war die größte und härteste Offensive in der deutschen Zone Afghanistans: Nahe des Bundeswehrcamps bei Kunduz haben US-Elitetrupps mit afghanischen Soldaten eine Großoffensive gegen Taliban geführt. Fünf Tage und Nächte fielen Bomben, die Rede ist von 133 Toten. Die Deutschen wollten sich nicht beteiligen.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,660064,00.html

Al-Baschir sagt Türkei-Reise nach Kritik ab
Istanbul (dpa) – Der sudanesische Staatspräsident Omar al-Baschir hat eine Türkei-Reise nach internationaler Kritik abgesagt. Er wollte in Istanbul an einem Wirtschaftsgipfel der Organisation der Islamischen Konferenz teilnehmen. Al-Baschir wird wegen Kriegsverbrechen in der Krisenregion Darfur mit internationalem Haftbefehl gesucht. Der türkische Regierungschef Recep Tayyip Erdogan wies Schuldvorwürfe gegen Al-Baschir zurück. Ein Muslim könne keinen Völkermord begehen, erklärte Erdogan.
http://newsticker.sueddeutsche.de/list/id/863805

Türkischer Premier Erdogan
„Ein Muslim kann keinen Völkermord begehen“
Von Boris Kalnoky
Israels Verhalten gegenüber den Palästinensern im Gazastreifen hatte den türkischen Premier Recep Tayyip Erdogan im Januar noch wütend aufschreien lassen. Den wegen Kriegsverbrechen in Darfur mit Haftbefehl gesuchten sudanesischen Präsidenten Omar al-Baschir nimmt er hingegen in Schutz.
http://www.welt.de/politik/ausland/article5144277/Ein-Muslim-kann-keinen-Voelkermord-begehen.html

US-Notenbank
Der mächtigste Geheimbund der Welt
Kapital, Macht und Egoismus sind eine gefährliche Kombination. Wie die Fed das internationale Finanzsystem kontrolliert und die Krise auslöste.
http://zeitwort.at/index.php?page=Attachment&attachmentID=2648&h=8733bfd5abf3e9384c5cbfec8304b59b07d98472

Neuer Spendenskandal erschüttert NPD
Von Sven Röbel und Andreas Wassermann
Frisierte Rechenschaftsberichte, erschlichene Staatszuschüsse – eine Woche nach dem Tod ihres wichtigsten Finanziers wird die rechtsextremistische NPD von einer neuen Parteispendenaffäre überrollt. Es drohen Strafzahlungen in Höhe von 1,7 Millionen Euro.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,659887,00.html#ref=nldt

Gigantischer Stromausfall taucht Brasilien in Finsternis
http://www.welt.de/die-welt/vermischtes/article5180845/Gigantischer-Stromausfall-taucht-Brasilien-in-Finsternis.html
http://www.focus.de/panorama/vermischtes/stromausfall-brasilien-chaos-nach-stromausfall_aid_453205.html

Kriminalität am Kap
Südafrikas Polizei verliert die Kontrolle
Von Karl-Ludwig Günsche, Kapstadt
Wenige Monate vor der Fußball-WM in Südafrika liefern sich kriminelle Banden in den Städten offene Kämpfe. Die überforderte Staatsmacht versucht, ihr Versagen mit Härte zu kaschieren. In Johannesburg wurde ein dreijähriger Junge erschossen – offenbar von einem Polizisten.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,660486,00.html


Und demnächst heißt es dann: Hurra, wir feiern das Versailler Diktat ...
Erster Weltkrieg
Frankreich feiert Deutschlands Niederlage
Am 11. November feiert Frankreich den Waffenstillstand mit Deutschland im Ersten Weltkrieg. Noch nie hat ein deutscher Regierungschef an den Feierlichkeiten teilgenommen, dieses Jahr soll sich das ändern: Bundeskanzlerin Angela Merkel möchte nach Frankreich reisen – Frankreichs Präsident Nicolas Sarkozy spricht schon von einer Feier der deutsch-französischen Freundschaft.
http://www.focus.de/politik/weitere-meldungen/erster-weltkrieg-frankreich-feiert-deutschlands-niederlage-_aid_452878.html

Was sucht Merkel in Paris?
Von Götz Kubitschek
Angela Merkel (Bundeskanzlerin) ist morgen in Paris. Der 11. November ist nun nicht irgendein Tag, sondern der Tag, an dem Deutschland 1918 kapitulierte und damit den Ersten Weltkrieg verlor. Das Friedensdiktat, das auf die Kapitulation folgte, folgte vor allem dem französischen Wunsch nach demütigender Schwächung des starken Nachbarn, und so kann der 11. November 1918 für Deutschland keinesfalls als Friedenstag bezeichnet werden. Das hat auch Lorenz Jäger in der FAZ vom 31. Oktober festgestellt
http://www.sezession.de/9023/was-sucht-merkel-in-paris.html

Waffenstillstandstag
Was tut Angela Merkel am 11. November in Paris?
Von Lorenz Jäger
http://www.faz.net/s/RubCF3AEB154CE64960822FA5429A182360/Doc~E31D12DB6AD94461FB388F283CFAF2983~ATpl~Ecommon~Scontent.html

Gedenken an den 1. Weltkrieg
Sinnstiftend für die französische Nation
http://www.faz.net/s/RubDDBDABB9457A437BAA85A49C26FB23A0/Doc~EEC65D462691748B0A08A2917A85BC225~ATpl~Ecommon~Scontent.html?rss_googlenews

Der Beginn unserer Katastrophe
Von Karlheinz Weißmann
Wenn die ehemaligen Siegermächte des Ersten Weltkriegs den 11. November feierlich begehen, so hat das seinen Grund nicht nur darin, daß man am „Waffenstillstandstag“ oder „Tag des Sieges und des Friedens“ der Gefallenen gedenken will, sondern auch darin, daß das Erinnerungsbild von Briten und Franzosen ein anderes ist als das der Deutschen. Um genau zu sein: ein anderes war als das der Deutschen.
Denn hierzulande verliert sich im Zeichen gelungener Verwestlichung allmählich das Bewußtsein, daß die Deutschen nichts zu feiern haben, wenn es um das Datum 1918 geht, noch weniger als im Hinblick auf das Datum 1945.
http://www.sezession.de/9031/der-beginn-unserer-katastrophe.html#more-9031

KSA in Berlin
Erik Lehnert
Zur Stunde findet in Berlin die 5. konservativ-subversive aktion statt. Anlaß ist die Teilnahme der deutschen Bundeskanzlerin an der Siegesparade in Paris. Was hat Merkel da zu suchen? Die Aktivisten haben ein riesiges Banner entrollt und verteilen Flugblätter.
http://www.sezession.de/9044/4-ksa-in-berlin.html#more-9044

11. November 2009: Die nächste Konservativ-subversive Aktion
http://www.blauenarzisse.de/podcast/index.php?id=1423

Protest gegen Merkels Teilnahme an Siegesfeier in Paris
BERLIN. Mit einem Transparent haben am Mittwoch vormittag Mitglieder der „Konservativ-Suversiven Aktion“ vor dem Brandenburger Tor und der französischen Botschaft in Berlin gegen die Teilnahme von Bundeskanzlerin Angela Merkel an den Feiern in Paris anläßlich des Jahrestages des Waffenstillstands von 1918 protestiert.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M54c2aff7ee6.0.html

5. Konservativ-subversive Aktion in Berlin angelaufen
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=17091

Dies ist KEIN Friedenstag für Deutschland
http://www.blauenarzisse.de/podcast/index.php?id=1424

Das ist Verrat: Unbehagen auch in Frankreich
Wie der Deutschlandfunk in Europa heute berichtete, herrscht auch in Frankreich über die Geschichtsumdeutungen Unzufriedenheit. Gerade in den dörflichen Gegenden Frankreichs wird der französische Feiertag noch heute freudig begangen und der Versuch ihn zum Versöhnungstag zu machen als Verrat begriffen.
http://www.blauenarzisse.de/podcast/index.php?id=1425

5. ksa: Was sucht Merkel in Paris? – Weitere Bilder, Video folgt demnächst
http://www.blauenarzisse.de/podcast/index.php?id=1428

Merkels Rede
[KERNAUSSAGE: „Wir werden nie vergessen, wie sehr in der ersten Hälfte des 20. Jahrhunderts Franzosen durch Deutsche zu leiden hatten (sic!). Der schonungslose Umgang mit der eigenen Geschichte ist – davon bin ich überzeugt – die einzige Grundlage, um aus der Geschichte zu lernen und die Zukunft gestalten zu können. Zugleich weiß ich: Geschehenes kann nicht ungeschehen gemacht werden.“]
http://www.blauenarzisse.de/podcast/index.php?id=1429

Merkel in Paris, wir in Berlin – und ein Film dazu
Während Angela Merkel gestern in Paris erzählte, daß „wir“ nie vergessen würden, „wie sehr in der ersten Hälfte des 20. Jahrhunderts Franzosen durch Deutsche zu leiden hatten“, waren „wir“ (diesmal wirklich „wir“) in Berlin, um darauf hinzuweisen, daß für uns Deutsche der Krieg 1918 nicht vorbei war, sondern gegen unser demobilisiertes Volk fortgeführt wurde. Karlheinz Weißmann hat das Notwendige dazu gesagt.
Über unsere Aktion in Berlin vor dem Brandenburger Tor, dem Reichstag und der Französischen Botschaft hat Martin Lichtmesz einen kurzen Film gedreht und ihn über Nacht geschnitten. Hier ist er.
http://www.sezession.de/9076/merkel-in-paris-wir-in-berlin-und-ein-film-dazu.html

Widerstand
Von Stefan Scheil
Zwanzig Jahre Mauerfall und Paris, beide Stichworte machen in diesen Tagen Schlagzeilen. In meiner Erinnerung gehört beides ohnehin zusammen, denn genau dort, in Paris, habe ich selbst den Mauerfall erlebt. Man hatte damals den Eindruck einer merkwürdigen Spannung, die über der Stadt lag.
http://www.sezession.de/9088/widerstand.html#more-9088

Kommentar: Warum Guido Westerwelle Erika Steinbach stoppen muß
http://blog.zeit.de/joerglau/2009/11/11/warum-guido-westerwelle-erika-steinbach-stoppen-muss_3212

Umfrage: 86 Prozent sehen Einheit positiv
Berlin (dpa) – Zwanzig Jahre nach dem Mauerfall bewerten 86 Prozent der Deutschen die Wiedervereinigung als eine richtige Entscheidung.
http://portal.gmx.net/de/themen/nachrichten/deutschland/9259198-86-Prozent-sehen-Einheit-positiv,articleset=9261356.html

Schülerwissen
DDR – das steht doch für „Das Dritte Reich“
http://www.faz.net/s/RubA91992BFFBF84DB3B4EBE604A92D275B/Doc~E0004E2AD81FE4026B3C4FD7AF132FADE~ATpl~Ecommon~Scontent.html?rss_googlenews

20 Jahre danach: DDR, Mauerfall und Friedliche Revolution
Was wissen die Bürger heute noch, 20 Jahre nach der Friedlichen Revolution, von DDR, Mauerfall und Stasi? Von Unterdrückung durch Einheitspartei, mangelnde Meinungsfreiheit und skrupellose Verfolgung von Regimekritikern? Über diese und andere Fragen haben wir mit Rainer Eppelmann – evangelischer Pfarrer, Politiker, Bürgerrechtler – gesprochen.
http://www.pro-medienmagazin.de/gesellschaft.html?&news%5Baction%5D=detail&news%5Bid%5D=2536

Wen interessiert das Geschwätz von gestern ...
Politikeraussagen zur Wiedervereinigung
http://www.politik.de/forum/archive/index.php/t-5604.html

Mauerfall
Das unverhoffte Glück der Deutschen
Von Thomas Schmid
Der Blick zurück ordnet die Geschichte meist so, daß sie in ihrer Entwicklung folgerichtig, ja zwangsläufig erscheint. Doch so ist es nie, die Zukunft ist immer offen. Das Ende des Kommunismus vor zwanzig Jahren hätte auch blutig ausfallen können. Wir haben Grund, dankbar zu sein.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5113025/Das-unverhoffte-Glueck-der-Deutschen.html

Miesepeterei zur Einheitsfeier ...
Knobloch vermißt Pogrom-Gedenken
http://nachrichten.rp-online.de/article/politik/Knobloch-vermisst-Pogrom-Gedenken/57881
http://www.stern.de/politik/deutschland/charlotte-knobloch-pogromnacht-darf-nicht-vergessen-werden-1520654.html

Die Linke
Lafontaine wollte Bündnis mit Platzeck stoppen
Wäre es nach Oskar Lafontaine gegangen, dann hätte sich Brandenburgs SPD-Chef Matthias Platzeck einen anderen Koalitionspartner suchen müssen. Der Linken-Vorsitzende jedenfalls wollte das Bündnis in letzter Minute verhindern. Angeblich soll er gar mit seinem Rücktritt gedroht haben.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5119513/Lafontaine-wollte-Buendnis-mit-Platzeck-stoppen.html

Schweiz
Handfester Streit innerhalb der „Grünen“ um Einwanderung und Ökologie
http://www.blick.ch/news/schweiz/politik/genner-stellt-girod-in-rechtsradikale-ecke-132271
http://www.bastiengirod.ch/index.php?option=com_content&view=article&id=1264:arbeitspapier-bevoelkerungsentwicklung-in-der-schweiz-kritische-beurteilung-aus-gruener-sicht&catid=57:blogs-und-debatten&Itemid=67
http://www.pi-news.net/2009/11/gruenin-stellt-gruenen-in-rechtsradikale-ecke/

Bestmenschen gegen Rechts: Anmerkungen zu einem anthropologischen Superlativ
Verfaßt von Mathias Brodkorb
http://www.endstation-rechts.de/index.php?option=com_k2&view=item&id=3994:bestmenschen-gegen-rechts-anmerkungen-zu-einem-anthropologischen-superlativ&Itemid=419

Wer hätte das gedacht ...
Linke in Berlin gewalttätiger als Rechte
http://nachrichten.rp-online.de/article/politik/Linke-in-Berlin-gewalttaetiger-als-Rechte/58114
http://www.welt.de/die-welt/politik/article5180394/Hauptstadt-der-linksextremen-Gewalt.html
http://www.bild.de/BILD/regional/berlin/aktuell/2009/11/12/chaoten-terror/berlin-ist-auf-dem-linken-auge-blind.html

Eine interessante Seite (unter anderem geht es um die Ehrung Ilja Ehrenburgs in Berlin):
http://www.widerhall.de/25wh8mai.htm

Wieder mal Bilderstürmerei ...
Straßennamen in Eschwege
Schatten aus der Nazi-Zeit
Von Joachim F. Tornau
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/hessen/2039268_Strassennamen-in-Eschwege-Schatten-aus-der-Nazi-Zeit.html

NS-Zeit wird aufgearbeitet
Straße wird umbenannt
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/hessen/2043636_NS-Zeit-wird-aufgearbeitet-Strasse-wird-umbenannt.html

Ein zweiter Dom für Köln
Von Hildegard Stausberg
Am Wochenende wurde der Grundstein für eine der größten Moscheen in Deutschland gelegt
An der Inneren Kanalstraße in Köln, einer der wichtigen Durchgangsadern der Stadt, liegt die riesige Baugrube für die Großmoschee. Ein etwa 40 Meter hoher Baukran überragt sichtbar das Gelände von der zweifachen Größe eines Fußballfeldes. Hier fand am Wochenende die Grundsteinlegung statt für eines der größten muslimischen Gotteshäuser in Deutschland und ein angrenzendes Kulturzentrum. Der Himmel meinte es nicht gut: Es regnete in Strömen. Aber Mißgeschicke dieser Art bewältigt Köln mühelos, ohne daß die Stimmung leidet: Die Kunst des Integrierens praktiziert man hier schließlich seit der Römerzeit.
http://www.welt.de/die-welt/politik/article5135927/Ein-zweiter-Dom-fuer-Koeln.html

„Deutsche fühlen sich fremd in der eigenen Stadt“
In der WAZ erscheint heute ein nachdenklich machender Artikel über die ehemalige Kohlestadt Bergkamen im Ruhrgebiet: „Die Migranten haben in Bergkamen eine Stadt in der Stadt gebildet. Ganze Siedlungen direkt im Stadtzentrum sind fest in türkischer Hand. Nimmt man türkische Geschäfte, Arztpraxen, Reisebüros und Fahrschulen dazu, in denen Menschen türkischer Herkunft arbeiten, besteht an manchen Stellen überhaupt keine Notwendigkeit, Deutsch zu sprechen.“
http://www.pi-news.net/2009/11/deutsche-fuehlen-sich-fremd-in-der-eigenen-stadt/
http://www.derwesten.de/nachrichten/waz/rhein-ruhr/2009/11/9/news-140087947/detail.html

Zigeuner müssen jetzt bei der Polizei „Rotationseuropäer“ genannt werden ...
Aggressive Bettelei
Ordnungsamt vor schwierigen Aufgaben
http://www.faz.net/s/RubFAE83B7DDEFD4F2882ED5B3C15AC43E2/Doc~E24B0EE86F7E74112898926F49960BBF5~ATpl~Ecommon~Scontent.html

Opfer und Opfer
Die Stadt Dresden verzichtet in diesem Jahr auf einen offiziellen und öffentlichen Karnevalsbeginn am 11.11.
Die Oberbürgermeisterin von Dresden, Helma Orosz [CDU] untersagt den für Mittwoch geplanten Faschingsauftakt im Rathaus: Weil da voraussichtlich das Urteil im Marwa-El-Sherbini-Prozeß gesprochen würde, könne sie nicht „unbefangen und fröhlich“ sein.
Merkwürdig. Als Kevin Plum, Timo Hinrichs, Thorsten Traglehn, David Fischer, Robert Edelmann oder Tobias M. ermordet wurden – um ein paar zu nennen – wurde bei der Urteilssprechung der Mörder überhaupt nichts abgesagt. Genaugenommen wurde nicht einmal flächendeckend darüber berichtet. (...)
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=17031

Streitfall Notwehr
„Ich habe noch nie so viel Angst gehabt“
Von Julia Jüttner
Sven G. wurde an einer U-Bahn-Haltestelle von Jugendlichen attackiert, in Notwehr stach er einen Angreifer nieder. Richter schickten ihn deshalb fast vier Jahre ins Gefängnis – doch der Bundesgerichtshof hob die Entscheidung auf. Jetzt wird der Fall neu aufgerollt.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,659320,00.html#ref=nldt

Streitfall Notwehr
Student Sven G. auf freiem Fuß
Fast 20 Monate saß Sven G. in Haft. Nun durfte der Informatikstudent den Gerichtssaal vorerst als freier Mann verlassen. Der 31jährige hatte sich im März 2008 an einem Münchner U-Bahnhof gegen einen pöbelnden Jugendlichen gewehrt und diesen mit einem Messer schwer verletzt.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,660228,00.html#ref=nldt

Zweierlei Urteile
Die Jugendkammer des Landgerichtes Lübeck spricht die beiden Ghanaer Collins Y. und Isaac B. vom Tatvorwurf der Vergewaltigung frei – ihr Opfer, die 22jährige Studentin Nadine M. hatte sich kurz nach der Tat selbst umgebracht. Die Beweise seien nicht ausreichend, argumentiert Richterin Kreuder-Sonnen. Der Ghanaer Isaac B. ist allerdings nicht das erste Mal mit so einer Anklage konfrontiert: Im März 2008 hatte er eine 17jährige vergewaltigt. Die Angehörigen von Nadine sind entsetzt.
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=17044

Der Präzedenzfall von Dresden (II)
Von Thorsten Hinz
Der Spätaussiedler Alex W., der im Sommer die Ägypterin Marwa El-Sherbini und ihr ungeborenes Kind tötete, hat die Höchststrafe erhalten. Das Dresdner Urteil mag angemessen sein, doch die Kürze des Prozesses läßt vermuten, daß nicht alles mit rechten Dingen zugegangen ist.
Erst am Montag war bekannt geworden, daß Alex W. von der russischen Armee wegen Schizophrenie ausgemustert worden war, trotzdem fiel bereits zwei Tage später das Urteil, das dem Angeklagten die volle Schuldfähigkeit attestierte.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5a628751238.0.html

„Ich versuche argumentativ vorzugehen und die Fragen grundsätzlich anzugehen.“
Karlheinz Weißmann im Gespräch
von Martin J.G. Böcker
Man kann über ihn lesen, er sei der „spirtitus rector“ der Neuen Rechten. Gemeinsam mit Götz Kubitschek hatte der Gymnasiallehrer 2000 das Institut für Staatspolitik gegründet und leistet seitdem mit seiner „Metapolitik“ politisch-philososphische Grundlagenarbeit für die deutschen Konservativen.
http://www.dasgespraech.de/?p=1719

Schwarz-grünes Hamburg
Schulkampf mit allen Schikanen
Von Birger Menke und Markus Verbeet
Spione, wüste Beleidigungen, Nazi-Vergleiche: Die Schulreform polarisiert Hamburg, Eltern aus den feineren Vierteln bangen um die Gymnasien. Gegner und Befürworter der Reform sind sich für keine Nickeligkeit zu schade. Und die härteste Schlacht steht wohl noch bevor.
http://www.spiegel.de/schulspiegel/wissen/0,1518,660235,00.html
--
DSL-Preisknaller: DSL Komplettpakete von GMX schon für
16,99 Euro mtl.!* Hier klicken:
http://portal.gmx.net/de/go/dsl02

mardi, 17 novembre 2009

Schweinegrippe-Impfung: tödliche Nebenwirkungen?

Schweinegrippe-Impfung:

Polnische Gesundheitsministerin

warnt vor möglicherweise tödlichen Nebenwirkungen

Gerhard Wisnewski / http://info.kopp-verlag.de/

Schweinegrippe? Die Polen werden überleben. Und zwar weil sie von ihren Politikern vor dem neuen Bioterrorismus geschützt werden. Während deutsche Medien und Politiker für die Schweinegrippe-»Impfung« trommeln, steht Polen gegen den von oben verordneten Impfterror auf. Die polnische Gesundheitsministerin Ewa Kopacz warnte bei einer Sondersitzung des Parlaments zur sogenannten »Schweinegrippe« vor möglicherweise tödlichen Nebenwirkungen der Impfung. Prominente polnische Abgeordnete sprachen von einem »riesigen Betrug«.

grippe-porcine.jpgDie Sitzung im Warschauer Parlament dürfte als Desaster für die Pandemie-, pardon: Pharmaindustrie in die Geschichte eingehen. Geladen waren Sachverständige und Statistiker, um über die angebliche Schweinegrippe-Pandemie zu beraten. Nach einem Bericht von Polskaweb News kam dabei zunächst einmal heraus, »dass Polen, zumindest aktuell, kein Opfer irgendeiner Epidemie ist«. So habe man es gerade mal mit 193 Fällen von H1N1-Infektionen zu tun, wobei alle Betroffenen jedoch nur harmlose Krankheitsverläufe zeigten und kein einziger Patient daran gestorben sei. »An der normalen- und eigentlich viel gefährlicheren Grippe sollen aber inzwischen etwa 41.000 Menschen erkrankt sein.« Der Stellvertretende Minister für das Gesundheitswesen, Adam Fronczak, habe darauf hingewiesen, dass demgegenüber in der Saison 2008/2009 543.000 Polen an der üblichen saisonalen Grippe erkrankt seien: »Keine abnormale Sache, denn an der jährlichen saisonalen Grippe leiden mehr als eine Milliarde Menschen auf der ganzen Welt, und eine Million stirbt hieran«, so Fronczak laut Polskaweb.

Zur Vorbeugung einer Influenza-A/H1N1-Epidemie seien nach Ansicht der geladenen Experten keine ausreichend getesteten Gegenmittel auf dem Weltmarkt. Man warne vor den Nebenwirkungen von Produkten, mit denen sich die Pharmaindustrie derzeit eine goldene Nase verdiene. »Impfstoffe gegen die saisonale Grippe, an welcher in der Saison 2008/09 543.000 Polen erkrankt waren, habe man für ca. eine Million Menschen auf Lager, somit habe man ›nichts zu befürchten‹ – argumentierte eine große Mehrheit der Sitzungsteilnehmer.«

Dem Artikeldatum von Polskaweb nach zu schließen, fand die Sitzung des polnischen Parlaments am 30. Oktober statt. Die polnische Gesundheitsministerin Ewa Kopacz habe »von möglicherweise tödlichen Nebenwirkungen durch die bereits in einigen EU-Ländern angelaufenen Schweinegrippe-Impfmittel« gesprochen und »dringend« empfohlen, »den Kauf von derartigen Medikamenten erst dann zu realisieren, wenn ein ausgereifter Impfstoff auf dem Markt ist. Sie betonte, dass in einem Land (Schweden), welches eine große Menge H1N1-Impfstoff kaufte, schon vier Menschen ein paar Stunden nach der Impfung angeblich durch Stress gestorben seien, doppelt so viele, wie durch die Schweinegrippe. Die Ministerin betonte, dass die Pharmakonzerne keine Verantwortung übernehmen für ihre Produkte, die Zusammensetzungen ebenso zu Geheimnissen mache, wie die weltweiten Ergebnisse ihrer Nebenwirkungen.«

Der bekannte Abgeordnete Janusz Palikot von der polnischen Regierungspartei PO habe behauptet, dass es keine neue bedrohende Grippe gebe und »die Impfstoffe gegen Schweinegrippe einem riesigen Betrug dienen«. Die Pharmaunternehmen bezeichnete er laut Polskaweb als »Mafia«: »Dies meinten auch andere polnische Politiker. Zum Beweis, dass es keine gefährliche Krankheit gebe, will man nun in die ukrainische Stadt Lemberg fahren und dort jedem die Hand reichen, der dies zulasse.« In der Ukraine schlägt die Panik vor der Schweinegrippe derzeit besonders hohe Wellen.

Dienstag, 10.11.2009

Kategorie: Enthüllungen, Wirtschaft & Finanzen, Politik, Wissenschaft

© Das Copyright dieser Seite liegt bei Gerhard Wisnewski


Dieser Beitrag stellt ausschließlich die Meinung des Verfassers dar. Er muß nicht zwangsläufig die Meinung des Verlags oder die Meinung anderer Autoren dieser Seiten wiedergeben.

lundi, 16 novembre 2009

Der lange Weg der Abkehr vom US-Dollar

dollar%20collapse_1.jpgDie Angriffe mehren sich: der lange Weg der Abkehr vom US-Dollar

Brigitte Hamann / http://info.kopp-verlag.de/

Ein neuer Angriff auf den Dollar hat stattgefunden. Neun lateinamerikanische Regierungen wollen den Dollar durch die Einheitswährung »Sucre« ablösen. Noch 2010 soll es soweit sein. Der venezolanische Staatschef Hugo Chavez spricht davon, die »Diktatur des Dollars« zu beenden.

Der Dollar gerät weiter in Bedrängnis. Federführend wollen der venezolanische Staatschef Hugo Chavez, der bolivianische Präsident Evo Morales und der ecuadorianische Staatschef Rafael Correa den Status des Dollar als Weltleitwährung für ihre Länder aufheben.

Die neue Währung soll nach dem südamerikanischen Freiheitskämpfer Antonio José de Sucre benannt werden, der an der Seite von Simon Bolivar im 19. Jahrhundert gegen die Spanier kämpfte – und mit ihrem Namen für mehr Freiheit im südamerikanischen Finanzsystem stehen. »Sucre« soll den Dollar im Handel zwischen den bisher neun Mitgliedstaaten der »Bolivarischen Allianz für unser Amerika« (ALBA) ablösen. Venezuela, Bolivien, Ecuador, Kuba, Nicaragua, Honduras sowie die Karibikstaaten Antigua und Barbuda, Dominica und Saint Vincent haben sich zusammengeschlossen, um die »Diktatur des Dollar« zu beenden.

Ob das Projekt durchführbar ist, wird sich zeigen. Marc Hofstetter Gascon von der Universität de los Andes in der kolumbianischen Hauptstadt Bogota ist skeptisch. »Jedes Währungssystem muss auf einem seriösen institutionellen Fundament und einer anerkannten Strategie basieren«, so Hofstetter. »Darüber hinaus sind Abkommen über Wechselkurse und verbindliche steuerliche Regeln notwendig. Die ALBA-Staaten haben alle diese Grundlagen bislang noch nicht.« Das ist sicher richtig, aber noch vor wenigen Jahren wären derart deutliche Angriffe auf den Dollar undenkbar gewesen.

2009 ist das anders. Nur ein paar Wochen ist es her, dass sich die Nachricht verbreitete, die arabischen Golfstaaten würden planen, dem US-Dollar im Ölhandel »den Todesstoß zu versetzen«. Eine Reihe anderer, gravierender Angriffe gingen in diesem Jahr voraus. An zwei möchte ich hier erinnern: den Affront des russischen Präsidenten Medwedew, der auf dem G20-Gipfel von L´Aquila im Juli 2009 eine Münze aus der Tasche zog, die der Prototyp einer »neuen Weltwährung« sein sollte, und an den Jahresbericht der UN-Konferenz für Handel und Entwicklung (UNCTAD). Schon viel früher hat es Provokationen gegenüber dem Dollar gegeben. So berichtete Welt Online am 12. Oktober 2003: »Konvertiten aus Europa erfanden eine islamische Währung. Sie soll die Marktwirtschaft erschüttern. Iran will den Gold-Dinar 2004 einführen.« Doch nun mehren sich die Angriffe und nehmen an Heftigkeit zu.

 

Der Dollarcrash aus astrologischer Sicht

Aus astrologischer Sicht zeigt die massive Auslösung des Horoskops von Bretton Woods sowie des »Coinage Act« vom 2. April 1792 durch die totale Sonnenfinsternis vom 22. Juli 2009, dass sich bis zur nächsten totalen Sonnenfinsternis am 11. Juli 2010 noch Gravierendes ereignen wird. Meines Erachtens wird der US-Dollar bis dahin nicht nur seine Stellung als Weltleitwährung verlieren. Begonnen hat die Endphase der Entwicklung bereits im September. Ab jetzt kann jeden Monat Einschneidendes geschehen. Zwei markante Eckdaten für die weitere Entwicklung sind Ende November 2009 und Mitte Mai 2010.

 

www.brigitte-hamann.de

 

Montag, 09.11.2009

Kategorie: Geostrategie, Wirtschaft & Finanzen, Politik

© Das Copyright dieser Seite liegt, wenn nicht anders vermerkt, beim Kopp Verlag, Rottenburg


Dieser Beitrag stellt ausschließlich die Meinung des Verfassers dar. Er muß nicht zwangsläufig die Meinung des Verlags oder die Meinung anderer Autoren dieser Seiten wiedergeben.

00:20 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : etats-unis, dollar, finances, crise, dévaluation, dédollarisation | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

dimanche, 15 novembre 2009

La UE y su "déficit democratico"

enceinte.jpgLa UE y su “déficit democrático”

Los estados son los «señores de los Tratados»

La Unión Europea admite conocer un ” déficit democrático “. Sin embargo, no abandonó a sus viejos demonios. Ya una campaña de información es lanzada contra el presidente de un Estado miembro para forzarlo a ratificar un tratado. ¿ Los elegidos del Pueblo, cuando no comparten el punto de vista bruselense, ellos deben someterse o dimitir?

«¿Sobre qué quiere hacer votar a la gente?» Esto respondió el entonces ministro alemán del exterior, Joseph Fischer, el 28 de febrero de 2004, en un reportaje del «Berliner Zeitung». La pregunta fue, que tenía él en contra de un referendo alemán sobre el planeado contrato de la UE en aquel momento. Fischer ni siquiera consideró necesario fundamentar objetivamente su punto de vista.

El método de Fischer se ha impuesto mayoritariamente dentro de la UE. Sin tener reparos frente a los estados democráticos, los jefes de estado y de gobierno de los 27 países miembros, después de su fracaso en los referendos de Francia y Holanda, retocaron un poco el acuerdo, le dieron entonces el nombre de Tratado de Lisboa y negaron a sus pueblos el derecho a votar. Sólo en Irlanda no fue posible.


Después de cinco años y medio, en octubre de 2009, se hace evidente cómo, por medio de una acción concentrada, se quiere obligar al presidente electo de un país miembro, quien tiene dudas sobre el planeado Tratado de Lisboa, a cambiar de opinión. Dudas que, por otro lado, comparten millones de europeos.

En la campaña contra Václav Klaus participaron también los medios mainstream. Por ejemplo, el «Frankfurter Rundschau» alemán. En un artículo del 16 de octubre, el presidente electo es presentado como un hombre a quien le gusta estar «solo en contra del mundo»; un hombre en el «rol de un excéntrico» que también en su propio país «entre tanto sería bastante discutido». Sus ideas sobre libertad serían «desenfrenadas», tiene una »tendencia misionera», muchos checos «se burlan de él» y sólo deja tras de sí «platos rotos» … En los otros medios es similar.

También políticos de la UE participan en la campaña. El «Sunday Times» británico informó el 11 de octubre, que un parlamentario alemán de la UE, el político del SPD Jo Leinen, exige un «proceso de suspensión del cargo» contra el presidente checo. El lenguaje es revelador: diplomáticos alemanes y franceses piensan que «el obstáculo Klaus debe sacarse de por medio».

Y el más alto funcionario del momento en la UE, el presidente de la comisión, Barroso, también opina que podría amenazar al presidente electo de un país, y decidir lo que es «inconcebible», «absurdo» o incluso «surreal». Así calificó Barroso a las consideraciones de acceder a las propuestas del presidente checo, para realizar cambios en el Tratado de Lisboa. También deberá ignorarse lo que el Tribunal Constitucional alemán estipuló claramente:que los estados miembros son los «deciditorios de los acuerdos» y no los comisarios en Bruselas. Y debe recordarse también lo que estipula el artículo 63 de la constitución checa: «El presidente negocia acuerdos entre los estados y los ratifica.» O no. Y en este caso el acuerdo no entra en vigencia.

¿Por qué la UE no se toma el tiempo para un debate democrático? ¿Por qué tanto apuro? ¿ Los de arriba en la UE le temen a los referendos como el diablo al agua bendita? El posible próximo jefe de gobierno británico – según las últimas encuestas – ha prometido a los votantes que, en caso de ganar las elecciones, va a hacer votar a los británicos sobre el Tratado. El actual primer ministro ha negado ese derecho a la población, porque sabe que el Tratado no tendría mayoría en su país.

Si Europa quiere recuperarse, la cuestión sobre la democracia debe estar en el orden del día. Elites incapaces de ser democráticas, no son una perspectiva para una Europa que quiere aportar algo para la comunidad humana, la paz, y la justicia en el mundo. Las personas a las que se respeta y protege su dignidad, deben poder decidir por sí mismas, cómo quieren vivir y configurar su destino. Sólo así es posible un desarrollo duradero.

Karl Müller

Extraído de Red Voltaire.

~ por LaBanderaNegra en Noviembre 9, 2009.

samedi, 14 novembre 2009

Japon: premier pas vers la libération

Japon : premier pas vers la libération

Ex: http://unitepopulaire.org/

 

« Venu à Tokyo accélérer un accord sur les bases américaines, le secrétaire d’Etat américain Robert Gates a été froidement reçu. “Ah soo desu ka” (“Oh, vraiment”). C’est généralement par cette formule de politesse que les Japonais répondaient depuis des décennies au “we have a deal” (“nous sommes d’accord”) des Américains. D’où le choc éprouvé cette semaine par l’administration Obama quand le ministre des Affaires étrangères Katsuya Okada a déclaré : Nous n’allons pas accepter ce que les Etats-Unis nous disent juste parce que ce sont les Etats-Unis. Il répondait aux pressions du secrétaire américain à la Défense Robert Gates, venu à Tokyo pour accélérer la concrétisation d’un accord conclu en 2006, après quinze ans de négociations, sur la réorganisation des bases américaines dans l’Archipel. Celui-ci prévoit le déplacement de la base de Futenma, proche d’une zone urbaine au sud de l’île d’Okinawa et le transfert de 8000 soldats américains d’Okinawa à Guam.

Katsuya_Okada_cropped_Katsuya_Okada_and_Hillary_Rodham_Clinton_20090921.jpgCela fait des années que la présence militaire américaine au Japon (47 ’000 hommes actuellement) provoque des tensions avec la population locale à cause d’accidents, de deux affaires de viol médiatisées, et plus généralement de la pollution. A Okinawa, qui accueille trois quarts des bases et la moitié du contingent, c’est d’ailleurs l’opposition de riverains voulant préserver la baie au nord de l’île qui bloque le déplacement de la base de Futenma. Mais l’affaire dépasse l’enjeu écologique depuis la victoire des sociaux-démocrates le 30 août dernier, mettant fin à la très longue domination du Parti libéral démocrate. L’actuel premier ministre Yukio Hatoyama avait promis aux électeurs de traiter d’égal à égal avec les Etats-Unis et de trouver une solution alternative pour la base de Futenma, afin d’alléger le fardeau d’Okinawa. Sa popularité (70% de soutien) dépend en partie de sa fermeté.

Le gouvernement japonais a pris un départ sur les chapeaux de roue. Il a mis fin au soutien logistique naval, dans l’océan Indien, des troupes américaines engagées en Afghanistan. Il veut réviser le statut privilégié des soldats américains basés au Japon. Il a ouvert une enquête sur les pactes secrets conclus entre Tokyo et Washington pendant la Guerre froide. Il joue avec l’idée d’une Communauté est-asiatique regroupant la Chine, le Japon, les pays de l’ASEAN, peut-être l’Australie – sans dire un mot du rôle qu’y joueraient les Etats-Unis.

Il prend aussi tout son temps pour appliquer l’accord militaire signé en 2006 par le précédent gouvernement, tandis que les Américains le pressent de conclure avant la visite de Barack Obama au Japon, le 12 novembre prochain. Robert Gates a modérément apprécié la placidité de ses hôtes, déclinant une invitation à dîner avec des fonctionnaires du Ministère japonais de la défense. Geste éloquent quand on sait l’importance du protocole au pays du Soleil-Levant. Plusieurs fois, des diplomates ou députés japonais ont répondu du tac au tac, voire avec une certaine impertinence à leurs vis-à-vis américains. “En 30 ans, je n’avais jamais vu ça !” dit au Washington Post Kent Calder, directeur du Centre d’études asiatiques à l’Université John Hopkins. »

 

Le Temps, 26 octobre 2009 

vendredi, 13 novembre 2009

Immigration et identité

immigration_clandestine-cb663.jpgImmigration et identité

par Dominique Venner

Lancé à quelques mois des élections régionales, le débat sur l’identité nationale n’est sans doute pas innocent. La thématique avait déjà pesé lors de l’élection présidentielle .Bien entendu cette question toujours biaisée ne se pose qu’en raison des inquiétudes créées par l’immigration. Les Français n’ont jamais été consultés sur celle-ci, alors qu’elle plombe le présent et engage l’avenir de leur descendance à qui seront léguées des catastrophes certaines. Sujet tabou.

Pour mesurer les interdits verrouillant cette question, les historiens de l’avenir auront l’embarras du choix. Ils pourront par exemple associer deux curieux incidents, survenus récemment à un mois de distance. Commençons par le second, chronologiquement parlant. La scène se passe le 5 septembre à Seignosse, lors du campus d’été du parti majoritaire. Dans une ambiance détendue, le ministre de l’Intérieur, à qui l’on présente un militant en précisant « c’est notre petit Arabe », laisse filer ce commentaire: « Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes… » Rapportés par les médias, ces propos seront jugés “racistes” et provoqueront les réactions que l’on imagine. Le ministre tentera d’esquiver : il pensait aux Auvergnats, ce qui serait moins pendable. Depuis, quand des policiers appréhendent un Maghrébin, ils disent: “On a pincé un Auvergnat.”

Passons à l’autre incident, qui remonte au matin du 31 juillet, à l’aéroport d’Orly.U n préfet de la République en civil se présente au contrôle. Légère bousculade. Plusieurs agents de sécurité d’origine antillaise accuseront le préfet d’avoir lancé: « On se croirait en Afrique… Il n’y a que des Noirs ici… » Les contractuels porteront plainte pour “injures racistes”. Le ministre de l’Intérieur décidera illico de suspendre le préfet sans l’avoir entendu. Ainsi donc, un ministre sanctionne durement un haut fonctionnaire pour un motif qui s’apparente à ce qui pourra bientôt lui être reproché… Qu’ont-ils donc commis tous deux de si répréhensible? Ils ont dit tout haut ce que beaucoup de Français pensent tout bas sans oser parler, faute de parole libre.

Cela prouve que la question de l’immigration est un tabou, autant que l’identité. Il est assez éloquent que le gouvernement se soit doté d’un ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale. Deux termes par définition antinomiques. Pourquoi les avoir accolés ? Pour tromper son monde, diront les mauvaises langues. Par confusion mentale, diront les plus charitables.

Cette confusion n’aide pas à répondre aux questions fondamentales de l’immigration et de l’identité. J’éprouve pour ma part une vraie compassion pour les immigrés d’Afrique noire ou du Maghreb que l’on a fait venir dans une intention économique sordide, et que l’on transforme en déracinés acculturés. Dans leur détresse, pourtant, ils bénéficient d’aides publiques considérables et du soutien de solidarités communautaires. Le sort des Français des banlieues, les “Gaulois”, est autrement pathétique et désespéré tant ils sont abandonnés.

Les mobiles économiques ne sont pas seuls en cause. Les calculs pervers ont leur poids, associés à la nouvelle religion de la repentance. Dès maintenant,l ’immigration afro-maghrébine et musulmane a transformé la composition de la population française, lui faisant perdre son homogénéité ethnique et culturelle, imposant aussi des dérogations aux principes de l’unité et de la laïcité républicaine en matière d’éducation, de moeurs et de nationalité. Dans son essai, l’Islam, le Sexe et Nous (Buchet-Chastel, 2009), Denis Bachelot a braqué le projecteur sur une réalité autrement parlante que le concept flou de la citoyenneté. Au centre de sa réflexion, l’omniprésence sociale du corps de la femme dans notre culture et nos habitudes. Le refus horrifié de cette présence du corps féminin chez les musulmans (le voile) heurte de plein fouet la tradition ancestrale européenne qui, depuis le haut Moyen Âge, a fait toute sa place à la visibilité du corps féminin.

Ces réactions définissent l’identité : désir d’être soi-même, être conscient de ce que l’on est dans toute l’épaisseur de son existence, parmi ceux qui vous ressemblent et partagent la même mémoire. Si l’on n’est pas complètement aveugle, on se demande pourquoi le désir d’identité serait légitime chez les Noirs américains, les Chinois, les Arabes, les Israéliens, les Ouïgours, les Turcs ou les Maliens, mais condamnable chez les Français et les Européens? Répondre à cette question permettrait de progresser dans la compréhension de notre époque.

Dernier ouvrage paru : Ernst Jünger. Un autre destin européen, Le Rocher, 2009.
Dominique Venner, écrivain, historien, directeur de “la Nouvelle Revue d’histoire”

Source : Valeurs Actuelles [2]


Article printed from :: Novopress.info Flandre: http://flandre.novopress.info

URL to article: http://flandre.novopress.info/5710/immigration-et-identite-par-dominique-venner/

URLs in this post:

[1] Image: http://flandre.novopress.info/wp-content/uploads/2009/11/29.png

[2] Valeurs Actuelles: http://www.valeursactuelles.com/parlons-vrai/parlons-vrai/immigration-et-identit%C3%A9.html

PRESSESCHAU (2)

newspapers.jpgPRESSESCHAU (2)

Wieder mal eine Reihe von Links. Bei Interesse anklicken...

###

Die Gemeinsamkeit der Sprache kann das alles entscheidende Kriterium für die Selbstidentifizierung sein, wie im Zeitalter der aufstrebenden deutschen Nationalideologie im 19. Jahrhundert. Bei den Japanern ist dagegen das aus gemeinsamer Abstammung resultierende genetisch-ethnische Merkmalsprofil die Basis für die Identitätsfindung, wobei sich die Identifizierung mit Kulturtraditionen und Sprache wie Zusatzfaktoren der elementaren anthropologischen Konstituente ausnehmen. Die Zugehörigkeit zum chinesischen Volk kann sich auf eine ganze Reihe exklusiver Eigenheiten stützen, die alle Eigengewicht haben: anthropologische Spezifika, in denen sich Chinesen von anderen Asiaten, auch von den nächsten Nachbarn (z. B. Tibetern, Koreanern, Japanern, Vietnamesen), unterscheiden; das Medium der chinesischen Sprache (bzw. deren regionale Varianten); chinesische Kulturtraditionen wie die Lebensweise in der Dorfgemeinschaft; das Eigenprofil der Schriftkultur und das kulturelle Gedächtnis, das sich im Konzept des Reichs der Mitte herauskristallisiert.
Für die Identifizierung des Judentums fällt das Kriterium der gemeinsamen Sprache aus, denn Juden in aller Welt sprechen die verschiedensten Sprachen. Das klassische Hebräisch besitzt keinen praktischen kommunikativen Wert, es verbindet als Sakralsprache lediglich symbolisch alle Muttersprachen jüdischer Gemeinschaften. Alle Sprachvarianten, die in ihren Strukturen einen nennenswerten Einfluß des Hebräischen aufweisen, werden „jüdische Sprachen“ genannt (z. B. Jiddisch, Ladino, Jüdisch-Arabisch, Jüdisch-Iranisch). Das moderne Hebräisch, Ivrit, besitzt seinen Wert als sprachliches Identitätskriterium nur für einen Teil der Juden, und zwar für rund 4,6 Mio. Menschen jüdischer Abstammung, von denen die allermeisten in Israel beheimatet sind. Da die lokalen Kulturtraditionen bei Aschkenasen, Sepharden und orientalischen Juden sehr unterschiedlich sind, bleiben als gemeinsame Merkmale des Judentums die religiöse Zugehörigkeit und meist in Verbindung damit der Glaube an eine gemeinsame Abstammung.

(Harald Haarmann: Kleines Lexikon der Völker. Von Aborigines bis Zapoteken, München 2004, S. 11 f.)



'S ist leider Krieg …
Von Michael Paulwitz
… und die Bundesregierung begehrt zwar nicht gerade, wie weiland Matthias Claudius, „nicht schuld daran zu sein“, aber doch wenigstens die Lage in Afghanistan nicht beim Namen nennen zu müssen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M50de420d8f5.0.html

Luftangriff: Bundesanwaltschaft soll ermitteln
DRESDEN. Im Fall des Luftangriffes auf zwei von den Taliban entführte Tanklaster hat die Generalstaatsanwaltschaft Dresden das Verfahren gegen den verantwortlichen Oberst der Bundeswehr an die Bundesanwaltschaft in Karlsruhe abgegeben. Die obersten deutschen Ermittler sollen nun klären, ob der Militärschlag mit dem Völkerstrafrecht vereinbar war.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M55b0c1714d5.0.html

Afghanistan in Algerien
Von Michael Paulwitz
Kluge Kriegsfilme mit Erkenntniswert sind selten. Einen davon hat die ARD vergangenen Samstag zwischen all der Halloween-Grusel-Meterware untergebracht. „Der Feind in den eigenen Reihen“ blickt auf den asymmetrischen Krieg, den Frankreichs Armee vor einem halben Jahrhundert gegen eine fanatische islamistische Untergrundbewegung in Algerien führte, realistisch, unsentimental und mit bemerkenswerter Aktualität.
http://www.sezession.de/8754/afghanistan-in-algerien.html#more-8754

Afghanischer Polizist erschiesst britische Soldaten
http://www.badische-zeitung.de/nachrichten/ausland/afghanischer-polizist-erschiesst-britische-soldaten--22011547.html

US-Armee-Psychiater richtet Blutbad an
Washington (dpa) – Er wollte unbedingt aus der Armee entlassen werden und sollte in den Irak geschickt werden. Drei Wochen vor dem geplanten Beginn seines Einsatzes hat ein 39jähriger Militär-Psychiater auf dem größten Militärstützpunkt in den USA ein Blutbad angerichtet.
Zwölf Menschen starben, mehr als 30 wurden verletzt. Der muslimische Täter konnte schließlich mit mehreren Schüssen gestoppt und festgenommen werden. Nun rätselt Amerika über die Hintergründe des schlimmsten Blutbads auf dem Stützpunkt Fort Hood in Texas.
http://portal.gmx.net/de/themen/nachrichten/panorama/9260008-US-Armee-Psychiater-richtet-Blutbad-an,articleset=9261018.html

Amoklauf auf Fort-Hood-Militärbasis
Das wirre Profil des Armeepsychiaters Nidal Hasan
Eigentlich half er Soldaten, ihre Erlebnisse aus dem Krieg im Irak oder in Afghanistan zu verarbeiten. Urplötzlich griff der Militärpsychiater Nidal Malik Hasan zur Waffe und erschoß auf dem US-Armeestützpunkt Fort Hood in Texas 13 Menschen. Jetzt werden immer mehr Details zu dem Täter bekannt.
http://www.welt.de/vermischtes/article5110062/Das-wirre-Profil-des-Armeepsychiaters-Nidal-Hasan.html

Frankreich öffnet Archive
PARIS. Aus Anlaß des 20. Jahrestages des Mauerfalls öffnet Frankreich seine Archive zu außenpolitischen Vorgängen der Jahre 1986 bis 1989. Dies haben Außenminister Bernard Kouchner und Europa-Staatssekretär Pierre Lellouche am Donnerstag in Paris angekündigt.
Normalerweise wären diese Bestände noch fünf Jahre gesperrt. Kouchner forderte die Historiker auf, sich schnell an die Arbeit zu machen. Ziel dieser vorfristigen Öffnung ist es, die Haltung der französischen Führung unter Präsident François Mitterrand zur deutschen Wiedervereinigung aufzuzeigen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5905d797647.0.html

Dokumentation
Angela Merkels Rede im US-Kongreß im Wortlaut
Als erste deutsche Regierungschefin hat Angela Merkel vor einer gemeinsamen Sitzung beider Kammern des US-Kongresses gesprochen. Die Rede wurde mit viel Applaus aufgenommen. Merkel sprach über die Wiedervereinigung ebenso wie über aktuelle weltpolitische Themen. WELT ONLINE dokumentiert ihre Äußerungen im Wortlaut.
http://www.welt.de/politik/ausland/article5079678/Angela-Merkels-Rede-im-US-Kongress-im-Wortlaut.html

Kommentar
Merkels Rede gefällt Amerika und hilft Deutschland
Von Torsten Krauel
Deutschland ist in den USA hoch angesehen. Mit ihrer gelungenen Rede vor dem US-Kongress hat Angela Merkel dazu beigetragen, daß sich diese Meinung verfestigt. Sie traf die richtigen Töne, schnitt die wichtigen Themen an und begeisterte so ihre Zuhörerschaft. Ein Wunsch allerdings bleibt noch offen.
http://www.welt.de/politik/ausland/article5079596/Merkels-Rede-gefaellt-Amerika-und-hilft-Deutschland.html

Der dümmste Satz von Krauel ist wohl der folgende:
„Ohne die US-Invasion in der Normandie, ohne Marshallplan hätte es 1949 eine Volksrepublik Deutschland gegeben.“ [Als wäre die Sowjetunion ohne die zweite Front – und zuvor bereits die Schwächung der deutschen Ostfront infolge der notwendigen Vorbereitung auf die alliierte Invasion – in der Lage gewesen, Deutschland im Alleingang zu besiegen ...]

Angies Schulmädchenreport
Von Thorsten Hinz
Der deutsche Pressejubel, den die Rede Angela Merkels vor dem US-Kongreß ausgelöst hat, ist mir unverständlich. Ich habe mich während der Übertragung für ihre Beflissenheit geniert. Natürlich muß eine Kanzlerin im Ausland nett sein zu den Gastgebern, erst recht, wenn es sich um das Parlament des mächtigsten Landes der Erde handelt.
Es wäre aber interessant, ihre Geschichte vom unterdrückten Aschenputtel, das sozusagen „ganz persönlich“ vom Weißen Ritter aus Übersee aus der kommunistischen Drachenhöhle befreit wurde, mit den Wortbeiträgen abzugleichen, die sie als FDJ-Funktionärin und Austauschwissenschaftlerin in Moskau gehalten hat. Wahrscheinlich ist der Unterschied gering.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5e9bf7e315e.0.html

Hartnäckige Nachfrage
Journalist nervt Merkel und wird zum YouTube-Star
Von Falk Schneider
Der niederländische Journalist Rob Savelberg ist mit einer einzigen Frage an Angela Merkel zum YouTube-Star geworden. Er wollte wissen, wie Merkel ausgerechnet Wolfgang Schäuble, der mal „100.000 Mark in seiner Schublade“ vergessen habe, das Finanzministerium überlassen könne. WELT ONLINE sprach mit Savelberg.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article4982040/Journalist-nervt-Merkel-und-wird-zum-YouTube-Star.html

Reichtum, Leistungen und Kopftücher
Von Stefan Scheil
Die Bundesrepublik Deutschland ist reich, immer noch. Wer reich ist, der leistet sich was. Die BRD leistet sich deshalb unter anderem ein Sozialsystem, das so manchem eine gelassen-arbeitsfreie Existenz ermöglicht, kein Leben in Reichtum, aber doch in Umständen, die im weltweiten Vergleich luxuriös ausfallen. Das zieht teilweise generationenlang gepflegte Arbeitslosigkeit nach sich und es begünstigt unter den heutigen Umständen die Ghettobildung und die unqualifizierte Zuwanderung.
http://www.sezession.de/8797/reichtum-leistungen-und-kopftuecher.html#more-8797

Italien
EGMR: Kruzifix in der Schule verletzt Menschenrechte
http://www.welt.de/die-welt/politik/article5078281/Gericht-Kruzifix-in-der-Schule-verletzt-Menschenrechte.html
http://bazonline.ch/schweiz/standard/Das-Kreuz-mit-dem-Kruzifix/story/27841581
http://www.s-o-z.de/?p=10912

Protest in Italien
Kreuzzug gegen Europa
Von Michael Braun, Rom
Abwegig, gravierend, skandalös: Italienische Politiker wettern gegen den Europäischen Gerichtshof für Menschenrechte. Nach dessen Urteil gegen Kruzifixe im Klassenzimmer verbünden sich Staat und Kirche – und starten zum Kampf ums Kreuz.
http://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/0,1518,659474,00.html#ref=nldt

Inder treiben Gold auf Rekordhoch
Nach IWF-Verkäufen liegt der Preis bei 1087,45 Dollar
Von Simone Boehringer
München – Monatelang belastete das Vorhaben des Internationalen Währungsfonds (IWF), 400 Tonnen seiner Edelmetallbeständ zu verkaufen, den Goldpreis. Jetzt haben überraschend die Inder zugeschlagen – und mit einem Mal scheint der Druck weg. Der Goldpreis reagierte auf die Nachricht am Dienstag mit einem kräftigen Preisanstieg. Am Abend brach das Edelmetall die alte Rekordmarke von 1070,40 Dollar vom 14. Oktober und setzte ein neues Allzeithoch bei 1087,45 Dollar für die Feinunze (31,1 Gramm).
http://www.sueddeutsche.de/e5Y385/3129921/Inder-treiben-Gold-auf-Rekordhoch.html

Reserve-Währung
Währungshüter entdecken ihre Liebe zum Gold
Von Daniel Eckert und Holger Zschäpitz
Auch bei den Notenbanken sinkt das Vertrauen in den US-Dollar. Statt dessen kaufen die Währungshüter Gold-Reserven, wie diese Woche die Inder. In der Folge ist das Edelmetall auf einen neuen Höchstkurs gestiegen. Analysten erwarten noch einen weiteren Anstieg des Kurses bis zu 1300 Dollar je Feinunze.
http://www.welt.de/finanzen/article5099141/Waehrungshueter-entdecken-ihre-Liebe-zum-Gold.html

Brandenburgs Ministerpräsident
Platzeck fordert Versöhnung mit Erben der SED
Kurz vor Beginn der Gedenkfeiern zum Mauerfall hat Brandenburgs Regierungschef Matthias Platzeck (SPD) eine Versöhnung mit den SED-Erben gefordert. Platzeck lobte in diesem Zusammenhang versöhnliche Gesten des früheren SPD-Chefs Kurt Schumacher gegenüber der Waffen-SS.
http://www.welt.de/politik/article5036631/Platzeck-fordert-Versoehnung-mit-Erben-der-SED.html

Historiker kritisieren Matthias Platzeck für seinen SS-Vergleich
http://www.maerkischeallgemeine.de/cms/beitrag/11649968/62249/Historiker-kritisieren-Matthias-Platzeck-fuer-seinen-SS-Vergleich.html
http://www.welt.de/die-welt/politik/article5078315/Platzeck-weist-Vorwuerfe-zurueck-Kein-Nazi-Vergleich.html

Was würde Kurt Schumacher machen?
Von Ronald Gläser
Rot-Rot kommt. Jetzt auch in Brandenburg. In Berlin haben wir das ja alles schon erlebt: den Bruch einer großen Koalition und eine neue Regierung von SPD und Kommunisten. Klaus Wowereit und seine Genossen haben 2001 den Bankenskandal zum Anlaß genommen, eine Koalition mit der damaligen PDS zu bilden.
Matthias Platzeck hat es nicht so einfach. Er hat keinen Bankenskandal. Deswegen rätselt ganz Deutschland, warum er sich so verhält. Jetzt hat er eine merkwürdige Begründung abgeliefert. In einem SPIEGEL-Essay erklärt er, wir Deutsche müßten es mit der „Versöhnung ernst nehmen“ und die innere Einheit herstellen.
Die Zusammenarbeit mit der Partei von Mauer und Stacheldraht hält er demnach für eine Notwendigkeit für die Herstellung des inneren Friedens. Und das Ganze begründet er dann noch mit einem Gespräch, das Kurt Schumacher 1951 mit Vertretern von Waffen-SS-Angehörigen gehabt habe. Der SPD-Vorsitzende habe damals gefordert, „der großen Masse der ehemaligen Angehörigen der Waffen-SS den Weg zu Lebensaussicht und Staatsbürgertum freizumachen“.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M58a11c6c958.0.html

Stasi-Opfer stellt eigene Haft nach
Der ehemalige Stasi-Häftling und Vorsitzende der „Vereinigung 17. Juni“, Carl-Wolfgang Holzapfel, hat sich für die Kunstaktion „24/7 Stasi-Live-Haft“ in eine Gefängniszelle der ehemaligen Stasi-Untersuchungshaftanstalt Berlin-Hohenschönhausen sperren lassen. Bis zum 5. November wird Holzapfel in Zelle 207 der heutigen Gedenkstätte rund um die Uhr in Sträflingskleidung eingesperrt bleiben. Die von der Fotografin Franziska Vu und ihm gemeinsam initiierte Aktion wird im Internet live übertragen.
Holzapfel war 1966 vom kommunistischen DDR-Regime zu acht Jahren Zuchthaus verurteilt worden, weil er ein Jahr zuvor am Checkpoint Charlie für die Freilassung politischer Gefangener demonstriert hatte. Neun Monate verbrachte er dabei als Häftling in Hohenschönhausen. Von 1961 bis 1989 war er als aktiver Kämpfer gegen die Berliner Mauer aktiv, unter anderem durch Hungerstreiks, Fluchthilfen und Demonstrationen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5b18b3a2181.0.html

Holzapfel bricht Stasi-Haft-Aktion vorzeitig ab
BERLIN. Der Vorsitzende der Vereinigung 17. Juni, Carl-Wolfgang Holzapfel, hat seine Kunstaktion „24/7 Stasi-Live-Haft“ vorzeitig beendet. Er habe die Situation nicht mehr ausgehalten, sagte das frühere Stasi-Opfer.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M560fc35b26d.0.html

Interview mit der Juso-Vorsitzenden
„Ich kritisiere die Gleichmacherei“
Franziska Drohsel wehrt sich gegen die Gleichsetzung von Rechts- und Linksextremismus: Der eine spricht Menschen das Recht auf Leben ab, der andere strebt nach freiem Leben.
http://www.taz.de/1/politik/deutschland/artikel/1/ich-kritisiere-die-gleichmacherei/

S. Braun und die Freiheit der Andersdenkenden
Kirchenjournalist und Linksaußen-Politiker Stephan Braun (SPD), der seine Lebensaufgabe darin sieht, die konservative Wochenzeitung „Junge Freiheit“ (JF) aufs rechtsextreme Abstellgleis schicken zu wollen, sprach am 4. November 2009 auf Einladung der Waiblinger SPD vor 40 interessierten Zuhörern im Waiblinger „Kulturhaus Schwanen“ zum Thema: „Junge Freiheit – kritische Anmerkungen zur neurechten Wochenzeitung“.
http://www.pi-news.net/2009/11/s-braun-und-die-freiheit-der-andersdenkenden/#more-97039

Interview mit Rechtsextremismusexpertin Neumann in der „Frankfurter Rundschau“
„Neonazis gehören zur Normalität“
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/hessen/2060056_Interview-mit-Rechtsextremismusexpertin-Neumann-Neonazis-gehoeren-zur-Normalitaet.html

Neonazi-Musiker verurteilt
Hetze auf CD
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/hessen/2057577_Neonazi-Musiker-verurteilt-Hetze-auf-CD.html

Wetterau
Geballter Protest gegen NPD-Aufmarsch
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/hessen/2047771_Wetterau-Geballter-Protest-gegen-NPD-Aufmarsch.html

Prozeß gegen „Blood and Honour“-Mitglieder ohne Hauptperson
http://www.open-report.de/artikel/Prozess+gegen+%ABBlood+and+Honour%BB-Mitglieder+ohne+Hauptperson/19812.html

Der berüchtigte „Tagesspiegel“-Journalist Frank Jansen nun als „Rechtsextremismus“-Experte offiziell bei einer Anhörung des hessischen Verfassungsschutzes. Und er darf gleich mal den „Linksextremismus“ verharmlosen ...
Extremisten in Hessen
„Ein Zusammenprall, der mit Toten enden kann“
http://www.faz.net/s/Rub5785324EF29440359B02AF69CB1BB8CC/Doc~E4F001AFC63E04BA49536749658740592~ATpl~Ecommon~Scontent.html?rss_googlenews

Für Deserteure eingesetzt
Förderpreis an Connection
Der Offenbacher Verein „Connection“, der sich weltweit für den Schutz von Deserteuren und Kriegsdienstverweigerern einsetzt, erhält den mit 5000 Euro dotierten Förderpreis der Martin-Niemöller-Stiftung. Der Verein bekomme den Preis, weil er sich für ein verdrängtes Thema einsetze, sagte der Vorsitzende der Stiftung, Martin Stöhr, am Dienstag in Wiesbaden zur Begründung.
Die Entscheidung eines Deserteurs, nicht an einem Krieg teilzunehmen, sei die konkrete Gewissensentscheidung, nicht zu töten, würdigte Stöhr. „Connection macht die Probleme und die Situation dieser Menschen öffentlich und setzt sich für sie ein.“
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/hessen/2057754_Fuer-Deserteure-eingesetzt-Foerderpreis-an-Connection.html

Anti-Deutschland Demo, 10. 10. 2009, Leipzig
[Die Nach-der-Demo-Diskussion der zerstrittenen unterschiedlichen antinationalen Fraktionen der Linksradikalen]
http://de.indymedia.org/2009/10/263055.shtml

Deutschland verrecke? Patria o muerte!
Von Adolph Przybyszewski
Raúl Castro pflegt in Kuba seine Reden seit der Revolución mit dem Ausruf zu beenden: „Patria o muerte!“ Angela Marquardt zog 1990 durch Greifswald mit der Parole: „Deutschland verrecke!“, und noch 2009 verkündete sie zu Leipzig in der Sprache ihrer Herren: „Still not lovin‘ Germany“. Woher der feine Unterschied?
http://www.sezession.de/8897/deutschland-verrecke-patria-o-muerte.html#more-8897

Frankfurt
„Bewegung Morgenlicht/Kommando Makeda“
Zwei Brandanschläge auf Bankfilialen
[wahrscheinlich getarnte „Autonome“]
http://www.faz.net/s/RubFAE83B7DDEFD4F2882ED5B3C15AC43E2/Doc~ED8467BB065DA4118862A037895E59FEC~ATpl~Ecommon~Scontent.html
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/hessen/2058570_Brandanschlaege-auf-Frankfurter-Banken-Neue-Bekenner-Mail.html

Innerlinker Streit um die Ausstellung „Arbeiterfotografie“ im Frankfurter „Club Voltaire“
http://de.indymedia.org/2009/10/264566.shtml

Die einsame Wächterin
Moira Cameron kämpft gegen Mobbing im Tower of London
http://www.sueddeutsche.de/A5438e/3128479/Die-einsame-Waechterin.html

„Transgender-Filme“ – eine Auflistung zum Thema
http://www.transgender-net.de/Film/film.html

„Transgender-Bücher“ – eine Auflistung zum Thema
http://www.transgender-net.de/Buecher/buecher.html

Panik? JA!!!
Von Martin Lichtmesz
Die Blaue Narzisse macht ihrem Ruf als „Junge Freiheit 2.0“ mal wieder alle Ehre. Und zwar mit einem erneuten Aufguß des JF-Evergreens „fröhliche Interviewfalle“, der erst vor einem Monat mit dem Piratenpartei-Vertreter Andreas Popp in der Hauptrolle eine glanzvolle Wiederaufführung erlebte. Das Drehbuch der Farce dürfte hinreichend bekannt sein, darum nur soviel: Die BN hatte unlängst, wie sie es nun schon länger tut, zwei popkulturorientierte (und nebenbei gänzlich unpolitische) Interviews veröffentlicht, eines mit dem Musikjournalisten Albert Koch und eines mit einer Newcomer-Indie-Band names Ja, Panik.
Es dauerte natürlich nicht lange, bis in Form eines Radiofeatures aus allen Rohren zurückgeschossen wurde. Unter den Interviewten ist inzwischen die Distanzierungspanik ausgebrochen und sie schrubben sich wie verrückt den Hals, als säße ihnen der Leibhaftige im Nacken.
http://www.sezession.de/8808/panik-ja.html#more-8808

Söldner unter Afrikas Sonne
In der Fremdenlegion kämpften nach Ende des Zweiten Weltkrieges Zehntausende Deutsche – zuletzt im Algerienkrieg, der vor 55 Jahren begann. Sie töteten und starben für ein paar Cent Sold, das Recht auf Anonymität und für die Sache Frankreichs. Einer der Legionäre war der Berliner Horst Pahl. Von Kai Posmik
http://einestages.spiegel.de/static/topicalbumbackground/5101/soeldner_unter_afrikas_sonne.html

Sarkozy startet Debatte um nationale Identität
http://www.welt.de/politik/ausland/article5081865/Sarkozy-startet-Debatte-um-nationale-Identitaet.html


Multikulti
Ende einer Lebenslüge
Die Debatte um die Äußerungen des ehemaligen Berliner Finanzsenators Thilo Sarrazin hat gezeigt, wie sehr das Thema Integration vielen Deutschen unter den Nägeln brennt. Während das Problem der Zuwanderung seit Jahrzehnten tabuisiert ist, sind in zahlreichen deutschen Großstädten unhaltbare Zustände entstanden. Doch immer mehr Fachleute warnen vor der fortgesetzten Masseneinwanderung nach Europa.

Ende einer Lebenslüge
Von Michael Paulwitz
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M585db50cece.0.html

Die Vernichtung des Westens: Interview mit dem finnischen Historiker Timo Vihavainen
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5d98f4d3aeb.0.html

Türkischer Botschafter fordert Landsleute auf
Wehrt euch gegen die Deutschen!
In Zukunft mehr klagen und demonstrieren
http://www.berlinonline.de/berliner-kurier/berlin/wehrt_euch_gegen_die_deutschen_/144180.php

Ist das hier Krieg?
Von Götz Kubitschek
Kenner unserer Gedanken wissen, daß wir vor Wörtern wie „Vorbürgerkrieg“ und „Rassenunruhen“ nicht zurückschrecken. Im Zusammenhang mit der Sarrazin-Debatte rückte daher auch die IfS-Studie „Das hier ist Krieg“ wieder in den Vordergrund. Sie hat die Unruhen in den Pariser Vororten zum Thema.
Jedoch weitet sie den Blick ganz allgemein auf die „Gewalt“ als jenen unbetreitbar handfesten Aspekt multikultureller Bereicherung. Meine zehn Punkte zur Ausländerfrage speisen sich zum Teil aus dieser Studie.
Wir haben noch zehn Exemplare, nicht mehr. Aber von der „Zurüstung zum Bürgerkrieg“ (Thorsten Hinz) ist vorige Woche die 3. Auflage eingetroffen.
http://www.sezession.de/8891/ist-das-hier-krieg.html#more-8891

„Stadtkewitz hat sich ins Abseits gestellt“
Berliner CDU spekuliert über den Parteiaustritt eines bekennenden Islamgegners. Parteichef Henkel schweigt dazu.
http://www.tagesspiegel.de/berlin/art270,2938112

Nach Austritt: CDU versucht Stadtkewitz umzustimmen
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5023a52fc65.0.html

Ein besonders lesenswerter Beitrag aus dem Weblog der „Blauen Narzisse“ ...
Innenmisterium lügt, Wikipedia schreibt Wahrheit
Auch unseren Lesern soll an dieser Stelle nicht vorenthalten bleiben, wie Geschichtsfälschung von ganz oben in diesem Staat forciert wird. Kewils Verbreitungswunsch zum Thema Anwerbeabkommen will ich gerne nachkommen:
Es ist ein Skandal, was in diesem Land an Geschichtsklitterung betrieben wird. So wird inzwischen dummdreist behauptet, die Türken hätten dieses Land nach dem Krieg wieder aufgebaut! Selbst das Innenministerium – von Integrationsbeauftragten, Migrantenverbänden und der Presse ganz abgesehen – lügt uns schon seit Jahren absichtlich an, damit wir Einheimischen uns endlich dankbarer zeigen und uns bei den (muslimischen) Ausländern im Lande besser integrieren.
http://www.blauenarzisse.de/podcast/index.php?id=1410

Voll symbolischer Kraft
„Fünfzig Jahre nach Beginn der Anwerbeabkommen, die die Bundesrepublik nach und nach mit Mittelmeerländern abschloß, würdigt Frankfurt die Arbeitsmigranten der ersten Generation ...“ (Frankfurter Rundschau)
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/meinung/2060649_Leitartikel-Voll-symbolischer-Kraft.html

„Bereicherung“ ...
Türkische Familie ergaunert 275.000 Euro Sozialhilfe
Ein Gericht in Wesel (NRW) verhandelt derzeit gegen ein türkisches Ehepaar, welches schon 1990 unter Verschleierung seiner wahren Herkunft aus dem Libanon nach Deutschland eingereist ist und Asyl beantragt hat. Seit 1990 haben die Eheleute vom deutschen Steuermichel für sich und ihre nun zwölf Kinder rund 275.000 Euro staatliche Transferleistungen erhalten.
http://www.pi-news.net/2009/11/tuerkische-familie-ergaunert-275-000-e-sozialhilfe/

Steuerprüfer endecken millionenschweren Betrug mit Kaffeesteuer
[Täter: Türkischstämmige Gruppe]
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,658542,00.html
http://www.topnews.de/steuerpruefer-endecken-millionenschweren-betrug-mit-kaffeesteuer-378164

Wowereit: „Türken an die Kommunalwahlurne“
Die deutschen Wähler wenden sich in Scharen von den Sozialdemokraten ab. Von daher werden aus den Reihen der SPD immer wieder Stimmen laut, die über den Umweg der Kommunalwahlen allen Nicht-EU-Bürgern die Wahlteilnahme in Deutschland ermöglichen wollen. Dafür war jetzt wieder Kommunistenfreund und Berliner Bürgermeister Klaus Wowereit (Foto) zuständig, der gar nicht verstehen kann, warum Bürger der Union das Kommunalwahlrecht genießen, türkische Staatsbürger aber nicht. Zugleich betont Wowereit, wie wichtig Zuwanderer für die deutschen Städte sind.
http://www.pi-news.net/2009/11/wowereit-tuerken-an-die-kommunalwahlurne/

TV-Tip: Londoner Jugendgangs außer Kontrolle
Kabel 1 Bringt heute abend 23.15 Uhr auf „K1 Doku“ einen Bericht über das Chaos in den Straßen Londons. Jugendgangs bekriegen sich gegenseitig bis aufs Blut. „Szenen wie aus einem Thriller: Schußwechsel am hellichten Tag, mitten in der belebten Innenstadt. In London ist das längst blutige Realität. Raub, Bandenkriminalität und Waffenhandel gehören zum Alltag der Metropole. Trotz hoher Polizeipräsenz und allgegenwärtiger Überwachungskameras steigt der Schußwaffengebrauch in London kontinuierlich. ‚K1 Doku‘ begleitet Polizisten der Spezialeinheit CO19 auf einer Undercover-Mission gegen jugendliche Verbrecher und berüchtigte Banden.“
http://www.pi-news.net/2009/11/tv-tipp-londoner-jugendgangs-ausser-kontrolle/

Verletzter Afrikaner
Verfahren gegen Bundespolizei eingestellt
Von Julia Jüttner
In Heidelberg soll im Mai ein Student aus Kamerun von Bundespolizisten angegriffen worden sein und dabei eine Gesichtsfraktur erlitten haben. Nun erging gegen den jungen Mathematiker ein Strafbefehl – und die Ermittlungen gegen einen Beamten wurden eingestellt.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,659438,00.html#ref=nldt

Fußball: Rostock: Krawalle nach Pauli-Sieg – „Neue Qualität der Gewalt!“
[Verursacher: Pauli-Spiler Deniz Naki]
http://www.fussball-extreme.de/rostock-krawalle-pauli-neue-qualitaet-der-gewalt/7711
http://archiv.mopo.de/archiv/2009/20091104/sport/stpauli/deniz_naki_20_nach_kopf_ab_geste_gesperrt.html
http://www.bild.de/BILD/sport/fussball/zweite-liga/2009/11/04/fc-st-pauli/nakis-schlimmer-tor-jubel-gegen-hansa-rostock-video.html

Massenschlägerei bei B-Jugend-Fußballspiel in Frankfurt am Main
[Als Auslöser wird der Trainer der B-Jugend bei der Spielvereinigung 02 Griesheim, Faisal El Baouti, vermutet]
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/frankfurt/2055739_Fussballjugend-Blutige-Nasen-in-der-dritten-Halbzeit.html
http://www.bild.de/BILD/regional/frankfurt/dpa/2009/11/01/massenschlaegerei-bei-bjugendfussballspiel.html

Zum Thema passende Musik aus dem NPD-Umfeld ...
Bluterbe: Und ihr bekämpft uns
http://www.myvideo.de/watch/6937395/Bluterbe_Und_ihr_bekaempft_uns


„Ich will eine Spur ziehen. Mit aller Kraft und gegen jeden Widerstand.“
Götz Kubitschek im Gespräch
http://www.dasgespraech.de/?p=1673

Asterix gegen Ricardus Redeflus
Von Martin Lichtmesz
Auf seine eigene originelle Art ist Richard Herzinger von der WELT (erst neulich Thema in diesem Blog) ein Genie. Ich könnte mich endlos über das faszinierende Schaffen dieses Mannes auslassen. Vielleicht auch aus einer verqueren Dankbarkeit heraus. Kein Hinz- und kein Weißmann-Artikel schafft es, mich mit einer solchen widerstandswütigen Inbrunst auf die Barrikade zu treiben wie die Knaller Herzingers.
http://www.sezession.de/8725/asterix-gegen-ricardus-redeflus.html#more-8725

Sprachentwicklung
Babys schreien in ihrer Muttersprache
Wie die ersten Schreie Neugeborener klingen, hängt auch von der Sprache ihrer Eltern ab. Das Erlernen der Sprache beginnt schon im Mutterleib, wie Forscher um Kathleen Wermke von der Universität Würzburg herausgefunden haben. Daß Ungeborene bereits im letzten Drittel der Schwangerschaft Geräusche aus der Umwelt wahrnehmen, ist schon länger bekannt.
http://www.faz.net/s/Rub867BF88948594D80AD8AB4E72C5626ED/Doc~E156367933D9D4784A381D3375E4FFA95~ATpl~Ecommon~Scontent.html


Die Europäer, die anderen und die asymmetrische Evolution
Von Andreas Vonderach
http://www.sezession.de/wp-content/uploads/2009/03/vonderach_die-europaer-die-anderen-und-die-asymmetrische-evolution.pdf

Nahanni-Nationalpark in Kanada
Wildwasser mit Wow-Effekt
Von Ole Helmhausen
Spektakuläre Canyons, wilde Einsamkeit: Eine Rafting-Tour im kanadischen Nahanni-Nationalpark ist ein Traum für jeden Paddler. Angst vor heftigen Stromschnellen sollte man hier allerdings nicht haben – für weiteren Nervenkitzel sorgen echte und falsche Schwarzbären
http://www.spiegel.de/reise/fernweh/0,1518,656801,00.html

mercredi, 11 novembre 2009

Et si l'on commémorait plutôt la réconciliation européenne?

mitterrand-khol.jpg

ET SI L'ON COMMÉMORAIT PLUTÔT LA RÉCONCILIATION EUROPÉENNE ?

Chronique hebdomadaire de Philippe Randa

Après l’armistice de 1914-1918 dont les conditions s’apparentaient davantage pour l’Allemagne à une défaite aux conditions tellement draconniennes qu’elles en furent criminelles, un souhait était largement répandu dans la population française : « Plus jamais ça ! »
« Ça », rappelons-le, c’était tout de même « près de 10 millions de pertes militaires, 9 millions de pertes civiles et… près de 21 millions de blessés militaires(auxquelles s’ajouteront) vingt-et-un ans plus tard près de 24 millions de victimes parmi les militaires, 41 millions parmi les civils (…) puisqu’il semble au moins entendu pour la quasi-totalité des historiens que la Deuxième (Guerre) ne fut que la suite inévitable de la Première », comme rappelé dans le bi-mensuel Flash du 8 octobre dernier qui osait titrer ce que beaucoup pensent tout bas : «Et si on tournait la page ? » C’est sans doute la question que s’est posée, lui aussi, Nicolas Sarkozy, à propos des commémorations du 11 novembre : « À quoi bon encore tout cela ? »
À quoi bon, oui, continuer de fêter ainsi, certes la fin des hostilités entre deux peuples, mais surtout la défaite de l’un sur l’autre, à l’heure où l’entente franco-allemande est une chose entendue pour tous ?
Et surtout, en ce début de XXIe siècle où l’Union européenne, malgré toutes les critiques que l’on peut formuler à son égard – et elles sont nombreuses – est une autre incontestable réalité.
« Nicolas Sarkozy souhaite, après la mort du dernier poilu, que le 11 novembre devienne une journée de réconciliation franco-allemande, pour bâtir un avenir partagé », indique la présidence française.
Fort bien, mais pourquoi s’en tenir « seulement » à cette commémoration-là et continuer d’honorer celle du 8 mai 1945 qui, certes, mit fin aux hostilités militaires, mais scella la fracture entre l’Europe de l’Est et l’Europe de l’Ouest pour près d’un demi-siècle et plongea le Monde dans une autre guerre, pudiquement appelée « froide », jusqu’à un certain jour d’automne de 1989 ?
Dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 novembre 1989, le « mur de Berlin » chuta après 28 années d’existence, entraînant peu après la fin des régimes communistes d’Europe centrale et mettant un terme à l’indécent partage de notre continent à Yalta.
Cette chute du Mur de Berlin, voilà vingt, ans, est actuellement amplement rappelée. Elle se fit dans l’ivresse ou la stupéfaction de millions d’Européens sans mort aucun.
Plutôt que « d’amitié », mot trop souvent galvaudé et qu’il est tout de même incongru d’appliquer sur une victoire pour certains mais forcément une défaite pour d’autres, ne serait-il pas plus enthousiasmant de fêter ce qui a été une incontestable réalité : la réconciliation non pas seulement de deux peuples, mais de tout un continent ?


© Philippe Randa, écrivain et éditeur (www.dualpha.com), est également rédacteur en chef adjoint de Flash Magazine (www.flashmagazine.fr). Ses chroniques sont libres de reproduction à la seule condition que soit indiquée leurs origines.

Visitez le site www.philipperanda.com : chaque semaine, la tribune libre d’un invité… Tout savoir sur Peter et Philippe Randa (leurs entretiens, leurs livres…)

Découvrez les sites d’éditions partenaires www.dualpha.com et www.Librad.com

mardi, 10 novembre 2009

Presseschau

journaux.jpg

PRESSESCHAU

 

Einige Links. Bei Interesse anklicken...

###



Karl-Theodor zu Guttenberg
Ein Baron für die Soldaten
Als Verteidigungsminister kommt Karl-Theodor zu Guttenberg seinem eigentlichen Traum Außenpolitik einen Schritt näher. Er wird kein bequemer Ressortchef werden – insbesondere nicht für seine Partei.
http://www.focus.de/politik/deutschland/wahlen-2009/bundestagswahl/karl-theodor-zu-guttenberg-ein-baron-fuer-die-soldaten_aid_447594.html

Luftangriff auf Tanklaster
Bundeswehr stellt sich vor Oberst Klein
Berlin (RPO). Der neue Verteidigungsminister Karl-Theodor zu Guttenberg hat gleich an seinem ersten Arbeitstag einen hochbrisanten Vorgang auf dem Schreibtisch. Am Donnerstag kam der Untersuchungsbericht zu dem Luftschlag auf zwei entführte Tanklastzüge in Berlin an. Die Bundeswehr sieht Oberst Klein nun entlastet. Der Einsatz ist aus militärischer Sicht angemessen.
http://www.rp-online.de/public/article/politik/deutschland/775985/Bundeswehr-stellt-sich-vor-Oberst-Klein.html

Kriegsszenario
Pentagon testete Strategien für Afghanistan
Mehr oder weniger Soldaten an den Hindukusch? Mit zwei Kriegsszenarien hat das Pentagon die Strategien für Afghanistan getestet. Eine geringe Truppenaufstockung könne die im Süden und Westen des Landes agierenden wiedererstarkten Taliban nicht stoppen, warnen die US-Militärs.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,657393,00.html#ref=nldt

Rüstung
Israel will kostenlos deutsche Kriegsschiffe
http://www.welt.de/politik/ausland/article4944916/Israel-will-kostenlos-deutsche-Kriegsschiffe.html

Saudischer König stoppt Prügelstrafe für Journalistin
http://www.dw-world.de/dw/function/0,,12356_cid_4827553,00.html
http://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/0,1518,657382,00.html
http://www.dnews.de/panorama/131313/saudi-arabien-keine-peitschenhiebe-journalistin.html

Westinstitut fordert mehr Rechte für Polen in Deutschland
BERLIN. Der Direktor des polnischen Westinstituts, Andrzej Sakson, hat eine Zusatzdeklaration zum Nachbarschaftsvertrag mit Deutschland gefordert, um angeblich bestehende Asymmetrien zwischen beiden Ländern abzubauen. „Es nähert sich sein 20jähriges Jubiläum, und es wäre gut, über eine Durchsicht nachzudenken“, sagte Sakson der polnischen Tageszeitung Rzeczpospolita (Rz).
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5aa3b8580c0.0.html

Einigung
EU garantiert Tschechien Ausnahmeklausel bei Reformvertrag
Die Staats- und Regierungschefs der EU haben eine der letzten Hürden für das Inkrafttreten des Reformvertrags von Lissabon beseitigt. Auf dem Gipfel in Brüssel billigten sie Tschechien eine Ausnahmeklausel zu – und kamen damit Staatschef Vaclav Klaus entgegen.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,658205,00.html

Zukunft der neuen Regierung
„Wir bräuchten mehr Sarrazins in der Politik“
Von Miriam Hollstein
Die neue Regierung sollte wegen der Überschuldung keine Versprechungen machen, sondern mehr von den Bürgern fordern. Das gilt vor allem für Zuwanderer, findet der Historiker und Politikexperte Arnulf Baring. Die umstrittenen Äußerungen von Ex-Finanzsenator Sarrazin treffen für ihn den Nagel auf den Kopf.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article4972140/Wir-braeuchten-mehr-Sarrazins-in-der-Politik.html

Merkel zu Finanzminister Schäuble und den 100.000 D-Mark ...
http://www.youtube.com/watch?v=XaWE8K2nRVs&feature=player_embedded

Börsengang von Remington Arms
Waffen für die Wall Street
Von Marc Pitzke, New York
Seit der Wahl Barack Obamas boomt in den USA das Waffengeschäft – weil die US-Bürger neue Beschränkungen fürchten. Davon profitiert auch der angeschlagene Finanzinvestor Cerberus: Er besitzt Amerikas Waffenhersteller Nr. 1, den er jetzt an die Börse bringen will.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/0,1518,656902,00.html

China: Wirtschaftsboom mit schlimmen Folgen
Ein Dorf gebaut auf Giftbergen
http://www.20min.ch/news/kreuz_und_quer/story/Ein-Dorf-gebaut-auf-Giftbergen-23226941

Jüdische Organisation
Broder schockt die Etablierten im Zentralrat
http://www.welt.de/politik/deutschland/article4939656/Broder-schockt-die-Etablierten-im-Zentralrat.html

Franken-Partei steht kurz vor Gründung
[„Auf der Internetseite prangt demonstrativ eine Solidaritätsadresse an die ‚Allianz gegen Rechtsextremismus‘“]
http://www.infranken.de/nc/nachrichten/lokales/artikelansicht/article/franken-partei-steht-kurz-vor-gruendung-38147.html

Hirntod von Parteivize Jürgen Rieger
NPD bangt um ihren Finanzier
Der Neonazi-Anwalt Jürgen Rieger ist hirntot. Er gilt als maßgeblicher Finanzier der NPD. Sein Ableben könnte die Partei in eine bedrohliche Situation bringen. VON A. SPEIT & U. SCHULTE
http://www.taz.de/1/politik/deutschland/artikel/1/hirntod-von-parteivize-bedroht-npd/

NPD: Jürgen Rieger
Das begehrte Erbe eines Multimillionärs
Von Andrea Röpke
Während Jürgen Rieger mit dem Tod ringt, sorgt sich die rechte Szene um seinen Nachlaß – ohne seine Millionen hätte die NPD ein Problem.
http://www.sueddeutsche.de/politik/364/492718/text/

NPD-Vize Rieger tot
Der stellvertretende NPD-Bundesvorsitzende Jürgen Rieger ist tot. Wie seine Familie der Nachrichtenagentur DPA mitteilte, erlag Rieger in einem Berliner Krankenhaus mit 63 Jahren den Folgen eines Schlaganfalls. Die Familie wollte sich nicht weiter äußern und bat um Respekt für die Trauerzeit. „Er war nicht nur ein rechtsorientierter Anwalt, sondern auch ein sehr liebenswerter Vater“, schrieben die Angehörigen. Allerdings hatten ausgerechnet Riegers „Kameraden“ am wenigsten Rücksicht auf die Familie genommen.
http://www.tagesschau.de/inland/rieger104.html

Koalition will stärker gegen Linksextreme vorgehen
http://www.welt.de/politik/deutschland/article4944501/Koalition-will-staerker-gegen-Linksextreme-vorgehen.html

SPD, DKP und die Stasi
Schläfer des Kalten Krieges
Von Ralf Wiegand
Der Bremer SPD-Politiker Pohlmann hatte angeblich Kontakt zu einer von der DDR ausgebildeten Partisanen-Gruppe. Die Truppe sollte offenbar auf Feindesland Anschläge und sogar Morde begehen.
http://www.sueddeutsche.de/politik/290/492645/text/

Parteispende
Linke muß Strafe zahlen
Die Linke muß wegen Unregelmäßigkeiten bei einer Parteispende fast 300.000 Euro Strafe an den Bundestag zahlen. Laut „Bild“-Zeitung geht es dabei um Gelder, die vor dem Zusammenschluß von PDS und WASG zwischen den beiden Parteien geflossen waren.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,657090,00.html

Prüfverfahren
Evangelische Kirche will Rechtsextreme rauswerfen
Die Evangelische Kirche in Deutschland hat die Bundesregierung zu einem verstärkten Kampf gegen Rechts aufgerufen. Man wolle aber auch selbst Zeichen setzen, hieß es, und den Ausschluß von Extremisten prüfen.
http://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/0,1518,658169,00.html#ref=nldt

Neues zur Affäre Gruber ...
Wer definiert den rechten Rand der CDU?
Waiblingen Die Stadträtin Susanne Gruber glaubt ihre Parteikollegen „mehrheitlich“ hinter sich. Kathrin Wesely
http://www.stuttgarter-zeitung.de/stz/page/2258868_sz_hier_artikel_9223_-wer-definiert-den-rechten-rand-der-cdu-.html?_suchtag=2009-10-30

Wrack in der Ostsee
Expedition entdeckt U-Boot aus dem Ersten Weltkrieg
Vor fast hundert Jahren schickte Winston Churchill die „HMS E18“ in den Ersten Weltkrieg – die 31 Seeleute an Bord kehrten nie zurück, das U-Boot blieb verschollen. Jetzt haben ein Suchschiff und ein Tauchroboter das Wrack auf dem Grund der Ostsee geortet. Es ist erstaunlich gut erhalten.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/technik/0,1518,656993,00.html

Buchempfehlung
Wolfgang Venohr: Erinnerungen an eine Jugend
Verführte Treue
Rezension von Georg Willig
http://www.jf-archiv.de/archiv/24aa27.htm

Hier kann man es unter anderem bestellen ...
Wolfgang Venohr: Erinnerung an eine Jugend
http://www.jf-buchdienst.de/product_info.php/info/p17095_Wolfgang-Venohr--br-Erinnerung-an-eine-Jugend.html

Deutsche Kamikaze-Flieger
Himmelfahrtskommando für Hitler
Mit einem Wahnsinnsplan wollte Hitlers Luftwaffe 1945 noch die alliierten Bomber stoppen: Per Rammstoß sollten deutsche Jagdflieger ihre Gegner vom Himmel holen und sich dann per Fallschirm retten. Tatsächlich kamen die Rammjäger noch zum Einsatz – und wenig später sogar „Selbstopfer“-Piloten. Von Christoph Gunkel
http://einestages.spiegel.de/static/topicalbumbackground/5318/himmelfahrtskommando_fuer_hitler.html

Endlich kein Bastard mehr
Mittlerweile haben sieben französische „Kriegskinder“ einen deutschen Paß
Paris – Nach der Einbürgerung des ersten französischen „Kriegskindes“ im Sommer haben mittlerweile sieben Franzosen mit einem Wehrmachtssoldaten als Vater die deutsche Staatsbürgerschaft angenommen. Sie sei die erste Frau in der französischen Hauptstadt, die als „Kind der Schande“ eingebürgert worden sei, sagte Marcelle Lalmi in Paris. „Das Besondere bei mir ist, daß wir sogar zwei ‚Scheißdeutschenkinder‘ zu Hause waren.“ Sie habe auch einen Bruder gehabt, sagt sie. Er habe aber so sehr unter den Schmähungen gelitten, die die „Kinder der Schande“ nach dem Zweiten Weltkrieg über sich ergehen lassen mußten, daß er sich das Leben genommen habe.
http://www.welt.de/die-welt/politik/article5012558/Endlich-kein-Bastard-mehr.html

Obersalzberg
Abrißbirne statt Denkmalschutz
http://www.sueddeutsche.de/bayern/586/491948/text/
http://www.berchtesgadener-anzeiger.de/includes/mehr.php?id=5131

Lebhafte Phantasie ...
Herman Rosenblat im Interview zum Holocaust
http://www.youtube.com/watch?v=oEMXJKtuMU4

Demonstration für Meinungsfreiheit auf der Frankfurter Buchmesse 2009
http://www.youtube.com/watch?v=4YaZBXd-peo

Botschafter: Türken in Deutschland sind zu zurückhaltend
Der türkische Botschafter in Deutschland, Ahmet Acet, hat den in der Bundesrepublik lebenden Türken Passivität vorgeworfen. Er kritisierte seine Landsleute als zu „zurückhaltend“ und „reaktionslos“.
„Seitdem ich hier bin, beobachte ich, daß die türkische Community einige gesellschaftliche Ereignisse stillschweigend annimmt und keine Reaktion zeigt. Wenn das Kind nicht weint, wird es auch nicht gestillt. Unsere Gesellschaft weint nicht genug“, sagte Acet gegenüber der türkischen Zeitung Sabah.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5aa8fc8f0eb.0.html

Früherer Hamburger Imam
Geläuterter Haßprediger ruft deutsche Islamisten zu Gewaltverzicht auf
Überraschende Wandlung eines Haßpredigers: Mohammed al-Fasasi, einst Imam an der Hamburger Kuds-Moschee, hat sich nach Informationen des SPIEGEL vom Terrorismus losgesagt. Der Bekannte dreier Todespiloten des 11. September 2001 lobt in einem spektakulären Brief die Religionsfreiheit in Deutschland. [Da hat wohl jemand erkannt, daß man mit demographischer Kriegsführung auch zum Ziel kommt. Deutschland zählt für ihn offenbar bereits mehr oder weniger zum „Haus des Friedens“ ...]
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,657094,00.html

Der Präzedenzfall von Dresden
Von Thorsten Hinz
Der mörderische Messerangriff des Rußlanddeutschen Alex W. auf die Ägypterin Marwa al-Schirbini, der vor dem Dresdner Landgericht verhandelt wird, läßt einem den Atem stocken. Man kann nur hoffen, daß der Täter keine Gelegenheit mehr zu einem weiteren Verbrechen erhält.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5bc79856f5b.0.html

Lesenswerte Rezension von Egon Flaigs „Weltgeschichte der Sklaverei“
http://www.korrektheiten.com/2009/06/15/egon-flaig-weltgeschichte-der-sklaverei/

SPD-Politiker Buschkowsky wettert gegen Betreuungsgeld
BERLIN. Für Aufsehen hat ein Interview mit dem Neuköllner Bezirksbürgermeister Heinz Buschkowsky (SPD) gesorgt, in dem er das geplante Betreuungsgeld für Eltern scharf kritisierte. „In der deutschen Unterschicht wird es versoffen und in der migrantischen Unterschicht kommt die Oma aus der Heimat zum Erziehen“, sagte er dem Tagesspiegel.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M544d3638490.0.html

No-Go-Area Migrantenbezirke
http://www.youtube.com/watch?v=fceqphTb3kc&feature=player_embedded

Gewalt-Orgie auf Dingolfinger Fußballplatz
http://www.pnp.de/sport/artikel.php?cid=29-25963864&Ressort=sp&Ausgabe=&RessLang=&BNR=0

Ein Schlag - und die Hetzjagd begann
So hat das Gewaltopfer von Dingolfing die Fan-Krawalle erlebt – Am Donnerstag entscheidet sich, ob eine Operation nötig ist
http://www.pnp.de/nachrichten/artikel.php?cid=29-25969718&Ressort=bay&Ausgabe=a&RessLang=ndb&BNR=0

Auftritt als britischer Biedermann
Rassist Nick Griffin (British National Party) zu Gast bei der BBC
http://www.rp-online.de/public/article/politik/ausland/773570/Rassist-Nick-Griffin-zu-Gast-bei-der-BBC.html
http://www.nachrichten.at/nachrichten/politik/aussenpolitik/art391,281957
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,656855,00.html
http://www.tagesspiegel.de/medien-news/BBC-Nick-Griffin-British-National-Party-Mark-Thompson-Question-Time;art15532,2931168
http://www.zeit.de/politik/ausland/2009-10/bbc-griffin

Deutsche Qualitätspresse über den Auftritt von BNP-Chef Griffin im britischen Fernsehen ...
Nazi auf Sendung
„Was ist von einem Schwein anderes zu erwarten als ein Grunzen?“
[Kommentator Ralf Sotscheck propagiert am Ende seines Kommentars offen „Antifa“-Schlägertrupps und Körperverletzungsdelikte. Keine Volksverhetzung?]
http://www.taz.de/1/debatte/kommentar/artikel/1/nazi-auf-sendung/

„Ein Widerling enttarnt sich selbst“
http://www.ksta.de/html/artikel/1256138427009.shtml

Reaktionäres Modell
Von Professor Dr. Alexander Schuller
Wozu brauchen wir die Ehe?
http://www.netz4.de/tomatensalat/body_ehe.html

Nachfolger von Helmut Markwort
Wolfram Weimer wird „Focus“-Chef
Von Isabell Hülsen und Martin U. Müller
Wechsel an der Spitze des „Focus“: Wolfram Weimer, bislang Chefredakteur von „Cicero“, wird das Magazin ab September 2010 leiten. Magazin-Gründer Markwort soll als Herausgeber fungieren. Mit der Personalentscheidung ist auch eine Neupositionierung des Blattes verbunden.
http://www.spiegel.de/kultur/gesellschaft/0,1518,658049,00.html#ref=nldt

Bund Freiheit der Wissenschaft: Leseempfehlung Hermann Lübbe
http://www.bund-freiheit-der-wissenschaft.de/webfdw/012009/web_fdw_1_2009_leseluebbe.pdf

jeudi, 05 novembre 2009

Entortende Verortung

emeutebanlieue.jpg

 

Entortende Verortung

ex: http://www.sezession.de/

Der Begriff „Parallelgesellschaften“ ist heute sehr beliebt, wenn es darum geht, die Auswüchse der gescheiterten Integration von Ausländern zu beschreiben. Mir erscheint er als völlig ungeeignet, weil sich in Deutschland ja kein nettes, kleines gallisches Dorf im Römischen Reich gebildet hat, mit dem es zwar hin und wieder Ärger gibt, das aber intern ganz gut funktioniert.

Weil diese „Parallelgesellschaften“ allein nicht lebensfähig sind und gesellschaftszerstörend wirken, möchte ich ein alternatives Begriffspaar vorschlagen: entortende Verortungen.

Wie ist die Lage? In allen westdeutschen Großstädten gibt es Stadtteile, in denen Ausländer bereits die Mehrheit der Bevölkerung stellen. In einigen Fällen drohen sogar ganze Städte zu kippen (z.B. Offenbach). Überproportional viele Ausländer in diesen Vierteln leben auf Staatskosten, weil sie keine Notwendigkeit erkennen, eine Arbeit zu ergreifen und weil der Staat keine Anstrengungsbereitschaft abfordert. Ein Blick in die Kriminalstatistiken beweist des weiteren, daß wiederum überproportional viele Ausländer straffällig werden.

Diese eindeutigen Zahlen dürfen jedoch nicht dazu verleiten, die Deutschen als Opfer und „die Ausländer“ als Täter oder Schmarotzer zu klassifizieren. Es ist komplizierter, denn auch orientierungslose Ausländer sind in gewisser Weise Opfer. Sie leiden ebenso wie die Deutschen an der desaströsen Einwanderungspolitik der Bundesrepublik, die einerseits dieses Land überfremdet und andererseits entortende Verortungen geschaffen hat.

Zwar ist dieser Ausdruck, den ich bei dem italienischen Philosophen Giorgio Agamben in Homo sacer aufgespürt habe, für eine breite Debatte zu kompliziert. Er hilft aber dabei, Wesen und Folgen der planlosen Masseneinwanderungspolitik offenzulegen.

Was geschieht also? Bildungsferne Ausländer kommen mit Wohlstandserwartung nach Deutschland, das in einer Identitätskrise steckt und weder Kraft noch Willen hat, die Neuankömmlinge an das eigene Leben heranzuführen. Der Staat ist aber nicht tatenlos: Asylbewerber versorgt er in Heimen und „integriert“ Migranten, indem er ihnen unabhängig von deren Leistungen und Fähigkeiten, ein angenehmes Grundeinkommen (mindestens HartzIV) zusichert. Das führt dazu, daß für sie die Möglichkeit besteht, abgeschottet von der Außenwelt in irgendwelchen sozialen Brennpunkten, in denen kaum noch einer Deutsch spricht, auf relativ niedrigem Niveau zu leben. Durch seine Sozialpolitik unterstützt die BRD solche Ghettoisierungen.

Das Leben in solchen Ghettos läßt die betreffenden Migranten in großem Abstand zu den Deutschen leben, aber – und das ist der entortende Faktor – er entfremdet sie auch von der eigenen Kultur. Sie üben zwar vielfach noch ihre Religion aus, aber insgesamt stumpfen sie doch erheblich durch monotone Tage in diesen Ghettos ab. Die Reaktion von vielen Jugendlichen mit Migrationshintergrund, die in diesem entortenden Umfeld aufwachsen, ist Gewalt. Das nennen wir dann Vorbürgerkrieg.

mardi, 03 novembre 2009

Les refus récurrents et rédhibitoires de la Turquie

20070721Turquie.jpg

 

 

Andreas MÖLZER:

 

Les refus récurrents et rédhibitoires de la Turquie

 

C’est par des louanges exagérées que l’on a célébré récemment la signature de deux protocoles, où la Turquie déclare vouloir améliorer, en toute apparence mais en apparence seulement, ses relations avec l’Arménie. Très peu de temps après la signature de ces protocoles, le Premier Ministre turc Erdogan a émis une restriction: Ankara ne fera aucun pas en direction de sa voisine mal aimée, tant que l’Arménie ne  retire pas ses troupes du Haut-Karabakh, région montagneuse qui appartient de jure à l’Azerbaïdjan. Il appert donc que, pour la Turquie, la protection qu’elle entend offrir au peuple frère azéri est plus importante que l’entretien permanent de bonnes relations de voisinage avec l’Arménie, comme en entretiennent entre eux les peuples d’Europe. En émettant cette restriction par la voix de son Premier Ministre, la Turquie, faut-il l’ajouter, exprime une conception fondamentale: elle se profile, par la définition qu’elle se donne d’elle-même, comme un Etat non européen et comme la puissance d’avant-garde des peuples turcophones, dont l’aire de peuplement s’étend très profondément en Asie centrale.

 

Mais il y a un autre comportement de l’Etat turc qui prouve son immaturité à adhérer à l’UE; il a été soumis à débat vers la mi-octobre 2009 dans la Commission des affaires étrangères du parlement européen. La Turquie refuse toujours obstinément d’appliquer le protocole dit d’Ankara, qui prévoyait l’ouverture des ports et aéroports turcs aux navires et avions grecs-cypriotes, ce qui impliquait aussi de reconnaître  indirectement Chypre, Etat membre de l’UE. Cette situation a provoqué de nombreuses critiques au sein de la Commission des affaires étrangères du parlement européen. On sait que la question cypriote, depuis la fin de l’année 2006, a entraîné le gel de huit chapitres relatifs aux négociations quant à l’adhésion turque: les Turcs ont été invités à attendre et à reconsidérer leur attitude. Depuis lors, effectivement, Ankara n’a pas avancé d’un millimètre, attitude de refus pour laquelle il convient désormais de tirer les conséquences. Finalement, c’est la Turquie qui est demanderesse pour entrer dans l’UE et non le contraire. Par ailleurs, il n’est pas question d’accepter que la Turquie, comme elle le croit en apparence, dicte à Bruxelles ses conditions.

 

Fin octobre 2009, lors du Sommet de l’UE, nous aurons enfin la chance de rompre les négociations en vue de l’adhésion turque. C’est le chef des socialistes autrichiens et président de la république autrichienne, Faymann, qui devra agir. Avec ses amis rouges du parti socialiste, il a toujours promis aux Autrichiens qu’ils pourront décider par référendum s’ils acceptent ou non la candidature turque, une fois les négociations achevées. Une question demeure toutefois ouverte: pourquoi Faymann attendrait-il encore de  nombreuses années, alors que l’écrasante majorité de nos concitoyens autrichiens rejettent absolument l’adhésion turque?

 

Andreas MÖLZER.

(article paru dans “zur Zeit”, Vienne, n°43-44/2009).

Triste mondialisation...

Mondialisation.gif

Triste mondialisation...

Ex: http://unitepopulaire.org/

« En vingt ans, les pays de l'Est se sont mondialisés à la vitesse grand V. A peine le mur de Berlin était-il tombé que les enseignes du "monde libre" déboulaient en force pour y planter leur logo. […] Les mêmes chaînes de vêtements low-cost, les mêmes fast-foods, les mêmes centres commerciaux, reproduits à l'identique et à l'infini aux quatre coins de la planète. Les sorties dans les shopping centers sont d'ailleurs devenues un but d'excursion en soi. […]

Grâce à Ikea, les intérieurs du monde ont d'ailleurs de plus en plus tendance à tous se ressembler. Ne dit-on pas que, déjà, un Européen sur dix aurait été conçu sur un lit Ikea ? Pour ensuite vivre sa vie dans des salons et des chambres à coucher copies conformes des pages du catalogue.

Question gastronomie, voyager loin ne permet plus forcément de manger différemment et de découvrir des plats typiques. Tant il devient difficile d'échapper à la dictature des hamburgers et à leurs corollaires : les pizzas, les crêpes et les sandwiches, assortis de quelques nouilles sautées. Ces fleurons de la world food nous poursuivent jusqu'au bout du monde, sur les plages de Tunisie ou de Thaïlande, comme au pied des pyramides d'Egypte ou de la Grande Muraille de Chine.

Est-ce pour éviter tout dépaysement ? L'aéroport de Genève vient en tout cas d'inaugurer "un nouveau concept de restauration" (sic) qui, sous l'appellation Les Jardins de Genève, réunit la quintessence de la bouffe mondialisée – Burger King, Starbucks Coffee, Upper Crust... Mais à l'heure où même le Musée du Louvre à Paris va prochainement accueillir un McDonald's, il n'y a plus qu'à s'incliner. Et à se diriger dare-dare vers le premier M jaune venu, pour y commander tranquillement son McRösti. »

 

Catherine Morand, Le Matin Dimanche, 18 octobre 2009

lundi, 02 novembre 2009

La fin du modèle français d'assimilation

19477.jpgLa fin du modèle français d’assimilation

ex: http://qc.novopress.info/

Depuis une trentaine d’années, les pays européens sont en proie à une immigration continue et massive, essentiellement extra-européenne, voulue et entretenue par un patronat en quête de main-d’œuvre bon marché.
Face à cet afflux inédit de populations étrangères, les pays européens ont dû à la fois organiser leur installation sur leurs territoires nationaux et tenter de leur trouver une place dans la société. Chaque pays ayant usé de solutions différentes héritées essentiellement  de leur histoire et de leur culture.
Ainsi les nations nordiques, reposant essentiellement sur un socle ethniquement germanique, optèrent pour une société organisée en communautés ethno-raciales au sein desquelles les individus conservèrent leurs mœurs et leurs traditions. L’exemple le plus parfait de ce schéma se rencontre en Angleterre et tient au fait, comme l’explique E. Todt, que « la société britannique donne une définition raciale de la différence immigrée ; [alors que] la société française [en donne] une définition culturelle« . Autrement dit, plus un individu est racialement proche du « standard britannique », et plus les anglais auront tendance à le reconnaître comme l’un des leurs.

En totale opposition au schéma communautariste, la France a développé un système basé sur l’assimilation des « nouveaux venus », qui consistait en un dépouillement (acculturation) de la culture d’origine pour endosser ensuite la culture nationale à travers l’apprentissage de la langue française et de l’histoire nationale (« le roman national »). Pour parvenir à ce résultat, l’Etat s’appuyait sur différentes instances : l’école, l’armée (à travers le service militaire), les partis politiques, les syndicats qui constituaient autant d’espaces de socialisation et d’assimilation permettant de « fabriquer  des français » dans des temps très courts, leur ouvrant ensuite la voie à une possible ascension sociale. Qui mieux que Napoléon symbolise ce « génie français » ?  Quand ce fils de petit notable Corse vient au monde, l’île de Beauté n’est française que depuis un an, ce qui ne l’empêcha pas d’intégrer l’armée avant d’embrasser la carrière politique dont son couronnement sous le titre d’ « Empereur des Français » marqua l’apogée.

Cependant, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, le modèle français a été remis en cause sous la pression conjuguée de deux phénomènes, l’un exogène, l’autre endogène :
La construction européenne tout d’abord, qui, contraignant les Etats a se conformer aux directives de la Commission Européenne, dont l’unique objectif est la performance économique et l’intégration de l’espace européen dans la mondialisation libérale, a fait entrer en crise les Nations et par la même leurs systèmes sociaux et leurs institutions sur lesquels les Etats s’appuyaient.

Au niveau national ensuite, où les différentes associations anti-racistes des années 80 ont comparé l’assimilation au dernier avatar du « fascisme » Français en y substituant à la place « le mythe des  racines et des origines ». C’est oublier un peu vite que toutes les générations durent s’y plier, à un moment ou à un autre, à commencer par les Bretons, les Basques, les Alsaciens et autres Auvergnats, qui, dans le droit prolongement du rapport de l’abbé Grégoire (Rapport sur la nécessité d’anéantir le patois, & d’universaliser l’usage de la langue française), furent contraints, sous la IIIème République, d’abandonner l’usage du patois dans la sphère publique au profit du Français.

Or, ce fut précisément au moment où notre pays dut faire face à une nouvelle vague migratoire composée d’individus culturellement et ethniquement plus éloignés de la population autochtone, que notre modèle d’assimilation a été mis à mal alors qu’au contraire son renforcement aurait été plus que jamais nécessaire : on conviendra sans peine que l’assimilation d’un Belge ou d’un Italien blanc catholique est plus aisée que celle d’un Maghrébin Musulman ou d’un sub-Saharien (fut-il Chrétien).

9782707149510R1.jpgL’Etat ne jouant plus son rôle de créateur de lien social et l’école ne remplissant plus son rôle d’assimilation, ces populations récemment arrivées sur notre sol sont en proie à un vide identitaire découlant d’un rejet violent de la civilisation française (attitude que l’on retrouve également aujourd’hui chez beaucoup de « petites têtes blondes »).Elles compensent ce vide en endossant des identités alternatives, souvent inspirées ; pour les jeunes Noirs, des « gangs » américains et pour les jeunes Maghrébins, de la « mythification du bled » fièrement affichée et revendiquée, à en juger par le port de nombreux vêtements aux couleurs du Maroc ou de l’Algérie, dont le commerce tire par ailleurs profit. De plus, ce que l’on présente un peu hâtivement comme une « réislamisation » de ces populations ne trahit pas tant « un retour du religieux » que l’apparition d’un « Islam identitaire » destiné à palier cette crise identitaire. Si beaucoup pratiquent le Ramadhan, combien en revanche prient cinq fois par jour tout au long de l’année ? Combien ont lu le Coran en entier ? Combien ont fait ou feront leur voyage à la Mecque ? De plus, comment trouver sa place dans la société quand on ne possède qu’un bagage lexical d’une pauvreté inouïe, mêlant « verlan », français et mots nord-africains ou sub-sahariens ?

Pour tenter de remédier à l’échec des « quartiers » les gouvernements, depuis vingt-cinq ans, ont dépensé, sans grand résultat, trente cinq milliards d’euros dans des « plans-banlieue » afin de réorganiser l’urbanisme, de venir en aide à différentes associations. Tout ceci sans compter la mise en place de « la discrimination positive à la française », dernier « accessoire idéologique » importé des pays anglo-saxons qui sape la promotion sociale au mérite, rendue difficilement possible, tant l’enseignement en « Z.E.P. », aux dires de certains professeurs, s’est transformé en un chemin de croix quotidien. Les parents qui en ont les moyens financiers quittent alors ces zones afin d’inscrire leurs enfants soit dans des établissements publics plus « cotés » et plus calmes, soit dans des établissements privés, gage à leurs yeux d’une meilleure qualité de l’enseignement.

La bataille consistant à savoir lequel des deux modèles, communautariste ou assimilationniste, s’avère être le plus adéquat est vain dans la mesure où les flux migratoires, toujours plus massifs et continus, les ont voués à l’échec laissant le problème irrésolu. Cependant, le modèle Britannique a obtenu de toute évidence des résultats bien plus médiocres que le modèle français. Ce dernier semble pourtant bien malgré lui s’engager sur cette voie, à en juger par l’apparition de multiples « conseils représentatifs » communautaires (C.R.A.N. , évocation d’un C.R.I.F. Musulman, etc…) dont le Conseil représentatifs des institutions juives de France (C.R.I.F.) sert de matrice.

Source : Dies Irae [1]


Article printed from :: Novopress Québec: http://qc.novopress.info

URL to article: http://qc.novopress.info/6833/la-fin-du-modele-francais-dassimilation/

URLs in this post:

[1] Dies Irae: http://www.dies-irae.fr/actualites-n116-la-fin-du-modele-francais-assimilation.html

Nada que celebrar y mucho que lamentar

deutschland_berlin_mauerfall_1818331,property=zoom.jpg

Nada que celebrar y mucho que lamentar

Estos días se ha conmemorado el vigésimo aniversario de la caída del muro de Berlín. Fecha para celebrar, ciertamente. En cambio es para lamentar el mismo aniversario del ‘consenso de Washington’: la peor versión del capitalismo que los siglos han visto (el neoliberalismo) cuyo antecedente fue la atroz involución conservadora perpetrada por Ronald Reagan y Margaret Thatcher en los ochenta.

El cineasta Costa Gavras, comprometido siempre con la democracia y la justicia, formula así esa lamentación: “Cuando cayó el muro de Berlín pensamos que por fin el mundo sería diferente. Pero fue peor. Todo, medio ambiente, economía, paro. No se propuso una vida mejor, sólo ir hacia un mundo más oscuro”.

En la dogmática aplicación del neoliberal ‘consenso de Washington’ están las causas de la crisis que ha colocado el mundo al borde del desastre. Redactado por un oscuro economista del Institute for International Economics en noviembre de 1989, pretendía ser inicialmente un listado de directrices económicas para América Latina. Pero el Fondo Monetario Internacional, Banco Mundial y otras entidades internacionales rápidamente lo canonizaron como único programa económico posible para impulsar el crecimiento mundial. Demasiado tarde la crisis feroz les ha arrancado la venda de los ojos.


En esa dogmática lista de políticas económicas que es el ‘consenso de Washington’, se impone reordenar las prioridades del gasto público (entiéndase recortar el gasto público social). También es inaplazable la reforma fiscal (es decir, quienes tienen más, que paguen menos). Así como imprescindible liberalizar el comercio internacional (los países ricos hacen lo que quieren, pero los pobres y emergentes han de renunciar a sus aranceles). Por supuesto, hay que liberalizar la entrada de capitales extranjeros (descontrol y alfombra roja a la evasión de impuestos y ocultación de capitales). Y es indiscutible la desregulación de lo financiero (ahí está la crisis para demostrar cuan acertada fue tal directriz). Además de privatizar lo público (¿porque impedir que una minoría se enriquezca con lo que es de todos?).

Eso es el ‘consenso de Washington’. Quien pretenda que nada tiene que ver con la crisis demuestra que no hay peor ciego que quien no quiere ver. Hemos hablado y escrito sobre la crisis hasta la saciedad, pero hay que remachar que las causas de la crisis (reconocidas y confesadas con golpes de pecho y presunto arrepentimiento) no son más que la fiel aplicación de las políticas económicas del consenso de Washington. Como Chicago en los años 30, el de Capone, Moran y Frank Nitti; esto quiero, esto cojo.

En la lúcida versión del humorista español El Roto, el desorden neoliberal perpetrado hace veinte años se sintetiza en un humor agudo ilustrado con siniestras figuras de hombres poderosos, bien vestidos y gesto feroz o con abrumadas imágenes de pobres sorprendidos: “Si nada ganábamos cuando se forraban, porque hemos de perder cuando se la pegan. ¿El capitalismo? Una manita de pintura y como nuevo. Todo lo que dé dinero debe ser privado, y lo que arroje pérdidas, público. ¡Así que el desarrollo sólo era delincuencia! ¡La operación ha sido un éxito: hemos conseguido que parezca crisis lo que fue un saqueo!”

Recurrimos de nuevo a Costa Gavras cuando dice que “volvemos a los años anteriores a la Revolución Francesa, en los que una minoría, la nobleza, lo tenía todo. Hoy parece revivir aquello: una mayoría que hace todo el trabajo y consigue que la sociedad funcione, frente a la nueva aristocracia de los capitalistas. Necesitamos otra revolución, sin sangre, pero una revolución. Para cambiar esta situación”.

Hay que enfilar el hilo en la aguja y no estaría mal que fueran hechos y no palabras. Por ejemplo, volver a pelear por un impuesto a los movimientos especulativos de capital. Lo propuso en 1971 quien fue Nobel de Economía en 1982, James Tobin. La tasa Tobin es un 0,1% sobre el capital que se mueva para especular. Otro Nobel de Economía, Stiglitz, se ha sumado a quienes reclaman la implantación de dicha tasa. Para mostrar que es posible y no delirio de izquierdoso fumado, el gobierno de Lula impondrá un Impuesto de Operaciones Financieras (2%) al capital extranjero de operaciones especulativas con divisas en Brasil.

No es la revolución, pero todo es empezar.

Xavier Caño Tamayo

Extraído de Argenpress.

dimanche, 01 novembre 2009

The USA - A Failed State

dollar20squeezed1tp4.jpgNational Bankruptcy
The USA—A Failed State
by Paul Craig Roberts on October 21, 2009 / http:/www.takimag.com/

The U.S. has every characteristic of a failed state.

The U.S. government’s current operating budget is dependent on foreign financing and money creation.

Too politically weak to be able to advance its interests through diplomacy, the U.S. relies on terrorism and military aggression.

Costs are out of control, and priorities are skewed in the interest of rich organized interest groups at the expense of the vast majority of citizens. For example, war at all cost—which enriches the armaments industry, the officer corps and the financial firms that handle the war’s financing—takes precedence over the needs of American citizens. There is no money to provide the uninsured with health care, but Pentagon officials have told the Defense Appropriations Subcommittee in the House that every gallon of gasoline delivered to U.S. troops in Afghanistan costs American taxpayers $400.

“It is a number that we were not aware of, and it is worrisome,” said Rep. John Murtha, chairman of the subcommittee.

According to reports, the U.S. Marines in Afghanistan use 800,000 gallons of gasoline per day. At $400 per gallon, that comes to a $320,000,000 daily fuel bill for the Marines alone. Only a country totally out of control would squander resources in this way.

While the U.S. government squanders $400 per gallon of gasoline in order to kill women and children in Afghanistan, many millions of Americans have lost their jobs and their homes and are experiencing the kind of misery that is the daily life of poor Third World peoples. Americans are living in their cars and in public parks. America’s cities, towns and states are suffering from the costs of economic dislocations and the reduction in tax revenues from the economy’s decline. Yet, Obama has sent more troops to Afghanistan, a country halfway around the world that is not a threat to America.

It costs $750,000 per year for each soldier we have in Afghanistan. The soldiers, who are at risk of life and limb, are paid a pittance, but all of the privatized services to the military are rolling in excess profits. One of the great frauds perpetuated on the American people was the privatization of services that the U.S. military traditionally performed for itself. “Our” elected leaders could not resist any opportunity to create at taxpayers’ expense private wealth that could be recycled to politicians in campaign contributions.

Republicans and Democrats on the take from the private insurance companies maintain that the U.S. cannot afford to provide Americans with health care and that cuts must be made even in Social Security and Medicare. So how can the U.S. afford bankrupting wars, much less totally pointless wars that serve no American interest?

The enormous scale of foreign borrowing and money creation necessary to finance Washington’s wars are sending the dollar to historic lows. The dollar has even experienced large declines relative to currencies of Third World countries such as Botswana and Brazil. The decline in the dollar’s value reduces the purchasing power of Americans’ already declining incomes.

Despite the lowest level of housing starts in 64 years, the U.S. housing market is flooded with unsold homes, and financial institutions have a huge and rising inventory of foreclosed homes not yet on the market.

Industrial production has collapsed to the level of 1999, wiping out a decade of growth in industrial output.

The enormous bank reserves created by the Federal Reserve are not finding their way into the economy. Instead, the banks are hoarding the reserves as insurance against the fraudulent derivatives that they purchased from the gangster Wall Street investment banks.

The regulatory agencies have been corrupted by private interests. “Frontline” reports that Alan Greenspan, Robert Rubin and Larry Summers blocked Brooksley Born, the head of the Commodity Futures Trading Commission, from regulating derivatives. President Obama rewarded Larry Summers for his idiocy by appointing him director of the National Economic Council. What this means is that profits for Wall Street will continue to be leeched from the diminishing blood supply of the American economy.

An unmistakable sign of Third World despotism is a police force that sees the pubic as the enemy. Thanks to the federal government, our local police forces are now militarized and imbued with hostile attitudes toward the public. SWAT teams have proliferated, and even small towns now have police forces with the firepower of U.S. Special Forces.

Summons are increasingly delivered by SWAT teams that tyrannize citizens with broken down doors, a $400 or $500 repair born by the tyrannized resident. Recently, a mayor and his family were the recipients of incompetence by the town’s local SWAT team, which mistakenly wrecked the mayor’s home, terrorized his family and killed the family’s two friendly Labrador dogs.

If a town’s mayor can be treated in this way, what do you think is the fate of the poor white or black? Or the idealistic student who protests his government’s inhumanity?

In any failed state, the greatest threat to the population comes from the government and the police. That is certainly the situation today in the U.S.A. Americans have no greater enemy than their own government. Washington is controlled by interest groups that enrich themselves at the expense of the American people.

The 1 percent that comprise the superrich are laughing as they say, “Let them eat cake.”

samedi, 31 octobre 2009

Hatoyama conferma la revisione dell'alleanza con gli Stati Uniti

hatoyama.jpg

Hatoyama conferma la revisione dell’alleanza con gli Stati Uniti

  

30 Ottobre 2009 / Alessandro Sassone / http://www.rinascita.info/

  
 

Mentre l’opposizione liberaldemocratica lo accusa di avere inviato messaggi errati a Washington e di mettere in crisi i rapporti diplomatici tra i due Paesi, Hatoyama (foto) mostra di tenere il punto e torna a riaffermare la volontà del nuovo Giappone democratico di cambiare una politica estera di sudditanza durata 50 anni; gli anni di governo quasi ininterrotto dei liberaldemocratici. Il governo “rivedrà in modo completo l’alleanza fra Giappone e Stati Uniti - ha detto ieri il primo ministro Yukio Hatoyama - ma continuerà i rapporti in una maniera a diversi strati”. Il premier ha tenuto a precisare che l’alleanza sarà rivista il prossimo anno in occasione dei 50 anni dei Trattati bilaterali tra Tokyo e Washington. Hatoyama nella seduta del Parlamento ha anche specificato che l’alleanza tra gli Stati Uniti e il Giappone rimane una “pietra angolare della nostra politica estera”. La coalizione guidata dai Democratici di Hatoyama, ha fatto della revisione dei rapporti con Washington il suo cavallo di battaglia impegnandosi a portare le relazioni tra i due Paesi su un livello più paritario rispetto al passato. Tra i punti caldi dei rapporti tra Tokio e Washington, la presenza sul territorio giapponese dei militari nordamericani. Nel 2007 i militari Usa erano 33.453, più 5 mila impiegati del ministero della Difesa Usa. La riorganizzazione della presenza militare statunitense nell’isola di Okinawa e l’indagine ordinata dal ministro degli Esteri, Katsuya Okada, su un presunto “patto segreto” con Washington siglato nel 1960, che autorizzerebbe tacitamente, in caso di necessità, il transito di ordigni atomici nordamericani sul territorio del Sol Levante, rappresentano le questioni più spinose che possono rischiare di congelare i rapporti con gli Usa; al contempo però Hatoyama sa bene che una marcia indietro sui punti chiave della campagna elettorale manderebbe in pezzi il miracolo elettorale dello scorso agosto. Il premier regge quindi alle tiepide ostruzioni dell’opposizione liberaldemocratica ed è pronto a ricevere il presidente statunitense Barack Obama che sarà a Tokio il prossimo 12 e 13 novembre.

Immer mehr Anleger fürchten Pleiten europäischer Staaten

Immer mehr Anleger fürchten Pleiten europäischer Staaten

Michael Grandt / http://www.info.kopp-verlag.de

Bei Investoren geht die Angst geht um. Weil westliche Industrieländer Banken- und Konjunkturprogramme in Milliardenhöhe auflegen, boomt die Absicherung gegen Staatsbankrotte.

image84.pngAnleger setzen stärker auf finanzielle Schwierigkeiten westeuropäischer Staaten und stürzen sich geradezu auf Kreditausfallderivate (Credit Default Swaps, CDS).

CDS-Kontrakte sind eine Art Versicherung für Anleihen: Ein Marktteilnehmer, oft eine Bank, übernimmt dabei den Part des Versicherers. Gegen eine Gebühr verpflichtet er sich zu zahlen, wenn eine Anleihe ausfällt, also ein Unternehmen oder ein Staat pleite ist.

Das Kreditereignis beschränkt sich jedoch nicht allein auf den Ausfall des Kredites durch Insolvenz oder Ähnliches, es kann auch z.B. das Rating einer Anleihe als Kreditereignis bestimmt werden, sodass der Sicherungsgeber (in unserem Beispiel eine Bank) im Falle der Herabsetzung des Ratings (und somit einem Wertverlust) zur Ausgleichszahlung an den CDS-Käufer verpflichtet ist. Einfacher erklärt: Bereits wenn die Bonität eines Staates herabgestuft wird, könnten Banken zu einer Ausgleichszahlung gezwungen sein.

Ganz vorne auf der Hitliste: Italien. Das CDS-Volumen stieg für Italien von 148 auf inzwischen 205 Milliarden Dollar. Aber auch bei Spanien und Deutschland sind die ausstehenden Volumen besonders groß. Bei Spanien beläuft es sich auf 84 Milliarden Dollar, im Jahre 2008 waren es noch 61 Milliarden und für Deutschland kletterte es von 37 Milliarden auf 55 Milliarden Dollar. (1)

Selbst Banken haben Angst

Im Zuge der anhaltenden Finanzkrise ist der Markt für CDS jedoch erheblich geschrumpft: Der Nominalwert der ausstehenden Kontrakte Ende des ersten Halbjahrs 2009 lag bei 31.223 Milliarden Dollar, hingegen waren es vor Jahresfrist noch knapp 55.000 Milliarden. (2)

Selbst Banken schrauben ihr Engagement bei Derivaten zurück, obwohl sie damit in der Vergangenheit viel Geld verdient haben. Jetzt wollen sie das »Kontrahentenrisiko« (Kreditrisiko) verringern, im Klartext: Sie haben Sorge, dass einige Staaten tatsächlich pleite gehen und ihre Anleihen nicht mehr bedienen könnten. Dann wären sie über die CDS in der Pflicht.

Gegen die wachsende Pleitegefahr sichern sich die Investoren ab. Aber das schürt erst recht die Angst vor Zahlungsausfällen. Dass diese nicht ganz unberechtigt ist, zeigt der Beinahe-Bankrott Islands im vergangenen Jahr.

Und auch Antoine Cornut, Europachef für den Bondhandel der Deutschen Bank, warnt: »Westeuropäische Regierungen garantieren Bankverbindlichkeiten und begeben selbst mehr Papiere, wodurch sie mehr Schulden auf ihre Bücher nehmen. Das macht es riskanter, ihre Anlagen zu halten«. (3)

Ursachen dafür sind die rasant wachsenden Defizite der Industrieländer, die insgesamt Billionen in Konjunkturprogramme und Bankenrettungspakete investieren. Die USA und Europa garantieren zwischenzeitlich Bankanleihen von einem Gesamtwert von 1133 Milliarden Dollar – Rekordhöhe!

 

Große Gefahr für das gesamte Finanzsystem

Die Kontrakte werden außerbörslich gehandelt, der Markt für CDS ist unreguliert. Kritiker betrachten dies als großes Risiko für die Stabilität des gesamten Finanzsystems, denn für Spekulanten sind die Tore weit geöffnet.

Eine andere Gefahr besteht darin, dass Institutionen, die CDS ausgeben, nicht zur Rücklage von Kapital zur Deckung von eventuell eintretenden Ausgleichsforderungen verpflichtet sind. Im Extremfall kann also die Summe der versicherten Credit-Events das vorhandene Kapital des Sicherungsgebers bei Weitem übersteigen. (4) Wenn diese »Finanzmassenvernichtungsbombe« hochgeht, die direkt mit der Bonität von Staaten verbunden ist, dürften wohl einige Lichter ausgehen.

 

___________

(1) Quelle: Depository Trust & Clearing Corporation (DTCC)

(2) Quelle: International Swaps and Derivatives Association (ISDA)

(3) http://www.ftd.de/finanzen/derivate/:hohe-staatsverschuldung-absicherung-gegen-pleiten-europaeischer-laender-boomt/50017267.html

(4) http://www.brainguide.de/cds--credit-default-swaps  

 

Montag, 19.10.2009

Kategorie: Geostrategie, Wirtschaft & Finanzen, Politik

© Das Copyright dieser Seite liegt, wenn nicht anders vermerkt, beim Kopp Verlag, Rottenburg


Dieser Beitrag stellt ausschließlich die Meinung des Verfassers dar. Er muß nicht zwangsläufig die Meinung des Verlags oder die Meinung anderer Autoren dieser Seiten wiedergeben.

Grüne kritik am Brüsseler Mahommedaner-Ghetto

"Verpisst euch!": Grüne Kritik am Brüsseler Mohammedaner-Ghetto

Udo Ulfkotte / http://info.kopp-verlag.de/

vandertaelensterven.jpgDie meisten Muslime wohnen in der europäischen Hauptstadt in »multikulturellen« Brüsseler Stadtteilen wie Molenbeek, ballen sich dort in Ghettos zusammen, wollen mit den ethnischen Europäern nichts zu tun haben. Ihre Aggressivität und Integrationsverweigerung führt zur kulturellen Verarmung der europäischen Hauptstadt. Das beklagen inzwischen in Belgien auch bekannte Abgeordnete der Partei Die Grünen. »Die Ghettos von Brüssel« heißt ein langer Artikel, den der Grünen-Abgeordnete Luckas Vander Taelen jetzt in der renommierten Zeitung »De Standaard« über die schlimmen Zustände veröffentlicht hat. Er hat das Tabu gebrochen – und politisch nicht korrekt die Wahrheit aufgeschrieben.

Etwa 33 Prozent der Einwohner der europäischen Hauptstadt sind derzeit Muslime. Tendenz: stark steigend. Brüssel wird in etwa 13 Jahren eine überwiegend islamische Stadt sein. Das behaupten zumindest die Fachleute belgischer Universitäten. Und diese Entwicklung kann angeblich niemand mehr aufhalten. Die meisten Mohammedaner wohnen in »multikulturellen« Brüsseler Stadtteilen wie Molenbeek, ballen sich dort in Ghettos zusammen und sorgen oft für eines: für Angst  unter den Einheimischen. Die Aggressivität und Integrationsverweigerung führt zur unglaublichen kulturellen Verarmung der europäischen Hauptstadt. 

Der Grünen-Abgeordnete Luckas Vander Taelen hat sich seinen Frust jetzt in der renommierten Zeitung De Standaard vom Leib geschrieben. Der Mann wohnt in einem solchen Mohammedaner-Stadtteil und weiß, wovon er spricht. Frauen trauen sich dort nach seinen Angaben schon lange nicht mehr allein auf die Straße, seine Tochter wird ständig als »Nutte« und »Schlampe« auf der Straße angesprochen und ethnische Europäer sind den multikulturellen Bewohnern nur für eines gut – zum Abzocken.

Wenn der grüne Abgeordnete durch die Straßen geht, dann spucken ihm junge Zuwanderer ins Gesicht und sagen ihm, er solle sich von hier verpissen. Dabei wohnt er dort, ist Grüner und setzte sich lange für die netten Mitbürger ein. Jetzt aber hat er offenkundig die Schnauze voll von der »Bereicherung«, aufhalten aber kann er sie wohl auch nicht mehr (Quelle: De Standaard, 30. September 2009).

bxemeuteh20cvg.jpgIn den Niederlanden ist die Entwicklung bei den Grünen ähnlich – dort hat unlängst Femke Halsema, die immerhin die Vorsitzende der Grünen ist, den Islam öffentlich als großes Problem angeprangert. Von der angeblichen großen kulturellen »Bereicherung« durch den Islam will auch die niederländische Grünen-Vorsitzende nichts mehr wissen. (Quelle: DePers.nl, 8. September 2009). Die deutschen Grünen verstehen das alles nicht – und fahren fort, zugewanderte Kriminelle und Integrationsunwillige aus dem islamischen Kulturkreis in Belgien und den Niederlanden zu unterstützen. Ein Beispiel dafür: Als Mitte September 2009 die Polizei in Molenbeek einen 14 Jahre alten Marokkaner verhaftete, der Polizisten zusammen geschlagen und Passanten ausgeraubt hatte, da organisierte der Vater des Jungen sofort einen gewalttätigen Protestmarsch gegen die Brüsseler Polizei und verkündete in »Presseerklärungen«, sein Sohn sei ein anständiger Moslem und würde nie Straftaten verüben. Die gewalttätige Demonstration richtete sich gegen die angebliche »Islamophobie« der Brüsseler Polizei. Es gab schwere Straßenschlachten in Brüssel, etwa 100 Polizisten wurden bei den Mohammedaner-Unruhen verletzt (Quelle: Brussel Nieuws, 18. September 2009).

Nicht ein belgischer Grünen-Abgeordneter zeigte sich in Brüssel bei diesen »Demonstrationen« gemeinsam mit den gewalttätigen Zuwanderern auf den Straßen in Molenbeek. Einzig deutsche Mitglieder der Grünen reisten an und bekundeten auf von der Polizei fotografierten Transparenten ihre »Solidarität« mit den zugewanderten Mitbürgern und forderten einen verstärkten »Kampf gegen Islamophobie«. Die Demonstranten riefen den Polizisten entgegen: »Verpisst euch!«

Man darf gespannt sein, was der belgische Grünen-Abgeordnete, dessen Familie ständig im multikulturellen Brüsseler Stadtteil Molenbeek von den jungen Zuwanderern »bereichert« wird, über seine deutschen grünen »Freunde« denkt. Da gab es doch mal so ein Sprichwort: Wer solche Freunde hat, der braucht keine Feinde mehr …

 

Donnerstag, 01.10.2009

Kategorie: Allgemeines, Akte Islam, Politik

© Das Copyright dieser Seite liegt, wenn nicht anders vermerkt, beim Kopp Verlag, Rottenburg


Dieser Beitrag stellt ausschließlich die Meinung des Verfassers dar. Er muß nicht zwangsläufig die Meinung des Verlags oder die Meinung anderer Autoren dieser Seiten wiedergeben.